La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 362)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 362)
Suite de l'épisode précédent N°361 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –
- Monsieur le Marquis d’Evans, je ne sais pas très bien comment je dois faire. Je suis désolée, car Vous m’avez parlé pour m’expliquer comment je dois Vous parler et moi, je n’ai pas fait attention. Je n’ai pas vraiment l’habitude et je suis là aussi pour apprendre à mieux me comporter et à mieux parler. Je sais la chance que j’ai d’avoir pu tomber sur quelqu’un d’aussi bien et respectueux que Monsieur le Comte de Bégon qui est si gentil pour moi. Je voudrais sans cesse le remercier pour tout ce qu’il a fait pour moi, et à la place de ça, je sais que je lui ai fait honte ce soir. Je Vous ai mal répondu tout à l’heure, Monsieur le Marquis d’Evans. Je comprends que Vous pouvez être en colère contre moi et que je dois être punie pour que je n’oublie plus jamais de m’adresser correctement à un Noble ou à un Maître.
néra marque un temps d’arrêt. Son émotion la submerge et les larmes envahissent ses joues. Jamais elle n’a été confrontée à une telle situation qu’elle trouve si étrange, car avant elle n’avait jamais pris de gants pour s’exprimer crûment et sèchement, allant même jusqu’à utiliser le langage argotique et les gros mots chaque fois qu’elle se mettait en colère ou se sentait en danger. Et là, elle se trouve en train de larmoyer pour un simple petit « Monsieur le Marquis d’Evans » oublié dans une réponse banale, ce qui va lui valoir de surplus une punition pour ce qui reste encore à ses yeux une bêtise de peu d’importance, mais qui la tourmente au plus haut point car elle ignore totalement ce qui va lui être imposée. Entre deux sanglots, elle tente d’ajouter :
- Monsieur le Marquis d’Evans, je dois Vous dire que j’ai peur, car je ne sais toujours pas quelle est la nature de Votre punition que je vais devoir subir. Et pourtant, vous voulez que je Vous dise que j’accepte sans même savoir ce que j’accepte. Mais je tiens par-dessus tout à ce que Monsieur le Comte de Bégon me garde à son service et à ses pieds. J’ai pour lui beaucoup de respect, d’affection et de reconnaissance, bien plus qu’il ne l’imagine. J’accepte donc Votre punition pour ma faute, mais aussi je le fais avant tout pour le Maître à qui je souhaite appartenir, s’il veut bien toujours de moi comme apprentie soumise.
- néra, es-tu consciente que tu as accepté la punition qu’il me plaira de t’imposer sans en connaître la vraie nature au préalable ?
- Oui, Monsieur le Marquis d’Evans, j’en suis consciente. Monsieur le Comte de Bégon et toutes les personnes que j’ai entendu parler depuis mon arrivée dans ce Château disent le plus grand bien de Vous et tous Vos esclaves ont l’air si heureux d’être à Vos pieds que je pense que je dois pouvoir Vous faire confiance les yeux fermés, d’autant plus que j’ai aussi confiance en Monsieur le Comte de Bégon qui vous a autorisé à me punir. J’ai confiance, mais cela n’enlève pas mon appréhension pour autant…
- néra, je ne te comprends pas vraiment. Ou tu as confiance, ou tu n’as pas assez confiance ? Mais si tu as pleinement confiance, tu ne dois pas avoir peur puisque tu as confiance ! N’est-ce pas ?
- Monsieur le Marquis d’Evans, je n’ai pas Votre intelligence, je n’y comprends plus rien… Que voulez-vous de moi ?
