La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 166)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 166)
Histoire écrite par esclaveCyriliaMDE
La pouliche de Chantilly :
Un claquement retentit alors que mes yeux s'ouvrent doucement, laissant apparaître à
mon esprit une lueur matinale en cette journée d'hiver. La pâle lueur d'un soleil
timide vient de loin, se reflétant sur de nombreux mur avant d'arriver jusqu'à moi.
Heureusement, cette lueur lointaine signifie aussi que le froid de dehors mettra du
temps à arriver jusqu'à moi. Alors que je sors doucement de la couverture de cheval
qui, mine de rien, me tint au chaud pendant la nuit … ou du moins une partie de la
nuit. Bougeant doucement, j'entends les cliquetis du métal, le frottement de la paille
et la tension du cuir. L'attirail que l'on m'avait installé la veille était toujours
en place et cela ne m'avait pas dérangé le moins du monde tellement mon corps
demandait à se reposer. M'étirant comme je le pouvais, je sentais tout de même ma
mâchoire douloureuse. Le mors que j'avais dans la bouche dégoulinait de salive et le
visage encore collant. Je sentais de longues mèches de cheveux, fossilisées par les
tribulations de la nuit dernière mais cela ne me dérangeait pas. Sous la crinière
brune qui m'ornait la tête, totalement fixée par les lanières de cuir rouge de mon
harnais de pouliche, je me sentais bien.
Un deuxième claquement se fit entendre, plus proche. Je rassemblais mes esprits pour
me mettre en position assise. Le haut de mon corps sortait de la couverture, dévoilant
mes épaules sur lesquels tombait ma chevelure. Ca et là, j'avais des marques rougies
bien visibles, reliquat de liens qui, même s'ils n'étaient plus douloureux restaient
sur ma peau comme un tatouage s'enchevêtrant autour de mes bras fins et de mes
poignets. Je souriais sans que cela ne se voit, les lèvres bloquées par mon bâillon,
en voyant ces bracelets peints dans ma chair qui me rappelait ce que j'étais et les
méandres de plaisirs que j'avais traversé. Ce n'était pas un rêve. Je m'assoie, comme
un palier que mon organisme demande avant de véritablement prendre forme humaine. La
couverture, tombant un peu plus, découvre le haut d'un corset qui affine ma
silhouette. Le rouge du tissu est parsemé de taches blanches sur mon dos, dont la
présence semble augmenter à mesure que l'on se rapproche de mon bassin. Je me place
alors sur les genoux, mes mains dans le dos avant de répéter, à moitié dans la brume
du sommeil :
« Je suis l'esclave de Mon Maître Monsieur Le Marquis d'Evans, mon corps et mon âme
lui appartiennent, il peut en disposer comme bon lui semble, je suis son vide couille
» Chose qu'aujourd'hui, je ne pouvais nier
Un troisième claquement se fait entendre alors que je pousse la couverture de mes
mains portant un vernis vermillon. Une couleur qui est la mienne depuis hier. Mon
rouge à lèvres, atténué par la nuit, était de la même couleur mais maintenant il se
rapproche plus de la nuance des quelques zébrures qui ornent ma croupe. Cette
dernière, est troublée par un plug d'une taille assez intéressante à laquelle est
attaché un crin de cheval tressé. La queue de plusieurs dizaines de centimètres
serpente sur le sol et contraste avec l'or du foin par sa robe brune. Seule exception
avec le code de couleur écarlate, mes bas en résilles noirs semblent eux aussi marqués
de taches blanches, restes de la soirée. La personne au fouet est de plus en plus
proche. Je tente de me relever provoquant des bruits sourds, provenant des os de mes
genoux comme toujours le matin, mais aussi deux sons bien distincts, ceux de talon sur
le bois du sol de l'écurie. Je finis de me relever quand les bruits de pas arrivent
enfin devant mon box pour découvrir Monsieur Walter, le Majordome du Château. Il me
lance un regard amusé et supérieur face à la pauvre chose chiffonnée, et tentant de
retrouver un semblant d'équilibre, que je suis. Je détourne le regard, à la fois
intimidée mais surtout dressée à ne jamais regarder une personne dans les yeux.
« Et bien … il va y avoir du travail. Regarde dans quel état tu t'es mise, petite
pouliche. Tourne toi »
Sans discuter … oui le terme est mal choisi … sans protester de quelque façon, je me
tourne, dévoilant ma croupe à la lumière blafarde. Je ne voyais plus le majordome,
mais je sentais son sourire fin sur son visage et son regard sur les taches de la
soirée d'hier.
