La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 328)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 328)
Suite de l'épisode précédent N°327 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
- Arrête-moi ces jets d’eau inutiles, espèce de femelle empotée et pleurnicheuse. Puisqu’il faut tout t’apprendre, imbécile chienne, quand on veut faire le ménage, on commence par aérer la pièce avant, pas après avoir fait la poussière. Je suppose que tu n’as même pas ouvert les fenêtres, sinon tu aurais vu qu’elles étaient toutes sales et qu’il fallait les rendre propres et transparentes. Ce temps d’aération, bien évidemment court en hiver mais suffisant pour renouveler l’air, aurait dû aussi te permettre de commencer par le nettoyage des encadrements, intérieurs, appuis et rebords de fenêtre. Il y a toujours en hiver des petites araignées qui cherchent à se trouver un petit coin plus au chaud pour se mettre à l’abri, la preuve en est là devant tes yeux et sous ton nez. Il vaut mieux que ce soit moi qui l’ai vu ce matin que Monsieur le Marquis demain, car il n’apprécie pas du tout que l’on n’entretienne pas la demeure de Ses ancêtres avec beaucoup d’attention et de respect pour sa Noble personne et celles tout aussi Nobles de Ses aïeux. Imagine un peu, si cette araignée était rentrée plus loin et avait fini par tisser sa toile sur les tableaux authentiques et tous de grande valeur qui décorent ce sublime endroit.
- Monsieur Walter, je suis vraiment désolée ! (snif, snif …. réponds entre deux sanglots la soumise ….). C’est vrai que je n’ai pas voulu ouvrir les fenêtres, car il fait si froid dehors que j’ai craint avant tout de refroidir la pièce et que cela ne soit préjudiciable pour les merveilleux objets de valeur qui s’y trouvent. Et puis surtout personne ne m’avait indiqué que je devais aussi faire les vitres. Monsieur Firmin m’a conduit dans cette pièce en me disant d’y faire le ménage habituel comme je l’avais vu faire précédemment lorsque j’étais venue pour accompagner Astride MDE qui était chargée de m’enseigner ce qu’il y avait à faire. Je ne l’avais pas vu faire les vitres ce jour-là et je n’ai donc pas pensé que cela faisait partie des tâches courantes qui m’incombaient aujourd’hui.
Soumise Holly MDE, s’est incliné profondément espérant avoir atténué par ses explications l’emportement de Walter. Mais c’est encore connaître bien mal le Majordome qui n’a guère de pitié pour les soumises qui cherchent à se justifier pour tenter de s’économiser une punition au lieu de simplement l’accepter avec gratitude.
- Stupides toutes ces femelles, je l’ai toujours pensé ! Et puis, toujours en train de couler, d’en haut, d’en bas, incapable de se retenir de pleurer à la moindre émotion et encore moins capable de se retenir de mouiller à la moindre excitation.
Le Majordome vient de répliquer aussi sec d’un ton volontairement blessant, en haussant les épaules, avec des propos purement machistes à la base, bien qu’en d’autres circonstances, il aurait admonesté encore plus les chiens-mâles-esclaves du cheptel, qu’il n’hésite pas à traiter de larbins incapables, jouant juste sur toutes les cordes sensibles pour maintenir son pouvoir de Domination sur les esclaves dans le cadre de sa fonction et par substitution du Châtelain lui-même en son absence. Car il ne fait aucune différence entre les mâles et les femelles concernant la façon qu’il daigne les traiter.
- Alors sous prétexte qu’il fait froid dehors, tu ne comptais pas aérer la pièce et renouveler l’air, préférant rester bien au chaud dans de l’air vicié, plutôt que de laisser rentrer un peu d’air pur, d’autant plus pur qu’il fait froid et sec maintenant que la neige a cessé de tomber et que le soleil s’est mis à briller. D’ailleurs, tu vas aller faire un petit tour dehors pour apprécier le bon air pur, mais tu ne vas pas y aller seule. Je vais faire monter soumise Astride MDE pour t’aider à faire les carreaux extérieurs de toutes les fenêtres et des deux portes-fenêtres de cette chambre nuptiale, puisqu’elle a su si mal t’enseigner les bonnes méthodes. Cela fera le plus grand bien aux petites chiennes en chaleur que vous êtes de prendre un peu le frais, et puis le froid raffermira aussi les pores de votre peau, soin du corps naturel garanti. Attention à ne pas salir le parquet en rentrant, vous serez autorisées à mettre un chiffon par terre devant la porte-fenêtre pour pouvoir en rentrant vous essuyer les pieds pleins de neige. Pas question de tâcher ce parquet plus que centenaire avec la moindre goutte d’eau !