- Mais Moi, je ne veux rien de spécial. Tu te trompes, une fois de plus, femelle, c’est toi qui veut quelque chose de bien précis, en premier essayer de devenir un jour la soumise attitrée de Monsieur le Comte de Bégon, et juste pour l’instant présent, essayer de te faire pardonner pour ta faute d’inattention intolérable à Mes yeux et l’offense que tu m’as faite.
néra se sent perdue, plus elle essaye de comprendre et d’argumenter, plus elle a l’air de s’enfoncer et de se trouver dans un labyrinthe sans issue, se heurtant systématiquement au mur qui lui fait face et au Châtelain qui la met en face de ses propres contradictions. Elle marque un long temps d’arrêt pour savoir ce qu’elle doit faire et surtout ce qu’elle doit dire. Elle se met même à douter d’avoir quelque disposition pour devenir la soumise que recherchait Monsieur le Comte de Bégon. Elle se dit que peut-être, il accepterait tout au plus de la garder comme servante au Château, la logeant et la nourrissant tant qu’elle accomplirait bien pour lui toutes les tâches ménagères.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je reconnais que je vous ai mal parlé et que cela Vous a offensé, même si telle n’était pas mon intention. Je reconnais que cela mérite une punition, et je vous supplie de bien vouloir m’imposer ce qu’il Vous plaira, comme il Vous plaira, afin que Monsieur le Comte de Bégon que je respecte beaucoup n’ait plus honte de la malheureuse effrontée que je suis, qu’il avait cru pouvoir amener ce soir avec lui parmi tous Vos Invités de marque. Je ne sais s’il me pardonnera et fera un jour de moi sa soumise, mais je lui serais toujours reconnaissante de ce qu’il m’a permis de vivre, et ne lui en voudrait jamais s’il ne veut plus me garder à ses pieds et à ses côtés, car je sais bien que je ne suis pas bonne à grand-chose, même si j’avais le désir de devenir meilleure et de ressembler à celle qu’il avait cru voir en moi.
néra vient de baisser encore plus la tête et elle reste silencieuse, à genoux, presque tremblante. Le Marquis d’Evans laisse une bonne minute s’écouler avant de s’approcher de la soumise en larmes qui ne bouge plus d’un pouce. Il lui attrape le menton et la redresse un peu.
- Calme-toi, femelle néra, c’est fini… Sèche tes larmes … la punition que j’avais prévu de t’imposer était juste pour cette première fois de t’obliger à réfléchir sur le sens de ta faute et sur la nécessité d’une sanction quand une faute a été commise pour éviter en tout premier lieu que cela se reproduise. Il était donc dans mon intention de t’obliger à accepter toi-même, librement et volontairement, de te soumettre en confiance à Ma volonté et à ce que Je déciderai de t’imposer. Sache que ce n’est pas un exercice facile et que tu l’as fait avec beaucoup plus d’humilité que je l’imaginais connaissant ton peu d’expérience. Je t’accorde pour ce soir dans ma grande Magnanimité Mon Pardon. Tâche maintenant d’en être digne et de savoir comment te comporter en présence d’un Dominant et en présence d’un Noble. Tâche surtout de satisfaire de ton mieux le Maître que tu veux servir et de progresser dans ton cheminement de soumise à Ses pieds.
Sur ces entrefaites, Walter le Majordome arrive.
- Ah, Walter, Vous tombez bien. Pourriez-vous m’indiquer ce qu’il est advenu de Nelly MDE depuis que Vous l’avez envoyé à l’infirmerie après sa petite fatale démonstration au moment de l’apéritif.
- Monsieur le Marquis, cette sale chienne incapable de tenir debout un plateau à la main est en train de terminer sa soirée à la plonge sous les ordres de Madame Marie qui l’a affectée comme tous les esclaves qui avaient été punis récemment aux tâches les plus ardues qui doivent bien être accomplies en coulisse pour que cette somptueuse fête puisse être encore plus fastueuse.
- Vous dispenserez ce soir Nelly MDE de poursuivre sa tâche en cuisine, mais précisez-lui bien que ce n’est que partie remise. Je la remets pour le reste de la nuit, entre les mains de Mon très cher Ami, Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé sa présence. Prévenez Nelly MDE de tout ce que cela implique, car je tiens à ce qu’elle fasse honneur à mes Initiales et donne toute satisfaction à Monsieur le Comte si elle ne veut pas risquer de se voir répudier sur le champ tout simplement. Une maladresse pour la soirée est bien plus que suffisante. Je vous laisse aller la quérir et merci aussi de veiller à ce qu’elle se présente ici dans un état de propreté suffisante, surtout si elle a passé le restant de la soirée à récurer les casseroles à pleines mains.
