La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 21)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 341 383 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 8 219 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 21)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
- Arrêtez-vous immédiatement !
L'ordre tomba, nous pétrifiant sur place . La voix était forte, dure, puissante !
Plusieurs convives sursautèrent, surpris.
Nous nous regardâmes, tremblantes et apeurées par la colère que l'on sentait.
Qu'avions-nous oublié ? Qu'avions-nous fait de mal ?La patience n'était apparemment pas une qualité que le Marquis possédait, l'avait-on fait trop attendre ? Son repas était-il froid ?
- qui vous a autorisé à quitter la salle, femelles ?
Je tournais la tête vers Lalielou et y vis les mêmes questions.
Mon regard croisa celui de mon Maître, il était contrarié . Contre moi ? Qu'avais-je bien pût faire pour mériter ce courroux ?
- approchez vous ici !
je ne pût m'empêcher de regarder vers la porte de la cuisine et m'approchai à pas comptés vers le Marquis . J'arrivais à sa hauteur la première . Il me saisit la main et m'attira à lui.
- Plus près ! Je sentais son parfum, épicé, boisé, puissant . Il me dit dans un souffle :
- présente-moi tes fesses !
Je me retournais, il passa une main légère à l'endroit où le sénateur m'avait claqué quelques minutes plus tôt et où devait s'être imprimée une marque rouge sur ma peau blanche. Je grelottais, mais pas de froid, je serrais les dents de peur qu'elles ne se mettent à claquer.
- Dites-moi mon cher Tarl, à ce que je vois elle marque facilement cette femelle !
- oui Marquis, et c'est un plaisir que de lui donner la fessée .
Comment mon Maître pouvait-il s'exprimer ainsi, parlant de moi comme cela devant de parfaits inconnus ? Je n'en croyais pas mes oreilles .
- je n'en doute pas à voir la belle couleur qu'a pris cette fesse, mais il y a un déséquilibre hélas et j'aime par dessus tout l'harmonie . Puis-je me permettre de remédier à cela ?
- Faîtes Marquis, faîtes, au contraire, elle est à vous pour une semaine, n'est-il pas ?
Non ce n’était pas possible, ce n'était pas mon Maître, que faisait-il ? A quel jeu jouait il ? Je ne comprenais plus, je me sentais perdue, offerte à un homme que je ne connaissais qu'au travers de ses écrits sur internet .
- je vous en remercie cher Tarl .
Il leva les yeux sur moi, ils étaient couleur acier, couleur envie, couleur plaisirs annoncés .
- Mets toi en position que je puisse équilibrer ça !
Je me retournais lui présentant mes fesses que rien ne venait cacher . Il tira sur la boucle du tablier qui glissa souplement sur le tapis, dévoilant mon pubis glabre . Par pudeur j'y posais les mains pour le cacher.
- Mauvais réflexe me susurra le Marquis jubilatoire, pose tes mains croisées sur ta nuque, écarte les coudes et cambre toi mieux que ça ... Tout de suite !
Je m'empressais de faire ce qu'il me demandait et levant les mains, les passais derrière ma tête sur ma nuque . Ce simple geste me fit cambrer les reins, projetant mes seins aux tétons saillant vers l'avant . J'écartais les coudes creusant mon dos pour me cambrer au maximum .
Le marquis posa une main sur ma chute de reins :
- on pourrait presque y poser un verre , s’exclama t'il en riant, regardez !
Il me fis pivoter, me plaçant de dos vers la table pour que chaque invité puisse se rendre compte par lui même de la cambrure de mes reins . Plusieurs sifflèrent en appréciant la vue .
- En effet marquis, mais vous avez raison, équilibrez donc cette disparité dans la teinte de ses globes, quel dommage !
Le Marquis me fit me retourner et se levant pour mieux se placer il me fit me pencher en appuyant fermement sur mon dos. Me pliant en avant je sentis mon sexe s'ouvrir par la position plus qu'... Le Marquis promena sa main un instant sur ma peau, faisant le tour de chaque fesse et remontant le long du sillon apprécia leur douceur . Je frissonnais de plus belle, rougissante de la vision que j’offrais, ainsi exposée . Je sentie la main se lever et s'abattre, rude, en une claque magistrale . Je sursautais tant elle fut forte, appliquée avec puissance . Je la ressentie au plus profond de moi, éveillant un désir secret.
Les fessées, je connais, mon Maître aime à m'en donner régulièrement pour notre plaisir commun . Cette fois pourtant je la reçue, humiliante. La main était celle d'un autre que mon Maître . La situation était pour moi nouvelle, incongrue et il y avait tous ces yeux à épier mes réactions. Ceux qui pensaient que je crierais furent déçus car je n'émis pas le moindre son, pas même un gémissement . Je me devais de faire en sorte que mon maître soit fier de moi !
