La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 371)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 371)
Suite de l'épisode N°357 - Mary au château -
Un silence s'installa, ce qui permit à Mary d'assimiler mentalement les propos de Walter pour mémoriser tout ce qu'il exige d'elle pour cette première punition parce qu'elle est soucieuse d'obéir et de satisfaire les attentes du Majordome. Cette petite méditation lui permet aussi, comme elle le fait souvent dans sa vie quotidienne, et surtout professionnelle, de mieux s'adapter aux changements de situations, et de les aborder plus aisément car elle a toujours peur de ne pas être à la hauteur. Et habituellement, elle stress à cause de son manque de confiance. C'est pourquoi, en acceptant librement le chemin de la soumission que Le Maître, Monsieur, le Marquis Edouard d'Evans lui a ouvert en la faisant sienne, et désireux de la prendre sous son joug, lui permettra de vivre ce qu'elle aspire vraiment. Elle sait, qu'en se conformant avec dévotion et humilité aux exigences du Maître ou du personnel du Château, elle doit aussi avoir confiance en elle pour mieux lâcher prise.
La fin des réflexions fut sonnée une fois de plus par Walter. Il tenait dans une main la cravache de Marie. Il donna un coup modéré mais justement dosé sur la joue gauche de la soumise pour que la peau douce du visage rougisse un peu. Puis fit de même avec l'autre joue ce qui permit à la belle brune de se débarrasser de ses rêveries. Puis le Majordome lui présente l'instrument devant sa bouche afin qu'elle le prenne comme une chienne qui saisirait un os et qui le serre fort pour ne pas le perdre. Ensuite, il donna la laisse à la perverse cuisinière de Marie, qui sans attendre, tira fort dessus pour que Mary la soumise se mette à quatre patte. Walter ne traîna pas pour donner son premier coup de cravache sur une des fesses bien rebondies de l'esclave qui lui fit instantanément serrer les dents et qui donna le signal du départ. Du moins, c'est ce que pensait Mary, et elle commença à se diriger au bas des escaliers. Peine perdue, elle fut brusquement tirée à l'arrière par la laisse, si fort qu'elle se sentait soulever et perdant l'équilibre, tomba à la renverse sur son postérieur. Marie, se mit devant elle, accroupie, tendit la laisse pour redresser le visage de la soumise et lui administra deux gifles suffisamment fortes pour l'étourdir un petit instant. Puis elle la fixa d'un regard mécontent et pervers, regard que la belle chercha à fuir discrètement quand elle entendit d’une voix ironique :
- C'est nouveau ! Depuis quand un ou une esclave sous ce toit prend des initiatives sans autorisations ? Pourtant, Le Maître n’a-t’il pas pris la peine de t'expliquer lors de vos nombreuses conversations le règlement intérieur qui régit dans Son Château et que tout esclave est sensé obéir au pied de la lettre sous peine de sanction justement méritée en fonction de la faute ?
Mary sentit son visage (déjà rougi par les deux gifles) s'empourprer de plus belle et se mordit un peu les lèvres car elle s'en voulait intérieurement de son erreur. Pourtant, même si elle n'avait jamais pratiqué certains principes à cause du virtuel qui avait ses limites et de sa vie vanille qui ne le lui permettait pas, elle se servait de ses moments de méditation pour s'imaginer au Château de Monsieur le Marquis d'Evans. Elle se voyait mentalement pratiquer tout ce que Le Maître lui apprenait sur son comportement qu'elle devait avoir, les règles auxquelles elle devait obéir le jour où elle franchirait la grille du Château. Ainsi, même éloignée de la réalité, elle comprenait sa nature à être soumise, et de ressentir, en obéissant aux exigences du Maître qu'elle vénérait, tout le bonheur qu'elle éprouve en le servant avec humilité puisqu'elle a choisi de lui appartenir corps et âme et de le satisfaire en tout point…
Mary était heureuse d'être comprise sur sa véritable nature, mais si elle avait conscience qu'elle n'était pas encore une soumise parfaite, qu'elle avait aussi des faiblesses, des défauts, des craintes, qu'elle essayait de maîtriser au mieux. Pour l'instant, elle subissait le courroux de Marie la cuisinière. Celle-ci s'adressa à Walter :
- Tu lui ajouteras à son quota de punitions 4 coups supplémentaires dès que nous arriverons devant la porte de la salle de soins, si tu ne vois pas d'inconvénients.
