La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 383)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 383)
Suite de l'épisode N°377 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –
Tandis que Maître MC2 et sa petite soumise « réka », enlacés tels deux amants ne se souciant plus du reste du monde qui les entoure, s’embrassent et s’allongent à terre pour s’accoupler avec volupté, Monsieur le Marquis d’Evans s’éloigne pour poursuivre le tour de Ses Invités, ainsi qu’il a entrepris de le faire. Il aperçoit près du bar installé pour l’occasion où s’affairent soubrettes et esclaves chargés de continuer à servir des boissons à tous les Invités suivant leurs désirs, son ami d’enfance avec qui il partageait jeux de billes et de ballon sur les bancs de l’école primaire du village. Les deux gamins ont passés pas mal de journées à courir dans les allées du Château lorsqu’ils étaient tous les deux enfants à jouer à la cache-cache et plus tard adolescents avec leurs premières conquêtes féminines. Mais si la Noble famille des Evans est restée vivre dans le Château de leurs illustres aïeux depuis bon nombre de générations, ce ne fut pas le cas des parents du jeune Dominique, dont le père fut muté sur Paris, au grand désespoir des deux adolescents qui durent se séparer vers l’âge de 16 ans. Ils gardèrent toutefois de fréquents contacts épistolaires et il n’était pas rare que le jeune Dominique vienne passer au moins une semaine de vacances par an au Château. Quelques années plus tard, lorsque Monsieur le Marquis Edouard d’Evans devint un Maître D/s reconnu par ses pairs et Ses dominé(e)s, il ne put que faire découvrir sa passion de plus en plus assouvie pour la Domination/soumission à son ami de toujours, avec qui il avait partagé en confidences comme deux frères complices tant de secrets d’enfance et bon nombre de leurs pensées intimes ou de leurs premiers émois affectifs. Les enfants devenus hommes et chefs d’entreprises tous les deux se voyaient encore régulièrement car la porte du Château n’était jamais close pour celui qui resterait toujours dans la tête de Monsieur le Marquis en titre, celui qu’il considérait presque comme son frère, non pas de sang, mais assurément bien plus en une forte amitié fraternelle. C’est donc avec un ton très naturel, affectueux et plus que familier que le Châtelain s’approche de son « copain » de toujours. S’apercevant mutuellement les deux hommes entreprirent une sincère accolade spontanée et ponctuée de quelques tapes amicales dans le dos, le tout suivi d’une paire de bises sur les deux joues comme si c’était deux frères qui s’embrassaient.
- Dominique ! Cela ne m’étonne guère de te trouver près du bar … Serais-tu attiré par quelques boissons alcoolisées pour te dérider un peu plus à cette heure tardive ? Le trop d’alcool tue la libido et le plaisir, alors fais attention, tu es comme moi, nous n’avons plus nos 18 ans depuis quelques bonnes années, même si nous gardons encore la queue aussi droite que le dos.
- Sacré vieil Edouard, tu as toujours le mot pour rire. Cela me fait tant plaisir de te voir de près et de t’entendre. Je ne voulais pas te déranger, car je te vois si entouré de tous Tes autres amis, Dominants et Dominas. Et je suis très honoré pour ma part de faire partie de cette communauté triée sur le volet. Si tu savais comme je suis content d’être là ce soir à tes côtés pour cette occasion que je n’aurais manqué pour rien au monde et encore plus content de te retrouver en pleine forme. Mais je devrais un peu plus tenir ma langue, car j’oublie que maintenant tu n’es plus le gamin avec qui nous faisions la course pour savoir lequel arriverait le premier à l’étang du Petit Bois pour s’y jeter la tête la première, mais que tu es devenu à ton tour, Monsieur le Marquis d’Evans, porteur en titre des quartiers de Noblesse qui sont attachés aux Armoiries de ta Noble lignée.
