La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 173)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 173)
Histoire écrite par Scarlett - Scarlett au Château (suite de l'épisode N°164)-
Je suis à pas feutrés Marie dans les couloirs du château. Les plafonds à la française sont hauts, les grandes vitres sont brillantes, les couloirs sont très lumineux. Les peintures en tableaux vernis sont énormes, magnifiques, les tentures d’un velours bordeaux dignes des contes des Mille et une nuits. Je suis donc de près Marie, enchantée, émerveillée par la beauté des lieux. Nous arrivons devant une grande double porte massive et sculptée, celle des appartements de Monsieur le Marquis. Elle était magnifique, imposante et dissimulait derrière elle un long couloir, desservant les grandes pièces privées du châtelain, et ayant pour fin une immense baie vitrée donnant sur l’immense parc et la forêt du château. Marie me dit sur un ton des plus laconique :
- « Troisième porte à gauche »
J’avance lentement quelque peu effrayée par ce qui va suivre. Je frappe à la porte et j’entends un :
- « Entre »
J’ouvre la porte et découvre le luxueux bureau de Monsieur le Marquis d’Evans. C’était un lieu merveilleusement beau; une grande pièce aux murs grèges, aux tentures de soie encore plus belles que celles du couloir. Avec des meubles du style néo-classique. J’avais l’impression d’entrer dans un de ces bureaux que l’on voit dans les magasines de décorations. Mon Maître, le Marquis d’Evans se tenait droit, face à une baie vitrée donnant sur les jardins féeriques de la demeure. J’avance puis je me tiens à quelques pas de lui, les yeux fixés au sol. Il se retourne, je relève légèrement la tête, et il me sourit comme pour me souhaiter la bienvenue dans ce lieu, où je découvre ce que je suis vraiment, ce que j’ai envie d’être : une femme soumise. Il me fixe de ses yeux d’un bleu azur. Son regard est très dominateur et m’impressionne beaucoup, ce qui me fait de nouveau baisser la tête. Il s’approche alors et explore des yeux toutes les parcelles de mon corps nu, puis effleure de ses mains mes hanches, ce qui me fait frissonner. Puis doucement il remonte ses doigts sur mon nombril en passant furtivement sur mon sexe émoustillé mais sans le toucher. Il caresse ainsi mon ventre de droite à gauche et tout en douceur et du bout des doigts. Puis sa main se dirige vers ma poitrine, il passe et repasse ses doigts sur chaque sein, effleure les tétons, il les caresse aussi toujours avec douceur puis d’un coup, il me pince violemment un téton, ce qui me vole un cri de douleur.
- « Tais-toi ! » dit-il d’un ton calme d’une voix presque douce.
Il repart contempler le paysage à travers la baie vitrée.
- « Tu peux disposer. J’ai chargé Marie t’initier à quelques pratiques. Ne sois pas capricieuse, j’exige la plus grande obéissance ! »
A l’entrée des appartements de Monsieur le Marquis d’Evans, Marie m’attend. De ses yeux au regard dédaignant, elle me fait signe de la suivre. Nous revenons à la Chambre des nouveaux, et je découvre quatre croix St-André disposées contre le mur circulaire de la pièce. Oui une pièce ronde d’une dizaine de mètres carré de circonférence. Je pense être au cœur du Donjon du château…
- « Je te présente eclaveCyril, esclave6934, esclaveObjet et esclaveAlbert ; ces quatre mâles ont été choisi par Monsieur le Marquis pour servir à ton entrée dans le cheptel. Regarde, comme ils bandent ces chiens en chaleur ! Oui, ils sont en forte érection, après deux semaines dans leur cage de chasteté, ils n’attendent qu’une chose, que tu les prennes en bouche pour jouir, afin de se soulager, il te faut les vidanger ! Allez, à genoux, tu vas les sucer un par un, et fait les bien éjaculer »
J’ai à peine pris le temps d’analyser ce qu’elle m’avait ordonné, pour que Marie appuie sur mes épaules et ainsi je me retrouve nez collé au pénis du premier esclave. Alors je m’applique donc à le sucer. Marie me propose différents instruments, un fouet, un martinet et une cravache, elle me donne l’impression que je devrais en choisir un. Au moment où j’essaie de choisir un instrument, la cuisinière me dit :
- « Je ne te demande pas de choisir petite soumise ! ».