Le Châtelain se retourne vers Son vieil ami.
- Voilà votre petit souhait bientôt exhaussé, Cher Comte. J’espère que le petit cul de Mon esclave-soumise Nelly MDE sera un écrin tentant pour Votre queue quand elle la fera se redresser. Je ne vais pas tarder à vous quitter car j’ai encore d’autres Invités à saluer avant la fin de la nuit. Soyez certain que votre petite néra pourra vous donner de grandes satisfactions si vous savez bien la conduire et la dresser. Elle a l’air d’avoir souffert dans sa vie et c’est ce qui la rend craintive, mais je décèle en elle des qualités certaines de cœur et d’humilité qui devraient lui permettre de devenir une soumise dévouée. Je pense qu’elle ne demande qu’à faire confiance, mais une partie d’elle a encore en mémoire le souvenir de personnes qui ont abusé de sa confiance et de sa faiblesse. Il lui faut du temps, de la compréhension mais aussi de l’exigence et si besoin de la sévérité, mais une salutaire sévérité justifiée et utile le cas échéant.
- Je vous remercie, Cher Marquis d’Evans, pour Votre grande sagesse et la lucidité de Votre analyse, alors que je ne Vous ai presque rien révélé de ma petite néra que j’ai pris autant sous ma protection que sous mon joug. …. (puis s’adressant à néra) ….
- néra, il convient maintenant que tu remercies Monsieur le Marquis d’Evans pour tout le temps qu’IL t’a consacré, pour Son enseignement, pour la sagesse et judicieuse punition qu’IL t’a imposée. Ne parle pas, dépose juste un baiser sur Ses pieds.
La soumise en devenir s’exécute de bonne grâce, trop heureuse de voir tout ceci se terminer aussi facilement mais aussi ayant compris le message riche en enseignement que le Maître des lieux lui a fait assimiler et c’est avec un baiser déposé sur les chaussures de cuir du Marquis d’Evans, qu’elle exprime sa reconnaissance.
- Avant de Vous laisser, Cher Comte, il y a une chose qui me titille depuis le début. Quand je me suis approché, Votre petite néra avait en mains deux bougies qu’elle tenait presque à bout de bras, assez tremblotante, tandis qu’elle les faisait fondre sur le dos de ma chienne-esclave N°4, qui de son côté ne devait pas trouver bien désagréable le traitement réchauffant que Vous lui avez imposé, sachant que fort heureusement, elle n’a toujours pas bougé d’un pouce depuis que nous conversons.
- Cher Marquis d’Evans, Vous avez un œil de lynx pour observer la nature humaine avec perspicacité. néra a été brulé dans son enfance par de l’huile de friture, elle craint donc toujours de s’approcher du feu. J’ai voulu l’initier à ces jeux de bougie, mais cela la terrifie. J’ai donc eu l’idée de la laisser ce soir, elle-même faire fondre la bougie sur le dos de Votre esclave pour qu’elle se rende compte toute seule que ces jeux sont sans danger, que la cire en coulant d’une bougie reste chaude en rentrant au contact de la peau, mais qu’elle ne brûle pas et que les sensations pour la soumise peuvent s’avérer très agréables surtout sur les zones érogènes les plus sensibles. Mais, je ne suis pas sûr de lui avoir encore permis de dépasser son vieux traumatisme.
- Et bien Cher Comte de Bégon, nous allons voir sans tarder ce qu’il en est.
Le Châtelain attrape le menton de néra qui est toujours restée face contre terre après avoir baiser les chaussures du Maître des Lieux.
- néra, Mets-toi debout ! Tu nous as bien dit que tu avais confiance en nous, je veux dire que tu avais confiance en Monsieur le Comte de Bégon, et aussi en Moi, personnellement. Je me trompe ?
- Non, Monsieur le Marquis d’Evans, c’est bien ce que j’ai dit.
