La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 346)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 346)
Suite de l'épisode N°342 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
La chienne-soumise Thaïs MDE solidement liée aux pieds de la baignoire au niveau des chevilles et des mains est toujours plongée dans un « bain » chaud qui n’en est plus vraiment un et ressemble de plus en plus à un simili bouillon de légumes, car il est rempli de morceaux de légumes, de jus de tomates écrasées et de multiples autres herbes odorantes, mais ce n’est pas non plus à proprement parler une vraie recette alimentaire car le liquide qui a pris une teinte mitigée est aussi souillée de l’urine de la cuisinière Marie qui s’était soulagée sur le visage de l’esclave avant de se répandre en coulant dans l’eau, mais aussi de ses sucs odorants et de sa mouille de femelle qui ont dégoulinés sur Thaïs lorsqu’elle l’a forcé à venir se vautrer entre ses lèvres intimes pour lui procurer un orgasme par un savant léchage de sa chatte humide. A tout cela s’ajoute l’importante transpiration de Thaïs qui s’écoule de toutes ses pores vue la chaleur encore intense dans laquelle elle patauge qui s’estompe avec le temps qui passe mais bien peu, lui donnant le sentiment d’être devenue rouge crevette et de se trouver plus dans un sauna que dans une cuisine.
La cuisinière qui tient en main le gros concombre et l’imposant poireau s’active dans un vrai godage végétal dans les deux orifices, vaginal et anal, de la chienne-soumise qui se laisse faire, bien incapable de bouger mais également par crainte de ne pas satisfaire en premier lieu Le Maître à qui elle voue une soumission totale et par voie de fait à Marie entre les mains de qui elle se trouve à l’instant, qui a pris un plaisir presque sadique à lui interdire de jouir avant d’y avoir été autorisée malgré toutes les sollicitations intenses et pénétrations soutenues qui ne font qu’accroître la pression et l’excitation dans tous le bas ventre écartelé de Thaïs MDE. L’esclave-soumise essaye de résister comme elle peut pour ne pas se laisser déborder par la montée de plaisir, car elle a bien compris que Marie ne lui donnera aucune autorisation si elle en arrive à la supplier trop tôt, d’autant plus qu’elle vient déjà de lui promettre une punition supplémentaire, et que cette perverse cuisinière n’est sûrement pas du genre à se laisser attendrir par de piètres supplications hâtives, si elle n’a pas eu au préalable son content de ravissement de savoir qu’elle va faire se trémousser l’esclave à sa merci pendant de longues minutes de résistance physique à la jouissance.
- Tu vois, la chienne, pour une bonne recette, il faut ne pas se ménager à la tâche, savoir jouer du poignet pour remuer les ingrédients à bon escient et très longuement qui plus est… (ajoute-t-elle d’un ton des plus sarcastique tout en s’activant dans l’application de son godage)… Un bon petit plat se mitonne avec amour et du temps, beaucoup de temps… Donc, pour ce bouillon de légumes qui devrait à la fin être des plus succulents, j’ai tout mon temps et un poignet des plus entrainé à force de remuer les bons petits plats de Monsieur le Marquis... Pour toi, c’est moins sûr que le temps te paraisse un allié …… car il va te falloir supporter et endurer tout le temps qu’il me faudra pour parachever mon plat si délicieusement culinaire… Ah, ah, ah ….. j’adore vraiment le concombre et le poireau ….. des légumes très bons pour la santé
La cuisinière prend un malin plaisir à sortir des deux orifices totalement dilatés les deux légumes soit en même temps, soit de manière décalée, pour les faire plonger encore plus profondément à chaque fois, coups de butoir amortis par l’eau dans laquelle l’esclave est plongée mais pas vraiment car l’eau étant moins mobile que l’air, cela fait presque ventouse en sortie et poussoir en entrée, sans parler de certaines pénétrations parfois presque douloureuses ou étranges en sensations diverses quand un petit morceau de légume vient s’immiscer entre un gode végétal et le trou dans lequel il doit s’enfoncer, heurtant les peaux si sensibles et si érogènes de toute cette zone fortement excitée. Thaïs ne s’est jamais trouvée dans une situation analogue et elle a beaucoup de mal à ne pas se laisser dévorer par la pression qui la gagne de plus en plus, mélangeant douleurs et douceurs, elle ne saurait même plus dire ce qu’elle ressent, hormis son envie si forte et mal contenue de pouvoir crier sa jouissance et laisser son eau de fontaine couler. Elle se mord les lèvres et tord sa tête dans tous les sens, et n’en pouvant plus, ayant résisté encore et encore pendant de longues minutes aux manipulations ininterrompues de Marie, elle finit par lancer à bout de forces un timide :
- Madame Marie, je vous en supplie, je vous en supplie.
