La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 5)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 5)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
Le Comte claqua dans ses mains pour donner l'ordre du départ... les quatre esclaves s'élancèrent alors à quatre pattes à travers la salle, sous le regard et les encouragements bruyants des invités.
La "course" des quatre esclaves démarrait sur les chapeaux de roues et offrait un spectacle très jouissif au public. leur cul empli par les "queues" colorées rendait leur avancée plus maladroite, et leur volonté de se montrer le plus rapide également. l'esclave12 avait résolument pris la tête de cette course, devançant de fort peu la seule femelle de l'épreuve, l'esclave46, un peu en retrait
ils étaient suivis par les esclaves 22 et 69... Le public criait et les incitait à accélérer en scandant les couleurs qui ornaient leurs croupes, Rouge pour l'esclave12, rose pour 46, vert pour 22 et bleu pour 69...
L'esclave22 s'apprêtait à entamer un slalom entre des bornes de chantier oranges et blanches lorsqu'un fruit pourri vint s'écraser sur son visage, la surprise le laissant paralysé, ce dont profita l'esclave46 pour le devancer.
En effet si le public était resté rivé sur la course pendant les premières secondes, quelqu'un s'était souvenu des paniers de fruits abimés que le Comte avait mis à disposition. Les Dames avaient été les premières à y penser et c'est l'Une d'entre Elles qui avait pensé à cette façon pour avantager la seule esclave femelle de la course. 46 avait ainsi pris résolument la première place, dandinant sa croupe bien remplie au fil de sa progression entre les plots.
les trois mâles la suivaient à quelque distance sous les quolibets du public et sous une pluie de tomates pourries qui éclaboussaient leurs corps nus et entravaient leur mouvement.
Si Les Messieurs restaient timides, Les Dames s'amusaient follement à viser les visages ou les fesses des trois esclaves mâles qui glissaient sur les débris de fruits.
Après avoir franchi les divers obstacles du parcours aller, l'esclave46 arrivait enfin devant les os à ronger, elle en saisit un prestement entre ses dents et prit le chemin, du retour alors que les trois mâles arrivaient à peine.
Préservée, certes, mais aussi plus leste que ses adversaires, 46 avait pris une avance conséquente tandis que les trois esclaves mâles, chacun muni désormais d'un os, se livraient une véritable bataille pour ne pas être celui qui serait éliminé.
ils se dandinaient de façon ridicule, pour le plus grand plaisir des invités, sous le regard satisfait du Comte et de son invité de marque Le Marquis d'Evans qui observait avec un certain intérêt les évolutions des esclaves de son cheptel, imaginant déjà comment il choisirait de châtier ceux qui se montreraient indignes de Son dressage.
L'esclave46 passait déjà la ligne d'arrivée... elle était manifestement fort bien dressée à évoluer à quatre pattes. Les longues séances de marche tenue en laisse par Son Maître Sir Evans avaient parfaitement porté leurs fruits. Par contre, les trois mâles auraient besoin d'être rééduqués... Le Marquis d'Evans imaginait déjà comment il allait leur apprendre à devenir de meilleurs chiens.
Juste à cet instant, une tomate vint frapper l'esclave69 en plein visage, le choc et surtout la surprise lui faisant perdre l'os qu'il tenait entre ses dents... esclave12 et esclave22 en profitaient déjà pour accélérer et s'approcher de l'arrivée où esclave46 avait déjà été reprise en laisse par l'un des serviteurs musculeux du Comte.
Tandis que l'esclave69 s'appliquait désespérément à reprendre l'os dans sa "gueule", les deux autres franchissaient à leur tour l'arrivée. Sous les huées des invités, l'esclave69 arrivait à son tour.
Les trois mâles furent alors repris en laisse et c'est ainsi qu'ils furent menés au pied des fauteuils dans lesquels Le Comte et Le Marquis avaient pris place.
Ils furent disposés de gauche à droite, dans l'ordre du classement de la course... Les invités qui avaient suivi faisaient à nouveau cercle, dans l'attente de l'annonce des Deux Maîtres de cérémonie.
Le Comte se tourna vers Le Marquis d'Evans :
- "A Vous l'Honneur, mon cher Marquis"
Le Marquis le remercia d'un élégant hochement de tête et se leva....
Il s'approcha d'esclave46 et posa sa main sur la nuque de la femelle, la tapotant d'un geste apaisant et protecteur
- "C'est bien 46, tu as été une bonne chienne, vive et racée... Tu as mérité d'être la première et tu as su satisfaire ton Maître. ne te relâches pas et ne me déçois pas"... Les invités applaudirent ce bref mais précis commentaire.
Puis Le Marquis s'approcha de 12 et 22. il n'eut pas de geste à leur égard, se contentant de les contempler de toute Sa Hauteur...
- "vous avez rempli votre contrat puisque vous poursuivez les épreuves. je ne commenterai pas votre prestation..."
Puis, Il se dirigea vers l'esclave69 qui attendait, le front au sol, reins cambrés et la croupe dressée, comme les trois autres...
Sur un geste du Marquis, un serviteur s'approcha et tendit une cravache au Marquis.
Sans ajouter un mot, Le Marquis abattit brusquement la cravache sur la croupe de 69... un véritable éclair de douleur cingla le cul de l'esclave, remontant le long de son échine. Mais il n'eut pas le temps de vraiment réaliser la douleur avant que le deuxième, puis le troisième coup ne s'abattent.
L'esclave69 tentait de se maintenir aussi immobile que possible sous les coups, serrant les dents sur l'os qu'il avait toujours entre les dents. Les coups tombaient régulièrement, impitoyablement... Dix coups... avant que La Voix du Marquis ne retentisse dans le silence qui s'était abattu sur la salle.
- "tu as été indigne et tu le paieras. pour commencer, que l'on aille installer cette chienne de bas étage au pilori, il y attendra son sort. Consacrons nous plutôt aux prochains divertissements imaginés par notre hôte si imaginatif"...
Tandis que deux serviteurs entrainaient 69 vers l'un des piloris, Le Comte sortait à son tour de son fauteuil pour se rapprocher des trois esclaves toujours prosternés...
- "Bien ! Puisque la première épreuve a eu l'heur de vous plaire, passons donc à la suite"
Les invités approuvèrent avec force encouragements tandis que le Comte tapait à nouveau dans ses mains.
Deux serviteurs approchèrent alors portant chacun une sorte de tabouret. Ils les installèrent au centre de la salle. C'était des tabourets bas, en métal, dont l'assise était garnie d'un épais godemichet pointant vers le haut.
Des serviteurs enlevèrent d'un geste les "queues" des trois esclaves encore qualifiés et les firent se relever avant de leur entraîner vers les tabourets.
"Voici donc la suite, mes amis" dit Le Comte. "Vous connaissez sans doute le jeu des chaises musicales... Eh bien nous y voilà : trois esclaves, deux tabourets, ils vont avoir les yeux bandés, et les mains attachées dans le dos. Lorsque la musique va retentir, vous pourrez les saisir, les pousser, les peloter, ils doivent perdre la notion de l'espace. Lorsque la musique cessera, ils devront alors rechercher les tabourets et venir s'empaler sur les godemichets qui les garnissent. Il n'y a que deux places, celui qui ne trouvera pas à s'asseoir sera éliminé"...
Les deux tabourets garnis d'un épais gode dressé se trouvaient maintenant au centre même d'un espace qui était délimité par les invités de la soirée.