Satisfait, le Marquis me releva et me laissa le dos à la table . Ainsi tous purent voir la marque de sa main apparaître petit à petit sur ma fesse . Cela ne tarda pas il y passa sa main . Elle était chaude, ferme, caressante, presque tendre, comme seule une main d'homme peut l'être. Dans ce simple geste je perçu toute la force et la puissance contenue, une certaine impatience aussi dans un léger tremblement. Mon sexe coulait et je ne parvins pas à taire un gémissement, je me tendis vers cette caresse qui apaisait un peu le feu que je ressentais . Il le sentit et me dit dans un souffle :
- patience Marie, patience, tu en auras plus tout à l'heure, et,, se retournant vers la tablée :- on dirait bien qu'elle apprécie ça !
- oui je confirme, répondit mon Maître, il n'est pas rare qu'elle jouisse sous une fessée bien administrée !
J'entendis le sourire de mon maître dans sa réponse .
- toi ! s’exclama le marquis en se tournant vers Lalielou qui n'avait pas bougé durant tout ce temps, tu finiras le service seule, va aux cuisines et apporte-nous la suite !
Elle fut si surprise qu'elle partit presque en courant vers la porte qu'elle franchit sans se retourner. Marie, la cuisinière, attendait impatiente ,.
- alors c'est maintenant que tu arrives ! Veut-tu que je serve un rôti trop cuit à notre cher Marquis ! Ne sais tu donc pas qu'il l'apprécie bleue gourgandine ! et où est l'autre ?
- elle est punie près du Marquis !
- De "Monsieur Le Marquis", pour toi, lui cria t'elle en la giflant à toute volée,- Prends ce plat et dépêche toi de retourner là bas ! Et fais attention !
- oui madame murmura Lalielou en prenant le grand plat . Il était lourd, chargé qu'il était d'un bon morceau de viande que la cuisinière avait découpé et accompagné de légumes variés .
Elle pénétra dans la salle à manger et se dirigea vers le Marquis impatient, qui se servit .
- j'ai failli attendre femelle ! décidément il n'y a plus d'esclave de qualité et je n'ai qu'une semaine pour accomplir un miracle !
- Faîtes ce qui vous semblera nécessaire Marquis, vous avez carte blanche !
Lalielou faillit en lâcher le plat quand elle entendit son Maître dire cela ! Mais que se passait-il ? Qu'avait prévu nos Maitres avec Monsieur le Marquis ? Avaient-ils organisé une semaine de dressage pour nous deux sous prétexte que nous avions émis comme fantasme de pouvoir rencontrer Sir Evans ? Le rencontrer certes, c’était notre souhait le plus cher, mais pas lui être livrées en pâture pour un dressage qui plus est . Je frémis en le comprenant .
Naïves que nous avions été de croire que que nous passerions une semaine de vacances dans cette luxueuse demeure à profiter d'avantages qui nous étaient inconnus et qui le resteront encore vu la tournure que prenaient les événements .
Je restais ainsi, exagérément cambrée, tout le reste du repas. Parfois le Marquis me donnait une claque quand la douleur de mon dos me faisait me redresser légèrement . Il s'en apercevait et m’obligeait à reprendre la bonne position . J'avais le bas du dos qui me brulait tant la position trop forte et trop longtemps tenue me faisait mal .
Lalielou continua le service seule . Allant et venant de l'un à l'autre des convives qui se faisaient un malin plaisir à la demander lorsqu'elle était de l'autre côté de la table, l'obligeant à courir avec ses escarpins et lui donnant qui une claque sur les fesses parce qu'elle n'était pas arrivée assez vite, qui lui pinçant un mamelon pour le plaisir, qui l'obligeant à ramasser un quignon de pain tombé sur le tapis en lui interdisant de plier les genoux, exposant ainsi aux regards de tous, son sexe luisant de mouille, gonflé comme un fruit juteux prêt à être cueilli.
Elle continua d'aller et venir tout le long de ce repas . Les conversations allaient bon train, mais je n'en suivi pas le fil . Mes bras semblaient peser des tonnes et mon dos cambré me tenait dans une douleur constante . J'avais beaucoup de mal à tenir la position sur la quelle je devais me concentrer pour ne pas la perdre .
Et puis le Marquis demanda à mon Maître et à celui de Lailelou s'ils avaient pensé apporter des laisses pour leur chiennes. Choses qu'ils n'avaient pas avec eux bien sûr.