- Alors tu vas devoir nous le prouver sur le champ. Et je suis même certain que tu vas trouver beaucoup de plaisirs à ce qui va t’être imposé dans un cadre particulièrement D/s. Commence par ouvrir les jambes le plus largement possible et ensuite par fermer les yeux. Je vais te bander les yeux pour que tu n’aies pas le réflexe de vouloir les ouvrir avant que ce soit Moi ou Monsieur le Comte qui ôte ton bandeau.
Le Maître des Lieux attrape sans tarder sur une desserte à côté, un bandeau noir opaque, deux bougies et de quoi les allumer. IL passe la cravache sur l’entrecuisse déjà très excité de la femelle qui ne tarde pas à ronronner de plaisirs lorsqu’IL s’approche de sa caverne humide ou lorsqu’IL fait pénétrer plus allégrement la cravache dans la raie des fesses à la recherche d’une plus étroite intimité. IL revient ensuite pour s’attarder sur les tétons qu’IL frôle de la cravache, mais qu’IL prend aussi en mains pour les pincer et les titiller afin de les faire darder. Approchant alors la bougie qu’IL vient d’allumer, IL laisse tomber d’assez haut pour qu’elle refroidisse une première goutte sur la partie haute du ventre entre les deux seins. néra laisse échapper un petit cri de surprise mais trouvant du plaisir à la sensation inconnue, elle incline juste la tête en ouvrant la bouche signe d’une vraie attitude lascive qui redemande encore du plaisir. Le Marquis d’Evans laisse alors perler en goutte à goutte les deux bougies sur le corps de la soumise en devenir, se rapprochant de plus en plus du mamelon plus sensible qu’IL finit par recouvrir entièrement de bougie fondue. néra a fini par comprendre l’origine et la nature des sensations chaudes qu’elle éprouvait dans un vrai goutte à goutte enivrant et excitant. Elle ronronne de plus en plus fort, laissant la vague des plaisirs l’emporter dans un autre monde d’extase.
Le Marquis d’Evans satisfait d’une part de Son œuvre artistique sur le corps de celle dont la peau est maintenant recouverte de plusieurs gouttes ou trainées de cire refroidie et d’autre part du fait qu’IL a pu repousser les limites de cette jeune apprentie soumise prometteuse, adresse un grand sourire complice à Son vieil ami de toujours.
-Très cher Comte, j’ai bien le sentiment que je vous laisse désormais une adepte, regardez-là se tordre de désirs… Elle est déjà toute chaude pour la nuit, s’il vous reste encore un peu d’énergie après Mon esclave Nelly MDE que mon Majordome ne devrait pas tarder à Vous ramener. Je suis vraiment obligé de Vous laisser, la nuit s’avance à grands pas. J’ai eu grand plaisir à converser avec vous et à pouvoir m’occuper de votre petite protégée. Mais n’hésitez pas à rester ferme et exigeant dans Votre Domination, elle aura besoin de solides barrières pour avancer et prendre confiance en elle.
Le Châtelain se retire tandis qu’IL croise Walter qui traîne carrément l’esclave Nelly MDE fautive, en la tirant par l’oreille la forçant à se tenir demie courbée, n’ayant pas voulu la prendre par la laisse qui pend à son cou. Arrivée à la hauteur du Châtelain, le Majordome marque un temps d’arrêt laissant à l’esclave la possibilité de se prosterner à terre devant Le Maître qui précise de sa voix Dominante et directive.
- Tâche de donner toute satisfaction à Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé ta présence. Débrouille-toi comme tu veux, use de tes charmes, de ton expérience et de ta bouche suave autant qu’il sera nécessaire, mais assure-toi de le faire bander pour qu’il puisse t’enculer comme il le désire et qu’il se vide dans ton cul de vilaine chienne maladroite. Je veux qu’il puisse emporter avec lui de bons souvenirs de cette soirée D/s dans Mon Château.
Sans plus un mot pour celle qui vient de comprendre qu’elle a trouvé là le moyen de rentrer en grâce auprès du Maître Vénéré et de réparer sa maladresse du début de soirée, le Marquis d’Evans s’éloigne et salue cette fois Master Tarvo qui est venu accompagné de son compagnon homosexuel dans la vie qui est aussi son soumis « thyr », qui a été obligé de venir féminisé pour la soirée…
(A suivre ….)