« Une vraie souillon, ma parole. J'espère que nous pourrons te retirer cette odeur
d'urine aussi. Allez avance que je te mette ta longe »
Me retournant encore une fois, je vois qu'il a ouvert la porte, mes mains se placent
dans mon dos, comme on me l'avait appris, je lève le menton pour faciliter
l'installation de la laisse avant qu'il ne me donne une petite claque pour que je
mette la tête droite…
Flash-back :
Une semaine que j'étais arrivée au château et déjà mon corps réagissait aux ordres
plus vite que mon esprit. Etais-je déjà comme cela à mon arrivée. J'avais cet étrange
sentiment que celle que je suis devenue est aujourd'hui si loin de celui que j'étais
avant, alors que dans ma mémoire c'était comme si c'était hier. … 2 heures de TGV qui
avaient semblé être une éternité. Dans ma tête je ne cessais de repassait des images
de plus en plus perverses de ma transformation, étape par étape. Mon Maître, Le
Marquis D'Evans, avait accepté de me dresser en Sa Noble Demeure. Les instructions
étaient simples :
‘’A la Gare de Lyon Part-Dieu, sortie principale à 16h. Mon Chauffeur t'attendra. Pas
besoin de prendre des affaires’’
Cela m'avait fait étrange de n'avoir sur moi que le strict minimum, moi qui ait
toujours l'habitude de partir avec un pc pour écrire, ou au moins un livre à lire,
cette fois, je n'avais sur moi que mon portable avec un peu de musique dessus,
m'aidant plus à m'isoler du monde qu'à passer le temps. J'avais médité pendant ces
heures de trajets. Sur les paysages qui défilaient devant moi, sur les gens qui
étaient dans le même wagon. Je me disais que si, moi, qui est toute somme banal, me
rendait dans le fameux château de Mon Maître, pour y être dressé, il y avait peut être
quelqu'un d'autre en ce lieu qui pouvait avoir des goûts « déviants » selon la morale
populaire, comme moi. Passant mon temps à les imaginer à ma place, j'alternais entre
rigolade et légère douleur, à cause de ma cage de chasteté, je touchais quelque fois
ma cheville où mes anneaux étaient accrochés pour sentir Sa présence. Enfin arrivé, je
sortais de mon train pour avancer dans la gare gigantesque de Lyon Part-Dieu. Je
cherchais le hall, à moitié perdu dans ces méandres de galeries marchandes et de voies
avant de finalement trouver ma destination.
J'avoue, idiot que je suis, m'être demandé comment je pourrais reconnaître le
chauffeur de mon Maître dans la masse de gens que brasse cette belle et grande ville
de Lyon. Mais la réponse était d'une simplicité tellement évidente qu'elle me surprit
et me tétanisa un instant. Le chauffeur était bien là, devant l'entrée, une pancarte
marquée « eCyriliaMDE ». Je sentis subitement mon visage s’empourprer subitement à
cause d'une double honte. Celle de ne pas avoir pensé à cette façon d'attirer mon
attention et celle de devoir avancer pour me présenter. Mais la honte était une chose
qui ne m'avait pas stoppé par le passé. Je ne sais pas pourquoi mon esprit se rattrapa
à la première chose qui passait et cette chose était mes cours d'électronique du
lycée. Certains éléments fonctionnaient en numérique. J'y trouvais de nombreux
parallèles avec ma situation … J'étais en fonctionnement « Tout ou Rien », « 0 ou 1 »,
le tout était de savoir si j'arriverai à revenir à « 0 » une fois que je serais devenu
« 1 ». Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça, mais mes pas se
déplacèrent tout seuls. Ma volonté était certes vacillante mais en l'absence de la
raison, il ne restait que le désir de soumise qui m'avait mené jusqu'ici. Je me
présentais donc devant le chauffeur. Perdant alors ma personnalité masculine pour
prendre le nom que m'avait donné mon Maître Vénéré : esclaveCyriliaMDE.
J'allais commencer à dire quelque chose quand il sortit, m'entraînant derrière lui,
comme attirée par un aimant, avant de m'amener à un 4x4 luxueux et spacieux. Il
m'ouvrit la porte d’un air sévère et sans un mot, j'entrai et me retrouvais à droite
de celui que je nommerai alors Monsieur Walter. Assise dans la grande voiture, celle-
ci se lança sur les routes de la grande ville sans qu'aucun mot ne soit prononcé tout
d'abord. Tendue, je ne savais pas si je faisais quelque chose de mal ou s'ils
testaient ma patience, mais le silence était pesant. Seuls les ronronnements du moteur
et les crissement du cuir de la sellerie troublaient ce dernier tout en l'accentuant.
Lorsque le véhicule atteint enfin les grands axes, Monsieur Walter, qui semblait ne
pas me quitter des yeux, à l’affût d'une étourderie sûrement, se mit à bouger. Mon
cœur se mit à battre alors que dans ma tête je cherchais ce que j'avais pu faire de
mal. Mais nul reproche, nul remarque. Il me posa un carton sur les genoux sans un mot.
