La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 321)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 321)
Suite de l'épisode précédent N°320 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis d’Evans rectifie du bout de la cravache et de quelques ordres supplémentaires les positions des deux soumis qui sont à ses pieds pour son plus grand plaisir de Maître et de Mâle. Thaïs n’a pas arrêté de lécher avidement son Maître tandis qu’elle sentait que l’esclave 24 venait s’installer sous elle, ce qui n’a fait qu’accroître son excitation de savoir qu’il est là en train de regarder de si près en détail sa chatte. Alternant jeux de langue et jeux de lèvres, elle fait le tour du gland, puis l’aspire et le suce, ce qui fait encore plus durcir et gonfler le membre viril sur lequel elle s’active voluptueusement. Elle ouvre la bouche pour l’engloutir quand elle sent la main de son Maître qui lui appuie sur la tête et commence des va-et-vient sensuels et profonds, faisant glisser ses lèvres resserrées sur le sexe autour duquel elle s’enfonce de plus en plus intensément. Le Marquis Edouard d’Evans commence à donner des coups de cravache sur les fesses de Thaïs, alternant d’une fesse sur l’autre, faisant attention de bien taper sur la partie basse et rebondie de la fesse, d’un petit coup sec de l’aplat. Pendant les premiers coups, et dans le même rythme que les coups qu’IL dispense de la main droite, IL appuie de la main gauche sur la tête de Thaïs pour lui imprimer le rythme qu’IL souhaite pour cette sublime fellation sensuelle tant IL apprécie les caresses buccales expérimentées de sa belle chienne.
C’est donc en suivant les coups de cravache qui commence à faire chauffer et rougir ses fesses que la soumise se penche pour absorber le sexe qui vient buter au fond de sa gorge. Tâchant d’oublier le plaisir qui a envahi son bas-ventre qu’elle serre fortement pour retenir l’orgasme que son Maître n’a pas autorisé, la soumise se concentre pour se régler tel un métronome adaptant ses mouvements de tête à la vitesse des volées reçues. Au bout de longues minutes, le Marquis se sentant près à jouir, après s’être retenu au maximum appréciant ce petit temps D/s qui lui a aussi permis de colorer comme IL le souhaitait les fesses de sa belle chienne-esclave, attrape un long paddle large et augmente la cadence des coups faisant comprendre à Thaïs qu’elle-même doit accélérer suivant les désirs de son Maître qui est prêt à éjaculer. IL se répand dans un râle viril et profond, remplissant la gorge de Thaïs de sa Noble semence blanche. La soumise déglutit à plusieurs reprises pour pouvoir avaler l’ensemble du sperme que son Maître vient de lui offrir.
- Tu as bien vidé mes couilles, mais j’espère que tu m’en as laissé encore un peu pour finir la nuit, car tu n’es pas la seule à avoir envie de profiter de tant de délices. Tâche maintenant de bien nettoyer ma Queue, ma petite chienne, à la bouche si sensuelle et si sublime, dans laquelle je passe d’agréables moments jouissifs.
- Maître Vénéré, Je Vous remercie pour le succulent nectar que Vous m’avez permis de déguster, et j’ai conscience de l’immense honneur qui est le mien en cette soirée, d’avoir été baisée et cravachée par Vous, Le Maître Vénéré en personne.
- A propos, j’espère que tu n’as pas joui au moins puisque je te l’avais interdit. Cela me déplairait fortement de constater que tu m’aurais désobéi.
- Maître Vénéré, j’ai respecté Vos ordres comme il se doit, trop heureuse de pouvoir Vous apporter le plaisir que Vous exigiez de moi, car le bonheur de Votre soumise ne dépend que du bonheur de son Maître Vénéré et de la satisfaction qu’IL retire de celle qui est Son esclave dévouée et serviable.
- Je vais bien voir cela …. (puis s’adressant à l’esclave qui était encore là par terre, immobile et allongé sur le sol sous Thaïs) …. 24 ! mon chien, sort de là ! Peux-tu me dire si la fontaine de ma soumise s’est ouverte pendant qu’elle était en train de me sucer. Enfin, plus exactement, viens me montrer ton visage, cela m’en dira tout aussi long.
- Maître, la fontaine de Votre soumise n’a pas coulé, mais sa cyprine est largement abondante et odorante, j’en ai plein le visage.
