La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 95)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 95)
(Suite de l'épisode 58 : Le Marquis d'Evans en Martinique avec Lenny - Troisième
journée)
Je fus réveillée par un soubresaut du bateau. Les vagues claquaient contre la coque.
Zut ! J’avais oublié que nous étions à quai ! Je n’avais mis que trois pare-battages,
ce qui n’était pas suffisant lorsqu’il y avait autant de vagues. La coque allait être
rayée si je ne quittais pas le quai rapidement. Sans réveiller mon Maître, je sortis
du lit, enfilai une robe de chambre pour sortir sur le pont supérieur. Deux marins
étaient déjà sur le pont.
- Leeny ! C’est bien ton bateau, alors ! Je l’ai reconnu. J’ai failli descendre pour
te prévenir.
Heureusement que je m’étais réveillée à temps, ils auraient vu tous les « jouets » de
mon Maître.
- Merci, Thibault ! J’avais complètement oublié que nous étions en période de marée
haute !
- C’est vraiment pas le genre de chose qu’il faut oublier quand on fait du bateau !
répondit l’autre marin, que je ne connaissais pas, en se moquant de moi.
Je rougis légèrement. Il faut dire que j’avais autre chose en tête ces derniers temps.
Avec un sourire gêné, je répondis :
- C’est vrai. J’ai un peu la tête ailleurs en ce moment.
- Ha ! Ha ! Ha ! éclata Thibault d’un rire sec et gras caractéristique des marins
antillais. Allons fais vite il faut défaire le nœud d’amarrage. Heureusement que tu
n’as fait qu’un nœud de chaise ! Bien que c’est assez dangereux pour rester toute une
nuit. Mais au moins, ce sera facile à enlever ! Va chercher la gaffe pendant qu’on les
défait. Regarde, tes pare-battages sont presque dégonflés !
Je me précipitai à l’intérieur, attrapai la gaffe et ressortis. Heureusement, je
n’avais pas réveillé mon vénéré Maître, le Marquis d’Evans. Une secousse me fit
basculer. Je me rattrapai à l’un des sièges. Thibault et son collègue étaient déjà
prêts. Je m’accrochai à la rambarde et dès qu’ils eurent défaits les nœuds, je
poussais d’un coup sec avec la gaffe pour éloigner le bateau du quai. Avec quelques
secousses, les vagues portèrent enfin le bateau à plusieurs mètres du quai. Je fis un
signe à mon ami et son collègue pour les remercier puis me précipitai à la barre. Le
moteur gronda puis je pus enfin prendre le contrôle du bateau. Après avoir passé les
plots de sécurité, je pus accélérer et m’éloigner du port. Mais qu’est-ce qui m’était
arrivé ! Comment avais-je pu oublier que nous étions en marée haute ? Et cette
histoire de nœud de chaise ! La première chose que mon père m’avait appris en
m’enseignant l’art de naviguer, c’était de ne jamais rester à quai trop longtemps en
période de marée haute, et que rester à quai plus de quatre heures nécessitait un nœud
de Cabestan ! J’avais mis mon Maître en danger ! Quelle imbécile je faisais !
Une fois éloignée de la baie de Fort-de-France, je défis la ceinture de ma robe de
chambre et me dévêtis. Il était sept heures trente à ma montre et le soleil tapait
déjà rudement contre les parois blanches du bateau. Je fis descendre l’ancre et
redescendit dans la cabine. Heureusement, Sir Edouard dormait toujours, malgré le
boucan que nous avions fait. J’enfilai mon collier. Quelle mésaventure de si bon matin
! Je rangeais un peu le salon et la cuisine puis m’installai devant la porte de la
chambre, sur les genoux, la tête baissée. Au bout d’une demi-heure, j’entendis du
mouvement derrière la porte. Il était enfin réveillé ! Je me redressai vivement,
corrigeant ma posture qui s’était relâchée durant la demi-heure, et attendis
patiemment qu’Il sorte. La porte s’ouvrit lentement et j’eus un élan de tendresse en
voyant le visage encore endormi du Marquis d’Evans. Il était adorable !
- Bonjour, ma petite chienne de Leeny. As-tu bien dormi ?
- Oui, Maître. Et vous ?
- Parfaitement. J’ai dormi comme un enfant. Bien. Le repas est-il prêt ? N’ayant pas
dîné hier soir, je meurs de faim.
Avec effroi, je me souvins que je n’avais pas préparé le petit-déjeuner !
- Oh Maître ! Je suis désolée ! J’ai complètement oublié ! Il y a eu tellement de
choses qui se sont passées ce matin, que…
- Je ne veux rien entendre. Tu te dois de ne rien oublier lorsqu’il s’agit de ton
Maître, répondit-Il avec une voix calme mais ferme.
Il me regardait avec ce regard sévère que je craignais tant. Je baissais la tête.
- Je suis désolée, Maître … Je vous prie de me punir pour mon manque d’assiduité.
- J’y compte bien. Maintenant, prépare-moi ce petit-déjeuner. Tu n’auras pas le tient,
pour la peine. Mais ne crois pas que j’en ai fini avec toi.
- Oui, Maître. Merci, Maître.
Je m’activai dans la cuisine, le plus rapidement possible et servis le Marquis
d’Evans. Puis je me postai à ses pieds.
- Ne crois pas que tu auras l’honneur de goûter mon vit pour le moment.
- Oui, Maître.
Quand Il eu fini, il se leva et, d’un geste de la main, m’intima de Le suivre. Il me
fit le doucher. Je n’oubliai aucune partie de Son corps, le massant, le savonnant, me
délectant de sa peau si douce. Puis vint le moment de laver Son sexe. Je me mis au
travail, m’appliquant à lui donner du plaisir en même temps. Je voulais Le prendre
dans ma bouche. Mais Il ne voudrait pas, je le savais. Quand j’eus finit, ce fut mon
tour. Il me nettoya comme on nettoie une chienne, sans douceur. Je ne méritais pas sa
douceur car j’avais oublié son repas. Quand Il eut fini, Il me fit sortir de la
baignoire, peigna mes cheveux (j’avais remarqué qu’il aimait beaucoup cela), puis me
traîna jusqu’au pont supérieur.
