La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 340)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 340)
Suite de l'épisode N°274 - Mary au château -
Mary était fière de son mari, envers ce qu'il venait d’exprimer pour elle. Il n'était pas spécialiste en mots d'amour, mais cette épreuve témoignait de ce qu'il ressentait pour elle. Elle savait qu'il acceptera dorénavant, ce qu'elle est vraiment, une soumise dans l’âme mais également sa double vie, même, s'il lui faudra lui laisser du temps pour comprendre son besoin viscéral et son bonheur immense d'être ainsi soumise. Mary, toujours sur le billard, continuait d'embrasser son mari sur le dos, le cou et sur les reins, Après un court moment pour récupérer, Hervé releva la tête et regarda son épouse, et en voyant ses yeux si pétillants de bonheur, il lui sourit. Bien que ne ressentant pas lui-même autant ce que Mary dégage au plus profond d'elle, il avoue ne pas être resté indifférent face à la situation. Il savait aussi qu'il devait tirer une leçon de ce qui venait de se passer. En effet, jusqu'à présent il concevait, par son éducation traditionnelle, l'acte d'amour seulement entre deux hétérosexuels et avait plutôt un avis négatif, mais sans haïr, sur l'amour de deux personnes de même sexe pouvait se porter. Il évitait de parler de ce sujet avec Mary par crainte de la fâcher car sur tout ce qui concerne le sujet de l'amour, ou de l’homosexualité, Mary avait un esprit plus ouvert que lui. Hervé était maintenant sûr que se faire sodomiser par le Marquis d'Evans était une petite leçon de sa part, afin qu'il prenne lui-même conscience que chacun a le droit de vivre son amour comme il l'entend, du moment que chacun soit heureux. Hervé passa son regard sur Walter qui tenait encore la laisse de Mary qui avait repris docilement sa position d'attente, à genoux, tête baissée, buste droit et mains derrière le dos. Puis, il regarda plus fixement le Maître des lieux, qui se tenait en face de lui et dit sur un ton pas forcément résigné mais plutôt un ton d’acceptation empli d’amour pour sa femme :
- En voyant Mary si radieuse ainsi, j'accepte qu'elle vive sa soumission comme elle le souhaite tout en faisant la différence avec ce que vous appelez sa vie "vanille". Mais, puis-je Monsieur le Marquis poser une question à laquelle soit vous, soit mon épouse, si vous lui autorisez, pourrez me répondre ?
Le Marquis répondit calmement :
- Je vous écoute
- Pourquoi Mary ne m'a jamais fait part de son envie de soumission et de ne pas m'avoir demandé, choisi, reconnu comme son Maître ?
Le Marquis se tourna vers Mary et lui dit :
- Réponds, ma petite chienne à ton mari, même si je sais les raisons, je trouve mieux approprié que ce soit toi qui lui réponde et il sera à même de mieux apprécier.
Mary, toujours aussi immobile, mais le regardant droit dans les yeux dit à son époux, posément, pour chercher les bons mots et de ne pas le blesser :
- Je ne t'ai jamais fait part avant de mon désir caché car tout d'abord par crainte de ton incompréhension, de ta réaction, comme beaucoup d'autres qui ne comprennent pas la relation spécifique à la D/s. Ensuite, dans le cas contraire, je ne te voyais pas me guider, me faire progresser dans ma soumission. J'avais besoin de quelqu'un qui avait déjà de l'expérience pour me sentir plus en confiance et qui sait être à l'écoute et une certaine ouverture d'esprit afin qu’aucun sujet abordé ne soit tabou. Enfin, j'ai aussi envie et souhaite garder cet amour plus simple que j'ai pour toi depuis notre rencontre, et qui m'est aussi nécessaire car je t’aime. Tu as pu remarquer que mon amour pour toi reste le même, alors que je cachais mon autre facette. Et je peux t'assurer que mes sentiments envers toi demeureront intacts tant que rien ne viendra les perturber.
Après ces propos, Mary rebaissa la tête et ressenti deux regards différents posés sur elle : Celui de Hervé, son époux qui était plus détendu, et celui de son Maître admiratif et fier d’elle. Elle se sentait aussi apaiser intérieurement, car elle pourra vivre plus sereinement son instinct de soumission, et d'apprendre plus aisément à servir les exigences de son Maître Vénéré.