- Cela ne m’étonne pas, car c’est une vraie chienne en chaleur comme je les aime et qui en plus à une croupe si excitante qu’il est impensable de ne pas avoir envie de jouer avec toujours et encore.
Thaïs entendant le Maître et Son esclave parler d’elle et de son intimité féminine si humide sent ses joues s’empourprer, se rappelant effectivement à ce moment que l’esclave est resté sous sa chatte pendant tout ce temps-là, ce qu’elle avait fini par oublier se concentrant avant tout sur le seul plaisir de son Maître Vénéré et sur Sa Divine Queue qu’elle était en train de sucer. Elle a honte d’avoir répandu sa cyprine sur l’esclave 24 et diffusé largement ses odeurs corporelles que le désir fait naître. Elle n’a pas vraiment conscience que l’esclave mâle loin d’être perturbé par la situation, a particulièrement apprécié ce petit passage entre ses cuisses, ce qui l’aurait bien fait bander s’il n’avait pas eu le sexe encagé.
Le Marquis se redresse sans plus attendre et attrape son boxer qu’il enfile lui-même ainsi que le pantalon de son costume, vérifiant le tombé des plis comme si rien ne s’était passé et qu’il s’apprêtait à sortir en tenue de soirée impeccable. IL fait signe à Walter de s’approcher, lui précise ce qu’IL attend de lui pour la suite et s’éloigne sans un geste ni même un regard de plus sur Thaïs et l’esclave 24 qu’IL abandonne entre les mains de Walter. Le Majordome se penche et attrape fermement les deux laisses.
- Venez-par ici vous deux ! J’ai des consignes. Vous allez me suivre.
Sans dire un seul mot, les deux esclaves se mettent à quatre pattes et se laisse guider par le Majordome, ne sachant pas ce qui les attend, mais ne se posant pas plus de questions que cela, sauf de savoir qu’ils sont là pour obéir aux ordres du Maître et satisfaire la moindre de ses exigences. Thaïs MDE ressent intensément son bas-ventre qui la dévore et qui est en feu car elle a été maintenue dans un état d’excitations diverses. Elle ressent aussi de plus en plus en se déplaçant ses fesses qui doivent avoir pris une belle couleur rouge tant elles lui semblent chaudes. Le chien-esclave 24 est quant à lui d’autant plus excité que son visage est couvert de la cyprine que Thaïs a répandu et qu’il est imprégné de son odeur de femelle. Mais ni l’un, ni l’autre, n’oserait en cet instant se plaindre de n’avoir pas pu jouir de ces instants passés aux pieds du Maître, conscients que tous ici n’auront pas la chance ce soir de pouvoir ne serait-ce qu’approcher le Maître, avoir l’honneur qu’IL daigne leur parler et leur imposer des exigences particulières pour lesquels ils n’ont tous les deux que l’envie de contenter de leur mieux leur Dominant.
Walter installe une chaise avec accoudoirs sur une table basse. Il demande à Thaïs de s’asseoir dessus et il écarte sans ménagement et au maximum les cuisses de la belle chienne en faisant passer chaque jambe par-dessus les accoudoirs de part et d’autre de l’assise. Si bien que la soumise se retrouve le sexe écarté et béant, totalement exposée dans sa nudité et son intimité de femme. Walter revient avec des cordages et il fait un bondage sommaire de manière à ce que la soumise mais également le fauteuil soit bien fixé et que rien ne puisse bouger. Thaïs, immobilisée par les cordes, se sent vulnérable mais aussi terriblement excitée car son sexe est là ouvert, exhibé à la vue de tous. Le crochet est toujours enserré dans son anus, mais Walter à détendu la chaîne pour qu’elle puisse se tenir semi-assise, légèrement inclinée car il a glissé un gros coussin derrière son dos et un petit sous ses fesses pour qu’elle soit encore plus offerte, la chatte béante. L’esclave 24 n’a pas osé bouger depuis que Walter a lâché sa laisse, attendant à quatre pattes, la tête baissée, n’ayant rien vu des préparatifs concernant l’installation de l’esclave-soumise Thaïs MDE. Tout d’un coup, il sent la laisse qui est tirée fortement, l’obligeant à se mettre debout. D’un ton froid et détaché, le Majordome annonce :
- Le chien ! Tu vas pouvoir lécher cette femelle en chaleur, jusqu’à ce qu’elle jouisse, ordre de Monsieur le Marquis d’Evans. Attend un peu cependant que je termine les préparatifs. Je viens de faire aller chercher ce dont j’ai besoin.
