La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1034) -
Mais en attendant, je vais t’attacher avec les chiens proposés pour la promenade...

Soirée ‘cochonne grillée’ ? J’avais lu cochon grillé, je pensais donc à un repas un peu campagnard autour d’un cochon embroché au-dessus d’une fosse où brulerait un feu de joie ! Je me doutais que le terme « cochonne » n’avait certainement pas été utilisé au hasard par le filleul du Maître ! Et je n’arrivais pas à déterminer si cela pouvait être une bonne chose ou non. Je fus donc amené près d’autres soumis et soumises, tous nus et accessoirisés de la même manière que je l’avais été par cet Edouard. Nous étions juste à côté de l’entrée du parc, contre le mur à droite de la porte. Nous étions tous prosternés, nos laisses accrochées à une rambarde métallique. Le filleul du Maître nous prévint que l’établissement ouvrait et que nous devions répondre à toutes les exigences que n’importe quelle personne serait susceptible de nous donner, peu importe que celle-ci décide de nous sortir et de nous promener ou non… Les premiers clients arrivèrent. Un couple passa sans un regard pour nous, puis un homme d’un certain âge s’arrêta devant nous, et nous examina.

Pour chacun d’entre nous, il observa notre bouche qui était maintenue ouverte, nos chattes pour les femelles, où il s’ingénia à y faire pénétrer sa main en un fist vaginal brutal, vérifiant ainsi notre excitation, pour tous il enleva nos queues de chien d’un geste brusque et y enfonça de suite quatre doigts pour tester l’élasticité de nos trous puis nous renfila nos queues factices. Sous ces gestes brusques et sans préparations, je fus la seule à ne pas laisser échapper le moindre gémissement ou cri de douleur. Il revint alors vers moi, qui m’était de nouveau prosternée et du bout de sa botte me fit relever la tête jusqu’à ce que je me retrouve à quatre pattes. Il me fixa un instant puis s’approcha tant face à moi que je fus obligée de reculer, me pressant comme je le pouvais contre le mur, tandis qu’il défaisait ma laisse. Sans un mot, il donna une impulsion à la laisse me faisant comprendre que je devais le suivre.

L’homme respectable avait un côté pervers qui lui fit emprunter les chemins pierreux plutôt que ceux qui étaient herbeux. Très vite, je ressentis la douleur des entailles sur mes genoux et mes pieds. Pourtant mon éducation aux pieds du célèbre Monsieur le Marquis d’Evans fit que je serrai les dents, enfin c’était une façon de parler puisque j’avais toujours la bouche écartée, et pas une plainte ne sortit de ma gorge, et mon pas ne se ralentit pas une seconde. La promenade fut longue et malgré mon air impassible, se transformait pour moi en torture. Il faisait un temps magnifique, et le soleil commençait à chauffer sérieusement mon corps. Cela ajouté à la marche soutenue aux pieds de l’homme qui tenait ma laisse, une fine pellicule de sueur mélangée à la poussière me recouvrait. Quand enfin, il se décida de parler …
- Allez, je vais être gentil avec toi petite chienne, dit-il avec un sourire carnassier. Tu as chaud, je vais te laisser te rafraichir dans le bassin que l’on aperçoit tout au bout là-bas, tu peux relever la tête pour l’apercevoir.

Je regardais donc la direction qu’il m’indiquait. Il n’y avait pas la moindre parcelle de chemin qui fut ombragée, mais il ne semblait pas y avoir une trop grande distance, et l’idée de pouvoir patauger dans de l’eau qui devait encore être fraîche malgré le soleil me réjouissait au plus haut point. Le chemin me sembla long. J’avais l’impression que plus la distance diminuait, plus l’homme ralentissait le pas, et j’avais du mal à calquer mon rythme sur le sien et à ne pas le dépasser. Avoir la bouche ouverte et la langue « pendante », avec le soleil me donnait une soif incroyable et j’espérais réussir, malgré mon appareillage, à avaler quelques gorgées d’eau lorsque j’aurai enfin le droit de me rafraîchir dedans. Nous nous arrêtâmes enfin devant. Lui s’assit sur la margelle du bassin, jouant de sa main dans l’eau, s’en appliquant sur la nuque en répétant plusieurs fois qu’il faisait particulièrement chaud aujourd’hui et qu’un peu de fraîcheur faisait le plus grand bien. Un magnifique saule était planté tout prêt est donné de l’ombre sur une partie du bassin. Lui en profitait, mais il m’avait ordonné de m’arrêter juste la lisière et j’attendais donc prosternée en plein soleil, patientant son bon vouloir et l’autorisation d’entrer dans le bassin...

Au bout d’une dizaine de minutes, il claqua des doigts et montra le sol devant son pied. Je me déplaçais donc jusqu’à lui. Il m’enleva ma laisse et m’autorisa à rentrer dans le bassin, mais toujours à quatre pattes. Je montais donc, plus ou moins en équilibre sur la margelle puis pénétrais dans l’eau. Mes yeux s’agrandirent de douleurs et j’eus toute la peine du monde à ne pas laisser sortir le moindre son ! En effet ce n’était pas un bassin d’eau douce, mais un bassin d’eau salée, et le sel sur les nombreuses petites plaies que m’avaient laissé les arrêtes tranchantes des pierres sur lesquelles nous avions évolué un certain temps était une torture sans égale qui provoqua la venue de nombreuses larmes silencieuses. Sur un ton moqueur, voir sarcastique, il me reprocha de ne pas montrer plus de joie.