Un premier coup de fouet s’abat sur mon dos, heureusement pour moi, mon cri est étouffé par le sexe que j’ai en bouche. D’ailleurs le premier esclave ne tardera pas à jouir dans ma bouche en de longs jets épais. Les coups ne s’arrêtaient pas et m’excitaient extrêmement. La douleur devenait insoutenable et me faisait perdre la notion du temps. Je ne sais pas, mais je présume que les quatre hommes ont joui très vite, aussi vite que quelques lanières venaient taquiner incessamment le haut de mes fesses.
Je me relève et tente en vain de reprendre mon souffle. Du sperme coule le long de mes lèvres. Je n’ai pas pu tout avaler. Marie, sans se soucier de mon état, m’installe sur ce qui s’avère être un chevalet, débutante j’en ignorais jusque là l’existence. Elle m’explique qu’elle doit me dilater mon petit trou. A l’aide d’un gode faiblement lubrifié, la cuisinière qui ne connaît pas la douceur, me dilate le trou du cul sans me ménager. Je n’avais jamais été sodomisée. Dieu que c’est douloureux ! Ma chatte ruisselait. Bien que les sensations fussent atroces, elles n’étaient pas du tout désagréables car je sentais un liquide couler le long de mes jambes. Après avoir fait des allers retours sadiques avec ce gode, elle décide de le retirer subitement. Sachant que je ne dois pas crier, je fais de mon mieux pour ne pas laisser échapper un son, sans succès; la surprise prend malgré moi le dessus.
Evidemment Marie me rappelle à l’ordre. Sans plus attendre elle introduit un plug dans mon orifice, martyrisée par le gode assez volumineux qu’elle venait de retirer. Le second objet devait être plus volumineux que le premier, c’est avec difficulté qu’elle le fera entrer en entier. Je ne pouvais plus réfléchir, ou me poser des questions sur ma situation. A quoi bon se poser des questions oratoires ? Au fond, je savais que j’aimais cela, que Monsieur le Marquis avait raison, je devais avoir un potentiel à la soumission. Je mouillais encore plus, peut-être que le fait de penser au Marquis, au fait d’obéir à ses ordres que Marie ne faisait que transmettre, faisait accroître l’excitation que mon ventre traduisait en chaleur.
Marie étant comme moi une femme, devait sans doute savoir que je désirais me faire prendre pour satisfaire le désir qui, n’a jamais été aussi grand. Je n’étais pas au bout de mes surprises. Je souris en voyant deux grands messieurs, 2 blacks aux carrures impressionnantes, totalement nu et en forte érection également, entrer dans la « Chambre des nouveaux ». Ils portaient juste pour chacun un collier de cuir aux armoiries des Evans. Le premier s’approche et sans mot dire, force l’entrée de mes lèvres de son sexe énorme en érection. L’autre me tient par les hanches, un léger sentiment de joie m’envahit quand la sadique cuisinière intervient :
- « Tu n’auras pas droit à la pénétration vaginale ma belle, ton vagin appartient à Monsieur le Marquis et il n’a pas permis qu’on y touche. Pour ce faire baiser ta chatte, tu dois d’abord faire partie des soumises du cheptel personnel de Monsieur le Marquis d’Evans, c’est son petit harem ! »
Je n’assimilais pas tellement ce qu’elle disait, je déduis seulement que je n’aurais pas droit à mon orgasme tant voulu. L’autre black retire le plug et me pénètre sauvagement, bestialement le cul. Tous deux s’amusent à inverser leurs emplacements; je ne sais plus qui j’ai dans la bouche et qui va et vient d’un rythme endiablé entre mes reins. J’essaie juste de m’appliquer à la tâche en espérant pouvoir ignorer ces sensations intenses et profondes. Ils mettent plus de temps que les quatre premiers mais finissent par jouir chacun dans un trou. Je sens leur sperme chaud s’écouler dans mes entrailles et dans ma bouche. Exténuée je commençais à avoir envie que cela s’arrête. Mais au moment où ils quittent la pièce, Marie détache les quatre esclaves qui ont bien profité du spectacle, et elle enfile un gode-ceinture. Elle m’ordonne de bien me cambrer puis me besogne vivement tout en tirant sur mes tétons. Les mâles, eux, me caressaient doucement tout le corps. Le plaisir des caresses vicieuses des 4 soumis se mêlait à la douleur que provoquait le gode et le désir insatisfait que mon sexe transformait en une multitude de sensations fortes.
