La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 323)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 323)
Suite de l'épisode N°318 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Walter s’apprête à quitter la salle du personnel, suivi de soumise Thaïs MDE toujours trainée par la laisse accrochée à la ceinture du Majordome. Il abandonne à son triste sort essai76, qui des suites de son altercation inadmissible a été installé dans cette pièce, en punition sur un pilori, dans une position inconfortable qui va vite devenir douloureuse et difficile à supporter, mais tout autant source d’excitation qu’il n’aurait jamais imaginé aussi intense, puisqu’il va demeurer à la disposition de tous les employés et domestiques du Château qui pourront user et abuser autant qu’ils leur plairont de sa bouche et de son anus, orifices qui resteront plugués quand ils ne seront pas utilisés. Celui qui prétendait à rejoindre le cheptel des esclaves du Marquis d’Evans va maintenant avoir aussi tout le temps de réfléchir sur les conséquences de ses gestes belliqueux en attendant le retour du Noble qui lui seul pourra décider du châtiment et de la mise à l’épreuve qu’IL imposera à celui qui a gravement porté la main et le poing sur deux autres esclaves, ou, ce qui semble plus vraisemblable vu la gravité de la faute, le renvoi définitif de ce chien peu racé et encore bien mal dressé qui n’est pas digne de trainer ses sales pattes entre ces Nobles murs légendaires et de rester sous le joug du grand Maître des Lieux, juste mais ferme et intransigeant, qui ne tolère pas du tout qu’on lui désobéisse et encore moins que quelqu’un s’en prenne sans raison et violemment à ceux et celles qui sont devenus Sa propriété et qui n’ont comme seule envie que de Le servir dignement et docilement. Le brutal coupable comprend que seul son comportement jusqu’au retour du Châtelain et son sincère repentir pourront peut-être encore parler en sa faveur, regrettant son caractère pugnace qui s’emporte facilement et dont il ne peut que se blâmer encore plus tout seul. Il prend conscience amèrement de tout ce qu’il risque de perdre de manière définitive, venant à peine de découvrir sa vraie nature et la profondeur du plaisir masochiste qu’il a ressenti lorsqu’il a été châtié, même si l’épreuve fût pour lui dure à supporter car le remord et la crainte l’habitaient déjà.
Il y a longtemps qu’il n’y a pas eu un événement aussi déplorable en ces lieux et la rébellion n’a pas cours dans l’enceinte du domaine où tous sont asservis pour leur plus grand bonheur. Même si cela n’est pas toujours aisé à supporter au quotidien, les esclaves du cheptel y trouvent globalement leur compte avec de nombreux avantages et autres moments d’excitations non négligeables au point de tous vouloir vouer leur vie à leur Maître et Seigneur et ne rien vouloir de plus que de le contenter. C’est pourquoi Walter est particulièrement contrarié de ce qui vient de se passer mais aussi inquiet de la santé d’e6938 MDE, attendant avec impatience des nouvelles de l’infirmière pour connaître la nature des dommages corporels. Il sait aussi que cela aura fortement marqué les esprits des autres soumises et soumis qui ne manqueront pas de réfléchir sur leur condition servile qu’ils ont tous acceptés librement, car il est de leur nature profonde de servir Le Maître et de vouloir Le satisfaire en tous points, acceptant pour cela sans rechigner tout ce qui leur est imposé par leur Dominant. soumise Thaïs MDE est pour sa part aussi très bouleversée par ce à quoi elle a assisté, choquée en premier lieu lorsque dans la remise elle a vu l’esclave en sang et son agresseur maîtrisé et ligoté à un poteau. Certes, elle a été excitée par la scène punitive qui s’est déroulée sous ses yeux, fascinée par la manière dont le Majordome a pu fouetter avec une précision d’expert celui qu’il venait de coucher dans la neige, lui imposant par la suite l’humiliation de lui pisser dessus en premier et de faire tour à tour uriner tout le personnel et les esclaves du cheptel pour rajouter à son ignominie et sa déchéance. Elle reste aussi comme hypnotisée d’avoir vu Walter mettre au pilori celui qui n’était plus devenue qu’une minable chiffe molle abattue, réduite à l’état de deux trous à remplir en attendant le retour du Marquis d’Evans qui décidera seul de la sentence et du sort d’essai76. La soumise espère en son for intérieur qu’elle n’aura jamais le malheur de manquer à son serment d’allégeance et de déplaire à son Maître au point de risquer qu’IL n’en vienne à décider de la répudier, de la chasser sans même un adieu ou un regret, de la rayer de la liste de Ses soumises, et un sentiment de crainte l’envahit qui lui serre la poitrine, car elle a vouée sa vie désormais à son Maître Vénéré, et elle ne serait plus rien, plus personne, si elle perdait son titre de soumise MDE, le joli nom qu’IL lui a donné et le collier de métal permanent qu’elle porte autour du cou.
