La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 171) - histoire érotique

Darla au château -

Darla nue, agenouillée sur un tapis rond à peine plus grand que l’espace lequel elle occupait, attendait humblement. Le silence venait de se faire dans la grande salle du Château. La tête baissée, ses mains offertes sur ses cuisses, son buste droit, ses seins galbés aux tétons durcis, faisaient ressortir toute son humilité à l’assemblée de Notables, attablée devant elle. Il se leva, contourna la longue table où étaient confortablement installés les Invités du Maître des lieux. Il se planta jambes écartées face à elle. Darla sentit des spasmes de plaisirs et son sexe gonfla d’humidité quand elle sentit les deux mains de son Maître. La première se posa délicatement sur son crâne et caressa ses longs cheveux avec tendresse pendant de longues minutes dans le silence le plus absolu. La seconde main n’était pas vide, elle positionna un collier de cuir aux armoiries du Château, autour de son cou. Elle entendit un petit clic de fermeture du dit collier qui scella enfin son appartenance à son Vénéré Maître. Le moment tant attendu était enfin arrivé. Elle entendit simplement ces mots de celui qui serait désormais et pour toujours le Maître de son destin, son Maître tout simplement ! :
- Tu es désormais ce que tu dois être et soit heureuse de me servir, dit-il d'un ton solennel

Elle embrassa les doigts de son Maître en signe de remerciements. Monsieur le Marquis d’Evans venait de parler ….

Quelques temps après Darla rendu à la vie vanille depuis 8 jours se promenait dans cette grande avenue passante du centre-ville, flânait tranquillement devant chaque vitrine, appréciait les belles devantures ... Quand subitement, elle sentit comme une présence derrière elle. Elle allait se retourner quand la voix lui susurra dans l'oreille :

- ''Ne te retourne pas, avance droit devant toi, et tu t'arrêteras au N° 29 de cette avenue. Tu sonneras à l'appartement 42B, 4ème étage. La porte ne sera pas verrouillée, tu entreras, te déshabilleras, et tu te positionneras au milieu de la pièce. Tu mettras le bandeau sur tes yeux, que tu trouveras sur la table et te mettra en levrette cul relevé, tête touchant le sol et attendras le temps qu'il faudra ...

Darla obéissante, compris de suite qui lui parla ainsi et ne se retourna point. Elle se remit à marcher, cherchant le N°29 ... Elle était au N°111, il lui fallait donc remonter toute la grande avenue. Une excitation commençait de l'envahir ... Son Maître venait de lui ordonner un RDV, elle qui n'avait plus de Ses nouvelles depuis plus de 15 jours... Elle ne s'attendait absolument pas à ce commandement subite et en ce lieu ... Mais oui c'était Lui et bien Lui ... Enfin ! ... Elle avait reconnu Sa voix ... Une énorme envie de se retourner, de Le voir de Le toucher... Mais elle savait quIl avait ordonné de ne pas se retourner...

Alors elle avançait, sentant les tétons de ses seins se durcir, sa chatte s'humidifier à chaque pas toujours plus rapide ... N° 87 .... Il fallait encore marcher, elle en était toute excitée ... fébrile ... presque courir par l'excitation ... Une légère sueur commençait à perler sur son front ... marcher, encore et encore sans se retourner ... N° 53 .... Les pas étaient grands, Darla avançait vite désormais, les N° des maisons diminuaient, l'excitation augmentait ... N°35 ...N°33 ... N° 31 ... Et enfin le fameux N°29 ... Essoufflée mais heureuse ... Et c'est avec les mains moites qu'elle entra dans l'immeuble ... personne .... Un coup d'oeil à droite ... Un ascenseur .... Ca y est Darla se trouve devant cette porte de l'appartement 42B ... Elle sonna trop excitée sans même réfléchir, tous ses sens en éveil ... puis comme, il fut exigé elle entra, la porte effectivement n'était pas verrouillée ....

