La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 58)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 58)
Suite de l'épisode 46 : Le Marquis d'Evans en Martinique (de sa Première journée avec le texte écrit pas esclaveleeny)
Deuxième journée en Martinique :
Toujours sur le yacht, Je me levai lentement pour ne pas réveiller mon Maître le Marquis d’Evans. Il n’était que 4h37 du matin, mais je n’arrivais plus à dormir tant l’excitation d’avoir mon Maître avec moi était grande. Je me dirigeai donc vers le salon et aperçu sur le canapé les pinces, le fil de fer et tous les outils que mon Maître avait utilisés la veille. Il fallait que je mette de l’ordre avant Son réveille. Je commençai à tout ramasser, après avoir accroché une pince sur chacun de mes tétons. Je me rendis compte bientôt que rien ne pendait à mon cou, je n’avais pas ma laisse. Je me précipitai dans la chambre, la ramassai et ressortis après l’avoir accrochée à mon collier. Puis je repris le rangement. Au bout de dix minutes, tout était parfait.
Je me mis donc à préparer le repas de Maître. Du bacon, des œufs, je vérifiai que le beurre était bien dans le frigo, je préparai les tranches de pain pour les mettre à griller au réveil de mon vénéré Maître puis allumai la cafetière. Tout était prêt. Je regardai l’heure : 5h. Mon Maître le Marquis d’Evans n’allait sûrement pas se réveiller maintenant. Je me dirigeai d’abord vers la salle de bain puis me retins. Je n’étais qu’une chienne. Je n’avais pas le droit d’utiliser la salle de bain de Maître, sauf s’il me le permettait. Je sortis donc sur le pont supérieur puis contourna le gouvernail. Là se trouvait une douche où l’on pouvait se rincer après le bain de mer. Je me mis à quatre pattes après avoir ouvert l’eau. Elle était gelée, et des frissons me parcoururent. Après avoir terminé, je me secouai pour me sécher et retourna dans la cabine, toujours à quatre pattes. Je me dirigeai vers le bureau et pris dans la grande bibliothèque ‘’A la lumière d’hiver’’ de Jaccottet. C’était l’un de mes recueils de poèmes préférés. L’écriture de ce poète avait le don de me fasciner. J’eus le temps de le relire deux fois et de commencer Les Mémoires d’outre tombe de Chateaubriand avant que le bruit de l’eau ne me parvienne. Je me dépêchai de ranger le livre et me précipitai jusqu’à la cuisine pour mettre le pain à griller et allumer la cafetière. Je me postai ensuite devant la porte de la chambre, assise sur les talons dans la posture de la chienne que j’étais.
Après un long moment, le bruit de l’eau cessa et j’entendis la porte de la douche s’ouvrir. A peine quelques secondes plus tard, le Marquis sortait de la chambre, entièrement nu. Il ne paru pas surpris de me voir là. Il me caressa la tête pour me saluer et tira sur les pinces accrochées à mes tétons depuis maintenant presque deux heures pour les enlever. Je retins un cri de douleur et contemplai avec admiration le sexe qui pendait mollement entre les cuisses de mon Maître. Il s’avança jusqu’à la cuisine.
- Eh bien. Quelle odeur appétissante. Lève-toi et sers donc ton Maître. Une fois cela fait, tu te posteras entre mes jambes et tu t’occuperas de réveiller mon sexe pendant que je mangerai. Si tu fais cela bien, tu auras droit à un petit-déjeuner.
Docilement, je m’affairai immédiatement dans la cuisine. Deux minutes plus tard, mon Maître était attablé et je suçais goulûment sa verge tendue. Le silence n’était perturbé que par le choc des couverts que le Marquis d’Evans utilisait et le bruit de succion que faisait ma bouche en savourant Son sexe. Il me caressait la tête de temps en temps pour m’encourager ou m’imposer Son rythme. Sa verge fut très vite longue et dure et je sentis dans ma bouche le léger goût salé de Sa semence. Puis, Il repoussa ma tête, m’assignant d’arrêter. Je le fis avec regret, sortis de sous la table et m’assis sagement à ses pieds. Au bout de quelques minutes, Il se leva et se dirigea vers la chambre, me faisant signe, de Sa main, de ranger. Je m’exécutai sagement, percevant les bruits de Sa brosse à dents électrique. Je retournai ensuite à ma place, devant la porte de la chambre, agenouillée sur mes talons, la tête baissée. Il sortit quelques minutes plus tard, vêtu des vêtements de mon père, coiffé, parfumé. Il était si beau (malgré le t-shirt blanc simple et le short rouge) que je crus que j’allais fondre…
Ne pas le regarder dans les yeux ! Je baissai ma tête et aperçu la bosse qui gonflait le short au niveau de son entre-jambes. Il n’avait pas joui entre mes lèvres, songeai-je avec tristesse. Il attrapa ma laisse et nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Il me fit m’arrêter devant ma gamelle. Il prit dans le frigo du lait et remplit une partie de la gamelle avec des céréales. Puis il ouvrit les pans du short et sortit sa verge tendue. Il me fit signe de le masturber tandis que de mon autre main, je me caressai la chatte, comme il venait de me l’ordonner. Rapidement et par saccades le flot de son délicieux jus tomba dans l’autre côté dans ma gamelle. Il me fit ensuite signe de manger. Je commençai par me délecter du ‘’joui’’ de mon Maître. C’était succulent et les céréales parurent bien fades après cela. Quand j’eus fini de laver ma gamelle, je me remis à quatre pattes et Il me tira sur le pont supérieur. Le soleil rayonnait déjà au dessus de l’horizon et Il s’assit sur l’un des sièges, moi à ses pieds. Il regardait la mer, le paysage en me caressant la tête. J’attendais, de mon côté, le moment où Il me parlerait. Ce qui arriva très vite :
- Il me semble que ce rocher est très populaire ici. Comment se nomme-t-il déjà ?
- Le Rocher du Diamant, Maître. Il est en effet très visité des touristes venant en Martinique. Les fonds marins y sont magnifiques. J’y ai fait de la plongée avec mon père, un jour, et c’était vraiment éblouissant. Mais à part cela, le rocher en lui-même n’est pas si intéressant que cela. De plus, il y a beaucoup de requins, même s’ils ne sont pas dangereux.
- Je vois. Bien. Qu’as-tu prévu pour aujourd’hui ? Je risque d’avoir le mal de mer si nous restons sur ce bateau toute une journée.
- Oui, Maître, je pense Vous emmener à Fort-de-France pour que Vous puissiez faire Vos achats.
- Bien, bonne idée. Viens donc par là que je t’habille. Même si je n’aime pas que Mes chiennes soient vêtues car cela leur enlève leur statut de chienne, tu ne peux décemment pas sortir ainsi. Mais n’oublies pas que tu n’es qu’une chienne déguisée, tu as compris ?
- Oui, mon Maître, dis-je en baissant ma tête.
Il prit ma laisse et me tira jusqu’à la chambre. Il ouvrit le placard (j’avais pris soin, la veille, d’y ranger Ses affaires) et sorti un sac en cuir noir, que je n’avais pas vu la veille. Il le posa sur le lit et l’ouvrit. Quand je vis ce qu’Il en tirait, une larme de joie et d’émotion roula sur ma joue. C’était un magnifique collier en cuir blanc cerné de pierres rouges que je devinais être des rubis. Un anneau en or y était accroché, reliant le collier à une fine chaîne en or elle-même attachée à une dragonne en cuir de la même couleur que le collier. Les armoiries du château des Evans y étaient incrustées avec art. Je vis Maître détacher la chaîne et s’approcher de moi. Je me prosternai respectueusement, consciente de l’immense cadeau qu’Il me faisait là. Les larmes coulaient silencieusement sur mes joues. Je sentis Ses mains délicates détacher le collier en cuir noir que je portais au cou et le remplacer par le blanc. Quand Il eut fini, ne pouvant me retenir, je sautai dans Ses bras. Surpris, Il me retint de justesse, manquant tomber. Horrifiée, je me repositionnai et me prosternai en m’excusant. Avec un sourire, il prit mon menton et m’embrassa doucement.
- Tu es devenue une bonne chienne, Leeny. Je suis fier de toi.
