La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 382)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 382) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 382)
L'esclave e73700MDE endure les morsures du fouet - (suite de l’épisode précédent N°381) -

Je me retrouve maintenant seul dans cette immense salle souterraine aux voutes impressionnantes constituées de pierres anciennes datées de plusieurs siècles. C'est sans aucun doute une des caves du château car tout au fond sont remisés de nombreux et énormes tonneaux de vins. Je suis impressionné par la majesté du lieu qui me fait dire que je suis dans un des chais du château. Lieu parfait pour la conservation du Beaujolais en fûts de chêne car la fraicheur et l’hygrométrie paraissent convenir. En effet, on sent la fraîcheur et l'humidité d'une cave, mais c'est très supportable. Jusqu'à présent je subissais, sans m'intéresser à mon environnement proche et plongé dans une lumière faible et douce. En levant les yeux, je distingue au plafond, à terre et contre les murs tout une panoplie d'instruments BDSM, des chaînes, des cordes... Plusieurs cages grillagées sont suspendues à d’épaisses chaînes scellées solidement au plafond de pierre, cages où un homme tiendrait sans souci. Il y a aussi un trône hautement placé, trône magnifique et paré de dorures sculptées et ciselées dans un beau bois vernis et massif. Des épais coussins moelleux posés sur le siège doivent assurément apporter un réel confort de bien-être. Sur chaque accoudoir du trône un anneau métallique est fixé et pour chacun de ses anneaux, il est accrochée une chaîne-laisse de quelques mètres, ce qui laisse à penser qu’au bout de chacune de ces laisses, une ou un esclave doit y être attaché pour le plaisir du Maître des lieux lors des séances BDSM.

Et puis, il y a tous ces instruments de circonstance avec entre-autres, un tabouret à pointes, un palan mécanique, un impressionnant pilori monté sur une estrade, une cage d'angle, un banc inclinable, un chevalet, plusieurs croix de Saint André, un cheval espagnol, des étriers de suspension, des camisoles et divers cordages en chanvre et anneaux shibari. Les fouets, cravaches, tapettes et raquettes sont là aussi, fouets hongrois, fouets Single Tail à brin unique, martinets lourds à 6 queues et autres martinets, plugs anaux et godes fouets, hérissons, menottes, fers pour le cou avec chaînes, bandes plastiques bondage. Un basique lit de caserne aussi avec de quoi attacher un homme à chacun de ses pieds … C'est à un des instruments de suspension que j'ai été fixé tout à l'heure à un mètre du sol, le ventre en l'air, les cuisses écartées en étant livré aux assauts et pénétrations multiples de tous ces hommes et femmes, en étant exhibé et forcé. Certes forcé ! Mais rarement aussi excité, car j’en ai éprouvé un sentiment de soumission purement divin…

Je suis encore nu, mais libre de mes mouvements, le corps endolori, maculé et souillé du sperme de tous ces inconnus. Rétrospectivement, je regarde avec effroi tous ces instruments et même si j'ai subi un instrument de suspension sans dommage, mis à part le forçage de mon anus et de ma bouche par de nombreux inconnus, les autre instruments me font peur et je redoute maintenant que quelqu'un revienne ici et me fasse subir le sort qu'on subit, jadis, les soumis à Monsieur le Marquis de Sade (j’ai même appris que cet Illustre personnage a été l’hôte durant plusieurs mois en 1784-1785 de l’aïeul du Maître, ici même dans ce Château, sur les Terres de la Famille des Evans). Je suis effrayé et en même temps mon désir de soumission est là, bien présent sous forme d'un pincement au coeur, comme un appel, irrésistible. Oui je ressens cette envie d’être, de vivre ce que je suis, un simple soumis, et rien que de penser à l’immense chance d’être sous le joug de Monsieur le Marquis d’Evans, le désir de Lui obéir en devient jubilatoire. Oui tout cela me fait désirer encore plus à n’être plus qu’un vulgaire chien servile pour Le satisfaire pleinement, Lui le Maître…