Soumise Thaïs MDE ne peut s’empêcher de repasser en boucle dans sa tête tout ce qui s’est passé dans la matinée, tout en suivant Walter qu’elle entend bougonner tout seul en marchant comme s’il voulait tout fort expulser le mécontentement qui l’habite encore. Il est vrai que le Majordome qui est prompt à jouer de la badine et de la cravache pour punir avec malice et perversité les esclaves pour la moindre petite faute bénigne, sachant que cela fait partie de leur dressage et leur permet de devenir de meilleurs chiens-esclaves destinés à servir fidèlement le Maître, se sent aussi responsable, surtout en l’absence du Châtelain, de tous ceux qui sont sous sa garde et qui se sont mis en toute confiance sous le joug du Marquis d’Evans à qui ils appartiennent corps et âme totalement. Walter avance sans se préoccuper le moins du monde de celle qu’il traîne derrière lui, tenant en main son portable dans l’attente du sms que l’infirmière ne manquera pas de lui adresser comme compte-rendu dès qu’elle aura le diagnostic du médecin et du radiologue, même s’il sait que matériellement cela ne peut pas se faire aussi vite que cela. De plus, Walter est aussi agacé car cet incident a totalement modifié son planning de la journée, ayant prévu comme chaque jour de commencer par faire un tour complet des différents personnels en poste qui sont là pour veiller aux esclaves du cheptel qui ont entre autres pour fonctions d’assurer l’entretien du Château, des dépendances et de tous les espaces extérieurs. De fait, il ne pourra pas y consacrer autant de temps qu’il l’aurait voulu et accélère donc inconsciemment le pas pour rejoindre le hall d’entrée. En ce lieu, il y trouve Firmin, un des valets et donc membre du personnel :
- Bonjour Firmin.
- Bonjour Monsieur Walter.
- C’est toi qui a en charge aujourd’hui de surveiller l’entretien de l’intérieur du Château. Je veux que tout soit nickel et resplendissant pour le retour de Monsieur le Marquis demain. Je pense qu’IL sera déjà à juste titre très fâché par ce que nous avons eu à vivre ce matin. Il est donc primordial que Son merveilleux Château soit encore plus que jamais dans un état parfait. Veille à ce que tous les esclaves qui t’ont été affectés prennent un soin tout particulier à leurs tâches et n’hésite pas à user de la badine si nécessaire pour les faire accélérer. Tout le monde n’ira se reposer ou se coucher que lorsque toutes les pièces seront impeccablement propres jusque dans les moindres recoins.
- Oui, Monsieur Walter, je vais y veiller particulièrement. Avez-vous des nouvelles d’e6938 MDE ?
- Non pas encore, c’est trop tôt. Je pense que notre infirmière me contactera dès qu’elle en saura plus, mais soit assuré que nous avons fait tout le nécessaire.
