La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 373)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 373)
Suite de l'épisode précédent N°372 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –
L’esclave N° 7 a reconnu la voix du Maître Vénéré et elle essaye de s’appliquer encore plus dans sa tâche depuis qu’elle se sait sous le regard directif du Maître. Aidée par le son des deux voix des Dominants qui conversent, elle reste attentive au plus petit bruit ou mouvement d’air lui annonçant l’arrivée de « rob » afin de pouvoir la recevoir et la renvoyer dans la bonne direction d’un mouvement de front ou de menton suivant l’impact. Elle se doute que le Marquis d’Evans est en train de la regarder faire ou essayer de faire au mieux. Une grande excitation la gagne, lui parcourant le corps pour venir éclore dans son bas-ventre humide, de se savoir ainsi regardée, non pas comme étant le centre d’intérêt qui reste le tandem D/s qu’elle accompagne, mais comme étant un facilitateur du jeu entre le Dominant et Sa soumise qu’ils ont l’air d’apprécier tant l’Un que l’autre, même si « rob » commence à avoir un peu de mal à poursuivre avec énergie à force d’avoir la tête en bas. La soumise oublie cependant, en les mettant de côté, les désagréments de la position inversée imposée, car il y a si longtemps qu’elle rêvait de pouvoir utiliser ce genre de sangles en suspension, ayant pendant longtemps craint de se laisser ainsi immobilisée en l’air, en particulier eu égard à sa morphologie XXL, au risque de tomber et de se fracasser quelque chose. Elle avait imaginé une autre scène dans laquelle elle aurait été pénétrée par l’un ou l’autre de ses orifices intimes, pouvant venir s’empaler ou s’embrocher sur le sexe de celui à qui elle a accepté d’appartenir. Mais, elle apprécie aussi de savoir que Magister Kerkuar reste bien le Dominant qu’elle a toujours espéré, ne cédant pas toujours directement et encore moins immédiatement à ses désirs de soumise, mais bien cherchant toujours à déterminer ses vrais besoins pour lui permettre d’aller plus loin et de vivre pleinement sa soumission dans un abandon de plus en plus grand.
- Très Cher Monsieur le Marquis, me feriez-vous l’honneur de relancer la partie, pour savoir si ce prochain lancer de canne à pêche sera plus fructueux que le précédent. Le moins que je puisse dire, c’est que ma soumise trouve du plaisir à voler dans les airs, toute légère et si allégée, ayant vaincu l’apesanteur et aussi son appréhension, car elle a la chatte dégoulinante de cyprine. Elle en colle partout sur la figure de votre esclave qui ne bronche pas et semble même apprécier les odeurs et sucs féminins de ma bien-aimée nouvelle soumise.
- Cher Magister Kerkuar, il ne manquerait plus que Mon esclave trouve à redire à une situation des plus agréables à vivre que de se voir le museau et tout le visage barbouillé de cyprine onctueuse et si fraichement produite grâce à une excitation féminine qui fait toujours plaisir à voir. Cela permet à Ma chienne-femelle d’avoir droit à un soin gratuit, encore meilleur pour la peau et la bonne humeur que toutes les crèmes avec lesquelles une esthéticienne pourrait vouloir la tartiner. En vous voyant ainsi jouer avec ces deux femelles, je vous trouve tout à votre aise, une âme guilleret qui retrouve les plaisirs de l’enfance jouant à la balançoire, mais une coquinerie perverse d’adulte qui agrémente ce qui devient un jeu exclusivement D/s en somme. Il me revient en tête une chanson d’opérette, qui disait quelque chose comme cela : « Poussez, poussez l’escarpolette »
- Oui, Vous avez raison, Monsieur le Marquis, c’est le duo de l’opérette « Véronique ». J’ai l’air en tête qui me revient et qui ne va plus me quitter de la soirée maintenant.