Walter détache la laisse de soumise Thaïs MDE qui était attachée à sa ceinture.
- La chienne, rends-toi un peu utile à quelque chose ! Va chercher Firmin, le Monsieur que nous avons croisé en montant. Tu lui diras poliment que je lui demande de venir me rejoindre sans tarder en ramenant soumise Astride MDE.
Thaïs obtempère de suite et en silence en sortant de la pièce et pendant ce temps-là le Majordome sort également et se rend dans un petit boudoir attenant dans lequel il sait qu’il va y trouver de quoi donner un peu de chaleur aux soumises qui vont devoir sortir dehors nettoyer les nombreux carreaux de la chambre nuptiale. Il revient avec deux longs godes rabbit, qui outre la faculté d’avoir une forme phallique qui remue à des vitesses variables avec un va-et-vient qui peut également tourner au niveau de la tête, est équipé d’une partie vibrante indépendante destinée à stimuler le clitoris intensément et directement. Il rapporte également un martinet et deux ceintures de chasteté métalliques. Arrivée dans la chambre nuptiale, il retrouve soumise Holly MDE qui attend toujours à genoux, la tête basse, en larmes car un peu inquiète à l’idée de devoir à nouveau sortir dehors, car elle a déjà dû un peu plus tôt se rendre dans la petite cour près de la remise pour assister à la juste sanction publique infligée par Walter à cet enragé d’essai76, et bien qu’excitée par la scène qu’elle voyait, elle n’en ressentait pas moins le froid mordant qui la saisissait et la pétrifiait encore plus à l’idée de voir l’esclave châtié, être fouetté à même dans la neige, la tête posée sur la glace. Elle se dit que si elle doit rester dehors un certain temps, ce qui semble être dans les visées du Majordome qui leur impose en cette saison de sortir nues dehors pour pouvoir faire les carreaux extérieurs de tous les vitrages de la pièce, elle va forcément prendre froid et tomber malade avant même le retour de son Vénéré Maître. A la porte, on entend « toc, toc ».
- Qui est-ce ? (interroge le Majordome de sa grosse voix)
- C’est Firmin, Monsieur Walter.
- Entrez, Firmin.
- Me voilà, Monsieur Walter. Je reviens avec soumise Thaïs MDE et je vous ramène soumise Astride MDE comme vous l’avez exigé. Que se passe-t-il ? Y-a-t-il quelque chose de grave, ou même simplement quelque chose que je dois faire ?
- Oui, Firmin. Justement, vous allez surveiller ces deux petites chiennes. Les vitres de la chambre nuptiale sont sales et il faut qu’elles puissent les nettoyer à fond, façade extérieure comprise bien entendu.
Walter se retourne vers soumise Astride MDE qui avait suivi Firmin, trainée en laisse, et qui s’était agenouillée, ainsi que Thaïs MDE, tête baissée en arrivant aux pieds du Majordome. Il se penche vers elle, en lui attrapant le collier pour la forcer à lever la tête et à croiser son regard directif et pesant, qui en dit long, même sans mots.
- La chienne, je suppose que tu sais pourquoi je t’ai fait venir à l’instant, dans cette pièce !
Soumise Astride MDE baisse les yeux ne voulant pas se résigner à faire un signe négatif en remuant la tête, car le « non » est plutôt du genre prohibé dans la bouche d’une soumise dans toute l’enceinte du Château.
- Et bien, puisque tu ne réponds pas, je vais te le dire. C’est bien toi qui a eu en charge la formation de soumise Holly MDE pour la liste des tâches à effectuer lorsque l’une d’entre vous a l’immense honneur d’être affectée à l’entretien des appartements privés de Monsieur le Marquis. Je pense que tu as oublié un certain nombre d’étapes fondamentales, telles que le besoin d’aérer la pièce avant même de commencer à nettoyer ou de s’assurer que les vitres soient propres. Donc, exécution ! Tu vas aller aider ta sœur de soumission à faire ce qu’elle n’a pas fait à l’instant. Mais je vais d’abord vous équiper toutes les deux pour que vous ayez un peu moins froid dehors et Firmin va se faire un malin plaisir de vous réchauffer avec ce martinet au fur et à mesure de votre avancée à la tâche.
