La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 372)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 372)
Suite de l'épisode N°370 - L’anniversaire du Marquis Edouard d’Evans -
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans vient de quitter Master Tarvo en compagnie de son esclave-homo thyr. Ce dernier va devoir, en guise de punition imposée par le Châtelain, subir alternativement sous les jeux de lèvres savants de la chienne-esclave N°31 quelques gonflements et dégonflements de son insolente queue qui s’est dressée au moment inopportun, venant offenser, par un spectacle indécent et non autorisé, le Maître des Lieux qui venait de s’approcher de son ami Dominant.
Le Noble continue le tour qu’IL a entrepris du Grand Hall transformé en donjon D/s pour la nuitée très orgiaque qui bat son plein. IL aimerait pouvoir par pure politesse, et surtout par vraie amitié, aller à la rencontre de chacun de Ses Invités, sans oublier personne, mais IL se rend compte que la nuit avance à grands pas. Et pourtant comme IL apprécierait de passer un moment avec chacun de ces Maîtres affirmés ou Dominas de renom qu’IL ne croise pour certains pas si souvent que cela vu la distance géographique qui les séparent, sans parler de tout ce qui retient chacun dans leur vie vanille et leurs diverses obligations au quotidien. De son côté, Monsieur le Marquis d’Evans est toujours très occupé par ses affaires et IL doit jongler pour arriver à s’accorder du temps pour Sa passion D/s qui est vitale pour son bien-être et pour lui permettre d’assouvir ses pulsions dominatrices, pour Ses talents d’écrivain qui lui apportent de bons moments de plaisir à prendre sa plume si réputée pour adresser à ses lecteurs et lectrices assidues de nouvelles aventures toujours si passionnantes, mais aussi pour tous Ses proches et amis qu’IL n’entend pas négliger également accordant une grande place aux relations humaines, sans oublier bien sûr Ses nombreux esclaves du cheptel à qui IL ne peut consacrer autant de temps qu’IL le voudrait pour maintenir avec chacun et chacune une relation de qualité suffisamment nourrie. C’est donc, sans plus attendre, qu’IL s’est empressé de laisser Master Tarvo qui va être occupé à surveiller le comportement de son esclave, mais aussi compagnon dans la vie, qui a été féminisée pour la soirée et déguisée en soubrette.
Le Châtelain aperçoit juste à côté « Magister Kerkuar » un autre Dominant qui vient d’installer sa soumise « rob » sur une « balançoire érotique », une sorte de harnais qui est suspendue à un portique, lui-même retenu pour des raisons de sécurité à un gros câble d’acier qui descend du plafond et empêche tout risque d’écrasement et de basculement. Ledit équipement permet d’installer un soumis, ou une soumise, qui est maintenu(e) en général au niveau du corps, du dos, des fesses ou des jambes par un genre de siège souple qui se compose d’une ou plusieurs bandes en cuir et de nombreuses sangles, assise mobile sur laquelle il/elle est installé(e) et positionné(e) à la hauteur qui convient pour toutes sortes d’utilisations, de pénétrations et de jeux BDSM cinglants ou non. D’autres sangles permettent de maintenir les mains et les jambes plus ou moins écartées avec des barres rigides extensibles ou carrément surélevées pour faciliter l’accès du Dominant et de Ses instruments D/s au niveau de toute la zone génitale, anale pour les deux, et également vaginale pour les soumises. L’esclave mâle ou femelle se trouve ainsi largement à la merci du Dominant, dans l’incapacité de bouger autre que par balancement, avec les parties intimes exposées et les orifices totalement offerts, afin de pouvoir être excité, forcé, godé, pénétré. Si les fessées sont difficilement de la partie avec ce type d’équipement, il est néanmoins possible de venir faire rougir la partie de l’intérieur des cuisses qui est une zone très sensible, voir de venir titiller de petits coups de cravache ou de martinets toute la partie sexuelle des grandes lèvres, de l’anus et du clitoris pour les chiennes-esclaves, et pour les mâles des testicules et du sexe, encagé ou non. Le Dominant qui vient de voir approcher le Maître des Lieux l’interpelle.