- Non, pas du tout. Ce ne sera rien pour cette femelle, si elle en n’accumule pas d'autres. Ses belles fesses n'en seront pas traumatisées pour autant. Et puis c'est à elle de veiller à ne pas les faire trop rougir… Bon, ne trainons pas, nous avons encore beaucoup à faire avant le dîner si cette chienne ne nous retarde pas, en montant les vingt marches et les trois dizaines de mètres de couloirs de l’aile gauche du château avant d'arriver devant la salle de soins qui se trouve tout au bout de celui-ci. Tout ce que je souhaite à cette chienne, est que Monsieur Le Marquis et son mari ne s'impatientent pas et que leurs estomacs ne commencent pas à crier famine. Si c'est le cas, je ne doute pas que Le Maître des lieux fera comprendre son mécontentement envers elle. (Et en claquant une nouvelle fois le postérieur de la soumise). C'est reparti ! Je te laisse reprendre les rênes mon amie.
La cuisinière commença à monter les marches en gardant la laisse tirée de façon à ce que Mary suive à un pas derrière elle. Les vingt marches à gravir semblaient pour Mary une éternité. Mais elle ne savait pas si c'était dû au rythme volontairement lent de Marie, ou si c'était dû à elle-même qui avait des difficultés à les monter faute d'entraînement chez elle, comme un quadrupède aurait l'habitude de faire. L'ascension aurait pu être plus facile si elle se trouvait sur l'épais tapis bleu qui cachait le milieu de chaque marche d'escalier, au lieu de se trouver sur la pierre brute qui lui meurtrissait ses genoux. En parallèle, la belle brune portait toute son attention à bien garder en bouche la cravache en la serrant entre ses dents, tandis que Walter usait de la sienne sur ses fesses rebondies. Elle se crispait sous les coups plus ou moins espacés. Au lieu de cris qu'elle étouffait, c'était des petites larmes qu'elle ne put retenir et montraient les petites douleurs qu'elle ressentait. Mais, elle sentit aussi malgré elle, sa chatte se mouiller de plaisir, même si la punition avait pour but de lui faire comprendre la faute commise et devait permettre de ne pas la renouveler. Mary s'étonna de supporter, d'accepter aussi facilement d'être traité ainsi. Elle n'avait jusqu'à présent, jamais eu l'occasion de tester les divers instruments qui rougissent, zèbrent sans blesser (s'ils sont bien employés), les parties sensibles du corps et qui peuvent donner du plaisir ou punir selon la façon et l'intensité dont les coups sont donnés. Certes, elle utilise régulièrement chez elle d'autres moyens pour l'entraîner à s'habituer à ce mélange si hétéroclite de douleurs et plaisir, comme la cire de bougie ou les pinces à linges qu'elle utilisait sur différents endroits de son corps, notamment sur ses tétons et ses lèvres vaginales...
Mais elle appréhendait les autres instruments qui n'étaient pas facile à employer seuls. Elle redoutait malgré son désir fort, le moment où elle se retrouverait au château du Marquis d'Evans et d'être confronter aux cravaches, padds, fouets...etc... et qui déterminera définitivement pour elle son choix. Soit elle refusait de se laisser traiter de cette façon qui pouvait sembler inhumaine aux yeux de la majorité de la société qui considère comme marginale le monde de la D/s. Elle mettrait ainsi un terme à cette relation avec le Marquis d'Evans et s'en retournerai définitivement vivre une vie "vanille" banale. Soit elle acceptait, comme dans ce cas, de se laisser punir, car elle se prouverait ainsi que son désir de soumission, désir qu'elle cachait au plus profond d'elle, était bien réel. Elle réalisait que cette nouvelle vie de chienne-esclave lui procurait un certain bien-être, un bonheur d'obéir, d'appartenir au Maître de ce prestigieux château riche en histoire. Le Marquis Edouard d'Evans a su déceler juste par un échange de mail banal et une photo comme avatar, les signes révélateurs d'une soumise en devenir. Maintenant, la belle brune se sentait comprise dans sa nature. Elle était prête à évoluer dans le chemin qu'elle a librement choisi, de faire honneur au Maître qui lui a offert cette chance et lui a tendu la main, en lui faisant preuve de dévotion, d'humilité et d'obéissance car c'était son principal plaisir à elle de satisfaire ses exigences. Elle avait conscience que son chemin, pour progresser et devenir une soumise parfaite serait long et sera ponctué de plaisirs, mais aussi de punitions qui devaient l'aider à ne plus commettre ses erreurs. En choisissant librement de devenir soumise car c'est tout simplement naturel en elle, Mary acceptait ainsi d'être rabaissée à un niveau quasi-animal. Alors que la société réfractaire avait une vision plutôt "bestiale" de la D/s, qualifiant ses adeptes de ‘’déviants’’, elle avait conscience qu'elle restait humaine avant tout et trouvait qu'il n'y avait rien de déshumanisant dans ce mode de vie, cet art de vivre car elle avait confiance en cette relation qui se révélait consentie, saine et sécurisée…
Après un certain temps qui parurent long à la soumise, le trio arrivèrent au sommet de l'imposant escalier...