Le Majordome oblige les deux soumises à se lever, puis les force à écarter les jambes et les cuisses en usant de la cravache qui ne le quitte jamais. Il enfile entièrement les deux longs godes rabbit dans les deux chattes lubrifiées des deux esclaves soumises, ayant un peu de mal à se frayer un passage dans le vagin de soumise Astride MDE, qui est déjà largement remplie et écartelée au niveau de l’anus par l’énorme plug anal qui lui a été imposé un peu plus tôt. Il met en route les deux appareils en position maximale provoquant assez rapidement des sensations intenses surtout au niveau des deux clitoris qui sont directement sollicités par les vibrations du sextoy. Walter glisse, entre les cuisses des deux soumises et autour de la taille, une ceinture métallique de chasteté adaptée pour laisser traverser la partie extérieure du gode en question tout en le retenant en place. Il cadenasse l’ensemble, terminant pour chacune par une bonne tape sur les fesses de sa main droite qui s’est abattue lourdement, laissant l’empreinte de ses cinq doigts sur chacune.
- Et bien vous voilà parée et bien chaudement habillée pour sortir dehors travailler. Il n’était pas question que vos mignons petits minous puissent avoir froids, c’est sensible ces petites bêtes là … ah, ah, ah,…. (ajoute-t-il ironiquement avant de donner un petit coup de pied dans le derrière à chacune pour leur montrer la sortie vers le balcon par la porte-fenêtre). N’oubliez pas votre matériel en partant et tâchez d’être efficace, ce serait dommage d’avoir envie de traîner dehors inutilement par le temps qui fait. Firmin va venir vous surveiller et vous réchauffer ! Quand vous aurez terminé, il sera temps pour Firmin de descendre au réfectoire, vous le suivrez et suivant ce qu’il me dira, je déciderai si je peux retirer ce que vous avez entre les cuisses. Pas question de jouir bien sûr, ce n’est pas une partie de plaisir, juste un petit moment rafraîchissant pour vous donner encore plus d’énergie à l’ouvrage.
Walter prend à l’écart Firmin et lui parlant à demie voix afin de n’être entendu que par eux deux, et ceci d’autant plus aisément qu’il n’a pas encore rattaché à sa ceinture soumise Thaïs MDE.
- Vous m’enverrez demain matin deux chiens-mâles-esclaves faire toutes les fenêtres extérieures des appartements privés de Monsieur le Marquis d’Evans, qu’il s’agisse de la chambre nuptiale mais aussi de la petite chambre bleue et de toutes les pièces annexes. Je tiens à ce qu’en se réveillant, Monsieur le Marquis puisse profiter du soleil levant qui viendra frapper sur ses carreaux, et qu’il puisse voir le jour se lever à travers des vitres propres et étincelantes lorsqu’IL ouvrira ses grands rideaux de velours brodés de fil de soie et d’or. Pour ces deux soumises que je vous confie, vous les laissez s’affairer comme si de rien n’était, seulement pendant 5 minutes grand maximum. Cela sera largement suffisant pour marquer leurs esprits juste bons à être domptés, avec quelques bons coups de martinet sur les fesses et puis vous les faites rentrer sans plus attendre surtout si elles grelottent beaucoup, et ce avant qu’elles ne prennent froid, et vous aussi au passage…. Ah oui, aussi, … vous éteindrez les vibromasseurs en les faisant entrer à l’intérieur, pas de petits plaisirs inutiles, elles ne le méritent ni l’une, ni l’autre. Quand à demain, si le grand froid se maintient, vous veillerez à ce que les deux esclaves mâles soient vêtus de longues pelisses chaudes en laine et aussi de sabots fourrés pour ne pas les faire marcher dans la neige pieds nus. L’infirmerie du Château n’est pas conçue pour accueillir des dizaines de chiens et chiennes enrhumés.