Le Marquis d'Evans, coupa le bref silence installé en s'adressant à Hervé :
- Maintenant, que je suis rassuré autant pour moi que pour ma belle chienne, pour les prochains jours, je vous souhaite, cher Hervé, la bienvenue en ces lieux pour le reste du week-end. Vous pourrez aller où bon vous semble. Si vous souhaitez vous rendre à l'extérieur, pour visiter vos amis, récupérer votre voiture ou autre, mon fidèle Majordome, Walter, se tient à votre disposition. Mais, Mary, restera en ma demeure, sous ma protection, et à ma disposition. Son séjour sera rythmé par mes exigences ou ceux du personnel de mon Château tels que Walter ou Marie la cuisinière et leur devra obéissance aux mêmes règles qu'à mon cheptel. Tout ce que je vous demande est votre totale discrétion à tout ce qui se passe ici en ma demeure. Et ne vous inquiétez pas, vous serez peut-être choqué par certaines situations, mais sachez que tous mes esclaves ici sont pleinement consentants et heureux de leur condition. Si vous avez des questions à poser, seuls Walter ou Marie ma cuisinière ou moi-même vous répondrons. Mes esclaves ne pourront le faire qu'avec notre autorisation.
Puis se retournant vers Walter, le Marquis ajouta :
- Fait descendre Mary, et qu'elle vienne devant moi.
Walter tira d'un coup sec sur la laisse pour faire descendre Mary qui si elle ne connaissait pas le tempérament rustre du Majordome, se serait un peu rebellée pour ces manières. Mais il était plus sage de se taire, pour ne pas subir dès le "vrai" premier jour de sa rencontre avec son Maître vénéré, son courroux et sûrement une punition méritée pour lui rappeler sa place. Une place d'esclave, de soumise, en devenir, et qu'elle souhaitait être au plus profond de son âme et qu'ici, entre les murs du Château, elle pourra dévoiler sans pudeur et sans crainte. Dans un autre sens, en son for intérieur, elle était ravie enfin, que l'on prête attention à elle, car elle commençait à avoir une crampe ainsi agenouillée. Une fois devant son Maître, Mary, se prosterna à Ses pieds, croupe levée et dos cambré… Celui-ci prit la laisse que lui tendait le Majordome et caressa les fesses de la belle brune de l'autre main, puis passa entre ses cuisses pour stimuler légèrement le clitoris, et enfin entra brièvement un doigt dans sa grotte humide de cyprine. Il retira sa main, puis tirant légèrement sur la laisse pour que Mary lève un peu la tête, il glissa son doigt humide dans la bouche de la soumise en disant :
- Je constate que toute cette conversation ne t'a pas assécher (Puis se tournant à Hervé) Je vous invite à vous rhabiller et à me suivre dans la petite salle à manger à l'étage, où un petit dîner nous sera servi. Pendant ce temps je laisse le soin à Walter de rendre plus présentable Mary, qui par les traces de cire et de chocolat laissées par mes amis sénégalais, ressemble plus à une petite cochonne. Je lui réserve une petite cérémonie pour son entrée au Château, et qui scellera son engagement envers Moi et Moi envers elle. Vous n'allez pas être, encore au bout de vos surprises, cher Hervé…
Le Marquis d’Evans sortit de la salle de billard avec Mary qui suivit à quatre pattes, au rythme de ses pas, légèrement en retrait tout en mettant en mouvement sa magnifique croupe telle une panthère. Ce déplacement si félin soit-il interpella encore plus Hervé, ce qui lui démontra une fois de plus, tout le bonheur qu’avait sa femme devenue chienne à évoluer ainsi en laisse derrière son Maître, tel un animal à quatre pattes. Au bas du grand et impressionnant escalier principal, Il attendit que Walter et Hervé sortent à leur tour. Puis Il donna la laisse à son Majordome en lui donnant pour consigne :
-Ne tarde pas trop, veille à ce que cette petite cochonne soit bien propre de partout et sans exception, du haut de sa tête jusqu’au bout de ses orteils. Tu me la présenteras, parée, comme je t'en ai fait part il y a quelques jours, mais sans grand artifice, ce qui gâcherait sa beauté naturelle. Je t'autorise, bien entendu, à utiliser de ta cravache, si la cadence traîne, et de la punir justement si cette femelle oserait désobéir."