- Qu'à cela ne tienne. Walter ! Apportez nous sur le champ deux laisses pour ces chiennes !
- Bien Monsieur le Marquis, tout de suite !
- à genoux vous deux en attendant ! Toi dit-il a Lalielou, viens te placer à côté d'elle en me désignant.
Elle se plaça près de moi.
Brulures intenses dans mes épaules quand je baissais les bras, engourdis par la trop longue attente, soulagement de mon dos quand je me mis à quatre pattes . Bien que la position fût humiliante, je l’appréciai tant elle soulagea mon dos.
Walter revint avec les laisses et nos Maîtres les fixèrent à nos colliers .
- Bien allons prendre un digestif et fumer un cigare au petit salon pour finir cette agréable soirée , proposa le Marquis satisfait, il se dirigea vers une porte encadrée par deux magnifiques consoles et les convives lui emboitèrent le pas .
- Veuillez je vous prie, cher Marquis, prendre les laisses de ces deux femelles dont vous aurez la charge pour la semaine, qu'elles sachent tout de suite qui sera leur Maître pendant ce séjour qu'elles ont tant souhaité !
C'était mon Maitre qui venait ainsi de me livrer au Marquis, lui tendant ma laisse .
Je vis naître sur le visage de Sir Evans, un sourire des plus inquiétants, dans ses yeux s'alluma une lueur féline.
- merci Cher Tarl, dit-il en prenant possession de ma laisse sur la quelle il donna un petit coup sec comme pour me faire comprendre tout de suite que je lui appartenais pour les 7 jours à venir . Il reçu également celle de Lalielou . Les prenant d'une même main il nous obligea à le suivre à quatre pattes, pénétra dans le salon et se dirigea vers un fauteuil confortable . Il invita ses convives à faire de même .
Je sentais ma croupe ainsi offerte aux regards, onduler sous la marche animale imposée . Le Marquis s'installa confortablement au creux de son fauteuil . Il tira sur la laisse de Lailelou pour la faire venir devant lui.
- ne bouge plus chienne, je veux ton dos pour soulager mes jambes qu'il posa sans ménagement sur son dos. Il dût appuyer fort car je vis Lalielou ployait sous le poids,
- plus haut ! lui ordonna t'il en levant la laisse . Il jeta la mienne sur mon dos, je sursautais, métal froid sur ma peau brulante.
-toi viens de l'autre côté, il me manque une table basse tu la remplaceras et tâche de ne rien renverser ou tu passeras un mauvais quart d'heure . Walter veuillez nous servir et apportez-moi mon nécessaire à fumer .
Ce qui fut fait avec diligence . Walter plaça sur mon dos un petit plateau sur le quel le Marquis déposa son verre afin d'avoir les mains libres pour allumer son cigare .
- Ne trouvez-vous pas qu'il manque quelque chose à ses chiennes ? Demanda t-il , ne croyez vous pas quelles seraient magnifiques avec des queues !
J'entendis quelques personnes s’esclaffer et apprécier la chose .
- Walter ! les queues , deux, s'il vous plait .
Walter sorti mais ne fût pas long à revenir avec deux boites entre les mains . Le marquis lui fit signe de les remettre à nos Maîtres . Ils les ouvrir et ce qu'ils découvrirent les firent sourire tous les deux ; Ils en sortir chacun un plug emmanché d'une queue de fourrure. Pas de crin, non, d'une vraie fourrure longue d'une soixantaine de centimètres. Le plug en lui même était de bonne taille . Mon Maître se leva et vint à mes côtés .
- Ne bouge pas ou tu renversera le verre du Marquis . "Non mon Maître ! pas comme ça , pas là , pas devant tous ces gens ! je hurlais ma peur !" Mais rien ne sorti de mes lèvres ? Je senti l'objet se présenter sur mon anus, froid, dur, violeur. Mon Mâitre poussa lentement mais mon petit trou mal préparait refusait, malgré mes efforts, de s'ouvrir . Je ne pouvais pas pousser de peur de faire tomber le plateau .
J'entendis Lalielou gémir et le marquis s’exclamer :
- n'est-elle pas mieux ainsi avec cette queue lui sortant des fesses ! fit-il remarquer au Maître de Lalielou, une chienne parfaite ! et toi pourquoi refuses tu la queue ? demanda t'il en se tournant vers moi .
- elle est trop sèche et fermée expliqua mon Maître,- voila qui est contrariant, Tarl, puis-je me permettre ?-- elle est votre, Cher Marquis !
Mais que disait mon Maître ? Non je ne suis pas sienne, je suis à vous mon Maître !
Que faites-vous ?