Cette fois, les larmes ne furent pas silencieuses. Je me mis à pleurer de joie, secouée par des spasmes incontrôlables. Il me caressa la tête longuement, attendant que je me calme. Après de longues minutes, mes pleurs cessèrent et Il m’aida à me relever. Il me fit m’asseoir sur le lit et disparut dans la salle de bain. Il en ressortit avec une robe en cuir rouge sans manche, très courte. Elle était bordée sur chaque côté de deux fines bandes blanches. Sur la hanche à droite, il y avait aussi le logo des armoiries des Evans. Le Marquis me fit me lever et m’habilla de cette robe seulement, sans aucun sous-vêtement en dessous. Il s’assit ensuite sur le lit et me fit signe de venir entre Ses jambes. Pensant qu’Il voulait une « gâterie », je me positionnai commençai à dégrafer le short. Il m’arrêta d’un geste, puis me retourna de telle sorte que je sois assise dos à Lui. Puis je sentis Ses doigts caresser mes cheveux, avant de sentir une brosse prendre le relais. Mon Maître me coiffait ! Il s’occupait si bien de moi ! Décidément, je ne le méritais pas… Quand Il eut fini de faire ma couette haute, nous quittâmes la cabine et je me postai aux commandes.
Trois quarts d’heure plus tard, j’amarrai le bateau à l’un des quais du port de Fort-de-France. Le Marquis descendit le premier, puis je le suivis. Je saluai les quelques marins que je connaissais et qui sortaient du bateau militaire. Ils furent surpris de me voir vêtue ainsi, cela se voyait. Mais ils ne dirent rien et je guidai mon Maître vers la sortie du port. Fort-de-France était, comme à son habitude, très animée ce jour là. Le marché était ouvert et l’on pouvait entendre les marchants crier à l’autre bout de la ville. Nous passâmes devant l’épicerie que tenait mon amie d’enfance, et je fis tout pour rester inaperçue. Elle saurait qu’il se passait quelque chose si elle me voyait habillée ainsi, et je ne voulais causer aucun tort au Marquis d’Evans. Nous arrivâmes dans une ruelle sombre et déserte. Il fallait la traverser pour arriver à la rue commerciale. Maître s’arrêta au début de la rue et regarda à droite puis à gauche, puis me fixa. Je l’observai, interrogative. Puis il sortit de sa poche la fine chaîne en or puis l’accrocha à mon collier.
- Il ne faudrait pas que tu gardes cette mauvaise habitude de marcher debout. Ce n’est pas bon pour une chienne.
Inquiète (si je croisais quelqu’un que je connaissais) mais obéissante, je me mis à quatre pattes. Le Marquis se baissa et remonta la robe sur mes hanches, de manière à ce que mon cul Lui soit bien visible. Il m’autorisait à marcher devant lui, puisque c’était moi qui le guidais. Nous commençâmes donc à avancer dans la ruelle. Heureusement, personne ne rencontra notre chemin, cette ruelle étant assez peu connue pour son passage. Arrivé à la moitié du chemin, Maître me fit m’arrêter de nouveau. Il sortit de sa poche un plug et l’enfonça directement dans mon cul, ce qui me fit crier de douleurs vives et subites. Puis il me claqua trois fois chaque fesse et nous repartîmes. Arrivés à quelques mètres de la sortie de la ruelle, il m’intima de me relever en tirant d’un coup sec sur la laisse. Ce que je fis. Il rebaissa le bas de la jupe, m’enleva la chaîne et nous continuâmes. Au bout de dix minutes, et gênée dans ma démarche étant pluguée, nous passâmes devant un sex-shop. Sachant qu’il serait intéressé, je m’arrêtai devant. Comme je l’avais imaginé, Il regarda l’insigne du magasin et entra. Je le suivis à l’intérieur, toute excitée de ce qui allait s’y passer. Car je savais que ce magasin n’était pas qu’un simple magasin.
Une odeur d’encens s’engouffra dans mes narines dès mon arrivée. Le Marquis d’Evans était déjà dans le rayon S.M. Une magnifique jeune femme d’environ trente ans arriva devant moi et appuya sur ma tête pour m’agenouiller. Ne comprenant rien, j’obéis. Elle enleva ma robe, installa des pinces réglables sur mes tétons qu’elle serra à l’extrême puis des nipple sucker électriques. Elle régla ces dernières au maximum. Les ventouses aspirèrent mes tétons déjà meurtris par les pinces. Je laissai échapper un soupir d’aise. Maître tendit la chaînette à la jeune femme qui l’accrocha à mon collier. Elle s’éclipsa un instant dans le rayon où mon Maître était l’instant d’avant puis revint avec une cravache et un martinet qu’elle tendit à mon Maître, non sans un certain sourire sadique. On avait l’impression qu’ils étaient très complices.
Il les fit claquer au dessus de ma tête, un air satisfait sur le visage. Elle s’accroupit devant moi et pris mon menton entre ses doigts. C’est alors que je me souvins d’elle. Elle était à la foire aux esclaves où mon Maître m’avait achetée quelques mois auparavant. Malgré son jeune âge, elle faisait partie des amis intimes de Maître et était célèbre dans le monde de la domination/soumission. Certains racontaient qu’elle avait été l’élève du Marquis d’Evans et qu’il lui avait appris tout ce qu’elle savait. C’était même Lui qui lui avait offert son premier esclave. J’étais vraiment heureuse de la rencontrer. Sur un forum, j’avais fais la connaissance d’une esclave qui avait été sous ses ordres. Elle ne m’avait dit que du bien d’elle. Mais malheureusement, sa Maîtresse était partie vivre sur une île (je savais maintenant que c’était la Martinique).
- Chienne Leeny, voici ma jeune cousine, Maîtresse Helena. Elle est venue vivre ici en Martinique, il y a maintenant quelques années. Je savais que tu me mènerais jusqu’ici, c’est pour cela que je ne t’en ai pas parlé, mais nous avions prévu de nous voir. Tu as dû l’apercevoir le jour de la foire aux esclaves.
- Oui, Maître. Je m’en souviens. Je suis très heureuse de vous rencontrer, Maîtresse Helena, dis-je en me prosternant.
- Eh bien, moi aussi ! Monsieur le Marquis ne fait que me parler de vous, ses esclaves. J’avais très envie d’en rencontrer un. Il m’avait dit que l’une de ses esclaves vivait ici mais ne voulais pas me la présenter tant qu’il ne serait pas là. Mon cher cousin, aurais-tu peur que je te la vole ?
- Voyons, Helena, tu sais très bien que mes chiens sont beaucoup trop fidèles à leur Maître. Ils ne seraient rien sans moi.
- Je le sais, je le sais, dis Héléna avec une évidente admiration dans ses yeux
- Je voulais simplement avoir le bonheur de te la présenter moi-même. Après tout, tu as été ma meilleure élève, je te devais bien cela.
- Ha ! Ha ! Eh bien, tu me fais là un grand honneur. Bon, et si nous passions à la grande salle ? Je ferme le magasin.
Elle ferma la porte après avoir retourné la pancarte de façon à ce que la face « Fermé » soit visible, puis elle se tourna vers le Marquis d’Evans.
- Me ferais-tu l’honneur ? demanda-t-elle en pointant un doigt sur moi.
- Je t’en prie.
Elle sautilla de joie et pris ma laisse. Elle était, à mon grand étonnement, très douce. Avec une caresse sur le derrière, elle me fit avancer. Après avoir parcouru un grand couloir, derrière la boutique, nous arrivâmes dans une immense pièce où un grand nombre d’accessoires de soumissions trônaient, imposants et terrifiant, mais surtout excitant. Il y avait dans un coin de la salle un buffet et plusieurs chaises. Une vingtaine de couples venant de milieux plus qu’aisés, habillés très élégamment, discutaient entre eux. Des serveurs, seulement vêtus de nœuds papillon, servaient des coupes de champagne ou des verres de vin. Les femmes et certains hommes en profitaient pour les toucher.
Quand la Maîtresse de maison entra, moi à ses pieds, tout le monde se tût. Et quand mon Maître apparu dans l’embrasure de la porte, des « oh ! » et des « ah ! » parcoururent l’assemblée. Tous saluèrent avec respect le nouveau venu. Le Maître de la soumission était présent en ces lieux ! Quel honneur ! Il y aurait certainement un grand spectacle. La jeune dominatrice fit asseoir son cousin dans un fauteuil de velours rouge. Elle me fit m’installer dans un panier de la même matière, aux pieds de mon Maître. Plusieurs personnes vinrent saluer le Marquis d’Evans. Il était vraiment très apprécié de tous ceux qui le connaissaient. Et pour ceux qui le découvraient, la réputation du Marquis d’Evans était bien connue et suscitait de l’admiration. Ils le complimentèrent de la qualité esthétique de la jeune chienne assise à ses pieds et lui demandèrent se elle était obéissante.