- Connais-tu une plage déserte ?
- Oui, Maître.
- Bien. Mets le cap vers cette plage.
Nous arrivâmes, au bout d’une heure, sur une crique de sable blanc. Elle ne devait
faire guère plus de dix ou vingt mètres de long, et des buissons la bordaient tout en
longueur. Il y avait des cailles, aussi ne pouvais-je m’approcher à moins de trente
mètres. Je descendis donc à la sous-cabine et en sortit un zodiac que mon père avait
acheté un mois plus tôt. Nous n’avions pas eut le temps d’y ajouter un moteur, aussi
redescendis-je chercher les rames. Le Marquis d’Evans m’en empêcha. Ses yeux luisant
m’avertirent qu’il avait eu une idée.
- Bien, allons-y.
Il prit des accessoires et grimpa dans le zodiac. D’un regard, il m’intima de plonger.
Je m’exécutai.
- Va devant la barque.
Une fois que cela fut fait, il fit tourner mon collier (j’avais remis celui en cuir
noir pour ne pas abîmer le blanc) et y accrocha une laisse plus épaisse, également
noire.
-
Bien, maintenant, nage et emmène ton Maître sur la plage.
J’entamais un crawl rapide quand un coup de fouet s’abattit sur mes épaules.
- Tu es une chienne. Tu ne peux nager comme une humaine. Nage donc comme la chienne
que tu es.
Avec une phrase d’excuse, je commençai ma « nage du chien ». J’étais épuisée quand
nous arrivâmes sur le sable. Les cailles m’avaient écorché les genoux et un banc de
poisson était venu picorer mes orteils et mes tétons, sans tenir compte des coups de
pieds que je leur donnais. Je tirais le bateau gonflable sur le sable pour que Sir
Edouard n’ait pas à mouiller Ses pieds. Il descendit et me fit signe de décharger ce
qu’il y avait à bord. Je sortis la chaise pliable, les « jouets » et la nappe qu’Il
avait emporté et j’installai le tout sur le sable. Il avait également prit ma gamelle
et un panier que je devinais de nourriture, mais je décidai de les laisser à
l’intérieur et de les recouvrir de la bâche pour éviter qu’ils ne prennent trop de
soleil. Je me dirigeai vers mon Maître qui était déjà installé sur sa chaise.
- Tu as bien nagé. Tu as le droit de me sucer, chienne.
Avec un grand sourire de contentement, je me précipitai vers le sexe dénudé du Marquis
d’Evans. Je commençais par le lécher avec appétit puis je gobais tout d’un seul coup.
Le Maître prit quelques minutes avant de poser une main sur ma tête. Il me fit reculer
et attrapa ma main pour qu’elle enserre son vit. Je compris ce qu’Il voulait. Je me
mis à Le masturber, dirigeant son gland vers moi. Il jouit sur mon visage et mes seins
tendus vers lui.
- Bonne chienne. Maintenant, ta punition. Tourne toi et tend ta croupe vers moi.
Je m’exécutais, à la fois impatiente et anxieuse. Il sortit d’un sac un fouet court
aux lanières nombreuses. Le premier coup de fouet fut cinglant et violent. Les neuf
autres qui suivirent furent encore pire. Satisfait de mon silence, Il adoucit Ses
coups pour les dix suivants. Puis Il me fit me retourner. Il claqua mes seins, les
empoigna et les vrilla. Cela faisait mal, mais c’était tellement bon ! Il les pinça
très fort, les fouetta. Puis je le vis sortir une sorte de crayon pointu. Il plaça la
pointe sur le bout de mon téton puis appuya en le faisant tourner. J’eus envie de
gémir tellement c’était bon, mais je me retins. Il fit de même avec l’autre. Mes
tétons étaient rouges sang. Il vit un petit crabe passer. Il m’intima de l’attraper.
J’avais souvent fait cela avec mes cousins, étant jeune. Je Lui ramenai le crabe au
bout de trois minutes et m’agenouillai face à Lui.
- Bien. Approche-le de tes tétons de manière à ce qu’il puisse te les pincer. Il n’est
pas bien gros. Il ne devrait pas avoir assez de force pour te le percer.
C’était en effet un bébé crabe. Je le regardai anxieusement puis l’approchai de mes
seins. Il s’agitait entre mes doigts, ouvrait et fermait ses pinces. Je visais assez
bien, et quand il referma sa pince gauche, ce fut exactement sur mon téton droit, mais
il ne tint pas la prise. Il ouvrait et fermait sa pince sur mon téton. Mon Maître
regardait attentivement le crabe me martyriser le téton. Il semblait satisfait, ce qui
me rendit heureuse. Je tenais le crustacé au niveau de mon sein, jusqu’à ce qu’il soit
fermement accroché. Il douleur intense me vrillait le corps, accompagnée par un
plaisir encore plus fort. Sir Edouard m’ordonna alors de faire de même avec l’autre
téton. J’attrapai donc mon sein d’une main et la pince du crabe de l’autre. Encore une
fois, je visai juste et la pince se referma sur la pointe déjà rouge. Je mis ensuite
mes mains le long de mon corps, et baissa les yeux. Maître regardait le spectacle avec
un grand sourire.
- C’est bien, chienne. Tu supportes de mieux en mieux la douleur.
Alors qu’Il disait cela, le crabe lâcha mon téton droit et pendouilla accroché au
gauche.
- Met toi à quatre pattes pour que le poids du crabe pèse bien sur ton téton.