Je l'ouvris alors, pour découvrir ce qui me provoqua un soupir de soulagement. Un
rouge à lèvre, du verni à ongles assorti, des bas noirs et, surtout, un collier en
cuir noir aux armoiries des Evans, sur lequel se trouvait une plaque en Or marquée à
mon matricule. J'attachais directement mon collier. Dans le couvercle du carton, il y
avait un petit miroir que j'utilisais tout de suite pour parer mes lèvres. Usant du
verni, je recouvrais mes ongles de main avant de laisser sécher et m'apprêtait à
fermer le couvercle quand Monsieur Walter se racla la gorge tout en gardant son air
sévère.
Je ne sus tout d'abord pas quoi faire avant de voir ses yeux descendre sur mon corps.
Je compris alors avalant une bonne gorgée de salive. Mes lèvres se pincèrent avant de
commencer à retirer un à un mes habits pour les poser à cotés de moi. A peines
avaient-ils touché le cuir de la banquette arrière qu'ils étaient rangés dans un sac
que me tendait le Majordome. Le haut de mon corps dénudé, je m'attaquais au bas
découvrant alors ma cage dont le pensionnaire éprouvait des envies d'évasion
subitement. Nue, je sentais le regard, non seulement, du passager, mais du chauffeur
qui me fixait avec un regard pervers dans le rétroviseur. Pour peindre mes ongles de
pieds, je devais me pencher en avant ce qui laissait une vision de mes fesses au
spectateur à mes cotés. Je sentis alors une main passant sur ma croupe, ce qui me fit
légèrement me relever et provoqua une réaction immédiate. Enfin j’entendis le son de
la voix glaciale de Walter
- Que fais tu, catin ? As tu terminé ?
- N... non Monsieur
- Alors continue ce que tu fais, ton cul est celui d'une chienne, alors agis comme
telle et ne te déconcentre pas
- B...bien …
Une claque s'abattit alors sur mes fesses provoquant une forte respiration qui me
servait à contenir un gémissement de surprise.
- Bien Monsieur Walter … répète, espèce de chienne en chaleur.
- Bien Monsieur Walter
- Parfait … continue. Et tant que ton verni ne sera pas sec tu resteras dans cette
position
- Oui Monsieur Walter
Je me remettais donc au travail et passait sur mes ongles de doigts de pieds, la
couche de vernis qui, je le notais après application, mettais plusieurs minutes à
sécher. Pendant se tends je sentais la main vicieuse du Majordome de plus en plus
insistante sur mes fesses. Ma respiration était légèrement saccadée à chaque fois
qu'il s'amusait à bouger son doigt en moi, avec pour seule lubrification un peu de ma
propre salive déposée sur son doigt alors qu'il me l'avait présenté sans rien dire (la
raison s'était imposée comme une évidence à mes yeux). Mon pénis … ou plutôt mon
clitoris contenu dans son entrave commençait à se faire douloureux. Et ce n'était pas
près de s'arranger quand Monsieur Walter brisait le silence pour faire des
commentaires sur ma personne.
- Alors petite pute, ça en est où ce verni ? » ou « Un vrai cul de chienne, il n'y a
pas à dire » ou encore « Il est si souple tu as du en voir passer des queues » et
surtout « Tu en mets du temps, à moins que ça ne soit parce que tu aimes ce que je te
fais ».
Pouvais-je nier la dernière remarque alors que je sentais mes testicules tiré en avant
par l'anneau de la cage, lui même tiré par le carcan dont le prisonnier n'avait qu'une
envie, de prendre l'air. Mais enfin le verni avait séché et je reprenais une position
assise, moins enclin aux attouchements douloureusement excitants. Il était temps de
mettre les bas mais là aussi un petit problème se posa à moi. Afin que les bas soient
bien mis, je me devais d'étendre les jambes. Et toute spacieuse qu'était la voiture,
je ne pouvais le faire de face. Je me tournais donc en direction de Monsieur Walter
qui n'en perdait pas une miette. Je tendis ma jambe gauche à mesure que le bas se
déroulait, soyeux, sûrement de très bonne qualité pour finalement le faire arriver à
une quinzaine de centimètres de mon pubis. Mon spectateur n'a vraiment bougé qu'au
moment où j'attaquais la jambe droite. Ouverte, dans une position dévoilant toute mon
intimité, je sentis alors la main du Majordome se rapprocher et me fit poser ma jambe
déjà gainée sur le dossier de la banquette, me remontant les fesses par la même
occasion. D'une main il se mit à me doigter et de l'autre il me caressa les testicules
tendus et mon membre masochiste encagé qui me provoquait toujours de la douleur.
- Eh bien eh bien. Notre petite chienne serait elle en chaleur comme je le disais
tantôt… réponds catin …
- Oui Monsieur Walter, répondis-je, alors mon bassin facilitait le travail de mon
vicieux voisin
- Réponds en me disant ce que tu es, chienne …
- Je suis une petite chienne en chaleur au service de Maître, Monsieur le Marquis
D'Evans et la chienne que je suis, aime se faire tripoter la croupe, Monsieur Walter,
gémissais-je alors que mon visage était légèrement crispé
- Bien. Ca te fait mal ?
