La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 334)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 334)
Suite de l'épisode précédent N°333 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Les deux-chiennes soumises attendent donc exhibées ainsi, la bouche pleine, remplie de glaçons qui leur glacent toute la cavité buccale. Elles les font tourner dans leur bouche pour les faire fondre le plus rapidement possible mais aussi pour éviter qu'ils ne viennent se coller contre la peau intérieure. Très vite, la petite irritation frigorifiant du départ s'estompe, et les deux esclaves apprécient ce moment d'autant plus érotisé et excitant qu'elle font tournoyer dans leur bouche de leur langue les glaçons qui s'y trouvent tout en pensant aux phallus et glands qui vont bientôt venir se loger dans leur orifice buccal presque glacé. Walter fait une annonce à table pendant le repas, précisant à chacun qu'à l'extérieur de la pièce se trouvaient deux esclaves-soumises punies qui avaient la gorge fraiche, refroidie avec de la neige puis avec des glaçons et que si certains avaient envie d'y mettre la queue pour des plaisirs plutôt peu réchauffant, mais une vraie fellation glacée avec effet garanti question sensations. Ils sont bien plus nombreux que ne l'avait imaginé au départ le Majordome toujours aussi inventif dans sa perversité, à vouloir tester cette petite variante inhabituelle. Un embouteillage puis une file d’attente se forme vite devant la porte de sortie de la salle à manger, chacun attendant son tour patiemment, bien qu'en réalité, seuls les premiers ont pu vraiment profiter d'un écart de température notable. Les bouches des deux-chiennes soumises ainsi assignées à servir de vide-couilles pour tous ces messieurs pendant la pause-déjeuner se sont vite réchauffées en se remplissant de longs jets de spermes chauds déversés par les mâles qui ne veulent surtout pas rater une occasion de pouvoir s'offrir une gâterie de fin de repas. Tandis que tous les employés intéressés passent entre les lèvres de l'une ou de l'autre des deux chiennes en chaleur, excitées d’être ainsi utilisées sans compter, Marie se met à sonner la cloche pour annoncer que le deuxième service va démarrer dans dix minutes et s'approchant de Walter, elle précise de sa grosse voix tonitruante :
- Walter, tu me dégages ces deux chiennes-femelles de là. Tu as vu le bazar qu’elles ont mises à l'entrée de ‘’ma’’ salle à manger. J'ai vu le moment où la queue de tant de queues dressées et prêtes à l’emploi ne diminuerait pas et que je les aurais encore tous là par les pattes à attendre leur tour. Or, tu n’es pas sans savoir que la relève doit pouvoir être assurée dans les couloirs du Château et la salle vidée pour qu'on puisse mettre la table à nouveau pour le deuxième service. Je suppose que tes deux chiennes n'auront pas faim après tout ce qu'elles viennent d'ingurgiter, donc tu n'as qu'à leur faire reprendre leur poste sans tarder.
Le Majordome trouvant lui aussi que le jeu a suffisamment duré s'approche de soumise Holly MDE et de soumise émeline MDE.
- Vous venez d'entendre ce que Madame Marie a dit. Je reconnais que vous avez été deux chiennes assez sages et obéissantes. La punition est donc levée cette fois, et même en ce qui te concerne émeline MDE, celle de ce matin également. Tachez cependant de reprendre vos tâches ménagères avec plus d'application pour le reste de la journée. Je monterai faire une inspection en soirée avant le repas pour vérifier. Chienne émeline MDE, tu aideras ta sœur Holly MDE tout l'après-midi, elle est encore trop novice pour que je la laisse se charger d'une tâche aussi importante que celle de l'entretien de la chambre nuptiale, pièce que Monsieur le Marquis affectionne tout particulièrement. Allez, au travail. Exécution.
Walter ayant à peine terminé sa phrase, reprend en s'exclamant.
- Non, attendez. J'ai juste encore quelque chose à faire. Levez-vous immédiatement.