Walter pénètre dans la salle de réception et découvre trois soumises qui, à quatre pattes, sont en train de cirer le parquet, tête rentrée dans les épaules, tandis que deux autres jouent du plumeau et du chiffon sur tous les objets précieux qui décorent la pièce, vases anciens de chine, lustres à pampilles en cristal, merveilleuses statues de bronze et de pierre, tableaux de grande valeur de Maîtres, tentures des plus belles étoffes, etc. Elles s’affairent aussi sur les meubles d’époque, traquant la moindre poussière, trace ou tache, qui leur vaudrait de se voir sanctionner si le ménage n’était pas fait consciencieusement. Le Majordome est content de s’apercevoir que chacun s’attelle à sa tâche avec une docilité exemplaire et une énergie renouvelée, se faisant la réflexion que finalement la déplorable aventure matinale aura au moins fait l’effet d’un vrai coup de fouet virtuel sur tous, chacun ayant à l’esprit qu’ils sont là de leur plein gré, ayant eu le désir de se mettre au service du Noble et la liberté de choisir de vivre enchaîné sous Son joug et Sa Dominance. Ils ont tous prêté allégeance au Marquis d’Evans, lui jurant fidélité, loyauté et obéissance, acceptant d’être punis s’ils manquaient à leurs obligations de satisfaire en tous points leur Maître et d’être renvoyé sans préavis ni recours possible s’ils avaient le malheur de Lui déplaire et de mériter Son courroux. Les esclaves du cheptel n’ont pas l’habitude de se plaindre ou de rechigner à la besogne, fut-elle ingrate ou laborieuse, mais cela leur viendrait encore moins à l’idée en ce jour par crainte d’une punition qui serait encore plus mal venue pendant les quelques jours à venir. Il règne donc un silence et une quiétude dans toute la Noble demeure ancestrale où seuls résonnent quelques bruits du vieux parquet d’origine qui craque et les tic-tac des horloges, que ce soit dans le Grand Hall et dans le Grand Salon ou dans la Grande Bibliothèque, pièce que le Marquis affectionne particulièrement et où IL aime se retirer car elle regorge de nombreux ouvrages précieux et rares, accumulés par lui-même et aussi ses Ancêtres au fil des siècles et décennies et une collection réputée dans le milieu D/s de gravures anciennes et livres érotiques qui n’a son égal chez aucun autre amateur d’Art sexuel ou hédoniste, et dont on trouve difficilement la pareille même dans les plus grandes bibliothèques et musées nationaux.
Walter s’apprête à monter au premier étage pour aller jeter un coup d’œil dans les appartements privés du Marquis d’Evans bien décidé à prêter une attention encore plus particulière à ces pièces où son Patron pourra se retirer au calme, sûrement fatigué à son retour, après trois journées professionnelles dont il sait fort bien qu’elles devaient être intensives et harassantes. Malgré le calme qui règne dans la maisonnée, qui ressemble à une ruche où chacun s’active sans perdre un instant, le Majordome est toujours perturbé par l’incident. Il attrape sans ménagement la laisse d’une soumise qui à quatre pattes était en train de passer un produit spécial sur les dalles murales en marbre blanc de Carrare qui entourent une énorme vasque fontaine en forme de coquille Saint-Jacques en marbre rouge de Vérone, taillée dans la masse dans un bloc de plus d’un mètre cube, ce qui en fait un élément architectural décoratif d’une très grande rareté qui orne le Grand Hall d’entrée juste au pied de l’escalier principal du Château.
- Vient par-là, la chienne. Tu peux poser tes chiffons, tu retourneras astiquer quand je n’aurai plus besoin de toi.
Walter tire sur la laisse qu’il vient d’attraper pour approcher le visage de soumise Astride MDE tout près de lui, la forçant à grimper sur la pointe des pieds pour se grandir un peu arrivant à peine à la hauteur des épaules du Majordome à la forte carrure et de taille imposante. Il lui jette un regard glacial et silencieux qui fait aussitôt trembler d’effroi celle qui se demande bien, alors qu’elle se démenait le plus consciencieusement possible sans mot dire, ce qu’elle a pu faire de mal pour mériter l’irritation qu’elle lit dans les yeux du Majordome, qui semble presque près à se déchainer sur elle, s’il ne se retenait pas. D’un regard qui devient de plus en plus pervers tandis qu’il fronce les sourcils et affiche un rictus lui faisait remonter les commissures des lèvres, Walter ajoute :
- Cela va me faire du bien et me calmer de te besogner un peu la chatte et le cul afin de vider mes couilles. Alors tu vas te débrouiller pour faire gonfler et durcir ma queue rapidement, à moins que je décide de jouer de la cravache sur tes seins jusqu’à ce que cela me fasse bander de te voir te trémousser sous mes coups excitants, cinglants et mordants. De toute manière, je ne te laisse même pas le choix entre ces deux options. Il ne manquerait plus que cela ! Où irait-on si on commençait à demander aux chiennes que vous êtes ce qu’elles préfèrent recevoir en cadeau ?
