La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1065)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1065)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
… Mais là encore...vous connaissez la suite...’’
Pendant que je racontais ce passage de ma vie, passage qui explique pourquoi depuis cette histoire et donc avant de rencontrer Monsieur le Marquis d’Evans, je tenais les hommes à l’écart, les toisant comme je le faisais, méprisante et hautaine, les godes installés en moi s’étaient mis à vibrer dans mon cul et ma chatte, doucement au début, puis de plus en plus fortement, hachant mon discours...parfois l’un stoppait, tandis que l’autre continuait, et ensuite c’était l’inverse, ce qui me mis l’ensemble du cul en feu. Les convives avaient achevé les desserts, ils ne restaient plus rien sur moi, lorsque je sentis devant ma bouche, se poser un gland violacé, volumineux que je pris immédiatement en bouche en esclave bien dressée. Sans l’aide de mes mains qui me tenaient toujours à quatre pattes, je pompais goulument le sexe assez long et épais. Je le travaillais consciencieusement ne sachant pas à qui il appartenait, tandis que je sentais les godes sortir de mon corps me laissant vide et inondée. A cet instant, je sentis contre ma joue, un autre sexe qui s’agitait comprenant que quelqu’un se branlait contre mon visage. Les premières contractions du sexe que je suçais commençaient, signe annonciateur d’éjaculation arrivant, je sentis aussi qu’on me prenait analement et sans ménagement. En effet, un sexe que je sentis énorme en volume s’enfonçait dans mon anus ouvert, bien dilaté et jusqu’à la garde, à la hussarde. Je sentais les poils pubiens de l’homme toucher mes fesses tandis qu’il se mit à me besogner.
Cette verge dressée, dure me sodomisait profondément, par des vas et viens puissants entre mes reins, profonds par des mouvements amples et cadencés, sans préambules. Toujours la même allure, la même cadence rapide, je le sentis me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs à me faire mouiller encore plus. Oui je mouillais terriblement ! Plaisirs physiques, mais pas seulement, mon cerveau bouillonnait. Je me faisais enculer, tel un simple objet, une sodomie, comme ça, juste pour profiter de mon corps qui ne m’appartenait plus. Je me cramponnais, mes bras tendus à 4 pattes et ne fléchissant pas et me laissait porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de l’homme que je suçais. Sans doute allait-il jouir… Un coup de reins plus violent me bouscula et m’obligea à avancer un peu sur les mains. Un second d’une même intensité me fit avaler le sexe tout entier que j’avais en bouche. Le pubis l’homme qui m’enculait restait collé à mon fessier et ainsi j’étais poussée ainsi, obligée de me cramponner sur les mains pour ne pas trop avancer en me laissant dardée dans ce coït anal immobile et tout en profondeur. Comme en lévitation, toujours emmanchée par le cul et agrippée par les hanches, je subissais une véritable saillie bestiale. Je n’ai rarement été enculée si profondément, vi virilement en un rythme aussi puissant. Ma bouche cherchait aussi à garder l’autre verge, celle que je suçais avec avidité, malgré les violents coups de reins dans mon cul de chienne. J’arrivais à maintenir en bouche ce sexe masculin qui me paraissait bien crémeux, alors que la longue enculade continuait de plus belle. Je parvins, donc tout de même, tant bien que mal à gober, à pomper au rythme des secousses irradiant mon cul et tout mon corps.