- Ne vous en faites pas, mes amis, cette petite chienne a été très bien dressée, elle est très docile et obéit à chacun de mes ordres. Vous aurez tout le loisir de vous en rendre compte un peu plus tard. Pour le moment, chère cousine, dit-Il en se tournant vers elle, il est déjà midi passé et je n’ai toujours pas mangé. Ma chienne non plus d’ailleurs.
- Nous allions justement passer à table. Si tu veux bien, j’emmène la chienne avec les autres dans la pièce d’à côté. J’ai chargé quelques amis de les préparer pour cet après midi.
- C’est très bien ! Soit sage, Leeny, dit-Il en me caressant la tête.
La Maîtresse de maison pris ma laisse et me guida jusqu’à une salle adjacente, un peu plus petite mais dotée d’à peu près les mêmes instruments que la grande salle. Elle remit ma laisse à un grand jeune homme et repartit. Je regardai la pièce. Déjà une dizaine d’esclaves étaient présents. Des hommes avec des cagoules, tels des geôliers, et sans aucun autre vêtement, étaient en train de les fouetter ou de leur enfoncer des godes dans la chatte pour les femelles et dans le cul pour les mâles. Mais aucun son ne sortait des bouches des esclaves. L’homme qui tenait ma laisse me mena jusqu’à un comptoir qui longeait tout un mur de la salle. Etant à quatre pattes, je ne pouvais voir ce qui s’y trouvait, mais je devinais que c’était des fouets et autres instruments de torture. Il prit une cagoule semblable à celles de ses camarades et l’enfila.
Puis il se munit de plusieurs outils. Je l’entendis faire claquer un martinet dans l’air, puis il testa une cravache et un paddle sur son épaule. Il se baissa pour accrocher une pince munie d’un poids sur chacun de mes tétons et les relia à mon collier à l’aide d’une chaîne. Puis il saisit ma laisse et nous nous dirigeâmes vers le centre de la pièce où se trouvait un banc de torture. Il attacha mes poignets aux pieds du banc puis accrocha l’anneau de mon collier à un crochet sous le banc. Mes cuisses furent maintenues par des liens en cuir noir ainsi que mes chevilles. Mon cul se retrouva donc mis bien en évidence. Une ou deux minutes passèrent avant que le premier coup de fouet ne retentisse. Je cria de douleurs. Cela était très étrange pour moi, car je n’avais pas l’habitude d’être traitée ainsi sans raison, alors que je n’avais commis aucune faute. Mais je savais que je n’avais pas mon mot à dire. L’homme parut se lasser très vite car au bout de six ou sept coups de fouet, il s’arrêta. Un instant passa encore. Je ne voyais que le sol en marbre clair et je ne pouvais bouger la tête pour regarder ce que faisait l’homme.
Au bout d’un moment, je sentis qu’on m’enleva mon plug et qu’un énorme gode le remplaça pour venir me bourrer l’anus, soudainement et sans ménagement. C’était la première fois que quelque chose d’aussi gros entrait en moi et si profondément. Une larme silencieuse coula sur ma joue. Je priai pour qu’il ne la remarque pas. Le jouet se mit à faire des allers-retours dans mon cul. Voyant que l’objet bougeait avec difficulté, il le retira, s’éloigna un instant. Que faisait-il ? Je le compris quand je sentis le même objet s’enfoncer en moi avec plus de facilité. Il glissait à l’intérieur de moi avec tant de force que plusieurs vaisseaux avaient dû éclater. Puis il s’arrêta aussi soudainement qu’il avait commencé. Il me détacha et me fit me lever avant de me vêtir d’un harnais. Il attacha mes poignets à des menottes de suspensions qui pendaient à quelques mètres du banc. Puis il fit de même avec mes chevilles et enfin il attacha l’anneau qui se trouvait dans mon dos à un crochet.
Je me retrouvai donc les jambes écartées, face contre terre à un mètre cinquante du sol. Il écarta davantage mes jambes et je sentis deux grosses boules s’enfoncer dans mon anus. A peine furent-elles à l’intérieur qu’elles se mirent à vibrer. J’eus l’impression d’être en plein tremblement de terre tant les vibrations était fortes. Le gode qui avait servit à ouvrir mon cul fut lavé puis enfoncé dans ma chatte. L’homme fit le même travail avec cette dernière. Je me retins de justesse de jouir tant la douleur se mêlait délicieusement avec le plaisir. Puis je fus libérée de mes liens. Il me laissa le harnais et me traîna jusqu’à un coin de la pièce où était déjà installer dix chiens et huit chiennes. Les boules vibraient toujours en moi mais avec moins d’intensité. On posa devant moi une gamelle à trois compartiments. L’un avec des croquettes, l’autre avec de la pâtée et le dernier vide. Je commençai à manger. Environ deux minutes plus tard, les portes qui menaient à la grande salle s’ouvrirent. Je sentis immédiatement la présence de mon Maître et cela me rassura.
Il m’avait tant manqué durant la dernière heure ! Il se dirigea vers moi et s’arrêta à ma hauteur. Il dégrafa Son pantalon et en sortit Son énorme vit. Il urina dans le compartiment vide de ma gamelle, me caressa la tête et me fit Le lécher pour Le nettoyer, ce que je fis avec plaisir. Puis Il rangea Son sexe et disparut dans la grande salle. Je me remis à manger et à boire. Les autres chiens et chiennes nous rejoignirent pour manger. Au bout de dix minutes, l’horloge qui se trouvait au fond de la salle sonna quatorze heures. Les « geôliers » réapparurent et prirent les laisses de chaque chien. Nous étions vingt-trois en tout. La Maîtresse de maison apparut dans l’encadrement de la porte et fit un signe aux « geôliers ». Tous les chiens se retrouvèrent avec un rosebud dans le cul d’où pendait une queue de chien, noires pour les mâles et blanches pour les femelles. Puis on nous sépara en deux rangs, face à la porte. Nous entrâmes dans la grande salle. Cette dernière avait été réorganisée. Le buffet avait été retiré, les instruments avaient été tournés face aux chaises, maintenant rangées en ligne le long du mur. Mon Maître et sa cousine étaient un peu surélevés, assis sur une petite estrade, dans des fauteuils en velours rouges. Il me fit un petit sourire quand il me vit, et je devins rouge comme leurs fauteuils. Tout se passa très vite en suite. Les invités furent autorisés à se lever pour assouvir leurs envies. La seule condition était de ne pas retirer les queues des chiens. Je connus un grand succès, étant l’esclave du grand Maître.
Deux hommes d’environ cinquante ans se dirigèrent vers moi, suivis de trois jeunes femmes. On tira sur mes seins, on les martyrisa, d’autres venaient enfoncer trois doigts dans ma chatte, dans mon anus (par-dessus le rosebud). Puis des instruments furent distribués. On me fouetta, on me goda, je me retrouvai avec des pinces sur les seins, sur la bouche, le clitoris. Un gode effilé fut enfoncé dans mon cul au côté du rosebud déjà présent. Je retins de justesse un cri de douleur. Les deux Maîtres observaient le spectacle avec de grands sourires et commentaient quelques fois en se penchant pour chuchoter à l’oreille de l’Autre. Un invité eut l’audace de tirer sur ma queue et de la sortir hors de moi. Il fut immédiatement mis à la porte. Il ne fallait pas toucher à ce qui caractérisait une chienne : sa queue. Les deux hommes de cinquante ans me mirent sur un banc, jambes écartées. Et tous deux, en même temps, ils enfoncèrent leurs gros sexes dans ma chatte. Pendant ce temps, une femme vint tirer sur les pinces qui torturaient mes tétons. Il y en avait trois en tout sur chaque téton. Elle les retira une par une en tirant d’un coup sec. Puis elle fit rouler une petite roulette de Wartenberg aux dents aussi pointues que des aiguilles sur les tétons.