Walter installe au pied du fauteuil une grande coupelle qui fait office de vasque et il accroche avec un mousqueton un petit écriteau en ardoise sur lequel il vient d’écrire à la craie « Je suis une chienne-fontaine, faites-moi couler autant que vous le pourrez de toutes les manières possibles ».
- Ah, ah, ah Thaïs, te voilà transformée en décor architectural. Monsieur le Marquis Edouard d’Evans a eu une très bonne idée à laquelle je n’avais pas pensé plus tôt, sinon, j’aurais peaufiné le décor pour la vraisemblance, te faisant peindre couleur pierre et non comme les autres en doré. Mais qui sait, un jour, je demanderai au jardinier de te trouver une place définitive au milieu du jardin d’agrément.
Walter rigole tout seul d’un rire sadique qui tourmente Thaïs MDE car elle se demande si le Majordome plaisante à ses dépens comme il a coutume de le faire ou s’il n’aurait pas vraiment envie de mettre son idée lubrique à exécution la laissant en ornementation pour une durée illimitée, installée au milieu des jardins sans pouvoir bouger, telle une statue antique de pierre ou une fontaine de bronze qui coule.
- Pour cette soirée, tu as une liberté totale de jouissance, alors profites-en ! D’ailleurs, tu n’as rien à faire que de te laisser faire et de rester là tout le reste de la soirée, à la disposition de tous Ceux et Celles qui voudraient ouvrir ton robinet de fontaine, sauf bien sûr si un des Invités de Monsieur le Marquis voulait prendre l’initiative de te détacher et exiger autre chose de plus palpitant à sa convenance.
Walter attrape sa cravache, la fait siffler dans l’air plusieurs fois, sachant très bien l’effet que cela va produire sur la soumise qui a les cuisses grandes ouvertes, et il donne quelques coups sur les entrejambes de la belle qui couine un peu en se mordant les lèvres car il s’agit de zones plus sensibles, continuant à promener le bout de la cravache entre les lèvres intimes si excitées de la chienne jusqu’à ce qu’elle continue à couiner mais d’un tout autre plaisir maintenant même quand la cravache vient à nouveau frapper son entrecuisse plus sèchement en alternance avec des moments plus délicats.
- 24 ! Je te la laisse, j’ai à faire ailleurs … je pense qu’elle commence à être mure à point, tu ne devrais pas tarder à pouvoir ouvrir le robinet de cette fontaine. Tu as l’obligation et le droit de ne la faire jouir qu’une seule fois et avec ta langue seulement. Tu pourras même boire son éjaculat féminin directement à la source. Ensuite, cette esclave-soumise sera exclusivement réservée aux Invités. Sois déjà heureux de ce qui t’es accordé par Monsieur le Marquis d’Evans, qui est bien trop bon avec les minables chiens que vous êtes tous autant les uns que les autres. Je te laisse aussi un biberon rempli d’eau (qui n’a de biberon que le nom car c’est un vrai objet en forme de sexe phallique avec une tétine qui imite un gland). Il te faudra juste après son orgasme lui donner à boire car je pense qu’elle appréciera de s’hydrater largement, et cela aussi souvent qu’elle le demandera, charge à toi d’aller le remplir d’eau s’il est vide. Ce sera ta tâche pour le restant de la soirée, les femmes fontaines ont toujours soif après les orgasmes qui les font abondamment couler.
- Oui, Monsieur Walter. Tout sera fait comme vous l’avez précisé conformément aux consignes du Maître que je voudrais pouvoir remercier pour le plaisir qu’il m’accorde et la tâche qu’il m’impose.
L’esclave 24 s’incline respectueusement tandis que Walter s’éloigne, laissant là la soumise-fontaine, ayant juste pris soin de déposer sur son ventre une belle cravache pour donner des idées à Ceux et Celles qui voudraient profiter de si belles entrecuisses à la peau si tendres et encore bien peu zébrées.