La cuisinière s’arrête net et retire aussi sec les deux légumes des orifices de Thaïs, lui imposant de fait une fin de non-recevoir et un vrai déni de jouissance après l’avoir fait monter et résister au maximum.
- Je t’avais dit qu’il te fallait me supplier et me supplier encore, Mais qui t’a autorisé à parler !? Je ne me rappelle pas l’avoir fait… C’est la deuxième fois que tu enfreins cette règle en quelques minutes… Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi pour te dresser et te punir comme il se doit... Tu pouvais supplier seulement comme une esclave du cheptel peut le faire, c'est-à-dire sans mots, sans demandes, sans autres choses que tes yeux baissés et ton corps qui pourrait encore parler à ta place... Et qu’est-ce que moi j’ai vu, une salope qui se fait foutre par un concombre et un poireau pendant quelques petites secondes et qui finit par en oublier les règles de base parce qu’elle a chaud à l’entre-fesses et envie de planer à son tour...
Thaïs baisse la tête presque symboliquement car étant allongée et liée dans la baignoire, elle ne peut guère bouger, sauf de rentrer un peu plus la tête dans les épaules et de plier le cou. Elle se sent très mal à l’aise d’avoir mal interprété les propos de la cuisinière, en pensant que celle-ci voulait l’entendre toute humble et suppliante implorer et implorer encore pour sa jouissance. Elle a le sentiment de s’être fait piégée, par le côté retors de Marie et ses propos licencieux, mais prend bien garde de ne pas le laisser voir et de ne rien répondre, mais elle ne peut retenir ses larmes qui commencent à couler autant d’épuisement et d’échauffement, que de vexations encaissées et d’excitations refreinées.
- Arrête de chialer la mioche ! Tu n’es plus à la maternelle en train de te faire gronder par la maîtresse... Tu as fauté et tu seras punie... C’est la règle, il te fallait être plus vigilante… Si tu peux à un moment donné avoir du plaisir, ce sera quand moi je l’aurais décidé et parce qu’il me plaira qu’il en soit ainsi, ce n’est nullement pour ton petit plaisir de grande dame, car ici, entre ses murs, tu n’es rien, rien qu’une esclave bonne à être dressée... Tu as fait don de ton corps et de ton plaisir au Maître à qui tu appartiens désormais, ta jouissance ne t’appartient plus et tu apprendras à jouir seulement sur commande et non à ta convenance… Pour commencer, tu vas boire un peu, parce qu’à force de suer et de pleurer, tu vas bien finir par te vider, et ce n’est pas ce qui m’intéresse pour la suite des événements… De plus, je dois prendre garde à ta bonne santé…
Marie arrive avec un grand broc d’eau qu’elle penche directement dans la bouche de Thaïs, qui a du mal à déglutir à la vitesse imposée par la cuisinière qui semble ne pas vouloir s’arrêter. Mais Thaïs qui a déjà bu plusieurs verres et qui, malgré toute la transpiration, ne s’est pas soulagée depuis pas mal d’heures a du mal à continuer de boire et finit par fermer la bouche à un moment donné pour reprendre sa respiration et pour montrer qu’elle n’a plus soif. L’eau déborde alors de chaque côté et coule sur le menton de l’esclave. La réaction ne se fait pas attendre ! Une grosse gifle vient de s’abattre sur sa joue, qui déjà rougie de la chaleur du bain ne peut même pas marquer plus. Marie pince alors le nez de Thaïs MDE pour l’obliger à rouvrir la bouche et pour pouvoir continuer à y verser de l’eau.