Le Majordome s’apprête à quitter les lieux pour descendre rejoindre Marie la cuisinière car l’heure du déjeuner du personnel approche, qui se fait en rotation en deux services, ce qui permet à Walter qui a aussi en charge la surveillance de toutes les personnes employées au service du Châtelain de les apercevoir tous et de pouvoir leur parler directement en réglant et sans plus attendre les petits tracas liés à l’organisation quotidienne de toute la maisonnée. Il attrape la laisse de Thaïs MDE et la fait se mettre debout à son tour. Jouant de la cravache pour lui faire ouvrir les cuisses, Walter enfile la main généreusement dans la chatte glabre de la soumise, onctueuse et chaude, qu’il lui passe sous les narines avant de venir la nettoyer en s’essuyant à plusieurs reprises dans la chevelure blonde de la petite chienne docile.
- Je me doutais bien que cela t’avait excité l’idée de voir tes deux sœurs de soumission avec un gode vibrant dans le con et un plug dans le cul ! Le tout en vibration position maxi et bien cadenassé pour que cela ne puisse pas se défaire de manière impromptue, sans oublier quelques petits coups de martinet pour leur chauffer les fesses. Mais à y réfléchir bien, le traitement est plus désagréable qu’il n’y parait lorsqu’il s’éternise et surtout lorsque l’orgasme n’est pas autorisé. Je me demande si je ne vais pas t’équiper de la même manière. Et puis, pendant que je serai occupé avec le personnel car je ne peux pas te garder à mes côtés pour des discussions sérieuses d’ordre professionnel de surcroît, je crois bien que je vais, histoire de te rafraîchir aussi les idées comme tes compagnes de cachot, te faire faire un tour dehors, au frais avec la chatte en feu, ou alors …. mais oui très bien …dans la « chambre froide »…
Il disait cela comme s’il réfléchissait tout haut et se parlait à lui-même sur un ton vicieux qui ne laisse rien présager de bon pour la soumise à qui le Majordome avait déjà annoncé pour l’après-midi une contrainte de plus en punition pour avoir baissé la tête contrairement à ce qu’il avait exigé d’elle en ce jour particulier…
(A suivre…)
- Arrête-moi ces jets d’eau inutiles, espèce de femelle empotée et pleurnicheuse. Puisqu’il faut tout t’apprendre, imbécile chienne, quand on veut faire le ménage, on commence par aérer la pièce avant, pas après avoir fait la poussière. Je suppose que tu n’as même pas ouvert les fenêtres, sinon tu aurais vu qu’elles étaient toutes sales et qu’il fallait les rendre propres et transparentes. Ce temps d’aération, bien évidemment court en hiver mais suffisant pour renouveler l’air, aurait dû aussi te permettre de commencer par le nettoyage des encadrements, intérieurs, appuis et rebords de fenêtre. Il y a toujours en hiver des petites araignées qui cherchent à se trouver un petit coin plus au chaud pour se mettre à l’abri, la preuve en est là devant tes yeux et sous ton nez. Il vaut mieux que ce soit moi qui l’ai vu ce matin que Monsieur le Marquis demain, car il n’apprécie pas du tout que l’on n’entretienne pas la demeure de Ses ancêtres avec beaucoup d’attention et de respect pour sa Noble personne et celles tout aussi Nobles de Ses aïeux. Imagine un peu, si cette araignée était rentrée plus loin et avait fini par tisser sa toile sur les tableaux authentiques et tous de grande valeur qui décorent ce sublime endroit.
- Monsieur Walter, je suis vraiment désolée ! (snif, snif …. réponds entre deux sanglots la soumise ….). C’est vrai que je n’ai pas voulu ouvrir les fenêtres, car il fait si froid dehors que j’ai craint avant tout de refroidir la pièce et que cela ne soit préjudiciable pour les merveilleux objets de valeur qui s’y trouvent. Et puis surtout personne ne m’avait indiqué que je devais aussi faire les vitres. Monsieur Firmin m’a conduit dans cette pièce en me disant d’y faire le ménage habituel comme je l’avais vu faire précédemment lorsque j’étais venue pour accompagner Astride MDE qui était chargée de m’enseigner ce qu’il y avait à faire. Je ne l’avais pas vu faire les vitres ce jour-là et je n’ai donc pas pensé que cela faisait partie des tâches courantes qui m’incombaient aujourd’hui.