(A suivre...)
Un silence s'installa, ce qui permit à Mary d'assimiler mentalement les propos de Walter pour mémoriser tout ce qu'il exige d'elle pour cette première punition parce qu'elle est soucieuse d'obéir et de satisfaire les attentes du Majordome. Cette petite méditation lui permet aussi, comme elle le fait souvent dans sa vie quotidienne, et surtout professionnelle, de mieux s'adapter aux changements de situations, et de les aborder plus aisément car elle a toujours peur de ne pas être à la hauteur. Et habituellement, elle stress à cause de son manque de confiance. C'est pourquoi, en acceptant librement le chemin de la soumission que Le Maître, Monsieur, le Marquis Edouard d'Evans lui a ouvert en la faisant sienne, et désireux de la prendre sous son joug, lui permettra de vivre ce qu'elle aspire vraiment. Elle sait, qu'en se conformant avec dévotion et humilité aux exigences du Maître ou du personnel du Château, elle doit aussi avoir confiance en elle pour mieux lâcher prise.
La fin des réflexions fut sonnée une fois de plus par Walter. Il tenait dans une main la cravache de Marie. Il donna un coup modéré mais justement dosé sur la joue gauche de la soumise pour que la peau douce du visage rougisse un peu. Puis fit de même avec l'autre joue ce qui permit à la belle brune de se débarrasser de ses rêveries. Puis le Majordome lui présente l'instrument devant sa bouche afin qu'elle le prenne comme une chienne qui saisirait un os et qui le serre fort pour ne pas le perdre. Ensuite, il donna la laisse à la perverse cuisinière de Marie, qui sans attendre, tira fort dessus pour que Mary la soumise se mette à quatre patte. Walter ne traîna pas pour donner son premier coup de cravache sur une des fesses bien rebondies de l'esclave qui lui fit instantanément serrer les dents et qui donna le signal du départ. Du moins, c'est ce que pensait Mary, et elle commença à se diriger au bas des escaliers. Peine perdue, elle fut brusquement tirée à l'arrière par la laisse, si fort qu'elle se sentait soulever et perdant l'équilibre, tomba à la renverse sur son postérieur. Marie, se mit devant elle, accroupie, tendit la laisse pour redresser le visage de la soumise et lui administra deux gifles suffisamment fortes pour l'étourdir un petit instant. Puis elle la fixa d'un regard mécontent et pervers, regard que la belle chercha à fuir discrètement quand elle entendit d’une voix ironique :
- C'est nouveau ! Depuis quand un ou une esclave sous ce toit prend des initiatives sans autorisations ? Pourtant, Le Maître n’a-t’il pas pris la peine de t'expliquer lors de vos nombreuses conversations le règlement intérieur qui régit dans Son Château et que tout esclave est sensé obéir au pied de la lettre sous peine de sanction justement méritée en fonction de la faute ?
Mary sentit son visage (déjà rougi par les deux gifles) s'empourprer de plus belle et se mordit un peu les lèvres car elle s'en voulait intérieurement de son erreur. Pourtant, même si elle n'avait jamais pratiqué certains principes à cause du virtuel qui avait ses limites et de sa vie vanille qui ne le lui permettait pas, elle se servait de ses moments de méditation pour s'imaginer au Château de Monsieur le Marquis d'Evans. Elle se voyait mentalement pratiquer tout ce que Le Maître lui apprenait sur son comportement qu'elle devait avoir, les règles auxquelles elle devait obéir le jour où elle franchirait la grille du Château. Ainsi, même éloignée de la réalité, elle comprenait sa nature à être soumise, et de ressentir, en obéissant aux exigences du Maître qu'elle vénérait, tout le bonheur qu'elle éprouve en le servant avec humilité puisqu'elle a choisi de lui appartenir corps et âme et de le satisfaire en tout point…
Mary était heureuse d'être comprise sur sa véritable nature, mais si elle avait conscience qu'elle n'était pas encore une soumise parfaite, qu'elle avait aussi des faiblesses, des défauts, des craintes, qu'elle essayait de maîtriser au mieux. Pour l'instant, elle subissait le courroux de Marie la cuisinière. Celle-ci s'adressa à Walter :
- Tu lui ajouteras à son quota de punitions 4 coups supplémentaires dès que nous arriverons devant la porte de la salle de soins, si tu ne vois pas d'inconvénients.