J'en suis là dans mes pensées lorsqu’un bruit me fait sursauter. Je pensais voir apparaître Walter ou Firmin venant me soumettre à ces instruments et je m'apprête à subir des traitements abominables en dehors de la présence du Maître vénéré. Mais je pousse un soupir de soulagement lorsque j'aperçois la silhouette Du Maître, Monsieur Le Marquis D'Evans qui m'impressionne tant avec sa magnifique prestance et son splendide corps musclé. Je me ressaisis et me mets en position agenouillée de soumis, baissant la tête, mes mains derrière mon dos, mon buste droit afin que mes fesses ne touchent pas mes talons. Mon coeur s'accélère et ma poitrine se gonfle à un rythme accéléré et de fait ma respiration devient rapide. Plus qu’impressionné, je tremble comme une feuille mais pas de froid, plutôt de crainte, de timidité. Oh que je me sens petit à ce moment-là, je me sens si inférieur, si minuscule comme une larve insignifiante devant Son charisme hors norme et Son regard haut et Dominant.

Que va-t-il m'arriver, n'ai-je pas subi et satisfait Le Maître en étant donné et pénétré par tant d'inconnu(e)s pour Son bon plaisir. Mais me sentant seul avec Lui, et même autant impressionné que je suis, je finis par m'abandonner en confiance à Son bon plaisir en souhaitant même qu'il abuse de Son pouvoir de Maître pour que je lui donne la plus grande satisfaction. Mais, je m'aperçois alors qu'il n'est pas seul. Les participants qui ont fait de moi leur vide-couilles selon La Volonté du Maître sont là. En effet, Ils entrent tous derrière Lui et se mettent en cercle tout autour de moi et du Maître et je pense alors qu'ils vont être les spectateurs d'un divertissement dont le Maître est le centre. Il a fière allure dans Son costume strict en prenant une posture de dresseur de fauves. Comme je suis toujours dans la position agenouillée, il me lance un ordre sec:

- Met-toi sur ce lit, couché sur le dos.

Il cite ce lit de caserne lequel les montants sont constitués de barres cylindriques d'une hauteur d’un mètre environ. J’obtempère rapidement. Le Maître se munit d'un fouet à lanières souples qu'il fait claquer plusieurs fois au-dessus de moi dans de rapides sifflements d’air. Puis Il me lie les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit, mais en haut des montants à l'aide de cordes tressées prévues à cet effet. Positionné ainsi, mes bras sont alors écartés et en l'air ainsi que mes jambes et juste mon dos repose sur le plat du lit. Je me sens vulnérable, exhibé aux regards et incapable de faire un mouvement le cul offerts aux coups, le trou de l'anus rond et élargi par les multiples pénétrations, trou offert à tous ces regards pervers et Dominants. J'entends des commentaires vulgaires et salaces, mais je suis trop concentré sur la satisfaction que je dois fournir à Maître pour y prêter attention.

Je sens maintenant les lanières effleurer légèrement mes tétons de mâle inférieur puis je les sens fouettés dans un mouvement tournant très habile et efficace. Le Maître sait que je suis encore vierge pour cette activité que je n'ai pas encore subit et Il manifeste une adresse telle que je reçois les coups sans broncher. Mais Il accélère la cadence et la force alors je me tords sous les coups et les morsures du martinet, impuissant, tel un ver de terre. Oui c’est ce que je suis là en ce moment précis, un petit ver de terre malléable et fragile lequel on peut s’amuser avec sadisme et sans aucun état d’âme. Ma croupe frémit, se soulève au rythme de mes spasmes et s'offre aux regards et aux envies perverses des spectateurs. Je sens mon anus s'ouvrir spasmodiquement et presque naturellement dans un désir subit d'être possédé, pénétré, besogné, souillé. Tour autour de moi, j'entends des commentaires vulgaires et blessants qui attisent ma honte et me ramène à ce que je suis en réalité : Un simple vide-couilles. Le Maître continue consciencieusement son oeuvre avec une maîtrise parfaite à laquelle j'essaye de participer pour sa satisfaction. Il avait commencé à fouetter mon ventre et ma poitrine, mais maintenant ce sont les côtés qu’Il daigne s’occuper, mes jambes, mes fesses et ma croupe subissent le fouet. Je me tords de plus en plus sous les regards des spectateurs Dominateurs et du Maître qui semble satisfait. Cela doit être cela, car les coups cessent et je vois le Maître s'approcher de moi et se mettre sur mon corps avec l'intention de me posséder dans cette posture…

