La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 41)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 41) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 41)
(Suite de l'épisode N°38)
7- Le marquage de fanny
Une bonne semaine s’était écoulée. Fanny occupait désormais le cachot N°3 dans la crypte du château pour les nuits où son Maître ne faisait pas appel à sa présence dans son lit pour agrémenter sa sexualité selon son bon plaisir. Une chaîne d’environ 2 mètres était accrochée à l’anneau métallique qu’elle portait désormais au pied.
L’autre extrémité de cette chaîne étant scellée à un épais anneau au mur de pierre. Un matelas tot de même confortable et de chaudes couvertures en guise de literie. 4 esclaves occupaient aussi ce cachot, une autre femelle e46 et 3 mâles encagés serf69, e541 et e722.

Quand aux journées, elles se passaient avec des rites ordonnés et réguliers. Comme par exemple, dès le lever, préparation et prise du petit déjeuner dans le réfectoire des esclaves, pièce accolée aux cuisines du Château. Fanny avait été affecté pour aider Marie (la Cuisinière). Celle-ci habituée à diriger les nouvelles venues, commandait sans concession fanny qui souvent subissait le sadisme de la gouvernante. L’image de la pauvre Cendrillon récurant le carrelage à genoux par terre prenait tout son sens, à la différence que fanny n’avait pas de haillons mais était plutôt dénudée. Souvent Marie inspectait la propreté, et n’hésitait pas à lui donner le martinet sur les fesses de la soumise. Il arrivait aussi qu’un dominant passant dans les couloirs, venait prendre fanny en levrette pendant que celle-ci frottait cul nu et relevé le sol avec une brosse.

Les corvées d’épluchage des légumes étaient aussi très avilissante car assise et systématiquement plugée à la longue table de chêne massif. Fanny ne devait en aucun cas lever la tête, et avec ses congénères, elle devait s’appliquer à la tâche sans dire mot. Le silence des esclaves était une règle d’or.

La douche aussi était humiliante puisque il n’y avait aucune intimité, et les esclaves se lavant toujours tous ensemble. Et de nombreuses fois, elle était doigtée, pénétrée par des doigts ou la queue du vicieux Walter ou par d’autres esclaves femelles ou mâles.

Le lendemain d’une soirée où fanny avait été prêtée à des notables de la ville, invités du Marquis, ces bourgeois avaient su apprécier cette chienne offerte pour leur unique plaisir. Le lendemain donc, en début d’après-midi et alors qu’elle rangeait la volumineuse vaisselle dans une imposante armoire d’époque, Marie lui dit sèchement :
- Quand tu auras fini, tu viendras avec moi à la grande salle de bain. Nous aurons du travail avec quelques chiennes, à te préparer pour la cérémonie de cette fin d’après-midi…
- Bien Ma.. Madame Marie… Mais …quelle cérémonie, s’il vous plait, Madame Marie ?
demandait fanny avec crainte
- Comment, ton Maître ne t’a rien dit ? C’est dans deux heures que tu seras marquée au fer rouge des armoiries des Evans. Ici on ferre les esclaves depuis les années 1750, dit Marie avec fierté. Il y a même un ancêtre de Monsieur le Marquis qui a fait ferrer de jeunes soumises à l’époque, en présence du fameux Marquis de Sade en personne. Ca devait être dans les années 1784 si je ne me trompe pas (voir les Origines de la Saga des esclaves …)
Fanny était comme foudroyée par cette annonce. Elle qui avait toujours rêvé porter cette marque d’appartenance totale était heureuse de l’honneur de recevoir en sa chair ce noble sceau. Heureuse mais peureuse, oui ce qu’elle appréhendait plus que tout, c’était l’immense douleur physique qu’elle devrait supporter une fois le fer au contact de sa si douce peau.

Une dizaine de minutes après, c’est avec un certaine appréhension, qu’elle suivit la cuisinière. Arrivées dans la grande salle de bain à la robinetterie en or et aux carreaux de marbre, il y avait déjà 2 soumises qui attendaient fanny devant une immense baignoire de marbre blanc remplie d’eau mousseuse aux effluves des plus parfumant. Elle était carrée d’environ 5 mètres sur 5. Apparemment profonde puisque on pouvait tenir debout en son milieu. Des marches d’escaliers tout le tour donnait accès par n’importe quelle face. Ce luxueux spa moussant proférai une érotisme envoûtant lorsque fanny fut priée de se baigner.

