La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 77)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 77)
(suite de l'épisode 76 avec myna)
Dans cette position, ainsi offerte, Myna perdit rapidement notion du temps qui passait. Elle finit même par s’assoupir, épuisée par la punition qu’elle avait reçue.
Des murmures se répercutant contre les murs de la grande salle du château, la remirent en alerte. Sa position lui permettait d’embrasser la pièce d’un regard. Ce qu’elle vit la troubla. Dame Laetitia, car c’était elle, vêtue d’un longue robe fourreau rouge à une seule bretelle, permettant d’apercevoir parfaitement son tatouage d’appartenance au Marquis d’Evans. Elle était perchée sur de vertigineux talons aiguilles. La jeune esclave se demandait d’ailleurs comment la favorite faisait pour se déplacer avec autant d’aisance et de grâce après avoir passé tout ce temps nus pieds.
Ce que Myna ne savait pas, c’est que son statut de favorite lui avait apporté un avantage. Dès son arrivée au château, e46 avait montré une certaine aptitude pour les soins de massage, elle s’intéressait beaucoup à cette tâche qu’accomplissait son valet. Désireuse d’apprendre, elle se montra bonne élève. A tel point, que ce dernier s’en ouvrit au Maître des lieux. Ainsi, lorsque la jeune femme fut formée et dressée à son goût, et qu’elle fut devenue sa favorite, Sir Evans lui proposa de continuer sa formation auprès des plus grands Maîtres
Ainsi, plusieurs fois par an, la jeune femme trouvait une tenue sur son lit, lui signifiant un départ immédiat pour une nouvelle séance de formation. Elle allait pouvoir parfaire ses connaissances et ainsi son art, et encore une fois, elle entrevoyait un moyen de satisfaire son Maître vénéré. Le Marquis d’Evans s’arrangeait toujours pour les loger, elle, son valet et deux colosses à la peau d’ébène dans la meilleure suite des plus merveilleux palaces du monde. Lorsqu’elle arrivait dans ces palaces, sa grâce, sa félinité, son port de tête royal, et sa suite lui valait tous les regards, du désir des hommes et d’envie des femmes. Mais une fois dans la suite, e46 était immédiatement déshabillée ne lui laissant que son collier sertie de purs diamants et rubis que lui avait offert son Maître pour sa première sortie. Elle était ensuite fessée ou fouettée pour ne pas que l’honneur qu’elle recevait, lui fasse oublier sa condition. Il en était ainsi chaque matin, avant le départ pour ses cours et le soir au retour.
Celui qui faisait face à Dame Laetitia, Myna le reconnu pour l’avoir vu la veille dans la chambre du Maître et le matin même à la même place. e64. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir la souffrance tirer ses traits, tandis que le rire cristallin de Dame Laetitia retentissait.
Un bruit attira l’attention de la jeune femme, cette dernière se retira rapidement, toujours pleine de grâce.
A peine fut-elle sortie que d’autres esclaves furent amenés et accrochés aux murs dans la même position que Myna. Cependant, cette dernière ne leur prêta pas attention, son regard était captivé par celui qui se trouvait en face d’elle. Elle le connaissait, elle en était certaine.
Lui par contre, l’avait reconnu dès son entrée dans la chambre du Maître. Il l’avait vu au pensionnat de la sœur de Madame Marie, la Gouvernante. Il y était envoyé régulièrement pour y servir de “Modèle Vivant“. Le jour où il l’avait vu pour la première fois, elle avait été punie pour quelque obscur raison. Les ''élèves'' étaient installées depuis plusieurs minutes à leur place. Pas un bruit ne résonnait. Il pouvait voir toutes les paires de jambes se croiser et se recroiser. Il connaissait les réactions que son physique provoquait systématiquement, tant chez les esclaves du Marquis que chez les élèves du pensionnat. Et la jeune Myna n’était pas en reste.