Seul un espace avait été ménagé sur un côté, afin de dégager la vue depuis les deux fauteuils occupés par le Comte et le Marquis. Les trois esclaves, la femelle46, mâle12 et mâle22, attendaient la nouvelle épreuve qu'ils allaient devoir affronter. Leur cou restait garni de l'épais collier de chien en cuir noir clouté symbole de leur statut servile, leurs yeux étaient bandés et leurs poignets menottés dans le dos. Autour d'eux, la tension était palpable, le public ayant été très excité par l'épreuve précédente.
Plus loin, l'esclave mâle69 demeurait exposé au pilori, le cul toujours rempli par le plug qui lui avait servi de queue lors de l'épreuve où il s'était révélé trop peu habile. Dans sa tête se bousculaient les pires angoisses. Il savait qu'il ne resterait pas indéfiniment à l'écart et que dès ce soir il allait payer pour sa maladresse... Et cela ne serait rien à côté de ce qui l'attendait lorsqu'il regagnerait le château de son Maître, où il devrait subir le courroux de celui-ci et le dressage adapté qui viserait à améliorer sa si piètre prestation.
Mais l'attention du moment était ailleurs... Autour des trois esclaves encore en lice, qui s'apprêtaient à affronter leur deuxième épreuve.
Le Comte frappa dans ses mains afin de canaliser l'attention...
- "Mes amis, mes amis ! Voici venu le moment de la deuxième épreuve. Mes serviteurs vont vous distribuer de fines baguettes. Afin d'agrémenter le jeu, vous pourrez les utiliser sur nos trois chiennes lorsqu'elles s'égareront vers vous. N'hésitez pas à les utiliser afin de rendre le jeu encore plus amusant !"
Il claqua à nouveau dans les mains et la musique commença. Des serviteurs bousculèrent les trois esclaves vers le centre de l'aire dégagée autour des tabourets. Tous trois se déplaçaient hasardeusement, tentant de se repérer et de trouver l'endroit où avaient été placés les deux tabourets.
Mais dès qu'ils approchaient du cercle formé par le public, ils étaient bousculés et perdaient tout repère, livrés alors aux sarcasmes du public qui jouissait de voir ces viles créatures ainsi ridiculisées.
Soudain, la musique prit fin ! Juste au moment où la femelle46 et le mâle12 tentaient un pas de côté, ils se heurtèrent et la femelle chuta lourdement, tandis que le mâle vacillait sur le côté, immédiatement cueilli par le coup cinglant d'une baguette maniée avec dextérité venant claquer sur sa cuisse, lui arrachant un cri... Bien mal lui en prit, car ce cri fut jugé fort déplacé...
Comment un esclave bien dressé pouvait-il laisser échapper un tel cri pour un simple coup ? Le public offusqué (le poids probable de la surprise ne pesant manifestement pas dans la balance) s'en prit alors au malheureux esclave sur lequel les coups de baguette se mirent à pleuvoir. Même s'ils n'étaient pas appliqués avec trop de vigueur, les coups suffisaient à désorienter l'esclave12 qui perdit alors toute contenance... tombant à genoux sous une pluie de coups cinglants qui striaient sa peau de zébrures rouges...
Pendant ce temps, la femelle46 subissait également une volée de coups. Dans sa chute, elle s'était recroquevillée sur le sol et la vision de sa belle croupe offerte, à la peau si pâle, avait inspiré quelques'uns des invités qui avaient pris un réel plaisir à y inscrire quelques jolies marques rouges... Elle se relevait maintenant tandis qu'un invité quelque peu éméché l'y aidait en se saisissant d'un téton et l'étirant fermement vers le haut... femelle46 parvint à ne pas
gémir et se redressa en suivant le mouvement imprimé par Celui qui l'avait ainsi saisie.
Pendant ce temps, quelque peu oublié à la suite de la collision de ses concurrents, le mâle22 avait pu s'approcher en tâtonnant des tabourets. Un choc contre son pied lui fit comprendre qu'il touchait au but... Il tentait de rester concentré malgré les cris, les quolibets et les coups de baguette, et se positionnant lentement, il commença à se baisser en espérant qu'il ne manquerait pas d'adresse.
Enfin, il sentit quelque chose qui frottait contre le côté de sa fesse... il se repositionna et sentit alors que le gode dressé en garniture du tabouret pointait entre ses fesses.
Quelques applaudissements retentissaient déjà tandis que le long et épais gode s'enfonçait aisément dans le fondement de l'esclave22 de Mâitre Sir Evans qui observait la scène avec satisfaction.
La femelle46 et le mâle12 erraient encore dans l'espace formé par le cercle des invités. Mais E12MSE avait été fortement affaibli par le traitement qu'il venait de subir et certains prenaient plaisir à faire vibrer l'air en agitant leur baguette tout près de lui.
Les plus cruels le frappaient encore, d'autres se contentaient de l'effrayer...
Pendant ce temps, E46MSE progressait, L'Invité qui s'était saisi de son téton avait malaxé fortement celui-ci, le faisant saillir et plusieurs mains étaient venues fouiller un peu ses orifices ou frôler sa peau décorée de quelques jolies stries rougies.
Mais, ayant apprécié la docilité de la femelle-esclave, les invités l'avaient aussi mise dans la bonne direction pour rejoindre les tabourets. hésitante, mais motivée, la femelle s'avançait vers le dernier tabouret disponible...
A son tour, elle vint se positionner approximativement et commença à se penche en ouvrant largement sa croupe... et vint à son tour s'empaler sur le gode du tabouret. Etre ainsi pénétrée en profondeur lui procurait une étrange sensation se soulagement...
Et tandis que le gode s'enfonçait dans son anus élargi et l'enculait profondément, elle se sentait heureuse d'avoir su ainsi réussir cette nouvelle épreuve.
Tandis que deux serviteurs emportaient E12MSE vers un second pilori proche de celui où E69MSE était déjà exposé, les deux "qualifiés" restaient empalés sur leurs tabourets, sous le regard ravi des invités qui attendaient la suite...
...
La femelle 46 et le mâle22 étaient donc les deux ultimes compétiteurs en lice.
Autour d'eux, le cercle des invités se refermait, car chacun voulait les voir de plus près et apprécier dans leurs regards les sensations suscitées par les godes désormais profondément enfoncés dans leurs anus...
Le déroulement des épreuves avaient fortement émoustillé l'assistance et on se pressait pour s'approcher des deux esclaves. Ce n'était que mains qui pelotaient, doigts qui pinçaient, étiraient, s'immisçaient... les tétons de la femelle étaient fermement étirés, ses seins pétris par des mains anonymes qui en jaugeaient l'élasticité, la douceur de la peau, la lourdeur... ceux du mâle étaient vivement pressés, tandis que des mains au doigts effilés pressaient sa queue, la griffant au passage...
Profondément empalés, les deux esclaves subissaient ces assauts docilement et silencieusement. Ils tentaient de conserver une position supportable, tandis que le moindre mouvement avait un effet lancinant et douloureux au plus profond de leurs fondements. Mais sous les attouchements qui se multipliaient et commençaient à agacer leurs parties les plus intimes, ils avaient bien du mal à conserver une attitude un peu digne. Ils étaient deux morceaux de "viande", empalés, offerts, dont aucune partie du corps ne pouvait échapper à la curiosité des convives. On leur donnait des doigts à sucer, on écartait encore un peu plus leurs genoux pour dégager au maximum leurs sexes qui étaient alors exposés, saisis, triturés sans ménagement.