Walter attrape la laisse de Thaïs MDE pour la forcer à se rapprocher et à s’agenouiller à ses côtés. Avec son ton habituel, si sarcastique et toujours humiliant dans ses propos quand il s’amuse à échauffer un peu les esprits des soumis et soumises pour éveiller leurs sens, affirmer ses pulsions de Dominant pervers qu’il ressent au plus profond de lui, même si dans sa fonction il reste le serviteur fidèle du Marquis d’Evans, mais aussi répondre aux besoins conscients ou inconscients des soumis et soumises à qui il faut toujours montrer qu’ils sont tenus en laisse fermement d’une vraie main de fer, fut-elle gantée parfois de velours, que ce soit celle du Maître ou celle de celui qui le substitue et le représente.
- chienne Thaïs MDE, regarde bien, toi aussi. Finalement, vous les femelles, vous n’êtes toutes bonnes qu’à ça, vous mettre à quatre pattes pour être de bonnes suceuses de sexe et de gourmandes avaleuses de sperme. C’est la nature humaine qui veut que vous ne soyez que des trous à remplir pour nos queues viriles.
Le Majordome pose ses deux mains sur la tête de la soumise Astride MDE et la force à s’agenouiller à ses pieds.
- Au travail ! chienne !
La soumise comprend très bien ce qui lui reste à faire et elle ouvre sans tarder la braguette du Majordome, écartant suffisamment l’ouverture du pantalon pour pouvoir baisser le boxer noir qui enserre un sexe qui commence juste à peine à gonfler et à se redresser. Tirant la langue et ouvrant la bouche sans tarder, elle entreprend d’avaler le phallus encore mou, de l’aspirer et de le sucer à maintes reprises, faisant tourner sa langue autour de la hampe qui commence à prendre de la longueur et du volume, au point de maintenant remplir sa cavité buccale toute entière. Walter attrape la chevelure forçant Astride MDE à libérer le sexe maintenant gonflé et gorgé de sang, et la trainant sans ménagement, il la fait glisser sur quelques mètres en direction des premières marches de l’escalier sur lesquelles le Majordome installe la soumise en levrette, prenant soin de tirer sur son bassin pour redresser sa croupe à la bonne hauteur. Il passe ensuite la main dans les parties intimes de la chienne docile, recueillant un maximum de cyprine pour en badigeonner son fondement, insistant sur l’anus dans lequel il entre un, puis deux doigts, avant de retirer la main et de la tendre vers la bouche de Thaïs MDE.
- A toi maintenant, lèche ! C’est bien ce que je disais, toutes des chiennes en chaleur qui mouillent dès qu’on vous remplit quelque part. Tu ne crois pas que je vais garder une main aussi poisseuse et puis je suis sûr que tu vas adorer l’odeur intime de cette femelle excitée qui sait qu’elle va avoir l’honneur de se faire enculer par ma belle queue bien dure et bien grosse.
Thaïs MDE s’exécute de bonne grâce, léchant goulument de part et d’autre la main et les doigts du Majordome, terriblement excitée elle aussi bien que seulement astreinte à regarder, sans pouvoir participer, mais se doutant bien que sa chatte doit être également humide, tant son bas-ventre la titille et elle ne peut que ressentir fortement l’envie de jouir et d’être prise à son tour, et la frustration de ne pas avoir droit à ce plaisir là pour l’instant. Walter dirige sa verge à l’entrée de la petite corolle qu’il vient de lubrifier avec la cyprine naturelle de celle-là même qu’il va sodomiser. Comme s’il voulait expulser toute la rage accumulée depuis le début de la matinée et le moment où il a appris la lamentable anicroche causée par essai76, il enfonce son sexe d’un coup sec et profond, arrachant un petit cri strident à celle qu’il vient de pénétrer jusqu’à se trouver en butée, ses couilles appuyant sur ses lèvres intimes.