Soumise Holly MDE, s’est incliné profondément espérant avoir atténué par ses explications l’emportement de Walter. Mais c’est encore connaître bien mal le Majordome qui n’a guère de pitié pour les soumises qui cherchent à se justifier pour tenter de s’économiser une punition au lieu de simplement l’accepter avec gratitude.
- Stupides toutes ces femelles, je l’ai toujours pensé ! Et puis, toujours en train de couler, d’en haut, d’en bas, incapable de se retenir de pleurer à la moindre émotion et encore moins capable de se retenir de mouiller à la moindre excitation.
Le Majordome vient de répliquer aussi sec d’un ton volontairement blessant, en haussant les épaules, avec des propos purement machistes à la base, bien qu’en d’autres circonstances, il aurait admonesté encore plus les chiens-mâles-esclaves du cheptel, qu’il n’hésite pas à traiter de larbins incapables, jouant juste sur toutes les cordes sensibles pour maintenir son pouvoir de Domination sur les esclaves dans le cadre de sa fonction et par substitution du Châtelain lui-même en son absence. Car il ne fait aucune différence entre les mâles et les femelles concernant la façon qu’il daigne les traiter.
- Alors sous prétexte qu’il fait froid dehors, tu ne comptais pas aérer la pièce et renouveler l’air, préférant rester bien au chaud dans de l’air vicié, plutôt que de laisser rentrer un peu d’air pur, d’autant plus pur qu’il fait froid et sec maintenant que la neige a cessé de tomber et que le soleil s’est mis à briller. D’ailleurs, tu vas aller faire un petit tour dehors pour apprécier le bon air pur, mais tu ne vas pas y aller seule. Je vais faire monter soumise Astride MDE pour t’aider à faire les carreaux extérieurs de toutes les fenêtres et des deux portes-fenêtres de cette chambre nuptiale, puisqu’elle a su si mal t’enseigner les bonnes méthodes. Cela fera le plus grand bien aux petites chiennes en chaleur que vous êtes de prendre un peu le frais, et puis le froid raffermira aussi les pores de votre peau, soin du corps naturel garanti. Attention à ne pas salir le parquet en rentrant, vous serez autorisées à mettre un chiffon par terre devant la porte-fenêtre pour pouvoir en rentrant vous essuyer les pieds pleins de neige. Pas question de tâcher ce parquet plus que centenaire avec la moindre goutte d’eau !
Walter détache la laisse de soumise Thaïs MDE qui était attachée à sa ceinture.
- La chienne, rends-toi un peu utile à quelque chose ! Va chercher Firmin, le Monsieur que nous avons croisé en montant. Tu lui diras poliment que je lui demande de venir me rejoindre sans tarder en ramenant soumise Astride MDE.
Thaïs obtempère de suite et en silence en sortant de la pièce et pendant ce temps-là le Majordome sort également et se rend dans un petit boudoir attenant dans lequel il sait qu’il va y trouver de quoi donner un peu de chaleur aux soumises qui vont devoir sortir dehors nettoyer les nombreux carreaux de la chambre nuptiale. Il revient avec deux longs godes rabbit, qui outre la faculté d’avoir une forme phallique qui remue à des vitesses variables avec un va-et-vient qui peut également tourner au niveau de la tête, est équipé d’une partie vibrante indépendante destinée à stimuler le clitoris intensément et directement. Il rapporte également un martinet et deux ceintures de chasteté métalliques. Arrivée dans la chambre nuptiale, il retrouve soumise Holly MDE qui attend toujours à genoux, la tête basse, en larmes car un peu inquiète à l’idée de devoir à nouveau sortir dehors, car elle a déjà dû un peu plus tôt se rendre dans la petite cour près de la remise pour assister à la juste sanction publique infligée par Walter à cet enragé d’essai76, et bien qu’excitée par la scène qu’elle voyait, elle n’en ressentait pas moins le froid mordant qui la saisissait et la pétrifiait encore plus à l’idée de voir l’esclave châtié, être fouetté à même dans la neige, la tête posée sur la glace. Elle se dit que si elle doit rester dehors un certain temps, ce qui semble être dans les visées du Majordome qui leur impose en cette saison de sortir nues dehors pour pouvoir faire les carreaux extérieurs de tous les vitrages de la pièce, elle va forcément prendre froid et tomber malade avant même le retour de son Vénéré Maître. A la porte, on entend « toc, toc ».