Pendant ce temps, je recevais en plein visage le foutre de celui qui se branlait contre ma joue, et presqu’au même moment celui que je pompais me prit les cheveux et les tira fortement en arrière, et s’enfonça dans mon gosier, éjaculant copieusement… Sitôt avalé, un autre sexe se présenta à moi, toujours en bouche et je recommençais à sucer… Complètement avinés et chauffés à blanc, les Invités buvaient encore et encore, les chaises bougeaient sans arrêt, je sentais des éjaculats tomber sur mes reins, mes épaules, tandis que celui qui m’enculait sortait après avoir lancé ses jets de sperme chaud par saccade dans mon fondement, et il était vite remplacé immédiatement par un autre qui profita de mon anus très dilaté pour s’enfoncer sans ménagement à grands coups de boutoirs aussi virils que ceux de son prédécesseurs... J’en recevais de partout, je devais être recouverte de foutre, je sentais que cela coulait sur mes côtes, mes flancs et j’étais excitée au possible, comme rougie au feu, je me sentais devenir encore plus chienne, plus femelle en chaleurs jamais rassasiée… Je faisais feu de tous mes orifices, car entre deux enculages, j’étais prise par la chatte, et parfois par mes deux orifices à la fois tandis que des mains tripotaient mes seins, tétons et clitoris, ceux-ci étaient triturés, étirés, pincés… On se vidait en ma bouche, en mon cul dans la chatte, j’étais devenue un réceptacle à foutre, un vide-couilles…
Je devenais un cloaque vivant quand soudain je sentis deux doigts se poser entre mes mâchoires et les desserrer fortement. Je fus obligée d’ouvrir la bouche et dans cette pause, je sentis qu’on urinait dans ma bouche, lentement, comprenant que je devais avaler, ce que je fis, puis les jets se firent plus longs, plus rapides, j’avalais aussi vite que je pouvais le faire, quelques tapes sur la joue comme pour me dire, « c’est bien » et tout cela sans que je sache qui était celui qui pissait dans ma cavité buccale... Arrivée assez tard dans la nuit, on me mit sur le dos et j’avoue que cela me soulagea beaucoup les reins. Toujours les yeux bandés, on m’écarta prestement les cuisses tandis qu’on posait sur mon clitoris un vibro qui se mit en marche aussitôt... Alors que j’étais sur le point de céder, une voix, Sa voix, se fit entendre au creux de mon oreille, comme la voix d’un esprit :
- Je suis très très fier de toi Ma petite chienne, vraiment, continue ainsi de te retenir...
Tournant la tête du côté de la voix, je répondis
- Oui Maître.
Le vibro était déchaîné, je fus prise plusieurs fois d’affilée, recevant des tas et des tas de giclée de foutre, mon ventre devenant une citerne à foutre, mon estomac et mon cul également. Soudain je sentis qu’on m’enjambait au niveau de la tête... Puis, le contact des poils me fit me demander si ce n’étais pas une femme... Quand le bassin de la personne descendit sur ma bouche, je fus fixée…c’était bien un sexe de femme qui se présenta devant mes lèvres buccales. Trempée comme elle était, elle me présenta son clitoris, aussi dur que du roc et j’entamais sur elle, des léchages consciencieux, alternant l’aspiration, le léchage, de petits coups de dents sur le clito, lèvres vaginales tandis que ma langue nettoyait en profondeur cette cavité dégoulinante d’excitation par une cyprine qui coulait sur mon visage. La femme ne mit pas longtemps à jouir violemment et à pisser dans ma bouche que j’ouvris prestement.
- Mon dieu, Mon dieu, disait-elle, mais comment fait-elle, il y a bien longtemps que je n’ai pas joui ainsi... Mon cher Maître, vous avez trouvé une véritable perle... J’en redemande... Une salope à donner du plaisir comme je les aime…
Et la voilà à se reposer à nouveau sur ma bouche. Tandis qu’on me travaillait la chatte…. que je tremblais tentant de respecter l’ordre du Maître, je reprenais mon léchage qui très peu de temps après, déclencha en celle que je léchais de tels spasmes qu’elle en tomba à la renverse, souffle coupé alors qu’elle ne put se retenir à me pisser sur le visage... C’est en cet instant précis que j’entendis à mon oreille :
- Jouis petite chienne, montre à tous ces gens ce que jouir veut dire...