- Tait-toi la chienne, qui t’a autorisé à vociférer ainsi. Cela mérite bien évidemment une punition. On n’a pas idée de se plaindre quand on a la chance de se faire baiser le cul. Déjà pour commencer, je ne t’autorise pas à jouir pendant que je vais m’affairer sur toi, du coup pour mon seul et unique plaisir. Compris la chienne, la prochaine fois, tu feras attention avant d’ouvrir la bouche sans raison…
Le Majordome commence alors de profonds va-et-vient dans le cul maintenant largement dilaté de la belle chienne…
(A suivre …)
Walter s’apprête à quitter la salle du personnel, suivi de soumise Thaïs MDE toujours trainée par la laisse accrochée à la ceinture du Majordome. Il abandonne à son triste sort essai76, qui des suites de son altercation inadmissible a été installé dans cette pièce, en punition sur un pilori, dans une position inconfortable qui va vite devenir douloureuse et difficile à supporter, mais tout autant source d’excitation qu’il n’aurait jamais imaginé aussi intense, puisqu’il va demeurer à la disposition de tous les employés et domestiques du Château qui pourront user et abuser autant qu’ils leur plairont de sa bouche et de son anus, orifices qui resteront plugués quand ils ne seront pas utilisés. Celui qui prétendait à rejoindre le cheptel des esclaves du Marquis d’Evans va maintenant avoir aussi tout le temps de réfléchir sur les conséquences de ses gestes belliqueux en attendant le retour du Noble qui lui seul pourra décider du châtiment et de la mise à l’épreuve qu’IL imposera à celui qui a gravement porté la main et le poing sur deux autres esclaves, ou, ce qui semble plus vraisemblable vu la gravité de la faute, le renvoi définitif de ce chien peu racé et encore bien mal dressé qui n’est pas digne de trainer ses sales pattes entre ces Nobles murs légendaires et de rester sous le joug du grand Maître des Lieux, juste mais ferme et intransigeant, qui ne tolère pas du tout qu’on lui désobéisse et encore moins que quelqu’un s’en prenne sans raison et violemment à ceux et celles qui sont devenus Sa propriété et qui n’ont comme seule envie que de Le servir dignement et docilement. Le brutal coupable comprend que seul son comportement jusqu’au retour du Châtelain et son sincère repentir pourront peut-être encore parler en sa faveur, regrettant son caractère pugnace qui s’emporte facilement et dont il ne peut que se blâmer encore plus tout seul. Il prend conscience amèrement de tout ce qu’il risque de perdre de manière définitive, venant à peine de découvrir sa vraie nature et la profondeur du plaisir masochiste qu’il a ressenti lorsqu’il a été châtié, même si l’épreuve fût pour lui dure à supporter car le remord et la crainte l’habitaient déjà.
Il y a longtemps qu’il n’y a pas eu un événement aussi déplorable en ces lieux et la rébellion n’a pas cours dans l’enceinte du domaine où tous sont asservis pour leur plus grand bonheur. Même si cela n’est pas toujours aisé à supporter au quotidien, les esclaves du cheptel y trouvent globalement leur compte avec de nombreux avantages et autres moments d’excitations non négligeables au point de tous vouloir vouer leur vie à leur Maître et Seigneur et ne rien vouloir de plus que de le contenter. C’est pourquoi Walter est particulièrement contrarié de ce qui vient de se passer mais aussi inquiet de la santé d’e6938 MDE, attendant avec impatience des nouvelles de l’infirmière pour connaître la nature des dommages corporels. Il sait aussi que cela aura fortement marqué les esprits des autres soumises et soumis qui ne manqueront pas de réfléchir sur leur condition servile qu’ils ont tous acceptés librement, car il est de leur nature profonde de servir Le Maître et de vouloir Le satisfaire en tous points, acceptant pour cela sans rechigner tout ce qui leur est imposé par leur Dominant. soumise Thaïs MDE est pour sa part aussi très bouleversée par ce à quoi elle a assisté, choquée en premier lieu lorsque dans la remise elle a vu l’esclave en sang et son agresseur maîtrisé et ligoté à un poteau. Certes, elle a été excitée par la scène punitive qui s’est déroulée sous ses yeux, fascinée par la manière dont le Majordome a pu fouetter avec une précision d’expert celui qu’il venait de coucher dans la neige, lui imposant par la suite l’humiliation de lui pisser dessus en premier et de faire tour à tour uriner tout le personnel et les esclaves du cheptel pour rajouter à son ignominie et sa déchéance. Elle reste aussi comme hypnotisée d’avoir vu Walter mettre au pilori celui qui n’était plus devenue qu’une minable chiffe molle abattue, réduite à l’état de deux trous à remplir en attendant le retour du Marquis d’Evans qui décidera seul de la sentence et du sort d’essai76. La soumise espère en son for intérieur qu’elle n’aura jamais le malheur de manquer à son serment d’allégeance et de déplaire à son Maître au point de risquer qu’IL n’en vienne à décider de la répudier, de la chasser sans même un adieu ou un regret, de la rayer de la liste de Ses soumises, et un sentiment de crainte l’envahit qui lui serre la poitrine, car elle a vouée sa vie désormais à son Maître Vénéré, et elle ne serait plus rien, plus personne, si elle perdait son titre de soumise MDE, le joli nom qu’IL lui a donné et le collier de métal permanent qu’elle porte autour du cou.