- Première chose, petite chienne, dit la cuisinière, c’est que tu sois propre, belle et parfaitement présentable. Les 2 chiennes ici vont s’occuper de toi pour te laver, coiffer, parfumer, maquiller, parer… Et bien entendu t’habiller de la belle robe blanche bordée de fils d’or et quasi totalement transparente. Cette robe est obligatoire lors du rite du marquage… On viendra te chercher d’ici environ 2 heures.

Une fois Marie sortie, fanny regarda les 2 charmantes soumises qui lui sourirent.
Elles avaient comme tenue uniquement leur épais collier. Fanny remarqua la marque des Evans apposée entre leurs seins et elle ne put s’empêcher de demander :
- Ca fera mal ?

Aucune réponse. Fanny se rappela alors que les esclaves du Marquis n’ont pas le droit de se parler entre eux. Les 2 soumises se contentèrent de lui sourire aimablement tout en lui caressant les cheveux. Fanny était assis sur les marches et l’eau lui arrivait au niveau des seins. Puis une des deux soumises immergea sa main munie d’une éponge douce et parfumée et l’approcha su sexe de la soumise. Elle commença à frotter sa chatte, ce qui émoustilla de suite fanny. Elle avait à peine levé la tête pour regarder la belle brune qui la caressait ainsi que celle-ci avait déjà approché sa bouche de celle de fanny. Les 2 visages se trouvèrent alors très proches et les langues se joignirent sans un concert de caresses douces. L’autre soumise ne resta pas inactive et plongea doucement dans l’eau pour caresser les seins de fanny tout en mordillant la nuque de la belle.

Et les 3 chiennes échangèrent les langues, les caresses, attouchements et doigtages réciproques et c’est dans un érotisme fou qu’elles se mirent à jouir simultanément. En principe, elles n’ont pas droit de se faire jouir entre elles mais elles n’avaient pas leur ceinture de chasteté et pour cause, elles avaient reçu pour ordre de jouir avec fanny.

Deux heures plus tard, alors que fanny était extrêmement belle, parée de diamants et rubis d’une valeur inestimable ainsi que des parfums les plus rares, elle attendait assise devant une volumineuse coiffeuse au miroir orné de petites sculptures, qu’on vienne la chercher. Une des 2 soumises finissant de lui poser une grosse fleur rouge dans les cheveux pour ensuite lui apposer un voile aux dentelles raffinées sur le visage.

Sa robe était une robe de rêve, elle ressemblait plus à une chemisette de nuit. Mais avait un large décolleté qui laissait voir sa poitrine et surtout le libre accès entre ses seins.

Puis la porte s’ouvrit. Fanny s’attendait à voir Walter ou la cuisinière. Elle fut surprise de voir entrer un colosse homme de couleur. Un géant noir très musclé de plus de 2 mètres à la carrure digne des plus grands catcheurs. Il était nu et seul un pagne cachait son sexe qu’on devinait volumineux. Il avait à chaque oreille une énorme boucle en or d’un diamètre d’un bol. Sa grosse tête lui donnait un air imposant avec des yeux avides de plaisirs, il avait un aspect sadique, qu’on devinait juste en croisant simplement son regard. Son sourire pervers montrant de parfaites dents blanches complétait cette apparence vicieuse.

Il s’adressa de suite à fanny en lui disant laconiquement dans un accent africain :
- Vient avec moi.

Fanny, presque apeurée par ce géant, se leva craintivement et le colosse s’approcha, lui banda les yeux, lui mit une menotte à chaque poignet, puis à l’aide d’un mousqueton, il relia cette paire de menotte à une laisse et franchit la porte tirant fanny vers l’extérieur de la pièce. Ne voyant rien la peur au ventre, elle n’eut pas d’autre choix que de suivre.

Après une suite de couloirs parcourus lesquels elle commençait à connaître les recoins en temps normal, c'est-à-dire les yeux ouverts, elle ne put évaluer sa destination les yeux bandés. Mais c’est avec certitude qu’elle sentit une forte assemblée présente quand le colosse et elle franchirent une porte pour accéder à une pièce dont elle ignorait la nature. On l’a força à entrer jusqu’au milieu de celle-ci. Elle sentit qu’on l’obligeait à pivoter et à s’immobiliser ensuite. On lui fit lever les bras en croix ainsi que les jambes. Elle compris qu’on était en train de l’attacher ainsi debout bras et jambes déployés. Puis on lui enleva le bandeau. Quelle ne fut sa surprise de constater qu’elle avait été attachée à l’intérieur d’un grand cercle métallique vertical et creux, monté sur un axe pivotant. Ainsi il était aisé de lui mettre la tête en bas et la remonter tête en haut juste en faisant pivoter d’un tour complet l’ensemble (tel un miroir pivotant).