- Dominique, ne t’en fais pas, tu resteras peut-être le seul avec qui je tolère quelques familiarités car je n’oublierai jamais tous les innombrables bons moments partagés de notre enfance. De toute manière, c’est moi qui le premier aurait dû en ce lieu songer à ne pas t’interpeller par ton prénom, mais plutôt à t’appeler par ton nom de Dominant, car c’est bien à ce titre que tu es invité, malgré le fait que c’est tout autant que parce que tu es et resteras à tout jamais mon meilleur ami d’enfance. Au sein de notre communauté, tout le monde te connait sous le nom de DomDominus, un nom D/s qui te va comme un gant je dois dire, même si peu ici savent que tu te prénommes dans la vie vanille aussi Dominique.
- Très à cheval sur les principes, la courtoisie et la politesse, comme toujours, cher Marquis ! Je te reconnais bien là, tu ne changeras jamais et cela est très bien ainsi. J’admire depuis le début de la soirée avec délectation ton cheptel qui semble grossir d’année en année, et dont tu peux être si fier, car c’est bien la concrétisation de ta renommée et de tes capacités de Grand Maître Dominant, ce que chacun ici se plait à reconnaître et à admirer. Je reste bien plus modeste dans mes ambitions de Maître D/s car avec mon entreprise en plein essor qui me prend de plus en plus de temps, je dois avouer que la simple Domination d’une seule soumise est déjà une charge en temps et une responsabilité que je ne veux pas négliger pour autant. Et je me rends bien compte que dès que je lâche un peu la bride, ma dominée en titre profite de sa soumission…
- Tu me racontes cela comme si tu étais inquiet au sujet de ta relation D/s que tu entretiens actuellement et comme s’il y avait une incompatibilité entre ta vie de Maître et ta vie professionnelle. Où en es-tu justement ? J’ai le sentiment qu’il y a quelque chose qui cloche et qui te préoccupe.
- Oui, tu as mis le doigt au bon endroit, tu es et a toujours été si perspicace. J’ai, en effet, le sentiment que ma soumise « serva9 » m’échappe. Rends-toi compte qu’elle m’a désobéi pas plus tard que hier de la manière la plus effrontée qui soit pour une soumise en me mentant et en trahissant la confiance absolue que j’avais mis en elle. Je ne sais pas si la punition que j’ai décidé est adaptée et si elle produira l’effet escompté qui serait de la remettre dans le droit chemin de la soumission
- Ah ? Elle a trahi ta confiance ? Et qu’a-t-elle donc fait ?
- Edouard, il y a trois jours, je suis rentrée à la maison tout à fait par hasard et je suis tombée sur « serva9 » qui était allongée sur le lit, nue, pluguée, s’étant mise toute seule un bandeau sur les yeux, puis des menottes aux pieds et aux mains. Elle était en train de se masturber avec un gode vibrant et se trouvait dans un tel état d’excitation, enfilant orgasme sur orgasme qu’elle ne m’a même pas entendu arriver.
- Ah oui je vois, elle s’est masturbée sans y être autorisée ! Un petit dérapage sans doute ! Mais penses-tu que cela soit suffisant pour être irréparable et pour annoncer un cataclysme prochain avec la remise en cause de votre relation D/s.
- Edouard, alors de derrière la porte entrebâillée, je suis entré subitement dans la pièce très en colère pour la prendre en flagrant délit et aussi pensant la voir honteuse et culpabilisée à se masturber sans y être autorisée, et donc qu’elle implore mon pardon dans la foulé. Mais au lieu de cela, elle s’est rebellée me disant que je pouvais tout exiger d’elle sauf lui interdire les plaisirs solitaires, qu’elle en avait trop besoin dans sa libido, et donc qu’elle se masturbait en cachette souvent en me désobéissant. Que c’était la seule et unique désobéissance qu’elle s’accordait… Lui refusant catégoriquement cela avec fermeté en lui disant qu’elle avait trahi effrontément ma confiance, elle a pris ses habits et est partie en claquant la porte… La colère passée, et après avoir rongé son frein de son côté, le soir elle revenait d’elle-même à mes pieds, implorant une punition pour se faire pardonner. Mais avant de la pardonner, je dois savoir si son repenti est sincère et si elle ne recommencera pas avec une punition utile et adaptée … Sinon, comme tu dis, ce sera un cataclysme prochain avec la remise en cause de ma relation D/s avec elle.
