La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 311)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 311)
Suite de l'épisode précédent 308 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –
Thaïs s’est endormie après une première journée complète passée au Château qui lui a semblé avoir duré au moins plusieurs jours tant elle a été pleine de découvertes, de sensations, d’émotions, de jouissances mais aussi d’épreuves diverses, parfois éreintantes. C’est donc totalement épuisée et pleine de gratitude pour le repos enfin accordé qu’elle a rejoint le grand panier à chiens qui se trouve au pied du lit de Walter, le Majordome. Elle dormait déjà si profondément qu’elle ne s’est même pas aperçu que Walter en se couchant a attaché sa laisse à un piton qui se trouve sur le montant de son lit. Un lien bien symbolique puisque Thaïs n’a pas les mains liées pour la nuit et que sa laisse ne tient à son collier que par un mousqueton qu’elle pourrait facilement défaire. Mais Thaïs est venue au Château de son plein gré pour se mettre à l’entière disposition de son Maître Vénéré, le Marquis Edouard d’Evans, ce n'est sûrement pas dans l'intention de se soustraire aux contraintes que son Dominant lui imposera directement ou indirectement. Elle sait aussi très bien qu’elle est libre de demander à pouvoir partir à tout instant, avec comme seule conséquence de ne plus jamais pouvoir y remettre les pieds et de ne plus jamais également être autorisée à se retrouver en présence de Celui à qui elle a désormais voué toute sa vie, ce qui serait pour elle totalement impensable et une bien cruelle décision dont elle ne pourrait que se morfondre pendant très longtemps.
Le petit jour se lève à peine à travers les volets de la chambre du Majordome lorsque Thaïs s’éveille de son profond sommeil récupérateur avec une envie pressante qui l’a sortie de ses songes si sensuels dans lesquels elle se croyait endormie tendrement enlacée dans les bras de son Maître Vénéré, ce dont au fond d'elle-même elle rêve et espère un jour voir se réaliser. N’entendant aucun bruit aux alentours, elle se hasarde à ouvrir les yeux et à relever la tête, reprenant pied dans la réalité, pour se rappeler où elle est et ce qui s’était passé la veille au moment de son coucher. Elle découvre le panier à chien dans lequel elle a dormi et prend conscience du froid qui a saisi son corps n’ayant pas contrairement aux chiens de poils pour se couvrir et se protéger des écarts de température. Elle se met à grelotter presque de la chair de poule qui a envahi sa peau, en arrivant à regretter la toute première nuit passée dans le cachot où son Maître Vénéré lui-même l’avait conduite la veille à son arrivée, la quittant après lui avoir déposé un baiser sur la bouche, et la laissant s’endormir dans ce réduit qui était équipée à la fois d’un fin matelas et aussi d’une couverture. Thaïs prend conscience que sa laisse est accrochée au montant du lit du Majordome qui se trouve juste à côté. Sans bruit, elle essaye de voir si Walter est toujours endormi à côté, car son envie devient si pressante qu’elle craint de ne pouvoir tenir très longtemps. Mais elle constate que le lit est déjà vide, ce qui provoque un vrai sentiment de panique car elle commence à se tordre dans son panier pour pouvoir contracter ses sphincters et se retenir encore un peu. C’est à ce moment-là qu’elle entend le bruit de la porte de la salle de bains qui s’ouvre.
- Mais qu’est-ce que je vois, une petite chienne qui tourne dans son panier. Je suppose que tu aimerais que je te sorte dehors. Mais il fait froid et je ne suis pas encore habillé. Tu n’imagines pas que je vais t’emmener sur la pelouse ainsi, et puis avec la rosée matinale, tes pattes seraient toutes trempées pour rentrer dans le Château, tu risquerais fort de tout salir.