Walter répondit :
-Tout sera fait selon votre ordre, Monsieur Le Marquis, et comme vous me donnez carte blanche, j'ai une petite formalité à régler avec cette petite chienne en chaleur. Je compte, ainsi, lui faire comprendre mes fonctions dans Votre Demeure et lui faire voir de quel bois je me chauffe…
En entendant les propos de Walter, Mary se mit à rougir autant par les qualificatifs employés par celui-ci que par crainte. Elle osa fixer un instant son regard, sur le somptueux et grand tapis bleu sur lequel étaient dessinées au centre, en jaune doré, les Armoiries de la Noble Famille des Evans. Elle était donc un peu inquiète en se demandant, ce qu'elle avait pu fait pour mécontenter Walter. Alors elle se remémorait, tous les moments passés avec son Vénéré Maître mais aussi ceux avec la présence du Majordome, soit depuis le début de soirée aux Sarmentelles de Beaujeu, jusqu'à son arrivée au Château, en pensant au moment où Walter a pu, comme son patron lui avait promis, profiter de la chaleur de son cul dans la forêt aux abords du château. Mais elle ne voyait pas du tout ce qu'elle avait fait pour l'offenser. De toute façon, elle le saura en temps voulu, et ne peut s'empêcher de ressentir une excitation naître en elle, dans son bas-ventre. Même si elle avait eu vent des manières perverses de Walter par les discussions avec son Maître en virtuel, elle savait qu'elle pouvait faire autant confiance au Majordome, qu'elle en avait envers son Maître Vénéré. Car il connaissait les limites pour ne pas compromettre la santé des esclaves vivant sous ce toit et qui avaient choisi librement de servir avec bonheur Monsieur le Marquis d'Evans.
Toujours dans ses pensées, et sans avoir bougé d'un poil, Mary sentit, soudainement, un coup sec de cravache sur chacune de ses fesses, et sous l'effet de la surprise, elle n'a pas pu réprimer un cri. En regardant rapidement de biais, elle s'aperçut qu'elle était désormais seule avec Walter, son Maître et son époux s'étant éclipsés pour se rendre dans la petite salle à manger à l'étage, où ils allaient l'attendre, sûrement, en savourant le Beaujolais nouveau. Elle entendit le Majordome lui dire :
- Suffit de rêvasser la chienne, je remarque malgré un comportement que tu montres convainquant dans l'ensemble, en ce qui concerne ta motivation à être une soumise parfaite, qu’il y a déjà quelques corrections à faire. (Et en tirant sèchement sur la laisse) Suis-moi et sans traîner dans la salle-de soin. De toutes façon, je vais te donner la bonne cadence et sans t'entendre pleurer. Je vais t'apprendre à être moins sensible, pour seulement quelques misérables coups de cravaches. As-tu bien compris ?
Mary, répondit avec humilité:
- Oui, Monsieur Walter.
A ce moment, elle entendit une voix féminine venue de elle ne savait où, qui s'adressa au Majordome de façon très amicale…
(A suivre …)
Mary était fière de son mari, envers ce qu'il venait d’exprimer pour elle. Il n'était pas spécialiste en mots d'amour, mais cette épreuve témoignait de ce qu'il ressentait pour elle. Elle savait qu'il acceptera dorénavant, ce qu'elle est vraiment, une soumise dans l’âme mais également sa double vie, même, s'il lui faudra lui laisser du temps pour comprendre son besoin viscéral et son bonheur immense d'être ainsi soumise. Mary, toujours sur le billard, continuait d'embrasser son mari sur le dos, le cou et sur les reins, Après un court moment pour récupérer, Hervé releva la tête et regarda son épouse, et en voyant ses yeux si pétillants de bonheur, il lui sourit. Bien que ne ressentant pas lui-même autant ce que Mary dégage au plus profond d'elle, il avoue ne pas être resté indifférent face à la situation. Il savait aussi qu'il devait tirer une leçon de ce qui venait de se passer. En effet, jusqu'à présent il concevait, par son éducation traditionnelle, l'acte d'amour seulement entre deux hétérosexuels et avait plutôt un avis négatif, mais sans haïr, sur l'amour de deux personnes de même sexe pouvait se porter. Il évitait de parler de ce sujet avec Mary par crainte de la fâcher car sur tout ce qui concerne le sujet de l'amour, ou de l’homosexualité, Mary avait un esprit plus ouvert que lui. Hervé était maintenant sûr que se faire sodomiser par le Marquis d'Evans était une petite leçon de sa part, afin qu'il prenne lui-même conscience que chacun a le droit de vivre son amour comme il l'entend, du moment que chacun soit heureux. Hervé passa son regard sur Walter qui tenait encore la laisse de Mary qui avait repris docilement sa position d'attente, à genoux, tête baissée, buste droit et mains derrière le dos. Puis, il regarda plus fixement le Maître des lieux, qui se tenait en face de lui et dit sur un ton pas forcément résigné mais plutôt un ton d’acceptation empli d’amour pour sa femme :
- En voyant Mary si radieuse ainsi, j'accepte qu'elle vive sa soumission comme elle le souhaite tout en faisant la différence avec ce que vous appelez sa vie "vanille". Mais, puis-je Monsieur le Marquis poser une question à laquelle soit vous, soit mon épouse, si vous lui autorisez, pourrez me répondre ?