- Monsieur le Marquis d’Evans, très cher ami de toujours. Permettez-moi de Vous féliciter pour cette merveilleuse soirée et nuitée que Vous nous offrez. Il n’y a que Vous qui savez si bien Vous y entendre pour organiser des soirées BDSM de si grande qualité, où tant de Dominants et de dominés peuvent donner libre cours à leurs petits plaisirs partagés pour toujours plus de sensualité, de plaisirs et de pure D/s bien évidemment.
- Cher Magister Kerkuar, c’est moi qui vous remercie à Mon tour d’être parmi nous. Vous avez ce soir l’air totalement radieux avec un œil pétillant de joie et de perversité. Cela fait plaisir à voir, car vous savez bien combien j’aime savoir mes amis et amies heureux, et encore plus lorsqu’ils ont la verge haute. En approchant, j’ai même cru entendre de vrais éclats de rires qui me laissent à penser que le petit jeu D/s en cours doit vous être très plaisant. Mon esclave-femelle que j’aperçois toute en dorée vous donne-t-elle toute satisfaction ? Il m’a semblé, mais je ne pourrais l’affirmer que c’était elle qui criait au moment où je vous ai aperçu. Si c’était le cas, je ne saurais souffrir qu’elle vous manque de respect et qu’elle ne subisse pas ce que vous lui imposeriez dans le plus grand silence, à moins que vous ne l’ayez autorisé à s’exprimer, si vous prenez plaisir à l’entendre brailler. Je vous précise que les dessertes qui garnissent ce donjon improvisé ne manquent pas de bâillons de toutes sortes pour faire taire ces pies-bavardes lorsqu’elles se mettent à couiner sans raison ou sans autorisation.
- Très Cher Marquis, ne vous inquiétez pas. Votre chienne-femelle N°7 est parfaite dans le rôle que je lui ai assigné. Nous jouons à un « jeu d’adresse » si je puis dire, un genre de pêche à la ligne mais sans les mains et sans grand péché également. Et donc, la canne à pêche est Votre esclave 7, l’appât qui pend au bout de l’hameçon est ma petite « rob » et le poisson à attraper au lancer n’est autre que ma queue, récompense suprême, juste qu’elle est plus dure et moins longue qu’une anguille, mais conforme à ce que l’on peut attendre d’un appendice phallique bien membré. Quant à savoir si je serai « pécheur » dans cette mise en scène, pouvant difficilement être à la fois poisson et pêcheur ! Disons que je ne saurai Vous répondre sans jouer sur les mots.
Le Dominant se met à rire de concert avec Monsieur le Marquis d’Evans, avant même de poursuivre.
- Très Cher Marquis, Vous savez, j’apprécie toujours les soirées réputées qui se passent entre Vos murs légendaires, car je sais que le matériel sophistiqué que l’on y trouve est toujours sécurisé et de bonne fabrication. Il y a longtemps que j’avais eu dans l’idée d’installer ainsi ma nouvelle soumise, mais j’ai toujours craint qu’elle ne tombe si la chaise-ceinture et les sangles n’étaient pas assez solides pour supporter son poids, sans parler des attaches en plafond qui pourraient tout simplement céder, ce qui serait catastrophique. Il n’est pas question que ma soumise se fasse mal par ma faute, car elle est sous ma protection. Et puis, vous connaissez depuis le début mon faible pour les femmes largement plantureuses XXL à la poitrine généreuse. Je laisse aux autres amateurs les poupées mannequins à la taille fine, moi je préfère quand j’ai de la consistance à me mettre sous les mains et entre les cuisses, ce qui n’est pas toujours évident pour la réalisation de nos jeux D/s car, même si je ne manque pas d’imagination, je trouve peu d’équipements adaptés grandes tailles dans le commerce.
