La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 322)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 322) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 322)
Suite de l'épisode précédent N°321 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Le Marquis d’Evans se retourne vers le chanteur et le regarde fixement en levant le menton et en tendant le cou, l’obligeant à baisser les yeux car il ne peut soutenir très longtemps ce regard si directif, ressentant le pouvoir naturel de Domination qui émane du Marquis Edouard d’Evans.

- Il y a du potentiel en toi, du potentiel de soumission, je voulais dire, car il me serait bien difficile de juger de tes talents de chanteur, autrement que de te dire que j’ai apprécié le spectacle et ton chant. J’ai l’habitude de ne jamais me précipiter pour donner suite à une demande d’un soumis ou d’une soumise en devenir et les prendre à l’essai, car c’est un engagement qui ne se fait pas à la légère. Le dressage ici est difficile, parfois éprouvant, forçant chacun à dépasser ses limites, mais c’est le prix à payer pour devenir un esclave du cheptel et tous ceux et celles qui sont soumis ou soumises dans l’âme y trouvent bonheur et apaisement de pouvoir enfin vivre ce à quoi ils ou elles sont prédestiné(e)s. Mais, par égard pour mon ami défunt, Monsieur de la Chartedière, dont tu as été le soumis auparavant, je suis prêt à réduire ce temps d’attente et de réflexion que j’impose le plus souvent.

Le Marquis marque un temps de pause et reprend d’une voix grave et posée.

- Si donc ta demande de te mettre à mon service et de me reconnaître comme ton Maître absolu n’a pas été faite à la légère en début de soirée sous le coup de l’euphorie du banquet anniversaire, je t’impose comme première exigence de te retirer dès à présent dans une chambre aménagée où je te ferai conduire pour y réfléchir tranquillement tout le reste de la nuit et une partie de la journée de demain, jusqu’à ce que je te fasse venir chercher. Tu y trouveras de la lecture qui t’aidera dans ton cheminement et ta réflexion pour commencer à comprendre ce que j’attendrai et exigerai de toi, au fur et à mesure bien sûr de ton évolution et de ton conditionnement. Tu pourras également poser toutes les questions que tu voudras lorsqu’il viendra te chercher à mon Majordome qui y répondra du mieux possible. Tu n’es pas encore un de mes soumis à l’essai. Il s’agit donc bien plus d’une chambre sans fenêtres que d’une vraie cellule, qui dans tous les cas ne sera pas fermé à clef. Sache qu’ici, au risque de me répéter, tu seras toujours libre de partir à tout moment, le Château n’a JAMAIS été une prison et ne le sera jamais. En revanche, ton départ sera dans tous les cas définitif, il ne servirait à rien de revenir ramper et frapper au perron de ce Château dont tu te serais banni tout seul.

Le Noble qui se tient droit et immobile tandis qu’IL parle attrape le menton du castrat pour le forcer à lever les yeux et à supporter son regard directif et Dominant, sachant très bien l’impact qu’IL produit sur ceux qui sont soumis ou soumise par nature au tréfonds de leur âme, et ne désirent que vivre sous le joug d’un Maître qu’ils ou elles pourront reconnaître comme tel et Vénérer avec une dévotion sans bornes. Puis reprenant, tout en le fixant de plus belle pour lui faire comprendre qu’il n’y aucune discussion ou compromission possible sur la suite de ses propos.

- Ce que je viens de dire est valable dès à présent, si tu souhaites que quelqu’un te raccompagne maintenant que tu es remis sur pied, cela est tout à fait possible. Par contre, comme tu ne fais pas parti de la liste des Invités, ni même de mon cheptel, je tiens à ce que tu ne restes pas parmi nous pour la suite de la soirée car tu n’y as pas ta place. Je te laisse le choix entre, d’une part une chambre à l’hôtel du village où je te ferai conduire par l’un des gardiens, tous frais payés bien sûr, en tant que chanteur et animateur de cette soirée, pour laquelle tu recevras en outre une gratification pour ta prestation, ou d’autre part la chambre-cellule où j’exige que tu te retires sans tarder si tu souhaites rester dans l’enceinte de ce Château pour y réfléchir sur ton avenir et la possibilité que tu auras demain en fin de journée de pouvoir me supplier à genoux de te prendre à l’essai, ce que je n’accepterai que si je juge que ta motivation est réelle et sérieuse après un interrogatoire préliminaire pendant lequel j’attends de toi franchise et loyauté, qui sont deux des valeurs indispensables pour espérer un jour devenir un soumis à part entière.