Les deux esclaves-soumises s'exécutent dans la seconde, trop heureuses de pouvoir se retrouver enfin sur leurs deux pieds, car leur jambes avaient fini par s'ankyloser et leurs genoux étaient devenus douloureux à force d’être restées agenouillées sur le sol carrelé du couloir pendant tout le temps du repas. Le Majordome défait les cadenas qui retenaient les deux ceintures de chasteté.
- Vous voilà presque libres ! Avant de monter reprendre votre poste, vous avez l'autorisation de passer par la grande salle de propreté des esclaves-femelles du sous-sol. Vous pourrez retirer les godes et les plugs que vous portez, laver et désinfecter tout le matériel avant de le sécher pour le remonter à l'étage afin que je puisse ce soir le ranger convenablement à sa place. Autorisation accordée de passer par les toilettes, de vous rincer la bouche et de boire un peu d’eau au robinet, et puis aussi de vous laver par une douche froide sans oublier l'entrecuisse, car je suppose que ce doit être plus qu'humide en dessous avec tout ce joli petit monde qui vous a baisé la bouche voluptueusement. Je ne tiens pas à ce que vos cyprines respectives débordent et finissent par couler dans la belle chambre nuptiale, laissant vos suintements humides de femelles que l’on pourrait suivre à la trace. Dégagez maintenant !
Les deux chiennes se remettent à quatre pattes et se dirigent vers l'escalier qui mène aux cachots des soumises, terriblement excitées et coulantes, d'avoir été pénétrées si profondément et si virilement par tant d'hommes en si peu de temps. Walter entre et s'installe à table pour prendre son repas au milieu du personnel affecté au deuxième service. Les esclaves-chiens du cheptel s'affairent à nouveau à porter sur la table tout ce qui a été préparé en cuisine par Marie mais aussi par plusieurs petites mains de soumis et soumises. Marie ne voulant pas faire de différence dans les équipes qui lui sont assignées quotidiennement, les fait tourner systématiquement sur les différents postes, certains étant plus ardus que d'autres, entre l'épluchage des légumes, la préparation de la salle et de la table, la préparation des plats, le service à table pendant le repas, le lavage de la vaisselle, si bien qu'à tour de rôle presque tout le cheptel a été affecté à l'ensemble des tâches de l'office, sauf peut-être les nouveaux qui manquent encore d'expérience et qui commencent toujours par le service le plus simple, celui des esclaves de tout le cheptel (remplir les écuelles, les laver à la fin du repas et laver le sol qui est parfois dégoutant, car ce n'est pas toujours facile de manger dans une gamelle à quatre pattes sans rien renverser et sans rien laisser dans ce qui tient lieu de réceptacle pour l’eau ou pour la nourriture. Ils et elles sont encore nombreux a en mettre un peu partout, voire à renverser leur pâtée quotidienne, ce qui ne manque pas d'occasionner une punition que Marie se plait tant à donner à la fin du repas devant tous les autres esclaves, savourant une fois encore sa place privilégiée et le pouvoir réel qu'elle a dans ses cuisines et les offices où elle régente en vrai « Maître Queue » à défaut d’être une « Maîtresse D/s à part entière, même si elle en a les qualités requises car la Domination est bien évidemment sa tasse de thé.
Le deuxième service se passe sans autre incident notable. Vers la fin du repas, Marie voulant absolument parler à son ami et vieux complice et collègue s’approche de Walter qui s’apprête à savourer son café tranquillement après le départ de tout le personnel.
- Bon alors ! Venons-en aux choses sérieuses. Nourrir tout ce monde, cela ne nourrit pas ma libido et ne comble pas mon appétit de désirs charnels. Elle est où celle que tu devais mettre à ma disposition pendant mon temps de pause à l’heure de la sieste. J’ai envie de la « cuisiner » un peu cette petite dernière, pour voir ce qu’elle a dans les tripes. A propos, tu ne m’as toujours pas expliqué ce que tu as fait ce matin dans ton coin. Tu avais juste l’air totalement espiègle tout à l’heure quand tu es passé par la cuisine avec cette chienne-femelle te dirigeant vers le sous-sol. Tu m’avais dit que tu me raconterais en remontant, mais je ne t’ai pas vu remonter … et donc, j’attends …. Dis-moi, dis-moi, …. je veux savoir …. tu lui as fait faire quoi à cette petite chienne en chaleur, je t’avais proposé d’aller rafraîchir ses ardeurs.