Et comme s’il fredonnait l’air en même temps, Magister Kerkuar entonne : « Mais en attendant, en attendant ….. poussez, poussez l’escarpolette, poussez pour mieux me balancer, si ça me tourne un peu la tête, tant pis, tant mieux, je veux recommencer, recommencer ». Le Marquis d’Evans se dit qu’IL ne va pas pouvoir rester là à écouter tous ces airs, pourtant forts mélodieux, car IL doit reprendre la tournée de ses amis et s’apprêtant à partir, IL ajoute :
- Vous voila bien parti, très cher ami, pour pousser encore pendant un petit bout de temps votre soumise qui a l’air d’aimer le fait de se laisser balancer, un peu moins de recevoir vos punitions quand elle rate son coup et n’arrive pas à appâter Votre queue du bout des lèvres. Il vous faudra lui apprendre à être plus sage en acceptant les gages de bon aloi ! Quant à moi, Je ne vais pas pouvoir m’attarder plus longtemps à vos côtés, car je voudrais saluer encore plusieurs de Mes invités. Mais, que pourrais-je vous souhaiter de mieux, si ce n’est de laisser votre « anguille » mordre à l’hameçon et votre queue se trouver bien au chaud assez vite à plonger dans la profondeur de la gorge de votre soumise, qui au demeurant à l’air fort jolie si bien en chair et déjà très bien dressée pour une nouvelle ?
- « Bien dressée », ne le dites pas trop vite, Monsieur le Marquis, cette soumise est encore très novice, et je ne voudrais pas qu’elle se prenne la grosse tête à avoir trop vite des compliments élogieux. J’ai encore beaucoup de chemin à parcourir pour en faire une soumise accomplie, mais je pense qu’elle me donnera au fil des semaines de plus en plus de satisfactions et de plaisirs.
- Cher ami, serait-il indiscret de vous demander des nouvelles de votre précédente soumise « douchka » qui avait l’habitude de vous accompagner dans toutes les soirées D/s où nous nous sommes croisés. Auriez-vous dû mettre un terme à cette relation D/s après tant d’années passées à la Dominer avec savoir-faire de votre part et docilité de la sienne ?
- Aucune indiscrétion à craindre, Monsieur le Marquis, je suis même sensible et touché de voir que Vous avez gardé le souvenir de ma si douce « douchka » qui m’est toujours aussi fidèle. Des contraintes professionnelles l’ont empêchée de pouvoir se libérer car elle est en déplacement professionnel pour trois semaines aux Etats-Unis. Ah, ces contraintes de la vie vanille que nous devons subir, tout Dominant que nous sommes, mais comment faire autrement ! C’est pour cela que j’ai pu amener ce soir avec moi sa toute nouvelle sœur de soumission « rob ». J’ai d’ailleurs failli à tous mes devoirs en omettant de Vous présenter celle qui est mon tout nouvel animal humain de compagnie. Je l’ai croisé tout à fait par hasard dans une exposition d’un jeune peintre de mes amis qui vient tout comme moi d’Albanie. Ma « douchka » m’accompagnait et sans doute a-t-elle prononcé mon nom de Dominant un peu fort. Le fait est, que cette jeune personne l’a entendu m’appeler « Maître kerkuar » et qu’elle a reconnu un mot familier de sa langue qui veut dire « exigeant », mais sans que cela ait pu éveiller en elle quoique que ce soit de plus sur la symbolique du nom que je me suis approprié dans le milieu BDSM.
Le Dominant reprend sa respiration et en profite pour relancer sa soumise pour une nouvelle série de balancements.
- Cette jeune inconnue a eu le courage de m’aborder et de me demander si nous étions compatriotes, me précisant en outre qu’elle avait remarqué l’attitude particulièrement en retrait et effacée de la jeune femme qui m’accompagnait et qui gardait les yeux baissés au lieu de contempler les magnifiques œuvres de ce jeune peintre si talentueux, se demandant si cela ne signifiait pas qu’elle avait l’air de profondément s’ennuyer et de ne pas apprécier les toiles de celui qui n’était autre que son frère, qu’elle avait enfin décidé de rejoindre en France, avec la ferme intention de rester dans ce pays plus moderne que celui dont elle était originaire. Nous avons très vite lié connaissance et je n’ai pas tardé à desceller en elle des dispositions à la soumission malgré son côté sauvage qui a besoin d’une vraie éducation et de limites claires, dévoilant très vite mon appartenance au milieu BDSM dans lequel nous nous sentons tous à notre aise. Je lui ai fait porter son premier collier et je l’ai baptisé « rob » qui chez nous veut dire « esclave » car j’espère bien qu’elle pourra devenir celle qu’elle souhaite être pour moi, avec la sensibilité que je commence à découvrir en elle mais aussi toute une sensualité féminine qui ne demande qu’à éclore et à être Maîtrisée de mains de Maître.