Il l’avait d’autant plus remarqué lorsque la Directrice qui était entrée dans la salle et l’avait fait pencher sur un bureau et qu’elle lui avait relevé la jupe. La femme avait eu cette remarque qui était restée dans sa tête : “Et bien Mademoiselle, il va falloir apprendre à vous contrôler, voyez l’état de votre culotte“, puis elle l’avait fouetté de sa badine jusqu’à ce qu’elle demande grâce et pardon pour la faute qu’elle avait commise. Myna avait alors fini le cours à genoux sur une règle dans un coin de la pièce. Ce jour là il s’était dit qu’elle devrait faire partie du cheptel de Sir Evans. Oh oui, il l’avait remarqué, et maintenant qu’il avait eu esclaveNatacha, elle était son nouvel objectif. Et il l’aurait, ça il pouvait en jurer.
Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite que le Maître des lieux était entré dans la pièce. Myna les avait vus. D’abord, le beau Monsieur David, coiffure impeccable, cheveux aux épaules. Costume haute couture à la coupe parfaite. Venait ensuite Monsieur le Marquis de sa haute stature avec à son bras la belle Dame Laetitia. Les lumières des immenses lustres se reflétaient dans les diamants d'une valeur inestimables de son collier. Derrière eux suivaient plusieurs invités, certains accompagnés de soumis et soumises, qui à quatre pattes tenus en laisse suivaient tels de petits chiens. Certains étaient marqués à l’effigie de leur Maître ou Maîtresse, d’autres portaient des anneaux à divers endroits de leur anatomie.
Monsieur David se plaça en bout de table, juste devant elle, lui tournant le dos. Il faisait lui aussi face à son favori empalé sur sa statue d’apollon et le sexe en une permanente érection. Il voyait sa souffrance et n’avait qu’une envie, pouvoir le soulager, ne serait-ce qu’un instant, mais il craignait bien plus son Amour, Amant et Maître aboslu, le Marquis d’Evans.
Lorsque tous les convives furent prêt à prendre place, le Maître fit un geste, les invitant à s’asseoir. Dame Lætitia tira alors la chaise du Maître pour qu’il puisse lui-même prendre place. Le temps qu’elle s’installe elle-même, les premiers esclaves nus, dévolues au service, arrivaient avec les premières assiettes, tandis que d’autres servaient le meilleur vin.
Ce jour là, à la table du Marquis d’Evans, on servi un foie gras maison, accompagné de pain de figue. Suivi ensuite d’une salade d’écrevisses sur un lit de saumon fumé par les soins de Marie la Cuisinière, lui-même posé sur un lit de mesclun très légèrement vinaigré. Venait ensuite un trou champenois, boule de sorbet citron arrosé de champagne. Cette petite pause digestive passée, un quasi de veau accompagné d’une Pomme Duchesse et d’une petite tomate à la provençale légèrement aillée et persillée.
Le quasi était nappé d’une sauce crémée à laquelle s’ajoutaient quelques morilles fraîches. Le repas se terminait enfin par une tarte tâtin et sa boule de glace à la vanille. Le repas était simple, mais Marie La Cuisinière ne travaillaient que les meilleurs produits frais.
On avait enfin posé les couverts. Alors que l’on servait digestif, café, thé ou bien encore champagne, les soumis et soumises s’égaillaient dans la salle. Monsieur le Marquis félicita Marie pour cette nouvelle prestation encore une fois sans accroc.
Puis il se pencha à l’oreille de Dame Lætitia. Il lui murmura quelques mots. Cette dernière sourit et se leva, telle une lionne prête à traquer sa proie.
Dame Lætitia marcha droit sur Myna. Comme d’un fait exprès, le pubis de la jeune esclave se trouvait à hauteur du visage de la favorite. Elle passa ses longs ongles parfaitement manucurés sur la peau de l’esclave. Par moment elle s’attardait sur les marbrures qu’avait laissées le fouet. Enfin elle passa ses doigts sur la fente humide de la jeune femme. Dame Lætitia avait vu le regard qu’elle portait à e64, elle en avait fait part à Sir Evans. L’ancienne esclave se tourna vers son Maître. Ce dernier lui sourit et l’encouragea d’un léger signe de tête. Dame Lætitia se mit donc en devoir de lécher le sexe de la jeune femme. Ses doigts entrèrent en elle. Allant et venant d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Sa langue fourrageait tout autour de son sexe, s’entremêlant entre les lèvres. Par moment, elle décalottait le clitoris de l’esclave, le suçotant, le léchant, le mordillant, le rendant de plus en plus sensible. Enfin lorsqu’elle sentit le souffle de Myna devenir erratique, lorsque les gémissements commencèrent à devenir audible et que les parois de son vagin se mirent à se contracter autour de ses doigts, Dame Lætitia se retira. Laissant l’esclave dans un état de pâmoison et de manque. Manque de ce désir qui était monté et dont on venait de la priver.