- Cher Ami, Vous pouvez y aller sans crainte, cet appareillage est solide, et il peut s’adapter à toutes les tailles pour femelle et mâles également, avec en outre la possibilité de pouvoir être déplacé, même si cela n’est pas aisé à cause des lests qui stabilisent et retiennent les pieds non fixés au sol. En tout cas, je peux vous assurer que j’y ai souvent installé moi-même dans Mon donjon quelques chiens-esclaves bien charpentés qui n’étaient pas des plus légers et j’avais aussi envie de pouvoir les balancer en toute sécurité. Quant aux nombreuses chaînes qui pendent des plafonds dans toute la demeure de mes illustres ancêtres, leur solidité a été testée pour pouvoir résister à n’importe quel jeu, élongation ou bondage en suspension. Ce Château est ancien de par ses murs et son histoire D/s dure depuis plusieurs générations. Je l’ai transformé en un véritable lieu moderne dévoué à la Domination/soumission car c’est une passion dont je ne pourrai jamais me passer depuis que j’y ai gouté dans Mon jeune âge… On me dit d’ailleurs, que je tiens cette passion de mes aïeux et tout particulièrement passion qu’entretenait mon aïeul le Marquis Charles-Edouard d’Evans qui, faut-il le rappeler, était l’ami et contemporain au Marquis de Sade ! …
Reprenant son souffle, le Noble Châtelain poursuit :
- Il y a un tel plaisir à se sentir Dominant adulé par tant de soumis et soumises qui ne demandent qu’à me servir loyalement pour Mon bon plaisir avant tout qu’il me serait difficile de résister et d’aller à l’encontre de ma nature profonde. Ceci dit, cela ne fait pas de moi un simple profiteur qui abuserait de la situation et des dominé(e)s librement asservi(e)s, car cela engage Ma responsabilité et Mon honneur de pouvoir apporter à chacun et chacune, prudence et bienveillance, tout autant que Dominance et Exigence. Mais, je ne suis pas là pour vous faire un cours sur la D/s vue sainement, car je sais que nous partageons sans nul doute la même philosophie quant à notre rôle de Maître et les pouvoirs et devoirs qui sont les nôtres. Cette soirée est festive avant tout, et même orgiaque au possible. Amusez-vous donc tout à votre aise, Cher Magister Kerkuar !
Contrairement à l’utilisation la plus courante de cette installation, où le dominé est assis, plus ou moins couché ou incliné sur le morceau de cuir qui lui sert d’assise, pouvant alors être pénétré avec des oscillations plus profondes et rythmées par les balancements des courroies d’attache que peut manipuler tout à sa guise le Dominant, la soumise « rob » a été installée la tête en bas et les pieds en l’air. Elle a tout le dos qui repose sur une large assise en cuir qui constitue la partie centrale de la balançoire, ses jambes sont maintenus écartées, retenues par une barre d’écartement et elles sont relevées à environ 45°. Son sexe et entrecuisse très en l’air presque à une hauteur de 1m50 du niveau du sol, le cul et la chatte largement béants et exposés, « rob » a la tête en bas et même carrément renversée en arrière. Juste en face, derrière la balançoire érotique se trouve l’esclave-femelle N°7 qui a les yeux bandés et qui se tient debout, sans bouger et sans rien voir de ce qui se passe. Elle a les mains attachées dans le dos, ce qui perturbe un peu son sens de l’équilibre dans le noir de son bandeau. Magister Kerkuar retient sa soumise d’une main posée sous la nuque, pour qu’elle ne peine pas trop au niveau des cervicales tandis qu’il prend le temps de converser avec le Châtelain. La tête de la soumise et plus exactement sa bouche arrive juste au niveau de la braguette du Dominant qu’il a ouvert en début de partie de jeu pour extirper du boxer un phallus conséquent qui emplie largement la bouche écartelée de « rob ».
- Voudriez-vous voir, cher Marquis, ce qui déclenchait mon hilarité avant votre arrivée ? La petite pointe de perversité qui vient pigmenter notre jeu, où je ne peux être que gagnant à tous les coups, car c’est le principe de base que j’ai instauré puisque je n’aime pas perdre. Je vais vous en faire la démonstration sans plus attendre.