Thaïs commence à s’inquiéter sérieusement de la réponse faite par le Majordome, car elle comprend bien et accepte sans souci et même avec plaisir que son Maître l’appelle « sa belle petite chienne » et la fasse marcher à quatre pattes comme une soumise du cheptel, mais elle n’en est pas moins femme avec des besoins primaires qui ne sont pas ceux des animaux canins. C’est donc avec un regard suppliant mais gardant les yeux baissés, qu’elle tente de faire comprendre son malaise et l’urgence de la situation. Walter s’approche du panier à chien, défait la laisse de Thaïs et ajoute.
- Allez, c’est bon ! Dépêche-toi d’aller dans la salle de bains. Je n’ai quand même pas envie que tu tâches le coussin du panier à chien car je compte bien qu'il soit à nouveau utilisable dès ce soir par un autre que toi.
- Merci, Monsieur Walter, merci beaucoup.
Thaïs s’empresse tant bien que mal d’aller à quatre pattes soulager sa vessie, très heureuse en plus de ne pas avoir eu à sortir dehors de surcroît, nue et en plein hiver. Elle a à peine terminé qu’elle entend la voix lourde et profonde de Walter.
- Dépêche-toi la chienne de revenir car ton petit déjeuner est servi.
Thaïs craignant de se faire réprimander, se presse de revenir dans la chambre du Majordome, se déplaçant à quatre pattes comme il se doit, tête basse en ne cessant de se demander ce que sa nouvelle journée au Château va encore lui réserver comme épreuves mais aussi comme plaisirs intenses. Elle regrette surtout que son Maître Vénéré ne soit pas encore rentré au Château, occupé par son activité professionnelle, car elle aurait tant aimé avoir la chance de le revoir, mais elle sait que cette opportunité ne dépend pas d’elle, mais du seul bon vouloir de Celui entre les mains de qui elle a abdiqué tout pouvoir de contrôler et de gérer sa propre vie. Le domestique pendant ce temps-là, la queue déjà bien raide et droite de son excitation matinale de mâle s’est fourré nu sur son lit se couvrant de la couette.
- Chienne, grimpe vite sur le lit, tu vas voir il y aura quelqu’un qui t’attend déjà avec impatience. Mais auparavant, tu vas te glisser sous les draps en travers du lit juste à la hauteur de mes pieds et me servir de bouillote. Je pense que ton ventre doit être suffisamment tiède pour réchauffer mes pieds que je sens glacés et cela me coupe tous mes effets quand j’ai froid aux extrémités des membres, même si le bout de ma queue est suffisamment chaude pour pouvoir te servir un bon petit déjeuner matinal tiède.
La soumise obéi sans rechigner, bien trop heureuse de pouvoir elle aussi aller se réchauffer un peu sous les épaisseurs du duvet, car même si le Château est bien chauffé, dormir nue presque à même le sol, n’est pas des plus confortable et douillet. Elle s’allonge, se ménageant des bras et des jambes suffisamment de place sous la couette et d’aération pour respirer quand elle sent deux pieds effectivement frigorifiés venir se blottir contre son ventre. Elle sursaute car la sensation reste assez désagréable, mais en même temps, elle se sent prise de compassion pour Walter transi et sans même savoir si c’est ce qu’il pourrait attendre d’elle et si son geste aura son approbation, elle attrape les pieds dans ses deux mains pour les couvrir et se positionne presque en position fœtale pour que ses extrémités soient bien à l’abri et le plus au chaud possible. Elle commence quelques massages et caresses de chaque pied, n’ayant perçu aucun geste qui pourrait s'apparenter à un contre-ordre, bien au contraire, car elle sent que Walter remue délicatement les orteils et la plante du pied comme s’il la caressait à son tour, ronronnant presque comme un petit chaton. Tout d’un coup, par un brusque changement d’attitude si habituel chez le domestique qui craint toujours de se laisser attendrir et d’en perdre le contrôle de la situation, ce dernier de deux grands battements de jambes vire la couette par terre, après avoir écarté sans ménagement les mains du ventre de Thaïs
- Suffit, chienne. Passons aux choses sérieuses. Je n’ai pas que cela à faire. Approche et vient me sucer, comme la petite chienne sage que tu as appris à être. Je suis sûr que tu es déjà en chaleur de bon matin, et même si ce n’était pas le cas, cela ne changerait rien car tu n’as qu’à ouvrir la bouche et tendre la langue.
