La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 68)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 68)
(suite de l'épisode 62 avec encorebelle)
Walter, qui avait assisté à la fin de la scène avec un sourire narquois, vint annoncer que le déjeuner était servi. Ces Messieurs se dirigèrent donc vers la salle à manger, où la table avait été dressée, Walter suivait, tenant encorerebelle en laisse. En entrant dans la pièce se trouvait, à droite, une file d’esclaves mâles et femelles alignés.
- Mon cher Maître Aristocrate, je vous invite à choisir les deux esclaves qui s’occuperont de vous, à votre guise, le temps du repas - Merci Mon cher Marquis. J’apprécie. Voyons voyons…. Celle-ci, et celle-là, dit Maître Aristocrate en désignant e77 et e27, qui aussitôt sortirent du rang pour le conduire à sa place.
Alors que Sir Evans effectuait son choix, Maître Aristocrate suggéra à Walter de rajouter sa chienne dans la file. Encore humide de sa séance apéritive, encorerebelle obéit docilement. Elle avait compris qu’il ne servait à rien de résister, et qu’elle ne ferait que mettre en colère son Maître bien-aimé, ce qu’elle voulait à tout prix éviter. Elle s’était donc décidée à obéir à tout ce qu’on lui demanderait, quoi qu’il lui en coûte.
Cependant, ni le Marquis, ni David ne la choisirent. Et, contrairement aux autres esclaves qui restaient là pour le cas où l’on voudrait se servir d’eux, elle fut emmenée par Walter afin d’être préparée pour la suite de la journée. C’est donc à quatre pattes qu’elle découvrit les longs couloirs du château. D’abord jusqu’à la cuisine, où plusieurs esclaves s’affairaient toujours sous les ordres de celle qu’elle découvrit comme étant Marie, la cuisinière.
- Tiens Marie, voici la soumise de Maître Aristocrate. Je te la confie pour la suite.
Je dois quant à moi aller veiller que tous les préparatifs se déroulent bien pour ce soir- Merci bien Walter. Je vais bien m’en occuper, de cette petite chienne, dit-elle avec un sourire quelque peu sadique. e69, apporte sa gamelle !
- La voici, Madame Marie, répondit l’esclave, qu’encorerebelle avait déjà croisé lors de la course.
La gamelle fut donc posée devant la soumise, qui dit simplement merci. La cravache que tenait Marie fusa aussitôt sur la croupe d’encorerebelle.
- Merci qui ?
- Heu… merci Madame Marie, répondit-elle en se souvenant de l’appellation que lui avait donné e69.
- Voilà qui est mieux. Dépêche-toi de manger, il y a encore du travail à faire sur toi ensuite - Bien Madame Marie
Encorerebelle se pencha donc sur sa gamelle. Manger ainsi ne la dérangeait nullement, son Maître l’y ayant habituée depuis fort longtemps. Et, ainsi qu’il plaisait à ce dernier, elle avait les avant-bras posés au sol, afin d’avoir le cul bien en l’air et exposé. Lorsqu’elle eut terminé, elle fut autorisée à se relever. C’est toujours néanmoins en laisse qu’une esclave la mena jusqu’à un cachot, où, pour seul mobilier, se trouvait un matelas. N’ayant pas été autorisée à lui parler, l’esclave lui fit comprendre par geste qu’elle devait se reposer. N’étant pas esclave du Marquis, encorerebelle ne fut pas attachée à la chaîne qui pendait au mur. Elle n’en demeurait pas moins enfermée. Elle avait entendu tourner la clé. La mélancolie la gagna peu à peu, éloignée de son Maître, dans des lieux qui lui étaient inconnus… Une larme perla à son œil, qu’elle essuya très vite. Cela aurait déplu à son Maître. Elle s’allongea sur le matelas et repensa à cette matinée qu’elle venait de vivre. Même si certaines épreuves lui avaient paru insurmontables sur le moment, elle réalisait avec le recul qu’aucune n’avait été si terrible que ça. La plupart avait même été plutôt excitantes.