Soumise Thaïs MDE ne peut s’empêcher de repasser en boucle dans sa tête tout ce qui s’est passé dans la matinée, tout en suivant Walter qu’elle entend bougonner tout seul en marchant comme s’il voulait tout fort expulser le mécontentement qui l’habite encore. Il est vrai que le Majordome qui est prompt à jouer de la badine et de la cravache pour punir avec malice et perversité les esclaves pour la moindre petite faute bénigne, sachant que cela fait partie de leur dressage et leur permet de devenir de meilleurs chiens-esclaves destinés à servir fidèlement le Maître, se sent aussi responsable, surtout en l’absence du Châtelain, de tous ceux qui sont sous sa garde et qui se sont mis en toute confiance sous le joug du Marquis d’Evans à qui ils appartiennent corps et âme totalement. Walter avance sans se préoccuper le moins du monde de celle qu’il traîne derrière lui, tenant en main son portable dans l’attente du sms que l’infirmière ne manquera pas de lui adresser comme compte-rendu dès qu’elle aura le diagnostic du médecin et du radiologue, même s’il sait que matériellement cela ne peut pas se faire aussi vite que cela. De plus, Walter est aussi agacé car cet incident a totalement modifié son planning de la journée, ayant prévu comme chaque jour de commencer par faire un tour complet des différents personnels en poste qui sont là pour veiller aux esclaves du cheptel qui ont entre autres pour fonctions d’assurer l’entretien du Château, des dépendances et de tous les espaces extérieurs. De fait, il ne pourra pas y consacrer autant de temps qu’il l’aurait voulu et accélère donc inconsciemment le pas pour rejoindre le hall d’entrée. En ce lieu, il y trouve Firmin, un des valets et donc membre du personnel :
- Bonjour Firmin.
- Bonjour Monsieur Walter.
- C’est toi qui a en charge aujourd’hui de surveiller l’entretien de l’intérieur du Château. Je veux que tout soit nickel et resplendissant pour le retour de Monsieur le Marquis demain. Je pense qu’IL sera déjà à juste titre très fâché par ce que nous avons eu à vivre ce matin. Il est donc primordial que Son merveilleux Château soit encore plus que jamais dans un état parfait. Veille à ce que tous les esclaves qui t’ont été affectés prennent un soin tout particulier à leurs tâches et n’hésite pas à user de la badine si nécessaire pour les faire accélérer. Tout le monde n’ira se reposer ou se coucher que lorsque toutes les pièces seront impeccablement propres jusque dans les moindres recoins.
- Oui, Monsieur Walter, je vais y veiller particulièrement. Avez-vous des nouvelles d’e6938 MDE ?
- Non pas encore, c’est trop tôt. Je pense que notre infirmière me contactera dès qu’elle en saura plus, mais soit assuré que nous avons fait tout le nécessaire.