- Oui Monsieur Walter, mon sexe me fait souffrir par son indiscipline
- Hmm en effet. Firmin, à combien de temps sommes-nous du château ?
- Environ 20 minutes, Walter, répondit le chauffeur du Marquis
- Parfait … vois tu, petite chienne Cyrilia, le meilleur moyen de ne plus penser au
sexe, c'est de penser à autre chose...
Sa phrase laissée en suspens ne laissait rien présager de bon alors que l'attente
arrivait à diminuer l'excitation de mon membre, la faisant devenir plus supportable.
Mais je me doutais que cela ne durerait pas longtemps lorsque j’entraperçus son
sourire fin. Le bruit de fermeture éclair m'indiqua alors le sens de sa phrase. Quand
il disait « Au sexe » il voulait dire le mien et quand il disait « autre chose » il
parlait du sien. Mais, dans l'état où j'étais, je m'en contentais allègrement. Mes
genoux passèrent alors entre la banquette et le siège avant, je me penchais en avant
pour prendre dans ma bouche le vît du majordome. Celui ci notait alors mon
inexpérience en la matière et me donnait alors des conseils ponctués de noms qu'il
savait, sûrement grâce à mon Maître, et ces mots me mettaient dans un état
d'excitation. Après avoir sucé avidement cette belle queue en des vas et viens de plus
en plus rapides tout en lui malaxant ses couilles, Walter jouit dans ma bouche, il me
força a tout garder pendant quelques secondes avant d'avaler. Je restais tout de même
contre son membre, le nettoyant de la dernière goutte qu'il avait pu éjaculer avant de
me relever.
- Ca va mieux ? S'enquit il ironiquement
- Oui Monsieur Walter
- Bien, je savais que ça marcherai, petite putain … Nous allons bientôt arriver …
hahaha on dirait vraiment une pute de bordel. Arrange ça avant d'arriver au Château »
se moquait il subitement.
Je ne comprenais pas tout d'abord avant de penser à rouvrir la boite pour voir mon
rouge à lèvre, totalement étalé sur les bords de ma bouche à cause de la fellation et
de mon inexpérience en la matière. J'effaçais ce que je pouvais avec une lingette
avant de recommencer à dessiner mes lèvres.
Enfin, les portes de la grille apparaissaient alors devant moi et je me rendais compte
d'une chose qui ne m'avait pas frappé jusqu'alors (trop occupée) : il avait neigé ici.
Une fine pellicule blanche recouvrait les bois, donnant aux arbres sans feuillage un
nouvel ornement. Mon cœur se serra alors que nous stoppions devant les armoiries de la
Famille D'Evans. J'avais déjà visité des châteaux dans ma jeunesse, mais jamais je
n'avais pu entrer dans un château encore bien entretenu et vivant. Il y avait une
histoire derrière ces armoiries, le Maître m'en avait parlé, et il y avait un poids
derrière ces grilles, et ce poids je le sentais sur ma poitrine. Me sortant de mes
pensées, je remarquais qu'un gardien regardait à l'intérieur de la voiture. Je
baissais le regard mais j'entendais son ricanement derrière la vitre.
La voiture repartit, s'engageant dans une allée de bois qui me faisait penser aux
forets à cotés de chez moi, formant presque un tunnel de branche, de feuilles et de
neige avant de s'ouvrir sur un grand parc légèrement blanchi lui aussi par les
précipitations. Je restais rêveur un instant jusqu'à ce que la voiture se stoppe
devant le grand escalier du perron menant à l'intérieur de la demeure qui paraissait
immense et majestueuse. Les pierres grises-blanches, typiques des constructions du
XVIIe siècle s'étendaient devant moi alors que Monsieur Walter sortit de la voiture,
disant de m'approcher avant de m'accrocher une laisse à mon collier. Je m'apprêtais à
descendre normalement quand une gifle tomba sur ma joue.
« N'as tu pas dis que tu étais une petite chienne ?
- Oui Monsieur Walter. Pardonnez moi, Monsieur Walter »
Il fallait que je fasse une faute, déconcentrée comme j'étais devant ce spectacle.
Avec difficulté, je descendais du 4x4 à quatre pattes pour que mes mains entrent en
contact avec le sol gelé de la résidence. Je n'eus pas le temps de faire la moindre
réflexion que le déséquilibre me faisait déjà tomber les jambes sur le revêtement
givré. Il ne devait pas faire plus de quelques degrés et le soleil était en train de
se coucher. Je priais pour ne pas rester ici trop longtemps.