Toujours installés sur Leurs fauteuils, Le Comte et Le Marquis devisaient tout en observant la scène. Tout cela les satisfaisait et ils espéraient que la dernière épreuve serait l'apothéose de cette soirée d'anniversaire, jusqu'au moment où le Comte pourrait disposer de Son cadeau au gré de Ses Caprices les plus pervers et apprécier pleinement le dévouement et les performances de l'esclave dont il deviendrait Le Propriétaire temporaire.
Le Marquis d'Evans se leva alors et fendit la foule vers les deux esclaves empalés sur leurs tabourets...
- "Allons ! laissez donc ces deux esclaves se reposer un peu avant la prochaine épreuve qui les attend. Par contre ! Nous avons là bas deux viles créatures qui sont en attente du courroux de leur Maître... suivez moi"
Par son discours empli d'autorité et le charisme qui l'habitait, le Marquis entraîna à sa suite la foule des invités vers les esclaves E69MSE et E12MSE qui attendaient cloués à leurs piloris. Sir Evans vint se positionner à l'arrière des deux piloris, à proximité de la croupe des deux punis.
Une servante du Comte, seulement vêtue d'une sorte de bikini de chaînettes dorées vint Lui présenter une beau paddle en cuir. Après en avoir éprouvé la surface, Le Marquis commença à corriger la croupe de ses deux esclaves.
Le paddle s'abattait régulièrement, un coup à droite sur les fesses de l'esclave69, un autre à gauche, sur celles de l'esclave12. Le public avait fait silence et les coups pleuvaient dans un silence de cathédrale, seulement brisé par le claquement du paddle s'abattant méthodiquement sur les croupes des deux chiennes qui commençaient à prendre une jolie teinte rougie...
Vingt fois pour l'un, autant pour l'autre, vingt fois s'abattit le paddle sur chacune des croupes, jusqu'à ce que le cul de chacun des esclaves ait pris une belle teinte rouge agréable aux yeux de leur Maître Sir Evans.
La servante aux chaînettes vint ensuite s'installer sur un tabouret, à mi-distance des deux soumis et se saisit de leurs sexes rabougris qu'elle commença à serrer entre ses doigts. Le Marquis reprit la parole :
- "Maintenant cette charmante femelle va traire mes deux esclaves... Pendant tout le reste de la soirée. Je suppose que chacun de vous sait ce qu'est le milking ? Pour ceux qui l'ignoreraient : elle va branler ces deux chiennes, et recommencer sans cesse, même lorsqu'elles auront craché leur jus d'esclaves. Bien sur, on peut croire que je leur offre du plaisir. Cela sera peut-être vrai pour quelques minutes. Mais vous aurez le plaisir de constater au fil de la soirée que cela peut devenir une réelle épreuve... Par ailleurs, je vais confier ce paddle à l'un de ces mâles musclés... Et si l'un de nos deux esclaves ose gémir, ou supplier... Alors quelques coups de paddle ne manqueront pas de leur rappeler les vertus du silence !"
La femelle avait commencé la traite des deux esclaves. En rythme, elle faisait monter et descendre ses mains en serrant bien la nouille des soumis qui commençait à se gorger. Elle agissait avec une froideur quasi clinique, ne cherchant nullement à procurer du plaisir aux punis, mais seulement à obtenir l'excitation de leur pénis, jusqu'à une éjaculation purement mécanique. Et puis elle poursuivrait ce mouvement encore... et encore... Pendant des heures s'il le fallait, jusqu'à ce qu'on lui ordonne de stopper. Elle n'avait rien contre les deux soumis, ils n'étaient rien, elle exécutait efficacement la tache qui lui avait été fixée et elle allait continuer ainsi, mécaniquement, comme une machine parfaitement dressée.
...
La servante ne cessait pas de traire les esclaves E12MSE et E69MSE... son action les avait vidés de toute substance mais elle gardait inlassablement le rythme qui rendait leurs sexes toujours plus douloureux.
Plusieurs fois, les esclaves n'avaient pu retenir des gémissements, de plaisir parfois au début, puis de douleur. A chaque gémissement qu'ils laissaient échapper, le serviteur abattait sur leurs croupes offertes plusieurs coups de paddle et leurs fesses avaient pris une teinte qui virait au mauve, tandis qu'en certains points, la peau avait éclaté en stries rougies et sanguinolentes.
Pour leur épargner toujours plus de douleur (mais surtout pour Leur propre plaisir) des invités étaient venus se placer devant les deux esclaves immobilisés dans leurs piloris et baillonaient désormais leurs bouches de leur sexe qui allaient et venaient jusqu'à la jouissance, inondant alors la bouche et la gorge des deux esclaves punis.
Dès que L'un des invités se retirait, satisfait, Un Autre prenait sa place, en une succession ininterrompue de sexes qui s'enfonçaient sans ménagement jusqu'à inonder encore et encore les bouches des esclaves d'un flot épais de noble semence.
...
Pendant que la fête battait son plein, Le Comte et son hôte Le Marquis d'Evans s'étaient approchés des esclaves E46MSE et E22MSE qui attendaient leur prochaine épreuve, toujours assis empalés sur les tabourets-gode.
Autour d'eux on dansait et flirtait sans retenue et les alcools et vins les plus fins coulaient à flots, servis sur des plateaux d'argent par les servantes nues et parfumées que Le Comte avait mis à disposition de Ses invités.
Emoustillés par les événements de la soirée, les invités profitaient pleinement de ces jeunes femelles aux corps seulement parés de quelques fines chaînettes qui ne cachaient rien de leur anatomie.
Elles avaient toutes le corps intégralement épilé et les tétons étaient enserrés dans de fins bijoux dont les griffes qui servaient de pinces faisaient saillir les tétons durcis.
Distraites de leur fonction de service, certaines d'entre-elles étaient déjà passées entre Les Mains de nombreux invités... Les Dames prenant part à ces jeux, sauf lorsqu'elles préféraient claquer des doigts pour faire venir à Elles l'un des serviteurs musclés qui, tout aussi peu vêtus que leurs consoeurs, venaient leur offrir tous les plaisirs qu'Elles pouvaient exiger d'eux, sans gêne ni retenue.
Les serviteurs avaient été dressés à donner du plaisir sans être autorisés à jouir eux-même des ébats auxquels ils devaient se prêter. Mais lorsque l'un d'eux osait se répandre, alors le plaisir de le fouetter durement s'ajoutait à la jouissance de Celles et Ceux qui avaient profité de son corps d'esclave et le châtiaient alors d'avoir osé croire pouvoir profiter (même involontairement) de ces moments dédiés aux seuls plaisirs Des Dominant(e)s.
Le Comte et Le Marquis profitaient de ce spectacle assis sur Leurs trônes, profitant des caresses buccales attentionnées de deux jeunes esclaves enchaînées à Leurs Pieds.Elles avaient été spécialement choisies par Le Comte pour la douceur de leurs lèvres et leurs bouches de velours. Depuis des semaines, elles avaient été préparées, isolées de tout le reste du cheptel comtal et préservées de toute introducton dans leurs orifices. elles avaient bénéficié de soins attentionnés et n'avaient subi aucune punition afin que leurs corps soient absolument parfaits.