Pendant toute cette scène, le Marquis d’Evans s’était tenu adossé à son siège, coudes posés sur les accoudoirs, ses doigts joints et repliés devant sa bouche, dissimulant à peine le sourire de satisfaction qu’il arborait. Ses deux esclaves avaient offerts à ses invités un merveilleux spectacle très érotique.
Monsieur David s’était levé, et était sur le point de se retirer, furieux et jaloux que ces deux femelles attirent autant l’attention de son Amour. Sir d’Evans, à qui rien n’échappait et qui connaissait parfaitement son compagnon, fit un geste et Dame Lætitia s’approcha de l’homme. Elle plaqua ses lèvres contre celle de David. Forçant le passage de sa langue. L’obligeant ainsi à goûter à travers elle, les effluves de la nouvelle. Au bout d’un instant, le compagnon du Marquis la repoussa presque violemment, attrapant la main de l’ancienne esclave et suça longuement ses doigts, les nettoyant ainsi de toute trace de cyprine. Enfin, il se retira tête haute, sous le sourire ravi de Monsieur le Marquis, mais sans un regard de ce dernier.
Dame Lætitia allait se rasseoir à sa place, mais Sir Evans la renvoya à ses appartements, sans plus de regard, qu’il n’en avait eu pour Monsieur David.
Il donnerait un moment à chacun plus tard, mais pour l’instant il voulait les laisser dans le doute. Il se tourna plutôt sur ses invités. La table avait été débarrassée de sa vaisselle et des plats devenus superflus. Quelques soumis avaient été placés là...
(à suivre...)
Dans cette position, ainsi offerte, Myna perdit rapidement notion du temps qui passait. Elle finit même par s’assoupir, épuisée par la punition qu’elle avait reçue.
Des murmures se répercutant contre les murs de la grande salle du château, la remirent en alerte. Sa position lui permettait d’embrasser la pièce d’un regard. Ce qu’elle vit la troubla. Dame Laetitia, car c’était elle, vêtue d’un longue robe fourreau rouge à une seule bretelle, permettant d’apercevoir parfaitement son tatouage d’appartenance au Marquis d’Evans. Elle était perchée sur de vertigineux talons aiguilles. La jeune esclave se demandait d’ailleurs comment la favorite faisait pour se déplacer avec autant d’aisance et de grâce après avoir passé tout ce temps nus pieds.
Ce que Myna ne savait pas, c’est que son statut de favorite lui avait apporté un avantage. Dès son arrivée au château, e46 avait montré une certaine aptitude pour les soins de massage, elle s’intéressait beaucoup à cette tâche qu’accomplissait son valet. Désireuse d’apprendre, elle se montra bonne élève. A tel point, que ce dernier s’en ouvrit au Maître des lieux. Ainsi, lorsque la jeune femme fut formée et dressée à son goût, et qu’elle fut devenue sa favorite, Sir Evans lui proposa de continuer sa formation auprès des plus grands Maîtres
Ainsi, plusieurs fois par an, la jeune femme trouvait une tenue sur son lit, lui signifiant un départ immédiat pour une nouvelle séance de formation. Elle allait pouvoir parfaire ses connaissances et ainsi son art, et encore une fois, elle entrevoyait un moyen de satisfaire son Maître vénéré. Le Marquis d’Evans s’arrangeait toujours pour les loger, elle, son valet et deux colosses à la peau d’ébène dans la meilleure suite des plus merveilleux palaces du monde. Lorsqu’elle arrivait dans ces palaces, sa grâce, sa félinité, son port de tête royal, et sa suite lui valait tous les regards, du désir des hommes et d’envie des femmes. Mais une fois dans la suite, e46 était immédiatement déshabillée ne lui laissant que son collier sertie de purs diamants et rubis que lui avait offert son Maître pour sa première sortie. Elle était ensuite fessée ou fouettée pour ne pas que l’honneur qu’elle recevait, lui fasse oublier sa condition. Il en était ainsi chaque matin, avant le départ pour ses cours et le soir au retour.