Le Dominant prend le temps d’avaler sa salive et bois une gorgée d’eau, car contrairement à la plaisanterie que lui avait lancé son ami complice de toujours, il n’était pas venu au bar pour chercher une boisson alcoolisée, mais un simple verre d’eau rafraîchissant, voulant garder les idées claires et la tête froide avant de commencer à punir sa soumise qu’il avait fait poireauter à genoux dans un coin de la salle aménagée en Donjon D/s depuis le début de la nuitée orgiaque, ayant même pensé à attiser sa jalousie et à augmenter ses remords en lui disant qu’il la plantait là et qu’il allait passer une bonne soirée divertissante et divinement D/s avec la belle soumise N°38 qu’il avait tiré au sort, rajoutant qu’il ne reviendrait que lorsqu’il l’aurait décidé pour commencer à la punir comme il en avait eu l’intention. « serva9 » était donc maintenant depuis que tout le monde avait quitté la salle du banquet pour se rendre dans le Grand Hall transformé en donjon à genoux dans un coin de la pièce, les mains sur la tête. La longue position immobile avait fini par devenir insupportable pour ses genoux meurtris sur le parquet dur en chêne et ses muscles tétanisés par l’immobilité car les longues minutes de la nuitée orgiaque étaient passées les unes après les autres. Puis DomDominus demandant à son mai d’enfance :
- Edouard, s’il te plait, tu veux bien m’accompagner car je pense qu’il est temps que j’aille punir ma soumise, car pour l’instant, globalement, j’ai décidé de la mettre à l’épreuve mais de la garder à mes pieds en la privant malgré tout de tous les privilèges dont elle bénéficiait jusqu’à présent, qu’elle ne regagnera que si elle le mérite et avec le temps nécessaire pour que j’estime qu’elle peut être à nouveau digne de ma confiance. Il n’est pas question que je laisse passer de telles fautes que ce soit celle de s’être masturbée sans y être autorisée puis celle de s’en être rebellée, mais je veux procéder par étapes successives en ne mélangeant pas tout… Alors …
DomDominus se redresse du haut de tabouret de bar sur lequel il était resté assis pendant ces longues minutes d’échange avec le Marquis d’Evans et comme s’il sortait du cercle d’intimité que les deux Dominants avaient formés pendant un temps qui n’appartenaient qu’à eux, il annonce d’une voix plus solennelle et par un vouvoiement de circonstance :
- … Alors … Monsieur le Marquis d’Evans, me ferez-vous le plaisir de m’accompagner et de rester à mes côtés pendant tout le temps où je vais m’occuper de châtier ma soumise « serva9 » qui a osé se donner du plaisir seule sans mon autorisation. Je vais lui faire passer pour quelques temps l’envie de se servir de ses dix doigts et de ses deux mains pour caresser son petit bouton de rose.
- Très cher Ami de toujours, cher DomDominus, je ne te cache pas que j’aimerai aussi pouvoir faire le tour de Mes autres invités. Je souhaiterai donc pouvoir te laisser t’occuper de punir ta soumise seul, si cela ne doit pas t’offenser. Et puis, très sincèrement, je pense au vu de tout ce que tu m’as raconté, qu’il vaut mieux que ce châtiment soit infligé par toi et par toi seul et que ma présence en tant que Maître des Lieux ne pourrait que lui laisser à croire que tu n’es pas assuré en tant que Maître de la marche à suivre, cherchant Mon approbation et Mon soutien pour conforter ton pouvoir Dominant. Il s’agit d’une offense faite par ta soumise à ta personne, peut-être que l’opprobre général pourrait ajouter à son humiliation, mais je pense que dans le cas présent, la leçon sera plus profitable si tu administres toi-même et seule la pénitence que tu as décidé, telle que tu l’as décidé.