- Ici, quand tu es sous ma responsabilité et sous ma garde, c’est moi qui décide de tout, ce que tu bois et ce que tu ne bois pas, ce que tu manges et ce que tu ne manges pas, quand je commence et quand je m’arrête. Toi tu es juste là pour obéir et pour te laisser faire que cela te plaise ou non !
Marie continue à verser l’eau dans la bouche de Thaïs qui se trouve bien obligé de s’abreuver sans rien dire pour ne pas s’étouffer ayant le sentiment qu’elle est en train d’ingurgiter des verres et des verres d’eau comme jamais et que le niveau de remplissage du liquide à l’intérieur de son corps va bientôt finir par arriver à remonter jusqu’à sa gorge, tant elle sent son ventre qui s’est remplit depuis le début et qui lui appuie sur sa vessie déjà pleine. Elle aimerait bien que Marie arrête de la prendre pour une outre vide posée sous un robinet, mais elle ne peut prendre le risque d’esquiver une fois de plus les jeux particulièrement bizarres et pervers de cette cuisinière. Marie s’interrompt sans un mot, affirmant une fois de plus son autorité et son pouvoir en ne daignant même pas la prévenir, mais en refermant malicieusement elle-même la bouche restée béante de Thaïs MDE qui n’osait plus bouger, d’un geste ferme sur la mâchoire faisant claquer ses dents du haut contre celles du bas, comme si ce n’était qu’un vulgaire couvercle que l’on remet en place.
La cuisinière se met à détacher l’esclave de ses liens qui se réjouit à l’avance de cette initiative car les muscles de ses membres ankylosés avec le temps commençaient à lui faire mal, sans parler des marques qu’elle ressent aux différents points d’appuis avec le rebord de la baignoire en métal. Thaïs n’ose toujours pas remuer sans en avoir reçu l’ordre mais elle espère pouvoir bientôt sortir de ce spa « légumier » dans lequel elle a mijoté pendant un bon moment, bien qu’elle ait complètement perdu la notion du temps, mais se disant quand même que Marie va bien devoir la lâcher à un moment donné, et la laisser enfin souffler un peu, afin de pouvoir reprendre son travail aux cuisines pour préparer le repas du soir. A ce moment-là, la cuisinière d’une voix perçante annonce :
- Debout chienne !
Thaïs MDE ne se le fait pas dire deux fois, tant l’envie de sortir de cette pataugeoire la tente et elle se redresse presque d’un bond, remuant au passage ses bras et ses jambes pour se dégourdir et ainsi provoquant des vagues d’eau contre les parois de la baignoire, ce qui l’a fait déborder de chaque côté. Et dans sa lancée, elle entreprend de sortir une jambe de la baignoire quand elle sent Marie qui l’attrape par les cheveux fermement.
- Mais ! C’est que tu comptes aller où comme cela !… J’ai dit « Debout chienne ». Je ne t’ai pas dit de sortir du bain. Il va aussi falloir qu’on t’apprenne le français ? Mais je peux t’assurer que s’il te faut des cours particuliers pour que tu comprennes ce que je te dis quand « Jeeeeee parleeeeeee françaiiiiiiiis », tu risques de le sentir passer pour la peine que je me donnerai à rentrer quelque chose dans ton petit pois chiche de tête de chienne. J’ai beau savoir que les blondes sont en général pas très douées pour la comprenette, cela ne sera pas une excuse valable, sois en certaine !.. Et puis t’as vu de te lever comme ça d’un bond, ce que tu as fait ? Tu as fait déborder la baignoire, petite souillon de chienne… Tout cela ne restera pas impuni, croit-moi bien…
Marie qui tient toujours fortement la chevelure de Thaïs l’oblige à se baisser et à se remettre dans le bain, l’immergeant totalement quelques secondes sous l’eau, suffisamment peu pour qu’elle ne soit pas noyée, mais assez pour que son visage et ses cheveux ressortent totalement ruisselants de ce drôle de bouillon dans lequel elle patauge depuis de longues minutes. Marie lâche sa proie qui se trouve à nouveau allongée dans la baignoire, presque tétanisée.