Je m’exécutai. Le crabe se balançait au bout de mon sein. Après trois ou quatre
seconde, il desserra sa pince et s’enfuit une fois sur le sable. Mes tétons étaient
maintenant violets. C’était la première fois qu’ils me faisaient autant souffrir et
cela me faisait mouiller dans mon bas ventre. Je regardai le Marquis d’Evans,
terrifiée à l’idée que ma punition était loin d’être finie. Un mouvement dans les
buissons me fit me détourner de mon Maître. Il suivit mon regard, et nous aperçûmes un
homme, complètement dévêtu derrière les buissons. Il était grand et noir. Un bel homme
en réalité. Il semblait avoir entre vingt-cinq ou trente ans. Une de ses mains
entourait son sexe. Il devait se masturber en voyant le spectacle de ma fellation, du
fouet et du crabe
- Mais venez donc, mon ami, cette petite chienne peut bien faire ce travail, lança Sir
Edouard à son attention.
Timidement, il se dégagea des buissons. Il était encore plus grand que ce que je
pensais. Et lorsqu’il retira sa main, je cru que j’allais m’évanouir. Son sexe était
de la taille de mon avant-bras ! Que ce soit en longueur ou en épaisseur !
- Eh bien ! C’est un bien joli attirail que vous avez là, enchaîna mon Maître en
rigolant
- Merci, mec.
Je fus offusquée du ton qu’il employait pour parler à mon Maître. Mais je ne pouvais
rien dire.
- Elle est bonne ta meuf. Tu l’as chopée où ? dit-il avec un accent de banlieue
- Ma… Meuf, comme vous dites, n’est autre que mon esclave. C’est l’une des mes
soumises et c’est ici même que je me la suis procurée, sur cette île merveilleuse.
- Ah ouais ? J’crois qu’j’ai entendu parler d’une vente d’esclave l’année dernière.
Mais j’croyais qu’c’était une blague. Pour moi ça existe plus l’esclavage.
- L’esclavage persiste pourtant. Mais sous une autre forme. Maintenant, les esclaves
sont entièrement consentants, et c’est par choix qu’ils sont devenus ainsi. Voulez-
vous l’essayer ? Elle est très docile.
- Ouais, j’ai vu ça, ouais. Grave que j’veux l’essayer ! Elle est grave bonne !
L’inconnu me prit par les cheveux et me fit me retourner. Il m’allongea sur le ventre,
écrasa mon visage dans le sable et s’assit sur moi.
- Je vous prierais, tout de même de ne pas trop la brutaliser.
- Ouais, ok, mec. T’inquiète pas, Kassen sait ce qu’il fait !
Il releva ma croupe et caressa mes fesses. Il les empoigna et me donna quelques
claques retentissantes. Puis il enfonça un doigt dans mon anus.
- Ouah ! Elle est bien ouverte la meuf ! C’est cool, j’ai même pas besoin d’la
préparer !
Il positionna son gland à l’entrée de ma rondelle. Sans ménagement, il s’enfonça
profondément. Tout son sexe m’emplit le ventre. C’était effroyablement douloureux. Je
ne réussis même pas à retenir un cri de douleur. L’inconnu me frappa le visage en
retour. Un coup de fouet retentit. Je ne compris pas d’où il venait, car aucune
douleur ne m’était parvenue d’autre part que par mon cul. C’est lorsque j’entendis
l’inconnu se crisper que je compris. C’était lui qui avait reçu le coup.
- Il est formellement interdit de frapper une femme au visage. Qu’elle soit une
soumise ou non.
- Eh tu m’as fouetté là ! Je rêve, mec !
Le Marquis d’Evans le regarda de ce regard sévère, autoritaire, ce regard puissant
d’un charisme hors norme, oui ce regard si pénétrant qui me paralysait toujours. Et
cela ne faisait pas effet que sur moi, apparemment. L’inconnu s’immobilisa. Un long
silence quand les deux regards se croisèrent. Sir Edouard ne cligna à aucun moment ses
yeux et fixa avec insistance le géant. Puis le black céda, vaincu en baissant la tête
et les yeux. C’était incroyable ! Il mesurait plus de deux mètres, était baraqué comme
un boxeur, mais mon Maître réussissait quand même à le faire baisser les yeux, juste
par la puissance du regard.
- J’suis désolé, s’cusez-moi, bafouilla-t-il
- Bien. Je vous permets de continuer, mais gare aux dérapages.
Il continua de me limer le cul pendant plus de dix minutes. Il n’avait cependant pas
encore joui quand il se retira, laissant mon trou béant et douloureux. Il me retourna
sur le dos et s’enfonça ensuite dans ma chatte, trempée malgré la douleur. Je me
sentais entièrement pleine, c’était divin. La douleur se mêlait parfaitement au
plaisir. Puis je sentis l’homme se paralyser en moi. Je crus qu’il allait jouir, mais
ce n’était pas ça. Il semblait surpris, pris au dépourvu. C’est alors que je vis la
main élégante du Marquis sur l’épaule bronzée de mon martyre.
- Eh bien ! Je me disais, aussi, que ta rondelle avait l’air bien ouverte. Et ces
petites cicatrices sur ton dos. Où est donc ton Maître ? Ou ta Maîtresse ?
L’homme resta paralysé alors que, de Son sexe, mon Maître faisait des allés-retours
dans son cul de black. Il ferma les yeux, démontrant qu’il ressentait un immense
plaisir.
- Tu joues bien la comédie cependant. J’ai failli croire que tu n’étais pas l’esclave
que j’ai vu à la foire l’année dernière. Et toi, Helena, continua-t-Il en haussant le
ton. Tu crois peut-être que je ne t’ai pas vu ? Allez, sort, ma belle, de derrière ton
bosquet
- Ah ! Cher cousin ! Pourquoi vois-tu toujours tout ?