Reprenant un phrasé plus amical, l’ami d’enfance, reprit un tutoiement naturel :
- Edouard, tu es ici chez toi, et je ne m’opposerai jamais à tes désirs. Je ne veux pas être égoïste et surtout pas t’accaparer pour moi tout seul. Il est vrai que tu es ici entouré de nombreux amis et amies, tous Dominants ou Dominantes, et que tu dois avoir à cœur de les saluer chacun comme tu aimes à le faire avec le charisme et le grand cœur que je te connais. Je te laisse donc à tes occupations. Je te souhaite une bonne fin de nuit et j’espère que je pourrai bientôt venir passer un long Week-end au Château.
- Cher Dominique, oui, reviens dès que tu peux, avec ou sans ta soumise « serva9 » et surtout tient-moi au courant, si tu le souhaites, de l’évolution de votre relation D/s, en espérant que les choses se remettront dans les bons rails, même si je reconnais que les deux fautes sont graves et qu’elles ne peuvent restées impunies si tu ne veux pas perdre de ta crédibilité de Dominant, capable de maintenir à ses pieds une soumise obéissante et dévouée, en qui tu dois pouvoir avoir confiance les yeux fermés.
- Merci de tes conseils toujours aussi judicieux, je vais effectivement m’occuper seule de châtier ma soumise, car c’est à moi de le faire si je veux qu’elle comprenne et ressente une à une les offenses cumulées qu’elle m’a faite…
Le Marquis d’Evans s’éloigne du bar après avoir donné une dernière tape amicale sur l’épaule de Son ami d’enfance, tel un signe d’encouragement et aussi d’approbation. Le Dominant se dirige alors vers le coin du Grand Hall où il retrouve sa soumise en position d’attente toujours agenouillée, les mains sur la tête…
(A suivre …)
Tandis que Maître MC2 et sa petite soumise « réka », enlacés tels deux amants ne se souciant plus du reste du monde qui les entoure, s’embrassent et s’allongent à terre pour s’accoupler avec volupté, Monsieur le Marquis d’Evans s’éloigne pour poursuivre le tour de Ses Invités, ainsi qu’il a entrepris de le faire. Il aperçoit près du bar installé pour l’occasion où s’affairent soubrettes et esclaves chargés de continuer à servir des boissons à tous les Invités suivant leurs désirs, son ami d’enfance avec qui il partageait jeux de billes et de ballon sur les bancs de l’école primaire du village. Les deux gamins ont passés pas mal de journées à courir dans les allées du Château lorsqu’ils étaient tous les deux enfants à jouer à la cache-cache et plus tard adolescents avec leurs premières conquêtes féminines. Mais si la Noble famille des Evans est restée vivre dans le Château de leurs illustres aïeux depuis bon nombre de générations, ce ne fut pas le cas des parents du jeune Dominique, dont le père fut muté sur Paris, au grand désespoir des deux adolescents qui durent se séparer vers l’âge de 16 ans. Ils gardèrent toutefois de fréquents contacts épistolaires et il n’était pas rare que le jeune Dominique vienne passer au moins une semaine de vacances par an au Château. Quelques années plus tard, lorsque Monsieur le Marquis Edouard d’Evans devint un Maître D/s reconnu par ses pairs et Ses dominé(e)s, il ne put que faire découvrir sa passion de plus en plus assouvie pour la Domination/soumission à son ami de toujours, avec qui il avait partagé en confidences comme deux frères complices tant de secrets d’enfance et bon nombre de leurs pensées intimes ou de leurs premiers émois affectifs. Les enfants devenus hommes et chefs d’entreprises tous les deux se voyaient encore régulièrement car la porte du Château n’était jamais close pour celui qui resterait toujours dans la tête de Monsieur le Marquis en titre, celui qu’il considérait presque comme son frère, non pas de sang, mais assurément bien plus en une forte amitié fraternelle. C’est donc avec un ton très naturel, affectueux et plus que familier que le Châtelain s’approche de son « copain » de toujours. S’apercevant mutuellement les deux hommes entreprirent une sincère accolade spontanée et ponctuée de quelques tapes amicales dans le dos, le tout suivi d’une paire de bises sur les deux joues comme si c’était deux frères qui s’embrassaient.