- Je ne peux que vous le souhaiter très ami, il n’y a rien de plus beau pour le Dominant que je suis que de voir un nouveau tandem Maître/soumise se former, car je pense que Vous connaissez ma devise qui précise que « Si la femme est l’avenir de l’homme, la soumise est l’avenir du Maître ».
Magister Kerkuar se rapproche du Châtelain, comme s’il voulait lui parler à messes basses sans risquer d’être entendu et il ajoute :
- Je dois Vous avouer, Monsieur le Marquis, que j’ai par contre un peu de mal à gérer la jalousie entre mes deux femelles qui n’ont guère entre elles, comme on dit, les atomes crochus. Je me demande toujours comment Vous arrivez à maintenir l’harmonie au sein de Votre cheptel-harem si fourni car si la jalousie peut produire parfois une certaine émulation, elle me semble avant tout dévastatrice tant pour les soumises envieuses les unes des autres finissant par s’intéresser plus à leurs querelles intestines qu’au bien-être du Dominant que chacune est censée vouloir servir de toute son âme, sans parler que c’est affligeant pour un Dominant d’avoir à gérer des conflits humains de cette nature qui sont loin d’être une source de plaisirs à son niveau et qui n’engendre que désapprobations et punitions. En tout cas, nos premières semaines de cette relation multiple furent houleuses car ma « douchka » avait le sentiment de perdre sa place et que je l’abandonnais ou ne lui reconnaissais plus le titre et la place qu’elle avait à mes pieds, mais cela a fini par se tasser un peu, ou du moins je l’espère, même si je sais que « rob » de son côté, même si elle s’en défend ouvertement, a eu plus ou moins dans l’idée de supplanter sa rivale vétérane qui pourtant la surpasse largement en docilité et soumission. Enfin, j’ai voulu me lancer dans l’expérience d’un Maître avec deux soumises et il est normal que je me trouve confronté à un nouveau défi qu’il me faudra bien apprendre à gérer, ce qui n’est pas non plus inintéressant à vivre sur un plan purement humain.
Le Châtelain se penche à l’oreille de son ami pour lui répondre.
- Je ne sais pas si cette soirée est l’endroit approprié pour évoquer ce genre de questions. Je vous propose que nous en discutions plus avant, soit de visu, soit par téléphone, mais en d’autres temps, car la soirée n’a pas besoin d’être gâchée par des discussions de fond, furent-elles pratiques et non existentielles. Mais ce n’est que partie remise et ce sera avec joie, si mes conseils en la matière peuvent vous éclairer et vous être d’une quelconque utilité. Mais pour l’instant, je pense que « votre anguille phallique » a surtout besoin de frétiller à l’air libre (« à la mer libre » je devrais dire pour poursuivre dans votre métaphore si charmante) et que votre corps et surtout votre verge n’ont sûrement pas envie de sentir votre cerveau en pleine ébullition « métapsychique ». Je vous laisse donc à votre agréable partie de pêche et vous « absous de tous pêchés » car en Mon Château, la fornication et la Domination sont considérés comme de vrais plaisirs, ayant cours dans la luxure hédoniste, reconnus comme nous apportant les meilleurs bienfaits physiques et psychiques, que ce soit pour les Dominants que nous sommes, mais également pour tous les dominés dont nous avons la propriété et la garde.
Le Marquis d’Evans incline très légèrement la tête en signe d’au revoir, et juste avant de s’éloigner, il attrape l’une des épaules de la soumise « « rob » qu’il lance avec un peu plus d’énergie à l’encontre de Son esclave N° 7, qui manque presque de trébucher en recevant en pleine figure une chatte humide de plus en plus excitée et gonflée.
- Ma chienne 7, attrape ! Et tache de bien viser à ton tour cette fois, car il y a une queue turgescente qui ne demande qu’à être prise sans trop attendre.