Alors qu’un étalon me pistonnait depuis plus de quinze minutes m’envoyant au Paradis, j’explosais immédiatement par des orgasmes qui se succédaient à une vitesse folle, en une puissance inouïe, comme pourrait le faire une tigresse enfin prise... Toutes griffes dehors, je faisais des bonds, mon étalon, surpris tentant de s’accrocher comme il pouvait, je feulais, je criais, je griffais, j’ai même mordu une main, j’envoyais des coups de pieds, je jouis sans aucune retenue et au même moment, l’étalon lâcha sa semence puissamment dans les râles digne d’un cerf en rut m’envoyant dans le fond de mon vagin pour la énième fois, ses giclées de foutre chaud. Il était puissant le bougre car je reçus plusieurs giclées de sa semence dans d’ultimes et impressionnants coups de reins d’une puissance inouï... Tandis qu’il sortit de ma chatte en furie, je recevais sur le ventre, le visage, des giclées de sperme, je continuais d’être ailleurs, dans un autre monde, fait de plaisirs infinis, de jouissances extatiques, tout mon corps vibrait à l’unisson de mon sexe... Lentement je revins à moi, Maître me releva tendrement faisant très attention où il posait les mains, tant j’étais recouverte de sperme... Il m’enleva le bandeau et je vis, des bites ramollies, certaines encore un peu relevées, d’autres, beaucoup pendantes... Je voyais des dames se reculotter… J’étais fière, car je croisais le regard du Maître et ses yeux semblaient ne plus voir que moi… Ce regard, Son regard, je ne l’oublierai Jamais. Je savais dès cet instant que je Lui appartenais entièrement et pour la Vie, s’Il acceptait de me garder auprès de Lui… J’étais épuisée mais heureuse … Je savais désormais à n’en plus douter où était ma véritable place, à Ses nobles pieds… Quelques heures plus tard, nous reprîmes le chemin du retour sous les compliments, félicitations des Invités pour cette inoubliable soirée orgiaque…
(A suivre …)
… Mais là encore...vous connaissez la suite...’’
Pendant que je racontais ce passage de ma vie, passage qui explique pourquoi depuis cette histoire et donc avant de rencontrer Monsieur le Marquis d’Evans, je tenais les hommes à l’écart, les toisant comme je le faisais, méprisante et hautaine, les godes installés en moi s’étaient mis à vibrer dans mon cul et ma chatte, doucement au début, puis de plus en plus fortement, hachant mon discours...parfois l’un stoppait, tandis que l’autre continuait, et ensuite c’était l’inverse, ce qui me mis l’ensemble du cul en feu. Les convives avaient achevé les desserts, ils ne restaient plus rien sur moi, lorsque je sentis devant ma bouche, se poser un gland violacé, volumineux que je pris immédiatement en bouche en esclave bien dressée. Sans l’aide de mes mains qui me tenaient toujours à quatre pattes, je pompais goulument le sexe assez long et épais. Je le travaillais consciencieusement ne sachant pas à qui il appartenait, tandis que je sentais les godes sortir de mon corps me laissant vide et inondée. A cet instant, je sentis contre ma joue, un autre sexe qui s’agitait comprenant que quelqu’un se branlait contre mon visage. Les premières contractions du sexe que je suçais commençaient, signe annonciateur d’éjaculation arrivant, je sentis aussi qu’on me prenait analement et sans ménagement. En effet, un sexe que je sentis énorme en volume s’enfonçait dans mon anus ouvert, bien dilaté et jusqu’à la garde, à la hussarde. Je sentais les poils pubiens de l’homme toucher mes fesses tandis qu’il se mit à me besogner.
