La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 314) - histoire érotique

Suite de l'épisode précédent N°313 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Pendant ce temps-là, le Noble a également tiré sur la laisse de Thaïs pour lui faire comprendre qu'elle devait se lever, extraire le gode sur lequel elle était empalée et le suivre. Thaïs qui est habituée à toujours remercier son Maître ou quiconque s'est occupée d'elle, s'empresse une fois descendue de l'appareil de s'agenouiller et de baiser les pieds de son Maître Vénéré, et dans la foulée en se retournant juste vers Elle, ceux de Maîtresse ADoma.

- Mon Cher Marquis, je vois que Vos esclaves sont toujours dressés à la perfection. C'est un plaisir que de constater l'efficacité de Vos méthodes qui restent immuables et efficaces malgré l'imposant cheptel dont Vous avez la charge et la propriété, car je suppose que le nombre ne Vous permet pas de Vous occuper de chacun individuellement comme je peux le faire par exemple avec ma petite kittyA qui me suit partout et qui vit chez moi à plein temps.
- Oui, certes, je ne peux pas emmener chacun et chacune avec moi à tout moment et m'en occuper comme si je n'avais qu'un ou qu'une seule esclave, mais je les aime tous et toutes. Et puis, ils sont si ravis de me servir et d'être sous mon joug que je ne pourrai me passer d'aucun et les priver du Maître auquel ils et elles tiennent tant. Cela nécessite de la part des chiens et chiennes de mon cheptel encore plus d'abnégation, de patience et de compréhension, mais c'est le prix à payer pour être digne de devenir un ou une esclave du Marquis Edouard d'Evans. Et je reste très vigilent sur la sélection, n'hésitant pas à renvoyer tout esclave qui aurait le malheur de ne pas me satisfaire entièrement. Il était, tout à fait normal que ma belle chienne Thaïs Vous remercie ainsi que Moi pour ce qu'elle a eu la chance de pouvoir vivre grâce à Votre intervention et Votre imagination toujours aussi délicieusement perverse. Si j'en juge par la tâche humide que Ma soumise Thaïs MDE a laissée et qui a imprégné la mousse, je pense qu'elle a dû pas mal apprécier ce petit intermède, et ceci d'autant plus qu'elle est également privée de jouissance depuis le début de la soirée.

Le Marquis d'Evans fait signe à Walter qui de son œil de lynx regarde partout et plus particulièrement en suivant les faits et gestes de son Patron, le Marquis d'Evans. Ce dernier lui fait comprendre d'un geste de la main, qu'il doit s'occuper derrière son passage de tout remettre en état. Walter attrape par la taille une soumise soubrette qui se trouvait à proximité pour qu'elle s'approche au plus près et lui donnant une double grande claque sur les fesses nues qu'elle arbore bien cambrées, il lui ordonne :

- Toi, tu nettoies avec attention le berceau de Judas, tu changes également le joint de mousse pour que l'appareil soit à nouveau propre et opérationnel, et tu ramèneras ensuite à la laverie les godes utilisés pour qu'ils soient lavés, tout comme ceux que tu pourrais trouver sur ton passage laissés après quelques ébats déjà bien avancés par nos Invités. Monsieur le Marquis d'Evans est très à cheval sur la propreté du matériel, malgré le fait que ce soit une soirée orgiaque, ce n'est pas nécessairement une soirée où saleté rime avec lubricité. Et tâche que cela soit propre après ton passage car sinon, il pourrait bien t'en cuire au niveau des fesses. Exécution !