- Qui est-ce ? (interroge le Majordome de sa grosse voix)
- C’est Firmin, Monsieur Walter.
- Entrez, Firmin.
- Me voilà, Monsieur Walter. Je reviens avec soumise Thaïs MDE et je vous ramène soumise Astride MDE comme vous l’avez exigé. Que se passe-t-il ? Y-a-t-il quelque chose de grave, ou même simplement quelque chose que je dois faire ?
- Oui, Firmin. Justement, vous allez surveiller ces deux petites chiennes. Les vitres de la chambre nuptiale sont sales et il faut qu’elles puissent les nettoyer à fond, façade extérieure comprise bien entendu.
Walter se retourne vers soumise Astride MDE qui avait suivi Firmin, trainée en laisse, et qui s’était agenouillée, ainsi que Thaïs MDE, tête baissée en arrivant aux pieds du Majordome. Il se penche vers elle, en lui attrapant le collier pour la forcer à lever la tête et à croiser son regard directif et pesant, qui en dit long, même sans mots.
- La chienne, je suppose que tu sais pourquoi je t’ai fait venir à l’instant, dans cette pièce !
Soumise Astride MDE baisse les yeux ne voulant pas se résigner à faire un signe négatif en remuant la tête, car le « non » est plutôt du genre prohibé dans la bouche d’une soumise dans toute l’enceinte du Château.
- Et bien, puisque tu ne réponds pas, je vais te le dire. C’est bien toi qui a eu en charge la formation de soumise Holly MDE pour la liste des tâches à effectuer lorsque l’une d’entre vous a l’immense honneur d’être affectée à l’entretien des appartements privés de Monsieur le Marquis. Je pense que tu as oublié un certain nombre d’étapes fondamentales, telles que le besoin d’aérer la pièce avant même de commencer à nettoyer ou de s’assurer que les vitres soient propres. Donc, exécution ! Tu vas aller aider ta sœur de soumission à faire ce qu’elle n’a pas fait à l’instant. Mais je vais d’abord vous équiper toutes les deux pour que vous ayez un peu moins froid dehors et Firmin va se faire un malin plaisir de vous réchauffer avec ce martinet au fur et à mesure de votre avancée à la tâche.
Le Majordome oblige les deux soumises à se lever, puis les force à écarter les jambes et les cuisses en usant de la cravache qui ne le quitte jamais. Il enfile entièrement les deux longs godes rabbit dans les deux chattes lubrifiées des deux esclaves soumises, ayant un peu de mal à se frayer un passage dans le vagin de soumise Astride MDE, qui est déjà largement remplie et écartelée au niveau de l’anus par l’énorme plug anal qui lui a été imposé un peu plus tôt. Il met en route les deux appareils en position maximale provoquant assez rapidement des sensations intenses surtout au niveau des deux clitoris qui sont directement sollicités par les vibrations du sextoy. Walter glisse, entre les cuisses des deux soumises et autour de la taille, une ceinture métallique de chasteté adaptée pour laisser traverser la partie extérieure du gode en question tout en le retenant en place. Il cadenasse l’ensemble, terminant pour chacune par une bonne tape sur les fesses de sa main droite qui s’est abattue lourdement, laissant l’empreinte de ses cinq doigts sur chacune.
- Et bien vous voilà parée et bien chaudement habillée pour sortir dehors travailler. Il n’était pas question que vos mignons petits minous puissent avoir froids, c’est sensible ces petites bêtes là … ah, ah, ah,…. (ajoute-t-il ironiquement avant de donner un petit coup de pied dans le derrière à chacune pour leur montrer la sortie vers le balcon par la porte-fenêtre). N’oubliez pas votre matériel en partant et tâchez d’être efficace, ce serait dommage d’avoir envie de traîner dehors inutilement par le temps qui fait. Firmin va venir vous surveiller et vous réchauffer ! Quand vous aurez terminé, il sera temps pour Firmin de descendre au réfectoire, vous le suivrez et suivant ce qu’il me dira, je déciderai si je peux retirer ce que vous avez entre les cuisses. Pas question de jouir bien sûr, ce n’est pas une partie de plaisir, juste un petit moment rafraîchissant pour vous donner encore plus d’énergie à l’ouvrage.