Pendant ce temps, le Marquis Edouard d’Evans qui avait quitté le Grand Hall aménagé en donjon pour la soirée orgiaque et D/s s’est dirigé vers la salle de réception où l’orchestre joue toujours. Toutes les tables ont été enlevées et remplacées par des petits coins repos aménagés de petites tables rondes et de chaises disposées autour de la piste de danse. Variant les plaisirs sensuels et les plaisirs plus excitants D/s ou charnels, certains Invités, allant et venant librement d’une pièce à l’autre, sont sur la piste de danse, tandis que d’autres échangent, contents de se retrouver en ce lieu qui réunit régulièrement des habitués de ces célèbres soirées D/s organisées par le Marquis Edouard d’Evans, et particulièrement ravis de cette soirée au caractère si exceptionnel. Le Châtelain aperçoit dans la pièce sa belle Marquise Aurore d’Evans qui est là, reconnaissant à ses côtés le chanteur-castrat qui a animé sa soirée et qui semble s’être remis de sa léthargie après avoir réussi à éjaculer comme jamais de sa vie, ayant d’abord fait jouir soumise émeline MDE déguisée en poupée automate avant de s’effondrer après avoir sodomisé soumise holly MDE, d’autant plus excité que pendant le temps où il pourfendait la croupe de la belle soumise, Walter était en train sur les ordres du Marquis d’Evans de cravacher en cadence les fesses du castrat lui faisant découvrir des plaisirs D/s qu’il n’avait jamais ressenti auparavant aussi intensément.
- Ma belle Marquise Aurore que j’adore. Tu es là ! C’est toi que je cherchais. Je t’ai un peu délaissée jusqu’à présent, mais qu’à cela ne tienne, nous passerons la fin de la nuit ensemble dans la chambre nuptiale et je saurais bien encore trouver l’énergie de te faire apprécier ce sublime moment que tu passeras entre mes bras et moi entre tes cuisses. J’ai pour l’heure très envie de te faire danser et de sentir ton corps ondoyer contre le mien. Mais avant cela, je suis aussi ravi de voir que notre chanteur-castrat s’est remis des émotions jouissives rapidement. Je vois qu’il te tenait compagnie en mon absence et j’espère que votre conversation t’a été plaisante….
(A suivre …)
Le Marquis d’Evans rectifie du bout de la cravache et de quelques ordres supplémentaires les positions des deux soumis qui sont à ses pieds pour son plus grand plaisir de Maître et de Mâle. Thaïs n’a pas arrêté de lécher avidement son Maître tandis qu’elle sentait que l’esclave 24 venait s’installer sous elle, ce qui n’a fait qu’accroître son excitation de savoir qu’il est là en train de regarder de si près en détail sa chatte. Alternant jeux de langue et jeux de lèvres, elle fait le tour du gland, puis l’aspire et le suce, ce qui fait encore plus durcir et gonfler le membre viril sur lequel elle s’active voluptueusement. Elle ouvre la bouche pour l’engloutir quand elle sent la main de son Maître qui lui appuie sur la tête et commence des va-et-vient sensuels et profonds, faisant glisser ses lèvres resserrées sur le sexe autour duquel elle s’enfonce de plus en plus intensément. Le Marquis Edouard d’Evans commence à donner des coups de cravache sur les fesses de Thaïs, alternant d’une fesse sur l’autre, faisant attention de bien taper sur la partie basse et rebondie de la fesse, d’un petit coup sec de l’aplat. Pendant les premiers coups, et dans le même rythme que les coups qu’IL dispense de la main droite, IL appuie de la main gauche sur la tête de Thaïs pour lui imprimer le rythme qu’IL souhaite pour cette sublime fellation sensuelle tant IL apprécie les caresses buccales expérimentées de sa belle chienne.
C’est donc en suivant les coups de cravache qui commence à faire chauffer et rougir ses fesses que la soumise se penche pour absorber le sexe qui vient buter au fond de sa gorge. Tâchant d’oublier le plaisir qui a envahi son bas-ventre qu’elle serre fortement pour retenir l’orgasme que son Maître n’a pas autorisé, la soumise se concentre pour se régler tel un métronome adaptant ses mouvements de tête à la vitesse des volées reçues. Au bout de longues minutes, le Marquis se sentant près à jouir, après s’être retenu au maximum appréciant ce petit temps D/s qui lui a aussi permis de colorer comme IL le souhaitait les fesses de sa belle chienne-esclave, attrape un long paddle large et augmente la cadence des coups faisant comprendre à Thaïs qu’elle-même doit accélérer suivant les désirs de son Maître qui est prêt à éjaculer. IL se répand dans un râle viril et profond, remplissant la gorge de Thaïs de sa Noble semence blanche. La soumise déglutit à plusieurs reprises pour pouvoir avaler l’ensemble du sperme que son Maître vient de lui offrir.