Est-ce parce que le premier lancer de cette nouvelle partie fut effectué par Monsieur le Marquis d’Evans en personne, ou sans autre raison que le fruit du hasard, le fait est que l’esclave 7, un peu étourdie après le premier impact de « rob », mais un peu plus dans la partie lorsque la soumise lui est revenue à nouveau dans la figure au deuxième aller-retour beaucoup mieux maîtrisé, a pu renvoyer, avec toute l’énergie nécessaire, force et précision, la soumise « rob » et son harnais-balançoire, et ce d’un grand coup de mâchoire qui n’a pas manqué de surprendre celle qui flottant dans l’air, se sent presque manipulée comme une marionnette donc quelqu’un agiterait dans tous les sens les fils.
« rob » ouvre grand la bouche et les yeux pour aller à la rencontre de la queue du Magister Kerkuar qu’elle distingue difficilement mais elle arrive néanmoins cette fois-ci à viser et à la laisser s’engouffrer au fond de sa bouche. A peine le sexe a-t’il envahi toute la cavité buccale, que « rob » s’empresse de refermer ses lèvres fermement sur le phallus qui a pris possession d’elle, afin de pouvoir se maintenir accroché à lui, juste en l’ayant en bouche attrapé par son extrémité virile. « rob » est attirée sous l’effet de la pesanteur qui a tendance à vouloir la ramener dans une position médiane, mais en même temps l’esclave-soumise s’accroche comme elle peut de toute la force de se lèvres qu’elle maintient fermées pour restée agrippée sur « l’anguille phallique » cette fois-ci enfin correctement ferrée. Le Dominant salue à son tour le Châtelain en le regardant s’éloigner.
- Bien à vous, Cher Marquis ! Quant à moi, je crois que je viens de me faire prendre à l’hameçon et qu’il va me falloir changer de jeu. Merci encore et bonne fin de nuitée à Vous.
Le Dominant se retourne vers sa soumise dont il a attrapé la tête tant pour la soutenir et l’aider dans cette position dont il se doute qu’elle a quand même du finir par devenir contraignante et épuisante, et il ajoute :
- Bon, les chiennes, c’est bon ! Vous avez bien fini par m’attraper par la queue, même si je ne suis pas une souris verte !... Mais plus de gage, cette fois, un vrai petit plaisir bien mérité en récompense. esclave 17 approche-toi de moi, fais trois pas en avant après t’être décalée sur la droite de deux enjambées.
Le Dominant défait les mains de l’esclave et lui ôte également son bandeau.
- Tu vas m’aider à faire descendre ma « rob » de son fauteuil car à force elle va avoir tout le sang à la tête et il est temps de lui faire reprendre ses esprits à l’endroit. Je vais aller m’installer sur un canapé douillet, pour que ma soumise puisse me sucer tout à son aise et me faire jouir tandis que je lui baiserais la bouche. Toi, l’esclave, tu pourras pendant ce temps-là lui lécher la chatte, les lèvres, le clito, le con et le cul, en bref tout ce qu’il y a de bon à lécher chez une femelle. Tu seras la perdante de l’histoire, car il n’y aura personne pour te donner du plaisir et t’autoriser à en prendre, mais je pense que vu que tu es une des esclaves du cheptel du Marquis d’Evans qui est dressée pour se réjouir avant tout de la satisfaction du Maître des Lieux, tu ne trouveras rien à redire au fait qu’il y a sur Terre toujours des Dominants faits pour dominer et des dominés faits pour être dominés.