Le Dominant relâche la tête de sa soumise qui avait la bouche grande ouverte et qui encerclait le sexe déjà bien dur de Magister Kerkuar qu’elle léchait et suçait avec volupté. Il la repousse vers l’arrière d’un geste de la main, la faisant se balancer vers l’arrière, mais sans grande force juste assez pour qu’elle commence à osciller suspendue dans son harnais de sécurité. Elle vient heurter l’esclave N°7 en face dont la tête s’engouffre entre les cuisses de « rob » venant en butée, avant de repartir vers l’avant à la rencontre du Dominant. L’oscillation allant en diminuant, la soumise installée sur la balançoire perd de l’amplitude à chaque aller et retour. Le but du jeu consiste à ce que la soumise qui est à la bonne hauteur de la queue du Maître, puisse à nouveau lui permettre de venir s’engouffrer dans son gosier avide de pénétrations.
L’esclave N°7 a la possibilité de relancer le jeu, sans bouger de place cependant, en s’aidant de la tête pour pousser la soumise au niveau de l’entrecuisse et du sexe, afin de lui donner un peu plus de chance d’atteindre son but, mais comme elle a les yeux bandés, elle ne peut savoir si elle pousse vraiment dans la bonne direction, et surtout elle ne peut anticiper le moment où le sexe béant de « rob » viendra à sa rencontre, se laissant la plupart du temps surprendre par celle dont la chatte lui atterri carrément en pleine face et n’ayant pas le temps de réagir pour relancer en donnant une impulsion supplémentaire. Pour compliquer encore le système, le Dominant a installé des pinces à seins sur les mamelons de l’esclave N° 7 reliés directement par deux chainettes à ceux de « rob » qui a été équipée des mêmes pinces, ce qui fait que si l’esclave avait le malheur de pousser trop fort la soumise, la tension sur les seins des deux femelles deviendrait presque insupportable et serait suffisante pour les retenir l’une à l’autre. Si à l’inverse, 7 ne pousse pas assez fort, cela ne permet pas de maintenir l’oscillation jusqu’à ce que « rob » puisse enfin arriver à attraper le « pénis-poisson-anguille » dans ce simili jeu de pêche à la ligne, et la partie est considérée comme perdue pour les deux dominées. Le dernier gage qui en a résulté avant l’arrivée du Marquis d’Evans était une stimulation presque immédiate des deux femelles à l’aide d’un bâton qui délivre de petites décharges d’électro-play, ce qui n’a pas manqué pas de faire sursauter et crier tant l’une que l’autre, mais le Dominant a choisi depuis le début du jeu de varier les plaisirs-douleurs et les points d’impact de son bâton de petits délices électrisants de faible intensité pour que cela ne devienne pas répétitif et monotone, tout en restant stimulant et excitant, surtout s’il ne veut pas craindre de voir sa queue se ratatiner et ne plus avoir l’allure d’une courte anguille bonne à être pêchée et puis savourée.
Dans les règles du jeu, il a été précisé que la soumise « rob » a le droit d’aider sa partenaire de jeu et de la guider en lui indiquant une meilleure direction, en lui permettant d’adapter la force de poussée, en la prévenant de tout ce qui semble pouvoir aider les deux femelles à la capture de « l’anguille phallique » qui frétille déjà à l’idée de la prochaine succion, et sûrement encore plus à l’idée plus probable du moment où le Magister Kerkuar pourra distribuer un gage supplémentaire, petit bonus dont il est friand à l’idée de voir se trémousser les corps des deux perdantes qui recevront une faible décharge, pas vraiment dangereuse ou hyper-douloureuse mais assez piquante pour pimenter le jeu qui recommence aussi sec lorsque le Dominant se décide à relancer le corps de sa soumise dans une nouvelle ronde infernale de balancements désordonnés. Comme « rob » à la tête renversée vers le bas, elle ne voit pas grand-chose et ne peut pas être d’une grande utilité pour arriver à ses fins, se laissant plus osciller par la force des choses. Elle ne peut même pas se servir de ses mains pour attraper les sangles et se balancer avec car elles ont été collées avec du gros ruban adhésif pour être maintenues fermées et non opérationnelles. La soumise essaye tant bien que mal de viser la queue de celui avec qui elle partage depuis plusieurs mois une relation D/s qui les ravie et va en s’intensifiant de jour en jour. Le Marquis d’Evans regarde d’un air amusé son esclave transformée en fausse canne à pêche à lancer, maladroite dans le noir de sa nuit forcée, mais si désireuse de participer au jeu imposé par le Dominant entre les mains de qui elle a été remise pour la soirée…
(A suivre …)
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans vient de quitter Master Tarvo en compagnie de son esclave-homo thyr. Ce dernier va devoir, en guise de punition imposée par le Châtelain, subir alternativement sous les jeux de lèvres savants de la chienne-esclave N°31 quelques gonflements et dégonflements de son insolente queue qui s’est dressée au moment inopportun, venant offenser, par un spectacle indécent et non autorisé, le Maître des Lieux qui venait de s’approcher de son ami Dominant.