- Tu as bien vidé mes couilles, mais j’espère que tu m’en as laissé encore un peu pour finir la nuit, car tu n’es pas la seule à avoir envie de profiter de tant de délices. Tâche maintenant de bien nettoyer ma Queue, ma petite chienne, à la bouche si sensuelle et si sublime, dans laquelle je passe d’agréables moments jouissifs.
- Maître Vénéré, Je Vous remercie pour le succulent nectar que Vous m’avez permis de déguster, et j’ai conscience de l’immense honneur qui est le mien en cette soirée, d’avoir été baisée et cravachée par Vous, Le Maître Vénéré en personne.
- A propos, j’espère que tu n’as pas joui au moins puisque je te l’avais interdit. Cela me déplairait fortement de constater que tu m’aurais désobéi.
- Maître Vénéré, j’ai respecté Vos ordres comme il se doit, trop heureuse de pouvoir Vous apporter le plaisir que Vous exigiez de moi, car le bonheur de Votre soumise ne dépend que du bonheur de son Maître Vénéré et de la satisfaction qu’IL retire de celle qui est Son esclave dévouée et serviable.
- Je vais bien voir cela …. (puis s’adressant à l’esclave qui était encore là par terre, immobile et allongé sur le sol sous Thaïs) …. 24 ! mon chien, sort de là ! Peux-tu me dire si la fontaine de ma soumise s’est ouverte pendant qu’elle était en train de me sucer. Enfin, plus exactement, viens me montrer ton visage, cela m’en dira tout aussi long.
- Maître, la fontaine de Votre soumise n’a pas coulé, mais sa cyprine est largement abondante et odorante, j’en ai plein le visage.
- Cela ne m’étonne pas, car c’est une vraie chienne en chaleur comme je les aime et qui en plus à une croupe si excitante qu’il est impensable de ne pas avoir envie de jouer avec toujours et encore.
Thaïs entendant le Maître et Son esclave parler d’elle et de son intimité féminine si humide sent ses joues s’empourprer, se rappelant effectivement à ce moment que l’esclave est resté sous sa chatte pendant tout ce temps-là, ce qu’elle avait fini par oublier se concentrant avant tout sur le seul plaisir de son Maître Vénéré et sur Sa Divine Queue qu’elle était en train de sucer. Elle a honte d’avoir répandu sa cyprine sur l’esclave 24 et diffusé largement ses odeurs corporelles que le désir fait naître. Elle n’a pas vraiment conscience que l’esclave mâle loin d’être perturbé par la situation, a particulièrement apprécié ce petit passage entre ses cuisses, ce qui l’aurait bien fait bander s’il n’avait pas eu le sexe encagé.
Le Marquis se redresse sans plus attendre et attrape son boxer qu’il enfile lui-même ainsi que le pantalon de son costume, vérifiant le tombé des plis comme si rien ne s’était passé et qu’il s’apprêtait à sortir en tenue de soirée impeccable. IL fait signe à Walter de s’approcher, lui précise ce qu’IL attend de lui pour la suite et s’éloigne sans un geste ni même un regard de plus sur Thaïs et l’esclave 24 qu’IL abandonne entre les mains de Walter. Le Majordome se penche et attrape fermement les deux laisses.
- Venez-par ici vous deux ! J’ai des consignes. Vous allez me suivre.