- Ah te voilà rincée maintenant.
Thaïs a fermé les yeux car l’eau qui lui dégouline sur le visage en est presque irritante et elle se sent plus sale que jamais et pas le moins du monde rincée, mais elle préfère ne pas prêter attention aux propos toujours aussi désobligeants de la cuisinière.
- On recommence… Debout chienne ! Et tâche de ne pas m’obliger à recommencer car je n’aime pas avoir à me répéter. Je pense que tu dois savoir que Monsieur le Marquis n’aime pas cela lui aussi, surtout lui en premier, je devrais dire. Et je pense qu’il a également déteint dans ses bonnes manières sur Son fidèle Majordome, Monsieur Walter. Il vaudrait mieux que tu te fasses vite à cette règle fondamentale, car cela ne se passera pas aussi bien la prochaine fois.
Thaïs prend bien soin de se lever et de ne pas bouger cette fois. Elle commence à sentir sa vessie pleine qui lui presse fortement et presque instinctivement se met à serrer les jambes et les fesses pour se retenir, assez perturbée en ne sachant pas ce qui va se passer pour la suite, elle qui pensait qu’elle pourrait espérer sortir de cette pataugeoire rapidement. C’est un bon coup de cuillère en bois sur les cuisses qui la rappelle à l’ordre.
- Les jambes écartées et les mains sur la tête quand tu te mets debout… Et puis arrête de serrer les fesses ainsi et de te dandiner, ce n’est pas l’heure de sortir dehors pour les chiennes comme toi… Tu vas faire un peu d’exercice pendant que je vais faire réchauffer ce bouillon, parce que l’eau a commencé à se refroidir…
Thaïs s’affole dans sa tête à l’idée que Marie se mette à allumer les deux gaz sous la baignoire se disant qu’elle ne tarderait pas à être bruler par le contact avec le métal posé à même le feu. Et à nouveau un sentiment d’angoisse la prend, lui rappelant ses images des cannibales qui faisaient cuire leurs victimes avant de les manger. Elle résiste à l’envie de fuir qui lui prend en se disant que Marie doit être vraiment dérangée et qu’il serait préférable qu’elle s’échappe maintenant qu’elle n’est plus attachée de quelque manière que ce soit, qu’elle essaiera d’expliquer au Maître Vénéré ce qui s’est passé. Mais une autre voix plus raisonnable en elle lui dit en sourdine qu’elle doit se calmer et résister à ses peurs paniques, que Marie est certes sadique et perverse, avec des idées lubriques de cuisinière qui a une relation assez personnelle avec tout ce qui touche aux aliments, mais que jusque-là la cuisinière n’a pas mis sa vie en danger, même si elle lui a fait gouter à certaines préparations culinaires plutôt étranges. Et Thaïs MDE reconnaît malgré tout, avec un petit sentiment de honte de se trouver presque débauchée, qu’elle a été largement excitée par tout ce qui vient de se passer et qu’elle aurait bien aimé simplement pouvoir jouir car son bas-ventre en feu la titille toujours autant.