C’était si douloureux et si bon que je faillis me laisser aller. Les assauts des deux hommes se firent plus ardents et plus rapides. Je sentis bientôt un liquide gluant couler le long de ma raie. Puis ils présentèrent leurs sexes à mes lèvres. Je me mis à les sucer goulûment. Leurs sexes n’étaient pas aussi appétissants que celui de Maître, mais ils étaient tout de même agréables. Ce fut au tour d’un vieil homme barbu, d’environ quatre-vingt ans, de venir se décharger en moi. Cela fut très rapide, d’ailleurs et il n’eut pas besoin de me pénétrer, ma bouche ayant déjà fait tout le travail. Puis, une femme munie d’un énorme gode ceinture et d’un fouet vint s’enfoncer brutalement en moi alors que j’essuyais ma bouche. Elle me fouettait les seins au rythme de ses assauts puis elle attrapa mes cheveux et me tira vers ses seins pour que je les suce. Je me mis à l’œuvre. Elle était toujours en train de me déchirer la chatte quand un gong retentit dans la pièce. Tous les invités poussèrent des cris de déception. Protestations vite réprimées par mon Maître qui dit d’un ton ferme mais calme :
- Ça suffit ! Nous n’avons pas dit que le jeu était terminé, il est seulement l’heure de la pause pour nos petites bêtes. Je vous prierai, Messieurs et Mesdames, de retourner à vos sièges pendant que les serviteurs d’Helena nettoient les chiens.
Il était seize heures à l’horloge. Je ne savais pas pour combien de temps nous étions là. Je vis mon geôlier se diriger vers moi. Il s’accroupit et se mit à me nettoyer à l’aide d’une éponge. Je vis trois couples se lever et se diriger vers la Maîtresse des lieux. Ils s’inclinèrent et la jeune femme parut déçue :
- Bien ! Six de nos invités doivent s’en aller. Je vais donc leur rendre leurs chiens. Je suis désolée de devoir réduire l’effectif, mes amis. Georges, Didier, Olivier, Florian, Téo et David, rendez les laisses aux Maîtres.
Les hommes dont les noms avaient été cités se dirigèrent vers les trois couples et leur remirent les laisses avec leurs chiens à terre. Puis ils disparurent. Nous n’étions plus que dix-sept. Il y eut un élan de protestation que le Marquis d’Evans Se chargea de nouveau d’étouffer, il faisait, nul doute, autorité :
- Ecoutez mes amis, ils sont encore dix-sept. Et vous êtes vingt-quatre. Il y en a assez pour tout le monde. Alors amusez-vous. Vous êtes maintenant autorisé à retirer les queues et à utiliser les bancs de torture. Des baillons et autres instruments ont été ajouté à la panoplie. Ceux qui le désirent peuvent venir me consulter pour quelques conseils.
- Monsieur le Marquis ! Pouvez-vous nous faire une démonstration sur votre esclave, dit une voix féminine approuvée par le reste de l’assemblée.
- Cela est prévu, ne vous en faites pas. Mais pour le moment, amusez-vous, abusez d’elle. Elle est là pour cela, après tout. Tenez ! Je demande même à ce qu’elle remplace les chiens qui se sont retirés. Sept d’entre-vous, pourront s’occupez d’elle. Je compte sur vous pour bien profiter d’elle.
- C’est un bien bel honneur que tu nous fais là, cher cousin, s’exclama Helena. Alors, vous avez entendu Monsieur le Marquis ? Au boulot !
Bien plus de sept personnes vinrent s’acharner sur moi. Un homme m’attacha les poignets à des menottes de suspension et me fit me mettre à genoux. Trois femmes s’amusèrent à me fouetter, l’une avec un paddle, les deux autres avec des cravaches. Des hommes me présentèrent tour à tour leurs sexes pour que je les suce. Quand chacun d’eux fut bien dur, ils vinrent tous en même temps me pénétrer. Certains sexes n’ayant pas la place pour atteindre le mien, ils se frottèrent à mes seins, à ma bouche et certains réussirent à pénétrer mon cul. Ils devaient être à dix sur moi, à attendre leur tour. Je fus bientôt couverte de sperme mélangé à de la sueur et de la salive. C’était assez écœurant et je dû m’imaginer dans les bras de Maître pour passer cette épreuve sans vomir. J’attendais avec impatience le gong de la fin. Et il arriva après multiples orgasmes et pénétrations de tous mes orifices. Quelle orgie ! Enfin, les invités se reculèrent en nous regardant avec envie. C’était enfin fini. Mon Maître se leva et se dirigea vers moi. Je me frottai à ses pieds, telle une chatte obéissante alors qu’il me caressait la tête.
- Bien. Mes amis, le jeu est terminé. Veuillez regagner vos places. Je vais maintenant vous montrer comment J’ai réussi à dresser cette petite chienne qui était auparavant si sauvage. Leeny, assis. (Je m’exécutai) - Bien petite chienne !
Il me détacha les poignets et prit ma laisse. Il me mena jusqu’à un banc de torture. Il attacha mes poignets à mes chevilles. Je me retrouvai, pour la deuxième fois de l’après midi, le cul en l’air. Il présenta mes fesses au public. A trois reprises, il leur donna une claque ferme et toujours plus forte. Puis ce fut au tour de la cravache. Il me fouetta jusqu’à ce que je sente de fines gouttes de sang couler le long de mes cuisses. Mais je fis en sorte de ne pas pleurer et de ne pas crier, juste grimaçante, je me retenais pour dire aucun mot ou cris. Des « oh » de surprises retentir. J’entendis quelques personnes dire qu’il n’était pas normal que je ne dise rien alors que cela faisait plus de dix minutes qu’il me fouettait au même endroit. Ce qu’ils ne savaient pas, c’était que le Marquis d’Evans élevait Ses chiens dans la politique qu’il ne fallait jamais rien laisser paraître, que l’on ait mal ou que nous ressentions du plaisir, sous peine de grave punition.
Avec un sourire fier, Il me détacha et me fit m’asseoir à califourchon sur le banc, jambes écartées. Il installa des pinces sur mes tétons qu’Il tira, tourna, tortura. C’était délicieux ! La pointe de mes seins était rouge sang et me brûlait. Mais j’éprouvais un énorme plaisir à ce que ce soit mon Maître qui me fasse tant souffrir. Il était si bon avec moi ! Durant une heure, Il me fouetta, me pinça, enfonça Son vit dans ma gorge. Tout le monde admirait l’adresse de Maître, Son pouvoir sur moi. Jamais personne ne pourrait le surpasser en matière de dressage de chien. Je ne sais ce que je pourrais faire sans lui. La fin de notre prestation fut accueillie par un tonnerre d’applaudissement.
Quand tous les invités furent partis, Helena proposa à mon Maître de rester dormir. Proposition qu’il refusa gentiment. Mais il promit de revenir la voir avant son départ. Puis nous prîmes le chemin du retour. Il faisait nuit et personne ne traînait dans la rue, mis à part des drogués qui s’ennuyait chez eux. Le Marquis me fit alors me mettre à quatre pattes et retira tous mes vêtements, hormis, bien entendu, le collier et la laisse. Les jeunes qui traînaient me regardaient et demandaient à mon Maître de les laisser passer une nuit avec la petite chienne. Il ne leur accorda même pas un regard. J’étais furieuse. Comment osaient-ils s’adresser à mon Maître alors qu’ils n’étaient que des vauriens. Nous arrivâmes rapidement au bateau. Heureusement, nous n’avions croisé personne d’autre. Le Marquis d’Evans décida que nous resterions à quai pour la nuit. Il m’ordonna de me doucher, le laver toutes les traces de cette orgie. J’étais épuisée. Je ne terminai pas ma gamelle tant j’étais fatiguée, et Maître me fit comprendre qu’il ne désirait pas dîner. Il me porta jusqu’au lit et m’embrassa. Je fus surprise au début puis je me collai un peu plus à lui pour bien sentir son corps contre moi. Il sentait si bon ! C’était un vrai soulagement de me retrouver dans ses bras après l’après-midi que je venais de passer.
- Tu as été une bonne chienne, Ma petite Leeny. Les gens M’ont félicité pour ton dressage, et tu sais combien J’aime que l’on Me complimente sur Mes esclaves. Aussi ai-Je décidé de te donner une petite récompense.
