La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 81)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 81)
(Histoire de sissy suite de l'épisode 80)
Le cabinet de toilette était spacieux, entièrement revêtu de marbre rouge d'Alicante.
Sissy était littéralement médusée, quelle beauté ! Outre l'aisance éloquente de son
train de vie Monsieur le Marquis lui témoignait manifestement une attention toute
particulière … lucide elle pensa "Pour son dressage aussi, sans doute …" Rose
interrompit sa contemplation :
- "Allez Sissy, je t'enlève le plug et tu files sous la douche, je te donne 15
minutes. Ensuite on s'occupera de ta peau, Monsieur le Marquis aime que ses chiennes
aient la peau douce et parfumée. Il te faut être au mieux, file !"
Dans la cabine de balnéothérapie Sissy goûtait voluptueusement l'effet des multiples
jets sur son corps endolori. Tous ses muscles lui semblaient noués, les quatre mâles
reproducteurs l'avaient chacun sailli deux fois. Lorsque Rose lui avait enlevé le
plug, ses fesses, ses cuisses, avaient ruisselé de l'accumulation du foutre des huit
jouissances des quatre mâles … Elle se savonna soigneusement. Son cheminement déjà
ancien vers les "retrouvailles" avec la féminité qui habitait son corps sexué,
(pourquoi ?), comme celui d'un mâle, l'avait amené depuis longtemps à prendre soin
d'elle. Epilation, gommage, hydratation, l'ex baroudeur savait prendre soin de son
petit corps d'athlète … Rose ouvrit la paroi de la cabine :
- "Allez Sissy, tu bouges tes fesses, il ne me reste plus qu'une heure pour te
préparer."
Dans les appartements de Monsieur le Marquis, Marie la cuisinière venait de lui
apporter sa collation matinale.
- "Merci Marie, posez ça là. Je vous félicite pour votre initiative et la façon dont
vous avez organisé sa première nuit chez nous. Il me plait de l'avoir entendue me dire
24 fois qu'elle était ma putain. N'oubliez pas d'envoyer le fichier vidéo à Madame
Cathy. Que pensez-vous donc de notre Sissy ?"
- "Monsieur le Marquis sait bien que je n'aime pas les hommes … mais il-elle semble
différente : Ce mélange de force et de fragilité mériterait peut être qu'elle ait un
vagin".
Sir Evans sourit
- "Chercheriez-vous le fouet Marie, vous manque-t-il donc à ce point ? Filez, nous en
reparlerons".
Le Marquis était songeur, jubilatoire aussi. Quel plaisir que de pouvoir s'amuser avec
le jouet prêté par son amie Dame Cathy, pour la lui rendre plus perverse, plus
chienne, plus dépravée ! Il fallait frapper fort, tout de suite. Le "sujet" avait de
la ressource, de l'entraînement même. L'esprit pervers de Sir Edouard Evans ne fut pas
long à accoucher d'une petite invention que l'un des amis de ses ancêtres, ce cher
Marquis de Sade, n'aurait sans doute pas renié, qui faut-il le rappelé avait même
trouvé refuge dans le château des Evans (voir les Origines de la Saga…).
Il prononça dans le système à reconnaissance vocale :
- "Walter !?"
- "Oui Monsieur le Marquis, que puis-je pour votre service ?" fit presque
immédiatement entendre le système audio, où la voix du majordome résonnait.
- "Que mon chef de meute se présente sans délai et que le docteur Charles-Antoine me
joigne immédiatement !"
- "Bien Monsieur le Marquis".
Il ne s'était pas écoulé beaucoup plus de 10 minutes que le portable du Marquis sonna,
c'était Charles Antoine :
-" Eh bien Monsieur le Marquis, ne me dites pas que ce si bon whisky vous a empêché de
dormir ?"
- "Charles-Antoine ! Ne pouvez-vous pas cesser d'être insolent ? Non, je viens d'avoir
une petite idée "amusante". Avez-vous toujours cette préparation que nous utilisions
sur les femelles de la meute de chasse pour renforcer leur odeur de chaleur et inciter
les mâles à saillir ?"
- "Pas sur moi Sir Edouard, ce serait dangereux ... mais j'en avait laissé un flacon à
Raymond, votre chef de meute".
- "Parfait...parfait … Merci Charles-Antoine, redites bien au chirurgien que nous
pensons compter sur lui pour dans 15 jours".