Walter raconte à la cuisinière en détail toute la scène dans la chambre froide, avec moult détails subtils et succulents. Marie, toujours aussi sadique et perverse, en est toute émoustillée à l’idée, regrettant juste de n’avoir pas pu profiter de visu du spectacle de la belle nue, pendue au crochet de boucher au milieu des deux chevreuils et du gros sanglier. Walter lui explique également que la toute nouvelle esclave-soumise a plus ou moins craqué en pleurs, et qu’il est allé la conduire dans son cachot pour qu’elle se repose pendant deux bonnes heures. Enfin, il ajoute :
- Elle est à toi maintenant, tu vas pouvoir la faire mijoter à ta sauce, mais je précise « à feu doux », s’il te plait, car elle a déjà été bien éprouvée ce matin. N’oublie pas que demain, Monsieur le Marquis rentre de son déplacement professionnel et je pense qu’il voudra sûrement retrouver sa dernière recrue en bonne forme pour en profiter personnellement. Nous sommes là pour parfaire son dressage pendant le temps qu’elle passera au Château, mais il faut y aller par étapes successives, même si Monsieur le Marquis a décelé chez cette nouvelle esclave-soumise beaucoup de dévotion et un gros potentiel qu’il m’a demandé d’exploiter au maximum et de développer en formation accéléré. Veux-tu que je demande à ce qu’on aille la quérir pour l’amener dans ta chambre ?
- Non, Walter, je vais aller la chercher moi-même et je ne suis pas certaine d’aller faire la sieste dans la chambre, histoire de me faire juste lécher la chatte et le cul. Tu sais bien ce que j’ai préparé pour elle, une petite recette « spéciale Marie » qui ne se fait pas en cinq minutes, même si j’ai déjà préparé tous les ingrédients. C’est comme en cuisine, les bons plats sont ceux qui mitonnent lentement et longuement, afin de pouvoir distiller toutes leurs saveurs.
- Alors amuse-toi bien ! … (puis d’un clin d’œil complice) Et compte-rendu obligatoire après, en soirée, car je n’aurai pas le temps de passer vous voir, je dois aller travailler à mon bureau car j’ai pas mal d’intendance et de paperasserie à traiter pour l’heure, des factures à régler et des commandes à valider.
Marie se dirige promptement vers la cellule de soumise Thaïs MDE qui dort toujours à poings fermés tant elle était épuisée et qui n’a même pas entendu la porte du cachot s’ouvrir quand la cuisinière est entrée.
- La chienne ! on se réveille ! dépêche-toi ! …
La cuisinière secoue comme un pommier la chienne endormie qui ouvre les yeux ne comprenant pas ce qui se passe et pourquoi elle se retrouve dans sa cellule, avec Marie qui est en train de la faire bouger dans tous les sens avec son pied.
- On se réveille, j’ai dit ! En position, et plus vite que cela, si tu ne veux pas tâter de mon bout de bois. (Marie se déplace toujours avec, à la ceinture, une large spatule plate en bois)
Thaïs MDE reprenant ses esprits se redresse, quitte sa couche et se met à quatre pattes devant Marie attendant les ordres.