Le Marquis répondit calmement :
- Je vous écoute
- Pourquoi Mary ne m'a jamais fait part de son envie de soumission et de ne pas m'avoir demandé, choisi, reconnu comme son Maître ?
Le Marquis se tourna vers Mary et lui dit :
- Réponds, ma petite chienne à ton mari, même si je sais les raisons, je trouve mieux approprié que ce soit toi qui lui réponde et il sera à même de mieux apprécier.
Mary, toujours aussi immobile, mais le regardant droit dans les yeux dit à son époux, posément, pour chercher les bons mots et de ne pas le blesser :
- Je ne t'ai jamais fait part avant de mon désir caché car tout d'abord par crainte de ton incompréhension, de ta réaction, comme beaucoup d'autres qui ne comprennent pas la relation spécifique à la D/s. Ensuite, dans le cas contraire, je ne te voyais pas me guider, me faire progresser dans ma soumission. J'avais besoin de quelqu'un qui avait déjà de l'expérience pour me sentir plus en confiance et qui sait être à l'écoute et une certaine ouverture d'esprit afin qu’aucun sujet abordé ne soit tabou. Enfin, j'ai aussi envie et souhaite garder cet amour plus simple que j'ai pour toi depuis notre rencontre, et qui m'est aussi nécessaire car je t’aime. Tu as pu remarquer que mon amour pour toi reste le même, alors que je cachais mon autre facette. Et je peux t'assurer que mes sentiments envers toi demeureront intacts tant que rien ne viendra les perturber.
Après ces propos, Mary rebaissa la tête et ressenti deux regards différents posés sur elle : Celui de Hervé, son époux qui était plus détendu, et celui de son Maître admiratif et fier d’elle. Elle se sentait aussi apaiser intérieurement, car elle pourra vivre plus sereinement son instinct de soumission, et d'apprendre plus aisément à servir les exigences de son Maître Vénéré.
Le Marquis d'Evans, coupa le bref silence installé en s'adressant à Hervé :
- Maintenant, que je suis rassuré autant pour moi que pour ma belle chienne, pour les prochains jours, je vous souhaite, cher Hervé, la bienvenue en ces lieux pour le reste du week-end. Vous pourrez aller où bon vous semble. Si vous souhaitez vous rendre à l'extérieur, pour visiter vos amis, récupérer votre voiture ou autre, mon fidèle Majordome, Walter, se tient à votre disposition. Mais, Mary, restera en ma demeure, sous ma protection, et à ma disposition. Son séjour sera rythmé par mes exigences ou ceux du personnel de mon Château tels que Walter ou Marie la cuisinière et leur devra obéissance aux mêmes règles qu'à mon cheptel. Tout ce que je vous demande est votre totale discrétion à tout ce qui se passe ici en ma demeure. Et ne vous inquiétez pas, vous serez peut-être choqué par certaines situations, mais sachez que tous mes esclaves ici sont pleinement consentants et heureux de leur condition. Si vous avez des questions à poser, seuls Walter ou Marie ma cuisinière ou moi-même vous répondrons. Mes esclaves ne pourront le faire qu'avec notre autorisation.
Puis se retournant vers Walter, le Marquis ajouta :
- Fait descendre Mary, et qu'elle vienne devant moi.