Je sens la luxueuse soie de Son costume, j’entends le bruit de zip de sa fermeture Eclair descendre de sa braguette. Il en sort son sexe triomphant, énorme, gonflé de sang et prêt à me sodomiser, à me saillir comme le ferait un étalon sur une jument. Alors, il me pénètre d'un coup sec et brutal sans autre préambule. Le divin membre s'enfonce d'un seul coup dans mes entrailles jusqu'au fond, à la hussarde. Le Maître me baise sauvagement, je sens Ses coups de butoir cadencés de Sa verge puissante, je sens Ses couilles frapper mon entre-fesses. Après les morsures du fouet, le contact du membre raide et chaud apaise la douleur. Je me laisse dominer, une sensation de bien-être, et un bonheur infini m’inonde d’avoir ce privilège d’être enculé par Monsieur le Marquis d’Evans en personne et j'attends avec avidité de recevoir Sa Noble semence. C’est au bout de longs vas et vient virils et puissants de plusieurs minutes où mon plaisir est immense qu’Il éjacule enfin en de longs râles de jouissance, de plaisirs aussi pour Lui tout en donnant des coups de reins d’une rare intensité… Visiblement satisfait, Le Maître vient de montrer qu'Il est Seul possesseur de Ses esclaves même s'Il les prête selon son bon plaisir. Je pensais que la séance était terminée, mais je vois Le Maître se diriger vers d'autres accessoires et choisir un fouet à une lanière.

Alors, Il détache mes liens et m'ordonne de me mettre debout les bras levés, j’ai un peu de Son Noble sperme qui dégouline entre mes jambes. Il me lie les poignets à une chaine fixée un peu plus haut que mon corps, les pieds liés au sol, jambes écartées. Je sens un bandeau me couvrir les yeux et un bâillon-boule forcer ma bouche. Je suis dans le noir, peu rassuré, à la merci du Maître ou de n'importe lequel des spectateurs. Mais je me rassure en sentant les mains Du Maître me palper la taille et les fesses. Ses mains rectifient ma position, cambrent mes reins et exposent mes fesses, puis un énorme plug pouvant être retiré par une cordelette est enfoncé dans mon anus de façon à disparaître pour laisser place à un trou béant. Il rend ainsi disponible aux coups de fouet mon anus et toute ma croupe. J'attends avec anxiété lorsque je sens une morsure sur mes reins. J'ai un tressaillement de douleur qui s'apaise assez vite. Mais le répit est de courte durée. Les coups de fouet, d'abord espacés se succèdent à un rythme accéléré. La lanière lacère les reins, puis les côtés, le dos, les fesses. Les coups d'abord dans le sens transversal, s'appliquent parfois dans le sens vertical et zèbrent mon dos. Ils sont appliqués avec art et je sens leur efficacité dans la douleur. A un moment, je sens ma croupe et mon anus tressaillir alors qu'une fulgurante douleur m'envahit. Je crie et hurle dans le bâillon qui enserre ma bouche et j'enrage intérieurement mais j'ai la fierté de résister et de manifester mon obéissance totale, obéissance voulue, confiante et désirée. Je subis le fouet remplacé par un paddle qui me rend sans doute mes fesses écarlates, mais je ne peux le voir à cause du bandeau sur les yeux. Puis les coups cessent et j'entends la voix Du Maître comme dans un rêve:

- Tu as subi avec honneur les deux premières épreuves au cours desquelles tu es devenu Mon soumis véritable et Mon vide-couilles. Maintenant tu es mon esclave en obéissant à tout ce que j'exigerai de toi sans te poser de questions, tu m'appartiens corps et âme. Walter occupe-toi de nettoyer Notre nouvelle femelle esclave et conduit-la…

Je ne m'imaginais pas alors ce que signifiait "nettoyer" et "conduit-la"… mais j’allais très vite le découvrir …

(A suivre...)

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