Walter ponctue son ordre de deux nouvelles fessées bien appuyées sur la croupe de la soumise qui s'incline respectueusement, même si au fond d'elle, elle regrette de n'avoir pas pu profiter de l'engin qu'elle aurait bien essayé si on le lui avait exigé et de n'avoir reçu à la place que l'ordre de le nettoyer après usage, enviant un peu Thaïs qui a eu la chance de pouvoir monter dessus. Mais elle sait que son obéissance à son Maître est de mise avant tout entre ces murs légendaires et que la soirée orgiaque étant loin d'être terminée, elle pourrait bien encore avoir l'occasion de profiter de quelques petits délices à son tour. La soubrette nue se courbe pour commencer sa tâche, quand elle sent que quelqu'un l'attrape par les hanches, lui écartant les fesses par la même occasion en retirant le plug qu'elle porte depuis le début de la soirée. Elle ignore totalement l'identité de celui qui la force à se courber en deux sur le chevalet, et qui commence à s'affairer sur son arrière-train qui reçoit de violentes fessées faisant rapidement chauffer la croupe qui prend très vite une couleur virant sur le rouge vif. Il n'est pas dans l'intention de la soubrette de lever la tête en se retournant pour chercher à savoir qui est en train de planter son vit dur et tendu dans son arrière train, en même temps que de continuer à faire rougir son postérieur, car les soumis et les soumises du Château d'Evans sont à la totale disposition des Invités du Marquis lors de Ses soirées réputées à des lieux à la ronde. Ce sont de grands coups de butoir qui chaque fois plaque et écrase la soumise sur la planche sur laquelle la moitié de son corps repose, elle se tient comme elle peut de l'autre côté, pour s'ouvrir et s'offrir encore plus à celui qui est en train de la posséder, de la besogner bestialement ainsi, et dont elle ignore tout sauf qu'il est un Mâle bien membré qui la laboure sans ménagement pour son plus grand plaisir et qu'il possède de larges mains qui s'abattent sans ménagement aussi sur ses deux belles fesses bien fermes. C'est au moment où il commence à avoir envie de se répandre dans le cul de la soubrette, que Walter s'approche de la soumise et lui annonce d'un ton très détaché.

- Tu crois que je peux t'autoriser à jouir sous mes virils coups de Queue ?…. Et si Oui, qu'est-ce que je pourrais espérer comme remerciements ? Tu n'as rien à m'offrir que je ne puisse exiger simplement, car tu n'es rien qu'une esclave et que tout ce que tu as et tout ce que tu es appartiennent à ton Maître. Le mieux serait donc de ne pas te laisser partir dans l'extase, à moins que je décide de te choisir comme celle que Monsieur le Marquis d'Evans m'a offert pour la suite de la soirée orgiaque et toute la nuit qui va s'en suivre…

La soubrette a reconnu la voix autoritaire et si caractéristique du Majordome. Elle le craint comme chacun et chacune ici, mais en même temps, elle se sent honorée de la proposition de Walter, elle qui n'a pas eu la chance d'être mise à la disposition d'un des Invités du Marquis n'ayant pas été sélectionnée pour participer au tirage au sort, reléguée au simple rang de soubrette à disposition. C'est donc avec joie qu'elle accueille dans son font intérieur la proposition du Majordome de faire d'elle sa compagne pour la soirée orgiaque.

- Monsieur Walter, je vous remercie très humblement. Je vous promets d'être totalement à votre disposition et de vous obéir en tous points. Je vous en supplie, permettez-moi de jouir en même temps que vous. J'aimerai tant que votre queue de Mâle me permette d'atteindre l'orgasme, dont j'ai été privée depuis de longs jours. S'il vous plait, possédez-moi et transportez-moi, je vous en serais totalement reconnaissante.
- Est-ce que c'est moi qui t'ai autorisé à jacasser autant ? (dit-il d'un ton autoritaire qui est ponctué par des fessées encore plus violentes). Ne sais-tu pas qu'une esclave est juste là pour obéir et pour être à la disposition de son Maître et de tous ceux entre les mains de qui IL la remet ? Il te faudra mériter bien plus que cela le droit au plaisir dont il est tout à fait normal que tu sois privée très souvent pour ton plus grand bien. On finit par ne plus apprécier ce dont on dispose à profusion tous les jours. Tâche donc de ne pas jouir, je te l'interdis pour l'instant et tâche aussi par la suite de bien serrer les fesses quand je t'aurai ensemencé car il n'est pas question que tu laisses se répandre ma semence sur le sol. Je te poserai un plug pour que tu gardes bien profondément en toi mon succulent nectar. Les préparatifs de cet anniversaire m'ont beaucoup occupé et préoccupé depuis plusieurs jours, et il est temps maintenant que la soirée s'est avancée sans le moindre incident, que je relâche un peu la pression et que je puisse aussi profiter de l'occasion de toutes ces sublimes excitations qui m'entourent, puisque Monsieur le Marquis d'Evans me l'a autorisé et que j'ai besoin de me vider les couilles enfin.

Walter tapant de plus en plus fort, comme on le ferait sur un double tambour, sur les fesses de la soumise qui se plie de bonne grâce à ses coups, se met à redoubler de force dans ses assauts la sodomisant avec une vigueur bestiale comme s'il cherchait à expulser par la même occasion toute la tension accumulée depuis des jours et des heures, espérant que tout se passerait à merveille comme cela avait été programmé et orchestré dans les plus petits détails. Au moment précis où il va enfin éjaculer dans un grand râle sourd et animal, il attrape les hanches de la soubrette pour s'enfoncer encore plus profondément en elle, et lui crie.