- Eh bien, que voilà une bien ingrate petite chienne ! Aucune joie, aucun remerciement envers moi qui te permet de te rafraîchir ! Je suis déçu… Quand j’ai vu ton tatouage marquant ton appartenance un si Grand Maître, qu’est Monsieur le Marquis d’Evans, je m’attendais à mieux ! Allons qu’attends-tu ?

Je me déplaçais donc dans l’eau jusqu’à lui. Je ne pouvais pas me prosterner sans plonger la tête sous l’eau, je ne pouvais pas le remercier de vive voix ayant toujours l’écarteur en bouche. Je décidais donc de faire la belle, je laissais échapper plus couinements, que je voulais rendre proche de l’aboiement autant que c’était possible avec cet appareillage. Puis j’essayais d’imiter la chienne joyeuse et fofolle, en sautant dans l’eau, tout en restant à genoux ou à quatre pattes, ne faisant qu’aviver les douleurs. Et malgré cela, je réussis tout de même à ressentir de l’excitation, mon côté masochiste prenait le dessus. Dès que je rentrais vraiment dans la peau de la petite chienne en chaleur, que je ne cessais jamais réellement d’être, dès que je me conduisais réellement comme l’animal canin, je ne pouvais m’empêcher d’être excitée ! Je croyais aux vies antérieures et à la réincarnation. Je ne doutais pas qu’un jour, j’avais réellement vécu dans la peau de cette bête, toujours prête à s’abandonner à l’Homme qui voudrait bien s’occuper d’elle, si fidèle dans son comportement. Et il fallait bien avouer que si j’arrêtais de me concentrer sur la douleur, si j’arrivais à en faire l’abstraction, ce bain frais m’avait fait énormément de bien.

- Bien j’aime mieux ça ! Maintenant sors de l’eau et suis moi !

J’appréhendais de retourner sur le chemin pierreux, mais j’eus la bonne surprise de le voir se diriger sur une petite partie « pelousée ». Là il s’assit sur l’herbe, et m’ordonna de m’allonger sur le dos. Il sortit de la poche intérieure de sa veste, et me passa un onguent sur toutes mes blessures, et la douleur s’estompa aussitôt. Je ne sais pas quelle crème il me passa mais elle était d’une incroyable efficacité. Après s’être occupé de me soigner, ses mains qui étaient au niveau de mes genoux remontèrent vers mes cuisses en douces caresses, une douceur dont je n’aurai pu soupçonner cet homme. Il vint se placer entre mes cuisses. Il me parsema des milliers de baisers sur chacune de mes jambes, des orteils jusqu’au haut de mes cuisses, puis sur mon pubis glabre. Puis toujours avec douceur, il passa délicatement sa langue entre mes lèvres intimes et y dénicha mon petit bouton de chair qui palpitait déjà. En quelques secondes, je me sentis déjà prête à basculer dans la jouissance. Alors il se recula, me retourna en me relevant le cul en levrette. Il ne prit même pas la peine de baisser son pantalon, il ouvrit seulement sa braguette et le bouton pour sortir son sexe déjà fort dressé et il s’enfonça d’un coup profondément dans ma chatte trempée...

Et je subis une saillie vaginale comme à la bonne chienne que je suis. La verge raidie, au gland gonflé et violacé s'enfonça sauvagement et me ‘transperça’ de part en part. Les coups de reins étaient puissants, rapides et profonds. La pénétration fut mentalement jouissive pour moi à me sentir possédée ainsi, mais je me retenais à ne pas laisser éclater mon orgasme physiquement. Quand tout d’un coup, au bout d’un long moment, il ralentit le rythme de la baise pour continuer ainsi à me prendre mais avec une douceur inattendue. Son ample mouvement de va et vient lent, très lent, me fit monter encore plus en excitation et ma cyprine coula contre mes cuisses. J'aimai me faire baiser ainsi lentement, comme me faire aussi besogner, posséder rapidement ou tout simplement me faire prendre profondément par cet énorme sexe qui devint de plus en plus gros, dur, épais en moi jusqu’à buter le fond de mon vagin. Heureusement qu’il me maintenait fermement par les hanches, car ses coups de boutoirs, si puissants, si sauvages reprirent de plus belle et, me semblait-il, plus forts qu’un début, c’était devenu vraiment bestial, animal comme fornication. Ces nouveaux coups de reins rapides, cadencés m’auraient obligée de m’effondrer au sol s’il ne me maintenait pas avec force de ses grosses mains…
Puis, en quelques minutes son souffle se fit rauque et s’accéléra quand bientôt il lâcha enfin sa semence par de longs râles de mâle en rut, m’autorisant en même temps à laisser éclater mon orgasme, qui fut puissant et bruyant et qui dura de longues minutes, pendant lequel il resta en coït profond, bien planté en moi au chaud. Après qu’il m’ait ordonné de nettoyer consciencieusement sa verge avec ma langue, on reprit la direction du Bilitis. A peu près à moitié chemin, on entendit une cloche sonner, annonçant l’ouverture du restaurant. L’homme qui m’apprit qui s’appelait Marc, hâta le pas, disant haut et fort qu’il avait une faim de loup après avoir assouvi sa faim de chatte. Il me rattacha à la rambarde, puis, après m’avoir flattée la croupe et y avoir assené une claque sonore, il disparut quelques instants et revint avec une gamelle pleine d’eau pour repartir aussi vite. Malgré mes accessoires buccaux qui m’empêchaient de fermer la bouche, je pus enfin me désaltérer à souhait…
(A suivre …)

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