- "Ce sera fait, Monsieur le Marquis, soyez sans crainte"
Déjà le chef de meute se présentait à la porte des appartements du Marquis, il frappa
à la porte.
-"Entrez Raymond, entrez !
Raymond était déjà le chef de meute de Feu Monsieur le Père du Marquis, il avait connu
Edouard bébé, enfant, adolescent puis homme, c'était du plus pur "Evans" cet homme là,
digne héritier de sa lignée …
- "Raymond, notre carabin Charles-Antoine me dit qu'il vous a confié un pot de cette
préparation qu'il avait concocté pour que nos femelles soient plus "communicantes,
attractives, séduisantes..." vis-à-vis des mâles lorsqu'elles ont leurs chaleurs..."
- "Si fait Monsieur le Marquis, j'en ai un pot"
- "Parfait, parfait. Avons-nous en ce moment une femelle en chaleur ?"
- "Nous en avons deux" Monsieur le Marquis, "Je pensais les mettre à l'oeuvre ces
jours ci.
- "Parfait Raymond, poursuivit le Marquis, Vous allez me sélectionner un de nos
meilleurs et vigoureux esclaves mâles, vous préparerez la femelle, nous ferons la
saillie ici. Tenez vous avec le couple devant le perron, pour 8 heures".
"Bien Monsieur le Marquis" fut le seul commentaire de Monsieur Raymond en sortant de
la pièce.
…
Rose terminait d'enduire tout le corps de Sissy d'huile d'argan... Elle retourna
ensuite à la belle commode choisir un plug d'apparat. Elle se décida pour celui qui
portait une longue tresse de crins blonds, comme la queue de la jument préférée de
Monsieur le Marquis. Puis elle maquilla légèrement Sissy : un peu de crayon pour
agrandir ses yeux et en rehausser le joli bleu profond qui toute la nuit dernière
n'avait exprimé qu'un mélange de détresse et d'amour, un tout petit peu de rose aux
joues. Elle alla à un placard : il y avait là 12 paires de chaussures. Sissy chaussait
du 39, c'était dans son dossier. Elle choisit des petits escarpins de velours noirs,
ouverts, avec des talons de 9 cm. La sobriété était de mise pour une première
présentation.
Enfin elle lui inséra le plug, boucla le harnais et mis une laisse à l'anneau de son
collier de titane rose.
- "Tu es prête Sissy, marche un peu... bien, tu es présentable, une belle putain à
vrai dire...tu serais même touchante avec ta petite cage de garçon..."
- "En tant qu'invitée de Monsieur le Marquis et propriété de ta Maîtresse Cathy tu es
autorisée à te déplacer debout mais chaque fois que tu croiseras une personne sans
collier tu devras immédiatement t'agenouiller et te mettre en position d'offrande".
Pour la première fois depuis son arrivée Sissy retrouva une voix posée et dit :
- "Merci Rose, merci, j'ai compris, merci pour tout".
- "Il nous reste 30 minutes, dit Rose, viens manger quelque chose.
Alors que Sissy était dans le cabinet de toilette une servante envoyée par Marie avait
apporté et posé sur le guéridon, entre le sablier et le boulier, un petit plateau
rond, en argent lui aussi. Il y avait un verre du jus de goyave, des fruits et du
fromage...
Rose s'assit dans le Voltaire et dit à Sissy :"Assied toi par terre, mangeons et ne
traînons pas, Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas."
A l'autre extrémité du Château Walter frappa à la porte des appartements de Monsieur
le Marquis.
- "Entrez Walter, prononça Sir Evans ayant immédiatement reconnu la manière
caractéristique que le majordome avait de frapper son huis."
-"Bonjour Monsieur le Marquis, Monsieur le Marquis a-t-il bien dormi ?
- "Bonjour Walter, j'ai excellemment bien dormi tant il est vrai que Laetitia mérite
bien ses 3 anneaux et que Marie avait organisé l'arrivée de notre Sissy avec … disons…
doigté dirais-je
Walter s'autorisa un petit sourire discret. Grâce au système vidéo Marie et lui,
curieux, avaient assisté de la cuisine, sans y avoir été invité, aux deux premières
saillies...