Walter prend à l’écart Firmin et lui parlant à demie voix afin de n’être entendu que par eux deux, et ceci d’autant plus aisément qu’il n’a pas encore rattaché à sa ceinture soumise Thaïs MDE.
- Vous m’enverrez demain matin deux chiens-mâles-esclaves faire toutes les fenêtres extérieures des appartements privés de Monsieur le Marquis d’Evans, qu’il s’agisse de la chambre nuptiale mais aussi de la petite chambre bleue et de toutes les pièces annexes. Je tiens à ce qu’en se réveillant, Monsieur le Marquis puisse profiter du soleil levant qui viendra frapper sur ses carreaux, et qu’il puisse voir le jour se lever à travers des vitres propres et étincelantes lorsqu’IL ouvrira ses grands rideaux de velours brodés de fil de soie et d’or. Pour ces deux soumises que je vous confie, vous les laissez s’affairer comme si de rien n’était, seulement pendant 5 minutes grand maximum. Cela sera largement suffisant pour marquer leurs esprits juste bons à être domptés, avec quelques bons coups de martinet sur les fesses et puis vous les faites rentrer sans plus attendre surtout si elles grelottent beaucoup, et ce avant qu’elles ne prennent froid, et vous aussi au passage…. Ah oui, aussi, … vous éteindrez les vibromasseurs en les faisant entrer à l’intérieur, pas de petits plaisirs inutiles, elles ne le méritent ni l’une, ni l’autre. Quand à demain, si le grand froid se maintient, vous veillerez à ce que les deux esclaves mâles soient vêtus de longues pelisses chaudes en laine et aussi de sabots fourrés pour ne pas les faire marcher dans la neige pieds nus. L’infirmerie du Château n’est pas conçue pour accueillir des dizaines de chiens et chiennes enrhumés.
Le Majordome s’apprête à quitter les lieux pour descendre rejoindre Marie la cuisinière car l’heure du déjeuner du personnel approche, qui se fait en rotation en deux services, ce qui permet à Walter qui a aussi en charge la surveillance de toutes les personnes employées au service du Châtelain de les apercevoir tous et de pouvoir leur parler directement en réglant et sans plus attendre les petits tracas liés à l’organisation quotidienne de toute la maisonnée. Il attrape la laisse de Thaïs MDE et la fait se mettre debout à son tour. Jouant de la cravache pour lui faire ouvrir les cuisses, Walter enfile la main généreusement dans la chatte glabre de la soumise, onctueuse et chaude, qu’il lui passe sous les narines avant de venir la nettoyer en s’essuyant à plusieurs reprises dans la chevelure blonde de la petite chienne docile.
- Je me doutais bien que cela t’avait excité l’idée de voir tes deux sœurs de soumission avec un gode vibrant dans le con et un plug dans le cul ! Le tout en vibration position maxi et bien cadenassé pour que cela ne puisse pas se défaire de manière impromptue, sans oublier quelques petits coups de martinet pour leur chauffer les fesses. Mais à y réfléchir bien, le traitement est plus désagréable qu’il n’y parait lorsqu’il s’éternise et surtout lorsque l’orgasme n’est pas autorisé. Je me demande si je ne vais pas t’équiper de la même manière. Et puis, pendant que je serai occupé avec le personnel car je ne peux pas te garder à mes côtés pour des discussions sérieuses d’ordre professionnel de surcroît, je crois bien que je vais, histoire de te rafraîchir aussi les idées comme tes compagnes de cachot, te faire faire un tour dehors, au frais avec la chatte en feu, ou alors …. mais oui très bien …dans la « chambre froide »…
Il disait cela comme s’il réfléchissait tout haut et se parlait à lui-même sur un ton vicieux qui ne laisse rien présager de bon pour la soumise à qui le Majordome avait déjà annoncé pour l’après-midi une contrainte de plus en punition pour avoir baissé la tête contrairement à ce qu’il avait exigé d’elle en ce jour particulier…
(A suivre…)
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