Les pensées se bousculaient dans mon esprit enfiévré, que signifiait tout cela, m'abandonnait-il vraiment au Marquis pour la semaine ? Jusqu'où le Marquis pouvait-il aller ? Mon Maître lui avait dit " elle est votre" .Je sentis que l'on ôtait le plateau de sur mon dos, des mouvements et soudain le plug poussé avec force s'introduisit en une seule fois, ecartant mon sphinctér resseré par l'angoisse mais que la force du marquis n'u pas de peine à obliger de s'ouvrir. La brutalité de la pénétration me pris par surprise et je ne pus m'empêcher de crier er de m'avancer tantant de me dérober à la douleur .
- hummm je vous la rendrais plus coopérante et ouverte Tarl !
On replaça le plateau sur mon dos .Je ressentais les pulsations de mon coeur battre autour du plug .
La fourrure frôlait mes cuisses, mon anus me brulait mais le plug une fois à sa place n'était pas désagréable, il se réchauffait petit à petit et je fini par me sentir "comble" de sa présence. Nous devions donner une vision excitante aux invités avec nos croupes ainsi affublées d'une queue pour le moins originale . Quelqu'un vint voir de plus près, toucha la fourrure tira légèrement dessus .
- elle est vraiment douce cette fourrure Marquis je vous demanderais où vous vous les êtes procurer pour que j'en orne ma chienne, elle fait beaucoup plus réelle que les crins, elles font vraiment chiennes, et ces mamelles qui pendent, on s'attend à voir surgir des chiots pour venir les téter . Quelle humiliation, être ainsi comparer à un animal ! Mais n'en avais-je pas la position ? l'obéissance ? Je ne m'étais même pas rebellé et au contraire laissée faire, obéisante oui, je l'étais comme une chienne fidèle à son Maître qui pour une semaine me donnait à éduquer au Marquis .
Ils continuèrent ainsi à deviser de tout et de rien, Lalieou servant de repose pieds et moi de table basse .
Le Marquis parlant de ses penchants pervers avec ses invités disant :
-les vertus sont des vices, la saine philosophie veut que l'on cultive ses penchants les plus pervers car c'est dans le désordre que réside le bonheur La véritable sagesse ne consiste pas à réprimer ses vices parce que les vices sont le seul bonheur de notre vie, ce serait devenir son propre bourreau que de vouloir les réprimer !
- en effet Cher Marquis ! voila une philosophie qui me plaît répondit en souriant le Maître de Lalielou, je l'approuve entièrement et nous en privez pas sur ma chienne, soyez pervers ! Ah ah ah !, tous rire .
- Vous êtes d'une agréable compagnie cher Marquis, mais je dois être sur Paris demain car j'y ai un rendez-vous, auquel je ne peux hélas pas déroger ! je suis contraint de vous quitter maintenant !
- je vais en faire de même, dit mon Maître en se levant .
"Non mon Maître ne partez-pas, pas déjà, ne me laisser pas là, ce n'est pas comme ça que je voulais venir au château, pas offerte au Marquis" .
Je voulu voir mon Maître qui partait sans un regard, sans un geste vers moi, le mouvement un peu brusque que je fis pour me retourner fit glisser le plateau de mon dos et dans un grand fracas, tomba au sol, entraînant avec lui et les brisant en milliers de morceaux, le verre et la carafe de cristal . Je gémis de la catastrophe, Lalielou sursauta, le Marquis se leva d'un bon furieux, mon Maître calme dit à son hôte :
- il vous faudra la punir sévèrement pour une telle faute Marquis ! Je vous laisse , vous n’aurez pas trop de 7 jours pour essayer d'en faire une esclave digne de ce nom !
-oui Tarl, faîtes moi confiance, je vous la rendrez docile promit-il en raccompagnant mon Maître et celui de Lalaielou jusque sur le perron. Ils ne nous avaient pas regardées, pas embrassées, rien dit . Ils nous livraient aux fantaisies du Marquis.
Je regardais les morceaux de la carafe brisée, ils semblaient, petits diamants jonchant l'épais tapis, annonciateurs de la punition à venir qu'allait-il advenir de moi ?
Le Marquis revenait sur ses pas. Décidé, il était visiblement tout entier imprégné d'une colère qu'il avait de la peine à contenir .
Pourtant je le trouvais magnifique dans sa colère, dans ses pas claquants le sol, ses bras, que je devinais musculeux sous le costume taillé sur mesure. Il avançait tel un félin, vers la proie qu'il savait pouvoir prendre sans aucune peine .
Nos regards se croisèrent quand il s'arrêta net sur le seuil de la porte, contemplant le désastre . Je plongeais à genoux la tête au sol attendant la sentence annoncée ....