Avant d'être présentées, elles avaient été baignées, leurs corps crémès et parfumés. Puis, un fin collier de métal argenté avait été fermé sutour de leur cou et elles avaient été prises en laisse par deux serviteurs les menant par une fine chaîne d'argent et menées à quatre pattes vers Leurs Maîtres. leurs longs cheveux blonds avaient été laissés libres et dégoulinaient en cascade sur leurs épaules tandis qu'elles avançaient docilement vers les trônes en ondulant légèrement de la croupe.
Maintenant, elles s'appliquaient à dispenser le plus profond des plaisirs Aux Deux Maîtres en leur offrant leurs gorges profondes et en les prenant avec application entre leurs lèvres douces et dociles.
La fête battait son plein et le moment crucial approchait...
Deux serviteurs vinrent libérer E46MSE et E22MSE de leurs tabourets-godes... Un réel soulagement gagna les deux esclaves dont le cul avait été si longuement été distendu par le god enfoncé au plus profond de leurs anatomies.
Une servante se tenait tout près de là, portant une éponge. Elle s'approcha et commença à tremper l'éponge dans l'eau parfumée que contenait le seau, puis elle en enduisit le corps des deux esclaves afin de les nettoyer de la transpiration et des diverses sécrétions qui les couvrait.
Lorsque les esclaves 46 et 22 furent correctement nettoyés, ils furent mis à quatre pattes et on fixa une laisse à leurs colliers afin de les mener vers Les Maîtres.
Les serviteurs tenaient chacun leur laisse au plus court et commencèrent à faire évoluer les deux esclaves à travers la salle de réception. Peu à peu, les divers groupes commencèrent à stopper leurs jeux sexuels afin de contempler les deux esclaves que l'on promenait ainsi, comme le bétail que l'on présente à l'assemblée avant un concours agricole...
Le quatuor évoluait ainsi entre les groupes, les esclaves 46 et 22 s'appliquant à se déplacer avec l'élégance racée de deux chiennes parfaitement dressées, malgré leurs culs douloureux à l'orifice rendu béant par le traitement qu'il venait de subir.
Lorsque cette présentation publique eut attiré l'attention de tous les convives, les deux esclaves furent enfin amenés devant les trônes du Comte et du Marquis.
Tandis que les serviteurs s'éloignaient afin de regagner les coulisses de la salle, E46MSE et E22MSE se prosternaient humblement aux pieds des Deux Maîtres, dans l'attente de l'ultime épreuve qui permettrait de désigner l'esclave qui serait livré comme cadeau d'anniversaire au Comte pour une semaine d'appartenance totale.
Le public faisait à nouveau cercle devant les trônes et Le Comte se levait, souriant :
- "Voici venu le moment de l'ultime épreuve. Ce sera simple, mes serviteurs vont répandre des roses à travers la salle, nos deux esclaves vont devoir aller chercher ces roses une par une et les ramener au pied des trônes, l'esclave qui ramènera le plus grand nombre de roses sera l'élu qui deviendra ma propriété absolue pour une semaine... (des applaudissements crépitèrent) ... Je n'ai pas terminé ! Afin de corser un peu le jeu, parfois un gong retentira. Les deux esclaves devront alors rechercher Une Queue proposée à leurs bouches et la sucer profondément, jusqu'à jouissance de Celui qui la leur aura tendue. La meilleure suceuse de nos deux chiennes gagnera du temps sur sa rivale... Et maintenant, que la compétition commence !"
Le Comte revint s'installer sur son trône tandis que la foule des invités de dispersait à travers la salle où des serviteurs avaient profité du discours du Comte pour répandre partout de somptueuses roses rouges aux longues tiges. Un gong retentit et les deux esclaves se précipitèrent au travers de la salle à la recherche de roses.
E46MSE et E22MSE sillonaient la salle à quatre pattes en se pressant d'aller saisir une nouvelle rose entre ses dents avant de la rapporter aux pieds des trônes où elles formaient deux tas à peu près égaux. Parfois, un invité s'amusait à poser un pied sur la tige d'une rose, empêchant ainsi l'esclave de l'emporter... C'était une situation particulièrement difficile pour les esclaves qui ne pouvaient qu'espérer la magnanimité de l'invité qui les tourmentait et lèverait le pied sans trop leur faire perdre de temps...
Au premier coup de gong, 46 et 22 relevèrent un peu la tête afin de tenter de repérer Ceux qui auraient libéré leurs sexes... Ils avançaient dans la foule en observant et trouvèrent à peu près en même temps Les Sexes qu'ils allaient devoir satisfaire. A genoux, la bouche gourmande et les lèvres douces, les deux esclaves suçaient goulument les sexes qui emplissaient leurs bouches... Jusqu'à ce qu'un flot épais de semence viennent emplir leurs bouches et coulent dans leurs gorges.
Ils pouvaient alors se remettre à quatre pattes et reprendre leur course aux roses. Les deux tas de roses allaient en augmentant à un rythme soutenu, tandis que les coups de gong se succèdaient, imposant des pauses aux deux esclaves.
Manifestement, les prestations de la femelle46 semblaient cependant devenir de plus en plus efficaces auprès Des Messieurs qui lui tendaient Leur Sexe à sucer. Excités par la situation et par cette belle femelle à la bouche suave, ils déchargeaient violemment et 46 avalait rapidement l'épaisse giclée avant de retourner à la recherche des dernières roses encore répandues dans la salle.
L'esclave 22 s'appliquait à faire au mieux également, mais manifestement ses charmes semblaient agir de façon moins efficace sur Les Invités de la soirée.
Finalement, tandis que l'ultime rose venait rejoindre le tas de E46MSE, une corne retentit dans la salle, annonçant la fin de la compétition. les deux esclaves revinrent se prosterner aux Pieds du Comte et du Marquis. Les deux femelles qui venaient de prodiguer leurs caresses buccales aux Deux Seigneurs se levèrent élégamment et ondulant des hanches descendirent les quelques marches afin de rejoindre les deux esclaves qui se tenaient prosternés, reins cambrés et croupe bien relevée face au public qui s'était approché afin de découvrir le décompte final.
Chaque femelle se chargeait d'un tas de roses et donc de l'esclave correspondant. Elles décomptaient les roses une à une, puis enfonçaient celle qui venait d'être comptée dans l'anus de l'esclave dont elles s'occupaient. Les tiges formaient ainsi un large faisceau qui, peu à peu, élargissait à nouveau l'anus des esclaves.
Finalement, sous les applaudissements, l'esclave E46MSE avait su réunir 28 roses qui formaient désormais un épais bouquet garnissant son cul et lui formant comme une large corolle anale. Elle avait réuni bien plus de roses que E22MSE ...
Le Comte se leva à nouveau, et Le Marquis d'Evans fit de même. Ils se serrèrent chaleureusement la main, puis Le
Comte se tourna vers les invités :
- "Eh bien voilà ! C'est donc la femelle46 qui sera mon cadeau. et je m'en réjouis ! qu'on l'emmène afin de la préparer, j'en prendrai possession un peu plus tard. Et maintenant, que la fête continue !".
...
A suivre...)
Le Comte claqua dans ses mains pour donner l'ordre du départ... les quatre esclaves s'élancèrent alors à quatre pattes à travers la salle, sous le regard et les encouragements bruyants des invités.