- "Je vais recevoir notre invitée particulière, Sissy, à huit heures, seul, dans le
Petit Bureau. Une demi-heure plus tard à huit heures et demi nous descendrons elle et
moi sur le perron. Je veux que David et Marie se tiennent là à partir de 8 h 30
précise. Vous rassemblerez tous mes domestiques et les ferez tenir bien rangés, en bas
des marches. J'aurais également besoin de e44 et de e45. Que Marie convoque pour la
même heure nos deux nouvelles myna et encorebelle, je veux offrir une récompense à ces
deux chiennes, elles progressent bien. Faites enfin sceller deux de mes chevaux, l'un
avec ma selle personnelle, l'autre avec une selle de maintien. Je les veux harnachés
pour 9 heures."
- "Sera-ce tout Monsieur le Marquis ?" demanda Walter.
- "Oui Walter...", le Marquis laissa son majordome aller jusqu'à sa porte ..."Walter
…, le majordome se figea, j'ai vu votre petit sourire. Pensez-vous que je puisse
ignorer qu'hier soir vous étiez dans la cuisine avec Marie ?"
- "Non Monsieur le Marquis heuhhh… non, bien sûr".
Walter, malgré son ancienneté au service de Sir Edouard sentit son pouls accélérer …
les courroux du Marquis étaient terribles.
- "Disposez ! Walter, disposez ! Nous reparlerons de cette initiative et ferons le
point sur l'avancé des préparatifs du Grand Bal Masqué ce soir" conclu Sir Edouard.
Rose, tenant en laisse Sissy quittait le quartier des esclaves pour se diriger vers
l'aile qui abritait les appartements du Marquis. Elle avait, pour sa part, choisi de
porter un corset bustier rouge à fermoir busc, d’un brillant tissu damassé. Les motifs
de la damasserie représentaient les armes du Marquis, ses pieds étaient chaussés de
bottines de cuir rouge. Pour le reste elle était nue, splendide comme tout ce qui
appartenait à Sir Evans...
Étrangement ils ne croisèrent personne de la maisonnée jusqu'aux appartements du
Marquis. Il était 8 heures précises, Rose frappa le petit heurtoir placé sur la porte
du Petit Bureau de Sir Edouard Evans.
- "Entrez !" entendit Rose. Elle poussa la porte et entraîna Sissy à l'intérieur.
Monsieur le Marquis leur tournait le dos, assis dans son fauteuil, face à la haute
fenêtre donnant sur l’immense Parc fleuri et verdoyant.
- "Rose ?"
- "Oui Monsieur le Marquis"
- "Placez moi cette putain sur le petit tapis rond"
- "Bien, tout de suite Monsieur le Marquis"
Rose tira sur la laisse, amena Sissy au centre du tapis et lui chuchota
- "Mets toi à genoux, en position d'attente"
Sissy s'exécuta. Elle s'agenouilla, cuisses écartées, abaissa ses fesses sur ses
talons, plaça ses mains sur le haut des cuisses paumes vers le haut, poitrine sortie,
yeux baissés. Elle sentait sous ses genoux la douceur du cachemire … décidément son
séjour au château conjuguerait le meilleur, le plus suave, avec le pire, le plus
cinglant...
- "C'est fait Monsieur le Marquis".
- "Merci Rose, allez rejoindre les autres sur le perron, Sir Edouard ne s'était pas
retourné mais il ajouta pourtant : "Très bon choix ce corset, Rose, très bon, le rouge
vous va à ravir, vous êtes des plus belle ce matin …"
Rose sortit, songeuse "On ne surprenait jamais Sir Edouard, il savait tout, sentait
tout, dirigeait tout" Quel diable d'homme et lorsqu'on l'avait approché on ne pouvait
s'en éloigner sans le regretter amèrement …"
Sir Édouard se leva, se saisissant négligemment d'une cravache à pommeau d'argent.
Contournant l'élégant bureau Louis XV, laqué noir et ornementé de bronze doré,
s'approcha de Sissy intimidée.
- "Te voici donc Sissy, … ta Maîtresse m'a fait l'honneur de me confier une mission
bien agréable, te faire putain à jamais. Nous allons te rendre dépendante de ta libido
de chienne et t'enlever cette stupide arrogance de coq que tu traînes encore en
bandoulière comme un sabre d'abordage".
Négligemment le Marquis caressait du bout de sa cravache les épaules nues de Sissy. Un
premier coup s'abattit cinglant, laissant une zébrure sur l'omoplate droite de Sissy
qui bondit, abandonnant la position.