« Tu as de la chance que le Maître t'attende, je n'ai pas le temps de te punir pour le
moment. Mais ce n'est que partie remise. Allons petite chienne, dépêche toi » tu vas
enfin entrer dans le Château de Monsieur le Marquis d’Evans …
(à suivre)
La pouliche de Chantilly :
Un claquement retentit alors que mes yeux s'ouvrent doucement, laissant apparaître à
mon esprit une lueur matinale en cette journée d'hiver. La pâle lueur d'un soleil
timide vient de loin, se reflétant sur de nombreux mur avant d'arriver jusqu'à moi.
Heureusement, cette lueur lointaine signifie aussi que le froid de dehors mettra du
temps à arriver jusqu'à moi. Alors que je sors doucement de la couverture de cheval
qui, mine de rien, me tint au chaud pendant la nuit … ou du moins une partie de la
nuit. Bougeant doucement, j'entends les cliquetis du métal, le frottement de la paille
et la tension du cuir. L'attirail que l'on m'avait installé la veille était toujours
en place et cela ne m'avait pas dérangé le moins du monde tellement mon corps
demandait à se reposer. M'étirant comme je le pouvais, je sentais tout de même ma
mâchoire douloureuse. Le mors que j'avais dans la bouche dégoulinait de salive et le
visage encore collant. Je sentais de longues mèches de cheveux, fossilisées par les
tribulations de la nuit dernière mais cela ne me dérangeait pas. Sous la crinière
brune qui m'ornait la tête, totalement fixée par les lanières de cuir rouge de mon
harnais de pouliche, je me sentais bien.
Un deuxième claquement se fit entendre, plus proche. Je rassemblais mes esprits pour
me mettre en position assise. Le haut de mon corps sortait de la couverture, dévoilant
mes épaules sur lesquels tombait ma chevelure. Ca et là, j'avais des marques rougies
bien visibles, reliquat de liens qui, même s'ils n'étaient plus douloureux restaient
sur ma peau comme un tatouage s'enchevêtrant autour de mes bras fins et de mes
poignets. Je souriais sans que cela ne se voit, les lèvres bloquées par mon bâillon,
en voyant ces bracelets peints dans ma chair qui me rappelait ce que j'étais et les
méandres de plaisirs que j'avais traversé. Ce n'était pas un rêve. Je m'assoie, comme
un palier que mon organisme demande avant de véritablement prendre forme humaine. La
couverture, tombant un peu plus, découvre le haut d'un corset qui affine ma
silhouette. Le rouge du tissu est parsemé de taches blanches sur mon dos, dont la
présence semble augmenter à mesure que l'on se rapproche de mon bassin. Je me place
alors sur les genoux, mes mains dans le dos avant de répéter, à moitié dans la brume
du sommeil :
« Je suis l'esclave de Mon Maître Monsieur Le Marquis d'Evans, mon corps et mon âme
lui appartiennent, il peut en disposer comme bon lui semble, je suis son vide couille
» Chose qu'aujourd'hui, je ne pouvais nier
Un troisième claquement se fait entendre alors que je pousse la couverture de mes
mains portant un vernis vermillon. Une couleur qui est la mienne depuis hier. Mon
rouge à lèvres, atténué par la nuit, était de la même couleur mais maintenant il se
rapproche plus de la nuance des quelques zébrures qui ornent ma croupe. Cette
dernière, est troublée par un plug d'une taille assez intéressante à laquelle est
attaché un crin de cheval tressé. La queue de plusieurs dizaines de centimètres
serpente sur le sol et contraste avec l'or du foin par sa robe brune. Seule exception
avec le code de couleur écarlate, mes bas en résilles noirs semblent eux aussi marqués
de taches blanches, restes de la soirée. La personne au fouet est de plus en plus
proche. Je tente de me relever provoquant des bruits sourds, provenant des os de mes
genoux comme toujours le matin, mais aussi deux sons bien distincts, ceux de talon sur
le bois du sol de l'écurie. Je finis de me relever quand les bruits de pas arrivent
enfin devant mon box pour découvrir Monsieur Walter, le Majordome du Château. Il me
lance un regard amusé et supérieur face à la pauvre chose chiffonnée, et tentant de
retrouver un semblant d'équilibre, que je suis. Je détourne le regard, à la fois
intimidée mais surtout dressée à ne jamais regarder une personne dans les yeux.
« Et bien … il va y avoir du travail. Regarde dans quel état tu t'es mise, petite
pouliche. Tourne toi »
Sans discuter … oui le terme est mal choisi … sans protester de quelque façon, je me
tourne, dévoilant ma croupe à la lumière blafarde. Je ne voyais plus le majordome,
mais je sentais son sourire fin sur son visage et son regard sur les taches de la
soirée d'hier.