- Allons, je sais reconnaître un esclave quand j’en vois un. Il n’a pas bronché
lorsque je l’ai fouetté, excepté quand je lui ai parlé, mais il n’a pas crié. Ensuite,
quand je l’ai regardé avec insistance, il a baissé les yeux et s’est excusé. Il y a
des signes qui ne trompent pas. Oh et ma mémoire m’a permis de me souvenir de son
visage à la seconde où je l’ai vu. Tu l’as acheté à la foire aux esclaves l’année
dernière, non ? Je t’y ai aperçu, mais je n’avais pu venir te parler.
- Ha ! Ha ! Ha ! En effet. Tu as une mémoire extraordinaire, tu es vraiment le
meilleur !
- Mais dis-moi, comment m’as-tu retrouvé ?
- Je te connais ! Je savais que tu voudrais aller sur une plage déserte ! Si ce
n’était pas aujourd’hui, s’aurait été demain. Ou après-demain. Et la plage la moins
connue, c’est celle-ci. Je me disais bien que ta femelle allait te mener jusqu’ici.
- Tu es très calculatrice, dis-moi.
- Tout ce que j’ai appris, je l’ai appris chez le meilleur !
- C’est un bien joli spécimen que tu as là.
- Je trouve aussi. Comme il était avec toi, c’est exactement la personnalité qu’il
avait avant. Et depuis, il est devenu très docile. (Elle lui caressa la tête) Tu vas
être puni pour la manière dont tu as parlé au Marquis.
- Oui, Maîtresse, merci Maîtresse.
- Je pensais que c’était toi qui l’avait envoyé, dit Sir Edouard
- C’est le cas. Je voulais essayer à réussir à te berner. Mais comme ça n’a pas
marché, je me dois de le punir. C’est un affront pour un Maître d’être insulté par un
esclave, surtout un Maître de ta classe. Comme tu savais qu’il était un esclave, ça a
dû être très désagréable pour toi.
- Bah ! Je m’en suis bien sorti, répondit le Marquis d’Evans avec un sourire.
- Désires-tu t’en occuper ?
- Ce sera avec plaisir, ma chère cousine
Madame Helena Lui tendit un fouet en cuir véritable, une vraie antiquité.
- Eh bien ! Je me souviens de ce fouet !
- Evidemment, c’est toi qui me l’as légué. Mon tout premier fouet. Je le garde pour
les sorties, comme aujourd’hui.
- Bien, bien. Allons-y. Tourne-toi, chien.
Je regardai mon semblable se faire fouetter. Je me mettais un peu à sa place, et je
ressentais de la compassion pour lui, bien qu’il m’ait déchiré l’anus et la chatte.
Madame Helena vint s’asseoir en tailleur à côté de moi. Elle ressemblait à une enfant
avec ses taches de rousseur et ses grands yeux bleus. Et son caractère juvénile y
était aussi pour beaucoup. Elle attacha ses longs cheveux noirs avec une pince et me
caressa la tête en regardant le spectacle de son esclave fouetté. Je me frottai contre
sa main. Elle m’inspirait vraiment confiance. Elle dégageait une sorte d’autorité
imprégnée de tendresse qui égalait (c’était vraiment difficile de l’avouer, car
improbable) presque celle de Maître. Quand le Noble eut fini de fouetter, elle se
releva et lui prit le fouet des mains.
- J’ai l’impression que vingt coups ne sont pas suffisants.
Elle abattit le fouet encore dix fois. Le dos et les fesses de l’esclave étaient
striés de fines lignes rouges.
- Bien. Que dirais-tu de venir chez moi ? J’ai la meilleure des esclaves cuisinières,
enfin meilleure, disons après ta Marie dans ton château en Métropole ! A la
différence, c’est que ta cuisinière n’est pas esclave mais plutôt dominatrice sadique.
- Eh bien, j’ai déjà refusé ton hospitalité une fois, je ne peux décemment pas la
refuser deux fois. Où habites-tu ?
- Tu te souviens tu lieux de la foire aux esclaves ? C’est à dix minutes de là. Au
François.
- Chienne Leeny, connais-tu cette ville ?
- Oui, Maitre, c’est l’un des quartiers riches de la Martinique.
- Exact, intervint la jeune Maîtresse. Bien alors voici l’adresse, Leeny. Soyez là
vers 20h.
- Oui, Madame Helena.
- Elle est adorable, dit-Elle en me tapotant la tête.
Puis elle disparut comme Elle était apparue. Le Maître me fit manger à 4 pattes dans
ma gamelle à même le sable puis je rangeai nos affaires dans le zodiac. Le Marquis
d’Evans s’y installa puis je poussai la barque gonflable dans l’eau. La laisse fut
accrochée à mon collier et nous nous dirigeâmes vers le bateau. Une fois à bord, mon
Maître me sécha puis s’allongea sur l’une des chaises d’extérieur.
- Je veux que tu t’occupes de mon sexe.
- Oui, Maître, dis-je avec enthousiasme.
Je me mis alors à Le lécher, Le sucer, L’avaler avec grand appétit. Quand Il fut bien
dur, il me fit m’arrêter. Avec déception, j’obéis.
- A quatre pattes par terre, la croupe levée vers le soleil, ordonna-t-Il. Je veux que
tes pommes de fesses soient bien rouges pour ce soir.
J’obéis. Il vint S’enfoncer dans mon cul offert et après m’avoir besogné un bon moment
à grands coups de boutoirs, Il se déversa en de longs jets de sperme dans mon
fondement et resta immobile dans un coït qui dura assez longtemps avant de se retirer.
Il m’ordonna ensuite de nettoyer sa bite avec ma langue. Puis Il Se rallongea et,
quelques minutes plus tard, Sa respiration calme et reposée m’indiqua qu’Il dormait.
Le soleil de l’après-midi tapait fort sur mon cul levé vers lui. Ça brûlait de plus en
plus. Au bout de deux heures, le Maître se réveilla. Il était alors dix-sept heures,
l’heure de se préparer.
- Bien. Tu es bien rouge. Cuite à point. Allons nous préparer.
J’eus beaucoup de mal à marcher, que ce soit debout ou à quatre pattes, tant mes
fesses me brûlaient.