Elle remercia intérieurement son Maître de la pousser de cette manière à repousser encore ses limites. Si on lui avait dit, lorsqu’elle avait commencé sa vie de soumise, qu’elle en arriverait à ce point, elle aurait tout de suite arrêté… Et maintenant elle n’aurait pu vivre sans tout cela, sans son Maître, sans son dressage, sans la fierté qu’elle lisait dans ses yeux, sans son bonheur de lui appartenir, sans ces limites sans cesse repoussées avec ô combien de plaisir. Ainsi perdue dans ses pensées, elle ne sentit pas le sommeil la gagner…
Pendant ce temps, dans la salle à manger, le repas se déroulait allégrement. Sir Evans et Maître Aristocrate, qui n’avaient jusque là échangé que d’un point de vue épistolaire, en profitèrent pour faire plus ample connaissance, tandis que les esclaves choisis s’occupaient du service de bouche, dans tous les sens du terme. De temps en temps, sur un signe de main de l’un ou l’autre des Maîtres, un des esclaves passait sous la table afin de soulager une excitation sans cesse grandissante.
Après le repas, le Marquis proposa de profiter du beau temps pour fumer le cigare au bord de la piscine. Une fois installés, David et Maître Aristocrate entreprirent alors de narrer à Sir Evans la bataille navale de la matinée. L’idée ne fut pas pour lui déplaire, et il se promit de la tester très rapidement sur sa favorite, e46…
C’est le bruit de la clé tournant dans la serrure qui réveilla encorerebelle. Quelque peu désorientée, la traction effectuée sur sa laisse par l’esclave qui venait la chercher lui remit les idées en place. Elle se releva et la suivit, sans poser de question, ayant bien compris les règles de silence. On la conduisit dans une petite salle de bains, où elle fut intégralement lavée de ses épreuves matinales. Ses cheveux, une fois séchés, furent parfumés, sont corps oint d’une huile satinée répandant des effluves légères d’ylang-ylang. On lui remit ensuite son collier de chienne et, toujours en silence, elle fut conduite dans les sous-sols du château.
Elles s’arrêtèrent devant une porte, gardée par un grand noir, à qui l’esclave tendit la laisse d’encorerebelle avant de repartir. Encorerebelle se vit mettre un bandeau sur les yeux, avant d’entendre la porte s’ouvrir. Tout en se laissant guider, elle tentait de masquer de son mieux son appréhension. Qu’allait-on encore faire d’elle ?
Elle sentit une corde lui lier les poignets, puis ses bras tirés vers le haut, jusqu’à ce qu’elle se trouve sur la pointe des pieds, dans un équilibre précaire. Puis elle entendit la porte se refermer.
Combien de temps resta-t-elle ainsi, elle ne le sut. Mais ses bras commençaient à être bien douloureux lorsqu’elle entendit de nouveau la porte s’ouvrir. Des bruits de pas.
Elle devina plusieurs personnes, deux, peut-être trois. Des mains se mirent à lui palper tout le corps. Des doigts fouillèrent sa fente, rendue humide par les attouchements, avant s’insinuer sa bouche que le plaisir avait entrouverte. Elle lécha avidement son intimité tout en gémissant sous les doigts qui lui malaxaient les seins et lui pinçaient fortement les tétons. Quelques instants plus tard, elle sentit le froid de l’acier à ses chevilles, qui furent maintenues écartées par une barre, puis la morsure de pinces sur ses lèvres. Son bandeau lui fut ensuite retiré. D’un regard, elle comprit qu’elle se trouvait dans un donjon, les divers instruments qu’elle put voir ne laissant aucun doute à ce sujet. Bien que devinant la suite quelque peu mouvementée, elle fut néanmoins heureuse de revoir son Maître.
- Mon Cher Marquis, cette pièce est formidablement bien équipée !!… - N’est-ce pas ? Vous allez voir, c’est un plaisir que de se divertir en ces lieux
Tandis que Sir Evans la détaillait, ainsi offerte et vulnérable, un sourire pervers aux lèvres, encorerebelle entendit la voix de son Maître lui susurrer à l’oreille qu’il n’avait pas oublié le champagne renversé…
- Tu vas maintenant recevoir la punition que tu mérites, ma chienne, mais tout cet équipement me donne envie de corser un peu le jeu …
(à suivre …)
Walter, qui avait assisté à la fin de la scène avec un sourire narquois, vint annoncer que le déjeuner était servi. Ces Messieurs se dirigèrent donc vers la salle à manger, où la table avait été dressée, Walter suivait, tenant encorerebelle en laisse. En entrant dans la pièce se trouvait, à droite, une file d’esclaves mâles et femelles alignés.