- Dominique ! Cela ne m’étonne guère de te trouver près du bar … Serais-tu attiré par quelques boissons alcoolisées pour te dérider un peu plus à cette heure tardive ? Le trop d’alcool tue la libido et le plaisir, alors fais attention, tu es comme moi, nous n’avons plus nos 18 ans depuis quelques bonnes années, même si nous gardons encore la queue aussi droite que le dos.
- Sacré vieil Edouard, tu as toujours le mot pour rire. Cela me fait tant plaisir de te voir de près et de t’entendre. Je ne voulais pas te déranger, car je te vois si entouré de tous Tes autres amis, Dominants et Dominas. Et je suis très honoré pour ma part de faire partie de cette communauté triée sur le volet. Si tu savais comme je suis content d’être là ce soir à tes côtés pour cette occasion que je n’aurais manqué pour rien au monde et encore plus content de te retrouver en pleine forme. Mais je devrais un peu plus tenir ma langue, car j’oublie que maintenant tu n’es plus le gamin avec qui nous faisions la course pour savoir lequel arriverait le premier à l’étang du Petit Bois pour s’y jeter la tête la première, mais que tu es devenu à ton tour, Monsieur le Marquis d’Evans, porteur en titre des quartiers de Noblesse qui sont attachés aux Armoiries de ta Noble lignée.
- Dominique, ne t’en fais pas, tu resteras peut-être le seul avec qui je tolère quelques familiarités car je n’oublierai jamais tous les innombrables bons moments partagés de notre enfance. De toute manière, c’est moi qui le premier aurait dû en ce lieu songer à ne pas t’interpeller par ton prénom, mais plutôt à t’appeler par ton nom de Dominant, car c’est bien à ce titre que tu es invité, malgré le fait que c’est tout autant que parce que tu es et resteras à tout jamais mon meilleur ami d’enfance. Au sein de notre communauté, tout le monde te connait sous le nom de DomDominus, un nom D/s qui te va comme un gant je dois dire, même si peu ici savent que tu te prénommes dans la vie vanille aussi Dominique.
- Très à cheval sur les principes, la courtoisie et la politesse, comme toujours, cher Marquis ! Je te reconnais bien là, tu ne changeras jamais et cela est très bien ainsi. J’admire depuis le début de la soirée avec délectation ton cheptel qui semble grossir d’année en année, et dont tu peux être si fier, car c’est bien la concrétisation de ta renommée et de tes capacités de Grand Maître Dominant, ce que chacun ici se plait à reconnaître et à admirer. Je reste bien plus modeste dans mes ambitions de Maître D/s car avec mon entreprise en plein essor qui me prend de plus en plus de temps, je dois avouer que la simple Domination d’une seule soumise est déjà une charge en temps et une responsabilité que je ne veux pas négliger pour autant. Et je me rends bien compte que dès que je lâche un peu la bride, ma dominée en titre profite de sa soumission…
- Tu me racontes cela comme si tu étais inquiet au sujet de ta relation D/s que tu entretiens actuellement et comme s’il y avait une incompatibilité entre ta vie de Maître et ta vie professionnelle. Où en es-tu justement ? J’ai le sentiment qu’il y a quelque chose qui cloche et qui te préoccupe.