(à suivre …)
journée)
Je fus réveillée par un soubresaut du bateau. Les vagues claquaient contre la coque.
Zut ! J’avais oublié que nous étions à quai ! Je n’avais mis que trois pare-battages,
ce qui n’était pas suffisant lorsqu’il y avait autant de vagues. La coque allait être
rayée si je ne quittais pas le quai rapidement. Sans réveiller mon Maître, je sortis
du lit, enfilai une robe de chambre pour sortir sur le pont supérieur. Deux marins
étaient déjà sur le pont.
- Leeny ! C’est bien ton bateau, alors ! Je l’ai reconnu. J’ai failli descendre pour
te prévenir.
Heureusement que je m’étais réveillée à temps, ils auraient vu tous les « jouets » de
mon Maître.
- Merci, Thibault ! J’avais complètement oublié que nous étions en période de marée
haute !
- C’est vraiment pas le genre de chose qu’il faut oublier quand on fait du bateau !
répondit l’autre marin, que je ne connaissais pas, en se moquant de moi.
Je rougis légèrement. Il faut dire que j’avais autre chose en tête ces derniers temps.
Avec un sourire gêné, je répondis :
- C’est vrai. J’ai un peu la tête ailleurs en ce moment.
- Ha ! Ha ! Ha ! éclata Thibault d’un rire sec et gras caractéristique des marins
antillais. Allons fais vite il faut défaire le nœud d’amarrage. Heureusement que tu
n’as fait qu’un nœud de chaise ! Bien que c’est assez dangereux pour rester toute une
nuit. Mais au moins, ce sera facile à enlever ! Va chercher la gaffe pendant qu’on les
défait. Regarde, tes pare-battages sont presque dégonflés !
Je me précipitai à l’intérieur, attrapai la gaffe et ressortis. Heureusement, je
n’avais pas réveillé mon vénéré Maître, le Marquis d’Evans. Une secousse me fit
basculer. Je me rattrapai à l’un des sièges. Thibault et son collègue étaient déjà
prêts. Je m’accrochai à la rambarde et dès qu’ils eurent défaits les nœuds, je
poussais d’un coup sec avec la gaffe pour éloigner le bateau du quai. Avec quelques
secousses, les vagues portèrent enfin le bateau à plusieurs mètres du quai. Je fis un
signe à mon ami et son collègue pour les remercier puis me précipitai à la barre. Le
moteur gronda puis je pus enfin prendre le contrôle du bateau. Après avoir passé les
plots de sécurité, je pus accélérer et m’éloigner du port. Mais qu’est-ce qui m’était
arrivé ! Comment avais-je pu oublier que nous étions en marée haute ? Et cette
histoire de nœud de chaise ! La première chose que mon père m’avait appris en
m’enseignant l’art de naviguer, c’était de ne jamais rester à quai trop longtemps en
période de marée haute, et que rester à quai plus de quatre heures nécessitait un nœud
de Cabestan ! J’avais mis mon Maître en danger ! Quelle imbécile je faisais !
Une fois éloignée de la baie de Fort-de-France, je défis la ceinture de ma robe de
chambre et me dévêtis. Il était sept heures trente à ma montre et le soleil tapait
déjà rudement contre les parois blanches du bateau. Je fis descendre l’ancre et
redescendit dans la cabine. Heureusement, Sir Edouard dormait toujours, malgré le
boucan que nous avions fait. J’enfilai mon collier. Quelle mésaventure de si bon matin
! Je rangeais un peu le salon et la cuisine puis m’installai devant la porte de la
chambre, sur les genoux, la tête baissée. Au bout d’une demi-heure, j’entendis du
mouvement derrière la porte. Il était enfin réveillé ! Je me redressai vivement,
corrigeant ma posture qui s’était relâchée durant la demi-heure, et attendis
patiemment qu’Il sorte. La porte s’ouvrit lentement et j’eus un élan de tendresse en
voyant le visage encore endormi du Marquis d’Evans. Il était adorable !
- Bonjour, ma petite chienne de Leeny. As-tu bien dormi ?
- Oui, Maître. Et vous ?
- Parfaitement. J’ai dormi comme un enfant. Bien. Le repas est-il prêt ? N’ayant pas
dîné hier soir, je meurs de faim.
Avec effroi, je me souvins que je n’avais pas préparé le petit-déjeuner !
- Oh Maître ! Je suis désolée ! J’ai complètement oublié ! Il y a eu tellement de
choses qui se sont passées ce matin, que…
- Je ne veux rien entendre. Tu te dois de ne rien oublier lorsqu’il s’agit de ton
Maître, répondit-Il avec une voix calme mais ferme.
Il me regardait avec ce regard sévère que je craignais tant. Je baissais la tête.
- Je suis désolée, Maître … Je vous prie de me punir pour mon manque d’assiduité.
- J’y compte bien. Maintenant, prépare-moi ce petit-déjeuner. Tu n’auras pas le tient,
pour la peine. Mais ne crois pas que j’en ai fini avec toi.
- Oui, Maître. Merci, Maître.
Je m’activai dans la cuisine, le plus rapidement possible et servis le Marquis
d’Evans. Puis je me postai à ses pieds.
- Ne crois pas que tu auras l’honneur de goûter mon vit pour le moment.
- Oui, Maître.
Quand Il eu fini, il se leva et, d’un geste de la main, m’intima de Le suivre. Il me
fit le doucher. Je n’oubliai aucune partie de Son corps, le massant, le savonnant, me
délectant de sa peau si douce. Puis vint le moment de laver Son sexe. Je me mis au
travail, m’appliquant à lui donner du plaisir en même temps. Je voulais Le prendre
dans ma bouche. Mais Il ne voudrait pas, je le savais. Quand j’eus finit, ce fut mon
tour. Il me nettoya comme on nettoie une chienne, sans douceur. Je ne méritais pas sa
douceur car j’avais oublié son repas. Quand Il eut fini, Il me fit sortir de la
baignoire, peigna mes cheveux (j’avais remarqué qu’il aimait beaucoup cela), puis me
traîna jusqu’au pont supérieur.