Le Noble continue le tour qu’IL a entrepris du Grand Hall transformé en donjon D/s pour la nuitée très orgiaque qui bat son plein. IL aimerait pouvoir par pure politesse, et surtout par vraie amitié, aller à la rencontre de chacun de Ses Invités, sans oublier personne, mais IL se rend compte que la nuit avance à grands pas. Et pourtant comme IL apprécierait de passer un moment avec chacun de ces Maîtres affirmés ou Dominas de renom qu’IL ne croise pour certains pas si souvent que cela vu la distance géographique qui les séparent, sans parler de tout ce qui retient chacun dans leur vie vanille et leurs diverses obligations au quotidien. De son côté, Monsieur le Marquis d’Evans est toujours très occupé par ses affaires et IL doit jongler pour arriver à s’accorder du temps pour Sa passion D/s qui est vitale pour son bien-être et pour lui permettre d’assouvir ses pulsions dominatrices, pour Ses talents d’écrivain qui lui apportent de bons moments de plaisir à prendre sa plume si réputée pour adresser à ses lecteurs et lectrices assidues de nouvelles aventures toujours si passionnantes, mais aussi pour tous Ses proches et amis qu’IL n’entend pas négliger également accordant une grande place aux relations humaines, sans oublier bien sûr Ses nombreux esclaves du cheptel à qui IL ne peut consacrer autant de temps qu’IL le voudrait pour maintenir avec chacun et chacune une relation de qualité suffisamment nourrie. C’est donc, sans plus attendre, qu’IL s’est empressé de laisser Master Tarvo qui va être occupé à surveiller le comportement de son esclave, mais aussi compagnon dans la vie, qui a été féminisée pour la soirée et déguisée en soubrette.
Le Châtelain aperçoit juste à côté « Magister Kerkuar » un autre Dominant qui vient d’installer sa soumise « rob » sur une « balançoire érotique », une sorte de harnais qui est suspendue à un portique, lui-même retenu pour des raisons de sécurité à un gros câble d’acier qui descend du plafond et empêche tout risque d’écrasement et de basculement. Ledit équipement permet d’installer un soumis, ou une soumise, qui est maintenu(e) en général au niveau du corps, du dos, des fesses ou des jambes par un genre de siège souple qui se compose d’une ou plusieurs bandes en cuir et de nombreuses sangles, assise mobile sur laquelle il/elle est installé(e) et positionné(e) à la hauteur qui convient pour toutes sortes d’utilisations, de pénétrations et de jeux BDSM cinglants ou non. D’autres sangles permettent de maintenir les mains et les jambes plus ou moins écartées avec des barres rigides extensibles ou carrément surélevées pour faciliter l’accès du Dominant et de Ses instruments D/s au niveau de toute la zone génitale, anale pour les deux, et également vaginale pour les soumises. L’esclave mâle ou femelle se trouve ainsi largement à la merci du Dominant, dans l’incapacité de bouger autre que par balancement, avec les parties intimes exposées et les orifices totalement offerts, afin de pouvoir être excité, forcé, godé, pénétré. Si les fessées sont difficilement de la partie avec ce type d’équipement, il est néanmoins possible de venir faire rougir la partie de l’intérieur des cuisses qui est une zone très sensible, voir de venir titiller de petits coups de cravache ou de martinets toute la partie sexuelle des grandes lèvres, de l’anus et du clitoris pour les chiennes-esclaves, et pour les mâles des testicules et du sexe, encagé ou non. Le Dominant qui vient de voir approcher le Maître des Lieux l’interpelle.