Sans dire un seul mot, les deux esclaves se mettent à quatre pattes et se laisse guider par le Majordome, ne sachant pas ce qui les attend, mais ne se posant pas plus de questions que cela, sauf de savoir qu’ils sont là pour obéir aux ordres du Maître et satisfaire la moindre de ses exigences. Thaïs MDE ressent intensément son bas-ventre qui la dévore et qui est en feu car elle a été maintenue dans un état d’excitations diverses. Elle ressent aussi de plus en plus en se déplaçant ses fesses qui doivent avoir pris une belle couleur rouge tant elles lui semblent chaudes. Le chien-esclave 24 est quant à lui d’autant plus excité que son visage est couvert de la cyprine que Thaïs a répandu et qu’il est imprégné de son odeur de femelle. Mais ni l’un, ni l’autre, n’oserait en cet instant se plaindre de n’avoir pas pu jouir de ces instants passés aux pieds du Maître, conscients que tous ici n’auront pas la chance ce soir de pouvoir ne serait-ce qu’approcher le Maître, avoir l’honneur qu’IL daigne leur parler et leur imposer des exigences particulières pour lesquels ils n’ont tous les deux que l’envie de contenter de leur mieux leur Dominant.
Walter installe une chaise avec accoudoirs sur une table basse. Il demande à Thaïs de s’asseoir dessus et il écarte sans ménagement et au maximum les cuisses de la belle chienne en faisant passer chaque jambe par-dessus les accoudoirs de part et d’autre de l’assise. Si bien que la soumise se retrouve le sexe écarté et béant, totalement exposée dans sa nudité et son intimité de femme. Walter revient avec des cordages et il fait un bondage sommaire de manière à ce que la soumise mais également le fauteuil soit bien fixé et que rien ne puisse bouger. Thaïs, immobilisée par les cordes, se sent vulnérable mais aussi terriblement excitée car son sexe est là ouvert, exhibé à la vue de tous. Le crochet est toujours enserré dans son anus, mais Walter à détendu la chaîne pour qu’elle puisse se tenir semi-assise, légèrement inclinée car il a glissé un gros coussin derrière son dos et un petit sous ses fesses pour qu’elle soit encore plus offerte, la chatte béante. L’esclave 24 n’a pas osé bouger depuis que Walter a lâché sa laisse, attendant à quatre pattes, la tête baissée, n’ayant rien vu des préparatifs concernant l’installation de l’esclave-soumise Thaïs MDE. Tout d’un coup, il sent la laisse qui est tirée fortement, l’obligeant à se mettre debout. D’un ton froid et détaché, le Majordome annonce :
- Le chien ! Tu vas pouvoir lécher cette femelle en chaleur, jusqu’à ce qu’elle jouisse, ordre de Monsieur le Marquis d’Evans. Attend un peu cependant que je termine les préparatifs. Je viens de faire aller chercher ce dont j’ai besoin.
Walter installe au pied du fauteuil une grande coupelle qui fait office de vasque et il accroche avec un mousqueton un petit écriteau en ardoise sur lequel il vient d’écrire à la craie « Je suis une chienne-fontaine, faites-moi couler autant que vous le pourrez de toutes les manières possibles ».
- Ah, ah, ah Thaïs, te voilà transformée en décor architectural. Monsieur le Marquis Edouard d’Evans a eu une très bonne idée à laquelle je n’avais pas pensé plus tôt, sinon, j’aurais peaufiné le décor pour la vraisemblance, te faisant peindre couleur pierre et non comme les autres en doré. Mais qui sait, un jour, je demanderai au jardinier de te trouver une place définitive au milieu du jardin d’agrément.
Walter rigole tout seul d’un rire sadique qui tourmente Thaïs MDE car elle se demande si le Majordome plaisante à ses dépens comme il a coutume de le faire ou s’il n’aurait pas vraiment envie de mettre son idée lubrique à exécution la laissant en ornementation pour une durée illimitée, installée au milieu des jardins sans pouvoir bouger, telle une statue antique de pierre ou une fontaine de bronze qui coule.
- Pour cette soirée, tu as une liberté totale de jouissance, alors profites-en ! D’ailleurs, tu n’as rien à faire que de te laisser faire et de rester là tout le reste de la soirée, à la disposition de tous Ceux et Celles qui voudraient ouvrir ton robinet de fontaine, sauf bien sûr si un des Invités de Monsieur le Marquis voulait prendre l’initiative de te détacher et exiger autre chose de plus palpitant à sa convenance.