- Oui, tu as mis le doigt au bon endroit, tu es et a toujours été si perspicace. J’ai, en effet, le sentiment que ma soumise « serva9 » m’échappe. Rends-toi compte qu’elle m’a désobéi pas plus tard que hier de la manière la plus effrontée qui soit pour une soumise en me mentant et en trahissant la confiance absolue que j’avais mis en elle. Je ne sais pas si la punition que j’ai décidé est adaptée et si elle produira l’effet escompté qui serait de la remettre dans le droit chemin de la soumission
- Ah ? Elle a trahi ta confiance ? Et qu’a-t-elle donc fait ?
- Edouard, il y a trois jours, je suis rentrée à la maison tout à fait par hasard et je suis tombée sur « serva9 » qui était allongée sur le lit, nue, pluguée, s’étant mise toute seule un bandeau sur les yeux, puis des menottes aux pieds et aux mains. Elle était en train de se masturber avec un gode vibrant et se trouvait dans un tel état d’excitation, enfilant orgasme sur orgasme qu’elle ne m’a même pas entendu arriver.
- Ah oui je vois, elle s’est masturbée sans y être autorisée ! Un petit dérapage sans doute ! Mais penses-tu que cela soit suffisant pour être irréparable et pour annoncer un cataclysme prochain avec la remise en cause de votre relation D/s.
- Edouard, alors de derrière la porte entrebâillée, je suis entré subitement dans la pièce très en colère pour la prendre en flagrant délit et aussi pensant la voir honteuse et culpabilisée à se masturber sans y être autorisée, et donc qu’elle implore mon pardon dans la foulé. Mais au lieu de cela, elle s’est rebellée me disant que je pouvais tout exiger d’elle sauf lui interdire les plaisirs solitaires, qu’elle en avait trop besoin dans sa libido, et donc qu’elle se masturbait en cachette souvent en me désobéissant. Que c’était la seule et unique désobéissance qu’elle s’accordait… Lui refusant catégoriquement cela avec fermeté en lui disant qu’elle avait trahi effrontément ma confiance, elle a pris ses habits et est partie en claquant la porte… La colère passée, et après avoir rongé son frein de son côté, le soir elle revenait d’elle-même à mes pieds, implorant une punition pour se faire pardonner. Mais avant de la pardonner, je dois savoir si son repenti est sincère et si elle ne recommencera pas avec une punition utile et adaptée … Sinon, comme tu dis, ce sera un cataclysme prochain avec la remise en cause de ma relation D/s avec elle.
Le Dominant prend le temps d’avaler sa salive et bois une gorgée d’eau, car contrairement à la plaisanterie que lui avait lancé son ami complice de toujours, il n’était pas venu au bar pour chercher une boisson alcoolisée, mais un simple verre d’eau rafraîchissant, voulant garder les idées claires et la tête froide avant de commencer à punir sa soumise qu’il avait fait poireauter à genoux dans un coin de la salle aménagée en Donjon D/s depuis le début de la nuitée orgiaque, ayant même pensé à attiser sa jalousie et à augmenter ses remords en lui disant qu’il la plantait là et qu’il allait passer une bonne soirée divertissante et divinement D/s avec la belle soumise N°38 qu’il avait tiré au sort, rajoutant qu’il ne reviendrait que lorsqu’il l’aurait décidé pour commencer à la punir comme il en avait eu l’intention. « serva9 » était donc maintenant depuis que tout le monde avait quitté la salle du banquet pour se rendre dans le Grand Hall transformé en donjon à genoux dans un coin de la pièce, les mains sur la tête. La longue position immobile avait fini par devenir insupportable pour ses genoux meurtris sur le parquet dur en chêne et ses muscles tétanisés par l’immobilité car les longues minutes de la nuitée orgiaque étaient passées les unes après les autres. Puis DomDominus demandant à son mai d’enfance :
- Edouard, s’il te plait, tu veux bien m’accompagner car je pense qu’il est temps que j’aille punir ma soumise, car pour l’instant, globalement, j’ai décidé de la mettre à l’épreuve mais de la garder à mes pieds en la privant malgré tout de tous les privilèges dont elle bénéficiait jusqu’à présent, qu’elle ne regagnera que si elle le mérite et avec le temps nécessaire pour que j’estime qu’elle peut être à nouveau digne de ma confiance. Il n’est pas question que je laisse passer de telles fautes que ce soit celle de s’être masturbée sans y être autorisée puis celle de s’en être rebellée, mais je veux procéder par étapes successives en ne mélangeant pas tout… Alors …
DomDominus se redresse du haut de tabouret de bar sur lequel il était resté assis pendant ces longues minutes d’échange avec le Marquis d’Evans et comme s’il sortait du cercle d’intimité que les deux Dominants avaient formés pendant un temps qui n’appartenaient qu’à eux, il annonce d’une voix plus solennelle et par un vouvoiement de circonstance :
- … Alors … Monsieur le Marquis d’Evans, me ferez-vous le plaisir de m’accompagner et de rester à mes côtés pendant tout le temps où je vais m’occuper de châtier ma soumise « serva9 » qui a osé se donner du plaisir seule sans mon autorisation. Je vais lui faire passer pour quelques temps l’envie de se servir de ses dix doigts et de ses deux mains pour caresser son petit bouton de rose.