- Monsieur le Marquis d’Evans, très cher ami de toujours. Permettez-moi de Vous féliciter pour cette merveilleuse soirée et nuitée que Vous nous offrez. Il n’y a que Vous qui savez si bien Vous y entendre pour organiser des soirées BDSM de si grande qualité, où tant de Dominants et de dominés peuvent donner libre cours à leurs petits plaisirs partagés pour toujours plus de sensualité, de plaisirs et de pure D/s bien évidemment.
- Cher Magister Kerkuar, c’est moi qui vous remercie à Mon tour d’être parmi nous. Vous avez ce soir l’air totalement radieux avec un œil pétillant de joie et de perversité. Cela fait plaisir à voir, car vous savez bien combien j’aime savoir mes amis et amies heureux, et encore plus lorsqu’ils ont la verge haute. En approchant, j’ai même cru entendre de vrais éclats de rires qui me laissent à penser que le petit jeu D/s en cours doit vous être très plaisant. Mon esclave-femelle que j’aperçois toute en dorée vous donne-t-elle toute satisfaction ? Il m’a semblé, mais je ne pourrais l’affirmer que c’était elle qui criait au moment où je vous ai aperçu. Si c’était le cas, je ne saurais souffrir qu’elle vous manque de respect et qu’elle ne subisse pas ce que vous lui imposeriez dans le plus grand silence, à moins que vous ne l’ayez autorisé à s’exprimer, si vous prenez plaisir à l’entendre brailler. Je vous précise que les dessertes qui garnissent ce donjon improvisé ne manquent pas de bâillons de toutes sortes pour faire taire ces pies-bavardes lorsqu’elles se mettent à couiner sans raison ou sans autorisation.
- Très Cher Marquis, ne vous inquiétez pas. Votre chienne-femelle N°7 est parfaite dans le rôle que je lui ai assigné. Nous jouons à un « jeu d’adresse » si je puis dire, un genre de pêche à la ligne mais sans les mains et sans grand péché également. Et donc, la canne à pêche est Votre esclave 7, l’appât qui pend au bout de l’hameçon est ma petite « rob » et le poisson à attraper au lancer n’est autre que ma queue, récompense suprême, juste qu’elle est plus dure et moins longue qu’une anguille, mais conforme à ce que l’on peut attendre d’un appendice phallique bien membré. Quant à savoir si je serai « pécheur » dans cette mise en scène, pouvant difficilement être à la fois poisson et pêcheur ! Disons que je ne saurai Vous répondre sans jouer sur les mots.
Le Dominant se met à rire de concert avec Monsieur le Marquis d’Evans, avant même de poursuivre.
- Très Cher Marquis, Vous savez, j’apprécie toujours les soirées réputées qui se passent entre Vos murs légendaires, car je sais que le matériel sophistiqué que l’on y trouve est toujours sécurisé et de bonne fabrication. Il y a longtemps que j’avais eu dans l’idée d’installer ainsi ma nouvelle soumise, mais j’ai toujours craint qu’elle ne tombe si la chaise-ceinture et les sangles n’étaient pas assez solides pour supporter son poids, sans parler des attaches en plafond qui pourraient tout simplement céder, ce qui serait catastrophique. Il n’est pas question que ma soumise se fasse mal par ma faute, car elle est sous ma protection. Et puis, vous connaissez depuis le début mon faible pour les femmes largement plantureuses XXL à la poitrine généreuse. Je laisse aux autres amateurs les poupées mannequins à la taille fine, moi je préfère quand j’ai de la consistance à me mettre sous les mains et entre les cuisses, ce qui n’est pas toujours évident pour la réalisation de nos jeux D/s car, même si je ne manque pas d’imagination, je trouve peu d’équipements adaptés grandes tailles dans le commerce.