Je Le regardai d’un air interrogateur et je Le vis se déshabiller. Il écarta mes cuisses et m’embrassa tout en me pénétrant. C’était si bon de le sentir en moi ! C’était la plus belle soirée de ma vie. Il me fit l’amour toute la nuit, sans violence ni brutalité, avec toute la douceur et tout l’amour d’un Maître pour son esclave. Je sentais le sommeil m’envahir et fermai les yeux doucement. Sans se retirer de moi, dans un coït tendre et profond. Il murmura un « Je t’aime, ma petite chienne adorée » que je me répétai toute la nuit dans un rêve merveilleux…
(à suivre…)
Deuxième journée en Martinique :
Toujours sur le yacht, Je me levai lentement pour ne pas réveiller mon Maître le Marquis d’Evans. Il n’était que 4h37 du matin, mais je n’arrivais plus à dormir tant l’excitation d’avoir mon Maître avec moi était grande. Je me dirigeai donc vers le salon et aperçu sur le canapé les pinces, le fil de fer et tous les outils que mon Maître avait utilisés la veille. Il fallait que je mette de l’ordre avant Son réveille. Je commençai à tout ramasser, après avoir accroché une pince sur chacun de mes tétons. Je me rendis compte bientôt que rien ne pendait à mon cou, je n’avais pas ma laisse. Je me précipitai dans la chambre, la ramassai et ressortis après l’avoir accrochée à mon collier. Puis je repris le rangement. Au bout de dix minutes, tout était parfait.
Je me mis donc à préparer le repas de Maître. Du bacon, des œufs, je vérifiai que le beurre était bien dans le frigo, je préparai les tranches de pain pour les mettre à griller au réveil de mon vénéré Maître puis allumai la cafetière. Tout était prêt. Je regardai l’heure : 5h. Mon Maître le Marquis d’Evans n’allait sûrement pas se réveiller maintenant. Je me dirigeai d’abord vers la salle de bain puis me retins. Je n’étais qu’une chienne. Je n’avais pas le droit d’utiliser la salle de bain de Maître, sauf s’il me le permettait. Je sortis donc sur le pont supérieur puis contourna le gouvernail. Là se trouvait une douche où l’on pouvait se rincer après le bain de mer. Je me mis à quatre pattes après avoir ouvert l’eau. Elle était gelée, et des frissons me parcoururent. Après avoir terminé, je me secouai pour me sécher et retourna dans la cabine, toujours à quatre pattes. Je me dirigeai vers le bureau et pris dans la grande bibliothèque ‘’A la lumière d’hiver’’ de Jaccottet. C’était l’un de mes recueils de poèmes préférés. L’écriture de ce poète avait le don de me fasciner. J’eus le temps de le relire deux fois et de commencer Les Mémoires d’outre tombe de Chateaubriand avant que le bruit de l’eau ne me parvienne. Je me dépêchai de ranger le livre et me précipitai jusqu’à la cuisine pour mettre le pain à griller et allumer la cafetière. Je me postai ensuite devant la porte de la chambre, assise sur les talons dans la posture de la chienne que j’étais.
Après un long moment, le bruit de l’eau cessa et j’entendis la porte de la douche s’ouvrir. A peine quelques secondes plus tard, le Marquis sortait de la chambre, entièrement nu. Il ne paru pas surpris de me voir là. Il me caressa la tête pour me saluer et tira sur les pinces accrochées à mes tétons depuis maintenant presque deux heures pour les enlever. Je retins un cri de douleur et contemplai avec admiration le sexe qui pendait mollement entre les cuisses de mon Maître. Il s’avança jusqu’à la cuisine.
- Eh bien. Quelle odeur appétissante. Lève-toi et sers donc ton Maître. Une fois cela fait, tu te posteras entre mes jambes et tu t’occuperas de réveiller mon sexe pendant que je mangerai. Si tu fais cela bien, tu auras droit à un petit-déjeuner.
Docilement, je m’affairai immédiatement dans la cuisine. Deux minutes plus tard, mon Maître était attablé et je suçais goulûment sa verge tendue. Le silence n’était perturbé que par le choc des couverts que le Marquis d’Evans utilisait et le bruit de succion que faisait ma bouche en savourant Son sexe. Il me caressait la tête de temps en temps pour m’encourager ou m’imposer Son rythme. Sa verge fut très vite longue et dure et je sentis dans ma bouche le léger goût salé de Sa semence. Puis, Il repoussa ma tête, m’assignant d’arrêter. Je le fis avec regret, sortis de sous la table et m’assis sagement à ses pieds. Au bout de quelques minutes, Il se leva et se dirigea vers la chambre, me faisant signe, de Sa main, de ranger. Je m’exécutai sagement, percevant les bruits de Sa brosse à dents électrique. Je retournai ensuite à ma place, devant la porte de la chambre, agenouillée sur mes talons, la tête baissée. Il sortit quelques minutes plus tard, vêtu des vêtements de mon père, coiffé, parfumé. Il était si beau (malgré le t-shirt blanc simple et le short rouge) que je crus que j’allais fondre…
Ne pas le regarder dans les yeux ! Je baissai ma tête et aperçu la bosse qui gonflait le short au niveau de son entre-jambes. Il n’avait pas joui entre mes lèvres, songeai-je avec tristesse. Il attrapa ma laisse et nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Il me fit m’arrêter devant ma gamelle. Il prit dans le frigo du lait et remplit une partie de la gamelle avec des céréales. Puis il ouvrit les pans du short et sortit sa verge tendue. Il me fit signe de le masturber tandis que de mon autre main, je me caressai la chatte, comme il venait de me l’ordonner. Rapidement et par saccades le flot de son délicieux jus tomba dans l’autre côté dans ma gamelle. Il me fit ensuite signe de manger. Je commençai par me délecter du ‘’joui’’ de mon Maître. C’était succulent et les céréales parurent bien fades après cela. Quand j’eus fini de laver ma gamelle, je me remis à quatre pattes et Il me tira sur le pont supérieur. Le soleil rayonnait déjà au dessus de l’horizon et Il s’assit sur l’un des sièges, moi à ses pieds. Il regardait la mer, le paysage en me caressant la tête. J’attendais, de mon côté, le moment où Il me parlerait. Ce qui arriva très vite :
- Il me semble que ce rocher est très populaire ici. Comment se nomme-t-il déjà ?
- Le Rocher du Diamant, Maître. Il est en effet très visité des touristes venant en Martinique. Les fonds marins y sont magnifiques. J’y ai fait de la plongée avec mon père, un jour, et c’était vraiment éblouissant. Mais à part cela, le rocher en lui-même n’est pas si intéressant que cela. De plus, il y a beaucoup de requins, même s’ils ne sont pas dangereux.
- Je vois. Bien. Qu’as-tu prévu pour aujourd’hui ? Je risque d’avoir le mal de mer si nous restons sur ce bateau toute une journée.
- Oui, Maître, je pense Vous emmener à Fort-de-France pour que Vous puissiez faire Vos achats.
- Bien, bonne idée. Viens donc par là que je t’habille. Même si je n’aime pas que Mes chiennes soient vêtues car cela leur enlève leur statut de chienne, tu ne peux décemment pas sortir ainsi. Mais n’oublies pas que tu n’es qu’une chienne déguisée, tu as compris ?
- Oui, mon Maître, dis-je en baissant ma tête.
Il prit ma laisse et me tira jusqu’à la chambre. Il ouvrit le placard (j’avais pris soin, la veille, d’y ranger Ses affaires) et sorti un sac en cuir noir, que je n’avais pas vu la veille. Il le posa sur le lit et l’ouvrit. Quand je vis ce qu’Il en tirait, une larme de joie et d’émotion roula sur ma joue. C’était un magnifique collier en cuir blanc cerné de pierres rouges que je devinais être des rubis. Un anneau en or y était accroché, reliant le collier à une fine chaîne en or elle-même attachée à une dragonne en cuir de la même couleur que le collier. Les armoiries du château des Evans y étaient incrustées avec art. Je vis Maître détacher la chaîne et s’approcher de moi. Je me prosternai respectueusement, consciente de l’immense cadeau qu’Il me faisait là. Les larmes coulaient silencieusement sur mes joues. Je sentis Ses mains délicates détacher le collier en cuir noir que je portais au cou et le remplacer par le blanc. Quand Il eut fini, ne pouvant me retenir, je sautai dans Ses bras. Surpris, Il me retint de justesse, manquant tomber. Horrifiée, je me repositionnai et me prosternai en m’excusant. Avec un sourire, il prit mon menton et m’embrassa doucement.
- Tu es devenue une bonne chienne, Leeny. Je suis fier de toi.