(A suivre ...)
- Arrêtez-vous immédiatement !
L'ordre tomba, nous pétrifiant sur place . La voix était forte, dure, puissante !
Plusieurs convives sursautèrent, surpris.
Nous nous regardâmes, tremblantes et apeurées par la colère que l'on sentait.
Qu'avions-nous oublié ? Qu'avions-nous fait de mal ?La patience n'était apparemment pas une qualité que le Marquis possédait, l'avait-on fait trop attendre ? Son repas était-il froid ?
- qui vous a autorisé à quitter la salle, femelles ?
Je tournais la tête vers Lalielou et y vis les mêmes questions.
Mon regard croisa celui de mon Maître, il était contrarié . Contre moi ? Qu'avais-je bien pût faire pour mériter ce courroux ?
- approchez vous ici !
je ne pût m'empêcher de regarder vers la porte de la cuisine et m'approchai à pas comptés vers le Marquis . J'arrivais à sa hauteur la première . Il me saisit la main et m'attira à lui.
- Plus près ! Je sentais son parfum, épicé, boisé, puissant . Il me dit dans un souffle :
- présente-moi tes fesses !
Je me retournais, il passa une main légère à l'endroit où le sénateur m'avait claqué quelques minutes plus tôt et où devait s'être imprimée une marque rouge sur ma peau blanche. Je grelottais, mais pas de froid, je serrais les dents de peur qu'elles ne se mettent à claquer.
- Dites-moi mon cher Tarl, à ce que je vois elle marque facilement cette femelle !
- oui Marquis, et c'est un plaisir que de lui donner la fessée .
Comment mon Maître pouvait-il s'exprimer ainsi, parlant de moi comme cela devant de parfaits inconnus ? Je n'en croyais pas mes oreilles .
- je n'en doute pas à voir la belle couleur qu'a pris cette fesse, mais il y a un déséquilibre hélas et j'aime par dessus tout l'harmonie . Puis-je me permettre de remédier à cela ?
- Faîtes Marquis, faîtes, au contraire, elle est à vous pour une semaine, n'est-il pas ?
Non ce n’était pas possible, ce n'était pas mon Maître, que faisait-il ? A quel jeu jouait il ? Je ne comprenais plus, je me sentais perdue, offerte à un homme que je ne connaissais qu'au travers de ses écrits sur internet .
- je vous en remercie cher Tarl .
Il leva les yeux sur moi, ils étaient couleur acier, couleur envie, couleur plaisirs annoncés .
- Mets toi en position que je puisse équilibrer ça !
Je me retournais lui présentant mes fesses que rien ne venait cacher . Il tira sur la boucle du tablier qui glissa souplement sur le tapis, dévoilant mon pubis glabre . Par pudeur j'y posais les mains pour le cacher.
- Mauvais réflexe me susurra le Marquis jubilatoire, pose tes mains croisées sur ta nuque, écarte les coudes et cambre toi mieux que ça ... Tout de suite !
Je m'empressais de faire ce qu'il me demandait et levant les mains, les passais derrière ma tête sur ma nuque . Ce simple geste me fit cambrer les reins, projetant mes seins aux tétons saillant vers l'avant . J'écartais les coudes creusant mon dos pour me cambrer au maximum .
Le marquis posa une main sur ma chute de reins :
- on pourrait presque y poser un verre , s’exclama t'il en riant, regardez !
Il me fis pivoter, me plaçant de dos vers la table pour que chaque invité puisse se rendre compte par lui même de la cambrure de mes reins . Plusieurs sifflèrent en appréciant la vue .
- En effet marquis, mais vous avez raison, équilibrez donc cette disparité dans la teinte de ses globes, quel dommage !
Le Marquis me fit me retourner et se levant pour mieux se placer il me fit me pencher en appuyant fermement sur mon dos. Me pliant en avant je sentis mon sexe s'ouvrir par la position plus qu'... Le Marquis promena sa main un instant sur ma peau, faisant le tour de chaque fesse et remontant le long du sillon apprécia leur douceur . Je frissonnais de plus belle, rougissante de la vision que j’offrais, ainsi exposée . Je sentie la main se lever et s'abattre, rude, en une claque magistrale . Je sursautais tant elle fut forte, appliquée avec puissance . Je la ressentie au plus profond de moi, éveillant un désir secret.
Les fessées, je connais, mon Maître aime à m'en donner régulièrement pour notre plaisir commun . Cette fois pourtant je la reçue, humiliante. La main était celle d'un autre que mon Maître . La situation était pour moi nouvelle, incongrue et il y avait tous ces yeux à épier mes réactions. Ceux qui pensaient que je crierais furent déçus car je n'émis pas le moindre son, pas même un gémissement . Je me devais de faire en sorte que mon maître soit fier de moi !