Cette verge dressée, dure me sodomisait profondément, par des vas et viens puissants entre mes reins, profonds par des mouvements amples et cadencés, sans préambules. Toujours la même allure, la même cadence rapide, je le sentis me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs à me faire mouiller encore plus. Oui je mouillais terriblement ! Plaisirs physiques, mais pas seulement, mon cerveau bouillonnait. Je me faisais enculer, tel un simple objet, une sodomie, comme ça, juste pour profiter de mon corps qui ne m’appartenait plus. Je me cramponnais, mes bras tendus à 4 pattes et ne fléchissant pas et me laissait porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de l’homme que je suçais. Sans doute allait-il jouir… Un coup de reins plus violent me bouscula et m’obligea à avancer un peu sur les mains. Un second d’une même intensité me fit avaler le sexe tout entier que j’avais en bouche. Le pubis l’homme qui m’enculait restait collé à mon fessier et ainsi j’étais poussée ainsi, obligée de me cramponner sur les mains pour ne pas trop avancer en me laissant dardée dans ce coït anal immobile et tout en profondeur. Comme en lévitation, toujours emmanchée par le cul et agrippée par les hanches, je subissais une véritable saillie bestiale. Je n’ai rarement été enculée si profondément, vi virilement en un rythme aussi puissant. Ma bouche cherchait aussi à garder l’autre verge, celle que je suçais avec avidité, malgré les violents coups de reins dans mon cul de chienne. J’arrivais à maintenir en bouche ce sexe masculin qui me paraissait bien crémeux, alors que la longue enculade continuait de plus belle. Je parvins, donc tout de même, tant bien que mal à gober, à pomper au rythme des secousses irradiant mon cul et tout mon corps.
Pendant ce temps, je recevais en plein visage le foutre de celui qui se branlait contre ma joue, et presqu’au même moment celui que je pompais me prit les cheveux et les tira fortement en arrière, et s’enfonça dans mon gosier, éjaculant copieusement… Sitôt avalé, un autre sexe se présenta à moi, toujours en bouche et je recommençais à sucer… Complètement avinés et chauffés à blanc, les Invités buvaient encore et encore, les chaises bougeaient sans arrêt, je sentais des éjaculats tomber sur mes reins, mes épaules, tandis que celui qui m’enculait sortait après avoir lancé ses jets de sperme chaud par saccade dans mon fondement, et il était vite remplacé immédiatement par un autre qui profita de mon anus très dilaté pour s’enfoncer sans ménagement à grands coups de boutoirs aussi virils que ceux de son prédécesseurs... J’en recevais de partout, je devais être recouverte de foutre, je sentais que cela coulait sur mes côtes, mes flancs et j’étais excitée au possible, comme rougie au feu, je me sentais devenir encore plus chienne, plus femelle en chaleurs jamais rassasiée… Je faisais feu de tous mes orifices, car entre deux enculages, j’étais prise par la chatte, et parfois par mes deux orifices à la fois tandis que des mains tripotaient mes seins, tétons et clitoris, ceux-ci étaient triturés, étirés, pincés… On se vidait en ma bouche, en mon cul dans la chatte, j’étais devenue un réceptacle à foutre, un vide-couilles…
Je devenais un cloaque vivant quand soudain je sentis deux doigts se poser entre mes mâchoires et les desserrer fortement. Je fus obligée d’ouvrir la bouche et dans cette pause, je sentis qu’on urinait dans ma bouche, lentement, comprenant que je devais avaler, ce que je fis, puis les jets se firent plus longs, plus rapides, j’avalais aussi vite que je pouvais le faire, quelques tapes sur la joue comme pour me dire, « c’est bien » et tout cela sans que je sache qui était celui qui pissait dans ma cavité buccale... Arrivée assez tard dans la nuit, on me mit sur le dos et j’avoue que cela me soulagea beaucoup les reins. Toujours les yeux bandés, on m’écarta prestement les cuisses tandis qu’on posait sur mon clitoris un vibro qui se mit en marche aussitôt... Alors que j’étais sur le point de céder, une voix, Sa voix, se fit entendre au creux de mon oreille, comme la voix d’un esprit :
- Je suis très très fier de toi Ma petite chienne, vraiment, continue ainsi de te retenir...