L’esclave N°17 s’incline profondément devant le Dominant qu’elle doit servir pour la soirée et auquel elle doit obéir en tous points, sur ordre du Maître Vénéré qui gouverne sur sa vie et qu’elle tient à satisfaire avant tout, comme la si bien souligné le Dominant. Elle assiste le Magister Kerkuar qui fait doucement descendre vers une réalité plus terrestre et surtout plus pesante sa soumise « rob » qui n’attend plus qu’une chose, c’est de pouvoir venir s’engouffrer entre les cuisses de celui qui lui a fait découvrir les plaisirs D/s et sa nature de soumise, afin de pouvoir tout à son aise à l’endroit, le lécher, le sucer, l’aspirer, et le laisser se répandre en elle, suprême récompense au terme de ce jeu de partie de pêche, où elle a vu le monde se balancer à l’envers…
(A suivre …)
L’esclave N° 7 a reconnu la voix du Maître Vénéré et elle essaye de s’appliquer encore plus dans sa tâche depuis qu’elle se sait sous le regard directif du Maître. Aidée par le son des deux voix des Dominants qui conversent, elle reste attentive au plus petit bruit ou mouvement d’air lui annonçant l’arrivée de « rob » afin de pouvoir la recevoir et la renvoyer dans la bonne direction d’un mouvement de front ou de menton suivant l’impact. Elle se doute que le Marquis d’Evans est en train de la regarder faire ou essayer de faire au mieux. Une grande excitation la gagne, lui parcourant le corps pour venir éclore dans son bas-ventre humide, de se savoir ainsi regardée, non pas comme étant le centre d’intérêt qui reste le tandem D/s qu’elle accompagne, mais comme étant un facilitateur du jeu entre le Dominant et Sa soumise qu’ils ont l’air d’apprécier tant l’Un que l’autre, même si « rob » commence à avoir un peu de mal à poursuivre avec énergie à force d’avoir la tête en bas. La soumise oublie cependant, en les mettant de côté, les désagréments de la position inversée imposée, car il y a si longtemps qu’elle rêvait de pouvoir utiliser ce genre de sangles en suspension, ayant pendant longtemps craint de se laisser ainsi immobilisée en l’air, en particulier eu égard à sa morphologie XXL, au risque de tomber et de se fracasser quelque chose. Elle avait imaginé une autre scène dans laquelle elle aurait été pénétrée par l’un ou l’autre de ses orifices intimes, pouvant venir s’empaler ou s’embrocher sur le sexe de celui à qui elle a accepté d’appartenir. Mais, elle apprécie aussi de savoir que Magister Kerkuar reste bien le Dominant qu’elle a toujours espéré, ne cédant pas toujours directement et encore moins immédiatement à ses désirs de soumise, mais bien cherchant toujours à déterminer ses vrais besoins pour lui permettre d’aller plus loin et de vivre pleinement sa soumission dans un abandon de plus en plus grand.
- Très Cher Monsieur le Marquis, me feriez-vous l’honneur de relancer la partie, pour savoir si ce prochain lancer de canne à pêche sera plus fructueux que le précédent. Le moins que je puisse dire, c’est que ma soumise trouve du plaisir à voler dans les airs, toute légère et si allégée, ayant vaincu l’apesanteur et aussi son appréhension, car elle a la chatte dégoulinante de cyprine. Elle en colle partout sur la figure de votre esclave qui ne bronche pas et semble même apprécier les odeurs et sucs féminins de ma bien-aimée nouvelle soumise.
- Cher Magister Kerkuar, il ne manquerait plus que Mon esclave trouve à redire à une situation des plus agréables à vivre que de se voir le museau et tout le visage barbouillé de cyprine onctueuse et si fraichement produite grâce à une excitation féminine qui fait toujours plaisir à voir. Cela permet à Ma chienne-femelle d’avoir droit à un soin gratuit, encore meilleur pour la peau et la bonne humeur que toutes les crèmes avec lesquelles une esthéticienne pourrait vouloir la tartiner. En vous voyant ainsi jouer avec ces deux femelles, je vous trouve tout à votre aise, une âme guilleret qui retrouve les plaisirs de l’enfance jouant à la balançoire, mais une coquinerie perverse d’adulte qui agrémente ce qui devient un jeu exclusivement D/s en somme. Il me revient en tête une chanson d’opérette, qui disait quelque chose comme cela : « Poussez, poussez l’escarpolette »
- Oui, Vous avez raison, Monsieur le Marquis, c’est le duo de l’opérette « Véronique ». J’ai l’air en tête qui me revient et qui ne va plus me quitter de la soirée maintenant.