- Connais-tu une plage déserte ?
- Oui, Maître.
- Bien. Mets le cap vers cette plage.
Nous arrivâmes, au bout d’une heure, sur une crique de sable blanc. Elle ne devait
faire guère plus de dix ou vingt mètres de long, et des buissons la bordaient tout en
longueur. Il y avait des cailles, aussi ne pouvais-je m’approcher à moins de trente
mètres. Je descendis donc à la sous-cabine et en sortit un zodiac que mon père avait
acheté un mois plus tôt. Nous n’avions pas eut le temps d’y ajouter un moteur, aussi
redescendis-je chercher les rames. Le Marquis d’Evans m’en empêcha. Ses yeux luisant
m’avertirent qu’il avait eu une idée.
- Bien, allons-y.
Il prit des accessoires et grimpa dans le zodiac. D’un regard, il m’intima de plonger.
Je m’exécutai.
- Va devant la barque.
Une fois que cela fut fait, il fit tourner mon collier (j’avais remis celui en cuir
noir pour ne pas abîmer le blanc) et y accrocha une laisse plus épaisse, également
noire.
-
Bien, maintenant, nage et emmène ton Maître sur la plage.
J’entamais un crawl rapide quand un coup de fouet s’abattit sur mes épaules.
- Tu es une chienne. Tu ne peux nager comme une humaine. Nage donc comme la chienne
que tu es.
Avec une phrase d’excuse, je commençai ma « nage du chien ». J’étais épuisée quand
nous arrivâmes sur le sable. Les cailles m’avaient écorché les genoux et un banc de
poisson était venu picorer mes orteils et mes tétons, sans tenir compte des coups de
pieds que je leur donnais. Je tirais le bateau gonflable sur le sable pour que Sir
Edouard n’ait pas à mouiller Ses pieds. Il descendit et me fit signe de décharger ce
qu’il y avait à bord. Je sortis la chaise pliable, les « jouets » et la nappe qu’Il
avait emporté et j’installai le tout sur le sable. Il avait également prit ma gamelle
et un panier que je devinais de nourriture, mais je décidai de les laisser à
l’intérieur et de les recouvrir de la bâche pour éviter qu’ils ne prennent trop de
soleil. Je me dirigeai vers mon Maître qui était déjà installé sur sa chaise.
- Tu as bien nagé. Tu as le droit de me sucer, chienne.
Avec un grand sourire de contentement, je me précipitai vers le sexe dénudé du Marquis
d’Evans. Je commençais par le lécher avec appétit puis je gobais tout d’un seul coup.
Le Maître prit quelques minutes avant de poser une main sur ma tête. Il me fit reculer
et attrapa ma main pour qu’elle enserre son vit. Je compris ce qu’Il voulait. Je me
mis à Le masturber, dirigeant son gland vers moi. Il jouit sur mon visage et mes seins
tendus vers lui.
- Bonne chienne. Maintenant, ta punition. Tourne toi et tend ta croupe vers moi.
Je m’exécutais, à la fois impatiente et anxieuse. Il sortit d’un sac un fouet court
aux lanières nombreuses. Le premier coup de fouet fut cinglant et violent. Les neuf
autres qui suivirent furent encore pire. Satisfait de mon silence, Il adoucit Ses
coups pour les dix suivants. Puis Il me fit me retourner. Il claqua mes seins, les
empoigna et les vrilla. Cela faisait mal, mais c’était tellement bon ! Il les pinça
très fort, les fouetta. Puis je le vis sortir une sorte de crayon pointu. Il plaça la
pointe sur le bout de mon téton puis appuya en le faisant tourner. J’eus envie de
gémir tellement c’était bon, mais je me retins. Il fit de même avec l’autre. Mes
tétons étaient rouges sang. Il vit un petit crabe passer. Il m’intima de l’attraper.
J’avais souvent fait cela avec mes cousins, étant jeune. Je Lui ramenai le crabe au
bout de trois minutes et m’agenouillai face à Lui.
- Bien. Approche-le de tes tétons de manière à ce qu’il puisse te les pincer. Il n’est
pas bien gros. Il ne devrait pas avoir assez de force pour te le percer.
C’était en effet un bébé crabe. Je le regardai anxieusement puis l’approchai de mes
seins. Il s’agitait entre mes doigts, ouvrait et fermait ses pinces. Je visais assez
bien, et quand il referma sa pince gauche, ce fut exactement sur mon téton droit, mais
il ne tint pas la prise. Il ouvrait et fermait sa pince sur mon téton. Mon Maître
regardait attentivement le crabe me martyriser le téton. Il semblait satisfait, ce qui
me rendit heureuse. Je tenais le crustacé au niveau de mon sein, jusqu’à ce qu’il soit
fermement accroché. Il douleur intense me vrillait le corps, accompagnée par un
plaisir encore plus fort. Sir Edouard m’ordonna alors de faire de même avec l’autre
téton. J’attrapai donc mon sein d’une main et la pince du crabe de l’autre. Encore une
fois, je visai juste et la pince se referma sur la pointe déjà rouge. Je mis ensuite
mes mains le long de mon corps, et baissa les yeux. Maître regardait le spectacle avec
un grand sourire.
- C’est bien, chienne. Tu supportes de mieux en mieux la douleur.
Alors qu’Il disait cela, le crabe lâcha mon téton droit et pendouilla accroché au
gauche.
- Met toi à quatre pattes pour que le poids du crabe pèse bien sur ton téton.