« Une vraie souillon, ma parole. J'espère que nous pourrons te retirer cette odeur
d'urine aussi. Allez avance que je te mette ta longe »
Me retournant encore une fois, je vois qu'il a ouvert la porte, mes mains se placent
dans mon dos, comme on me l'avait appris, je lève le menton pour faciliter
l'installation de la laisse avant qu'il ne me donne une petite claque pour que je
mette la tête droite…
Flash-back :
Une semaine que j'étais arrivée au château et déjà mon corps réagissait aux ordres
plus vite que mon esprit. Etais-je déjà comme cela à mon arrivée. J'avais cet étrange
sentiment que celle que je suis devenue est aujourd'hui si loin de celui que j'étais
avant, alors que dans ma mémoire c'était comme si c'était hier. … 2 heures de TGV qui
avaient semblé être une éternité. Dans ma tête je ne cessais de repassait des images
de plus en plus perverses de ma transformation, étape par étape. Mon Maître, Le
Marquis D'Evans, avait accepté de me dresser en Sa Noble Demeure. Les instructions
étaient simples :
‘’A la Gare de Lyon Part-Dieu, sortie principale à 16h. Mon Chauffeur t'attendra. Pas
besoin de prendre des affaires’’
Cela m'avait fait étrange de n'avoir sur moi que le strict minimum, moi qui ait
toujours l'habitude de partir avec un pc pour écrire, ou au moins un livre à lire,
cette fois, je n'avais sur moi que mon portable avec un peu de musique dessus,
m'aidant plus à m'isoler du monde qu'à passer le temps. J'avais médité pendant ces
heures de trajets. Sur les paysages qui défilaient devant moi, sur les gens qui
étaient dans le même wagon. Je me disais que si, moi, qui est toute somme banal, me
rendait dans le fameux château de Mon Maître, pour y être dressé, il y avait peut être
quelqu'un d'autre en ce lieu qui pouvait avoir des goûts « déviants » selon la morale
populaire, comme moi. Passant mon temps à les imaginer à ma place, j'alternais entre
rigolade et légère douleur, à cause de ma cage de chasteté, je touchais quelque fois
ma cheville où mes anneaux étaient accrochés pour sentir Sa présence. Enfin arrivé, je
sortais de mon train pour avancer dans la gare gigantesque de Lyon Part-Dieu. Je
cherchais le hall, à moitié perdu dans ces méandres de galeries marchandes et de voies
avant de finalement trouver ma destination.
J'avoue, idiot que je suis, m'être demandé comment je pourrais reconnaître le
chauffeur de mon Maître dans la masse de gens que brasse cette belle et grande ville
de Lyon. Mais la réponse était d'une simplicité tellement évidente qu'elle me surprit
et me tétanisa un instant. Le chauffeur était bien là, devant l'entrée, une pancarte
marquée « eCyriliaMDE ». Je sentis subitement mon visage s’empourprer subitement à
cause d'une double honte. Celle de ne pas avoir pensé à cette façon d'attirer mon
attention et celle de devoir avancer pour me présenter. Mais la honte était une chose
qui ne m'avait pas stoppé par le passé. Je ne sais pas pourquoi mon esprit se rattrapa
à la première chose qui passait et cette chose était mes cours d'électronique du
lycée. Certains éléments fonctionnaient en numérique. J'y trouvais de nombreux
parallèles avec ma situation … J'étais en fonctionnement « Tout ou Rien », « 0 ou 1 »,
le tout était de savoir si j'arriverai à revenir à « 0 » une fois que je serais devenu
« 1 ». Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça, mais mes pas se
déplacèrent tout seuls. Ma volonté était certes vacillante mais en l'absence de la
raison, il ne restait que le désir de soumise qui m'avait mené jusqu'ici. Je me
présentais donc devant le chauffeur. Perdant alors ma personnalité masculine pour
prendre le nom que m'avait donné mon Maître Vénéré : esclaveCyriliaMDE.
J'allais commencer à dire quelque chose quand il sortit, m'entraînant derrière lui,
comme attirée par un aimant, avant de m'amener à un 4x4 luxueux et spacieux. Il
m'ouvrit la porte d’un air sévère et sans un mot, j'entrai et me retrouvais à droite
de celui que je nommerai alors Monsieur Walter. Assise dans la grande voiture, celle-
ci se lança sur les routes de la grande ville sans qu'aucun mot ne soit prononcé tout
d'abord. Tendue, je ne savais pas si je faisais quelque chose de mal ou s'ils
testaient ma patience, mais le silence était pesant. Seuls les ronronnements du moteur
et les crissement du cuir de la sellerie troublaient ce dernier tout en l'accentuant.
Lorsque le véhicule atteint enfin les grands axes, Monsieur Walter, qui semblait ne
pas me quitter des yeux, à l’affût d'une étourderie sûrement, se mit à bouger. Mon
cœur se mit à battre alors que dans ma tête je cherchais ce que j'avais pu faire de
mal. Mais nul reproche, nul remarque. Il me posa un carton sur les genoux sans un mot.