Cette fois, les larmes ne furent pas silencieuses. Je me mis à pleurer de joie, secouée par des spasmes incontrôlables. Il me caressa la tête longuement, attendant que je me calme. Après de longues minutes, mes pleurs cessèrent et Il m’aida à me relever. Il me fit m’asseoir sur le lit et disparut dans la salle de bain. Il en ressortit avec une robe en cuir rouge sans manche, très courte. Elle était bordée sur chaque côté de deux fines bandes blanches. Sur la hanche à droite, il y avait aussi le logo des armoiries des Evans. Le Marquis me fit me lever et m’habilla de cette robe seulement, sans aucun sous-vêtement en dessous. Il s’assit ensuite sur le lit et me fit signe de venir entre Ses jambes. Pensant qu’Il voulait une « gâterie », je me positionnai commençai à dégrafer le short. Il m’arrêta d’un geste, puis me retourna de telle sorte que je sois assise dos à Lui. Puis je sentis Ses doigts caresser mes cheveux, avant de sentir une brosse prendre le relais. Mon Maître me coiffait ! Il s’occupait si bien de moi ! Décidément, je ne le méritais pas… Quand Il eut fini de faire ma couette haute, nous quittâmes la cabine et je me postai aux commandes.
Trois quarts d’heure plus tard, j’amarrai le bateau à l’un des quais du port de Fort-de-France. Le Marquis descendit le premier, puis je le suivis. Je saluai les quelques marins que je connaissais et qui sortaient du bateau militaire. Ils furent surpris de me voir vêtue ainsi, cela se voyait. Mais ils ne dirent rien et je guidai mon Maître vers la sortie du port. Fort-de-France était, comme à son habitude, très animée ce jour là. Le marché était ouvert et l’on pouvait entendre les marchants crier à l’autre bout de la ville. Nous passâmes devant l’épicerie que tenait mon amie d’enfance, et je fis tout pour rester inaperçue. Elle saurait qu’il se passait quelque chose si elle me voyait habillée ainsi, et je ne voulais causer aucun tort au Marquis d’Evans. Nous arrivâmes dans une ruelle sombre et déserte. Il fallait la traverser pour arriver à la rue commerciale. Maître s’arrêta au début de la rue et regarda à droite puis à gauche, puis me fixa. Je l’observai, interrogative. Puis il sortit de sa poche la fine chaîne en or puis l’accrocha à mon collier.
- Il ne faudrait pas que tu gardes cette mauvaise habitude de marcher debout. Ce n’est pas bon pour une chienne.
Inquiète (si je croisais quelqu’un que je connaissais) mais obéissante, je me mis à quatre pattes. Le Marquis se baissa et remonta la robe sur mes hanches, de manière à ce que mon cul Lui soit bien visible. Il m’autorisait à marcher devant lui, puisque c’était moi qui le guidais. Nous commençâmes donc à avancer dans la ruelle. Heureusement, personne ne rencontra notre chemin, cette ruelle étant assez peu connue pour son passage. Arrivé à la moitié du chemin, Maître me fit m’arrêter de nouveau. Il sortit de sa poche un plug et l’enfonça directement dans mon cul, ce qui me fit crier de douleurs vives et subites. Puis il me claqua trois fois chaque fesse et nous repartîmes. Arrivés à quelques mètres de la sortie de la ruelle, il m’intima de me relever en tirant d’un coup sec sur la laisse. Ce que je fis. Il rebaissa le bas de la jupe, m’enleva la chaîne et nous continuâmes. Au bout de dix minutes, et gênée dans ma démarche étant pluguée, nous passâmes devant un sex-shop. Sachant qu’il serait intéressé, je m’arrêtai devant. Comme je l’avais imaginé, Il regarda l’insigne du magasin et entra. Je le suivis à l’intérieur, toute excitée de ce qui allait s’y passer. Car je savais que ce magasin n’était pas qu’un simple magasin.
Une odeur d’encens s’engouffra dans mes narines dès mon arrivée. Le Marquis d’Evans était déjà dans le rayon S.M. Une magnifique jeune femme d’environ trente ans arriva devant moi et appuya sur ma tête pour m’agenouiller. Ne comprenant rien, j’obéis. Elle enleva ma robe, installa des pinces réglables sur mes tétons qu’elle serra à l’extrême puis des nipple sucker électriques. Elle régla ces dernières au maximum. Les ventouses aspirèrent mes tétons déjà meurtris par les pinces. Je laissai échapper un soupir d’aise. Maître tendit la chaînette à la jeune femme qui l’accrocha à mon collier. Elle s’éclipsa un instant dans le rayon où mon Maître était l’instant d’avant puis revint avec une cravache et un martinet qu’elle tendit à mon Maître, non sans un certain sourire sadique. On avait l’impression qu’ils étaient très complices.
Il les fit claquer au dessus de ma tête, un air satisfait sur le visage. Elle s’accroupit devant moi et pris mon menton entre ses doigts. C’est alors que je me souvins d’elle. Elle était à la foire aux esclaves où mon Maître m’avait achetée quelques mois auparavant. Malgré son jeune âge, elle faisait partie des amis intimes de Maître et était célèbre dans le monde de la domination/soumission. Certains racontaient qu’elle avait été l’élève du Marquis d’Evans et qu’il lui avait appris tout ce qu’elle savait. C’était même Lui qui lui avait offert son premier esclave. J’étais vraiment heureuse de la rencontrer. Sur un forum, j’avais fais la connaissance d’une esclave qui avait été sous ses ordres. Elle ne m’avait dit que du bien d’elle. Mais malheureusement, sa Maîtresse était partie vivre sur une île (je savais maintenant que c’était la Martinique).
- Chienne Leeny, voici ma jeune cousine, Maîtresse Helena. Elle est venue vivre ici en Martinique, il y a maintenant quelques années. Je savais que tu me mènerais jusqu’ici, c’est pour cela que je ne t’en ai pas parlé, mais nous avions prévu de nous voir. Tu as dû l’apercevoir le jour de la foire aux esclaves.
- Oui, Maître. Je m’en souviens. Je suis très heureuse de vous rencontrer, Maîtresse Helena, dis-je en me prosternant.
- Eh bien, moi aussi ! Monsieur le Marquis ne fait que me parler de vous, ses esclaves. J’avais très envie d’en rencontrer un. Il m’avait dit que l’une de ses esclaves vivait ici mais ne voulais pas me la présenter tant qu’il ne serait pas là. Mon cher cousin, aurais-tu peur que je te la vole ?
- Voyons, Helena, tu sais très bien que mes chiens sont beaucoup trop fidèles à leur Maître. Ils ne seraient rien sans moi.
- Je le sais, je le sais, dis Héléna avec une évidente admiration dans ses yeux
- Je voulais simplement avoir le bonheur de te la présenter moi-même. Après tout, tu as été ma meilleure élève, je te devais bien cela.
- Ha ! Ha ! Eh bien, tu me fais là un grand honneur. Bon, et si nous passions à la grande salle ? Je ferme le magasin.
Elle ferma la porte après avoir retourné la pancarte de façon à ce que la face « Fermé » soit visible, puis elle se tourna vers le Marquis d’Evans.
- Me ferais-tu l’honneur ? demanda-t-elle en pointant un doigt sur moi.
- Je t’en prie.
Elle sautilla de joie et pris ma laisse. Elle était, à mon grand étonnement, très douce. Avec une caresse sur le derrière, elle me fit avancer. Après avoir parcouru un grand couloir, derrière la boutique, nous arrivâmes dans une immense pièce où un grand nombre d’accessoires de soumissions trônaient, imposants et terrifiant, mais surtout excitant. Il y avait dans un coin de la salle un buffet et plusieurs chaises. Une vingtaine de couples venant de milieux plus qu’aisés, habillés très élégamment, discutaient entre eux. Des serveurs, seulement vêtus de nœuds papillon, servaient des coupes de champagne ou des verres de vin. Les femmes et certains hommes en profitaient pour les toucher.
Quand la Maîtresse de maison entra, moi à ses pieds, tout le monde se tût. Et quand mon Maître apparu dans l’embrasure de la porte, des « oh ! » et des « ah ! » parcoururent l’assemblée. Tous saluèrent avec respect le nouveau venu. Le Maître de la soumission était présent en ces lieux ! Quel honneur ! Il y aurait certainement un grand spectacle. La jeune dominatrice fit asseoir son cousin dans un fauteuil de velours rouge. Elle me fit m’installer dans un panier de la même matière, aux pieds de mon Maître. Plusieurs personnes vinrent saluer le Marquis d’Evans. Il était vraiment très apprécié de tous ceux qui le connaissaient. Et pour ceux qui le découvraient, la réputation du Marquis d’Evans était bien connue et suscitait de l’admiration. Ils le complimentèrent de la qualité esthétique de la jeune chienne assise à ses pieds et lui demandèrent se elle était obéissante.