Tournant la tête du côté de la voix, je répondis
- Oui Maître.
Le vibro était déchaîné, je fus prise plusieurs fois d’affilée, recevant des tas et des tas de giclée de foutre, mon ventre devenant une citerne à foutre, mon estomac et mon cul également. Soudain je sentis qu’on m’enjambait au niveau de la tête... Puis, le contact des poils me fit me demander si ce n’étais pas une femme... Quand le bassin de la personne descendit sur ma bouche, je fus fixée…c’était bien un sexe de femme qui se présenta devant mes lèvres buccales. Trempée comme elle était, elle me présenta son clitoris, aussi dur que du roc et j’entamais sur elle, des léchages consciencieux, alternant l’aspiration, le léchage, de petits coups de dents sur le clito, lèvres vaginales tandis que ma langue nettoyait en profondeur cette cavité dégoulinante d’excitation par une cyprine qui coulait sur mon visage. La femme ne mit pas longtemps à jouir violemment et à pisser dans ma bouche que j’ouvris prestement.
- Mon dieu, Mon dieu, disait-elle, mais comment fait-elle, il y a bien longtemps que je n’ai pas joui ainsi... Mon cher Maître, vous avez trouvé une véritable perle... J’en redemande... Une salope à donner du plaisir comme je les aime…
Et la voilà à se reposer à nouveau sur ma bouche. Tandis qu’on me travaillait la chatte…. que je tremblais tentant de respecter l’ordre du Maître, je reprenais mon léchage qui très peu de temps après, déclencha en celle que je léchais de tels spasmes qu’elle en tomba à la renverse, souffle coupé alors qu’elle ne put se retenir à me pisser sur le visage... C’est en cet instant précis que j’entendis à mon oreille :
- Jouis petite chienne, montre à tous ces gens ce que jouir veut dire...
Alors qu’un étalon me pistonnait depuis plus de quinze minutes m’envoyant au Paradis, j’explosais immédiatement par des orgasmes qui se succédaient à une vitesse folle, en une puissance inouïe, comme pourrait le faire une tigresse enfin prise... Toutes griffes dehors, je faisais des bonds, mon étalon, surpris tentant de s’accrocher comme il pouvait, je feulais, je criais, je griffais, j’ai même mordu une main, j’envoyais des coups de pieds, je jouis sans aucune retenue et au même moment, l’étalon lâcha sa semence puissamment dans les râles digne d’un cerf en rut m’envoyant dans le fond de mon vagin pour la énième fois, ses giclées de foutre chaud. Il était puissant le bougre car je reçus plusieurs giclées de sa semence dans d’ultimes et impressionnants coups de reins d’une puissance inouï... Tandis qu’il sortit de ma chatte en furie, je recevais sur le ventre, le visage, des giclées de sperme, je continuais d’être ailleurs, dans un autre monde, fait de plaisirs infinis, de jouissances extatiques, tout mon corps vibrait à l’unisson de mon sexe... Lentement je revins à moi, Maître me releva tendrement faisant très attention où il posait les mains, tant j’étais recouverte de sperme... Il m’enleva le bandeau et je vis, des bites ramollies, certaines encore un peu relevées, d’autres, beaucoup pendantes... Je voyais des dames se reculotter… J’étais fière, car je croisais le regard du Maître et ses yeux semblaient ne plus voir que moi… Ce regard, Son regard, je ne l’oublierai Jamais. Je savais dès cet instant que je Lui appartenais entièrement et pour la Vie, s’Il acceptait de me garder auprès de Lui… J’étais épuisée mais heureuse … Je savais désormais à n’en plus douter où était ma véritable place, à Ses nobles pieds… Quelques heures plus tard, nous reprîmes le chemin du retour sous les compliments, félicitations des Invités pour cette inoubliable soirée orgiaque…
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Je suis une petite chienne et j'adore sentir le regard de mon maître après une orgie ou un gangbang !!!