Je l'ouvris alors, pour découvrir ce qui me provoqua un soupir de soulagement. Un
rouge à lèvre, du verni à ongles assorti, des bas noirs et, surtout, un collier en
cuir noir aux armoiries des Evans, sur lequel se trouvait une plaque en Or marquée à
mon matricule. J'attachais directement mon collier. Dans le couvercle du carton, il y
avait un petit miroir que j'utilisais tout de suite pour parer mes lèvres. Usant du
verni, je recouvrais mes ongles de main avant de laisser sécher et m'apprêtait à
fermer le couvercle quand Monsieur Walter se racla la gorge tout en gardant son air
sévère.
Je ne sus tout d'abord pas quoi faire avant de voir ses yeux descendre sur mon corps.
Je compris alors avalant une bonne gorgée de salive. Mes lèvres se pincèrent avant de
commencer à retirer un à un mes habits pour les poser à cotés de moi. A peines
avaient-ils touché le cuir de la banquette arrière qu'ils étaient rangés dans un sac
que me tendait le Majordome. Le haut de mon corps dénudé, je m'attaquais au bas
découvrant alors ma cage dont le pensionnaire éprouvait des envies d'évasion
subitement. Nue, je sentais le regard, non seulement, du passager, mais du chauffeur
qui me fixait avec un regard pervers dans le rétroviseur. Pour peindre mes ongles de
pieds, je devais me pencher en avant ce qui laissait une vision de mes fesses au
spectateur à mes cotés. Je sentis alors une main passant sur ma croupe, ce qui me fit
légèrement me relever et provoqua une réaction immédiate. Enfin j’entendis le son de
la voix glaciale de Walter
- Que fais tu, catin ? As tu terminé ?
- N... non Monsieur
- Alors continue ce que tu fais, ton cul est celui d'une chienne, alors agis comme
telle et ne te déconcentre pas
- B...bien …
Une claque s'abattit alors sur mes fesses provoquant une forte respiration qui me
servait à contenir un gémissement de surprise.
- Bien Monsieur Walter … répète, espèce de chienne en chaleur.
- Bien Monsieur Walter
- Parfait … continue. Et tant que ton verni ne sera pas sec tu resteras dans cette
position
- Oui Monsieur Walter
Je me remettais donc au travail et passait sur mes ongles de doigts de pieds, la
couche de vernis qui, je le notais après application, mettais plusieurs minutes à
sécher. Pendant se tends je sentais la main vicieuse du Majordome de plus en plus
insistante sur mes fesses. Ma respiration était légèrement saccadée à chaque fois
qu'il s'amusait à bouger son doigt en moi, avec pour seule lubrification un peu de ma
propre salive déposée sur son doigt alors qu'il me l'avait présenté sans rien dire (la
raison s'était imposée comme une évidence à mes yeux). Mon pénis … ou plutôt mon
clitoris contenu dans son entrave commençait à se faire douloureux. Et ce n'était pas
près de s'arranger quand Monsieur Walter brisait le silence pour faire des
commentaires sur ma personne.
- Alors petite pute, ça en est où ce verni ? » ou « Un vrai cul de chienne, il n'y a
pas à dire » ou encore « Il est si souple tu as du en voir passer des queues » et
surtout « Tu en mets du temps, à moins que ça ne soit parce que tu aimes ce que je te
fais ».
Pouvais-je nier la dernière remarque alors que je sentais mes testicules tiré en avant
par l'anneau de la cage, lui même tiré par le carcan dont le prisonnier n'avait qu'une
envie, de prendre l'air. Mais enfin le verni avait séché et je reprenais une position
assise, moins enclin aux attouchements douloureusement excitants. Il était temps de
mettre les bas mais là aussi un petit problème se posa à moi. Afin que les bas soient
bien mis, je me devais d'étendre les jambes. Et toute spacieuse qu'était la voiture,
je ne pouvais le faire de face. Je me tournais donc en direction de Monsieur Walter
qui n'en perdait pas une miette. Je tendis ma jambe gauche à mesure que le bas se
déroulait, soyeux, sûrement de très bonne qualité pour finalement le faire arriver à
une quinzaine de centimètres de mon pubis. Mon spectateur n'a vraiment bougé qu'au
moment où j'attaquais la jambe droite. Ouverte, dans une position dévoilant toute mon
intimité, je sentis alors la main du Majordome se rapprocher et me fit poser ma jambe
déjà gainée sur le dossier de la banquette, me remontant les fesses par la même
occasion. D'une main il se mit à me doigter et de l'autre il me caressa les testicules
tendus et mon membre masochiste encagé qui me provoquait toujours de la douleur.
- Eh bien eh bien. Notre petite chienne serait elle en chaleur comme je le disais
tantôt… réponds catin …
- Oui Monsieur Walter, répondis-je, alors mon bassin facilitait le travail de mon
vicieux voisin
- Réponds en me disant ce que tu es, chienne …
- Je suis une petite chienne en chaleur au service de Maître, Monsieur le Marquis
D'Evans et la chienne que je suis, aime se faire tripoter la croupe, Monsieur Walter,
gémissais-je alors que mon visage était légèrement crispé
- Bien. Ca te fait mal ?