- Jouis, toi aussi, maintenant. C'est un ordre !

Il n'en faut pas plus pour que la soubrette, trop heureuse d'avoir à obéir à un tel ordre, se lâche et dans plusieurs cris stridents s'envole, son corps secoué de violents spasmes qui continuent alors même que le Majordome a terminé, contractant tous ses muscles vaginaux et pelviens comme pour récupérer encore plus les dernières gouttes du phallus qui vient de se vider en elle abondamment.

Pendant ce temps-là, et pas très loin de là, Maîtresse ADoma a installé Sa petite soumise le dos posé sur un petit banc à fessées surélevé, lui ayant très vite juste avant posé un corset de contraintes garni de menottes pour les mains et les pieds, l'obligeant à garder les jambes pliées largement ouvertes, laissant son bas-ventre exposé au vu de tous totalement excité et rougi par le passage imposé sur le berceau de Judas. Elle a enfilé sur sa combinaison de latex noire, un gode ceinture qu'elle enfourne aussi sec dans la chatte glabre de sa petite pet-esclave kittyA. Elle commence par de profonds va-et-vient dans la caverne humide qui est si sensible que chaque pénétration fait vibrer le corps de la petite chatte humaine. Sentant le plaisir monter trop vite dans le corps de la belle déjà très excité, elle se retire et vient ensuite se glisser profondément dans la bouche de la soumise dont elle a renversé la tête à l'arrière tout en lui enlevant le gant qui lui servait de bâillon. Toisant de manière autoritaire le corps offert de son esclave, la Domina enfile profondément dans la gorge son sexe de substitution, puis attrape la cravache qui pend à sa ceinture et elle commence à passer le bout entre les cuisses de la soumise déjà largement suintantes. Avec de petits coups de cravache ajustés sur le pubis et le sexe de la petite chatte kittyA qui ronronne chaque fois que sa Maîtresse lui permet de reprendre son souffle, elle fait monter le plaisir dans le corps de celle qui lui appartient et lui a fait don de sa vie tout entière.

Elle détache ensuite le gode-ceinture dont elle s'était parée et exige à l'esclave femelle qui lui a été affectée par le tirage au sort d'ajuster ce godemichet autour de sa taille et ses hanches lui faisant comprendre qu'elle doit à son tour pourfendre sa petite kittyA sans ménagement, pénétrant dans une caverne humide et béante qui n'attend que cela. Pendant ce temps, la Domina vient d'ouvrir sa combinaison pour dégager son intimité et sa chatte lubrifiée par l'excitation et le plaisir intellectuel de pouvoir tourmenter et dominer celle qui est totalement en son pouvoir. Maîtresse ADoma s'assoit carrément sur le visage de la belle pet-esclave qui sans qu'on ait besoin de le lui demander tend la langue et lèche sa Maîtresse dans un voluptueux cunnilingus et un profond désir de soumission. La petite chienne-chatte a une langue bien dressée et elle ne tarde pas à faire jouir celle qui est tout pour elle, buvant pour son plus grand ravissement à la source l'eau qui coule du sexe de la Domina fontaine. N'en pouvant plus de se retenir, étant donné le trop plein d'excitation et de sollicitations de toutes sortes, mais sachant qu'elle est enfin autorisé à jouir une fois que sa Maîtresse a eu son content de plaisirs et d'orgasmes, la petite kittyA se laisser aller et c'est de nombreux petits cris jouissifs qui s'en suivent lorsqu'enfin elle s'abandonne à son tour au plaisir.

Le Marquis d'Evans de son côté avait récupéré sa soumise Thaïs, bien décidé à s'acquitter de la promesse qu'IL lui avait faite en fin d'après-midi à son retour au Château, au moment où IL ignorait encore ce qui se concoctait au niveau de la soirée anniversaire. Mais le Grand Maître est respectueux de la parole donnée et IL a donc bien envie sans tarder de laisser Thaïs pouvoir lécher sa Queue et se régaler de son Divin nectar comme IL le lui avait laissé entendre. IL s'installe sur un canapé dans un coin de la pièce et enlève son pantalon pour être plus à l'aise, sans la moindre gêne à l’instar de nombreux invités ont fini également par se dépouiller plus ou moins de tout ou partie de leurs habits, pour se trouver plus à l'aise pour copuler dans tous les coins et recoins du Château.

- Je suis fière de ma soumise qui a su résister et supporter le berceau de judas entre ses cuisses. Vas-y ma belle chienne. Ma Divine Queue est pour toi maintenant...

(A suivre …)