- Alors, la chienne, pendant que je m’occupe, tu vas t’activer un peu… Avec cette aventure de ce matin, il semble que tu n’aies pas eu droit à ton entrainement quotidien ….. Le jeu est très simple à comprendre et facile à réaliser : A genoux dans la baignoire, puis debout les mains sur la tête, tu lèves un genou vers le haut très haut pour sortir le pied du bain et puis l’autre, puis position allongée dans la baignoire, juste la tête sortant de l’eau, à nouveau debout les mains sur la tête quart de tour à droite les jambes écartées dans le sens de la longueur de la baignoire et tu comptes 1 et ainsi de suite…. Tâche de ne pas te tromper et de maintenir le rythme ….. si tu as bien tout fait du premier coup, tu t’arrêteras à 10, sinon on recommence l’entrainement jusqu’à ce que cela soit parfait. Ici les chiennes doivent bouger pour garder la forme et pas seulement se trainer à quatre pattes…
(A suivre…)
La chienne-soumise Thaïs MDE solidement liée aux pieds de la baignoire au niveau des chevilles et des mains est toujours plongée dans un « bain » chaud qui n’en est plus vraiment un et ressemble de plus en plus à un simili bouillon de légumes, car il est rempli de morceaux de légumes, de jus de tomates écrasées et de multiples autres herbes odorantes, mais ce n’est pas non plus à proprement parler une vraie recette alimentaire car le liquide qui a pris une teinte mitigée est aussi souillée de l’urine de la cuisinière Marie qui s’était soulagée sur le visage de l’esclave avant de se répandre en coulant dans l’eau, mais aussi de ses sucs odorants et de sa mouille de femelle qui ont dégoulinés sur Thaïs lorsqu’elle l’a forcé à venir se vautrer entre ses lèvres intimes pour lui procurer un orgasme par un savant léchage de sa chatte humide. A tout cela s’ajoute l’importante transpiration de Thaïs qui s’écoule de toutes ses pores vue la chaleur encore intense dans laquelle elle patauge qui s’estompe avec le temps qui passe mais bien peu, lui donnant le sentiment d’être devenue rouge crevette et de se trouver plus dans un sauna que dans une cuisine.
La cuisinière qui tient en main le gros concombre et l’imposant poireau s’active dans un vrai godage végétal dans les deux orifices, vaginal et anal, de la chienne-soumise qui se laisse faire, bien incapable de bouger mais également par crainte de ne pas satisfaire en premier lieu Le Maître à qui elle voue une soumission totale et par voie de fait à Marie entre les mains de qui elle se trouve à l’instant, qui a pris un plaisir presque sadique à lui interdire de jouir avant d’y avoir été autorisée malgré toutes les sollicitations intenses et pénétrations soutenues qui ne font qu’accroître la pression et l’excitation dans tous le bas ventre écartelé de Thaïs MDE. L’esclave-soumise essaye de résister comme elle peut pour ne pas se laisser déborder par la montée de plaisir, car elle a bien compris que Marie ne lui donnera aucune autorisation si elle en arrive à la supplier trop tôt, d’autant plus qu’elle vient déjà de lui promettre une punition supplémentaire, et que cette perverse cuisinière n’est sûrement pas du genre à se laisser attendrir par de piètres supplications hâtives, si elle n’a pas eu au préalable son content de ravissement de savoir qu’elle va faire se trémousser l’esclave à sa merci pendant de longues minutes de résistance physique à la jouissance.
- Tu vois, la chienne, pour une bonne recette, il faut ne pas se ménager à la tâche, savoir jouer du poignet pour remuer les ingrédients à bon escient et très longuement qui plus est… (ajoute-t-elle d’un ton des plus sarcastique tout en s’activant dans l’application de son godage)… Un bon petit plat se mitonne avec amour et du temps, beaucoup de temps… Donc, pour ce bouillon de légumes qui devrait à la fin être des plus succulents, j’ai tout mon temps et un poignet des plus entrainé à force de remuer les bons petits plats de Monsieur le Marquis... Pour toi, c’est moins sûr que le temps te paraisse un allié …… car il va te falloir supporter et endurer tout le temps qu’il me faudra pour parachever mon plat si délicieusement culinaire… Ah, ah, ah ….. j’adore vraiment le concombre et le poireau ….. des légumes très bons pour la santé
La cuisinière prend un malin plaisir à sortir des deux orifices totalement dilatés les deux légumes soit en même temps, soit de manière décalée, pour les faire plonger encore plus profondément à chaque fois, coups de butoir amortis par l’eau dans laquelle l’esclave est plongée mais pas vraiment car l’eau étant moins mobile que l’air, cela fait presque ventouse en sortie et poussoir en entrée, sans parler de certaines pénétrations parfois presque douloureuses ou étranges en sensations diverses quand un petit morceau de légume vient s’immiscer entre un gode végétal et le trou dans lequel il doit s’enfoncer, heurtant les peaux si sensibles et si érogènes de toute cette zone fortement excitée. Thaïs ne s’est jamais trouvée dans une situation analogue et elle a beaucoup de mal à ne pas se laisser dévorer par la pression qui la gagne de plus en plus, mélangeant douleurs et douceurs, elle ne saurait même plus dire ce qu’elle ressent, hormis son envie si forte et mal contenue de pouvoir crier sa jouissance et laisser son eau de fontaine couler. Elle se mord les lèvres et tord sa tête dans tous les sens, et n’en pouvant plus, ayant résisté encore et encore pendant de longues minutes aux manipulations ininterrompues de Marie, elle finit par lancer à bout de forces un timide :
- Madame Marie, je vous en supplie, je vous en supplie.