La "course" des quatre esclaves démarrait sur les chapeaux de roues et offrait un spectacle très jouissif au public. leur cul empli par les "queues" colorées rendait leur avancée plus maladroite, et leur volonté de se montrer le plus rapide également. l'esclave12 avait résolument pris la tête de cette course, devançant de fort peu la seule femelle de l'épreuve, l'esclave46, un peu en retrait
ils étaient suivis par les esclaves 22 et 69... Le public criait et les incitait à accélérer en scandant les couleurs qui ornaient leurs croupes, Rouge pour l'esclave12, rose pour 46, vert pour 22 et bleu pour 69...
L'esclave22 s'apprêtait à entamer un slalom entre des bornes de chantier oranges et blanches lorsqu'un fruit pourri vint s'écraser sur son visage, la surprise le laissant paralysé, ce dont profita l'esclave46 pour le devancer.
En effet si le public était resté rivé sur la course pendant les premières secondes, quelqu'un s'était souvenu des paniers de fruits abimés que le Comte avait mis à disposition. Les Dames avaient été les premières à y penser et c'est l'Une d'entre Elles qui avait pensé à cette façon pour avantager la seule esclave femelle de la course. 46 avait ainsi pris résolument la première place, dandinant sa croupe bien remplie au fil de sa progression entre les plots.
les trois mâles la suivaient à quelque distance sous les quolibets du public et sous une pluie de tomates pourries qui éclaboussaient leurs corps nus et entravaient leur mouvement.
Si Les Messieurs restaient timides, Les Dames s'amusaient follement à viser les visages ou les fesses des trois esclaves mâles qui glissaient sur les débris de fruits.
Après avoir franchi les divers obstacles du parcours aller, l'esclave46 arrivait enfin devant les os à ronger, elle en saisit un prestement entre ses dents et prit le chemin, du retour alors que les trois mâles arrivaient à peine.
Préservée, certes, mais aussi plus leste que ses adversaires, 46 avait pris une avance conséquente tandis que les trois esclaves mâles, chacun muni désormais d'un os, se livraient une véritable bataille pour ne pas être celui qui serait éliminé.
ils se dandinaient de façon ridicule, pour le plus grand plaisir des invités, sous le regard satisfait du Comte et de son invité de marque Le Marquis d'Evans qui observait avec un certain intérêt les évolutions des esclaves de son cheptel, imaginant déjà comment il choisirait de châtier ceux qui se montreraient indignes de Son dressage.
L'esclave46 passait déjà la ligne d'arrivée... elle était manifestement fort bien dressée à évoluer à quatre pattes. Les longues séances de marche tenue en laisse par Son Maître Sir Evans avaient parfaitement porté leurs fruits. Par contre, les trois mâles auraient besoin d'être rééduqués... Le Marquis d'Evans imaginait déjà comment il allait leur apprendre à devenir de meilleurs chiens.
Juste à cet instant, une tomate vint frapper l'esclave69 en plein visage, le choc et surtout la surprise lui faisant perdre l'os qu'il tenait entre ses dents... esclave12 et esclave22 en profitaient déjà pour accélérer et s'approcher de l'arrivée où esclave46 avait déjà été reprise en laisse par l'un des serviteurs musculeux du Comte.
Tandis que l'esclave69 s'appliquait désespérément à reprendre l'os dans sa "gueule", les deux autres franchissaient à leur tour l'arrivée. Sous les huées des invités, l'esclave69 arrivait à son tour.
Les trois mâles furent alors repris en laisse et c'est ainsi qu'ils furent menés au pied des fauteuils dans lesquels Le Comte et Le Marquis avaient pris place.
Ils furent disposés de gauche à droite, dans l'ordre du classement de la course... Les invités qui avaient suivi faisaient à nouveau cercle, dans l'attente de l'annonce des Deux Maîtres de cérémonie.
Le Comte se tourna vers Le Marquis d'Evans :
- "A Vous l'Honneur, mon cher Marquis"
Le Marquis le remercia d'un élégant hochement de tête et se leva....
Il s'approcha d'esclave46 et posa sa main sur la nuque de la femelle, la tapotant d'un geste apaisant et protecteur
- "C'est bien 46, tu as été une bonne chienne, vive et racée... Tu as mérité d'être la première et tu as su satisfaire ton Maître. ne te relâches pas et ne me déçois pas"... Les invités applaudirent ce bref mais précis commentaire.
Puis Le Marquis s'approcha de 12 et 22. il n'eut pas de geste à leur égard, se contentant de les contempler de toute Sa Hauteur...
- "vous avez rempli votre contrat puisque vous poursuivez les épreuves. je ne commenterai pas votre prestation..."
Puis, Il se dirigea vers l'esclave69 qui attendait, le front au sol, reins cambrés et la croupe dressée, comme les trois autres...
Sur un geste du Marquis, un serviteur s'approcha et tendit une cravache au Marquis.
Sans ajouter un mot, Le Marquis abattit brusquement la cravache sur la croupe de 69... un véritable éclair de douleur cingla le cul de l'esclave, remontant le long de son échine. Mais il n'eut pas le temps de vraiment réaliser la douleur avant que le deuxième, puis le troisième coup ne s'abattent.
L'esclave69 tentait de se maintenir aussi immobile que possible sous les coups, serrant les dents sur l'os qu'il avait toujours entre les dents. Les coups tombaient régulièrement, impitoyablement... Dix coups... avant que La Voix du Marquis ne retentisse dans le silence qui s'était abattu sur la salle.
- "tu as été indigne et tu le paieras. pour commencer, que l'on aille installer cette chienne de bas étage au pilori, il y attendra son sort. Consacrons nous plutôt aux prochains divertissements imaginés par notre hôte si imaginatif"...
Tandis que deux serviteurs entrainaient 69 vers l'un des piloris, Le Comte sortait à son tour de son fauteuil pour se rapprocher des trois esclaves toujours prosternés...
- "Bien ! Puisque la première épreuve a eu l'heur de vous plaire, passons donc à la suite"
Les invités approuvèrent avec force encouragements tandis que le Comte tapait à nouveau dans ses mains.
Deux serviteurs approchèrent alors portant chacun une sorte de tabouret. Ils les installèrent au centre de la salle. C'était des tabourets bas, en métal, dont l'assise était garnie d'un épais godemichet pointant vers le haut.
Des serviteurs enlevèrent d'un geste les "queues" des trois esclaves encore qualifiés et les firent se relever avant de leur entraîner vers les tabourets.
"Voici donc la suite, mes amis" dit Le Comte. "Vous connaissez sans doute le jeu des chaises musicales... Eh bien nous y voilà : trois esclaves, deux tabourets, ils vont avoir les yeux bandés, et les mains attachées dans le dos. Lorsque la musique va retentir, vous pourrez les saisir, les pousser, les peloter, ils doivent perdre la notion de l'espace. Lorsque la musique cessera, ils devront alors rechercher les tabourets et venir s'empaler sur les godemichets qui les garnissent. Il n'y a que deux places, celui qui ne trouvera pas à s'asseoir sera éliminé"...
Les deux tabourets garnis d'un épais gode dressé se trouvaient maintenant au centre même d'un espace qui était délimité par les invités de la soirée.
Seul un espace avait été ménagé sur un côté, afin de dégager la vue depuis les deux fauteuils occupés par le Comte et le Marquis. Les trois esclaves, la femelle46, mâle12 et mâle22, attendaient la nouvelle épreuve qu'ils allaient devoir affronter. Leur cou restait garni de l'épais collier de chien en cuir noir clouté symbole de leur statut servile, leurs yeux étaient bandés et leurs poignets menottés dans le dos. Autour d'eux, la tension était palpable, le public ayant été très excité par l'épreuve précédente.
