La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 374)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 374) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 374)
Suite de l'épisode N°368 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Walter le Majordome, reprend sa tournée d’inspection des différents services de la Noble demeure, bien décidé à se rendre en tout premier à l’infirmerie pour y prendre des nouvelles de l’esclave e6938 MDE, blessé le matin même qui a dû revenir de l’hôpital où il avait été accompagné par l’infirmière soumise Mûriana MDE. Il « promène » derrière lui ce qu’il a appelé un « panier de poireaux à deux pattes », à savoir, l’esclave-soumise Thaïs MDE qui le suit tant bien que mal, tellement elle est harnachée d’une curieuse manière. Sur ces épaules repose un carcan lourd et épais, qui l’oblige à garder la tête droite avec le menton qui butte sur le morceau de bois. Sa laisse de chienne est accrochée à la ceinture de Walter, attachée dans un des passants, mais c’est surtout d’une autre manière que l’esclave est tractée par Walter car sa langue est pincée, retenue par une chainette que le Majordome tient pour l’instant fermement en main et avec laquelle il tire à sa suite l’esclave bien obligée de le suivre dans ses pas à la même cadence si elle ne veut pas voir sa langue trop fortement étirée.

La démarche de Thaïs MDE est mal aisée car elle porte une ceinture de chasteté en métal qui lui passe entre les jambes pour être ceinte à la taille, l’obligeant à garder les jambes légèrement écartées si elle ne veut pas être meurtrie dans les pliures de l’aine ou à l’entrecuisse. Ses deux orifices intimes sont mis tous les deux à rude épreuve. De l’anus de la chienne, et à travers un trou situé au bon endroit dans la ceinture de métal, sortent les feuilles vertes d’un très gros et long poireau qui se balance au niveau extérieur presque à chaque pas cadencé par le simple fait des mouvements oscillatoires de la marche, ce qui joue encore plus sur la dilation de la rondelle qui est sollicité de bas en haut par basculement du très long gode végétal. Sa chatte, qui est obturée par deux autres poireaux pliés qui lui écartèlent les grandes lèvres n’est plus qu’humidité et excitation extrême car l’œuf vibrant à l’intérieur du vagin a mis le feu à toute cette zone intime. Thaïs MDE ne sait pas comment elle va pouvoir tenir sans jouir, malgré la douleur et l’inconfort de chaque pas. Elle sent sa mouille qui lui coule sur les jambes, ayant depuis longtemps réussi à se frayer un chemin pour s’écouler à l’extérieur entre les poireaux et la ceinture de chasteté, qui font office de « bouchon vaginal » bien peu hermétique en somme. Mais surtout, elle sait que ses glandes de Skene qui produisent son éjaculat féminin, sur lesquelles elle n’a aucun moyen de contrôle musculaire et/ou volontaire malgré tous ses efforts et son bon vouloir, ne vont pas tarder à lâcher et à laisser couler son eau de fontaine abondamment sous l’effet de l’œuf vibrant et de toutes les autres sollicitations charnelles et autres excitations intellectuelles. Elle essaye de penser à autre chose, mais chaque pas la ramène immanquablement à sa situation d’esclave-soumise qu’elle a pourtant tant désirée, mais sans imaginer ce qu’il en serait de son dressage et de tout ce qui lui serait imposé entre les murs de ce légendaire Château. Walter prend le temps de s’arrêter et de lâcher la chainette quand il entend les borborygmes de Thaïs MDE qui ayant du mal à déglutir avec la langue tirée s’est mise à tousser compulsivement pour ne pas s’étrangler avec la salive qui avait fini par s’accumuler au fond de sa gorge.

- Je n’ai jamais vu un panier de poireau aussi impotent, d’autant plus drôle qu’on dirait qu’il tousse comme une vieille dame d’antan qui souffrait d’une pleurésie. Je trouve que tu as enfin fini par perdre de ta superbe et ton insolence. Je constate aussi que tu rigoles un peu moins que tout à l’heure quand tu étais dans le réfectoire. Maintenant, tu sauras ce qu’il peut t’en coûter de t’esclaffer en ma présence, car j’ai horreur d’avoir l’impression que tu pourrais de près ou de loin avoir dans l’idée de te moquer de ma personne et de la fonction importante que j’occupe entre ses murs. Je vais te détacher ton minuscule appendice, sans savoir si j’aurais réussi à l’étirer d’un petit millimètre en si peu de temps d’élongation, mais tâche dorénavant de savoir au moins tenir ta langue en toutes circonstances, à défaut d’être capable de pouvoir la sortir amplement quand il te faudrait lécher en bonne chienne bien dressée que tu vas finir par devenir de toute façon....