Je m’exécutai. Le crabe se balançait au bout de mon sein. Après trois ou quatre
seconde, il desserra sa pince et s’enfuit une fois sur le sable. Mes tétons étaient
maintenant violets. C’était la première fois qu’ils me faisaient autant souffrir et
cela me faisait mouiller dans mon bas ventre. Je regardai le Marquis d’Evans,
terrifiée à l’idée que ma punition était loin d’être finie. Un mouvement dans les
buissons me fit me détourner de mon Maître. Il suivit mon regard, et nous aperçûmes un
homme, complètement dévêtu derrière les buissons. Il était grand et noir. Un bel homme
en réalité. Il semblait avoir entre vingt-cinq ou trente ans. Une de ses mains
entourait son sexe. Il devait se masturber en voyant le spectacle de ma fellation, du
fouet et du crabe
- Mais venez donc, mon ami, cette petite chienne peut bien faire ce travail, lança Sir
Edouard à son attention.
Timidement, il se dégagea des buissons. Il était encore plus grand que ce que je
pensais. Et lorsqu’il retira sa main, je cru que j’allais m’évanouir. Son sexe était
de la taille de mon avant-bras ! Que ce soit en longueur ou en épaisseur !
- Eh bien ! C’est un bien joli attirail que vous avez là, enchaîna mon Maître en
rigolant
- Merci, mec.
Je fus offusquée du ton qu’il employait pour parler à mon Maître. Mais je ne pouvais
rien dire.
- Elle est bonne ta meuf. Tu l’as chopée où ? dit-il avec un accent de banlieue
- Ma… Meuf, comme vous dites, n’est autre que mon esclave. C’est l’une des mes
soumises et c’est ici même que je me la suis procurée, sur cette île merveilleuse.
- Ah ouais ? J’crois qu’j’ai entendu parler d’une vente d’esclave l’année dernière.
Mais j’croyais qu’c’était une blague. Pour moi ça existe plus l’esclavage.
- L’esclavage persiste pourtant. Mais sous une autre forme. Maintenant, les esclaves
sont entièrement consentants, et c’est par choix qu’ils sont devenus ainsi. Voulez-
vous l’essayer ? Elle est très docile.
- Ouais, j’ai vu ça, ouais. Grave que j’veux l’essayer ! Elle est grave bonne !
L’inconnu me prit par les cheveux et me fit me retourner. Il m’allongea sur le ventre,
écrasa mon visage dans le sable et s’assit sur moi.
- Je vous prierais, tout de même de ne pas trop la brutaliser.
- Ouais, ok, mec. T’inquiète pas, Kassen sait ce qu’il fait !
Il releva ma croupe et caressa mes fesses. Il les empoigna et me donna quelques
claques retentissantes. Puis il enfonça un doigt dans mon anus.
- Ouah ! Elle est bien ouverte la meuf ! C’est cool, j’ai même pas besoin d’la
préparer !
Il positionna son gland à l’entrée de ma rondelle. Sans ménagement, il s’enfonça
profondément. Tout son sexe m’emplit le ventre. C’était effroyablement douloureux. Je
ne réussis même pas à retenir un cri de douleur. L’inconnu me frappa le visage en
retour. Un coup de fouet retentit. Je ne compris pas d’où il venait, car aucune
douleur ne m’était parvenue d’autre part que par mon cul. C’est lorsque j’entendis
l’inconnu se crisper que je compris. C’était lui qui avait reçu le coup.
- Il est formellement interdit de frapper une femme au visage. Qu’elle soit une
soumise ou non.
- Eh tu m’as fouetté là ! Je rêve, mec !
Le Marquis d’Evans le regarda de ce regard sévère, autoritaire, ce regard puissant
d’un charisme hors norme, oui ce regard si pénétrant qui me paralysait toujours. Et
cela ne faisait pas effet que sur moi, apparemment. L’inconnu s’immobilisa. Un long
silence quand les deux regards se croisèrent. Sir Edouard ne cligna à aucun moment ses
yeux et fixa avec insistance le géant. Puis le black céda, vaincu en baissant la tête
et les yeux. C’était incroyable ! Il mesurait plus de deux mètres, était baraqué comme
un boxeur, mais mon Maître réussissait quand même à le faire baisser les yeux, juste
par la puissance du regard.
- J’suis désolé, s’cusez-moi, bafouilla-t-il
- Bien. Je vous permets de continuer, mais gare aux dérapages.
Il continua de me limer le cul pendant plus de dix minutes. Il n’avait cependant pas
encore joui quand il se retira, laissant mon trou béant et douloureux. Il me retourna
sur le dos et s’enfonça ensuite dans ma chatte, trempée malgré la douleur. Je me
sentais entièrement pleine, c’était divin. La douleur se mêlait parfaitement au
plaisir. Puis je sentis l’homme se paralyser en moi. Je crus qu’il allait jouir, mais
ce n’était pas ça. Il semblait surpris, pris au dépourvu. C’est alors que je vis la
main élégante du Marquis sur l’épaule bronzée de mon martyre.
- Eh bien ! Je me disais, aussi, que ta rondelle avait l’air bien ouverte. Et ces
petites cicatrices sur ton dos. Où est donc ton Maître ? Ou ta Maîtresse ?
L’homme resta paralysé alors que, de Son sexe, mon Maître faisait des allés-retours
dans son cul de black. Il ferma les yeux, démontrant qu’il ressentait un immense
plaisir.
- Tu joues bien la comédie cependant. J’ai failli croire que tu n’étais pas l’esclave
que j’ai vu à la foire l’année dernière. Et toi, Helena, continua-t-Il en haussant le
ton. Tu crois peut-être que je ne t’ai pas vu ? Allez, sort, ma belle, de derrière ton
bosquet
- Ah ! Cher cousin ! Pourquoi vois-tu toujours tout ?
- Allons, je sais reconnaître un esclave quand j’en vois un. Il n’a pas bronché
lorsque je l’ai fouetté, excepté quand je lui ai parlé, mais il n’a pas crié. Ensuite,
quand je l’ai regardé avec insistance, il a baissé les yeux et s’est excusé. Il y a
des signes qui ne trompent pas. Oh et ma mémoire m’a permis de me souvenir de son
visage à la seconde où je l’ai vu. Tu l’as acheté à la foire aux esclaves l’année
dernière, non ? Je t’y ai aperçu, mais je n’avais pu venir te parler.