La cuisinière s’arrête net et retire aussi sec les deux légumes des orifices de Thaïs, lui imposant de fait une fin de non-recevoir et un vrai déni de jouissance après l’avoir fait monter et résister au maximum.
- Je t’avais dit qu’il te fallait me supplier et me supplier encore, Mais qui t’a autorisé à parler !? Je ne me rappelle pas l’avoir fait… C’est la deuxième fois que tu enfreins cette règle en quelques minutes… Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi pour te dresser et te punir comme il se doit... Tu pouvais supplier seulement comme une esclave du cheptel peut le faire, c'est-à-dire sans mots, sans demandes, sans autres choses que tes yeux baissés et ton corps qui pourrait encore parler à ta place... Et qu’est-ce que moi j’ai vu, une salope qui se fait foutre par un concombre et un poireau pendant quelques petites secondes et qui finit par en oublier les règles de base parce qu’elle a chaud à l’entre-fesses et envie de planer à son tour...
Thaïs baisse la tête presque symboliquement car étant allongée et liée dans la baignoire, elle ne peut guère bouger, sauf de rentrer un peu plus la tête dans les épaules et de plier le cou. Elle se sent très mal à l’aise d’avoir mal interprété les propos de la cuisinière, en pensant que celle-ci voulait l’entendre toute humble et suppliante implorer et implorer encore pour sa jouissance. Elle a le sentiment de s’être fait piégée, par le côté retors de Marie et ses propos licencieux, mais prend bien garde de ne pas le laisser voir et de ne rien répondre, mais elle ne peut retenir ses larmes qui commencent à couler autant d’épuisement et d’échauffement, que de vexations encaissées et d’excitations refreinées.
- Arrête de chialer la mioche ! Tu n’es plus à la maternelle en train de te faire gronder par la maîtresse... Tu as fauté et tu seras punie... C’est la règle, il te fallait être plus vigilante… Si tu peux à un moment donné avoir du plaisir, ce sera quand moi je l’aurais décidé et parce qu’il me plaira qu’il en soit ainsi, ce n’est nullement pour ton petit plaisir de grande dame, car ici, entre ses murs, tu n’es rien, rien qu’une esclave bonne à être dressée... Tu as fait don de ton corps et de ton plaisir au Maître à qui tu appartiens désormais, ta jouissance ne t’appartient plus et tu apprendras à jouir seulement sur commande et non à ta convenance… Pour commencer, tu vas boire un peu, parce qu’à force de suer et de pleurer, tu vas bien finir par te vider, et ce n’est pas ce qui m’intéresse pour la suite des événements… De plus, je dois prendre garde à ta bonne santé…
Marie arrive avec un grand broc d’eau qu’elle penche directement dans la bouche de Thaïs, qui a du mal à déglutir à la vitesse imposée par la cuisinière qui semble ne pas vouloir s’arrêter. Mais Thaïs qui a déjà bu plusieurs verres et qui, malgré toute la transpiration, ne s’est pas soulagée depuis pas mal d’heures a du mal à continuer de boire et finit par fermer la bouche à un moment donné pour reprendre sa respiration et pour montrer qu’elle n’a plus soif. L’eau déborde alors de chaque côté et coule sur le menton de l’esclave. La réaction ne se fait pas attendre ! Une grosse gifle vient de s’abattre sur sa joue, qui déjà rougie de la chaleur du bain ne peut même pas marquer plus. Marie pince alors le nez de Thaïs MDE pour l’obliger à rouvrir la bouche et pour pouvoir continuer à y verser de l’eau.