Satisfait, le Marquis me releva et me laissa le dos à la table . Ainsi tous purent voir la marque de sa main apparaître petit à petit sur ma fesse . Cela ne tarda pas il y passa sa main . Elle était chaude, ferme, caressante, presque tendre, comme seule une main d'homme peut l'être. Dans ce simple geste je perçu toute la force et la puissance contenue, une certaine impatience aussi dans un léger tremblement. Mon sexe coulait et je ne parvins pas à taire un gémissement, je me tendis vers cette caresse qui apaisait un peu le feu que je ressentais . Il le sentit et me dit dans un souffle :
- patience Marie, patience, tu en auras plus tout à l'heure, et,, se retournant vers la tablée :- on dirait bien qu'elle apprécie ça !
- oui je confirme, répondit mon Maître, il n'est pas rare qu'elle jouisse sous une fessée bien administrée !
J'entendis le sourire de mon maître dans sa réponse .
- toi ! s’exclama le marquis en se tournant vers Lalielou qui n'avait pas bougé durant tout ce temps, tu finiras le service seule, va aux cuisines et apporte-nous la suite !
Elle fut si surprise qu'elle partit presque en courant vers la porte qu'elle franchit sans se retourner. Marie, la cuisinière, attendait impatiente ,.
- alors c'est maintenant que tu arrives ! Veut-tu que je serve un rôti trop cuit à notre cher Marquis ! Ne sais tu donc pas qu'il l'apprécie bleue gourgandine ! et où est l'autre ?
- elle est punie près du Marquis !
- De "Monsieur Le Marquis", pour toi, lui cria t'elle en la giflant à toute volée,- Prends ce plat et dépêche toi de retourner là bas ! Et fais attention !
- oui madame murmura Lalielou en prenant le grand plat . Il était lourd, chargé qu'il était d'un bon morceau de viande que la cuisinière avait découpé et accompagné de légumes variés .
Elle pénétra dans la salle à manger et se dirigea vers le Marquis impatient, qui se servit .
- j'ai failli attendre femelle ! décidément il n'y a plus d'esclave de qualité et je n'ai qu'une semaine pour accomplir un miracle !
- Faîtes ce qui vous semblera nécessaire Marquis, vous avez carte blanche !
Lalielou faillit en lâcher le plat quand elle entendit son Maître dire cela ! Mais que se passait-il ? Qu'avait prévu nos Maitres avec Monsieur le Marquis ? Avaient-ils organisé une semaine de dressage pour nous deux sous prétexte que nous avions émis comme fantasme de pouvoir rencontrer Sir Evans ? Le rencontrer certes, c’était notre souhait le plus cher, mais pas lui être livrées en pâture pour un dressage qui plus est . Je frémis en le comprenant .
Naïves que nous avions été de croire que que nous passerions une semaine de vacances dans cette luxueuse demeure à profiter d'avantages qui nous étaient inconnus et qui le resteront encore vu la tournure que prenaient les événements .
Je restais ainsi, exagérément cambrée, tout le reste du repas. Parfois le Marquis me donnait une claque quand la douleur de mon dos me faisait me redresser légèrement . Il s'en apercevait et m’obligeait à reprendre la bonne position . J'avais le bas du dos qui me brulait tant la position trop forte et trop longtemps tenue me faisait mal .
Lalielou continua le service seule . Allant et venant de l'un à l'autre des convives qui se faisaient un malin plaisir à la demander lorsqu'elle était de l'autre côté de la table, l'obligeant à courir avec ses escarpins et lui donnant qui une claque sur les fesses parce qu'elle n'était pas arrivée assez vite, qui lui pinçant un mamelon pour le plaisir, qui l'obligeant à ramasser un quignon de pain tombé sur le tapis en lui interdisant de plier les genoux, exposant ainsi aux regards de tous, son sexe luisant de mouille, gonflé comme un fruit juteux prêt à être cueilli.
Elle continua d'aller et venir tout le long de ce repas . Les conversations allaient bon train, mais je n'en suivi pas le fil . Mes bras semblaient peser des tonnes et mon dos cambré me tenait dans une douleur constante . J'avais beaucoup de mal à tenir la position sur la quelle je devais me concentrer pour ne pas la perdre .
Et puis le Marquis demanda à mon Maître et à celui de Lailelou s'ils avaient pensé apporter des laisses pour leur chiennes. Choses qu'ils n'avaient pas avec eux bien sûr.
- Qu'à cela ne tienne. Walter ! Apportez nous sur le champ deux laisses pour ces chiennes !