- Ne vous en faites pas, mes amis, cette petite chienne a été très bien dressée, elle est très docile et obéit à chacun de mes ordres. Vous aurez tout le loisir de vous en rendre compte un peu plus tard. Pour le moment, chère cousine, dit-Il en se tournant vers elle, il est déjà midi passé et je n’ai toujours pas mangé. Ma chienne non plus d’ailleurs.
- Nous allions justement passer à table. Si tu veux bien, j’emmène la chienne avec les autres dans la pièce d’à côté. J’ai chargé quelques amis de les préparer pour cet après midi.
- C’est très bien ! Soit sage, Leeny, dit-Il en me caressant la tête.
La Maîtresse de maison pris ma laisse et me guida jusqu’à une salle adjacente, un peu plus petite mais dotée d’à peu près les mêmes instruments que la grande salle. Elle remit ma laisse à un grand jeune homme et repartit. Je regardai la pièce. Déjà une dizaine d’esclaves étaient présents. Des hommes avec des cagoules, tels des geôliers, et sans aucun autre vêtement, étaient en train de les fouetter ou de leur enfoncer des godes dans la chatte pour les femelles et dans le cul pour les mâles. Mais aucun son ne sortait des bouches des esclaves. L’homme qui tenait ma laisse me mena jusqu’à un comptoir qui longeait tout un mur de la salle. Etant à quatre pattes, je ne pouvais voir ce qui s’y trouvait, mais je devinais que c’était des fouets et autres instruments de torture. Il prit une cagoule semblable à celles de ses camarades et l’enfila.
Puis il se munit de plusieurs outils. Je l’entendis faire claquer un martinet dans l’air, puis il testa une cravache et un paddle sur son épaule. Il se baissa pour accrocher une pince munie d’un poids sur chacun de mes tétons et les relia à mon collier à l’aide d’une chaîne. Puis il saisit ma laisse et nous nous dirigeâmes vers le centre de la pièce où se trouvait un banc de torture. Il attacha mes poignets aux pieds du banc puis accrocha l’anneau de mon collier à un crochet sous le banc. Mes cuisses furent maintenues par des liens en cuir noir ainsi que mes chevilles. Mon cul se retrouva donc mis bien en évidence. Une ou deux minutes passèrent avant que le premier coup de fouet ne retentisse. Je cria de douleurs. Cela était très étrange pour moi, car je n’avais pas l’habitude d’être traitée ainsi sans raison, alors que je n’avais commis aucune faute. Mais je savais que je n’avais pas mon mot à dire. L’homme parut se lasser très vite car au bout de six ou sept coups de fouet, il s’arrêta. Un instant passa encore. Je ne voyais que le sol en marbre clair et je ne pouvais bouger la tête pour regarder ce que faisait l’homme.
Au bout d’un moment, je sentis qu’on m’enleva mon plug et qu’un énorme gode le remplaça pour venir me bourrer l’anus, soudainement et sans ménagement. C’était la première fois que quelque chose d’aussi gros entrait en moi et si profondément. Une larme silencieuse coula sur ma joue. Je priai pour qu’il ne la remarque pas. Le jouet se mit à faire des allers-retours dans mon cul. Voyant que l’objet bougeait avec difficulté, il le retira, s’éloigna un instant. Que faisait-il ? Je le compris quand je sentis le même objet s’enfoncer en moi avec plus de facilité. Il glissait à l’intérieur de moi avec tant de force que plusieurs vaisseaux avaient dû éclater. Puis il s’arrêta aussi soudainement qu’il avait commencé. Il me détacha et me fit me lever avant de me vêtir d’un harnais. Il attacha mes poignets à des menottes de suspensions qui pendaient à quelques mètres du banc. Puis il fit de même avec mes chevilles et enfin il attacha l’anneau qui se trouvait dans mon dos à un crochet.
Je me retrouvai donc les jambes écartées, face contre terre à un mètre cinquante du sol. Il écarta davantage mes jambes et je sentis deux grosses boules s’enfoncer dans mon anus. A peine furent-elles à l’intérieur qu’elles se mirent à vibrer. J’eus l’impression d’être en plein tremblement de terre tant les vibrations était fortes. Le gode qui avait servit à ouvrir mon cul fut lavé puis enfoncé dans ma chatte. L’homme fit le même travail avec cette dernière. Je me retins de justesse de jouir tant la douleur se mêlait délicieusement avec le plaisir. Puis je fus libérée de mes liens. Il me laissa le harnais et me traîna jusqu’à un coin de la pièce où était déjà installer dix chiens et huit chiennes. Les boules vibraient toujours en moi mais avec moins d’intensité. On posa devant moi une gamelle à trois compartiments. L’un avec des croquettes, l’autre avec de la pâtée et le dernier vide. Je commençai à manger. Environ deux minutes plus tard, les portes qui menaient à la grande salle s’ouvrirent. Je sentis immédiatement la présence de mon Maître et cela me rassura.
Il m’avait tant manqué durant la dernière heure ! Il se dirigea vers moi et s’arrêta à ma hauteur. Il dégrafa Son pantalon et en sortit Son énorme vit. Il urina dans le compartiment vide de ma gamelle, me caressa la tête et me fit Le lécher pour Le nettoyer, ce que je fis avec plaisir. Puis Il rangea Son sexe et disparut dans la grande salle. Je me remis à manger et à boire. Les autres chiens et chiennes nous rejoignirent pour manger. Au bout de dix minutes, l’horloge qui se trouvait au fond de la salle sonna quatorze heures. Les « geôliers » réapparurent et prirent les laisses de chaque chien. Nous étions vingt-trois en tout. La Maîtresse de maison apparut dans l’encadrement de la porte et fit un signe aux « geôliers ». Tous les chiens se retrouvèrent avec un rosebud dans le cul d’où pendait une queue de chien, noires pour les mâles et blanches pour les femelles. Puis on nous sépara en deux rangs, face à la porte. Nous entrâmes dans la grande salle. Cette dernière avait été réorganisée. Le buffet avait été retiré, les instruments avaient été tournés face aux chaises, maintenant rangées en ligne le long du mur. Mon Maître et sa cousine étaient un peu surélevés, assis sur une petite estrade, dans des fauteuils en velours rouges. Il me fit un petit sourire quand il me vit, et je devins rouge comme leurs fauteuils. Tout se passa très vite en suite. Les invités furent autorisés à se lever pour assouvir leurs envies. La seule condition était de ne pas retirer les queues des chiens. Je connus un grand succès, étant l’esclave du grand Maître.
Deux hommes d’environ cinquante ans se dirigèrent vers moi, suivis de trois jeunes femmes. On tira sur mes seins, on les martyrisa, d’autres venaient enfoncer trois doigts dans ma chatte, dans mon anus (par-dessus le rosebud). Puis des instruments furent distribués. On me fouetta, on me goda, je me retrouvai avec des pinces sur les seins, sur la bouche, le clitoris. Un gode effilé fut enfoncé dans mon cul au côté du rosebud déjà présent. Je retins de justesse un cri de douleur. Les deux Maîtres observaient le spectacle avec de grands sourires et commentaient quelques fois en se penchant pour chuchoter à l’oreille de l’Autre. Un invité eut l’audace de tirer sur ma queue et de la sortir hors de moi. Il fut immédiatement mis à la porte. Il ne fallait pas toucher à ce qui caractérisait une chienne : sa queue. Les deux hommes de cinquante ans me mirent sur un banc, jambes écartées. Et tous deux, en même temps, ils enfoncèrent leurs gros sexes dans ma chatte. Pendant ce temps, une femme vint tirer sur les pinces qui torturaient mes tétons. Il y en avait trois en tout sur chaque téton. Elle les retira une par une en tirant d’un coup sec. Puis elle fit rouler une petite roulette de Wartenberg aux dents aussi pointues que des aiguilles sur les tétons.