- Cher Ami, Vous pouvez y aller sans crainte, cet appareillage est solide, et il peut s’adapter à toutes les tailles pour femelle et mâles également, avec en outre la possibilité de pouvoir être déplacé, même si cela n’est pas aisé à cause des lests qui stabilisent et retiennent les pieds non fixés au sol. En tout cas, je peux vous assurer que j’y ai souvent installé moi-même dans Mon donjon quelques chiens-esclaves bien charpentés qui n’étaient pas des plus légers et j’avais aussi envie de pouvoir les balancer en toute sécurité. Quant aux nombreuses chaînes qui pendent des plafonds dans toute la demeure de mes illustres ancêtres, leur solidité a été testée pour pouvoir résister à n’importe quel jeu, élongation ou bondage en suspension. Ce Château est ancien de par ses murs et son histoire D/s dure depuis plusieurs générations. Je l’ai transformé en un véritable lieu moderne dévoué à la Domination/soumission car c’est une passion dont je ne pourrai jamais me passer depuis que j’y ai gouté dans Mon jeune âge… On me dit d’ailleurs, que je tiens cette passion de mes aïeux et tout particulièrement passion qu’entretenait mon aïeul le Marquis Charles-Edouard d’Evans qui, faut-il le rappeler, était l’ami et contemporain au Marquis de Sade ! …
Reprenant son souffle, le Noble Châtelain poursuit :
- Il y a un tel plaisir à se sentir Dominant adulé par tant de soumis et soumises qui ne demandent qu’à me servir loyalement pour Mon bon plaisir avant tout qu’il me serait difficile de résister et d’aller à l’encontre de ma nature profonde. Ceci dit, cela ne fait pas de moi un simple profiteur qui abuserait de la situation et des dominé(e)s librement asservi(e)s, car cela engage Ma responsabilité et Mon honneur de pouvoir apporter à chacun et chacune, prudence et bienveillance, tout autant que Dominance et Exigence. Mais, je ne suis pas là pour vous faire un cours sur la D/s vue sainement, car je sais que nous partageons sans nul doute la même philosophie quant à notre rôle de Maître et les pouvoirs et devoirs qui sont les nôtres. Cette soirée est festive avant tout, et même orgiaque au possible. Amusez-vous donc tout à votre aise, Cher Magister Kerkuar !
Contrairement à l’utilisation la plus courante de cette installation, où le dominé est assis, plus ou moins couché ou incliné sur le morceau de cuir qui lui sert d’assise, pouvant alors être pénétré avec des oscillations plus profondes et rythmées par les balancements des courroies d’attache que peut manipuler tout à sa guise le Dominant, la soumise « rob » a été installée la tête en bas et les pieds en l’air. Elle a tout le dos qui repose sur une large assise en cuir qui constitue la partie centrale de la balançoire, ses jambes sont maintenus écartées, retenues par une barre d’écartement et elles sont relevées à environ 45°. Son sexe et entrecuisse très en l’air presque à une hauteur de 1m50 du niveau du sol, le cul et la chatte largement béants et exposés, « rob » a la tête en bas et même carrément renversée en arrière. Juste en face, derrière la balançoire érotique se trouve l’esclave-femelle N°7 qui a les yeux bandés et qui se tient debout, sans bouger et sans rien voir de ce qui se passe. Elle a les mains attachées dans le dos, ce qui perturbe un peu son sens de l’équilibre dans le noir de son bandeau. Magister Kerkuar retient sa soumise d’une main posée sous la nuque, pour qu’elle ne peine pas trop au niveau des cervicales tandis qu’il prend le temps de converser avec le Châtelain. La tête de la soumise et plus exactement sa bouche arrive juste au niveau de la braguette du Dominant qu’il a ouvert en début de partie de jeu pour extirper du boxer un phallus conséquent qui emplie largement la bouche écartelée de « rob ».
- Voudriez-vous voir, cher Marquis, ce qui déclenchait mon hilarité avant votre arrivée ? La petite pointe de perversité qui vient pigmenter notre jeu, où je ne peux être que gagnant à tous les coups, car c’est le principe de base que j’ai instauré puisque je n’aime pas perdre. Je vais vous en faire la démonstration sans plus attendre.
Le Dominant relâche la tête de sa soumise qui avait la bouche grande ouverte et qui encerclait le sexe déjà bien dur de Magister Kerkuar qu’elle léchait et suçait avec volupté. Il la repousse vers l’arrière d’un geste de la main, la faisant se balancer vers l’arrière, mais sans grande force juste assez pour qu’elle commence à osciller suspendue dans son harnais de sécurité. Elle vient heurter l’esclave N°7 en face dont la tête s’engouffre entre les cuisses de « rob » venant en butée, avant de repartir vers l’avant à la rencontre du Dominant. L’oscillation allant en diminuant, la soumise installée sur la balançoire perd de l’amplitude à chaque aller et retour. Le but du jeu consiste à ce que la soumise qui est à la bonne hauteur de la queue du Maître, puisse à nouveau lui permettre de venir s’engouffrer dans son gosier avide de pénétrations.