- C’est à mon tour de m’occuper de toi pendant deux heures. Tu vas voir ce que je t’ai mitonné de bon, tu m’en diras des nouvelles, je suis sûre que tu vas enfin reconnaître comme tous les autres mes talents de cuisinière, même si dans ton cas, il ne s’agira pas tout à fait de la même manière de pouvoir déguster mes recettes spéciales, plutôt stimulantes, excitantes, et qui sait aphrodisiaques…
La soumise-esclave baisse la tête se demandant bien ce qui a pu traverser l’imaginaire sadique de la cuisinière, mais elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle arrête de songer et de s’inquiéter sur ce à quoi, dans tous les cas, elle ne pourra pas échapper, bien forcée d’obéir aux moindres caprices et idées des deux domestiques de Monsieur le Marquis d’Evans pour ne pas prendre le risque de mériter le juste courroux du Châtelain à Son retour, qui lui ordonné d’obéir les yeux fermés en tous points à ses deux fidèles serviteurs qui ont toute sa confiance, comme si c’était à un autre Lui-même en Son absence.
- Tu passes par les toilettes en premier. Et ensuite tu files dans le coin là-bas sous la douche. Il faut que je commence par te laver. C’est comme en cuisine, on doit toujours nettoyer les légumes avant de les mettre à cuire.
Thaïs MDE est un peu gênée de devoir uriner sous l’œil voyeur de Marie qui n’a pas hésité à se pencher pour profiter du spectacle de son jet continu qui vient gicler sur les toilettes à la turque qui équipe sa cellule. Elle se secoue pour faire tomber les dernières gouttes, n’ayant rien pour s’essuyer et se dirige vers la douche. La cuisinière attrape le robinet qu’elle ouvre et le dirige vers le corps de la belle à pleine puissance, la plaquant presque contre la paroi sous la force du jet. L’eau très froide qui sort des canalisations font frissonner et trembler la soumise.
- Ne t’inquiètes pas si c’est froid maintenant ! Tu vas avoir largement l’occasion de te réchauffer cet après-midi. Walter m’a raconté ton petit passage dans la chambre froide. Il paraît que tu as apprécié largement le gode vibrant qui te réchauffait la chatte et le clito, tu es vraiment une chienne en chaleur qu’on a dû mal à calmer, tant elle se complet dans la débauche et les plaisirs sexuels. Une vraie salope excitée… Alors je vais te donner de quoi rassasier tous tes sens excités…
(A suivre…)
Les deux-chiennes soumises attendent donc exhibées ainsi, la bouche pleine, remplie de glaçons qui leur glacent toute la cavité buccale. Elles les font tourner dans leur bouche pour les faire fondre le plus rapidement possible mais aussi pour éviter qu'ils ne viennent se coller contre la peau intérieure. Très vite, la petite irritation frigorifiant du départ s'estompe, et les deux esclaves apprécient ce moment d'autant plus érotisé et excitant qu'elle font tournoyer dans leur bouche de leur langue les glaçons qui s'y trouvent tout en pensant aux phallus et glands qui vont bientôt venir se loger dans leur orifice buccal presque glacé. Walter fait une annonce à table pendant le repas, précisant à chacun qu'à l'extérieur de la pièce se trouvaient deux esclaves-soumises punies qui avaient la gorge fraiche, refroidie avec de la neige puis avec des glaçons et que si certains avaient envie d'y mettre la queue pour des plaisirs plutôt peu réchauffant, mais une vraie fellation glacée avec effet garanti question sensations. Ils sont bien plus nombreux que ne l'avait imaginé au départ le Majordome toujours aussi inventif dans sa perversité, à vouloir tester cette petite variante inhabituelle. Un embouteillage puis une file d’attente se forme vite devant la porte de sortie de la salle à manger, chacun attendant son tour patiemment, bien qu'en réalité, seuls les premiers ont pu vraiment profiter d'un écart de température notable. Les bouches des deux-chiennes soumises ainsi assignées à servir de vide-couilles pour tous ces messieurs pendant la pause-déjeuner se sont vite réchauffées en se remplissant de longs jets de spermes chauds déversés par les mâles qui ne veulent surtout pas rater une occasion de pouvoir s'offrir une gâterie de fin de repas. Tandis que tous les employés intéressés passent entre les lèvres de l'une ou de l'autre des deux chiennes en chaleur, excitées d’être ainsi utilisées sans compter, Marie se met à sonner la cloche pour annoncer que le deuxième service va démarrer dans dix minutes et s'approchant de Walter, elle précise de sa grosse voix tonitruante :
- Walter, tu me dégages ces deux chiennes-femelles de là. Tu as vu le bazar qu’elles ont mises à l'entrée de ‘’ma’’ salle à manger. J'ai vu le moment où la queue de tant de queues dressées et prêtes à l’emploi ne diminuerait pas et que je les aurais encore tous là par les pattes à attendre leur tour. Or, tu n’es pas sans savoir que la relève doit pouvoir être assurée dans les couloirs du Château et la salle vidée pour qu'on puisse mettre la table à nouveau pour le deuxième service. Je suppose que tes deux chiennes n'auront pas faim après tout ce qu'elles viennent d'ingurgiter, donc tu n'as qu'à leur faire reprendre leur poste sans tarder.