Plus loin, l'esclave mâle69 demeurait exposé au pilori, le cul toujours rempli par le plug qui lui avait servi de queue lors de l'épreuve où il s'était révélé trop peu habile. Dans sa tête se bousculaient les pires angoisses. Il savait qu'il ne resterait pas indéfiniment à l'écart et que dès ce soir il allait payer pour sa maladresse... Et cela ne serait rien à côté de ce qui l'attendait lorsqu'il regagnerait le château de son Maître, où il devrait subir le courroux de celui-ci et le dressage adapté qui viserait à améliorer sa si piètre prestation.
Mais l'attention du moment était ailleurs... Autour des trois esclaves encore en lice, qui s'apprêtaient à affronter leur deuxième épreuve.
Le Comte frappa dans ses mains afin de canaliser l'attention...
- "Mes amis, mes amis ! Voici venu le moment de la deuxième épreuve. Mes serviteurs vont vous distribuer de fines baguettes. Afin d'agrémenter le jeu, vous pourrez les utiliser sur nos trois chiennes lorsqu'elles s'égareront vers vous. N'hésitez pas à les utiliser afin de rendre le jeu encore plus amusant !"
Il claqua à nouveau dans les mains et la musique commença. Des serviteurs bousculèrent les trois esclaves vers le centre de l'aire dégagée autour des tabourets. Tous trois se déplaçaient hasardeusement, tentant de se repérer et de trouver l'endroit où avaient été placés les deux tabourets.
Mais dès qu'ils approchaient du cercle formé par le public, ils étaient bousculés et perdaient tout repère, livrés alors aux sarcasmes du public qui jouissait de voir ces viles créatures ainsi ridiculisées.
Soudain, la musique prit fin ! Juste au moment où la femelle46 et le mâle12 tentaient un pas de côté, ils se heurtèrent et la femelle chuta lourdement, tandis que le mâle vacillait sur le côté, immédiatement cueilli par le coup cinglant d'une baguette maniée avec dextérité venant claquer sur sa cuisse, lui arrachant un cri... Bien mal lui en prit, car ce cri fut jugé fort déplacé...
Comment un esclave bien dressé pouvait-il laisser échapper un tel cri pour un simple coup ? Le public offusqué (le poids probable de la surprise ne pesant manifestement pas dans la balance) s'en prit alors au malheureux esclave sur lequel les coups de baguette se mirent à pleuvoir. Même s'ils n'étaient pas appliqués avec trop de vigueur, les coups suffisaient à désorienter l'esclave12 qui perdit alors toute contenance... tombant à genoux sous une pluie de coups cinglants qui striaient sa peau de zébrures rouges...
Pendant ce temps, la femelle46 subissait également une volée de coups. Dans sa chute, elle s'était recroquevillée sur le sol et la vision de sa belle croupe offerte, à la peau si pâle, avait inspiré quelques'uns des invités qui avaient pris un réel plaisir à y inscrire quelques jolies marques rouges... Elle se relevait maintenant tandis qu'un invité quelque peu éméché l'y aidait en se saisissant d'un téton et l'étirant fermement vers le haut... femelle46 parvint à ne pas
gémir et se redressa en suivant le mouvement imprimé par Celui qui l'avait ainsi saisie.
Pendant ce temps, quelque peu oublié à la suite de la collision de ses concurrents, le mâle22 avait pu s'approcher en tâtonnant des tabourets. Un choc contre son pied lui fit comprendre qu'il touchait au but... Il tentait de rester concentré malgré les cris, les quolibets et les coups de baguette, et se positionnant lentement, il commença à se baisser en espérant qu'il ne manquerait pas d'adresse.
Enfin, il sentit quelque chose qui frottait contre le côté de sa fesse... il se repositionna et sentit alors que le gode dressé en garniture du tabouret pointait entre ses fesses.
Quelques applaudissements retentissaient déjà tandis que le long et épais gode s'enfonçait aisément dans le fondement de l'esclave22 de Mâitre Sir Evans qui observait la scène avec satisfaction.
La femelle46 et le mâle12 erraient encore dans l'espace formé par le cercle des invités. Mais E12MSE avait été fortement affaibli par le traitement qu'il venait de subir et certains prenaient plaisir à faire vibrer l'air en agitant leur baguette tout près de lui.
Les plus cruels le frappaient encore, d'autres se contentaient de l'effrayer...
Pendant ce temps, E46MSE progressait, L'Invité qui s'était saisi de son téton avait malaxé fortement celui-ci, le faisant saillir et plusieurs mains étaient venues fouiller un peu ses orifices ou frôler sa peau décorée de quelques jolies stries rougies.
Mais, ayant apprécié la docilité de la femelle-esclave, les invités l'avaient aussi mise dans la bonne direction pour rejoindre les tabourets. hésitante, mais motivée, la femelle s'avançait vers le dernier tabouret disponible...
A son tour, elle vint se positionner approximativement et commença à se penche en ouvrant largement sa croupe... et vint à son tour s'empaler sur le gode du tabouret. Etre ainsi pénétrée en profondeur lui procurait une étrange sensation se soulagement...
Et tandis que le gode s'enfonçait dans son anus élargi et l'enculait profondément, elle se sentait heureuse d'avoir su ainsi réussir cette nouvelle épreuve.
Tandis que deux serviteurs emportaient E12MSE vers un second pilori proche de celui où E69MSE était déjà exposé, les deux "qualifiés" restaient empalés sur leurs tabourets, sous le regard ravi des invités qui attendaient la suite...
...
La femelle 46 et le mâle22 étaient donc les deux ultimes compétiteurs en lice.
Autour d'eux, le cercle des invités se refermait, car chacun voulait les voir de plus près et apprécier dans leurs regards les sensations suscitées par les godes désormais profondément enfoncés dans leurs anus...
Le déroulement des épreuves avaient fortement émoustillé l'assistance et on se pressait pour s'approcher des deux esclaves. Ce n'était que mains qui pelotaient, doigts qui pinçaient, étiraient, s'immisçaient... les tétons de la femelle étaient fermement étirés, ses seins pétris par des mains anonymes qui en jaugeaient l'élasticité, la douceur de la peau, la lourdeur... ceux du mâle étaient vivement pressés, tandis que des mains au doigts effilés pressaient sa queue, la griffant au passage...
Profondément empalés, les deux esclaves subissaient ces assauts docilement et silencieusement. Ils tentaient de conserver une position supportable, tandis que le moindre mouvement avait un effet lancinant et douloureux au plus profond de leurs fondements. Mais sous les attouchements qui se multipliaient et commençaient à agacer leurs parties les plus intimes, ils avaient bien du mal à conserver une attitude un peu digne. Ils étaient deux morceaux de "viande", empalés, offerts, dont aucune partie du corps ne pouvait échapper à la curiosité des convives. On leur donnait des doigts à sucer, on écartait encore un peu plus leurs genoux pour dégager au maximum leurs sexes qui étaient alors exposés, saisis, triturés sans ménagement.