Thaïs s’exécute bien docilement. Elle a compris qu’elle n’obtiendra jamais de remerciements directs de la part du Walter qui n’est jamais commode avec les esclaves du cheptel du Marquis d’Evans, parce qu’il prend un vrai plaisir pervers à malmener chacun et chacune sèchement, d’autant plus durement en l’absence du Maître des lieux, car il se sent encore plus investi dans ses fonctions et dans l’autorité qu’il est censé incarner. Mais elle prend déjà le fait de ne pas s’être fait rabrouer ou sanctionner comme la preuve qu’il a dû apprécier les attentions qu'elle a eu à son égard. Elle se glisse donc entre les jambes du Majordome, qu’il a ouvert largement pour la laisser approcher et, langue tendue, elle commence à lécher la longue hampe qui lui fait face. Elle passe également sa langue tout autour des couilles bien pleines de Walter qui pendent entre ses cuisses, et remonte à nouveau sur le phallus dressé pour faire le tour du gland largement décalotté. Ayant abondamment imbibé de salive chaque partie du sexe gonflé au maximum, elle ouvre grand les lèvres pour pouvoir l’enfourner. Mais à cet instant, le domestique la repousse assez directement d'un geste brusque de la main et s'assoit sur le rebord du lit, ne reposant que sur l'arrière des fesses.
- A genoux, chienne, au pied du lit. Je veux pouvoir te posséder et te baiser la bouche comme un Homme, comme un Mâle conquérant et pénétrant, et pas seulement me laisser sucer tranquillement du bout de la langue. N’oublie pas que tu n’es à cet instant qu’un trou bon à me donner du plaisir.
Thaïs est un peu perturbée par le ton désagréable que le Majordome a pris pour lui parler utilisant des mots bien peu élégants avec lesquels il la qualifie sans prendre de gants. Même si elle est l’esclave-soumise librement asservie de Monsieur le Marquis d'Evans, qui est très exigeant, ce dernier a toujours dans sa manière de parler, d’ordonner, d'exiger, la noblesse de sa condition qui ressort et même s’il arrive que ses termes soient crus et on ne peut plus direct, ils ne sont jamais vraiment blessants ni offensants, car Thaïs est particulièrement heureuse de se sentir sous le joug de son Maître et de ressentir la domination qu’IL lui impose. Elle a beau se dire que Walter remplace le Maître en l’absence du Maître, elle perçoit bien dans son fond intérieur que ce n’est quand même pas pareil à ses yeux et qu’elle doit se forcer pour obtempérer se trouvant particulièrement humiliée quand Walter la traite comme une vulgaire putain, un trou bon à donner du plaisir et un vide-couilles de service en guise de petit déjeuner. Mais c’est de bonne grâce en pensant avant tout à ne pas déplaire à son Maître qu’elle s’installe à genoux, au pied du lit, d’autant plus bouleversée que si ses pensées ont un peu trouvé à redire dans les manières rustres du domestique, son corps s’est enflammé aussi sec encore plus, la titillant dans son bas-ventre qu’elle sent s’humidifier de désirs de pouvoir devenir un vrai objet de plaisirs charnels. C’est donc dans une totale contradiction de pensées, qu’elle laisse le Majordome enfoncer jusqu’à la garde son pénis dans sa bouche grande ouverte. Il lui a attrapé les cheveux à l’arrière de la tête pour lui imposer une cadence qui va s'accélérant, la forçant à se laisser pénétrer profondément au point parfois de manquer de respiration. Avec un rythme soutenu, Walter par de profonds coups de queue possède sans ménagement Thaïs qui manque par plusieurs fois de ne pouvoir retenir de violents hauts le cœur lorsqu'il enfonce son sexe jusqu'à en toucher sa glotte, la laissant juste de temps en temps souffler pour pouvoir reprendre sa respiration avant de s’enfourner à nouveau profondément dans l’écrin si accueillant que lui offre la soumise docile à genoux à ses pieds. C’est dans un profond râle sourd que plusieurs minutes après il éjacule en partie dans la bouche de la soumise mais également sur son visage qu’il inonde de semence comme pour marquer son passage jaillissant.