Walter détache la pince qui mordait sur la langue de Thaïs MDE, lui permettant de retrouver un usage plus normal de la respiration et de la déglutition. La soumise qui prise dans son carcan n’a pas la possibilité de baisser la tête ferme les yeux un bref instant en signe de remerciements, espérant que le Majordome apercevra et comprendra son geste empli de gratitude, mais se rappelant la consigne, elle s’empresse de les rouvrir pour ne pas risquer de se faire sanctionner une fois de plus. Elle craint cependant de croiser le regard directif et pervers du domestique, d’autant plus qu’elle est dans un état d’excitation qu’elle a de plus en plus de mal à contrôler, se demandant même comment elle tient encore sans jouir et couler de toute son eau, à même le parquet des couloirs qu’ils arpentent. D’un ton sarcastique, Walter ajoute, tout en s’approchant au plus près de l’esclave encarcanée.

- Alors, la petite chienne en chaleur, il y a quelque chose qui ne va pas ??? Tu as le regard perdu dans tes pensées lubriques. On dirait que tes yeux roulent comme des billes …. Serait-ce l’œuf que tu as dans le con qui te donne ce regard concupiscent. …. Ah, ah, ah ….. Je m’amuse si tu savais à te voir ainsi essayer de tenir sans jouir, parce que tu sais très bien que si tu faillis, cela ira encore plus mal pour toi ….. ah, ah, ah ….

Walter glisse sa main sur l’intérieur des cuisses trempées de l’esclave qui tressaute encore un peu plus et dont la respiration s’est accélérée. Thaïs MDE essaye de respirer calmement et longuement pour faire tomber la pression et le feu qui lui dévorent le bas-ventre de manière ininterrompue. Walter récupère deux filets de cyprine onctueuse et glisse aussi sec ses doigts poisseux dans la bouche de la chienne.

- Lèche ta mouille, chienne en chaleur, avant de risquer de tâcher le parquet séculaire de chêne, si je n’y prends pas garde. Je me demande même si tu n’es pas un peu nymphomane pour en arriver à mouiller autant avec de simples poireaux. Il y en a à qui cela couperait leurs envies de sexe de savoir que ce sont de vulgaires légumes à potage. Toi, on dirait que tu peux t’exciter de pas grand-chose du moment qu’on te remplit les trous en y fourrant n’importe quoi. Je ne devrais pas avoir à te le redire, mais je vais le faire car tu es encore une novice en ces lieux et une chienne bien mal dressée. Alors, rappelle-toi bien ceci ! : Tu n’es pas autorisée à jouir, femelle pervertie et dépravée !...

Thaïs MDE essaye de ne pas se laisser débordée par les propos toujours aussi humiliants du Majordome au risque de ne plus se concentrer pour contenir la chaleur qui lui brûle le bas-ventre de plaisirs érotisés. Elle n’a jamais envisagé une seule fois dans sa vie qu’elle pouvait être nymphomane se sachant femme libre et libérée sans grands tabous, mais pas vraiment débauchée et avide de sexualité ou de luxure. Comment le Majordome peut-il la traiter de manière aussi blessante en lui disant qu’elle est une « femelle pervertie et dépravée », alors qu’il sait très bien que c’est lui et Marie qui ont des idées largement perverses pour abuser du fait qu’ayant choisi de devenir l’une des esclaves-soumises MDE du Marquis d’Evans, par pure soumission, elle sera prête à accepter de subir tout ce qui lui sera imposé par les deux acolytes du Châtelain en son absence. D’ailleurs, avant de se trouver entre les mains de la vicieuse cuisinière, elle n’aurait même jamais imaginée, ni même fantasmé à l’idée d’avoir de vrais poireaux fourrés dans le con et dans le cul, en guise de punition certes, mais quelque part aussi d’excitation licencieuse malgré l’étrangeté de l’accoutrement obscène dont elle est affublée.

- Bon, on avance maintenant ! L’infirmerie est située au sous-sol. On va devoir descendre l’escalier en colimaçon. Je vais te tenir par le bras, comme tu ne peux pas voir où tu vas mettre les pieds avec le carcan que tu portes sur les épaules, surtout que tu as les mains attachées dans le dos. Ne prends pas cela pour une marque d’attention et de sympathie que tu ne mérites pas vraiment car je suis toujours irrité à ton égard depuis que tu t’es permise de me rire au nez, mais il n’est pas question de prendre le risque de te laisser descendre ainsi contrainte, au risque que tu tombes et que tu te blesses, ou encore pire, ne pouvant même pas te retenir si tu avais le malheur de chuter. Je suis responsable de ta sécurité avant tout et c’est le baba de la prudence même de ne jamais laisser quelqu’un descendre seul un escalier alors qu’il a les mains liées.

