La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 89)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 89)
(Histoire de sissy suite de l'épisode 86)
Rose s'approcha de Sissy, prit la belle laisse ouvragée et la tendit d'un petit coup
sec :
- "Allez Sissy, debout. Myna, Rebelle, debout aussi ! Aidez-là"
Les deux belles esclaves s’exécutèrent immédiatement soulevant Sissy qui semblait
revenir d'on ne sait quel lointain pays. Une nouvelle nausée la secoua. Elle ouvrit
les yeux et croisa le regard de la troublante femme enfant qui, Sissy l'apprendrait
dans quelques instants, se prénommait Myna. Ses beaux yeux gris bleus, grands et
profonds donnaient à son regard une candeur adorable. "Comment donc ce diable d'homme,
ce Marquis, faisait-il pour n'attirer à lui, que les objets les plus exquis ?"
Précisément, le Marquis d’Evans qui quittait l'esplanade se retourna un instant, il
savait le spectacle que lui offriraient les trois croupes, au balancer légèrement
amplifié par les hauts talons. Sans s'être concertées les trois femelles marchaient en
cadence et leurs trois tresses, la blanche, la noire et la blonde ondulaient du même
mouvement harmonieux.... "Hummm, pensa-t-il, trois jolis petits culs de catin..."
-"David ! Ajouta-t-il, viens faire quelques pas avec moi, je te prie"
Rose en avant-garde, le petit groupe rejoignait déjà le perron.
- "Rose !" interrompit Walter
-" Oui Monsieur ?
-" N'oubliez pas de mettre à jour le boulier de Mademoiselle Sissy, vous savez combien
Monsieur le Marquis tient en horreur le désordre des comptes..."
-"J'y veillerai, Monsieur, j'y veillerai".
Empruntant à nouveau le grand escalier de pierre puis les longs couloirs richement
décorés les quatre femmes rejoignirent les appartements réservés à Sissy. Dès leur
arrivée Rose s'affaira et prit en mains la situation.
-"Rebelle ! Fais couler un bain, " Myna ! Files à la cuisine chercher une nouvelle
collation
Le visage de Myna s'assombrit d'un coup, elle craignait et détestait Marie la
cuisinière...
-"Dépêches-toi bougre de sotte, tu sais bien qu'à cette heure ci Marie est chez
Monsieur Walter pour s'entretenir des effectifs du jour à nourrir. Fais vite, et
rapporte du thé chaud et du miel.
Myna, sans mot dire, était déjà en route. Rose avait raison, quelle idiote elle
faisait. Les habitudes du château étaient aussi solides que le caractère du Maître des
lieux semblait trempé. Marie la cuisinière ne repasserait pas en cuisine avant une
bonne demi-heure. Elle pressa le pas. Rebelle, quant à elle, se dirigeait vers le
cabinet de toilette.
Le regard de Sissy qui commençait à retrouver ses esprits s'arrêta sur le tatouage qui
ornait le bas des reins de la belle femme brune : une magnifique fleur de lotus à
peine ouverte prenait place entre les deux jolies petites fossettes qui, aussi
harmonieusement que l'auraient fait deux culs-de-lampe, surmontaient les fesses
pommelées de celle que Rose avait appelé "Rebelle". L'autre femme, celle qui l'avait
regardé avec cette candeur troublante se nommait donc Myna...
-"Rebelle...
-"Oui Mademoiselle Rose ?
-"Fais le couler presque brûlant et ajoute des sels d'eucalyptus, il faut la faire
respirer par tous les pores...
-"Bien Mademoiselle.
Au bout de l'esplanade David avait rejoint son Maître et amant.
-"David, mon bel Ami … commença le Marquis,… Tu n'ignores pas que je dois prendre
femme pour respecter la promesse faite à mon Père … Tu sais aussi que Dame Laetitia
m'a donné un fils que je vais reconnaître… Il va te falloir être raisonnable et ne pas
faire l'enfant. Au Bal Masqué que j'ai décidé de donner au solstice d'été,
j’annoncerai mes fiançailles"
David frémit, deux larmes perlaient déjà aux coins de ses yeux …
-"Marquis, Sir Édouard …
-"Tais toi idiot, je ne te bannis pas de mon lit, tu sais comme j'aime ta compagnie.