- Haaaaaaaaaaa bonne chienne…. Lèche chienne, dépêche toi de me nettoyer la queue et de tout avaler car tu m’as mis en retard !
Thaïs se demande bien ce qu’elle a pu faire pour mettre en retard le Majordome, puisqu’elle n’a fait qu’obéir à ses ordres à chaque instant, mais elle pense qu’il vaut mieux ne pas relever ni faire attention aux remarques de Walter, qui trouvera toujours quelque chose à redire.
- Redresse-toi maintenant. Tu vas me suivre toute la journée, ce sera une bonne occasion pour toi de visiter une partie de cette magnifique demeure ancestrale qui a abrité depuis des générations les différents aïeuls de ton Maître, tous Marquis d’Evans de père en fils. Tu vas garder ma semence sur ton visage, je veux qu’elle sèche et que pendant de longues heures tu la sentes tirer sur ta peau, toute craquelée. Mais je veux surtout que tout le monde puisse voir pendant cette journée comment la petite chienne qui va me suivre s’est bien fait baiser ce matin par moi. Nul doute que certains et certaines seront jaloux à ton passage ! J'espère au moins que tu as savouré ce succulent petit déjeuner car tu n’en auras pas d’autres. Pas question de te faire perdre le goût sublime de mon précieux nectar que tu dois avoir encore sur les lèvres et au fond de ton palais.
Walter reprend sa respiration et d'un ton très directif ajoute :
- Va tout de suite me chercher mes habits, dépêche-toi ! Car il n’est pas question que je rate mon petit-déjeuner, sinon Marie va encore grogner si elle est obligée de faire un service supplémentaire pour les retardataires.
Le Majordome indique à Thaïs le portant sur lequel elle trouve la livrée propre que le domestique se hâte de revêtir. Il attrape la laisse de la soumise et tire dessus, pour approcher au plus près le visage de Thaïs qu'il toise de sa large carrure.
- Ah, ah, ah,…. Tu as mis une crème de jour qui te va à ravir ce matin (dit-il d'un ton moqueur en repoussant aussi sec la chienne maculée de son sperme qui a commencé à sécher). Tu as de la chance aujourd'hui car je n'ai pas le temps de trainer une chienne à quatre pattes, tu pourras rester debout mais il va te falloir me suivre comme mon ombre pour l'instant. Tâche de ne pas me retarder, car j'ai pas mal de choses à faire et dresser une nouvelle petite chienne de Monsieur le Marquis d'Evans n'est qu'une des tâches qui m'incombe parmi tant d'autres. J'espère malgré tout que tu as retenu la leçon d'hier et que tu éviteras de me rentrer dedans une fois de plus, car je crois bien que je n'apprécierais pas du tout. Tient-toi le pour dit ! Et pour une fois, tu auras le droit de garder la tête haute et de tout regarder car tu vas avoir beaucoup à apprendre en peu de temps. Je n'ai pas envie de passer mon temps à t'expliquer ce que tu peux comprendre toute seule juste en regardant tes frères et sœurs de soumission faire et se comporter quand ils sont un peu mieux dressés, bien que ce ne soit pas encore le cas de tous.