- "Reprends ta position chienne ! Donc disais-je, lorsque tu nous quitteras tu ne
pourras plus te passer d'être baisée comme une putain d'abattage et tu auras laissé
chez moi ce qu'il te reste de dignité".
Un second coup fulgura, marquant l'autre omoplate. Sissy bondit à nouveau.
- "La position chienne, la position !", reprit-il d’un ton sévère n’admettant pas une
réplique de riposte.
Le Marquis passa l’extrémité de la cravache sous le menton de Sissy pour l'obliger à
lever les yeux. Humides de larmes le regard bleu de Sissy lui faisait face :
- "Que me dit-on dans ce cas Sissy ?"
- "Mer … Merci Monsieur le Marquis de m'aider à mieux servir ceux qui doivent l'être,
je suis votre putain, la putain de Sir Édouard, de Monsieur le Marquis d'Evans".
La cravache du Marquis passait sur les tétons de Sissy. Sans qu'elle puisse s'y
opposer, ils grossirent et elle se mit à gémir, le désir montait en elle. Blotti dans
sa cage son sexe gonflait, immédiatement interdit de se déployer davantage.
-"Mais, c’est que tu bandes petite salope !" ponctua le Marquis dans un éclat de rire
immédiatement suivi d'une gifle retentissante sur la joue de Sissy. Puis de nouveau
caressant : "Remarques que cela ne me déplaît pas, tu seras plus facilement conduite à
te traîner au sol pour obtenir le plaisir"
Le Marquis continuait à tourner lentement autour de Sissy.
- "Mets toi en levrette, chienne de putain !"
Sissy s'exécuta. Immédiatement la cravache cingla 4 fois, deux coups sur chaque fesse.
Dans l'instant Sissy s'écroula de douleur.
- "Reprends la position !" lui dit le Noble en plus empoignant les cheveux.
Difficilement Sissy se remis en levrette. "J'attends, chienne" tonna le Marquis.
- "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans".
- "Et bien voilà, il te reste un peu de raison... Ton séjour parmi nous doit durer une
quarantaine de jours, comme celui du Christ dans le désert, en plus charnel et moins
spirituel je te le concède. Nous allons commencer par te rendre dépendante de tes
sens, sans trop te fatiguer car dans 15 jours tu auras besoin de toute ta santé pour
une petite chirurgie réparatrice d'une erreur de la nature. Sais-tu ce que ta
Maîtresse Cathy et moi avons décidé ?"
- "Pas exactement Monsieur le Marquis, je me doute un peu, sans savoir vraiment …"
Le Marquis sourit :
- "Tu ne sais pas exactement mais tu as signé toutes les décharges ?" Décidément
pensait-il cette Chère Cathy était créatrice d'émulation : qui de Lui, Marquis
d'Evans, ou d'Elle, qui jouait de l'accordéon en fumant des gauloises avait le plus de
talents à manipuler et asservir … ?
- "Je vais maintenant te présenter à ma domesticité, sais-tu ce qu'est une chienne ?"
reprit le Marquis.
- "Une chienne est un animal qui court vers son Maître pour l'accueillir, lui témoigne
une profusion d'affection, reçoit des punitions sans jamais concevoir de rancœur et
salue en montrant son cul"
- "Dans à peine un mois tu ne seras rien d'autre que cela, répliqua le Marquis d’Evans
avec assurance. Dans ma grande bonté j'ai prévu de t'illustrer cela, afin que tu
comprennes mieux ton destin..."
Dans la cour du château Walter était en train de répartir les domestiques de part et
d'autre du grand perron...
Raymond le chef de meute était là, tenant en laisse, à quatre pattes, une belle
esclave femelle à la longue et belle chevelure ondulée d'un roux flamboyant ainsi
qu'un grand et robuste esclave mâle qui n'arrivait pas à cacher une magnifique
érection impressionnante de volume. La longueur et l’épaisseur de sa verge étaient
hors norme... La petite préparation du docteur Charles-Antoine faisait son effet :
l’esclave femelle émettait des phéromones à l'odeur à peine perceptible mais dont le
message pour un mâle n'était rien d'autre que : "Baisez moi s'il vous plaît".
Plus loin, hors de portée des effluves de phéromones e44 et e45, accroupis,
attendaient aussi.
Sur le perron, Rose avait rejoint son amante Marie, et aussi David le compagnon du
Marquis qui partageait le lit. Myna et encorebelle, nues, belles et apprêtées
complétaient la docte assemblée ...