Cependant tu devras reconnaître ma future épouse comme ta Maîtresse, comme je suis ton
Maître...
-"Parlez-vous de Dame Laetitia ?" se risqua David
-"Être ma favorite et la mère de mon fils ne suffit pas à faire une Marquise d'Evans …
Je n'ai rien décidé. Saches seulement qu'avant l'été, il y aura une Marquise d'Evans
et que tu lui devras le même respect qu'à moi. Comprends-tu cela mon Ami ?
-"Oui, Marquis, oui Sir Édouard" s'entendit dire David en saisissant la main du
Marquis pour la serrer avec une force que Sir Édouard apprécia.
-"Allez, file... ton nouveau cabriolet est arrivé hier soir. Prends en soin, j'aime
les belles choses et je déteste qu'on les néglige...
Le bain finissait de couler lorsque Myna revint de la cuisine portant un grand et
lourd plateau. Il y avait du thé, du miel, des fruits, un pâté de poisson froid à
l'aneth, une salade de pâtes et du pain de campagne à la farine d’épeautre. Rose avait
retiré de Sissy le plug d'apparat.
-"Allez, Sissy, au bain ma jolie ! Cela te fera du bien … Myna, te voilà ! Alors
petite biche … "on" n'a pas croisé le chemin de Marie ? "on" est rassurée ? … Pose ton
plateau et viens nous aider
Sissy n'avait pas dit un mot depuis sa sextuple profession de foi, diffusée "urbi et
orbi" par la sono du parc. Elle se plongea dans le bain parfumé avec, malgré la
température élevée de l'eau, un frisson de volupté. Le Marquis d’Evans, manifestement,
lui réservait un sort particulier.
A la dérobée Myna observait et détaillait Sissy. Elle avait remarqué les tatouages
magnifiques que portait cette imprévue et étrange invitée. Il y avait, en haut de la
fesse droite, cette magnifique sirène tenant en chacune de ses mains une double-queue.
Sur son pubis, juste au dessus du dispositif de chasteté figurait ce chiffre en
grandes lettres gothiques "CW". Elle avait entendu Monsieur Walter faire une allusion
à une amie très chère du Bon Marquis … une certaine Dame Cathy. Ce "C" était-il celui
de Cathy mais le "W" ? Et puis il y avait cet étrange pentagramme sur le sein gauche.
Il comportait en son centre un triskell celte mais on y retrouvait aussi le chiffre
"CW" ainsi qu'une série de 3 fois 3 chiffres : 513-511-366.
Sissy était troublante, si calme mais émouvante. Un mélange de détermination et de
fragilité. Myna se prit à penser qu'elle avait toujours regretté n'avoir jamais eu de
grande soeur. Son regard croisa celui de Rebelle. Les deux jeunes femmes commençaient
à se connaître. Rebelle aussi avait fait son "inspection". D'abord déconcertée par
l'arrivée de cette invité particulière qui, en moins de 24 heures, avait fait souffler
comme une bourrasque sur le petit monde des esclaves du château, elle découvrait elle
aussi que Sissy n'était sans doute pas une ennemie... Sans en avoir rien préparé à
l'avance les deux femmes, dans un même mouvement, déposèrent un baiser sur chacune des
joues de la nouvelle venue. Rose vint interrompre les alanguissements du trio :
-" Allez, allez, je vous donne 10 minutes, puis on sort, on s'hydrate, on mange et toi
Sissy tu files au lit. Je reviendrai te préparer et te chercher à 15 heures. Monsieur
le Marquis t'attend aux écuries à 16 heures. "Rebelle, Myna, occupez vous d'elle, vous
pouvez papoter …. Et n'oubliez pas que rien n'échappe à Sir Édouard
Retraversant les appartements de Sissy, Rose passa devant le guéridon face au Prie-
Dieu. Négligemment, d'une pichenette elle fit passer les deux dernières boules noires
de gauche à droite. Elle aussi pressa alors le pas, elle n'en pouvait plus que de se
blottir dans les bras de Marie...