Le Majordome trouvant lui aussi que le jeu a suffisamment duré s'approche de soumise Holly MDE et de soumise émeline MDE.
- Vous venez d'entendre ce que Madame Marie a dit. Je reconnais que vous avez été deux chiennes assez sages et obéissantes. La punition est donc levée cette fois, et même en ce qui te concerne émeline MDE, celle de ce matin également. Tachez cependant de reprendre vos tâches ménagères avec plus d'application pour le reste de la journée. Je monterai faire une inspection en soirée avant le repas pour vérifier. Chienne émeline MDE, tu aideras ta sœur Holly MDE tout l'après-midi, elle est encore trop novice pour que je la laisse se charger d'une tâche aussi importante que celle de l'entretien de la chambre nuptiale, pièce que Monsieur le Marquis affectionne tout particulièrement. Allez, au travail. Exécution.
Walter ayant à peine terminé sa phrase, reprend en s'exclamant.
- Non, attendez. J'ai juste encore quelque chose à faire. Levez-vous immédiatement.
Les deux esclaves-soumises s'exécutent dans la seconde, trop heureuses de pouvoir se retrouver enfin sur leurs deux pieds, car leur jambes avaient fini par s'ankyloser et leurs genoux étaient devenus douloureux à force d’être restées agenouillées sur le sol carrelé du couloir pendant tout le temps du repas. Le Majordome défait les cadenas qui retenaient les deux ceintures de chasteté.
- Vous voilà presque libres ! Avant de monter reprendre votre poste, vous avez l'autorisation de passer par la grande salle de propreté des esclaves-femelles du sous-sol. Vous pourrez retirer les godes et les plugs que vous portez, laver et désinfecter tout le matériel avant de le sécher pour le remonter à l'étage afin que je puisse ce soir le ranger convenablement à sa place. Autorisation accordée de passer par les toilettes, de vous rincer la bouche et de boire un peu d’eau au robinet, et puis aussi de vous laver par une douche froide sans oublier l'entrecuisse, car je suppose que ce doit être plus qu'humide en dessous avec tout ce joli petit monde qui vous a baisé la bouche voluptueusement. Je ne tiens pas à ce que vos cyprines respectives débordent et finissent par couler dans la belle chambre nuptiale, laissant vos suintements humides de femelles que l’on pourrait suivre à la trace. Dégagez maintenant !