(à suivre…)
Le cabinet de toilette était spacieux, entièrement revêtu de marbre rouge d'Alicante.
Sissy était littéralement médusée, quelle beauté ! Outre l'aisance éloquente de son
train de vie Monsieur le Marquis lui témoignait manifestement une attention toute
particulière … lucide elle pensa "Pour son dressage aussi, sans doute …" Rose
interrompit sa contemplation :
- "Allez Sissy, je t'enlève le plug et tu files sous la douche, je te donne 15
minutes. Ensuite on s'occupera de ta peau, Monsieur le Marquis aime que ses chiennes
aient la peau douce et parfumée. Il te faut être au mieux, file !"
Dans la cabine de balnéothérapie Sissy goûtait voluptueusement l'effet des multiples
jets sur son corps endolori. Tous ses muscles lui semblaient noués, les quatre mâles
reproducteurs l'avaient chacun sailli deux fois. Lorsque Rose lui avait enlevé le
plug, ses fesses, ses cuisses, avaient ruisselé de l'accumulation du foutre des huit
jouissances des quatre mâles … Elle se savonna soigneusement. Son cheminement déjà
ancien vers les "retrouvailles" avec la féminité qui habitait son corps sexué,
(pourquoi ?), comme celui d'un mâle, l'avait amené depuis longtemps à prendre soin
d'elle. Epilation, gommage, hydratation, l'ex baroudeur savait prendre soin de son
petit corps d'athlète … Rose ouvrit la paroi de la cabine :
- "Allez Sissy, tu bouges tes fesses, il ne me reste plus qu'une heure pour te
préparer."
Dans les appartements de Monsieur le Marquis, Marie la cuisinière venait de lui
apporter sa collation matinale.
- "Merci Marie, posez ça là. Je vous félicite pour votre initiative et la façon dont
vous avez organisé sa première nuit chez nous. Il me plait de l'avoir entendue me dire
24 fois qu'elle était ma putain. N'oubliez pas d'envoyer le fichier vidéo à Madame
Cathy. Que pensez-vous donc de notre Sissy ?"
- "Monsieur le Marquis sait bien que je n'aime pas les hommes … mais il-elle semble
différente : Ce mélange de force et de fragilité mériterait peut être qu'elle ait un
vagin".
Sir Evans sourit
- "Chercheriez-vous le fouet Marie, vous manque-t-il donc à ce point ? Filez, nous en
reparlerons".
Le Marquis était songeur, jubilatoire aussi. Quel plaisir que de pouvoir s'amuser avec
le jouet prêté par son amie Dame Cathy, pour la lui rendre plus perverse, plus
chienne, plus dépravée ! Il fallait frapper fort, tout de suite. Le "sujet" avait de
la ressource, de l'entraînement même. L'esprit pervers de Sir Edouard Evans ne fut pas
long à accoucher d'une petite invention que l'un des amis de ses ancêtres, ce cher
Marquis de Sade, n'aurait sans doute pas renié, qui faut-il le rappelé avait même
trouvé refuge dans le château des Evans (voir les Origines de la Saga…).
Il prononça dans le système à reconnaissance vocale :
- "Walter !?"
- "Oui Monsieur le Marquis, que puis-je pour votre service ?" fit presque
immédiatement entendre le système audio, où la voix du majordome résonnait.
- "Que mon chef de meute se présente sans délai et que le docteur Charles-Antoine me
joigne immédiatement !"
- "Bien Monsieur le Marquis".
Il ne s'était pas écoulé beaucoup plus de 10 minutes que le portable du Marquis sonna,
c'était Charles Antoine :
-" Eh bien Monsieur le Marquis, ne me dites pas que ce si bon whisky vous a empêché de
dormir ?"
- "Charles-Antoine ! Ne pouvez-vous pas cesser d'être insolent ? Non, je viens d'avoir
une petite idée "amusante". Avez-vous toujours cette préparation que nous utilisions
sur les femelles de la meute de chasse pour renforcer leur odeur de chaleur et inciter
les mâles à saillir ?"
- "Pas sur moi Sir Edouard, ce serait dangereux ... mais j'en avait laissé un flacon à
Raymond, votre chef de meute".
- "Parfait...parfait … Merci Charles-Antoine, redites bien au chirurgien que nous
pensons compter sur lui pour dans 15 jours".