Walter tira d'un coup sec sur la laisse pour faire descendre Mary qui si elle ne connaissait pas le tempérament rustre du Majordome, se serait un peu rebellée pour ces manières. Mais il était plus sage de se taire, pour ne pas subir dès le "vrai" premier jour de sa rencontre avec son Maître vénéré, son courroux et sûrement une punition méritée pour lui rappeler sa place. Une place d'esclave, de soumise, en devenir, et qu'elle souhaitait être au plus profond de son âme et qu'ici, entre les murs du Château, elle pourra dévoiler sans pudeur et sans crainte. Dans un autre sens, en son for intérieur, elle était ravie enfin, que l'on prête attention à elle, car elle commençait à avoir une crampe ainsi agenouillée. Une fois devant son Maître, Mary, se prosterna à Ses pieds, croupe levée et dos cambré… Celui-ci prit la laisse que lui tendait le Majordome et caressa les fesses de la belle brune de l'autre main, puis passa entre ses cuisses pour stimuler légèrement le clitoris, et enfin entra brièvement un doigt dans sa grotte humide de cyprine. Il retira sa main, puis tirant légèrement sur la laisse pour que Mary lève un peu la tête, il glissa son doigt humide dans la bouche de la soumise en disant :
- Je constate que toute cette conversation ne t'a pas assécher (Puis se tournant à Hervé) Je vous invite à vous rhabiller et à me suivre dans la petite salle à manger à l'étage, où un petit dîner nous sera servi. Pendant ce temps je laisse le soin à Walter de rendre plus présentable Mary, qui par les traces de cire et de chocolat laissées par mes amis sénégalais, ressemble plus à une petite cochonne. Je lui réserve une petite cérémonie pour son entrée au Château, et qui scellera son engagement envers Moi et Moi envers elle. Vous n'allez pas être, encore au bout de vos surprises, cher Hervé…
Le Marquis d’Evans sortit de la salle de billard avec Mary qui suivit à quatre pattes, au rythme de ses pas, légèrement en retrait tout en mettant en mouvement sa magnifique croupe telle une panthère. Ce déplacement si félin soit-il interpella encore plus Hervé, ce qui lui démontra une fois de plus, tout le bonheur qu’avait sa femme devenue chienne à évoluer ainsi en laisse derrière son Maître, tel un animal à quatre pattes. Au bas du grand et impressionnant escalier principal, Il attendit que Walter et Hervé sortent à leur tour. Puis Il donna la laisse à son Majordome en lui donnant pour consigne :
-Ne tarde pas trop, veille à ce que cette petite cochonne soit bien propre de partout et sans exception, du haut de sa tête jusqu’au bout de ses orteils. Tu me la présenteras, parée, comme je t'en ai fait part il y a quelques jours, mais sans grand artifice, ce qui gâcherait sa beauté naturelle. Je t'autorise, bien entendu, à utiliser de ta cravache, si la cadence traîne, et de la punir justement si cette femelle oserait désobéir."
Walter répondit :
-Tout sera fait selon votre ordre, Monsieur Le Marquis, et comme vous me donnez carte blanche, j'ai une petite formalité à régler avec cette petite chienne en chaleur. Je compte, ainsi, lui faire comprendre mes fonctions dans Votre Demeure et lui faire voir de quel bois je me chauffe…
En entendant les propos de Walter, Mary se mit à rougir autant par les qualificatifs employés par celui-ci que par crainte. Elle osa fixer un instant son regard, sur le somptueux et grand tapis bleu sur lequel étaient dessinées au centre, en jaune doré, les Armoiries de la Noble Famille des Evans. Elle était donc un peu inquiète en se demandant, ce qu'elle avait pu fait pour mécontenter Walter. Alors elle se remémorait, tous les moments passés avec son Vénéré Maître mais aussi ceux avec la présence du Majordome, soit depuis le début de soirée aux Sarmentelles de Beaujeu, jusqu'à son arrivée au Château, en pensant au moment où Walter a pu, comme son patron lui avait promis, profiter de la chaleur de son cul dans la forêt aux abords du château. Mais elle ne voyait pas du tout ce qu'elle avait fait pour l'offenser. De toute façon, elle le saura en temps voulu, et ne peut s'empêcher de ressentir une excitation naître en elle, dans son bas-ventre. Même si elle avait eu vent des manières perverses de Walter par les discussions avec son Maître en virtuel, elle savait qu'elle pouvait faire autant confiance au Majordome, qu'elle en avait envers son Maître Vénéré. Car il connaissait les limites pour ne pas compromettre la santé des esclaves vivant sous ce toit et qui avaient choisi librement de servir avec bonheur Monsieur le Marquis d'Evans.
Toujours dans ses pensées, et sans avoir bougé d'un poil, Mary sentit, soudainement, un coup sec de cravache sur chacune de ses fesses, et sous l'effet de la surprise, elle n'a pas pu réprimer un cri. En regardant rapidement de biais, elle s'aperçut qu'elle était désormais seule avec Walter, son Maître et son époux s'étant éclipsés pour se rendre dans la petite salle à manger à l'étage, où ils allaient l'attendre, sûrement, en savourant le Beaujolais nouveau. Elle entendit le Majordome lui dire :
- Suffit de rêvasser la chienne, je remarque malgré un comportement que tu montres convainquant dans l'ensemble, en ce qui concerne ta motivation à être une soumise parfaite, qu’il y a déjà quelques corrections à faire. (Et en tirant sèchement sur la laisse) Suis-moi et sans traîner dans la salle-de soin. De toutes façon, je vais te donner la bonne cadence et sans t'entendre pleurer. Je vais t'apprendre à être moins sensible, pour seulement quelques misérables coups de cravaches. As-tu bien compris ?
Mary, répondit avec humilité:
- Oui, Monsieur Walter.
A ce moment, elle entendit une voix féminine venue de elle ne savait où, qui s'adressa au Majordome de façon très amicale…
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