Walter pénètre dans la salle de réception et découvre trois soumises qui, à quatre pattes, sont en train de cirer le parquet, tête rentrée dans les épaules, tandis que deux autres jouent du plumeau et du chiffon sur tous les objets précieux qui décorent la pièce, vases anciens de chine, lustres à pampilles en cristal, merveilleuses statues de bronze et de pierre, tableaux de grande valeur de Maîtres, tentures des plus belles étoffes, etc. Elles s’affairent aussi sur les meubles d’époque, traquant la moindre poussière, trace ou tache, qui leur vaudrait de se voir sanctionner si le ménage n’était pas fait consciencieusement. Le Majordome est content de s’apercevoir que chacun s’attelle à sa tâche avec une docilité exemplaire et une énergie renouvelée, se faisant la réflexion que finalement la déplorable aventure matinale aura au moins fait l’effet d’un vrai coup de fouet virtuel sur tous, chacun ayant à l’esprit qu’ils sont là de leur plein gré, ayant eu le désir de se mettre au service du Noble et la liberté de choisir de vivre enchaîné sous Son joug et Sa Dominance. Ils ont tous prêté allégeance au Marquis d’Evans, lui jurant fidélité, loyauté et obéissance, acceptant d’être punis s’ils manquaient à leurs obligations de satisfaire en tous points leur Maître et d’être renvoyé sans préavis ni recours possible s’ils avaient le malheur de Lui déplaire et de mériter Son courroux. Les esclaves du cheptel n’ont pas l’habitude de se plaindre ou de rechigner à la besogne, fut-elle ingrate ou laborieuse, mais cela leur viendrait encore moins à l’idée en ce jour par crainte d’une punition qui serait encore plus mal venue pendant les quelques jours à venir. Il règne donc un silence et une quiétude dans toute la Noble demeure ancestrale où seuls résonnent quelques bruits du vieux parquet d’origine qui craque et les tic-tac des horloges, que ce soit dans le Grand Hall et dans le Grand Salon ou dans la Grande Bibliothèque, pièce que le Marquis affectionne particulièrement et où IL aime se retirer car elle regorge de nombreux ouvrages précieux et rares, accumulés par lui-même et aussi ses Ancêtres au fil des siècles et décennies et une collection réputée dans le milieu D/s de gravures anciennes et livres érotiques qui n’a son égal chez aucun autre amateur d’Art sexuel ou hédoniste, et dont on trouve difficilement la pareille même dans les plus grandes bibliothèques et musées nationaux.
Walter s’apprête à monter au premier étage pour aller jeter un coup d’œil dans les appartements privés du Marquis d’Evans bien décidé à prêter une attention encore plus particulière à ces pièces où son Patron pourra se retirer au calme, sûrement fatigué à son retour, après trois journées professionnelles dont il sait fort bien qu’elles devaient être intensives et harassantes. Malgré le calme qui règne dans la maisonnée, qui ressemble à une ruche où chacun s’active sans perdre un instant, le Majordome est toujours perturbé par l’incident. Il attrape sans ménagement la laisse d’une soumise qui à quatre pattes était en train de passer un produit spécial sur les dalles murales en marbre blanc de Carrare qui entourent une énorme vasque fontaine en forme de coquille Saint-Jacques en marbre rouge de Vérone, taillée dans la masse dans un bloc de plus d’un mètre cube, ce qui en fait un élément architectural décoratif d’une très grande rareté qui orne le Grand Hall d’entrée juste au pied de l’escalier principal du Château.
- Vient par-là, la chienne. Tu peux poser tes chiffons, tu retourneras astiquer quand je n’aurai plus besoin de toi.
Walter tire sur la laisse qu’il vient d’attraper pour approcher le visage de soumise Astride MDE tout près de lui, la forçant à grimper sur la pointe des pieds pour se grandir un peu arrivant à peine à la hauteur des épaules du Majordome à la forte carrure et de taille imposante. Il lui jette un regard glacial et silencieux qui fait aussitôt trembler d’effroi celle qui se demande bien, alors qu’elle se démenait le plus consciencieusement possible sans mot dire, ce qu’elle a pu faire de mal pour mériter l’irritation qu’elle lit dans les yeux du Majordome, qui semble presque près à se déchainer sur elle, s’il ne se retenait pas. D’un regard qui devient de plus en plus pervers tandis qu’il fronce les sourcils et affiche un rictus lui faisait remonter les commissures des lèvres, Walter ajoute :
- Cela va me faire du bien et me calmer de te besogner un peu la chatte et le cul afin de vider mes couilles. Alors tu vas te débrouiller pour faire gonfler et durcir ma queue rapidement, à moins que je décide de jouer de la cravache sur tes seins jusqu’à ce que cela me fasse bander de te voir te trémousser sous mes coups excitants, cinglants et mordants. De toute manière, je ne te laisse même pas le choix entre ces deux options. Il ne manquerait plus que cela ! Où irait-on si on commençait à demander aux chiennes que vous êtes ce qu’elles préfèrent recevoir en cadeau ?