- "Ce sera fait, Monsieur le Marquis, soyez sans crainte"
Déjà le chef de meute se présentait à la porte des appartements du Marquis, il frappa
à la porte.
-"Entrez Raymond, entrez !
Raymond était déjà le chef de meute de Feu Monsieur le Père du Marquis, il avait connu
Edouard bébé, enfant, adolescent puis homme, c'était du plus pur "Evans" cet homme là,
digne héritier de sa lignée …
- "Raymond, notre carabin Charles-Antoine me dit qu'il vous a confié un pot de cette
préparation qu'il avait concocté pour que nos femelles soient plus "communicantes,
attractives, séduisantes..." vis-à-vis des mâles lorsqu'elles ont leurs chaleurs..."
- "Si fait Monsieur le Marquis, j'en ai un pot"
- "Parfait, parfait. Avons-nous en ce moment une femelle en chaleur ?"
- "Nous en avons deux" Monsieur le Marquis, "Je pensais les mettre à l'oeuvre ces
jours ci.
- "Parfait Raymond, poursuivit le Marquis, Vous allez me sélectionner un de nos
meilleurs et vigoureux esclaves mâles, vous préparerez la femelle, nous ferons la
saillie ici. Tenez vous avec le couple devant le perron, pour 8 heures".
"Bien Monsieur le Marquis" fut le seul commentaire de Monsieur Raymond en sortant de
la pièce.
…
Rose terminait d'enduire tout le corps de Sissy d'huile d'argan... Elle retourna
ensuite à la belle commode choisir un plug d'apparat. Elle se décida pour celui qui
portait une longue tresse de crins blonds, comme la queue de la jument préférée de
Monsieur le Marquis. Puis elle maquilla légèrement Sissy : un peu de crayon pour
agrandir ses yeux et en rehausser le joli bleu profond qui toute la nuit dernière
n'avait exprimé qu'un mélange de détresse et d'amour, un tout petit peu de rose aux
joues. Elle alla à un placard : il y avait là 12 paires de chaussures. Sissy chaussait
du 39, c'était dans son dossier. Elle choisit des petits escarpins de velours noirs,
ouverts, avec des talons de 9 cm. La sobriété était de mise pour une première
présentation.
Enfin elle lui inséra le plug, boucla le harnais et mis une laisse à l'anneau de son
collier de titane rose.
- "Tu es prête Sissy, marche un peu... bien, tu es présentable, une belle putain à
vrai dire...tu serais même touchante avec ta petite cage de garçon..."
- "En tant qu'invitée de Monsieur le Marquis et propriété de ta Maîtresse Cathy tu es
autorisée à te déplacer debout mais chaque fois que tu croiseras une personne sans
collier tu devras immédiatement t'agenouiller et te mettre en position d'offrande".
Pour la première fois depuis son arrivée Sissy retrouva une voix posée et dit :
- "Merci Rose, merci, j'ai compris, merci pour tout".
- "Il nous reste 30 minutes, dit Rose, viens manger quelque chose.
Alors que Sissy était dans le cabinet de toilette une servante envoyée par Marie avait
apporté et posé sur le guéridon, entre le sablier et le boulier, un petit plateau
rond, en argent lui aussi. Il y avait un verre du jus de goyave, des fruits et du
fromage...
Rose s'assit dans le Voltaire et dit à Sissy :"Assied toi par terre, mangeons et ne
traînons pas, Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas."
A l'autre extrémité du Château Walter frappa à la porte des appartements de Monsieur
le Marquis.
- "Entrez Walter, prononça Sir Evans ayant immédiatement reconnu la manière
caractéristique que le majordome avait de frapper son huis."
-"Bonjour Monsieur le Marquis, Monsieur le Marquis a-t-il bien dormi ?
- "Bonjour Walter, j'ai excellemment bien dormi tant il est vrai que Laetitia mérite
bien ses 3 anneaux et que Marie avait organisé l'arrivée de notre Sissy avec … disons…
doigté dirais-je
Walter s'autorisa un petit sourire discret. Grâce au système vidéo Marie et lui,
curieux, avaient assisté de la cuisine, sans y avoir été invité, aux deux premières
saillies...