Les deux chiennes se remettent à quatre pattes et se dirigent vers l'escalier qui mène aux cachots des soumises, terriblement excitées et coulantes, d'avoir été pénétrées si profondément et si virilement par tant d'hommes en si peu de temps. Walter entre et s'installe à table pour prendre son repas au milieu du personnel affecté au deuxième service. Les esclaves-chiens du cheptel s'affairent à nouveau à porter sur la table tout ce qui a été préparé en cuisine par Marie mais aussi par plusieurs petites mains de soumis et soumises. Marie ne voulant pas faire de différence dans les équipes qui lui sont assignées quotidiennement, les fait tourner systématiquement sur les différents postes, certains étant plus ardus que d'autres, entre l'épluchage des légumes, la préparation de la salle et de la table, la préparation des plats, le service à table pendant le repas, le lavage de la vaisselle, si bien qu'à tour de rôle presque tout le cheptel a été affecté à l'ensemble des tâches de l'office, sauf peut-être les nouveaux qui manquent encore d'expérience et qui commencent toujours par le service le plus simple, celui des esclaves de tout le cheptel (remplir les écuelles, les laver à la fin du repas et laver le sol qui est parfois dégoutant, car ce n'est pas toujours facile de manger dans une gamelle à quatre pattes sans rien renverser et sans rien laisser dans ce qui tient lieu de réceptacle pour l’eau ou pour la nourriture. Ils et elles sont encore nombreux a en mettre un peu partout, voire à renverser leur pâtée quotidienne, ce qui ne manque pas d'occasionner une punition que Marie se plait tant à donner à la fin du repas devant tous les autres esclaves, savourant une fois encore sa place privilégiée et le pouvoir réel qu'elle a dans ses cuisines et les offices où elle régente en vrai « Maître Queue » à défaut d’être une « Maîtresse D/s à part entière, même si elle en a les qualités requises car la Domination est bien évidemment sa tasse de thé.
Le deuxième service se passe sans autre incident notable. Vers la fin du repas, Marie voulant absolument parler à son ami et vieux complice et collègue s’approche de Walter qui s’apprête à savourer son café tranquillement après le départ de tout le personnel.
- Bon alors ! Venons-en aux choses sérieuses. Nourrir tout ce monde, cela ne nourrit pas ma libido et ne comble pas mon appétit de désirs charnels. Elle est où celle que tu devais mettre à ma disposition pendant mon temps de pause à l’heure de la sieste. J’ai envie de la « cuisiner » un peu cette petite dernière, pour voir ce qu’elle a dans les tripes. A propos, tu ne m’as toujours pas expliqué ce que tu as fait ce matin dans ton coin. Tu avais juste l’air totalement espiègle tout à l’heure quand tu es passé par la cuisine avec cette chienne-femelle te dirigeant vers le sous-sol. Tu m’avais dit que tu me raconterais en remontant, mais je ne t’ai pas vu remonter … et donc, j’attends …. Dis-moi, dis-moi, …. je veux savoir …. tu lui as fait faire quoi à cette petite chienne en chaleur, je t’avais proposé d’aller rafraîchir ses ardeurs.
Walter raconte à la cuisinière en détail toute la scène dans la chambre froide, avec moult détails subtils et succulents. Marie, toujours aussi sadique et perverse, en est toute émoustillée à l’idée, regrettant juste de n’avoir pas pu profiter de visu du spectacle de la belle nue, pendue au crochet de boucher au milieu des deux chevreuils et du gros sanglier. Walter lui explique également que la toute nouvelle esclave-soumise a plus ou moins craqué en pleurs, et qu’il est allé la conduire dans son cachot pour qu’elle se repose pendant deux bonnes heures. Enfin, il ajoute :
- Elle est à toi maintenant, tu vas pouvoir la faire mijoter à ta sauce, mais je précise « à feu doux », s’il te plait, car elle a déjà été bien éprouvée ce matin. N’oublie pas que demain, Monsieur le Marquis rentre de son déplacement professionnel et je pense qu’il voudra sûrement retrouver sa dernière recrue en bonne forme pour en profiter personnellement. Nous sommes là pour parfaire son dressage pendant le temps qu’elle passera au Château, mais il faut y aller par étapes successives, même si Monsieur le Marquis a décelé chez cette nouvelle esclave-soumise beaucoup de dévotion et un gros potentiel qu’il m’a demandé d’exploiter au maximum et de développer en formation accéléré. Veux-tu que je demande à ce qu’on aille la quérir pour l’amener dans ta chambre ?