- Ici, quand tu es sous ma responsabilité et sous ma garde, c’est moi qui décide de tout, ce que tu bois et ce que tu ne bois pas, ce que tu manges et ce que tu ne manges pas, quand je commence et quand je m’arrête. Toi tu es juste là pour obéir et pour te laisser faire que cela te plaise ou non !
Marie continue à verser l’eau dans la bouche de Thaïs qui se trouve bien obligé de s’abreuver sans rien dire pour ne pas s’étouffer ayant le sentiment qu’elle est en train d’ingurgiter des verres et des verres d’eau comme jamais et que le niveau de remplissage du liquide à l’intérieur de son corps va bientôt finir par arriver à remonter jusqu’à sa gorge, tant elle sent son ventre qui s’est remplit depuis le début et qui lui appuie sur sa vessie déjà pleine. Elle aimerait bien que Marie arrête de la prendre pour une outre vide posée sous un robinet, mais elle ne peut prendre le risque d’esquiver une fois de plus les jeux particulièrement bizarres et pervers de cette cuisinière. Marie s’interrompt sans un mot, affirmant une fois de plus son autorité et son pouvoir en ne daignant même pas la prévenir, mais en refermant malicieusement elle-même la bouche restée béante de Thaïs MDE qui n’osait plus bouger, d’un geste ferme sur la mâchoire faisant claquer ses dents du haut contre celles du bas, comme si ce n’était qu’un vulgaire couvercle que l’on remet en place.
La cuisinière se met à détacher l’esclave de ses liens qui se réjouit à l’avance de cette initiative car les muscles de ses membres ankylosés avec le temps commençaient à lui faire mal, sans parler des marques qu’elle ressent aux différents points d’appuis avec le rebord de la baignoire en métal. Thaïs n’ose toujours pas remuer sans en avoir reçu l’ordre mais elle espère pouvoir bientôt sortir de ce spa « légumier » dans lequel elle a mijoté pendant un bon moment, bien qu’elle ait complètement perdu la notion du temps, mais se disant quand même que Marie va bien devoir la lâcher à un moment donné, et la laisser enfin souffler un peu, afin de pouvoir reprendre son travail aux cuisines pour préparer le repas du soir. A ce moment-là, la cuisinière d’une voix perçante annonce :
- Debout chienne !
Thaïs MDE ne se le fait pas dire deux fois, tant l’envie de sortir de cette pataugeoire la tente et elle se redresse presque d’un bond, remuant au passage ses bras et ses jambes pour se dégourdir et ainsi provoquant des vagues d’eau contre les parois de la baignoire, ce qui l’a fait déborder de chaque côté. Et dans sa lancée, elle entreprend de sortir une jambe de la baignoire quand elle sent Marie qui l’attrape par les cheveux fermement.
- Mais ! C’est que tu comptes aller où comme cela !… J’ai dit « Debout chienne ». Je ne t’ai pas dit de sortir du bain. Il va aussi falloir qu’on t’apprenne le français ? Mais je peux t’assurer que s’il te faut des cours particuliers pour que tu comprennes ce que je te dis quand « Jeeeeee parleeeeeee françaiiiiiiiis », tu risques de le sentir passer pour la peine que je me donnerai à rentrer quelque chose dans ton petit pois chiche de tête de chienne. J’ai beau savoir que les blondes sont en général pas très douées pour la comprenette, cela ne sera pas une excuse valable, sois en certaine !.. Et puis t’as vu de te lever comme ça d’un bond, ce que tu as fait ? Tu as fait déborder la baignoire, petite souillon de chienne… Tout cela ne restera pas impuni, croit-moi bien…
Marie qui tient toujours fortement la chevelure de Thaïs l’oblige à se baisser et à se remettre dans le bain, l’immergeant totalement quelques secondes sous l’eau, suffisamment peu pour qu’elle ne soit pas noyée, mais assez pour que son visage et ses cheveux ressortent totalement ruisselants de ce drôle de bouillon dans lequel elle patauge depuis de longues minutes. Marie lâche sa proie qui se trouve à nouveau allongée dans la baignoire, presque tétanisée.