Je ne sais plus si la pénétration de Marie a été longue, si j‘ai crié ou si des larmes ont coulé. Certainement. Mon seul souci à présent est l’obéissance à Monsieur le Marquis. Je devais me faire une place au château et peut être même faire partie des soumises du cheptel personnel du Maître …
(à suivre …)
Je suis à pas feutrés Marie dans les couloirs du château. Les plafonds à la française sont hauts, les grandes vitres sont brillantes, les couloirs sont très lumineux. Les peintures en tableaux vernis sont énormes, magnifiques, les tentures d’un velours bordeaux dignes des contes des Mille et une nuits. Je suis donc de près Marie, enchantée, émerveillée par la beauté des lieux. Nous arrivons devant une grande double porte massive et sculptée, celle des appartements de Monsieur le Marquis. Elle était magnifique, imposante et dissimulait derrière elle un long couloir, desservant les grandes pièces privées du châtelain, et ayant pour fin une immense baie vitrée donnant sur l’immense parc et la forêt du château. Marie me dit sur un ton des plus laconique :
- « Troisième porte à gauche »
J’avance lentement quelque peu effrayée par ce qui va suivre. Je frappe à la porte et j’entends un :
- « Entre »
J’ouvre la porte et découvre le luxueux bureau de Monsieur le Marquis d’Evans. C’était un lieu merveilleusement beau; une grande pièce aux murs grèges, aux tentures de soie encore plus belles que celles du couloir. Avec des meubles du style néo-classique. J’avais l’impression d’entrer dans un de ces bureaux que l’on voit dans les magasines de décorations. Mon Maître, le Marquis d’Evans se tenait droit, face à une baie vitrée donnant sur les jardins féeriques de la demeure. J’avance puis je me tiens à quelques pas de lui, les yeux fixés au sol. Il se retourne, je relève légèrement la tête, et il me sourit comme pour me souhaiter la bienvenue dans ce lieu, où je découvre ce que je suis vraiment, ce que j’ai envie d’être : une femme soumise. Il me fixe de ses yeux d’un bleu azur. Son regard est très dominateur et m’impressionne beaucoup, ce qui me fait de nouveau baisser la tête. Il s’approche alors et explore des yeux toutes les parcelles de mon corps nu, puis effleure de ses mains mes hanches, ce qui me fait frissonner. Puis doucement il remonte ses doigts sur mon nombril en passant furtivement sur mon sexe émoustillé mais sans le toucher. Il caresse ainsi mon ventre de droite à gauche et tout en douceur et du bout des doigts. Puis sa main se dirige vers ma poitrine, il passe et repasse ses doigts sur chaque sein, effleure les tétons, il les caresse aussi toujours avec douceur puis d’un coup, il me pince violemment un téton, ce qui me vole un cri de douleur.
- « Tais-toi ! » dit-il d’un ton calme d’une voix presque douce.
Il repart contempler le paysage à travers la baie vitrée.
- « Tu peux disposer. J’ai chargé Marie t’initier à quelques pratiques. Ne sois pas capricieuse, j’exige la plus grande obéissance ! »
A l’entrée des appartements de Monsieur le Marquis d’Evans, Marie m’attend. De ses yeux au regard dédaignant, elle me fait signe de la suivre. Nous revenons à la Chambre des nouveaux, et je découvre quatre croix St-André disposées contre le mur circulaire de la pièce. Oui une pièce ronde d’une dizaine de mètres carré de circonférence. Je pense être au cœur du Donjon du château…
- « Je te présente eclaveCyril, esclave6934, esclaveObjet et esclaveAlbert ; ces quatre mâles ont été choisi par Monsieur le Marquis pour servir à ton entrée dans le cheptel. Regarde, comme ils bandent ces chiens en chaleur ! Oui, ils sont en forte érection, après deux semaines dans leur cage de chasteté, ils n’attendent qu’une chose, que tu les prennes en bouche pour jouir, afin de se soulager, il te faut les vidanger ! Allez, à genoux, tu vas les sucer un par un, et fait les bien éjaculer »
J’ai à peine pris le temps d’analyser ce qu’elle m’avait ordonné, pour que Marie appuie sur mes épaules et ainsi je me retrouve nez collé au pénis du premier esclave. Alors je m’applique donc à le sucer. Marie me propose différents instruments, un fouet, un martinet et une cravache, elle me donne l’impression que je devrais en choisir un. Au moment où j’essaie de choisir un instrument, la cuisinière me dit :
- « Je ne te demande pas de choisir petite soumise ! ».