- Non, pas du tout. Ce ne sera rien pour cette femelle, si elle en n’accumule pas d'autres. Ses belles fesses n'en seront pas traumatisées pour autant. Et puis c'est à elle de veiller à ne pas les faire trop rougir… Bon, ne trainons pas, nous avons encore beaucoup à faire avant le dîner si cette chienne ne nous retarde pas, en montant les vingt marches et les trois dizaines de mètres de couloirs de l’aile gauche du château avant d'arriver devant la salle de soins qui se trouve tout au bout de celui-ci. Tout ce que je souhaite à cette chienne, est que Monsieur Le Marquis et son mari ne s'impatientent pas et que leurs estomacs ne commencent pas à crier famine. Si c'est le cas, je ne doute pas que Le Maître des lieux fera comprendre son mécontentement envers elle. (Et en claquant une nouvelle fois le postérieur de la soumise). C'est reparti ! Je te laisse reprendre les rênes mon amie.
La cuisinière commença à monter les marches en gardant la laisse tirée de façon à ce que Mary suive à un pas derrière elle. Les vingt marches à gravir semblaient pour Mary une éternité. Mais elle ne savait pas si c'était dû au rythme volontairement lent de Marie, ou si c'était dû à elle-même qui avait des difficultés à les monter faute d'entraînement chez elle, comme un quadrupède aurait l'habitude de faire. L'ascension aurait pu être plus facile si elle se trouvait sur l'épais tapis bleu qui cachait le milieu de chaque marche d'escalier, au lieu de se trouver sur la pierre brute qui lui meurtrissait ses genoux. En parallèle, la belle brune portait toute son attention à bien garder en bouche la cravache en la serrant entre ses dents, tandis que Walter usait de la sienne sur ses fesses rebondies. Elle se crispait sous les coups plus ou moins espacés. Au lieu de cris qu'elle étouffait, c'était des petites larmes qu'elle ne put retenir et montraient les petites douleurs qu'elle ressentait. Mais, elle sentit aussi malgré elle, sa chatte se mouiller de plaisir, même si la punition avait pour but de lui faire comprendre la faute commise et devait permettre de ne pas la renouveler. Mary s'étonna de supporter, d'accepter aussi facilement d'être traité ainsi. Elle n'avait jusqu'à présent, jamais eu l'occasion de tester les divers instruments qui rougissent, zèbrent sans blesser (s'ils sont bien employés), les parties sensibles du corps et qui peuvent donner du plaisir ou punir selon la façon et l'intensité dont les coups sont donnés. Certes, elle utilise régulièrement chez elle d'autres moyens pour l'entraîner à s'habituer à ce mélange si hétéroclite de douleurs et plaisir, comme la cire de bougie ou les pinces à linges qu'elle utilisait sur différents endroits de son corps, notamment sur ses tétons et ses lèvres vaginales...
Mais elle appréhendait les autres instruments qui n'étaient pas facile à employer seuls. Elle redoutait malgré son désir fort, le moment où elle se retrouverait au château du Marquis d'Evans et d'être confronter aux cravaches, padds, fouets...etc... et qui déterminera définitivement pour elle son choix. Soit elle refusait de se laisser traiter de cette façon qui pouvait sembler inhumaine aux yeux de la majorité de la société qui considère comme marginale le monde de la D/s. Elle mettrait ainsi un terme à cette relation avec le Marquis d'Evans et s'en retournerai définitivement vivre une vie "vanille" banale. Soit elle acceptait, comme dans ce cas, de se laisser punir, car elle se prouverait ainsi que son désir de soumission, désir qu'elle cachait au plus profond d'elle, était bien réel. Elle réalisait que cette nouvelle vie de chienne-esclave lui procurait un certain bien-être, un bonheur d'obéir, d'appartenir au Maître de ce prestigieux château riche en histoire. Le Marquis Edouard d'Evans a su déceler juste par un échange de mail banal et une photo comme avatar, les signes révélateurs d'une soumise en devenir. Maintenant, la belle brune se sentait comprise dans sa nature. Elle était prête à évoluer dans le chemin qu'elle a librement choisi, de faire honneur au Maître qui lui a offert cette chance et lui a tendu la main, en lui faisant preuve de dévotion, d'humilité et d'obéissance car c'était son principal plaisir à elle de satisfaire ses exigences. Elle avait conscience que son chemin, pour progresser et devenir une soumise parfaite serait long et sera ponctué de plaisirs, mais aussi de punitions qui devaient l'aider à ne plus commettre ses erreurs. En choisissant librement de devenir soumise car c'est tout simplement naturel en elle, Mary acceptait ainsi d'être rabaissée à un niveau quasi-animal. Alors que la société réfractaire avait une vision plutôt "bestiale" de la D/s, qualifiant ses adeptes de ‘’déviants’’, elle avait conscience qu'elle restait humaine avant tout et trouvait qu'il n'y avait rien de déshumanisant dans ce mode de vie, cet art de vivre car elle avait confiance en cette relation qui se révélait consentie, saine et sécurisée…
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