- Bien Monsieur le Marquis, tout de suite !
- à genoux vous deux en attendant ! Toi dit-il a Lalielou, viens te placer à côté d'elle en me désignant.
Elle se plaça près de moi.
Brulures intenses dans mes épaules quand je baissais les bras, engourdis par la trop longue attente, soulagement de mon dos quand je me mis à quatre pattes . Bien que la position fût humiliante, je l’appréciai tant elle soulagea mon dos.
Walter revint avec les laisses et nos Maîtres les fixèrent à nos colliers .
- Bien allons prendre un digestif et fumer un cigare au petit salon pour finir cette agréable soirée , proposa le Marquis satisfait, il se dirigea vers une porte encadrée par deux magnifiques consoles et les convives lui emboitèrent le pas .
- Veuillez je vous prie, cher Marquis, prendre les laisses de ces deux femelles dont vous aurez la charge pour la semaine, qu'elles sachent tout de suite qui sera leur Maître pendant ce séjour qu'elles ont tant souhaité !
C'était mon Maitre qui venait ainsi de me livrer au Marquis, lui tendant ma laisse .
Je vis naître sur le visage de Sir Evans, un sourire des plus inquiétants, dans ses yeux s'alluma une lueur féline.
- merci Cher Tarl, dit-il en prenant possession de ma laisse sur la quelle il donna un petit coup sec comme pour me faire comprendre tout de suite que je lui appartenais pour les 7 jours à venir . Il reçu également celle de Lalielou . Les prenant d'une même main il nous obligea à le suivre à quatre pattes, pénétra dans le salon et se dirigea vers un fauteuil confortable . Il invita ses convives à faire de même .
Je sentais ma croupe ainsi offerte aux regards, onduler sous la marche animale imposée . Le Marquis s'installa confortablement au creux de son fauteuil . Il tira sur la laisse de Lailelou pour la faire venir devant lui.
- ne bouge plus chienne, je veux ton dos pour soulager mes jambes qu'il posa sans ménagement sur son dos. Il dût appuyer fort car je vis Lalielou ployait sous le poids,
- plus haut ! lui ordonna t'il en levant la laisse . Il jeta la mienne sur mon dos, je sursautais, métal froid sur ma peau brulante.
-toi viens de l'autre côté, il me manque une table basse tu la remplaceras et tâche de ne rien renverser ou tu passeras un mauvais quart d'heure . Walter veuillez nous servir et apportez-moi mon nécessaire à fumer .
Ce qui fut fait avec diligence . Walter plaça sur mon dos un petit plateau sur le quel le Marquis déposa son verre afin d'avoir les mains libres pour allumer son cigare .
- Ne trouvez-vous pas qu'il manque quelque chose à ses chiennes ? Demanda t-il , ne croyez vous pas quelles seraient magnifiques avec des queues !
J'entendis quelques personnes s’esclaffer et apprécier la chose .
- Walter ! les queues , deux, s'il vous plait .
Walter sorti mais ne fût pas long à revenir avec deux boites entre les mains . Le marquis lui fit signe de les remettre à nos Maîtres . Ils les ouvrir et ce qu'ils découvrirent les firent sourire tous les deux ; Ils en sortir chacun un plug emmanché d'une queue de fourrure. Pas de crin, non, d'une vraie fourrure longue d'une soixantaine de centimètres. Le plug en lui même était de bonne taille . Mon Maître se leva et vint à mes côtés .
- Ne bouge pas ou tu renversera le verre du Marquis . "Non mon Maître ! pas comme ça , pas là , pas devant tous ces gens ! je hurlais ma peur !" Mais rien ne sorti de mes lèvres ? Je senti l'objet se présenter sur mon anus, froid, dur, violeur. Mon Mâitre poussa lentement mais mon petit trou mal préparait refusait, malgré mes efforts, de s'ouvrir . Je ne pouvais pas pousser de peur de faire tomber le plateau .
J'entendis Lalielou gémir et le marquis s’exclamer :
- n'est-elle pas mieux ainsi avec cette queue lui sortant des fesses ! fit-il remarquer au Maître de Lalielou, une chienne parfaite ! et toi pourquoi refuses tu la queue ? demanda t'il en se tournant vers moi .
- elle est trop sèche et fermée expliqua mon Maître,- voila qui est contrariant, Tarl, puis-je me permettre ?-- elle est votre, Cher Marquis !
Mais que disait mon Maître ? Non je ne suis pas sienne, je suis à vous mon Maître !
Que faites-vous ?