Walter attrape la laisse qui pend au collier de Thaïs et il l'accroche à l'aide d'un mousqueton à un des passants de sa ceinture. Et sans un mot de plus ni un regard pour celle qu'il va pouvoir trainer à sa suite, il quitte sa chambre et se dirige vers les cuisines où se trouve la perverse Marie la cuisinière …
(A suivre …)
Thaïs s’est endormie après une première journée complète passée au Château qui lui a semblé avoir duré au moins plusieurs jours tant elle a été pleine de découvertes, de sensations, d’émotions, de jouissances mais aussi d’épreuves diverses, parfois éreintantes. C’est donc totalement épuisée et pleine de gratitude pour le repos enfin accordé qu’elle a rejoint le grand panier à chiens qui se trouve au pied du lit de Walter, le Majordome. Elle dormait déjà si profondément qu’elle ne s’est même pas aperçu que Walter en se couchant a attaché sa laisse à un piton qui se trouve sur le montant de son lit. Un lien bien symbolique puisque Thaïs n’a pas les mains liées pour la nuit et que sa laisse ne tient à son collier que par un mousqueton qu’elle pourrait facilement défaire. Mais Thaïs est venue au Château de son plein gré pour se mettre à l’entière disposition de son Maître Vénéré, le Marquis Edouard d’Evans, ce n'est sûrement pas dans l'intention de se soustraire aux contraintes que son Dominant lui imposera directement ou indirectement. Elle sait aussi très bien qu’elle est libre de demander à pouvoir partir à tout instant, avec comme seule conséquence de ne plus jamais pouvoir y remettre les pieds et de ne plus jamais également être autorisée à se retrouver en présence de Celui à qui elle a désormais voué toute sa vie, ce qui serait pour elle totalement impensable et une bien cruelle décision dont elle ne pourrait que se morfondre pendant très longtemps.
Le petit jour se lève à peine à travers les volets de la chambre du Majordome lorsque Thaïs s’éveille de son profond sommeil récupérateur avec une envie pressante qui l’a sortie de ses songes si sensuels dans lesquels elle se croyait endormie tendrement enlacée dans les bras de son Maître Vénéré, ce dont au fond d'elle-même elle rêve et espère un jour voir se réaliser. N’entendant aucun bruit aux alentours, elle se hasarde à ouvrir les yeux et à relever la tête, reprenant pied dans la réalité, pour se rappeler où elle est et ce qui s’était passé la veille au moment de son coucher. Elle découvre le panier à chien dans lequel elle a dormi et prend conscience du froid qui a saisi son corps n’ayant pas contrairement aux chiens de poils pour se couvrir et se protéger des écarts de température. Elle se met à grelotter presque de la chair de poule qui a envahi sa peau, en arrivant à regretter la toute première nuit passée dans le cachot où son Maître Vénéré lui-même l’avait conduite la veille à son arrivée, la quittant après lui avoir déposé un baiser sur la bouche, et la laissant s’endormir dans ce réduit qui était équipée à la fois d’un fin matelas et aussi d’une couverture. Thaïs prend conscience que sa laisse est accrochée au montant du lit du Majordome qui se trouve juste à côté. Sans bruit, elle essaye de voir si Walter est toujours endormi à côté, car son envie devient si pressante qu’elle craint de ne pouvoir tenir très longtemps. Mais elle constate que le lit est déjà vide, ce qui provoque un vrai sentiment de panique car elle commence à se tordre dans son panier pour pouvoir contracter ses sphincters et se retenir encore un peu. C’est à ce moment-là qu’elle entend le bruit de la porte de la salle de bains qui s’ouvre.
- Mais qu’est-ce que je vois, une petite chienne qui tourne dans son panier. Je suppose que tu aimerais que je te sorte dehors. Mais il fait froid et je ne suis pas encore habillé. Tu n’imagines pas que je vais t’emmener sur la pelouse ainsi, et puis avec la rosée matinale, tes pattes seraient toutes trempées pour rentrer dans le Château, tu risquerais fort de tout salir.