Et comme s’il fredonnait l’air en même temps, Magister Kerkuar entonne : « Mais en attendant, en attendant ….. poussez, poussez l’escarpolette, poussez pour mieux me balancer, si ça me tourne un peu la tête, tant pis, tant mieux, je veux recommencer, recommencer ». Le Marquis d’Evans se dit qu’IL ne va pas pouvoir rester là à écouter tous ces airs, pourtant forts mélodieux, car IL doit reprendre la tournée de ses amis et s’apprêtant à partir, IL ajoute :
- Vous voila bien parti, très cher ami, pour pousser encore pendant un petit bout de temps votre soumise qui a l’air d’aimer le fait de se laisser balancer, un peu moins de recevoir vos punitions quand elle rate son coup et n’arrive pas à appâter Votre queue du bout des lèvres. Il vous faudra lui apprendre à être plus sage en acceptant les gages de bon aloi ! Quant à moi, Je ne vais pas pouvoir m’attarder plus longtemps à vos côtés, car je voudrais saluer encore plusieurs de Mes invités. Mais, que pourrais-je vous souhaiter de mieux, si ce n’est de laisser votre « anguille » mordre à l’hameçon et votre queue se trouver bien au chaud assez vite à plonger dans la profondeur de la gorge de votre soumise, qui au demeurant à l’air fort jolie si bien en chair et déjà très bien dressée pour une nouvelle ?
- « Bien dressée », ne le dites pas trop vite, Monsieur le Marquis, cette soumise est encore très novice, et je ne voudrais pas qu’elle se prenne la grosse tête à avoir trop vite des compliments élogieux. J’ai encore beaucoup de chemin à parcourir pour en faire une soumise accomplie, mais je pense qu’elle me donnera au fil des semaines de plus en plus de satisfactions et de plaisirs.
- Cher ami, serait-il indiscret de vous demander des nouvelles de votre précédente soumise « douchka » qui avait l’habitude de vous accompagner dans toutes les soirées D/s où nous nous sommes croisés. Auriez-vous dû mettre un terme à cette relation D/s après tant d’années passées à la Dominer avec savoir-faire de votre part et docilité de la sienne ?
- Aucune indiscrétion à craindre, Monsieur le Marquis, je suis même sensible et touché de voir que Vous avez gardé le souvenir de ma si douce « douchka » qui m’est toujours aussi fidèle. Des contraintes professionnelles l’ont empêchée de pouvoir se libérer car elle est en déplacement professionnel pour trois semaines aux Etats-Unis. Ah, ces contraintes de la vie vanille que nous devons subir, tout Dominant que nous sommes, mais comment faire autrement ! C’est pour cela que j’ai pu amener ce soir avec moi sa toute nouvelle sœur de soumission « rob ». J’ai d’ailleurs failli à tous mes devoirs en omettant de Vous présenter celle qui est mon tout nouvel animal humain de compagnie. Je l’ai croisé tout à fait par hasard dans une exposition d’un jeune peintre de mes amis qui vient tout comme moi d’Albanie. Ma « douchka » m’accompagnait et sans doute a-t-elle prononcé mon nom de Dominant un peu fort. Le fait est, que cette jeune personne l’a entendu m’appeler « Maître kerkuar » et qu’elle a reconnu un mot familier de sa langue qui veut dire « exigeant », mais sans que cela ait pu éveiller en elle quoique que ce soit de plus sur la symbolique du nom que je me suis approprié dans le milieu BDSM.
Le Dominant reprend sa respiration et en profite pour relancer sa soumise pour une nouvelle série de balancements.
- Cette jeune inconnue a eu le courage de m’aborder et de me demander si nous étions compatriotes, me précisant en outre qu’elle avait remarqué l’attitude particulièrement en retrait et effacée de la jeune femme qui m’accompagnait et qui gardait les yeux baissés au lieu de contempler les magnifiques œuvres de ce jeune peintre si talentueux, se demandant si cela ne signifiait pas qu’elle avait l’air de profondément s’ennuyer et de ne pas apprécier les toiles de celui qui n’était autre que son frère, qu’elle avait enfin décidé de rejoindre en France, avec la ferme intention de rester dans ce pays plus moderne que celui dont elle était originaire. Nous avons très vite lié connaissance et je n’ai pas tardé à desceller en elle des dispositions à la soumission malgré son côté sauvage qui a besoin d’une vraie éducation et de limites claires, dévoilant très vite mon appartenance au milieu BDSM dans lequel nous nous sentons tous à notre aise. Je lui ai fait porter son premier collier et je l’ai baptisé « rob » qui chez nous veut dire « esclave » car j’espère bien qu’elle pourra devenir celle qu’elle souhaite être pour moi, avec la sensibilité que je commence à découvrir en elle mais aussi toute une sensualité féminine qui ne demande qu’à éclore et à être Maîtrisée de mains de Maître.