Un premier coup de fouet s’abat sur mon dos, heureusement pour moi, mon cri est étouffé par le sexe que j’ai en bouche. D’ailleurs le premier esclave ne tardera pas à jouir dans ma bouche en de longs jets épais. Les coups ne s’arrêtaient pas et m’excitaient extrêmement. La douleur devenait insoutenable et me faisait perdre la notion du temps. Je ne sais pas, mais je présume que les quatre hommes ont joui très vite, aussi vite que quelques lanières venaient taquiner incessamment le haut de mes fesses.
Je me relève et tente en vain de reprendre mon souffle. Du sperme coule le long de mes lèvres. Je n’ai pas pu tout avaler. Marie, sans se soucier de mon état, m’installe sur ce qui s’avère être un chevalet, débutante j’en ignorais jusque là l’existence. Elle m’explique qu’elle doit me dilater mon petit trou. A l’aide d’un gode faiblement lubrifié, la cuisinière qui ne connaît pas la douceur, me dilate le trou du cul sans me ménager. Je n’avais jamais été sodomisée. Dieu que c’est douloureux ! Ma chatte ruisselait. Bien que les sensations fussent atroces, elles n’étaient pas du tout désagréables car je sentais un liquide couler le long de mes jambes. Après avoir fait des allers retours sadiques avec ce gode, elle décide de le retirer subitement. Sachant que je ne dois pas crier, je fais de mon mieux pour ne pas laisser échapper un son, sans succès; la surprise prend malgré moi le dessus.
Evidemment Marie me rappelle à l’ordre. Sans plus attendre elle introduit un plug dans mon orifice, martyrisée par le gode assez volumineux qu’elle venait de retirer. Le second objet devait être plus volumineux que le premier, c’est avec difficulté qu’elle le fera entrer en entier. Je ne pouvais plus réfléchir, ou me poser des questions sur ma situation. A quoi bon se poser des questions oratoires ? Au fond, je savais que j’aimais cela, que Monsieur le Marquis avait raison, je devais avoir un potentiel à la soumission. Je mouillais encore plus, peut-être que le fait de penser au Marquis, au fait d’obéir à ses ordres que Marie ne faisait que transmettre, faisait accroître l’excitation que mon ventre traduisait en chaleur.
Marie étant comme moi une femme, devait sans doute savoir que je désirais me faire prendre pour satisfaire le désir qui, n’a jamais été aussi grand. Je n’étais pas au bout de mes surprises. Je souris en voyant deux grands messieurs, 2 blacks aux carrures impressionnantes, totalement nu et en forte érection également, entrer dans la « Chambre des nouveaux ». Ils portaient juste pour chacun un collier de cuir aux armoiries des Evans. Le premier s’approche et sans mot dire, force l’entrée de mes lèvres de son sexe énorme en érection. L’autre me tient par les hanches, un léger sentiment de joie m’envahit quand la sadique cuisinière intervient :
- « Tu n’auras pas droit à la pénétration vaginale ma belle, ton vagin appartient à Monsieur le Marquis et il n’a pas permis qu’on y touche. Pour ce faire baiser ta chatte, tu dois d’abord faire partie des soumises du cheptel personnel de Monsieur le Marquis d’Evans, c’est son petit harem ! »
Je n’assimilais pas tellement ce qu’elle disait, je déduis seulement que je n’aurais pas droit à mon orgasme tant voulu. L’autre black retire le plug et me pénètre sauvagement, bestialement le cul. Tous deux s’amusent à inverser leurs emplacements; je ne sais plus qui j’ai dans la bouche et qui va et vient d’un rythme endiablé entre mes reins. J’essaie juste de m’appliquer à la tâche en espérant pouvoir ignorer ces sensations intenses et profondes. Ils mettent plus de temps que les quatre premiers mais finissent par jouir chacun dans un trou. Je sens leur sperme chaud s’écouler dans mes entrailles et dans ma bouche. Exténuée je commençais à avoir envie que cela s’arrête. Mais au moment où ils quittent la pièce, Marie détache les quatre esclaves qui ont bien profité du spectacle, et elle enfile un gode-ceinture. Elle m’ordonne de bien me cambrer puis me besogne vivement tout en tirant sur mes tétons. Les mâles, eux, me caressaient doucement tout le corps. Le plaisir des caresses vicieuses des 4 soumis se mêlait à la douleur que provoquait le gode et le désir insatisfait que mon sexe transformait en une multitude de sensations fortes.
Je ne sais plus si la pénétration de Marie a été longue, si j‘ai crié ou si des larmes ont coulé. Certainement. Mon seul souci à présent est l’obéissance à Monsieur le Marquis. Je devais me faire une place au château et peut être même faire partie des soumises du cheptel personnel du Maître …
(à suivre …)
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