- Très cher Ami de toujours, cher DomDominus, je ne te cache pas que j’aimerai aussi pouvoir faire le tour de Mes autres invités. Je souhaiterai donc pouvoir te laisser t’occuper de punir ta soumise seul, si cela ne doit pas t’offenser. Et puis, très sincèrement, je pense au vu de tout ce que tu m’as raconté, qu’il vaut mieux que ce châtiment soit infligé par toi et par toi seul et que ma présence en tant que Maître des Lieux ne pourrait que lui laisser à croire que tu n’es pas assuré en tant que Maître de la marche à suivre, cherchant Mon approbation et Mon soutien pour conforter ton pouvoir Dominant. Il s’agit d’une offense faite par ta soumise à ta personne, peut-être que l’opprobre général pourrait ajouter à son humiliation, mais je pense que dans le cas présent, la leçon sera plus profitable si tu administres toi-même et seule la pénitence que tu as décidé, telle que tu l’as décidé.
Reprenant un phrasé plus amical, l’ami d’enfance, reprit un tutoiement naturel :
- Edouard, tu es ici chez toi, et je ne m’opposerai jamais à tes désirs. Je ne veux pas être égoïste et surtout pas t’accaparer pour moi tout seul. Il est vrai que tu es ici entouré de nombreux amis et amies, tous Dominants ou Dominantes, et que tu dois avoir à cœur de les saluer chacun comme tu aimes à le faire avec le charisme et le grand cœur que je te connais. Je te laisse donc à tes occupations. Je te souhaite une bonne fin de nuit et j’espère que je pourrai bientôt venir passer un long Week-end au Château.
- Cher Dominique, oui, reviens dès que tu peux, avec ou sans ta soumise « serva9 » et surtout tient-moi au courant, si tu le souhaites, de l’évolution de votre relation D/s, en espérant que les choses se remettront dans les bons rails, même si je reconnais que les deux fautes sont graves et qu’elles ne peuvent restées impunies si tu ne veux pas perdre de ta crédibilité de Dominant, capable de maintenir à ses pieds une soumise obéissante et dévouée, en qui tu dois pouvoir avoir confiance les yeux fermés.
- Merci de tes conseils toujours aussi judicieux, je vais effectivement m’occuper seule de châtier ma soumise, car c’est à moi de le faire si je veux qu’elle comprenne et ressente une à une les offenses cumulées qu’elle m’a faite…
Le Marquis d’Evans s’éloigne du bar après avoir donné une dernière tape amicale sur l’épaule de Son ami d’enfance, tel un signe d’encouragement et aussi d’approbation. Le Dominant se dirige alors vers le coin du Grand Hall où il retrouve sa soumise en position d’attente toujours agenouillée, les mains sur la tête…
(A suivre …)
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