Walter attrape la laisse de Thaïs MDE pour la forcer à se rapprocher et à s’agenouiller à ses côtés. Avec son ton habituel, si sarcastique et toujours humiliant dans ses propos quand il s’amuse à échauffer un peu les esprits des soumis et soumises pour éveiller leurs sens, affirmer ses pulsions de Dominant pervers qu’il ressent au plus profond de lui, même si dans sa fonction il reste le serviteur fidèle du Marquis d’Evans, mais aussi répondre aux besoins conscients ou inconscients des soumis et soumises à qui il faut toujours montrer qu’ils sont tenus en laisse fermement d’une vraie main de fer, fut-elle gantée parfois de velours, que ce soit celle du Maître ou celle de celui qui le substitue et le représente.
- chienne Thaïs MDE, regarde bien, toi aussi. Finalement, vous les femelles, vous n’êtes toutes bonnes qu’à ça, vous mettre à quatre pattes pour être de bonnes suceuses de sexe et de gourmandes avaleuses de sperme. C’est la nature humaine qui veut que vous ne soyez que des trous à remplir pour nos queues viriles.
Le Majordome pose ses deux mains sur la tête de la soumise Astride MDE et la force à s’agenouiller à ses pieds.
- Au travail ! chienne !
La soumise comprend très bien ce qui lui reste à faire et elle ouvre sans tarder la braguette du Majordome, écartant suffisamment l’ouverture du pantalon pour pouvoir baisser le boxer noir qui enserre un sexe qui commence juste à peine à gonfler et à se redresser. Tirant la langue et ouvrant la bouche sans tarder, elle entreprend d’avaler le phallus encore mou, de l’aspirer et de le sucer à maintes reprises, faisant tourner sa langue autour de la hampe qui commence à prendre de la longueur et du volume, au point de maintenant remplir sa cavité buccale toute entière. Walter attrape la chevelure forçant Astride MDE à libérer le sexe maintenant gonflé et gorgé de sang, et la trainant sans ménagement, il la fait glisser sur quelques mètres en direction des premières marches de l’escalier sur lesquelles le Majordome installe la soumise en levrette, prenant soin de tirer sur son bassin pour redresser sa croupe à la bonne hauteur. Il passe ensuite la main dans les parties intimes de la chienne docile, recueillant un maximum de cyprine pour en badigeonner son fondement, insistant sur l’anus dans lequel il entre un, puis deux doigts, avant de retirer la main et de la tendre vers la bouche de Thaïs MDE.
- A toi maintenant, lèche ! C’est bien ce que je disais, toutes des chiennes en chaleur qui mouillent dès qu’on vous remplit quelque part. Tu ne crois pas que je vais garder une main aussi poisseuse et puis je suis sûr que tu vas adorer l’odeur intime de cette femelle excitée qui sait qu’elle va avoir l’honneur de se faire enculer par ma belle queue bien dure et bien grosse.
Thaïs MDE s’exécute de bonne grâce, léchant goulument de part et d’autre la main et les doigts du Majordome, terriblement excitée elle aussi bien que seulement astreinte à regarder, sans pouvoir participer, mais se doutant bien que sa chatte doit être également humide, tant son bas-ventre la titille et elle ne peut que ressentir fortement l’envie de jouir et d’être prise à son tour, et la frustration de ne pas avoir droit à ce plaisir là pour l’instant. Walter dirige sa verge à l’entrée de la petite corolle qu’il vient de lubrifier avec la cyprine naturelle de celle-là même qu’il va sodomiser. Comme s’il voulait expulser toute la rage accumulée depuis le début de la matinée et le moment où il a appris la lamentable anicroche causée par essai76, il enfonce son sexe d’un coup sec et profond, arrachant un petit cri strident à celle qu’il vient de pénétrer jusqu’à se trouver en butée, ses couilles appuyant sur ses lèvres intimes.
- Tait-toi la chienne, qui t’a autorisé à vociférer ainsi. Cela mérite bien évidemment une punition. On n’a pas idée de se plaindre quand on a la chance de se faire baiser le cul. Déjà pour commencer, je ne t’autorise pas à jouir pendant que je vais m’affairer sur toi, du coup pour mon seul et unique plaisir. Compris la chienne, la prochaine fois, tu feras attention avant d’ouvrir la bouche sans raison…
Le Majordome commence alors de profonds va-et-vient dans le cul maintenant largement dilaté de la belle chienne…
(A suivre …)
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