- Je ne peux que vous le souhaiter très ami, il n’y a rien de plus beau pour le Dominant que je suis que de voir un nouveau tandem Maître/soumise se former, car je pense que Vous connaissez ma devise qui précise que « Si la femme est l’avenir de l’homme, la soumise est l’avenir du Maître ».
Magister Kerkuar se rapproche du Châtelain, comme s’il voulait lui parler à messes basses sans risquer d’être entendu et il ajoute :
- Je dois Vous avouer, Monsieur le Marquis, que j’ai par contre un peu de mal à gérer la jalousie entre mes deux femelles qui n’ont guère entre elles, comme on dit, les atomes crochus. Je me demande toujours comment Vous arrivez à maintenir l’harmonie au sein de Votre cheptel-harem si fourni car si la jalousie peut produire parfois une certaine émulation, elle me semble avant tout dévastatrice tant pour les soumises envieuses les unes des autres finissant par s’intéresser plus à leurs querelles intestines qu’au bien-être du Dominant que chacune est censée vouloir servir de toute son âme, sans parler que c’est affligeant pour un Dominant d’avoir à gérer des conflits humains de cette nature qui sont loin d’être une source de plaisirs à son niveau et qui n’engendre que désapprobations et punitions. En tout cas, nos premières semaines de cette relation multiple furent houleuses car ma « douchka » avait le sentiment de perdre sa place et que je l’abandonnais ou ne lui reconnaissais plus le titre et la place qu’elle avait à mes pieds, mais cela a fini par se tasser un peu, ou du moins je l’espère, même si je sais que « rob » de son côté, même si elle s’en défend ouvertement, a eu plus ou moins dans l’idée de supplanter sa rivale vétérane qui pourtant la surpasse largement en docilité et soumission. Enfin, j’ai voulu me lancer dans l’expérience d’un Maître avec deux soumises et il est normal que je me trouve confronté à un nouveau défi qu’il me faudra bien apprendre à gérer, ce qui n’est pas non plus inintéressant à vivre sur un plan purement humain.
Le Châtelain se penche à l’oreille de son ami pour lui répondre.
- Je ne sais pas si cette soirée est l’endroit approprié pour évoquer ce genre de questions. Je vous propose que nous en discutions plus avant, soit de visu, soit par téléphone, mais en d’autres temps, car la soirée n’a pas besoin d’être gâchée par des discussions de fond, furent-elles pratiques et non existentielles. Mais ce n’est que partie remise et ce sera avec joie, si mes conseils en la matière peuvent vous éclairer et vous être d’une quelconque utilité. Mais pour l’instant, je pense que « votre anguille phallique » a surtout besoin de frétiller à l’air libre (« à la mer libre » je devrais dire pour poursuivre dans votre métaphore si charmante) et que votre corps et surtout votre verge n’ont sûrement pas envie de sentir votre cerveau en pleine ébullition « métapsychique ». Je vous laisse donc à votre agréable partie de pêche et vous « absous de tous pêchés » car en Mon Château, la fornication et la Domination sont considérés comme de vrais plaisirs, ayant cours dans la luxure hédoniste, reconnus comme nous apportant les meilleurs bienfaits physiques et psychiques, que ce soit pour les Dominants que nous sommes, mais également pour tous les dominés dont nous avons la propriété et la garde.
Le Marquis d’Evans incline très légèrement la tête en signe d’au revoir, et juste avant de s’éloigner, il attrape l’une des épaules de la soumise « « rob » qu’il lance avec un peu plus d’énergie à l’encontre de Son esclave N° 7, qui manque presque de trébucher en recevant en pleine figure une chatte humide de plus en plus excitée et gonflée.
- Ma chienne 7, attrape ! Et tache de bien viser à ton tour cette fois, car il y a une queue turgescente qui ne demande qu’à être prise sans trop attendre.