Le Marquis d’Evans lâche le menton du chanteur et attend de voir quelle va être sa réaction, bien qu’IL reste persuadé qu’IL n’aura pas besoin de faire avancer la voiture pour reconduire le castrat en dehors de l’enceinte du Château, car IL a une très grande connaissance et habitude en matière de Domination/soumission et se trompe rarement quand IL reconnaît chez quelqu’un une propension naturelle à la soumission.

- Monsieur le Marquis d’Evans, je vous remercie très sincèrement de votre proposition. Puisque Vous m’avez offert le choix, je souhaite avoir la possibilité de rester ici dans le Château de Vos ancêtres et de me retirer dans le lieu qu’il Vous plaira de mettre à ma disposition. Je vais suivre Vos précieux conseils, lire et réfléchir jusqu’à demain à l’opportunité qui m’est offerte de pouvoir Vous implorer de me prendre comme soumis à l’essai, bien que je me sente encore si peu digne de servir un si Grand Maître que Celui que j’ai eu l’honneur de rencontrer ce jour, qui est entouré par un cheptel d’esclaves parfaitement dressés, tous aussi dévoués les uns que les autres, craignant encore de ne pas être à la hauteur de ce que Vous pourriez exiger de ma modeste personne.

Le Marquis d’Evans claque dans les mains et aussi sec une des soumises-soubrettes les plus proches s’avance et s’incline respectueusement.

- Ma petite chienne, va trouver mon Majordome et demande lui qu’il fasse le nécessaire pour que l’on conduise sans tarder notre chanteur-castrat dans la chambre-cellule A10. Walter comprendra très bien ce que cela signifie et ce que cela implique….. (puis se retournant vers le soumis en devenir) … Quand à toi, tu n’as plus qu’à suivre cette belle soubrette.

Le Châtelain se retourne à nouveau vers la Marquise Aurore d’Evans, IL lui enlace la taille de son bras et l’entraîne vers ce qui tient lieu de piste de danse près de l’orchestre qui joue depuis le début de la soirée, demandant une valse viennoise pour commencer et un tango plus sensuel en suivant. Le Marquis tend la main, la paume tournée vers le haut.

- Ma chère Marquise, voulez-vous bien m’accorder cette danse ? (la vouvoyant de manière très exceptionnelle pour rendre l’instant plus solennel tandis qu’IL s’incline comme le ferai un galant Homme devant une dame élégante et attirante)
- Monsieur le Marquis d’Evans, mon Amour de Maître, Vous savez très bien que je ne saurai jamais rien Vous refuser, ce soir encore moins que jamais, alors que dire d’une si belle demande que j’accueille avec ravissement. Je danserai aussi longtemps que Vous le souhaiterez, trop heureuse de pouvoir me trouver dans Vos bras. Me serait-il possible, Maître, de Vous poser une question ?
- Oui, je Vous en prie, Madame la Marquise.
- Je ne devrai peut-être pas Vous demander cela, mais est-il possible de savoir pourquoi Vous m’avez vouvoyé à l’instant ? Ne suis-je pas toujours Votre fidèle soumise avant même d’être Votre Marquise Aurore. Cela m’a glacé d’effroi de Vous entendre me parler de manière si distante. Vous ai-je déplu de quelque manière que ce soit ? Si tel est le cas, j’aimerai pouvoir savoir en quoi, afin de ne pas risquer de continuer ou de recommencer à Vous mécontenter plus avant.
- Ne t’inquiètes pas, ma toute belle, tu es et tu restes ma soumise et même Ma Favorite. Je voulais juste m’amuser un peu, avant de te faire danser, comme si nous étions dans un grand bal cérémonieux et non pas une soirée orgiaque D/s. Je dois avouer aussi que le fait de te voir vêtue aussi élégamment, la poitrine dénudée certes, mais avec ta grande robe longue à pans qui doit bien virevolter lorsque je vais te faire tourner, l’idée m’émoustille largement. Tes bijoux de seins aussi sont merveilleusement tentants, je crois que je mordillerai bien sans plus attendre tes tétons mais je vais patienter jusqu’à ce que nous soyons seuls dans notre chambre pour que tu sois à moi, toute à moi et rien qu’à moi.