Walter sans y faire la moindre allusion éteint également l’œuf vibrant qui commençait à échauffer sérieusement les sens émoustillés de Thaïs MDE, qui est plus qu’heureuse d’avoir un petit moment de répit pour laisser sa chatte reprendre « ses esprits ». La descente dans l’escalier est plus qu’hasardeuse car elle progresse pas à pas à l’aveuglette avec la ceinture de chasteté en métal qui lui rentre à chaque marche dans l’entrecuisse, sans parler des poireaux qui lui écartèlent carrément l’anus et le rectum d’un côté, la chatte et le vagin de l’autre côté, lorsqu’elle doit descendre d’un cran à chaque pas. Mais le Majordome reste malgré tout très précautionneux dans ce passage qu’il imagine difficile pour l’esclave-soumise plantureuse largement entravée. Il la soutient fermement et la retient, aidé par une forte carrure et des bras musclés, mais à peine a-t’il atteint le plancher du sous-sol qu’il change à nouveau d’attitude, redevenant une fois le danger écarté, l’homme bourru et vindicatif qui n’a pas l’intention d’épargner et de faciliter la vie de Thaïs MDE.

- Bouge ton cul maintenant chienne ! J’en ai assez de perdre mon temps avec une moins que rien qui récolte punitions sur punitions. Comme si je n’avais que cela à faire, passer mes journées à m’amuser à te châtier pour faire rentrer de force un semblant de petit pois chiche dans ta minuscule cervelle vide. Voilà qui va te redonner un peu d’énergie !

Le Majordome remet en marche l’œuf vibrant, ce qui ne manque pas de faire sursauter Thaïs MDE qui manque de peu de pousser un cri de surprise, se retenant in extremis en étouffant son petit piaulement dans un genre de toussotement.

- Et bien voilà, maintenant que tu glousses ! Tu n’arriveras donc jamais à la fermer, la dinde ! Faut-il vraiment que je te remette la pince sur la langue pour que tu te tiennes un peu tranquille et que tu fermes enfin ton clapet ? Mais j’ai pour l’heure une autre idée en tête et ce n’est pas toi qui va m’interrompre une fois de plus avec tes jacasseries à n’en plus finir.

Walter reprend sa marche à vive allure, suivi tant bien que mal par Thaïs MDE qui a de sérieuses difficultés à marcher avec l’œuf vibrant qui n’a pas tardé à remettre le feu dans son vagin très excité et soyeux comme jamais. Son carcan pèse sur ses épaules, lui faisant ressentir à chaque pas le poids physique du morceau de bois qui l’empêche de baisser la tête, mais plus encore le Joug symbolique de sa condition servile et de son dressage, qui n’en est pourtant qu’aux prémices de ce qu’elle imagine qu’elle sera amenée à devoir supporter, en tant qu’esclave du cheptel, au fil des jours, des semaines, des années. Elle craint plus que jamais de ne pas tenir le coup sur la durée et de se voir renvoyer sans préavis par Le Maître Vénéré qui risque de trouver qu’elle ne convient pas assez bien pour être digne de rester à Son service et à Ses pieds. Le Majordome s’arrête net devant la porte de l’infirmerie. Il se retourne vers Thaïs MDE qui se mord les lèvres pour résister et dont les yeux sont pleins de larmes dues à la marche forcée rendue très laborieuse du fait des poireaux et du carcan. L’excitation grandissante a fini par devenir un vrai supplice pour l’esclave-soumise qui a du se forcer à contenir un orgasme qui aurait pu éclater presque à chaque pas. Ses yeux sont une vraie supplication et un sincère plaidoyer pour qu’il soit mis fin à la vibration qui la dévore de l’intérieur, ou pour qu’il lui soit permis enfin de laisser éclater son plaisir à haute voix, tant elle voudrait pouvoir crier et jouir. Walter touché par l’attitude de soumission de Thaïs MDE ou simplement parce qu’il avait une autre idée en tête, sans le moindre mot ni regard pour celle qu’il traîne décide néanmoins d’éteindre l’œuf vibrant de Thaïs MDE au moment où il entre dans l’infirmerie. Il ouvre la porte sans frapper comme à son habitude, sachant bien qu’à l’intérieur ne doivent se trouver que l’infirmière soumise Mûriana MDE, le chien-mâle e6938 MDE blessé et deux esclaves fiévreux qui ont été autorisés à rester au chaud pour la journée, donc personne sur lequel il n’aurait une autorité absolue et tous pouvoirs de contrôle permanent, et envers lesquels tout acte de déférence ou de politesse reste superfétatoire.

- Ah, Mûriana ! Je suis content de te savoir revenue au Château. J’aurai d’ailleurs préféré que tu n’aies pas eu besoin de le quitter ce matin à la suite de cette malheureuse altercation…

(A suivre …)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 374)
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