Thaïs commence à s’inquiéter sérieusement de la réponse faite par le Majordome, car elle comprend bien et accepte sans souci et même avec plaisir que son Maître l’appelle « sa belle petite chienne » et la fasse marcher à quatre pattes comme une soumise du cheptel, mais elle n’en est pas moins femme avec des besoins primaires qui ne sont pas ceux des animaux canins. C’est donc avec un regard suppliant mais gardant les yeux baissés, qu’elle tente de faire comprendre son malaise et l’urgence de la situation. Walter s’approche du panier à chien, défait la laisse de Thaïs et ajoute.
- Allez, c’est bon ! Dépêche-toi d’aller dans la salle de bains. Je n’ai quand même pas envie que tu tâches le coussin du panier à chien car je compte bien qu'il soit à nouveau utilisable dès ce soir par un autre que toi.
- Merci, Monsieur Walter, merci beaucoup.
Thaïs s’empresse tant bien que mal d’aller à quatre pattes soulager sa vessie, très heureuse en plus de ne pas avoir eu à sortir dehors de surcroît, nue et en plein hiver. Elle a à peine terminé qu’elle entend la voix lourde et profonde de Walter.
- Dépêche-toi la chienne de revenir car ton petit déjeuner est servi.
Thaïs craignant de se faire réprimander, se presse de revenir dans la chambre du Majordome, se déplaçant à quatre pattes comme il se doit, tête basse en ne cessant de se demander ce que sa nouvelle journée au Château va encore lui réserver comme épreuves mais aussi comme plaisirs intenses. Elle regrette surtout que son Maître Vénéré ne soit pas encore rentré au Château, occupé par son activité professionnelle, car elle aurait tant aimé avoir la chance de le revoir, mais elle sait que cette opportunité ne dépend pas d’elle, mais du seul bon vouloir de Celui entre les mains de qui elle a abdiqué tout pouvoir de contrôler et de gérer sa propre vie. Le domestique pendant ce temps-là, la queue déjà bien raide et droite de son excitation matinale de mâle s’est fourré nu sur son lit se couvrant de la couette.
- Chienne, grimpe vite sur le lit, tu vas voir il y aura quelqu’un qui t’attend déjà avec impatience. Mais auparavant, tu vas te glisser sous les draps en travers du lit juste à la hauteur de mes pieds et me servir de bouillote. Je pense que ton ventre doit être suffisamment tiède pour réchauffer mes pieds que je sens glacés et cela me coupe tous mes effets quand j’ai froid aux extrémités des membres, même si le bout de ma queue est suffisamment chaude pour pouvoir te servir un bon petit déjeuner matinal tiède.
La soumise obéi sans rechigner, bien trop heureuse de pouvoir elle aussi aller se réchauffer un peu sous les épaisseurs du duvet, car même si le Château est bien chauffé, dormir nue presque à même le sol, n’est pas des plus confortable et douillet. Elle s’allonge, se ménageant des bras et des jambes suffisamment de place sous la couette et d’aération pour respirer quand elle sent deux pieds effectivement frigorifiés venir se blottir contre son ventre. Elle sursaute car la sensation reste assez désagréable, mais en même temps, elle se sent prise de compassion pour Walter transi et sans même savoir si c’est ce qu’il pourrait attendre d’elle et si son geste aura son approbation, elle attrape les pieds dans ses deux mains pour les couvrir et se positionne presque en position fœtale pour que ses extrémités soient bien à l’abri et le plus au chaud possible. Elle commence quelques massages et caresses de chaque pied, n’ayant perçu aucun geste qui pourrait s'apparenter à un contre-ordre, bien au contraire, car elle sent que Walter remue délicatement les orteils et la plante du pied comme s’il la caressait à son tour, ronronnant presque comme un petit chaton. Tout d’un coup, par un brusque changement d’attitude si habituel chez le domestique qui craint toujours de se laisser attendrir et d’en perdre le contrôle de la situation, ce dernier de deux grands battements de jambes vire la couette par terre, après avoir écarté sans ménagement les mains du ventre de Thaïs
- Suffit, chienne. Passons aux choses sérieuses. Je n’ai pas que cela à faire. Approche et vient me sucer, comme la petite chienne sage que tu as appris à être. Je suis sûr que tu es déjà en chaleur de bon matin, et même si ce n’était pas le cas, cela ne changerait rien car tu n’as qu’à ouvrir la bouche et tendre la langue.