Walter attrape sa cravache, la fait siffler dans l’air plusieurs fois, sachant très bien l’effet que cela va produire sur la soumise qui a les cuisses grandes ouvertes, et il donne quelques coups sur les entrejambes de la belle qui couine un peu en se mordant les lèvres car il s’agit de zones plus sensibles, continuant à promener le bout de la cravache entre les lèvres intimes si excitées de la chienne jusqu’à ce qu’elle continue à couiner mais d’un tout autre plaisir maintenant même quand la cravache vient à nouveau frapper son entrecuisse plus sèchement en alternance avec des moments plus délicats.
- 24 ! Je te la laisse, j’ai à faire ailleurs … je pense qu’elle commence à être mure à point, tu ne devrais pas tarder à pouvoir ouvrir le robinet de cette fontaine. Tu as l’obligation et le droit de ne la faire jouir qu’une seule fois et avec ta langue seulement. Tu pourras même boire son éjaculat féminin directement à la source. Ensuite, cette esclave-soumise sera exclusivement réservée aux Invités. Sois déjà heureux de ce qui t’es accordé par Monsieur le Marquis d’Evans, qui est bien trop bon avec les minables chiens que vous êtes tous autant les uns que les autres. Je te laisse aussi un biberon rempli d’eau (qui n’a de biberon que le nom car c’est un vrai objet en forme de sexe phallique avec une tétine qui imite un gland). Il te faudra juste après son orgasme lui donner à boire car je pense qu’elle appréciera de s’hydrater largement, et cela aussi souvent qu’elle le demandera, charge à toi d’aller le remplir d’eau s’il est vide. Ce sera ta tâche pour le restant de la soirée, les femmes fontaines ont toujours soif après les orgasmes qui les font abondamment couler.
- Oui, Monsieur Walter. Tout sera fait comme vous l’avez précisé conformément aux consignes du Maître que je voudrais pouvoir remercier pour le plaisir qu’il m’accorde et la tâche qu’il m’impose.
L’esclave 24 s’incline respectueusement tandis que Walter s’éloigne, laissant là la soumise-fontaine, ayant juste pris soin de déposer sur son ventre une belle cravache pour donner des idées à Ceux et Celles qui voudraient profiter de si belles entrecuisses à la peau si tendres et encore bien peu zébrées.
Pendant ce temps, le Marquis Edouard d’Evans qui avait quitté le Grand Hall aménagé en donjon pour la soirée orgiaque et D/s s’est dirigé vers la salle de réception où l’orchestre joue toujours. Toutes les tables ont été enlevées et remplacées par des petits coins repos aménagés de petites tables rondes et de chaises disposées autour de la piste de danse. Variant les plaisirs sensuels et les plaisirs plus excitants D/s ou charnels, certains Invités, allant et venant librement d’une pièce à l’autre, sont sur la piste de danse, tandis que d’autres échangent, contents de se retrouver en ce lieu qui réunit régulièrement des habitués de ces célèbres soirées D/s organisées par le Marquis Edouard d’Evans, et particulièrement ravis de cette soirée au caractère si exceptionnel. Le Châtelain aperçoit dans la pièce sa belle Marquise Aurore d’Evans qui est là, reconnaissant à ses côtés le chanteur-castrat qui a animé sa soirée et qui semble s’être remis de sa léthargie après avoir réussi à éjaculer comme jamais de sa vie, ayant d’abord fait jouir soumise émeline MDE déguisée en poupée automate avant de s’effondrer après avoir sodomisé soumise holly MDE, d’autant plus excité que pendant le temps où il pourfendait la croupe de la belle soumise, Walter était en train sur les ordres du Marquis d’Evans de cravacher en cadence les fesses du castrat lui faisant découvrir des plaisirs D/s qu’il n’avait jamais ressenti auparavant aussi intensément.
- Ma belle Marquise Aurore que j’adore. Tu es là ! C’est toi que je cherchais. Je t’ai un peu délaissée jusqu’à présent, mais qu’à cela ne tienne, nous passerons la fin de la nuit ensemble dans la chambre nuptiale et je saurais bien encore trouver l’énergie de te faire apprécier ce sublime moment que tu passeras entre mes bras et moi entre tes cuisses. J’ai pour l’heure très envie de te faire danser et de sentir ton corps ondoyer contre le mien. Mais avant cela, je suis aussi ravi de voir que notre chanteur-castrat s’est remis des émotions jouissives rapidement. Je vois qu’il te tenait compagnie en mon absence et j’espère que votre conversation t’a été plaisante….
(A suivre …)
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