- Monsieur le Marquis d’Evans, je ne sais pas très bien comment je dois faire. Je suis désolée, car Vous m’avez parlé pour m’expliquer comment je dois Vous parler et moi, je n’ai pas fait attention. Je n’ai pas vraiment l’habitude et je suis là aussi pour apprendre à mieux me comporter et à mieux parler. Je sais la chance que j’ai d’avoir pu tomber sur quelqu’un d’aussi bien et respectueux que Monsieur le Comte de Bégon qui est si gentil pour moi. Je voudrais sans cesse le remercier pour tout ce qu’il a fait pour moi, et à la place de ça, je sais que je lui ai fait honte ce soir. Je Vous ai mal répondu tout à l’heure, Monsieur le Marquis d’Evans. Je comprends que Vous pouvez être en colère contre moi et que je dois être punie pour que je n’oublie plus jamais de m’adresser correctement à un Noble ou à un Maître.
néra marque un temps d’arrêt. Son émotion la submerge et les larmes envahissent ses joues. Jamais elle n’a été confrontée à une telle situation qu’elle trouve si étrange, car avant elle n’avait jamais pris de gants pour s’exprimer crûment et sèchement, allant même jusqu’à utiliser le langage argotique et les gros mots chaque fois qu’elle se mettait en colère ou se sentait en danger. Et là, elle se trouve en train de larmoyer pour un simple petit « Monsieur le Marquis d’Evans » oublié dans une réponse banale, ce qui va lui valoir de surplus une punition pour ce qui reste encore à ses yeux une bêtise de peu d’importance, mais qui la tourmente au plus haut point car elle ignore totalement ce qui va lui être imposée. Entre deux sanglots, elle tente d’ajouter :
- Monsieur le Marquis d’Evans, je dois Vous dire que j’ai peur, car je ne sais toujours pas quelle est la nature de Votre punition que je vais devoir subir. Et pourtant, vous voulez que je Vous dise que j’accepte sans même savoir ce que j’accepte. Mais je tiens par-dessus tout à ce que Monsieur le Comte de Bégon me garde à son service et à ses pieds. J’ai pour lui beaucoup de respect, d’affection et de reconnaissance, bien plus qu’il ne l’imagine. J’accepte donc Votre punition pour ma faute, mais aussi je le fais avant tout pour le Maître à qui je souhaite appartenir, s’il veut bien toujours de moi comme apprentie soumise.
- néra, es-tu consciente que tu as accepté la punition qu’il me plaira de t’imposer sans en connaître la vraie nature au préalable ?
- Oui, Monsieur le Marquis d’Evans, j’en suis consciente. Monsieur le Comte de Bégon et toutes les personnes que j’ai entendu parler depuis mon arrivée dans ce Château disent le plus grand bien de Vous et tous Vos esclaves ont l’air si heureux d’être à Vos pieds que je pense que je dois pouvoir Vous faire confiance les yeux fermés, d’autant plus que j’ai aussi confiance en Monsieur le Comte de Bégon qui vous a autorisé à me punir. J’ai confiance, mais cela n’enlève pas mon appréhension pour autant…
- néra, je ne te comprends pas vraiment. Ou tu as confiance, ou tu n’as pas assez confiance ? Mais si tu as pleinement confiance, tu ne dois pas avoir peur puisque tu as confiance ! N’est-ce pas ?
- Monsieur le Marquis d’Evans, je n’ai pas Votre intelligence, je n’y comprends plus rien… Que voulez-vous de moi ?