- "Je vais recevoir notre invitée particulière, Sissy, à huit heures, seul, dans le
Petit Bureau. Une demi-heure plus tard à huit heures et demi nous descendrons elle et
moi sur le perron. Je veux que David et Marie se tiennent là à partir de 8 h 30
précise. Vous rassemblerez tous mes domestiques et les ferez tenir bien rangés, en bas
des marches. J'aurais également besoin de e44 et de e45. Que Marie convoque pour la
même heure nos deux nouvelles myna et encorebelle, je veux offrir une récompense à ces
deux chiennes, elles progressent bien. Faites enfin sceller deux de mes chevaux, l'un
avec ma selle personnelle, l'autre avec une selle de maintien. Je les veux harnachés
pour 9 heures."
- "Sera-ce tout Monsieur le Marquis ?" demanda Walter.
- "Oui Walter...", le Marquis laissa son majordome aller jusqu'à sa porte ..."Walter
…, le majordome se figea, j'ai vu votre petit sourire. Pensez-vous que je puisse
ignorer qu'hier soir vous étiez dans la cuisine avec Marie ?"
- "Non Monsieur le Marquis heuhhh… non, bien sûr".
Walter, malgré son ancienneté au service de Sir Edouard sentit son pouls accélérer …
les courroux du Marquis étaient terribles.
- "Disposez ! Walter, disposez ! Nous reparlerons de cette initiative et ferons le
point sur l'avancé des préparatifs du Grand Bal Masqué ce soir" conclu Sir Edouard.
Rose, tenant en laisse Sissy quittait le quartier des esclaves pour se diriger vers
l'aile qui abritait les appartements du Marquis. Elle avait, pour sa part, choisi de
porter un corset bustier rouge à fermoir busc, d’un brillant tissu damassé. Les motifs
de la damasserie représentaient les armes du Marquis, ses pieds étaient chaussés de
bottines de cuir rouge. Pour le reste elle était nue, splendide comme tout ce qui
appartenait à Sir Evans...
Étrangement ils ne croisèrent personne de la maisonnée jusqu'aux appartements du
Marquis. Il était 8 heures précises, Rose frappa le petit heurtoir placé sur la porte
du Petit Bureau de Sir Edouard Evans.
- "Entrez !" entendit Rose. Elle poussa la porte et entraîna Sissy à l'intérieur.
Monsieur le Marquis leur tournait le dos, assis dans son fauteuil, face à la haute
fenêtre donnant sur l’immense Parc fleuri et verdoyant.
- "Rose ?"
- "Oui Monsieur le Marquis"
- "Placez moi cette putain sur le petit tapis rond"
- "Bien, tout de suite Monsieur le Marquis"
Rose tira sur la laisse, amena Sissy au centre du tapis et lui chuchota
- "Mets toi à genoux, en position d'attente"
Sissy s'exécuta. Elle s'agenouilla, cuisses écartées, abaissa ses fesses sur ses
talons, plaça ses mains sur le haut des cuisses paumes vers le haut, poitrine sortie,
yeux baissés. Elle sentait sous ses genoux la douceur du cachemire … décidément son
séjour au château conjuguerait le meilleur, le plus suave, avec le pire, le plus
cinglant...
- "C'est fait Monsieur le Marquis".
- "Merci Rose, allez rejoindre les autres sur le perron, Sir Edouard ne s'était pas
retourné mais il ajouta pourtant : "Très bon choix ce corset, Rose, très bon, le rouge
vous va à ravir, vous êtes des plus belle ce matin …"
Rose sortit, songeuse "On ne surprenait jamais Sir Edouard, il savait tout, sentait
tout, dirigeait tout" Quel diable d'homme et lorsqu'on l'avait approché on ne pouvait
s'en éloigner sans le regretter amèrement …"
Sir Édouard se leva, se saisissant négligemment d'une cravache à pommeau d'argent.
Contournant l'élégant bureau Louis XV, laqué noir et ornementé de bronze doré,
s'approcha de Sissy intimidée.
- "Te voici donc Sissy, … ta Maîtresse m'a fait l'honneur de me confier une mission
bien agréable, te faire putain à jamais. Nous allons te rendre dépendante de ta libido
de chienne et t'enlever cette stupide arrogance de coq que tu traînes encore en
bandoulière comme un sabre d'abordage".
Négligemment le Marquis caressait du bout de sa cravache les épaules nues de Sissy. Un
premier coup s'abattit cinglant, laissant une zébrure sur l'omoplate droite de Sissy
qui bondit, abandonnant la position.
- "Reprends ta position chienne ! Donc disais-je, lorsque tu nous quitteras tu ne
pourras plus te passer d'être baisée comme une putain d'abattage et tu auras laissé
chez moi ce qu'il te reste de dignité".