Thaïs s’exécute bien docilement. Elle a compris qu’elle n’obtiendra jamais de remerciements directs de la part du Walter qui n’est jamais commode avec les esclaves du cheptel du Marquis d’Evans, parce qu’il prend un vrai plaisir pervers à malmener chacun et chacune sèchement, d’autant plus durement en l’absence du Maître des lieux, car il se sent encore plus investi dans ses fonctions et dans l’autorité qu’il est censé incarner. Mais elle prend déjà le fait de ne pas s’être fait rabrouer ou sanctionner comme la preuve qu’il a dû apprécier les attentions qu'elle a eu à son égard. Elle se glisse donc entre les jambes du Majordome, qu’il a ouvert largement pour la laisser approcher et, langue tendue, elle commence à lécher la longue hampe qui lui fait face. Elle passe également sa langue tout autour des couilles bien pleines de Walter qui pendent entre ses cuisses, et remonte à nouveau sur le phallus dressé pour faire le tour du gland largement décalotté. Ayant abondamment imbibé de salive chaque partie du sexe gonflé au maximum, elle ouvre grand les lèvres pour pouvoir l’enfourner. Mais à cet instant, le domestique la repousse assez directement d'un geste brusque de la main et s'assoit sur le rebord du lit, ne reposant que sur l'arrière des fesses.
- A genoux, chienne, au pied du lit. Je veux pouvoir te posséder et te baiser la bouche comme un Homme, comme un Mâle conquérant et pénétrant, et pas seulement me laisser sucer tranquillement du bout de la langue. N’oublie pas que tu n’es à cet instant qu’un trou bon à me donner du plaisir.
Thaïs est un peu perturbée par le ton désagréable que le Majordome a pris pour lui parler utilisant des mots bien peu élégants avec lesquels il la qualifie sans prendre de gants. Même si elle est l’esclave-soumise librement asservie de Monsieur le Marquis d'Evans, qui est très exigeant, ce dernier a toujours dans sa manière de parler, d’ordonner, d'exiger, la noblesse de sa condition qui ressort et même s’il arrive que ses termes soient crus et on ne peut plus direct, ils ne sont jamais vraiment blessants ni offensants, car Thaïs est particulièrement heureuse de se sentir sous le joug de son Maître et de ressentir la domination qu’IL lui impose. Elle a beau se dire que Walter remplace le Maître en l’absence du Maître, elle perçoit bien dans son fond intérieur que ce n’est quand même pas pareil à ses yeux et qu’elle doit se forcer pour obtempérer se trouvant particulièrement humiliée quand Walter la traite comme une vulgaire putain, un trou bon à donner du plaisir et un vide-couilles de service en guise de petit déjeuner. Mais c’est de bonne grâce en pensant avant tout à ne pas déplaire à son Maître qu’elle s’installe à genoux, au pied du lit, d’autant plus bouleversée que si ses pensées ont un peu trouvé à redire dans les manières rustres du domestique, son corps s’est enflammé aussi sec encore plus, la titillant dans son bas-ventre qu’elle sent s’humidifier de désirs de pouvoir devenir un vrai objet de plaisirs charnels. C’est donc dans une totale contradiction de pensées, qu’elle laisse le Majordome enfoncer jusqu’à la garde son pénis dans sa bouche grande ouverte. Il lui a attrapé les cheveux à l’arrière de la tête pour lui imposer une cadence qui va s'accélérant, la forçant à se laisser pénétrer profondément au point parfois de manquer de respiration. Avec un rythme soutenu, Walter par de profonds coups de queue possède sans ménagement Thaïs qui manque par plusieurs fois de ne pouvoir retenir de violents hauts le cœur lorsqu'il enfonce son sexe jusqu'à en toucher sa glotte, la laissant juste de temps en temps souffler pour pouvoir reprendre sa respiration avant de s’enfourner à nouveau profondément dans l’écrin si accueillant que lui offre la soumise docile à genoux à ses pieds. C’est dans un profond râle sourd que plusieurs minutes après il éjacule en partie dans la bouche de la soumise mais également sur son visage qu’il inonde de semence comme pour marquer son passage jaillissant.