Est-ce parce que le premier lancer de cette nouvelle partie fut effectué par Monsieur le Marquis d’Evans en personne, ou sans autre raison que le fruit du hasard, le fait est que l’esclave 7, un peu étourdie après le premier impact de « rob », mais un peu plus dans la partie lorsque la soumise lui est revenue à nouveau dans la figure au deuxième aller-retour beaucoup mieux maîtrisé, a pu renvoyer, avec toute l’énergie nécessaire, force et précision, la soumise « rob » et son harnais-balançoire, et ce d’un grand coup de mâchoire qui n’a pas manqué de surprendre celle qui flottant dans l’air, se sent presque manipulée comme une marionnette donc quelqu’un agiterait dans tous les sens les fils.
« rob » ouvre grand la bouche et les yeux pour aller à la rencontre de la queue du Magister Kerkuar qu’elle distingue difficilement mais elle arrive néanmoins cette fois-ci à viser et à la laisser s’engouffrer au fond de sa bouche. A peine le sexe a-t’il envahi toute la cavité buccale, que « rob » s’empresse de refermer ses lèvres fermement sur le phallus qui a pris possession d’elle, afin de pouvoir se maintenir accroché à lui, juste en l’ayant en bouche attrapé par son extrémité virile. « rob » est attirée sous l’effet de la pesanteur qui a tendance à vouloir la ramener dans une position médiane, mais en même temps l’esclave-soumise s’accroche comme elle peut de toute la force de se lèvres qu’elle maintient fermées pour restée agrippée sur « l’anguille phallique » cette fois-ci enfin correctement ferrée. Le Dominant salue à son tour le Châtelain en le regardant s’éloigner.
- Bien à vous, Cher Marquis ! Quant à moi, je crois que je viens de me faire prendre à l’hameçon et qu’il va me falloir changer de jeu. Merci encore et bonne fin de nuitée à Vous.
Le Dominant se retourne vers sa soumise dont il a attrapé la tête tant pour la soutenir et l’aider dans cette position dont il se doute qu’elle a quand même du finir par devenir contraignante et épuisante, et il ajoute :
- Bon, les chiennes, c’est bon ! Vous avez bien fini par m’attraper par la queue, même si je ne suis pas une souris verte !... Mais plus de gage, cette fois, un vrai petit plaisir bien mérité en récompense. esclave 17 approche-toi de moi, fais trois pas en avant après t’être décalée sur la droite de deux enjambées.
Le Dominant défait les mains de l’esclave et lui ôte également son bandeau.
- Tu vas m’aider à faire descendre ma « rob » de son fauteuil car à force elle va avoir tout le sang à la tête et il est temps de lui faire reprendre ses esprits à l’endroit. Je vais aller m’installer sur un canapé douillet, pour que ma soumise puisse me sucer tout à son aise et me faire jouir tandis que je lui baiserais la bouche. Toi, l’esclave, tu pourras pendant ce temps-là lui lécher la chatte, les lèvres, le clito, le con et le cul, en bref tout ce qu’il y a de bon à lécher chez une femelle. Tu seras la perdante de l’histoire, car il n’y aura personne pour te donner du plaisir et t’autoriser à en prendre, mais je pense que vu que tu es une des esclaves du cheptel du Marquis d’Evans qui est dressée pour se réjouir avant tout de la satisfaction du Maître des Lieux, tu ne trouveras rien à redire au fait qu’il y a sur Terre toujours des Dominants faits pour dominer et des dominés faits pour être dominés.
L’esclave N°17 s’incline profondément devant le Dominant qu’elle doit servir pour la soirée et auquel elle doit obéir en tous points, sur ordre du Maître Vénéré qui gouverne sur sa vie et qu’elle tient à satisfaire avant tout, comme la si bien souligné le Dominant. Elle assiste le Magister Kerkuar qui fait doucement descendre vers une réalité plus terrestre et surtout plus pesante sa soumise « rob » qui n’attend plus qu’une chose, c’est de pouvoir venir s’engouffrer entre les cuisses de celui qui lui a fait découvrir les plaisirs D/s et sa nature de soumise, afin de pouvoir tout à son aise à l’endroit, le lécher, le sucer, l’aspirer, et le laisser se répandre en elle, suprême récompense au terme de ce jeu de partie de pêche, où elle a vu le monde se balancer à l’envers…
(A suivre …)
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