Toujours installés sur Leurs fauteuils, Le Comte et Le Marquis devisaient tout en observant la scène. Tout cela les satisfaisait et ils espéraient que la dernière épreuve serait l'apothéose de cette soirée d'anniversaire, jusqu'au moment où le Comte pourrait disposer de Son cadeau au gré de Ses Caprices les plus pervers et apprécier pleinement le dévouement et les performances de l'esclave dont il deviendrait Le Propriétaire temporaire.
Le Marquis d'Evans se leva alors et fendit la foule vers les deux esclaves empalés sur leurs tabourets...
- "Allons ! laissez donc ces deux esclaves se reposer un peu avant la prochaine épreuve qui les attend. Par contre ! Nous avons là bas deux viles créatures qui sont en attente du courroux de leur Maître... suivez moi"
Par son discours empli d'autorité et le charisme qui l'habitait, le Marquis entraîna à sa suite la foule des invités vers les esclaves E69MSE et E12MSE qui attendaient cloués à leurs piloris. Sir Evans vint se positionner à l'arrière des deux piloris, à proximité de la croupe des deux punis.
Une servante du Comte, seulement vêtue d'une sorte de bikini de chaînettes dorées vint Lui présenter une beau paddle en cuir. Après en avoir éprouvé la surface, Le Marquis commença à corriger la croupe de ses deux esclaves.
Le paddle s'abattait régulièrement, un coup à droite sur les fesses de l'esclave69, un autre à gauche, sur celles de l'esclave12. Le public avait fait silence et les coups pleuvaient dans un silence de cathédrale, seulement brisé par le claquement du paddle s'abattant méthodiquement sur les croupes des deux chiennes qui commençaient à prendre une jolie teinte rougie...
Vingt fois pour l'un, autant pour l'autre, vingt fois s'abattit le paddle sur chacune des croupes, jusqu'à ce que le cul de chacun des esclaves ait pris une belle teinte rouge agréable aux yeux de leur Maître Sir Evans.
La servante aux chaînettes vint ensuite s'installer sur un tabouret, à mi-distance des deux soumis et se saisit de leurs sexes rabougris qu'elle commença à serrer entre ses doigts. Le Marquis reprit la parole :
- "Maintenant cette charmante femelle va traire mes deux esclaves... Pendant tout le reste de la soirée. Je suppose que chacun de vous sait ce qu'est le milking ? Pour ceux qui l'ignoreraient : elle va branler ces deux chiennes, et recommencer sans cesse, même lorsqu'elles auront craché leur jus d'esclaves. Bien sur, on peut croire que je leur offre du plaisir. Cela sera peut-être vrai pour quelques minutes. Mais vous aurez le plaisir de constater au fil de la soirée que cela peut devenir une réelle épreuve... Par ailleurs, je vais confier ce paddle à l'un de ces mâles musclés... Et si l'un de nos deux esclaves ose gémir, ou supplier... Alors quelques coups de paddle ne manqueront pas de leur rappeler les vertus du silence !"
La femelle avait commencé la traite des deux esclaves. En rythme, elle faisait monter et descendre ses mains en serrant bien la nouille des soumis qui commençait à se gorger. Elle agissait avec une froideur quasi clinique, ne cherchant nullement à procurer du plaisir aux punis, mais seulement à obtenir l'excitation de leur pénis, jusqu'à une éjaculation purement mécanique. Et puis elle poursuivrait ce mouvement encore... et encore... Pendant des heures s'il le fallait, jusqu'à ce qu'on lui ordonne de stopper. Elle n'avait rien contre les deux soumis, ils n'étaient rien, elle exécutait efficacement la tache qui lui avait été fixée et elle allait continuer ainsi, mécaniquement, comme une machine parfaitement dressée.
...
La servante ne cessait pas de traire les esclaves E12MSE et E69MSE... son action les avait vidés de toute substance mais elle gardait inlassablement le rythme qui rendait leurs sexes toujours plus douloureux.
Plusieurs fois, les esclaves n'avaient pu retenir des gémissements, de plaisir parfois au début, puis de douleur. A chaque gémissement qu'ils laissaient échapper, le serviteur abattait sur leurs croupes offertes plusieurs coups de paddle et leurs fesses avaient pris une teinte qui virait au mauve, tandis qu'en certains points, la peau avait éclaté en stries rougies et sanguinolentes.
Pour leur épargner toujours plus de douleur (mais surtout pour Leur propre plaisir) des invités étaient venus se placer devant les deux esclaves immobilisés dans leurs piloris et baillonaient désormais leurs bouches de leur sexe qui allaient et venaient jusqu'à la jouissance, inondant alors la bouche et la gorge des deux esclaves punis.
Dès que L'un des invités se retirait, satisfait, Un Autre prenait sa place, en une succession ininterrompue de sexes qui s'enfonçaient sans ménagement jusqu'à inonder encore et encore les bouches des esclaves d'un flot épais de noble semence.
...
Pendant que la fête battait son plein, Le Comte et son hôte Le Marquis d'Evans s'étaient approchés des esclaves E46MSE et E22MSE qui attendaient leur prochaine épreuve, toujours assis empalés sur les tabourets-gode.
Autour d'eux on dansait et flirtait sans retenue et les alcools et vins les plus fins coulaient à flots, servis sur des plateaux d'argent par les servantes nues et parfumées que Le Comte avait mis à disposition de Ses invités.
Emoustillés par les événements de la soirée, les invités profitaient pleinement de ces jeunes femelles aux corps seulement parés de quelques fines chaînettes qui ne cachaient rien de leur anatomie.
Elles avaient toutes le corps intégralement épilé et les tétons étaient enserrés dans de fins bijoux dont les griffes qui servaient de pinces faisaient saillir les tétons durcis.
Distraites de leur fonction de service, certaines d'entre-elles étaient déjà passées entre Les Mains de nombreux invités... Les Dames prenant part à ces jeux, sauf lorsqu'elles préféraient claquer des doigts pour faire venir à Elles l'un des serviteurs musclés qui, tout aussi peu vêtus que leurs consoeurs, venaient leur offrir tous les plaisirs qu'Elles pouvaient exiger d'eux, sans gêne ni retenue.
Les serviteurs avaient été dressés à donner du plaisir sans être autorisés à jouir eux-même des ébats auxquels ils devaient se prêter. Mais lorsque l'un d'eux osait se répandre, alors le plaisir de le fouetter durement s'ajoutait à la jouissance de Celles et Ceux qui avaient profité de son corps d'esclave et le châtiaient alors d'avoir osé croire pouvoir profiter (même involontairement) de ces moments dédiés aux seuls plaisirs Des Dominant(e)s.
Le Comte et Le Marquis profitaient de ce spectacle assis sur Leurs trônes, profitant des caresses buccales attentionnées de deux jeunes esclaves enchaînées à Leurs Pieds.Elles avaient été spécialement choisies par Le Comte pour la douceur de leurs lèvres et leurs bouches de velours. Depuis des semaines, elles avaient été préparées, isolées de tout le reste du cheptel comtal et préservées de toute introducton dans leurs orifices. elles avaient bénéficié de soins attentionnés et n'avaient subi aucune punition afin que leurs corps soient absolument parfaits.
Avant d'être présentées, elles avaient été baignées, leurs corps crémès et parfumés. Puis, un fin collier de métal argenté avait été fermé sutour de leur cou et elles avaient été prises en laisse par deux serviteurs les menant par une fine chaîne d'argent et menées à quatre pattes vers Leurs Maîtres. leurs longs cheveux blonds avaient été laissés libres et dégoulinaient en cascade sur leurs épaules tandis qu'elles avançaient docilement vers les trônes en ondulant légèrement de la croupe.