L’esclave N°7 a la possibilité de relancer le jeu, sans bouger de place cependant, en s’aidant de la tête pour pousser la soumise au niveau de l’entrecuisse et du sexe, afin de lui donner un peu plus de chance d’atteindre son but, mais comme elle a les yeux bandés, elle ne peut savoir si elle pousse vraiment dans la bonne direction, et surtout elle ne peut anticiper le moment où le sexe béant de « rob » viendra à sa rencontre, se laissant la plupart du temps surprendre par celle dont la chatte lui atterri carrément en pleine face et n’ayant pas le temps de réagir pour relancer en donnant une impulsion supplémentaire. Pour compliquer encore le système, le Dominant a installé des pinces à seins sur les mamelons de l’esclave N° 7 reliés directement par deux chainettes à ceux de « rob » qui a été équipée des mêmes pinces, ce qui fait que si l’esclave avait le malheur de pousser trop fort la soumise, la tension sur les seins des deux femelles deviendrait presque insupportable et serait suffisante pour les retenir l’une à l’autre. Si à l’inverse, 7 ne pousse pas assez fort, cela ne permet pas de maintenir l’oscillation jusqu’à ce que « rob » puisse enfin arriver à attraper le « pénis-poisson-anguille » dans ce simili jeu de pêche à la ligne, et la partie est considérée comme perdue pour les deux dominées. Le dernier gage qui en a résulté avant l’arrivée du Marquis d’Evans était une stimulation presque immédiate des deux femelles à l’aide d’un bâton qui délivre de petites décharges d’électro-play, ce qui n’a pas manqué pas de faire sursauter et crier tant l’une que l’autre, mais le Dominant a choisi depuis le début du jeu de varier les plaisirs-douleurs et les points d’impact de son bâton de petits délices électrisants de faible intensité pour que cela ne devienne pas répétitif et monotone, tout en restant stimulant et excitant, surtout s’il ne veut pas craindre de voir sa queue se ratatiner et ne plus avoir l’allure d’une courte anguille bonne à être pêchée et puis savourée.
Dans les règles du jeu, il a été précisé que la soumise « rob » a le droit d’aider sa partenaire de jeu et de la guider en lui indiquant une meilleure direction, en lui permettant d’adapter la force de poussée, en la prévenant de tout ce qui semble pouvoir aider les deux femelles à la capture de « l’anguille phallique » qui frétille déjà à l’idée de la prochaine succion, et sûrement encore plus à l’idée plus probable du moment où le Magister Kerkuar pourra distribuer un gage supplémentaire, petit bonus dont il est friand à l’idée de voir se trémousser les corps des deux perdantes qui recevront une faible décharge, pas vraiment dangereuse ou hyper-douloureuse mais assez piquante pour pimenter le jeu qui recommence aussi sec lorsque le Dominant se décide à relancer le corps de sa soumise dans une nouvelle ronde infernale de balancements désordonnés. Comme « rob » à la tête renversée vers le bas, elle ne voit pas grand-chose et ne peut pas être d’une grande utilité pour arriver à ses fins, se laissant plus osciller par la force des choses. Elle ne peut même pas se servir de ses mains pour attraper les sangles et se balancer avec car elles ont été collées avec du gros ruban adhésif pour être maintenues fermées et non opérationnelles. La soumise essaye tant bien que mal de viser la queue de celui avec qui elle partage depuis plusieurs mois une relation D/s qui les ravie et va en s’intensifiant de jour en jour. Le Marquis d’Evans regarde d’un air amusé son esclave transformée en fausse canne à pêche à lancer, maladroite dans le noir de sa nuit forcée, mais si désireuse de participer au jeu imposé par le Dominant entre les mains de qui elle a été remise pour la soirée…
(A suivre …)
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