La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 349) - histoire érotique

Suite de l'épisode N°345 - Vanessa au Château –

Vanessa reste dans la salle de réception pendant que Monsieur Le Marquis et le Commandant raccompagnent les pompiers sur le perron. Une dernière fois Le Noble les remercie de nouveau chaleureusement pour leur travail qui a sauvé en grande partie sa demeure ancestrale. Mais cette fois, avant de les laisser reprendre leurs véhicules, il sort une grosse enveloppe de sa poche :

- Ah au fait ! Voici pour vous tous un petit ‘’pourboire’’ bien mérité de quelques milliers d’euros à vous partager entre vous !
- Mais… Mais non Monsieur le Marquis, il ne fallait pas ! …Nous avons simplement fait notre devoir, répond presque gêné et si reconnaissant le Commandant.
- Si si ! j’y tiens beaucoup ! Ce petit pécule n’est rien par rapport aux multiples joyaux et trésors inestimables qui ornent mon Château et que vous avez sauvé avec courage !

Puis le Marquis s’avançant serre les mains de chaque pompier avec un petit mot de remerciement sincère pour chacun d’eux. En réponse, les pompiers expriment aussi leur gratitude face à la générosité de leur mécène et quittent les lieux enchantés de ce chaleureux accueil et de la gratification financière du Maître des lieux. Seul le Commandant reste, comme il a été décidé.

Dans le grand salon, la fête touche à sa fin, la plupart des Invités sont sur le départ, Walter fait son apparition aux côtés de Vanessa, sans un mot, il lui fait comprendre qu'elle doit le suivre. Ils traversent les couloirs que Vanessa commence à connaître dans cette partie du Château, avant d'arriver dans le Salon privé du Maître des lieux. Sans attendre Vanessa s'agenouille et attend les ordres du Majordome. Par un simple geste, Walter lui intime de se mettre à quatre pattes, puis il descend son string jusqu'à ses genoux et relève sa robe sur sa taille pour dévoiler son fessier au galbe parfait.

- Attends-ainsi, immobile… oui sans bougé d’un orteil en cette position des plus savoureuses… tu devrais bientôt être rejointe, lui ordonne-t-il amusé en sortant rapidement de la pièce.

Vanessa comprend que son Maître a décidé de révéler sa vraie nature, à son commandant. Elle sait qu'il faut bien que cela arrive, mais elle ne parvient pas à se convaincre que cela n'entachera pas leurs relations professionnelles en la caserne des pompiers. Elle patiente en tentant de décompresser du stress qui monte en elle, mais elle n'y parvient pas, elle sent la chaleur envahir tout son corps, comme lorsque la peur prend le dessus, mais malgré tout, elle sent également son entrejambe s'humidifier plus que de raison. Elle ressent une certaine honte à ce que son corps prenne du plaisir dans une situation que son esprit refuse, elle tente de se contrôler mais elle n'y parvient pas et sent sa cyprine couler inexorablement le long de sa jambe droite. Les deux amis traversent de nouveau les couloirs pour se rendre dans le petit salon. Le Marquis marche doucement, sachant ce qui se passe dans la tête de Vanessa, il souhaite la faire patienter un peu plus avec la crainte qui lui brûle le ventre. Alors qu'ils discutent tranquillement tout en évoluant d’un pas lent, Walter apparait dans le couloir par une porte sur le côté.

- Ah, mon fidèle Majordome, où en sommes-nous ? questionne Le Noble.
- Monsieur le Marquis, votre garde forestier a renvoyé Holly MDE, il a été très satisfait de sa conduite et vous remercie de ce cadeau.

Le commandant écoute la conversation amusé, décidemment, même occupé par une grande soirée, son ami n'en oublie pas moins ses employés.

- Parfait, et où est-elle en ce moment ? continue Le Marquis
- Elle vous attend dans votre bureau, souhaitez-vous que je la fasse venir dans votre salon lorsque vous y serez ?
- Non, nous avons une invitée vanille. Cher ami, souhaitez-vous faire une petite pause dans mon bureau, dit-il joyeusement au commandant.
- Avec joie, répond le commandant qui apprécie toujours de voir les favorites de son ami, mais faisons vite car Vanessa risque de s’ennuyer et de se demander ce que l’on peut bien fabriquer.
- Ne vous inquiétez pas, Walter l’a bien installée dans mon salon privé, elle ne va pas voir le temps passer.

Les deux amis se dirigent vers la porte du bureau du Marquis. Ils entrent. Là, ils découvrent Holly à genoux, mains dans le dos, tête baissée, buste droit. Ses cheveux et son visage sont souillés du sperme séché du garde forestier, une volonté de ce dernier de prouver au Maître qu’elle a rempli son rôle, ou peut-être une demande du Marquis afin de l’humilier d’avantage.

- Bien, chienne, il parait que tu as été très obéissante, j’apprécie ce genre de rapport. Tu te rappelles de mon ami le commandant, salut le correctement.

Sans dire un mot, la jeune femme se dirige à quatre pattes jusqu’au commandant, puis attend à genoux, mains dans le dos, qu’il sorte son sexe de son écrin de tissus, avant de le prendre en bouche. Sa bouche est chaude et humide et ses lèvres sont douces, elle les fait aller et venir le long de la verge déjà tendue, en jouant de sa langue pour le plus grand plaisir du commandant qui apprécie l’offrande. Il pose sa main derrière le crâne de la jeune femme, et tout en saisissant ses cheveux, il imprime lui-même le rythme de cette fellation, accentuant la profondeur, allant jusqu’à se servir de la bouche d’Holly MDE comme d’un simple orifice destiné à donner du plaisir. Après quelques minutes d’un va et vient cadencé et imposé comme tel, il émet un long râle de jouissance et se retire rapidement pour ajouter son sperme sur le visage déjà souillé d’Holly MDE, dans la plus grande satisfaction de son ami.

- Parfait, tu as suffisamment travaillé pour aujourd'hui, monte dans Ma chambre, prends un bain chaud et couche-toi dans Mon lit. Ne m’attend pas, repose-toi, dort, je te rejoindrai plus tard.
- Oui Maître. Merci Maître, répond Holly bien consciente de ce que lui offre son Maître.

Sans dire un mot, les deux amis quittent la pièce pour reprendre le couloir en direction du Salon privé.

- Eh bien, je ne suis pas le seul à "m'affaiblir", dit le commandant amusé, à son ami. Il fut un temps où vos soumises dormaient dans le meilleur des cas, sur un tapis au pied de votre lit.
- Voyons vous savez tout comme moi que récompenser, quand il le faut, ses soumises est tout aussi important que de les sanctionner, répond Le Noble avec le sourire.
- Effectivement cher ami.

Les deux amis continuent leur marche vers le Salon privé, en parlant de leur goût commun pour la Domination. Seule, Vanessa patiente sans bouger dans une position encore plus humiliante par l'excitation visible au premier coup d'œil, qui échauffe son bas ventre. Elle entend les voix de son Maître et du Commandant s'approcher dans le couloir, son cœur se met à battre comme s’il voulait sortir de sa poitrine, sa tête commence à tourner, elle ressent une grosse bouffée de chaleur l'envahir à la limite de l'évanouissement. Résignée, elle ferme les yeux pour ne pas croiser le regard de son commandant alors que les pas qui résonnent dans le couloir l’informent qu’ils sont maintenant tout proches...

(A suivre…)