C’était si douloureux et si bon que je faillis me laisser aller. Les assauts des deux hommes se firent plus ardents et plus rapides. Je sentis bientôt un liquide gluant couler le long de ma raie. Puis ils présentèrent leurs sexes à mes lèvres. Je me mis à les sucer goulûment. Leurs sexes n’étaient pas aussi appétissants que celui de Maître, mais ils étaient tout de même agréables. Ce fut au tour d’un vieil homme barbu, d’environ quatre-vingt ans, de venir se décharger en moi. Cela fut très rapide, d’ailleurs et il n’eut pas besoin de me pénétrer, ma bouche ayant déjà fait tout le travail. Puis, une femme munie d’un énorme gode ceinture et d’un fouet vint s’enfoncer brutalement en moi alors que j’essuyais ma bouche. Elle me fouettait les seins au rythme de ses assauts puis elle attrapa mes cheveux et me tira vers ses seins pour que je les suce. Je me mis à l’œuvre. Elle était toujours en train de me déchirer la chatte quand un gong retentit dans la pièce. Tous les invités poussèrent des cris de déception. Protestations vite réprimées par mon Maître qui dit d’un ton ferme mais calme :
- Ça suffit ! Nous n’avons pas dit que le jeu était terminé, il est seulement l’heure de la pause pour nos petites bêtes. Je vous prierai, Messieurs et Mesdames, de retourner à vos sièges pendant que les serviteurs d’Helena nettoient les chiens.
Il était seize heures à l’horloge. Je ne savais pas pour combien de temps nous étions là. Je vis mon geôlier se diriger vers moi. Il s’accroupit et se mit à me nettoyer à l’aide d’une éponge. Je vis trois couples se lever et se diriger vers la Maîtresse des lieux. Ils s’inclinèrent et la jeune femme parut déçue :
- Bien ! Six de nos invités doivent s’en aller. Je vais donc leur rendre leurs chiens. Je suis désolée de devoir réduire l’effectif, mes amis. Georges, Didier, Olivier, Florian, Téo et David, rendez les laisses aux Maîtres.
Les hommes dont les noms avaient été cités se dirigèrent vers les trois couples et leur remirent les laisses avec leurs chiens à terre. Puis ils disparurent. Nous n’étions plus que dix-sept. Il y eut un élan de protestation que le Marquis d’Evans Se chargea de nouveau d’étouffer, il faisait, nul doute, autorité :
- Ecoutez mes amis, ils sont encore dix-sept. Et vous êtes vingt-quatre. Il y en a assez pour tout le monde. Alors amusez-vous. Vous êtes maintenant autorisé à retirer les queues et à utiliser les bancs de torture. Des baillons et autres instruments ont été ajouté à la panoplie. Ceux qui le désirent peuvent venir me consulter pour quelques conseils.
- Monsieur le Marquis ! Pouvez-vous nous faire une démonstration sur votre esclave, dit une voix féminine approuvée par le reste de l’assemblée.
- Cela est prévu, ne vous en faites pas. Mais pour le moment, amusez-vous, abusez d’elle. Elle est là pour cela, après tout. Tenez ! Je demande même à ce qu’elle remplace les chiens qui se sont retirés. Sept d’entre-vous, pourront s’occupez d’elle. Je compte sur vous pour bien profiter d’elle.
- C’est un bien bel honneur que tu nous fais là, cher cousin, s’exclama Helena. Alors, vous avez entendu Monsieur le Marquis ? Au boulot !
Bien plus de sept personnes vinrent s’acharner sur moi. Un homme m’attacha les poignets à des menottes de suspension et me fit me mettre à genoux. Trois femmes s’amusèrent à me fouetter, l’une avec un paddle, les deux autres avec des cravaches. Des hommes me présentèrent tour à tour leurs sexes pour que je les suce. Quand chacun d’eux fut bien dur, ils vinrent tous en même temps me pénétrer. Certains sexes n’ayant pas la place pour atteindre le mien, ils se frottèrent à mes seins, à ma bouche et certains réussirent à pénétrer mon cul. Ils devaient être à dix sur moi, à attendre leur tour. Je fus bientôt couverte de sperme mélangé à de la sueur et de la salive. C’était assez écœurant et je dû m’imaginer dans les bras de Maître pour passer cette épreuve sans vomir. J’attendais avec impatience le gong de la fin. Et il arriva après multiples orgasmes et pénétrations de tous mes orifices. Quelle orgie ! Enfin, les invités se reculèrent en nous regardant avec envie. C’était enfin fini. Mon Maître se leva et se dirigea vers moi. Je me frottai à ses pieds, telle une chatte obéissante alors qu’il me caressait la tête.
- Bien. Mes amis, le jeu est terminé. Veuillez regagner vos places. Je vais maintenant vous montrer comment J’ai réussi à dresser cette petite chienne qui était auparavant si sauvage. Leeny, assis. (Je m’exécutai) - Bien petite chienne !
Il me détacha les poignets et prit ma laisse. Il me mena jusqu’à un banc de torture. Il attacha mes poignets à mes chevilles. Je me retrouvai, pour la deuxième fois de l’après midi, le cul en l’air. Il présenta mes fesses au public. A trois reprises, il leur donna une claque ferme et toujours plus forte. Puis ce fut au tour de la cravache. Il me fouetta jusqu’à ce que je sente de fines gouttes de sang couler le long de mes cuisses. Mais je fis en sorte de ne pas pleurer et de ne pas crier, juste grimaçante, je me retenais pour dire aucun mot ou cris. Des « oh » de surprises retentir. J’entendis quelques personnes dire qu’il n’était pas normal que je ne dise rien alors que cela faisait plus de dix minutes qu’il me fouettait au même endroit. Ce qu’ils ne savaient pas, c’était que le Marquis d’Evans élevait Ses chiens dans la politique qu’il ne fallait jamais rien laisser paraître, que l’on ait mal ou que nous ressentions du plaisir, sous peine de grave punition.
Avec un sourire fier, Il me détacha et me fit m’asseoir à califourchon sur le banc, jambes écartées. Il installa des pinces sur mes tétons qu’Il tira, tourna, tortura. C’était délicieux ! La pointe de mes seins était rouge sang et me brûlait. Mais j’éprouvais un énorme plaisir à ce que ce soit mon Maître qui me fasse tant souffrir. Il était si bon avec moi ! Durant une heure, Il me fouetta, me pinça, enfonça Son vit dans ma gorge. Tout le monde admirait l’adresse de Maître, Son pouvoir sur moi. Jamais personne ne pourrait le surpasser en matière de dressage de chien. Je ne sais ce que je pourrais faire sans lui. La fin de notre prestation fut accueillie par un tonnerre d’applaudissement.
Quand tous les invités furent partis, Helena proposa à mon Maître de rester dormir. Proposition qu’il refusa gentiment. Mais il promit de revenir la voir avant son départ. Puis nous prîmes le chemin du retour. Il faisait nuit et personne ne traînait dans la rue, mis à part des drogués qui s’ennuyait chez eux. Le Marquis me fit alors me mettre à quatre pattes et retira tous mes vêtements, hormis, bien entendu, le collier et la laisse. Les jeunes qui traînaient me regardaient et demandaient à mon Maître de les laisser passer une nuit avec la petite chienne. Il ne leur accorda même pas un regard. J’étais furieuse. Comment osaient-ils s’adresser à mon Maître alors qu’ils n’étaient que des vauriens. Nous arrivâmes rapidement au bateau. Heureusement, nous n’avions croisé personne d’autre. Le Marquis d’Evans décida que nous resterions à quai pour la nuit. Il m’ordonna de me doucher, le laver toutes les traces de cette orgie. J’étais épuisée. Je ne terminai pas ma gamelle tant j’étais fatiguée, et Maître me fit comprendre qu’il ne désirait pas dîner. Il me porta jusqu’au lit et m’embrassa. Je fus surprise au début puis je me collai un peu plus à lui pour bien sentir son corps contre moi. Il sentait si bon ! C’était un vrai soulagement de me retrouver dans ses bras après l’après-midi que je venais de passer.
- Tu as été une bonne chienne, Ma petite Leeny. Les gens M’ont félicité pour ton dressage, et tu sais combien J’aime que l’on Me complimente sur Mes esclaves. Aussi ai-Je décidé de te donner une petite récompense.
Je Le regardai d’un air interrogateur et je Le vis se déshabiller. Il écarta mes cuisses et m’embrassa tout en me pénétrant. C’était si bon de le sentir en moi ! C’était la plus belle soirée de ma vie. Il me fit l’amour toute la nuit, sans violence ni brutalité, avec toute la douceur et tout l’amour d’un Maître pour son esclave. Je sentais le sommeil m’envahir et fermai les yeux doucement. Sans se retirer de moi, dans un coït tendre et profond. Il murmura un « Je t’aime, ma petite chienne adorée » que je me répétai toute la nuit dans un rêve merveilleux…
(à suivre…)
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