- Mon cher Maître Aristocrate, je vous invite à choisir les deux esclaves qui s’occuperont de vous, à votre guise, le temps du repas - Merci Mon cher Marquis. J’apprécie. Voyons voyons…. Celle-ci, et celle-là, dit Maître Aristocrate en désignant e77 et e27, qui aussitôt sortirent du rang pour le conduire à sa place.
Alors que Sir Evans effectuait son choix, Maître Aristocrate suggéra à Walter de rajouter sa chienne dans la file. Encore humide de sa séance apéritive, encorerebelle obéit docilement. Elle avait compris qu’il ne servait à rien de résister, et qu’elle ne ferait que mettre en colère son Maître bien-aimé, ce qu’elle voulait à tout prix éviter. Elle s’était donc décidée à obéir à tout ce qu’on lui demanderait, quoi qu’il lui en coûte.
Cependant, ni le Marquis, ni David ne la choisirent. Et, contrairement aux autres esclaves qui restaient là pour le cas où l’on voudrait se servir d’eux, elle fut emmenée par Walter afin d’être préparée pour la suite de la journée. C’est donc à quatre pattes qu’elle découvrit les longs couloirs du château. D’abord jusqu’à la cuisine, où plusieurs esclaves s’affairaient toujours sous les ordres de celle qu’elle découvrit comme étant Marie, la cuisinière.
- Tiens Marie, voici la soumise de Maître Aristocrate. Je te la confie pour la suite.
Je dois quant à moi aller veiller que tous les préparatifs se déroulent bien pour ce soir- Merci bien Walter. Je vais bien m’en occuper, de cette petite chienne, dit-elle avec un sourire quelque peu sadique. e69, apporte sa gamelle !
- La voici, Madame Marie, répondit l’esclave, qu’encorerebelle avait déjà croisé lors de la course.
La gamelle fut donc posée devant la soumise, qui dit simplement merci. La cravache que tenait Marie fusa aussitôt sur la croupe d’encorerebelle.
- Merci qui ?
- Heu… merci Madame Marie, répondit-elle en se souvenant de l’appellation que lui avait donné e69.
- Voilà qui est mieux. Dépêche-toi de manger, il y a encore du travail à faire sur toi ensuite - Bien Madame Marie
Encorerebelle se pencha donc sur sa gamelle. Manger ainsi ne la dérangeait nullement, son Maître l’y ayant habituée depuis fort longtemps. Et, ainsi qu’il plaisait à ce dernier, elle avait les avant-bras posés au sol, afin d’avoir le cul bien en l’air et exposé. Lorsqu’elle eut terminé, elle fut autorisée à se relever. C’est toujours néanmoins en laisse qu’une esclave la mena jusqu’à un cachot, où, pour seul mobilier, se trouvait un matelas. N’ayant pas été autorisée à lui parler, l’esclave lui fit comprendre par geste qu’elle devait se reposer. N’étant pas esclave du Marquis, encorerebelle ne fut pas attachée à la chaîne qui pendait au mur. Elle n’en demeurait pas moins enfermée. Elle avait entendu tourner la clé. La mélancolie la gagna peu à peu, éloignée de son Maître, dans des lieux qui lui étaient inconnus… Une larme perla à son œil, qu’elle essuya très vite. Cela aurait déplu à son Maître. Elle s’allongea sur le matelas et repensa à cette matinée qu’elle venait de vivre. Même si certaines épreuves lui avaient paru insurmontables sur le moment, elle réalisait avec le recul qu’aucune n’avait été si terrible que ça. La plupart avait même été plutôt excitantes.