- Mais Moi, je ne veux rien de spécial. Tu te trompes, une fois de plus, femelle, c’est toi qui veut quelque chose de bien précis, en premier essayer de devenir un jour la soumise attitrée de Monsieur le Comte de Bégon, et juste pour l’instant présent, essayer de te faire pardonner pour ta faute d’inattention intolérable à Mes yeux et l’offense que tu m’as faite.
néra se sent perdue, plus elle essaye de comprendre et d’argumenter, plus elle a l’air de s’enfoncer et de se trouver dans un labyrinthe sans issue, se heurtant systématiquement au mur qui lui fait face et au Châtelain qui la met en face de ses propres contradictions. Elle marque un long temps d’arrêt pour savoir ce qu’elle doit faire et surtout ce qu’elle doit dire. Elle se met même à douter d’avoir quelque disposition pour devenir la soumise que recherchait Monsieur le Comte de Bégon. Elle se dit que peut-être, il accepterait tout au plus de la garder comme servante au Château, la logeant et la nourrissant tant qu’elle accomplirait bien pour lui toutes les tâches ménagères.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je reconnais que je vous ai mal parlé et que cela Vous a offensé, même si telle n’était pas mon intention. Je reconnais que cela mérite une punition, et je vous supplie de bien vouloir m’imposer ce qu’il Vous plaira, comme il Vous plaira, afin que Monsieur le Comte de Bégon que je respecte beaucoup n’ait plus honte de la malheureuse effrontée que je suis, qu’il avait cru pouvoir amener ce soir avec lui parmi tous Vos Invités de marque. Je ne sais s’il me pardonnera et fera un jour de moi sa soumise, mais je lui serais toujours reconnaissante de ce qu’il m’a permis de vivre, et ne lui en voudrait jamais s’il ne veut plus me garder à ses pieds et à ses côtés, car je sais bien que je ne suis pas bonne à grand-chose, même si j’avais le désir de devenir meilleure et de ressembler à celle qu’il avait cru voir en moi.
néra vient de baisser encore plus la tête et elle reste silencieuse, à genoux, presque tremblante. Le Marquis d’Evans laisse une bonne minute s’écouler avant de s’approcher de la soumise en larmes qui ne bouge plus d’un pouce. Il lui attrape le menton et la redresse un peu.
- Calme-toi, femelle néra, c’est fini… Sèche tes larmes … la punition que j’avais prévu de t’imposer était juste pour cette première fois de t’obliger à réfléchir sur le sens de ta faute et sur la nécessité d’une sanction quand une faute a été commise pour éviter en tout premier lieu que cela se reproduise. Il était donc dans mon intention de t’obliger à accepter toi-même, librement et volontairement, de te soumettre en confiance à Ma volonté et à ce que Je déciderai de t’imposer. Sache que ce n’est pas un exercice facile et que tu l’as fait avec beaucoup plus d’humilité que je l’imaginais connaissant ton peu d’expérience. Je t’accorde pour ce soir dans ma grande Magnanimité Mon Pardon. Tâche maintenant d’en être digne et de savoir comment te comporter en présence d’un Dominant et en présence d’un Noble. Tâche surtout de satisfaire de ton mieux le Maître que tu veux servir et de progresser dans ton cheminement de soumise à Ses pieds.
Sur ces entrefaites, Walter le Majordome arrive.
- Ah, Walter, Vous tombez bien. Pourriez-vous m’indiquer ce qu’il est advenu de Nelly MDE depuis que Vous l’avez envoyé à l’infirmerie après sa petite fatale démonstration au moment de l’apéritif.
- Monsieur le Marquis, cette sale chienne incapable de tenir debout un plateau à la main est en train de terminer sa soirée à la plonge sous les ordres de Madame Marie qui l’a affectée comme tous les esclaves qui avaient été punis récemment aux tâches les plus ardues qui doivent bien être accomplies en coulisse pour que cette somptueuse fête puisse être encore plus fastueuse.
- Vous dispenserez ce soir Nelly MDE de poursuivre sa tâche en cuisine, mais précisez-lui bien que ce n’est que partie remise. Je la remets pour le reste de la nuit, entre les mains de Mon très cher Ami, Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé sa présence. Prévenez Nelly MDE de tout ce que cela implique, car je tiens à ce qu’elle fasse honneur à mes Initiales et donne toute satisfaction à Monsieur le Comte si elle ne veut pas risquer de se voir répudier sur le champ tout simplement. Une maladresse pour la soirée est bien plus que suffisante. Je vous laisse aller la quérir et merci aussi de veiller à ce qu’elle se présente ici dans un état de propreté suffisante, surtout si elle a passé le restant de la soirée à récurer les casseroles à pleines mains.