Le Marquis d’Evans qui danse à merveille entraine dans une valse romantique Sa Marquise Aurore qui semble presque voler dans l’air tant elle se déplace avec légèreté malgré les hauts talons sur lesquels elle est perchée. Sa robe qui est faite de 4 pans non attachés entre eux se met à tourner en corolle, laissant entrevoir au gré des ouvertures des morceaux de tissus ses longues jambes recouvertes de bas noirs et son intimité féminine parfaitement glabre puisqu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Le Châtelain se plait de sentir les regards de ses Invités qui se portent sur celle qu’IL tient dans ses bras. IL savoure avec délectation le plaisir de savoir qu’elle est totalement Sienne, la faisant pirouetter avec élégance en s’amusant à sentir sa robe de plus en plus souvent entrouverte même s’IL ne peut pour sa part profiter du spectacle furtif que chaque tour sur la piste de danse occasionne. La Marquise Aurore d’Evans est ravie de ce moment passé dans les bras de son Amour de Maître, particulièrement excitée de se savoir ainsi partiellement dévoilée aux regards des Invités attentifs, même si elle du mal à concevoir que malgré le fait que tous les esclaves du cheptel sont quant à eux totalement dénudés, elle se sent encore plus exposée et impudique par l’effet de cette danse qui la déshabille par instants fugaces, car il n’y a rien de plus sensuel que ce qui est à peine montré mais largement suggéré. Ses joues se sont surtout empourprées quand elle a entendu son Maître lui susurrer à l’oreille :

- Tu es à moi, ma magnifique Marquise. Tu es si belle dans cette tenue que je trouve très excitante et érotiquement sensuelle. Je suis sûr que tous les mâles ici présents doivent m’envier à cet instant d’avoir la chance que tu sois Mienne et tu dois en faire bander plus d’un, j’en suis sûr, malgré le fait qu’il y a dans ce Château de nombreuses autres tentations perverses et sensuelles.

Le Marquis d’Evans serre fort la taille de sa partenaire qu’IL plaque contre Lui pour le tango argentin que l’orchestre vient de se mettre à jouer. Cette danse qui mêle sensualité et sensibilité dans les mouvements corporels est un vrai régal pour les yeux des spectateurs mais aussi pour le plaisir des deux danseurs eux-mêmes. Tout autour de la piste de danse, les personnes, Invités ou esclaves se sont immobilisés regardant la prestation du couple qui pourrait largement égaler celle d’un couple de danseurs professionnels en compétition. Si la valse avait fait tourner la robe de la Marquise dans un petit jeu de pans qui s’ouvraient à chaque tour, cette danse plus lascive en corps à corps avec ses déhanchés si particuliers laissent maintenant l’anatomie intime de la Marquise se dévoiler largement chaque fois que son cavalier la bascule vers l’arrière ou sur ses jambes, allant même jusqu’à la renverser complètement, l’obligeant à exposer devant tous sa chatte déjà scintillante du désir charnel qui l’habite. Cette danse est terriblement provocatrice et explicite, et il n’en faut pas plus pour faire à nouveau revenir une belle bosse dans le pantalon du Marquis d’Evans qui frotte son corps contre celui de sa Marquise pour lui faire savourer l’effet qu’elle produit sur son anatomie virile. La musique s’arrête avec la fin de la danse et le Marquis embrasse avec fougue et possession celle qu’IL tient dans ses bras sous les applaudissements de toute l’assemblée, n’hésitant pas à glisser sa main dans l’intimité de la Marquise pour vérifier l’humidité qui y règne, ressortant sa main onctueusement trempée de cyprine qu’IL fait largement lécher aux yeux de tous, si fier de celle qui lui appartient totalement depuis longtemps et qui Lui voue un Amour et une dévotion sans bornes.

- Ma très belle Marquise, je te remercie pour cet exquis moment. Il me tarde de te retrouver dans Mes bras pour la fin de la soirée ….. (et s’approchant de son oreille, IL ajoute) et je crois qu’il tarde aussi à Ma Queue de te retrouver dans Mes draps pour la fin de la nuit
- Mon amour de Maître, c’est Votre soumise qui Vous remercie pour ces deux danses si merveilleuses, mais aussi pour tout ce que Vous m’apportez au quotidien depuis le début où Vous m’avez accepté comme Votre soumise et pour tout cela ma gratitude est infinie et Vous est acquise pour l’éternité.

Le Marquis dépose un baiser plus tendre sur la main de Sa Marquise et ajoute :

- A très vite, ma toute belle. Je me dois à mes Invités encore un peu. Il y a tellement de personnes que j’aimerai prendre le temps de saluer avant d’aller me coucher. Soit patiente, je viendrais bientôt te chercher pour monter dans la chambre nuptiale. A propos, as-tu aperçu David ces derniers temps ? Je lui ai confié, ma soumise émeline MDE pour la soirée et la nuit et j’aimerai être sûr qu’il en a fait bon usage, car je tiens à retrouver mon assistante en pleine forme dès demain...

(A suivre ….)

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