- Ah te voilà rincée maintenant.
Thaïs a fermé les yeux car l’eau qui lui dégouline sur le visage en est presque irritante et elle se sent plus sale que jamais et pas le moins du monde rincée, mais elle préfère ne pas prêter attention aux propos toujours aussi désobligeants de la cuisinière.
- On recommence… Debout chienne ! Et tâche de ne pas m’obliger à recommencer car je n’aime pas avoir à me répéter. Je pense que tu dois savoir que Monsieur le Marquis n’aime pas cela lui aussi, surtout lui en premier, je devrais dire. Et je pense qu’il a également déteint dans ses bonnes manières sur Son fidèle Majordome, Monsieur Walter. Il vaudrait mieux que tu te fasses vite à cette règle fondamentale, car cela ne se passera pas aussi bien la prochaine fois.
Thaïs prend bien soin de se lever et de ne pas bouger cette fois. Elle commence à sentir sa vessie pleine qui lui presse fortement et presque instinctivement se met à serrer les jambes et les fesses pour se retenir, assez perturbée en ne sachant pas ce qui va se passer pour la suite, elle qui pensait qu’elle pourrait espérer sortir de cette pataugeoire rapidement. C’est un bon coup de cuillère en bois sur les cuisses qui la rappelle à l’ordre.
- Les jambes écartées et les mains sur la tête quand tu te mets debout… Et puis arrête de serrer les fesses ainsi et de te dandiner, ce n’est pas l’heure de sortir dehors pour les chiennes comme toi… Tu vas faire un peu d’exercice pendant que je vais faire réchauffer ce bouillon, parce que l’eau a commencé à se refroidir…
Thaïs s’affole dans sa tête à l’idée que Marie se mette à allumer les deux gaz sous la baignoire se disant qu’elle ne tarderait pas à être bruler par le contact avec le métal posé à même le feu. Et à nouveau un sentiment d’angoisse la prend, lui rappelant ses images des cannibales qui faisaient cuire leurs victimes avant de les manger. Elle résiste à l’envie de fuir qui lui prend en se disant que Marie doit être vraiment dérangée et qu’il serait préférable qu’elle s’échappe maintenant qu’elle n’est plus attachée de quelque manière que ce soit, qu’elle essaiera d’expliquer au Maître Vénéré ce qui s’est passé. Mais une autre voix plus raisonnable en elle lui dit en sourdine qu’elle doit se calmer et résister à ses peurs paniques, que Marie est certes sadique et perverse, avec des idées lubriques de cuisinière qui a une relation assez personnelle avec tout ce qui touche aux aliments, mais que jusque-là la cuisinière n’a pas mis sa vie en danger, même si elle lui a fait gouter à certaines préparations culinaires plutôt étranges. Et Thaïs MDE reconnaît malgré tout, avec un petit sentiment de honte de se trouver presque débauchée, qu’elle a été largement excitée par tout ce qui vient de se passer et qu’elle aurait bien aimé simplement pouvoir jouir car son bas-ventre en feu la titille toujours autant.
- Alors, la chienne, pendant que je m’occupe, tu vas t’activer un peu… Avec cette aventure de ce matin, il semble que tu n’aies pas eu droit à ton entrainement quotidien ….. Le jeu est très simple à comprendre et facile à réaliser : A genoux dans la baignoire, puis debout les mains sur la tête, tu lèves un genou vers le haut très haut pour sortir le pied du bain et puis l’autre, puis position allongée dans la baignoire, juste la tête sortant de l’eau, à nouveau debout les mains sur la tête quart de tour à droite les jambes écartées dans le sens de la longueur de la baignoire et tu comptes 1 et ainsi de suite…. Tâche de ne pas te tromper et de maintenir le rythme ….. si tu as bien tout fait du premier coup, tu t’arrêteras à 10, sinon on recommence l’entrainement jusqu’à ce que cela soit parfait. Ici les chiennes doivent bouger pour garder la forme et pas seulement se trainer à quatre pattes…
(A suivre…)
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