(à suivre…)
Rose s'approcha de Sissy, prit la belle laisse ouvragée et la tendit d'un petit coup
sec :
- "Allez Sissy, debout. Myna, Rebelle, debout aussi ! Aidez-là"
Les deux belles esclaves s’exécutèrent immédiatement soulevant Sissy qui semblait
revenir d'on ne sait quel lointain pays. Une nouvelle nausée la secoua. Elle ouvrit
les yeux et croisa le regard de la troublante femme enfant qui, Sissy l'apprendrait
dans quelques instants, se prénommait Myna. Ses beaux yeux gris bleus, grands et
profonds donnaient à son regard une candeur adorable. "Comment donc ce diable d'homme,
ce Marquis, faisait-il pour n'attirer à lui, que les objets les plus exquis ?"
Précisément, le Marquis d’Evans qui quittait l'esplanade se retourna un instant, il
savait le spectacle que lui offriraient les trois croupes, au balancer légèrement
amplifié par les hauts talons. Sans s'être concertées les trois femelles marchaient en
cadence et leurs trois tresses, la blanche, la noire et la blonde ondulaient du même
mouvement harmonieux.... "Hummm, pensa-t-il, trois jolis petits culs de catin..."
-"David ! Ajouta-t-il, viens faire quelques pas avec moi, je te prie"
Rose en avant-garde, le petit groupe rejoignait déjà le perron.
- "Rose !" interrompit Walter
-" Oui Monsieur ?
-" N'oubliez pas de mettre à jour le boulier de Mademoiselle Sissy, vous savez combien
Monsieur le Marquis tient en horreur le désordre des comptes..."
-"J'y veillerai, Monsieur, j'y veillerai".
Empruntant à nouveau le grand escalier de pierre puis les longs couloirs richement
décorés les quatre femmes rejoignirent les appartements réservés à Sissy. Dès leur
arrivée Rose s'affaira et prit en mains la situation.
-"Rebelle ! Fais couler un bain, " Myna ! Files à la cuisine chercher une nouvelle
collation
Le visage de Myna s'assombrit d'un coup, elle craignait et détestait Marie la
cuisinière...
-"Dépêches-toi bougre de sotte, tu sais bien qu'à cette heure ci Marie est chez
Monsieur Walter pour s'entretenir des effectifs du jour à nourrir. Fais vite, et
rapporte du thé chaud et du miel.
Myna, sans mot dire, était déjà en route. Rose avait raison, quelle idiote elle
faisait. Les habitudes du château étaient aussi solides que le caractère du Maître des
lieux semblait trempé. Marie la cuisinière ne repasserait pas en cuisine avant une
bonne demi-heure. Elle pressa le pas. Rebelle, quant à elle, se dirigeait vers le
cabinet de toilette.
Le regard de Sissy qui commençait à retrouver ses esprits s'arrêta sur le tatouage qui
ornait le bas des reins de la belle femme brune : une magnifique fleur de lotus à
peine ouverte prenait place entre les deux jolies petites fossettes qui, aussi
harmonieusement que l'auraient fait deux culs-de-lampe, surmontaient les fesses
pommelées de celle que Rose avait appelé "Rebelle". L'autre femme, celle qui l'avait
regardé avec cette candeur troublante se nommait donc Myna...
-"Rebelle...
-"Oui Mademoiselle Rose ?
-"Fais le couler presque brûlant et ajoute des sels d'eucalyptus, il faut la faire
respirer par tous les pores...
-"Bien Mademoiselle.
Au bout de l'esplanade David avait rejoint son Maître et amant.
-"David, mon bel Ami … commença le Marquis,… Tu n'ignores pas que je dois prendre
femme pour respecter la promesse faite à mon Père … Tu sais aussi que Dame Laetitia
m'a donné un fils que je vais reconnaître… Il va te falloir être raisonnable et ne pas
faire l'enfant. Au Bal Masqué que j'ai décidé de donner au solstice d'été,
j’annoncerai mes fiançailles"
David frémit, deux larmes perlaient déjà aux coins de ses yeux …
-"Marquis, Sir Édouard …
-"Tais toi idiot, je ne te bannis pas de mon lit, tu sais comme j'aime ta compagnie.