Le Châtelain se retourne vers Son vieil ami.
- Voilà votre petit souhait bientôt exhaussé, Cher Comte. J’espère que le petit cul de Mon esclave-soumise Nelly MDE sera un écrin tentant pour Votre queue quand elle la fera se redresser. Je ne vais pas tarder à vous quitter car j’ai encore d’autres Invités à saluer avant la fin de la nuit. Soyez certain que votre petite néra pourra vous donner de grandes satisfactions si vous savez bien la conduire et la dresser. Elle a l’air d’avoir souffert dans sa vie et c’est ce qui la rend craintive, mais je décèle en elle des qualités certaines de cœur et d’humilité qui devraient lui permettre de devenir une soumise dévouée. Je pense qu’elle ne demande qu’à faire confiance, mais une partie d’elle a encore en mémoire le souvenir de personnes qui ont abusé de sa confiance et de sa faiblesse. Il lui faut du temps, de la compréhension mais aussi de l’exigence et si besoin de la sévérité, mais une salutaire sévérité justifiée et utile le cas échéant.
- Je vous remercie, Cher Marquis d’Evans, pour Votre grande sagesse et la lucidité de Votre analyse, alors que je ne Vous ai presque rien révélé de ma petite néra que j’ai pris autant sous ma protection que sous mon joug. …. (puis s’adressant à néra) ….
- néra, il convient maintenant que tu remercies Monsieur le Marquis d’Evans pour tout le temps qu’IL t’a consacré, pour Son enseignement, pour la sagesse et judicieuse punition qu’IL t’a imposée. Ne parle pas, dépose juste un baiser sur Ses pieds.
La soumise en devenir s’exécute de bonne grâce, trop heureuse de voir tout ceci se terminer aussi facilement mais aussi ayant compris le message riche en enseignement que le Maître des lieux lui a fait assimiler et c’est avec un baiser déposé sur les chaussures de cuir du Marquis d’Evans, qu’elle exprime sa reconnaissance.
- Avant de Vous laisser, Cher Comte, il y a une chose qui me titille depuis le début. Quand je me suis approché, Votre petite néra avait en mains deux bougies qu’elle tenait presque à bout de bras, assez tremblotante, tandis qu’elle les faisait fondre sur le dos de ma chienne-esclave N°4, qui de son côté ne devait pas trouver bien désagréable le traitement réchauffant que Vous lui avez imposé, sachant que fort heureusement, elle n’a toujours pas bougé d’un pouce depuis que nous conversons.
- Cher Marquis d’Evans, Vous avez un œil de lynx pour observer la nature humaine avec perspicacité. néra a été brulé dans son enfance par de l’huile de friture, elle craint donc toujours de s’approcher du feu. J’ai voulu l’initier à ces jeux de bougie, mais cela la terrifie. J’ai donc eu l’idée de la laisser ce soir, elle-même faire fondre la bougie sur le dos de Votre esclave pour qu’elle se rende compte toute seule que ces jeux sont sans danger, que la cire en coulant d’une bougie reste chaude en rentrant au contact de la peau, mais qu’elle ne brûle pas et que les sensations pour la soumise peuvent s’avérer très agréables surtout sur les zones érogènes les plus sensibles. Mais, je ne suis pas sûr de lui avoir encore permis de dépasser son vieux traumatisme.
- Et bien Cher Comte de Bégon, nous allons voir sans tarder ce qu’il en est.
Le Châtelain attrape le menton de néra qui est toujours restée face contre terre après avoir baiser les chaussures du Maître des Lieux.
- néra, Mets-toi debout ! Tu nous as bien dit que tu avais confiance en nous, je veux dire que tu avais confiance en Monsieur le Comte de Bégon, et aussi en Moi, personnellement. Je me trompe ?
- Non, Monsieur le Marquis d’Evans, c’est bien ce que j’ai dit.