- Non, Walter, je vais aller la chercher moi-même et je ne suis pas certaine d’aller faire la sieste dans la chambre, histoire de me faire juste lécher la chatte et le cul. Tu sais bien ce que j’ai préparé pour elle, une petite recette « spéciale Marie » qui ne se fait pas en cinq minutes, même si j’ai déjà préparé tous les ingrédients. C’est comme en cuisine, les bons plats sont ceux qui mitonnent lentement et longuement, afin de pouvoir distiller toutes leurs saveurs.
- Alors amuse-toi bien ! … (puis d’un clin d’œil complice) Et compte-rendu obligatoire après, en soirée, car je n’aurai pas le temps de passer vous voir, je dois aller travailler à mon bureau car j’ai pas mal d’intendance et de paperasserie à traiter pour l’heure, des factures à régler et des commandes à valider.
Marie se dirige promptement vers la cellule de soumise Thaïs MDE qui dort toujours à poings fermés tant elle était épuisée et qui n’a même pas entendu la porte du cachot s’ouvrir quand la cuisinière est entrée.
- La chienne ! on se réveille ! dépêche-toi ! …
La cuisinière secoue comme un pommier la chienne endormie qui ouvre les yeux ne comprenant pas ce qui se passe et pourquoi elle se retrouve dans sa cellule, avec Marie qui est en train de la faire bouger dans tous les sens avec son pied.
- On se réveille, j’ai dit ! En position, et plus vite que cela, si tu ne veux pas tâter de mon bout de bois. (Marie se déplace toujours avec, à la ceinture, une large spatule plate en bois)
Thaïs MDE reprenant ses esprits se redresse, quitte sa couche et se met à quatre pattes devant Marie attendant les ordres.
- C’est à mon tour de m’occuper de toi pendant deux heures. Tu vas voir ce que je t’ai mitonné de bon, tu m’en diras des nouvelles, je suis sûre que tu vas enfin reconnaître comme tous les autres mes talents de cuisinière, même si dans ton cas, il ne s’agira pas tout à fait de la même manière de pouvoir déguster mes recettes spéciales, plutôt stimulantes, excitantes, et qui sait aphrodisiaques…
La soumise-esclave baisse la tête se demandant bien ce qui a pu traverser l’imaginaire sadique de la cuisinière, mais elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle arrête de songer et de s’inquiéter sur ce à quoi, dans tous les cas, elle ne pourra pas échapper, bien forcée d’obéir aux moindres caprices et idées des deux domestiques de Monsieur le Marquis d’Evans pour ne pas prendre le risque de mériter le juste courroux du Châtelain à Son retour, qui lui ordonné d’obéir les yeux fermés en tous points à ses deux fidèles serviteurs qui ont toute sa confiance, comme si c’était à un autre Lui-même en Son absence.
- Tu passes par les toilettes en premier. Et ensuite tu files dans le coin là-bas sous la douche. Il faut que je commence par te laver. C’est comme en cuisine, on doit toujours nettoyer les légumes avant de les mettre à cuire.
Thaïs MDE est un peu gênée de devoir uriner sous l’œil voyeur de Marie qui n’a pas hésité à se pencher pour profiter du spectacle de son jet continu qui vient gicler sur les toilettes à la turque qui équipe sa cellule. Elle se secoue pour faire tomber les dernières gouttes, n’ayant rien pour s’essuyer et se dirige vers la douche. La cuisinière attrape le robinet qu’elle ouvre et le dirige vers le corps de la belle à pleine puissance, la plaquant presque contre la paroi sous la force du jet. L’eau très froide qui sort des canalisations font frissonner et trembler la soumise.
- Ne t’inquiètes pas si c’est froid maintenant ! Tu vas avoir largement l’occasion de te réchauffer cet après-midi. Walter m’a raconté ton petit passage dans la chambre froide. Il paraît que tu as apprécié largement le gode vibrant qui te réchauffait la chatte et le clito, tu es vraiment une chienne en chaleur qu’on a dû mal à calmer, tant elle se complet dans la débauche et les plaisirs sexuels. Une vraie salope excitée… Alors je vais te donner de quoi rassasier tous tes sens excités…
(A suivre…)
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