- Haaaaaaaaaaa bonne chienne…. Lèche chienne, dépêche toi de me nettoyer la queue et de tout avaler car tu m’as mis en retard !
Thaïs se demande bien ce qu’elle a pu faire pour mettre en retard le Majordome, puisqu’elle n’a fait qu’obéir à ses ordres à chaque instant, mais elle pense qu’il vaut mieux ne pas relever ni faire attention aux remarques de Walter, qui trouvera toujours quelque chose à redire.
- Redresse-toi maintenant. Tu vas me suivre toute la journée, ce sera une bonne occasion pour toi de visiter une partie de cette magnifique demeure ancestrale qui a abrité depuis des générations les différents aïeuls de ton Maître, tous Marquis d’Evans de père en fils. Tu vas garder ma semence sur ton visage, je veux qu’elle sèche et que pendant de longues heures tu la sentes tirer sur ta peau, toute craquelée. Mais je veux surtout que tout le monde puisse voir pendant cette journée comment la petite chienne qui va me suivre s’est bien fait baiser ce matin par moi. Nul doute que certains et certaines seront jaloux à ton passage ! J'espère au moins que tu as savouré ce succulent petit déjeuner car tu n’en auras pas d’autres. Pas question de te faire perdre le goût sublime de mon précieux nectar que tu dois avoir encore sur les lèvres et au fond de ton palais.
Walter reprend sa respiration et d'un ton très directif ajoute :
- Va tout de suite me chercher mes habits, dépêche-toi ! Car il n’est pas question que je rate mon petit-déjeuner, sinon Marie va encore grogner si elle est obligée de faire un service supplémentaire pour les retardataires.
Le Majordome indique à Thaïs le portant sur lequel elle trouve la livrée propre que le domestique se hâte de revêtir. Il attrape la laisse de la soumise et tire dessus, pour approcher au plus près le visage de Thaïs qu'il toise de sa large carrure.
- Ah, ah, ah,…. Tu as mis une crème de jour qui te va à ravir ce matin (dit-il d'un ton moqueur en repoussant aussi sec la chienne maculée de son sperme qui a commencé à sécher). Tu as de la chance aujourd'hui car je n'ai pas le temps de trainer une chienne à quatre pattes, tu pourras rester debout mais il va te falloir me suivre comme mon ombre pour l'instant. Tâche de ne pas me retarder, car j'ai pas mal de choses à faire et dresser une nouvelle petite chienne de Monsieur le Marquis d'Evans n'est qu'une des tâches qui m'incombe parmi tant d'autres. J'espère malgré tout que tu as retenu la leçon d'hier et que tu éviteras de me rentrer dedans une fois de plus, car je crois bien que je n'apprécierais pas du tout. Tient-toi le pour dit ! Et pour une fois, tu auras le droit de garder la tête haute et de tout regarder car tu vas avoir beaucoup à apprendre en peu de temps. Je n'ai pas envie de passer mon temps à t'expliquer ce que tu peux comprendre toute seule juste en regardant tes frères et sœurs de soumission faire et se comporter quand ils sont un peu mieux dressés, bien que ce ne soit pas encore le cas de tous.
Walter attrape la laisse qui pend au collier de Thaïs et il l'accroche à l'aide d'un mousqueton à un des passants de sa ceinture. Et sans un mot de plus ni un regard pour celle qu'il va pouvoir trainer à sa suite, il quitte sa chambre et se dirige vers les cuisines où se trouve la perverse Marie la cuisinière …
(A suivre …)
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