La deuxième surprise fut de découvrir ce qui l’entourait. Elle était dans une pièce magnifique ou le plafond immense était un dôme en verre sombre qui montait pour la pointe en flèche très haut. On distinguait la lumière du jour au travers les immenses baies vitrées de cette magnifique toiture. Elle avait été installée au milieu de la pièce sur un parquet tout semblable à celui de la salle du casino. A 5 mètres de fanny et tout autour, hormis une allée centrale par laquelle elle avait du arriver, il y avait des chaises confortables et une assemblée de nobles perruqués étaient assis tranquillement à bavarder en la scrutant sous tous les angles. Les commentaires allaient bon train et fanny compris qu’elle était le sujet principal des discutions.
Fanny chercha son Vénéré Maître mais en vain elle ne le voyait pas et cela l’inquiétait beaucoup.

Quand tout d’un coup, le bruit sourd d’un gong se fit entendre de on ne sait d’où. Le silence se fit de suite pour laisser place à des sons résonnant de tambours et djembés ainsi que des cris chantés tels ceux de peuplades primitives. L’assemblée tourna alors la tête dans la direction de cette musique africaine pour découvrir une entrée des plus colorées. En effet, un groupe d’africains arriva, quasi nus mis à part colliers et bracelets ainsi que des décorations diverses sur leurs corps comme tatouages ou petits crânes squelettiques d’animaux divers. Il y avait 6 femmes nues qui dansaient de leurs corps recouvert de peinture aux couleurs très vives. Les 12 hommes aussi étaient peints mais ce que remarqua de suite fanny, ce fut ce qui suivait derrière eux. Toute une queue leu leu d’esclaves à 4 pattes.

Elle reconnut de suite parmi eux, ses compagnons de cachots tel que e46, serf69, e541,e722. Sans un mot walter qui fermait la marche, fit mettre les soumis au nombre de 8 côte à côte en levrette face au public et cul relevé. Les 12 hommes africains se divisèrent alors en deux groupes. 4 gardèrent leurs djembés et allèrent se mettre à côté du groupe des soumis. Les 8 autres s’installèrent en s’asseyant à l’envers pour chacun sur le dos d’un esclave face à fanny et ainsi tournant le dos à l’assemblée.
Les esclaves firent ainsi un excellent siège et les africains pouvaient se servir des fesses des soumis comme peau de tambour. Quand les djembés se remirent en action, les fessées claquèrent sur les fesses des esclaves au rythme de la musique. Et ce fut une volée sans discontinue de fortes claques aux fesses que reçurent les esclaves. Ils servaient ainsi de tambours. Les esclaves criaient leur douleurs mais leurs hurlements ne se fit pas entendre, couverts par les djembés des 4 autres africains
Une des africaines s’approcha alors, tout en dansant, de fanny avec un bol en bois et fumant d’une mixture douteuse. Elle força fanny à s’abreuver de ce bouillon aux herbes mystérieuses. Puis la belle africaine à la poitrine généreuse se remit à danser tout autour de la belle fanny. Au bout de quelques instants, le rythme de la musique aidant conjugué à la drogue que fanny venait d’absorber malgré elle, la tête commença à lui tourner. Des sensations étranges et presque hallucinogènes lui monta au cerveau. Il lui semblai planer et ne sentait plus son corps. Comme si son esprit se ‘’détachait » de tout son être.

Et c’est dans cette semi somnolence où une dangereuse et douce euphorie de bien être gagnant son esprit qu’elle aperçut le géant noir qui était venu la chercher tantôt. Il poussait à lui tout seul une énorme forge montée sur roulette et avança jusqu’au bord du parquet. Dans cette forge mobile, un brasier rouge donnait une généreuse fumée qui montait jusqu’au dôme. Un fer rougi des armoiries des Evans baignait dans les tisons bouillants.

La musique s’arrêta en même temps que les innombrables fessées données aux soumis devenus pour l’occasion des ‘’instruments à peaux’’. Rarement on avait vu des fesses aussi rougies.