- Oui Monsieur Walter, mon sexe me fait souffrir par son indiscipline
- Hmm en effet. Firmin, à combien de temps sommes-nous du château ?
- Environ 20 minutes, Walter, répondit le chauffeur du Marquis
- Parfait … vois tu, petite chienne Cyrilia, le meilleur moyen de ne plus penser au
sexe, c'est de penser à autre chose...
Sa phrase laissée en suspens ne laissait rien présager de bon alors que l'attente
arrivait à diminuer l'excitation de mon membre, la faisant devenir plus supportable.
Mais je me doutais que cela ne durerait pas longtemps lorsque j’entraperçus son
sourire fin. Le bruit de fermeture éclair m'indiqua alors le sens de sa phrase. Quand
il disait « Au sexe » il voulait dire le mien et quand il disait « autre chose » il
parlait du sien. Mais, dans l'état où j'étais, je m'en contentais allègrement. Mes
genoux passèrent alors entre la banquette et le siège avant, je me penchais en avant
pour prendre dans ma bouche le vît du majordome. Celui ci notait alors mon
inexpérience en la matière et me donnait alors des conseils ponctués de noms qu'il
savait, sûrement grâce à mon Maître, et ces mots me mettaient dans un état
d'excitation. Après avoir sucé avidement cette belle queue en des vas et viens de plus
en plus rapides tout en lui malaxant ses couilles, Walter jouit dans ma bouche, il me
força a tout garder pendant quelques secondes avant d'avaler. Je restais tout de même
contre son membre, le nettoyant de la dernière goutte qu'il avait pu éjaculer avant de
me relever.
- Ca va mieux ? S'enquit il ironiquement
- Oui Monsieur Walter
- Bien, je savais que ça marcherai, petite putain … Nous allons bientôt arriver …
hahaha on dirait vraiment une pute de bordel. Arrange ça avant d'arriver au Château »
se moquait il subitement.
Je ne comprenais pas tout d'abord avant de penser à rouvrir la boite pour voir mon
rouge à lèvre, totalement étalé sur les bords de ma bouche à cause de la fellation et
de mon inexpérience en la matière. J'effaçais ce que je pouvais avec une lingette
avant de recommencer à dessiner mes lèvres.
Enfin, les portes de la grille apparaissaient alors devant moi et je me rendais compte
d'une chose qui ne m'avait pas frappé jusqu'alors (trop occupée) : il avait neigé ici.
Une fine pellicule blanche recouvrait les bois, donnant aux arbres sans feuillage un
nouvel ornement. Mon cœur se serra alors que nous stoppions devant les armoiries de la
Famille D'Evans. J'avais déjà visité des châteaux dans ma jeunesse, mais jamais je
n'avais pu entrer dans un château encore bien entretenu et vivant. Il y avait une
histoire derrière ces armoiries, le Maître m'en avait parlé, et il y avait un poids
derrière ces grilles, et ce poids je le sentais sur ma poitrine. Me sortant de mes
pensées, je remarquais qu'un gardien regardait à l'intérieur de la voiture. Je
baissais le regard mais j'entendais son ricanement derrière la vitre.
La voiture repartit, s'engageant dans une allée de bois qui me faisait penser aux
forets à cotés de chez moi, formant presque un tunnel de branche, de feuilles et de
neige avant de s'ouvrir sur un grand parc légèrement blanchi lui aussi par les
précipitations. Je restais rêveur un instant jusqu'à ce que la voiture se stoppe
devant le grand escalier du perron menant à l'intérieur de la demeure qui paraissait
immense et majestueuse. Les pierres grises-blanches, typiques des constructions du
XVIIe siècle s'étendaient devant moi alors que Monsieur Walter sortit de la voiture,
disant de m'approcher avant de m'accrocher une laisse à mon collier. Je m'apprêtais à
descendre normalement quand une gifle tomba sur ma joue.
« N'as tu pas dis que tu étais une petite chienne ?
- Oui Monsieur Walter. Pardonnez moi, Monsieur Walter »
Il fallait que je fasse une faute, déconcentrée comme j'étais devant ce spectacle.
Avec difficulté, je descendais du 4x4 à quatre pattes pour que mes mains entrent en
contact avec le sol gelé de la résidence. Je n'eus pas le temps de faire la moindre
réflexion que le déséquilibre me faisait déjà tomber les jambes sur le revêtement
givré. Il ne devait pas faire plus de quelques degrés et le soleil était en train de
se coucher. Je priais pour ne pas rester ici trop longtemps.
« Tu as de la chance que le Maître t'attende, je n'ai pas le temps de te punir pour le
moment. Mais ce n'est que partie remise. Allons petite chienne, dépêche toi » tu vas
enfin entrer dans le Château de Monsieur le Marquis d’Evans …
(à suivre)
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