Un second coup fulgura, marquant l'autre omoplate. Sissy bondit à nouveau.
- "La position chienne, la position !", reprit-il d’un ton sévère n’admettant pas une
réplique de riposte.
Le Marquis passa l’extrémité de la cravache sous le menton de Sissy pour l'obliger à
lever les yeux. Humides de larmes le regard bleu de Sissy lui faisait face :
- "Que me dit-on dans ce cas Sissy ?"
- "Mer … Merci Monsieur le Marquis de m'aider à mieux servir ceux qui doivent l'être,
je suis votre putain, la putain de Sir Édouard, de Monsieur le Marquis d'Evans".
La cravache du Marquis passait sur les tétons de Sissy. Sans qu'elle puisse s'y
opposer, ils grossirent et elle se mit à gémir, le désir montait en elle. Blotti dans
sa cage son sexe gonflait, immédiatement interdit de se déployer davantage.
-"Mais, c’est que tu bandes petite salope !" ponctua le Marquis dans un éclat de rire
immédiatement suivi d'une gifle retentissante sur la joue de Sissy. Puis de nouveau
caressant : "Remarques que cela ne me déplaît pas, tu seras plus facilement conduite à
te traîner au sol pour obtenir le plaisir"
Le Marquis continuait à tourner lentement autour de Sissy.
- "Mets toi en levrette, chienne de putain !"
Sissy s'exécuta. Immédiatement la cravache cingla 4 fois, deux coups sur chaque fesse.
Dans l'instant Sissy s'écroula de douleur.
- "Reprends la position !" lui dit le Noble en plus empoignant les cheveux.
Difficilement Sissy se remis en levrette. "J'attends, chienne" tonna le Marquis.
- "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans".
- "Et bien voilà, il te reste un peu de raison... Ton séjour parmi nous doit durer une
quarantaine de jours, comme celui du Christ dans le désert, en plus charnel et moins
spirituel je te le concède. Nous allons commencer par te rendre dépendante de tes
sens, sans trop te fatiguer car dans 15 jours tu auras besoin de toute ta santé pour
une petite chirurgie réparatrice d'une erreur de la nature. Sais-tu ce que ta
Maîtresse Cathy et moi avons décidé ?"
- "Pas exactement Monsieur le Marquis, je me doute un peu, sans savoir vraiment …"
Le Marquis sourit :
- "Tu ne sais pas exactement mais tu as signé toutes les décharges ?" Décidément
pensait-il cette Chère Cathy était créatrice d'émulation : qui de Lui, Marquis
d'Evans, ou d'Elle, qui jouait de l'accordéon en fumant des gauloises avait le plus de
talents à manipuler et asservir … ?
- "Je vais maintenant te présenter à ma domesticité, sais-tu ce qu'est une chienne ?"
reprit le Marquis.
- "Une chienne est un animal qui court vers son Maître pour l'accueillir, lui témoigne
une profusion d'affection, reçoit des punitions sans jamais concevoir de rancœur et
salue en montrant son cul"
- "Dans à peine un mois tu ne seras rien d'autre que cela, répliqua le Marquis d’Evans
avec assurance. Dans ma grande bonté j'ai prévu de t'illustrer cela, afin que tu
comprennes mieux ton destin..."
Dans la cour du château Walter était en train de répartir les domestiques de part et
d'autre du grand perron...
Raymond le chef de meute était là, tenant en laisse, à quatre pattes, une belle
esclave femelle à la longue et belle chevelure ondulée d'un roux flamboyant ainsi
qu'un grand et robuste esclave mâle qui n'arrivait pas à cacher une magnifique
érection impressionnante de volume. La longueur et l’épaisseur de sa verge étaient
hors norme... La petite préparation du docteur Charles-Antoine faisait son effet :
l’esclave femelle émettait des phéromones à l'odeur à peine perceptible mais dont le
message pour un mâle n'était rien d'autre que : "Baisez moi s'il vous plaît".
Plus loin, hors de portée des effluves de phéromones e44 et e45, accroupis,
attendaient aussi.
Sur le perron, Rose avait rejoint son amante Marie, et aussi David le compagnon du
Marquis qui partageait le lit. Myna et encorebelle, nues, belles et apprêtées
complétaient la docte assemblée ...
(à suivre…)
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