Puis un homme majestueux, avec sa haute tiare sur son crâne et tout vêtu de blanc telle une aube de prêtre et assis sur un trône aussi monté sur roulette arriva. Ce haut siège était tracté par 2 esclaves noirs et musclés portant des œillères à la tête telles des bêtes de somme. On aurait cru voir des bœufs, tant ils paraissaient costauds. Le trône dépassa l’assemblée, les musiciens et leurs ‘’instruments humains’’, puis les danseuses garées sur le côté et stoppa à quelques mètres de fanny.
Celle-ci sous l’effet de la drogue somnolait en dodelinant de la tête mais reconnut tout de même son Maître descendant de son trône. L’assemblée se leva pour acclamer le Maître des lieux, le Marquis d’Evans. Et tous les esclaves autres que ceux déjà utilisés comme siège et djembé, se prosternèrent.

D’un geste de la main, ce fut le silence. Et le Noble, regardant l’assemblée, prit la parole d’une voix forte, claire :
- Mes amis, vous êtes rassemblés aujourd’hui comme à chaque marquage de mes esclaves, d’ailleurs, pour assister à celui de ma nouvelle chienne. Elle porte encore le nom de fanny mais dès qu’elle aura mon sceau en sa chair, elle deviendra officiellement esclaveLunaMDE et sera à vie ma propriété.

Le Marquis s’arrêta et les acclamations fusèrent. D’un autre geste de la main la musique de danses africaines repris et les fessées de plus belle aussi. Les danseuses tournèrent de plus en plus vite dans un tourbillon rapide où les sens de fanny furent entremêlés à cette ambiance de rituel africain. Ambiance à la fois magique et ensorcelée amplifiée sous les effets de la mixture. Fanny était dans un autre monde, elle voyait son Maître mais ne pouvait sortir un seul mot. Elle était complètement droguée quand le Marquis muni d’un gant de protection empoigna le fer pour le sortir du brasier. Il s’approcha le bras levé avec le tison au bout rouge qui crépitait dans l’air. Quand il stoppa à quelques centimètres de fanny, celle-ci ne réagissant même pas avec ses yeux fixes qui regardaient le rouge du fer mais sans le voir, la drogue agissant pleinement. La musique monta d’intensité quand le Marquis visa doucement l’entre deux seins pour venir y plaquer un bref instant le bout ferreux et fumant.
Fanny hurla d’un coup. Un cri de douleur très bref presque sans s’apercevoir qu’elle venait de crier pour tout de suite s’évanouir. Une odeur de peau brûlée s’échappa de son buste...la marque des Evans était désormais en elle pour la vie.

Ce n’est que le lendemain matin qu’elle se réveilla dans un lit douillet. Ce n’était pas celui du Marquis et elle fut surprise de n’être pas dans sa cellule. Quand elle ouvrit les yeux, elle aperçut son Maître qui lui sourit gentiment. Elle regarda autour d’elle et vit qu’elle était dans une chambre digne des Contes des Mille et une Nuits.
Tout était beau, luxueux, capitonné. Le lit, on aurait dit celui d’une reine comme la chambre d’ailleurs.

- Mais… Mais où suis-je ? demanda faiblement fanny sans bouger en souriant à son Maître
- Tu es dans la chambre royale, dans les appartements privés. Rares sont celles qui ont droit de coucher ici. Mais je te t’offre ce privilège…
- Mais qu’est-ce qui m’est arrivé, demanda-t-elle en essayant de réunir ses pensées encore un peu confuses… Ah oui, je me souviens j’étais attachée… la danseur africaine…. j’ai bu et …. (et réalisant) … Ho mon dieu mon marquage, je…
Fanny porta sa main à sa poitrine pour s’apercevoir le volumineux pansement qu’on lui avait posé et qui était fermé par des bandes stérilisées entourant son buste… Alors son Maître lui dit d’une voix douce :
- Tu es désormais sous crème anesthésiante sur ton marquage pour plusieurs jours.
Jusqu’à complète cicatrisation. Tu recevras les soins nécessaires en te reposant ici.
Tant que tu ne seras pas complètement remise, tu seras traitée comme une reine…
- Mais Maître, je… disait fanny de ses yeux pétillant d’émotions et d’amour
- Chut, lui dit le Marquis en l’embrassant tendrement sur ses douces lèvres chut ! … esclaveLuna ..

- Maître, Mais je… je vous aime …, eut juste le temps de dire fanny avant ce baiser d’amour …
(A suivre…)

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