- Ha ! Ha ! Ha ! En effet. Tu as une mémoire extraordinaire, tu es vraiment le
meilleur !
- Mais dis-moi, comment m’as-tu retrouvé ?
- Je te connais ! Je savais que tu voudrais aller sur une plage déserte ! Si ce
n’était pas aujourd’hui, s’aurait été demain. Ou après-demain. Et la plage la moins
connue, c’est celle-ci. Je me disais bien que ta femelle allait te mener jusqu’ici.
- Tu es très calculatrice, dis-moi.
- Tout ce que j’ai appris, je l’ai appris chez le meilleur !
- C’est un bien joli spécimen que tu as là.
- Je trouve aussi. Comme il était avec toi, c’est exactement la personnalité qu’il
avait avant. Et depuis, il est devenu très docile. (Elle lui caressa la tête) Tu vas
être puni pour la manière dont tu as parlé au Marquis.
- Oui, Maîtresse, merci Maîtresse.
- Je pensais que c’était toi qui l’avait envoyé, dit Sir Edouard
- C’est le cas. Je voulais essayer à réussir à te berner. Mais comme ça n’a pas
marché, je me dois de le punir. C’est un affront pour un Maître d’être insulté par un
esclave, surtout un Maître de ta classe. Comme tu savais qu’il était un esclave, ça a
dû être très désagréable pour toi.
- Bah ! Je m’en suis bien sorti, répondit le Marquis d’Evans avec un sourire.
- Désires-tu t’en occuper ?
- Ce sera avec plaisir, ma chère cousine
Madame Helena Lui tendit un fouet en cuir véritable, une vraie antiquité.
- Eh bien ! Je me souviens de ce fouet !
- Evidemment, c’est toi qui me l’as légué. Mon tout premier fouet. Je le garde pour
les sorties, comme aujourd’hui.
- Bien, bien. Allons-y. Tourne-toi, chien.
Je regardai mon semblable se faire fouetter. Je me mettais un peu à sa place, et je
ressentais de la compassion pour lui, bien qu’il m’ait déchiré l’anus et la chatte.
Madame Helena vint s’asseoir en tailleur à côté de moi. Elle ressemblait à une enfant
avec ses taches de rousseur et ses grands yeux bleus. Et son caractère juvénile y
était aussi pour beaucoup. Elle attacha ses longs cheveux noirs avec une pince et me
caressa la tête en regardant le spectacle de son esclave fouetté. Je me frottai contre
sa main. Elle m’inspirait vraiment confiance. Elle dégageait une sorte d’autorité
imprégnée de tendresse qui égalait (c’était vraiment difficile de l’avouer, car
improbable) presque celle de Maître. Quand le Noble eut fini de fouetter, elle se
releva et lui prit le fouet des mains.
- J’ai l’impression que vingt coups ne sont pas suffisants.
Elle abattit le fouet encore dix fois. Le dos et les fesses de l’esclave étaient
striés de fines lignes rouges.
- Bien. Que dirais-tu de venir chez moi ? J’ai la meilleure des esclaves cuisinières,
enfin meilleure, disons après ta Marie dans ton château en Métropole ! A la
différence, c’est que ta cuisinière n’est pas esclave mais plutôt dominatrice sadique.
- Eh bien, j’ai déjà refusé ton hospitalité une fois, je ne peux décemment pas la
refuser deux fois. Où habites-tu ?
- Tu te souviens tu lieux de la foire aux esclaves ? C’est à dix minutes de là. Au
François.
- Chienne Leeny, connais-tu cette ville ?
- Oui, Maitre, c’est l’un des quartiers riches de la Martinique.
- Exact, intervint la jeune Maîtresse. Bien alors voici l’adresse, Leeny. Soyez là
vers 20h.
- Oui, Madame Helena.
- Elle est adorable, dit-Elle en me tapotant la tête.
Puis elle disparut comme Elle était apparue. Le Maître me fit manger à 4 pattes dans
ma gamelle à même le sable puis je rangeai nos affaires dans le zodiac. Le Marquis
d’Evans s’y installa puis je poussai la barque gonflable dans l’eau. La laisse fut
accrochée à mon collier et nous nous dirigeâmes vers le bateau. Une fois à bord, mon
Maître me sécha puis s’allongea sur l’une des chaises d’extérieur.
- Je veux que tu t’occupes de mon sexe.
- Oui, Maître, dis-je avec enthousiasme.
Je me mis alors à Le lécher, Le sucer, L’avaler avec grand appétit. Quand Il fut bien
dur, il me fit m’arrêter. Avec déception, j’obéis.
- A quatre pattes par terre, la croupe levée vers le soleil, ordonna-t-Il. Je veux que
tes pommes de fesses soient bien rouges pour ce soir.
J’obéis. Il vint S’enfoncer dans mon cul offert et après m’avoir besogné un bon moment
à grands coups de boutoirs, Il se déversa en de longs jets de sperme dans mon
fondement et resta immobile dans un coït qui dura assez longtemps avant de se retirer.
Il m’ordonna ensuite de nettoyer sa bite avec ma langue. Puis Il Se rallongea et,
quelques minutes plus tard, Sa respiration calme et reposée m’indiqua qu’Il dormait.
Le soleil de l’après-midi tapait fort sur mon cul levé vers lui. Ça brûlait de plus en
plus. Au bout de deux heures, le Maître se réveilla. Il était alors dix-sept heures,
l’heure de se préparer.
- Bien. Tu es bien rouge. Cuite à point. Allons nous préparer.
J’eus beaucoup de mal à marcher, que ce soit debout ou à quatre pattes, tant mes
fesses me brûlaient.
(à suivre …)
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