Elle remercia intérieurement son Maître de la pousser de cette manière à repousser encore ses limites. Si on lui avait dit, lorsqu’elle avait commencé sa vie de soumise, qu’elle en arriverait à ce point, elle aurait tout de suite arrêté… Et maintenant elle n’aurait pu vivre sans tout cela, sans son Maître, sans son dressage, sans la fierté qu’elle lisait dans ses yeux, sans son bonheur de lui appartenir, sans ces limites sans cesse repoussées avec ô combien de plaisir. Ainsi perdue dans ses pensées, elle ne sentit pas le sommeil la gagner…
Pendant ce temps, dans la salle à manger, le repas se déroulait allégrement. Sir Evans et Maître Aristocrate, qui n’avaient jusque là échangé que d’un point de vue épistolaire, en profitèrent pour faire plus ample connaissance, tandis que les esclaves choisis s’occupaient du service de bouche, dans tous les sens du terme. De temps en temps, sur un signe de main de l’un ou l’autre des Maîtres, un des esclaves passait sous la table afin de soulager une excitation sans cesse grandissante.
Après le repas, le Marquis proposa de profiter du beau temps pour fumer le cigare au bord de la piscine. Une fois installés, David et Maître Aristocrate entreprirent alors de narrer à Sir Evans la bataille navale de la matinée. L’idée ne fut pas pour lui déplaire, et il se promit de la tester très rapidement sur sa favorite, e46…
C’est le bruit de la clé tournant dans la serrure qui réveilla encorerebelle. Quelque peu désorientée, la traction effectuée sur sa laisse par l’esclave qui venait la chercher lui remit les idées en place. Elle se releva et la suivit, sans poser de question, ayant bien compris les règles de silence. On la conduisit dans une petite salle de bains, où elle fut intégralement lavée de ses épreuves matinales. Ses cheveux, une fois séchés, furent parfumés, sont corps oint d’une huile satinée répandant des effluves légères d’ylang-ylang. On lui remit ensuite son collier de chienne et, toujours en silence, elle fut conduite dans les sous-sols du château.
Elles s’arrêtèrent devant une porte, gardée par un grand noir, à qui l’esclave tendit la laisse d’encorerebelle avant de repartir. Encorerebelle se vit mettre un bandeau sur les yeux, avant d’entendre la porte s’ouvrir. Tout en se laissant guider, elle tentait de masquer de son mieux son appréhension. Qu’allait-on encore faire d’elle ?
Elle sentit une corde lui lier les poignets, puis ses bras tirés vers le haut, jusqu’à ce qu’elle se trouve sur la pointe des pieds, dans un équilibre précaire. Puis elle entendit la porte se refermer.
Combien de temps resta-t-elle ainsi, elle ne le sut. Mais ses bras commençaient à être bien douloureux lorsqu’elle entendit de nouveau la porte s’ouvrir. Des bruits de pas.
Elle devina plusieurs personnes, deux, peut-être trois. Des mains se mirent à lui palper tout le corps. Des doigts fouillèrent sa fente, rendue humide par les attouchements, avant s’insinuer sa bouche que le plaisir avait entrouverte. Elle lécha avidement son intimité tout en gémissant sous les doigts qui lui malaxaient les seins et lui pinçaient fortement les tétons. Quelques instants plus tard, elle sentit le froid de l’acier à ses chevilles, qui furent maintenues écartées par une barre, puis la morsure de pinces sur ses lèvres. Son bandeau lui fut ensuite retiré. D’un regard, elle comprit qu’elle se trouvait dans un donjon, les divers instruments qu’elle put voir ne laissant aucun doute à ce sujet. Bien que devinant la suite quelque peu mouvementée, elle fut néanmoins heureuse de revoir son Maître.
- Mon Cher Marquis, cette pièce est formidablement bien équipée !!… - N’est-ce pas ? Vous allez voir, c’est un plaisir que de se divertir en ces lieux
Tandis que Sir Evans la détaillait, ainsi offerte et vulnérable, un sourire pervers aux lèvres, encorerebelle entendit la voix de son Maître lui susurrer à l’oreille qu’il n’avait pas oublié le champagne renversé…
- Tu vas maintenant recevoir la punition que tu mérites, ma chienne, mais tout cet équipement me donne envie de corser un peu le jeu …
(à suivre …)
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