Celui qui faisait face à Dame Laetitia, Myna le reconnu pour l’avoir vu la veille dans la chambre du Maître et le matin même à la même place. e64. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir la souffrance tirer ses traits, tandis que le rire cristallin de Dame Laetitia retentissait.
Un bruit attira l’attention de la jeune femme, cette dernière se retira rapidement, toujours pleine de grâce.
A peine fut-elle sortie que d’autres esclaves furent amenés et accrochés aux murs dans la même position que Myna. Cependant, cette dernière ne leur prêta pas attention, son regard était captivé par celui qui se trouvait en face d’elle. Elle le connaissait, elle en était certaine.
Lui par contre, l’avait reconnu dès son entrée dans la chambre du Maître. Il l’avait vu au pensionnat de la sœur de Madame Marie, la Gouvernante. Il y était envoyé régulièrement pour y servir de “Modèle Vivant“. Le jour où il l’avait vu pour la première fois, elle avait été punie pour quelque obscur raison. Les ''élèves'' étaient installées depuis plusieurs minutes à leur place. Pas un bruit ne résonnait. Il pouvait voir toutes les paires de jambes se croiser et se recroiser. Il connaissait les réactions que son physique provoquait systématiquement, tant chez les esclaves du Marquis que chez les élèves du pensionnat. Et la jeune Myna n’était pas en reste.
Il l’avait d’autant plus remarqué lorsque la Directrice qui était entrée dans la salle et l’avait fait pencher sur un bureau et qu’elle lui avait relevé la jupe. La femme avait eu cette remarque qui était restée dans sa tête : “Et bien Mademoiselle, il va falloir apprendre à vous contrôler, voyez l’état de votre culotte“, puis elle l’avait fouetté de sa badine jusqu’à ce qu’elle demande grâce et pardon pour la faute qu’elle avait commise. Myna avait alors fini le cours à genoux sur une règle dans un coin de la pièce. Ce jour là il s’était dit qu’elle devrait faire partie du cheptel de Sir Evans. Oh oui, il l’avait remarqué, et maintenant qu’il avait eu esclaveNatacha, elle était son nouvel objectif. Et il l’aurait, ça il pouvait en jurer.
Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite que le Maître des lieux était entré dans la pièce. Myna les avait vus. D’abord, le beau Monsieur David, coiffure impeccable, cheveux aux épaules. Costume haute couture à la coupe parfaite. Venait ensuite Monsieur le Marquis de sa haute stature avec à son bras la belle Dame Laetitia. Les lumières des immenses lustres se reflétaient dans les diamants d'une valeur inestimables de son collier. Derrière eux suivaient plusieurs invités, certains accompagnés de soumis et soumises, qui à quatre pattes tenus en laisse suivaient tels de petits chiens. Certains étaient marqués à l’effigie de leur Maître ou Maîtresse, d’autres portaient des anneaux à divers endroits de leur anatomie.
Monsieur David se plaça en bout de table, juste devant elle, lui tournant le dos. Il faisait lui aussi face à son favori empalé sur sa statue d’apollon et le sexe en une permanente érection. Il voyait sa souffrance et n’avait qu’une envie, pouvoir le soulager, ne serait-ce qu’un instant, mais il craignait bien plus son Amour, Amant et Maître aboslu, le Marquis d’Evans.
Lorsque tous les convives furent prêt à prendre place, le Maître fit un geste, les invitant à s’asseoir. Dame Lætitia tira alors la chaise du Maître pour qu’il puisse lui-même prendre place. Le temps qu’elle s’installe elle-même, les premiers esclaves nus, dévolues au service, arrivaient avec les premières assiettes, tandis que d’autres servaient le meilleur vin.