Cependant tu devras reconnaître ma future épouse comme ta Maîtresse, comme je suis ton
Maître...
-"Parlez-vous de Dame Laetitia ?" se risqua David
-"Être ma favorite et la mère de mon fils ne suffit pas à faire une Marquise d'Evans …
Je n'ai rien décidé. Saches seulement qu'avant l'été, il y aura une Marquise d'Evans
et que tu lui devras le même respect qu'à moi. Comprends-tu cela mon Ami ?
-"Oui, Marquis, oui Sir Édouard" s'entendit dire David en saisissant la main du
Marquis pour la serrer avec une force que Sir Édouard apprécia.
-"Allez, file... ton nouveau cabriolet est arrivé hier soir. Prends en soin, j'aime
les belles choses et je déteste qu'on les néglige...
Le bain finissait de couler lorsque Myna revint de la cuisine portant un grand et
lourd plateau. Il y avait du thé, du miel, des fruits, un pâté de poisson froid à
l'aneth, une salade de pâtes et du pain de campagne à la farine d’épeautre. Rose avait
retiré de Sissy le plug d'apparat.
-"Allez, Sissy, au bain ma jolie ! Cela te fera du bien … Myna, te voilà ! Alors
petite biche … "on" n'a pas croisé le chemin de Marie ? "on" est rassurée ? … Pose ton
plateau et viens nous aider
Sissy n'avait pas dit un mot depuis sa sextuple profession de foi, diffusée "urbi et
orbi" par la sono du parc. Elle se plongea dans le bain parfumé avec, malgré la
température élevée de l'eau, un frisson de volupté. Le Marquis d’Evans, manifestement,
lui réservait un sort particulier.
A la dérobée Myna observait et détaillait Sissy. Elle avait remarqué les tatouages
magnifiques que portait cette imprévue et étrange invitée. Il y avait, en haut de la
fesse droite, cette magnifique sirène tenant en chacune de ses mains une double-queue.
Sur son pubis, juste au dessus du dispositif de chasteté figurait ce chiffre en
grandes lettres gothiques "CW". Elle avait entendu Monsieur Walter faire une allusion
à une amie très chère du Bon Marquis … une certaine Dame Cathy. Ce "C" était-il celui
de Cathy mais le "W" ? Et puis il y avait cet étrange pentagramme sur le sein gauche.
Il comportait en son centre un triskell celte mais on y retrouvait aussi le chiffre
"CW" ainsi qu'une série de 3 fois 3 chiffres : 513-511-366.
Sissy était troublante, si calme mais émouvante. Un mélange de détermination et de
fragilité. Myna se prit à penser qu'elle avait toujours regretté n'avoir jamais eu de
grande soeur. Son regard croisa celui de Rebelle. Les deux jeunes femmes commençaient
à se connaître. Rebelle aussi avait fait son "inspection". D'abord déconcertée par
l'arrivée de cette invité particulière qui, en moins de 24 heures, avait fait souffler
comme une bourrasque sur le petit monde des esclaves du château, elle découvrait elle
aussi que Sissy n'était sans doute pas une ennemie... Sans en avoir rien préparé à
l'avance les deux femmes, dans un même mouvement, déposèrent un baiser sur chacune des
joues de la nouvelle venue. Rose vint interrompre les alanguissements du trio :
-" Allez, allez, je vous donne 10 minutes, puis on sort, on s'hydrate, on mange et toi
Sissy tu files au lit. Je reviendrai te préparer et te chercher à 15 heures. Monsieur
le Marquis t'attend aux écuries à 16 heures. "Rebelle, Myna, occupez vous d'elle, vous
pouvez papoter …. Et n'oubliez pas que rien n'échappe à Sir Édouard
Retraversant les appartements de Sissy, Rose passa devant le guéridon face au Prie-
Dieu. Négligemment, d'une pichenette elle fit passer les deux dernières boules noires
de gauche à droite. Elle aussi pressa alors le pas, elle n'en pouvait plus que de se
blottir dans les bras de Marie...
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