Maintenant, elles s'appliquaient à dispenser le plus profond des plaisirs Aux Deux Maîtres en leur offrant leurs gorges profondes et en les prenant avec application entre leurs lèvres douces et dociles.
La fête battait son plein et le moment crucial approchait...
Deux serviteurs vinrent libérer E46MSE et E22MSE de leurs tabourets-godes... Un réel soulagement gagna les deux esclaves dont le cul avait été si longuement été distendu par le god enfoncé au plus profond de leurs anatomies.
Une servante se tenait tout près de là, portant une éponge. Elle s'approcha et commença à tremper l'éponge dans l'eau parfumée que contenait le seau, puis elle en enduisit le corps des deux esclaves afin de les nettoyer de la transpiration et des diverses sécrétions qui les couvrait.
Lorsque les esclaves 46 et 22 furent correctement nettoyés, ils furent mis à quatre pattes et on fixa une laisse à leurs colliers afin de les mener vers Les Maîtres.
Les serviteurs tenaient chacun leur laisse au plus court et commencèrent à faire évoluer les deux esclaves à travers la salle de réception. Peu à peu, les divers groupes commencèrent à stopper leurs jeux sexuels afin de contempler les deux esclaves que l'on promenait ainsi, comme le bétail que l'on présente à l'assemblée avant un concours agricole...
Le quatuor évoluait ainsi entre les groupes, les esclaves 46 et 22 s'appliquant à se déplacer avec l'élégance racée de deux chiennes parfaitement dressées, malgré leurs culs douloureux à l'orifice rendu béant par le traitement qu'il venait de subir.
Lorsque cette présentation publique eut attiré l'attention de tous les convives, les deux esclaves furent enfin amenés devant les trônes du Comte et du Marquis.
Tandis que les serviteurs s'éloignaient afin de regagner les coulisses de la salle, E46MSE et E22MSE se prosternaient humblement aux pieds des Deux Maîtres, dans l'attente de l'ultime épreuve qui permettrait de désigner l'esclave qui serait livré comme cadeau d'anniversaire au Comte pour une semaine d'appartenance totale.
Le public faisait à nouveau cercle devant les trônes et Le Comte se levait, souriant :
- "Voici venu le moment de l'ultime épreuve. Ce sera simple, mes serviteurs vont répandre des roses à travers la salle, nos deux esclaves vont devoir aller chercher ces roses une par une et les ramener au pied des trônes, l'esclave qui ramènera le plus grand nombre de roses sera l'élu qui deviendra ma propriété absolue pour une semaine... (des applaudissements crépitèrent) ... Je n'ai pas terminé ! Afin de corser un peu le jeu, parfois un gong retentira. Les deux esclaves devront alors rechercher Une Queue proposée à leurs bouches et la sucer profondément, jusqu'à jouissance de Celui qui la leur aura tendue. La meilleure suceuse de nos deux chiennes gagnera du temps sur sa rivale... Et maintenant, que la compétition commence !"
Le Comte revint s'installer sur son trône tandis que la foule des invités de dispersait à travers la salle où des serviteurs avaient profité du discours du Comte pour répandre partout de somptueuses roses rouges aux longues tiges. Un gong retentit et les deux esclaves se précipitèrent au travers de la salle à la recherche de roses.
E46MSE et E22MSE sillonaient la salle à quatre pattes en se pressant d'aller saisir une nouvelle rose entre ses dents avant de la rapporter aux pieds des trônes où elles formaient deux tas à peu près égaux. Parfois, un invité s'amusait à poser un pied sur la tige d'une rose, empêchant ainsi l'esclave de l'emporter... C'était une situation particulièrement difficile pour les esclaves qui ne pouvaient qu'espérer la magnanimité de l'invité qui les tourmentait et lèverait le pied sans trop leur faire perdre de temps...
Au premier coup de gong, 46 et 22 relevèrent un peu la tête afin de tenter de repérer Ceux qui auraient libéré leurs sexes... Ils avançaient dans la foule en observant et trouvèrent à peu près en même temps Les Sexes qu'ils allaient devoir satisfaire. A genoux, la bouche gourmande et les lèvres douces, les deux esclaves suçaient goulument les sexes qui emplissaient leurs bouches... Jusqu'à ce qu'un flot épais de semence viennent emplir leurs bouches et coulent dans leurs gorges.
Ils pouvaient alors se remettre à quatre pattes et reprendre leur course aux roses. Les deux tas de roses allaient en augmentant à un rythme soutenu, tandis que les coups de gong se succèdaient, imposant des pauses aux deux esclaves.
Manifestement, les prestations de la femelle46 semblaient cependant devenir de plus en plus efficaces auprès Des Messieurs qui lui tendaient Leur Sexe à sucer. Excités par la situation et par cette belle femelle à la bouche suave, ils déchargeaient violemment et 46 avalait rapidement l'épaisse giclée avant de retourner à la recherche des dernières roses encore répandues dans la salle.
L'esclave 22 s'appliquait à faire au mieux également, mais manifestement ses charmes semblaient agir de façon moins efficace sur Les Invités de la soirée.
Finalement, tandis que l'ultime rose venait rejoindre le tas de E46MSE, une corne retentit dans la salle, annonçant la fin de la compétition. les deux esclaves revinrent se prosterner aux Pieds du Comte et du Marquis. Les deux femelles qui venaient de prodiguer leurs caresses buccales aux Deux Seigneurs se levèrent élégamment et ondulant des hanches descendirent les quelques marches afin de rejoindre les deux esclaves qui se tenaient prosternés, reins cambrés et croupe bien relevée face au public qui s'était approché afin de découvrir le décompte final.
Chaque femelle se chargeait d'un tas de roses et donc de l'esclave correspondant. Elles décomptaient les roses une à une, puis enfonçaient celle qui venait d'être comptée dans l'anus de l'esclave dont elles s'occupaient. Les tiges formaient ainsi un large faisceau qui, peu à peu, élargissait à nouveau l'anus des esclaves.
Finalement, sous les applaudissements, l'esclave E46MSE avait su réunir 28 roses qui formaient désormais un épais bouquet garnissant son cul et lui formant comme une large corolle anale. Elle avait réuni bien plus de roses que E22MSE ...
Le Comte se leva à nouveau, et Le Marquis d'Evans fit de même. Ils se serrèrent chaleureusement la main, puis Le
Comte se tourna vers les invités :
- "Eh bien voilà ! C'est donc la femelle46 qui sera mon cadeau. et je m'en réjouis ! qu'on l'emmène afin de la préparer, j'en prendrai possession un peu plus tard. Et maintenant, que la fête continue !".
...
A suivre...)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
S'il vous plait . . . Organisez de telles soirées en réel !
Soumis C.
Soumis C.
Très belle histoire, elle me donne presque envie de me mettre au SM... Quoiqu'avec mon
caractère infernal, ca risque d'être intense comme entrainement... Continuez très cher,
continuez je vous prie !
caractère infernal, ca risque d'être intense comme entrainement... Continuez très cher,
continuez je vous prie !
Superbe imagination j'en redemande !
j'aurai tant voulu être un des concurrents de ces épreuves. Merci Maître pour cette
belle et perverse lecture, le temps me dure de lire la suite ...
belle et perverse lecture, le temps me dure de lire la suite ...