Ce jour là, à la table du Marquis d’Evans, on servi un foie gras maison, accompagné de pain de figue. Suivi ensuite d’une salade d’écrevisses sur un lit de saumon fumé par les soins de Marie la Cuisinière, lui-même posé sur un lit de mesclun très légèrement vinaigré. Venait ensuite un trou champenois, boule de sorbet citron arrosé de champagne. Cette petite pause digestive passée, un quasi de veau accompagné d’une Pomme Duchesse et d’une petite tomate à la provençale légèrement aillée et persillée.
Le quasi était nappé d’une sauce crémée à laquelle s’ajoutaient quelques morilles fraîches. Le repas se terminait enfin par une tarte tâtin et sa boule de glace à la vanille. Le repas était simple, mais Marie La Cuisinière ne travaillaient que les meilleurs produits frais.
On avait enfin posé les couverts. Alors que l’on servait digestif, café, thé ou bien encore champagne, les soumis et soumises s’égaillaient dans la salle. Monsieur le Marquis félicita Marie pour cette nouvelle prestation encore une fois sans accroc.
Puis il se pencha à l’oreille de Dame Lætitia. Il lui murmura quelques mots. Cette dernière sourit et se leva, telle une lionne prête à traquer sa proie.
Dame Lætitia marcha droit sur Myna. Comme d’un fait exprès, le pubis de la jeune esclave se trouvait à hauteur du visage de la favorite. Elle passa ses longs ongles parfaitement manucurés sur la peau de l’esclave. Par moment elle s’attardait sur les marbrures qu’avait laissées le fouet. Enfin elle passa ses doigts sur la fente humide de la jeune femme. Dame Lætitia avait vu le regard qu’elle portait à e64, elle en avait fait part à Sir Evans. L’ancienne esclave se tourna vers son Maître. Ce dernier lui sourit et l’encouragea d’un léger signe de tête. Dame Lætitia se mit donc en devoir de lécher le sexe de la jeune femme. Ses doigts entrèrent en elle. Allant et venant d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Sa langue fourrageait tout autour de son sexe, s’entremêlant entre les lèvres. Par moment, elle décalottait le clitoris de l’esclave, le suçotant, le léchant, le mordillant, le rendant de plus en plus sensible. Enfin lorsqu’elle sentit le souffle de Myna devenir erratique, lorsque les gémissements commencèrent à devenir audible et que les parois de son vagin se mirent à se contracter autour de ses doigts, Dame Lætitia se retira. Laissant l’esclave dans un état de pâmoison et de manque. Manque de ce désir qui était monté et dont on venait de la priver.
Pendant toute cette scène, le Marquis d’Evans s’était tenu adossé à son siège, coudes posés sur les accoudoirs, ses doigts joints et repliés devant sa bouche, dissimulant à peine le sourire de satisfaction qu’il arborait. Ses deux esclaves avaient offerts à ses invités un merveilleux spectacle très érotique.
Monsieur David s’était levé, et était sur le point de se retirer, furieux et jaloux que ces deux femelles attirent autant l’attention de son Amour. Sir d’Evans, à qui rien n’échappait et qui connaissait parfaitement son compagnon, fit un geste et Dame Lætitia s’approcha de l’homme. Elle plaqua ses lèvres contre celle de David. Forçant le passage de sa langue. L’obligeant ainsi à goûter à travers elle, les effluves de la nouvelle. Au bout d’un instant, le compagnon du Marquis la repoussa presque violemment, attrapant la main de l’ancienne esclave et suça longuement ses doigts, les nettoyant ainsi de toute trace de cyprine. Enfin, il se retira tête haute, sous le sourire ravi de Monsieur le Marquis, mais sans un regard de ce dernier.
Dame Lætitia allait se rasseoir à sa place, mais Sir Evans la renvoya à ses appartements, sans plus de regard, qu’il n’en avait eu pour Monsieur David.
Il donnerait un moment à chacun plus tard, mais pour l’instant il voulait les laisser dans le doute. Il se tourna plutôt sur ses invités. La table avait été débarrassée de sa vaisselle et des plats devenus superflus. Quelques soumis avaient été placés là...
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