Darla, impressionnée, avança et trouva sans difficulté le bandeau sur un petit guéridon. Personne ! la pièce étant totalement vide et donc c'est un peu rassurée, elle commença à se dévêtir. Elle enleva rapidement son jeans, en vérifiant constamment si quelqu'un pouvait entrer en zieutant la porte ou se retournant pour voir si éventuellement quelqu’un sortirait de derrière l'armoire par exemple. Elle était maintenant en culotte et en soutient gorge. Son excitation ne fit que croître et c'est à moitié tremblante mais toujours aussi humide qu'elle enlèva ses dessous. La voila maintenant entièrement nue, prête à être offerte au premier venu si tel était le désir de son Maître. Elle commença à avoir subitement chaud, ses tétons durcissent d'eux-mêmes encore plus intensément, et son intimité s'humidifiait aussi de plus en plus. Puis après s’être bandée ses yeux, elle se mit en position comme son Maître lui avait exigé et elle attendit ainsi....

Darla n’eut pas à attendre longtemps car des bruits de pas se firent entendre derrière la porte du couloir avant que celle-ci ne s'ouvre et se referme brusquement. Etait-ce son Maître qui l'aurait suivi ?. Elle osait espérer que oui ... Comme elle était positionnée, elle ne voyait que les souliers cirés de l'homme. Il était debout et immobile devant elle et il devait la contempler quelques instants, comme ça, sans la toucher, juste la contempler en regardant cette ravissante jeune femme nue, les yeux bandés, offerte, à la croupe magnifiquement arrondie. C'est vrai qu'elle était ravissante Darla, un visage d'ange et une taille pulpeuse et bien dessinée. L'homme savait qu'elle serait intimidée, mais il savait également qu'elle se retrouverait dans cette posture, offerte. Il avait tout calculé, il savait ce qu'il devait faire pour qu'elle se laisse aller, et qu'elle découvre sa véritable nature. Seul Lui savait de quoi elle était capable, elle n'en savait rien, bien qu'elle se doutait qu'au fond d'elle se cachait quelque chose mais qu'elle n'osait pas se l'avouer. Elle avait besoin de Lui pour ça, pour pouvoir enfin se dévoiler, Lui qui avait réussi à la libérer de ses fantasmes les plus profonds, les plus intimes. Il avait réussi à ce qu’elle soit elle-même et enfin épanouie. Elle a toujours été une fille respectable et respectée, gentille et serviable, une fille modèle qui a toujours su résister à la tentation. Elle a eut certes quelques petits copains, mais cette fois-ci c'était différent, cet homme qui savait la comprendre, elle Lui faisait confiance.

Darla trouva ce moment de silence, sentant sa présence, son regard sur elle, très excitant. Elle avait compris que cet homme c'était Lui et pas un autre, plus qu'un pressentiment, c'était une certitude ... ça ne pouvait qu'être lui... Elle se sentait à la fois soulagée qu'Il vienne enfin la délivrer de son exhibition, mais également tendue d'excitation. Cet homme tournait maintenant autour d'elle, elle sentait son regard silencieux posé sur son corps, elle devinait un regard fixe, dominateur. Elle ne connaissait que si peu de lui. Elle était enfin avec son Maître, moment si attendu, qu’elle sentit sa mouille dégouliner sur ses cuisses. Et comme si cela ne suffisait pas, Il prit ses mains, et lia ses poignets derrière son dos à l'aide d'une cordelette. Elle était maintenant totalement offerte à lui, tel un colis, un objet venu de nul part, Darla se retrouvait désormais toujours en levrette, cul relevé, sexe et anus largement offerts, tête contre le sol et mains attachées, dévoilant ses ravissantes formes, ses lèvres sexuelles si excitantes. Bizarrement cela la détendit, car elle sentait monter encore son excitation en se dévoilant totalement de la sorte. Il la forçait à être comme ça, elle ne pouvait pas faire autrement, mais elle avait tant envie d'être exposée ainsi que ça la soulagea... Seul le plaisir emplissait son corps et son esprit. Darla aurait voulu être prise ainsi, possédée virilement, pénétrée totalement, défoncée ainsi comme une chienne en chaleur, sentir le Vit de son Maître en elle, sentir qu’Il la besogne, qu'Il use et abuse d'elle, qu'Il jouisse de son corps, entendre ses râles d'éjaculations, sentir Sa semence en elle ....

Darla fut interrompu dans ses pensées si excitantes par la voix de son Maître qui rompant le silence, lui dit à l'oreille d'une voix linéaire, une voix sans excès, calme presque douce mais paradoxalement autoritaire :

- " Tu es mienne, je vais faire de toi … Une soumise … une vraie soumise … ma soumise …“

(à suivre ...)