- Alors tu vas devoir nous le prouver sur le champ. Et je suis même certain que tu vas trouver beaucoup de plaisirs à ce qui va t’être imposé dans un cadre particulièrement D/s. Commence par ouvrir les jambes le plus largement possible et ensuite par fermer les yeux. Je vais te bander les yeux pour que tu n’aies pas le réflexe de vouloir les ouvrir avant que ce soit Moi ou Monsieur le Comte qui ôte ton bandeau.
Le Maître des Lieux attrape sans tarder sur une desserte à côté, un bandeau noir opaque, deux bougies et de quoi les allumer. IL passe la cravache sur l’entrecuisse déjà très excité de la femelle qui ne tarde pas à ronronner de plaisirs lorsqu’IL s’approche de sa caverne humide ou lorsqu’IL fait pénétrer plus allégrement la cravache dans la raie des fesses à la recherche d’une plus étroite intimité. IL revient ensuite pour s’attarder sur les tétons qu’IL frôle de la cravache, mais qu’IL prend aussi en mains pour les pincer et les titiller afin de les faire darder. Approchant alors la bougie qu’IL vient d’allumer, IL laisse tomber d’assez haut pour qu’elle refroidisse une première goutte sur la partie haute du ventre entre les deux seins. néra laisse échapper un petit cri de surprise mais trouvant du plaisir à la sensation inconnue, elle incline juste la tête en ouvrant la bouche signe d’une vraie attitude lascive qui redemande encore du plaisir. Le Marquis d’Evans laisse alors perler en goutte à goutte les deux bougies sur le corps de la soumise en devenir, se rapprochant de plus en plus du mamelon plus sensible qu’IL finit par recouvrir entièrement de bougie fondue. néra a fini par comprendre l’origine et la nature des sensations chaudes qu’elle éprouvait dans un vrai goutte à goutte enivrant et excitant. Elle ronronne de plus en plus fort, laissant la vague des plaisirs l’emporter dans un autre monde d’extase.
Le Marquis d’Evans satisfait d’une part de Son œuvre artistique sur le corps de celle dont la peau est maintenant recouverte de plusieurs gouttes ou trainées de cire refroidie et d’autre part du fait qu’IL a pu repousser les limites de cette jeune apprentie soumise prometteuse, adresse un grand sourire complice à Son vieil ami de toujours.
-Très cher Comte, j’ai bien le sentiment que je vous laisse désormais une adepte, regardez-là se tordre de désirs… Elle est déjà toute chaude pour la nuit, s’il vous reste encore un peu d’énergie après Mon esclave Nelly MDE que mon Majordome ne devrait pas tarder à Vous ramener. Je suis vraiment obligé de Vous laisser, la nuit s’avance à grands pas. J’ai eu grand plaisir à converser avec vous et à pouvoir m’occuper de votre petite protégée. Mais n’hésitez pas à rester ferme et exigeant dans Votre Domination, elle aura besoin de solides barrières pour avancer et prendre confiance en elle.
Le Châtelain se retire tandis qu’IL croise Walter qui traîne carrément l’esclave Nelly MDE fautive, en la tirant par l’oreille la forçant à se tenir demie courbée, n’ayant pas voulu la prendre par la laisse qui pend à son cou. Arrivée à la hauteur du Châtelain, le Majordome marque un temps d’arrêt laissant à l’esclave la possibilité de se prosterner à terre devant Le Maître qui précise de sa voix Dominante et directive.
- Tâche de donner toute satisfaction à Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé ta présence. Débrouille-toi comme tu veux, use de tes charmes, de ton expérience et de ta bouche suave autant qu’il sera nécessaire, mais assure-toi de le faire bander pour qu’il puisse t’enculer comme il le désire et qu’il se vide dans ton cul de vilaine chienne maladroite. Je veux qu’il puisse emporter avec lui de bons souvenirs de cette soirée D/s dans Mon Château.
Sans plus un mot pour celle qui vient de comprendre qu’elle a trouvé là le moyen de rentrer en grâce auprès du Maître Vénéré et de réparer sa maladresse du début de soirée, le Marquis d’Evans s’éloigne et salue cette fois Master Tarvo qui est venu accompagné de son compagnon homosexuel dans la vie qui est aussi son soumis « thyr », qui a été obligé de venir féminisé pour la soirée…
(A suivre ….)
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