Les pensées se bousculaient dans mon esprit enfiévré, que signifiait tout cela, m'abandonnait-il vraiment au Marquis pour la semaine ? Jusqu'où le Marquis pouvait-il aller ? Mon Maître lui avait dit " elle est votre" .Je sentis que l'on ôtait le plateau de sur mon dos, des mouvements et soudain le plug poussé avec force s'introduisit en une seule fois, ecartant mon sphinctér resseré par l'angoisse mais que la force du marquis n'u pas de peine à obliger de s'ouvrir. La brutalité de la pénétration me pris par surprise et je ne pus m'empêcher de crier er de m'avancer tantant de me dérober à la douleur .
- hummm je vous la rendrais plus coopérante et ouverte Tarl !
On replaça le plateau sur mon dos .Je ressentais les pulsations de mon coeur battre autour du plug .
La fourrure frôlait mes cuisses, mon anus me brulait mais le plug une fois à sa place n'était pas désagréable, il se réchauffait petit à petit et je fini par me sentir "comble" de sa présence. Nous devions donner une vision excitante aux invités avec nos croupes ainsi affublées d'une queue pour le moins originale . Quelqu'un vint voir de plus près, toucha la fourrure tira légèrement dessus .
- elle est vraiment douce cette fourrure Marquis je vous demanderais où vous vous les êtes procurer pour que j'en orne ma chienne, elle fait beaucoup plus réelle que les crins, elles font vraiment chiennes, et ces mamelles qui pendent, on s'attend à voir surgir des chiots pour venir les téter . Quelle humiliation, être ainsi comparer à un animal ! Mais n'en avais-je pas la position ? l'obéissance ? Je ne m'étais même pas rebellé et au contraire laissée faire, obéisante oui, je l'étais comme une chienne fidèle à son Maître qui pour une semaine me donnait à éduquer au Marquis .
Ils continuèrent ainsi à deviser de tout et de rien, Lalieou servant de repose pieds et moi de table basse .
Le Marquis parlant de ses penchants pervers avec ses invités disant :
-les vertus sont des vices, la saine philosophie veut que l'on cultive ses penchants les plus pervers car c'est dans le désordre que réside le bonheur La véritable sagesse ne consiste pas à réprimer ses vices parce que les vices sont le seul bonheur de notre vie, ce serait devenir son propre bourreau que de vouloir les réprimer !
- en effet Cher Marquis ! voila une philosophie qui me plaît répondit en souriant le Maître de Lalielou, je l'approuve entièrement et nous en privez pas sur ma chienne, soyez pervers ! Ah ah ah !, tous rire .
- Vous êtes d'une agréable compagnie cher Marquis, mais je dois être sur Paris demain car j'y ai un rendez-vous, auquel je ne peux hélas pas déroger ! je suis contraint de vous quitter maintenant !
- je vais en faire de même, dit mon Maître en se levant .
"Non mon Maître ne partez-pas, pas déjà, ne me laisser pas là, ce n'est pas comme ça que je voulais venir au château, pas offerte au Marquis" .
Je voulu voir mon Maître qui partait sans un regard, sans un geste vers moi, le mouvement un peu brusque que je fis pour me retourner fit glisser le plateau de mon dos et dans un grand fracas, tomba au sol, entraînant avec lui et les brisant en milliers de morceaux, le verre et la carafe de cristal . Je gémis de la catastrophe, Lalielou sursauta, le Marquis se leva d'un bon furieux, mon Maître calme dit à son hôte :
- il vous faudra la punir sévèrement pour une telle faute Marquis ! Je vous laisse , vous n’aurez pas trop de 7 jours pour essayer d'en faire une esclave digne de ce nom !
-oui Tarl, faîtes moi confiance, je vous la rendrez docile promit-il en raccompagnant mon Maître et celui de Lalaielou jusque sur le perron. Ils ne nous avaient pas regardées, pas embrassées, rien dit . Ils nous livraient aux fantaisies du Marquis.
Je regardais les morceaux de la carafe brisée, ils semblaient, petits diamants jonchant l'épais tapis, annonciateurs de la punition à venir qu'allait-il advenir de moi ?
Le Marquis revenait sur ses pas. Décidé, il était visiblement tout entier imprégné d'une colère qu'il avait de la peine à contenir .
Pourtant je le trouvais magnifique dans sa colère, dans ses pas claquants le sol, ses bras, que je devinais musculeux sous le costume taillé sur mesure. Il avançait tel un félin, vers la proie qu'il savait pouvoir prendre sans aucune peine .
Nos regards se croisèrent quand il s'arrêta net sur le seuil de la porte, contemplant le désastre . Je plongeais à genoux la tête au sol attendant la sentence annoncée ....
(A suivre ...)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...