La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1114)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1114)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l’épisode N°1089) -
Je suis ainsi, j’aime le cul, j’aime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance… Plus le temps passait et plus je prenais d’importance dans la vie de Monsieur le Marquis et il arrivait de plus en plus souvent qu’il m’invitât lors de sorties officielles, pour me présenter à des amis, à des confrères hommes d’affaires, ou à d’autres Maîtres de sa connaissance, souvent des Maîtres étrangers. De plus, j’étais souvent « donnée » pour des soirées privées et mondaines soit exhibée, publiquement ou pas, soit servant d’esclave au cours de repas ou de soirées privées orgiaques. Parfois, Maître faisaient venir également d’autres esclaves, mâles ou femelles, mais j’étais toujours l’esclave préférée, celle qui était placée le plus près du Noble et celle qu’il réservait pour les moments importants. Mais il arrivait aussi que le Châtelain ait des amis parmi des éleveurs de la campagne, et dans une région quoi de plus beau, de plus naturel, de plus sauvage et de plus touristique que le Vaccarès, vaste étang situé dans la Réserve Naturelle de Camargue, pays chers aux taureaux, aux diverses manades, aux flamands roses et aux éleveurs appelés manadiers juchés sur leurs chevaux typiquement camarguais, petits chevaux, endurant, à la robe grise pommelée ou pas.
C’était alors des sorties très agréables car j’adore monter à cheval. Cependant Monsieur le Marquis ne le savait pas encore. Il était loin de tout savoir sur sa pouliche préférée. Lorsque Maître l’apprit, il jubilait à l’idée de me faire monter en Camargue, nue et en plus à cru, au milieu des manadiers, hommes durs au mal et rustres sans vouloir les vexer. C’est ce qui se passa un jour de septembre 2011. Nous quittâmes la région marseillaise, dans la Rolls-Royce conduite par Walter, celui-ci appréciait beaucoup ces sorties dans la nature loin de son beaujolais natal. L’air était frais et très iodé. La saison des corridas était terminée, Arles, Nîmes, Béziers, toutes villes de tauromachie avait clos leur saison touristique, les troupeaux de taureaux paissaient tranquillement. Les aficionados étaient heureux… Nous avions rendez-vous chez le principal Manadier du Vaccarès, ami de longue date du Noble, grand éleveur de taureaux et de chevaux camarguais. Ma présente avait été annoncée ainsi que ma qualité d’esclave. Le propriétaire, homme habitué à jauger d’un coup d’œil de la qualité de ses bêtes avait fortement apprécié le principe de la visite selon les propos que le Châtelain donnait à Walter pendant le voyage.
Moi, selon mon habitude, j’avais pris place sur la banquette arrière de la Rolls-Royce, aux côtés du Maître. Assise sur le rebord du siège, les cuisses très écartées, reins cambrés, mains posées sur les cuisses, j’étais ainsi accessible à celles du Noble qui me caressait le bas des reins, la fesse tournée de son côté, la cuisse, ses doigts s’égarant dans mon entre jambes, attaquant la hampe de mon clitoris, tout cela en discourant avec Walter qui n’en perdait pas une miette dans son rétroviseur. Deux doigts du Châtelain avaient entourés mon clitoris bien dressé maintenant et entamaient une lente masturbation au début, puis plus rapide ensuite, tapotant le nez clitoridien de son pouce, toujours d’une façon tout à fait naturelle, presque sans le faire exprès….
Les kilomètres défilant et toujours en parlant avec Walter, les doigts de Monsieur le Marquis me travaillaient maintenant plus fortement, ma vue commençait de se brouiller, mes tétons durcissaient, les aréoles se fripaient, ma respiration s’accélérait, je sentais ma vulve s’ouvrir lentement, devenir humide, puis plus humide encore et encore, quand soudain, tout en poursuivant avec son Majordome un cours sur l’élevage tauromachique, Maître, tout en poursuivant aussi son escalade de mon clitoris, se saisit d’un de mes deux tétons, le faisant rouler entre ses doigts au début ce qui me fit fermer les yeux et gémir d’envies, puis le vrilla dans un sens et dans l’autre, pour finir par y enfoncer ses ongles et allonger mes tétines de femelle maintenant mûre pour jouir. Ce travail masturbatoire si excitant dura un très long moment, je ne m’étais pas rendue compte que nous étions entrés en Camargue. Quand soudain Walter dit :
- Monsieur le Marquis, nous sommes suivis !
Tout en poursuivant ces manipulations, Monsieur le Marquis vit en effet des cavaliers qui suivaient la voiture… Rapidement il reconnut l’un des manadiers à cheval, lui fit un signe, et voilà pas moins de vingt cavaliers, entourant la Rolls-Royce, qui nous accompagnaient jusqu’au mas du Maître des lieux. Le Noble avait abaissé les vitres fumées de la voiture, laissant les cavaliers regarder la chienne que j’étais devenue, ivre d’envies lubriques non assouvies et qui se moquait éperdument d’être regardée par ces hommes rustres… Il accélérait la cadence sur mon clitoris et entrait même directement trois doigts dans ma chatte gluante, me renvoyant en arrière sur le siège. Sans honte, j’écartais plus les cuisses pour l’aider à s’enfoncer encore plus en moi, et sentir ses doigts me fouiller de la sorte, très profondément, tandis que mon clitoris était encore travaillé, et de l’autre main mes tétines vrillées, je me fichais totalement du tableau que j’offrais, sachant en plus que je faisais la joie du Maître. Poussée dans mes retranchements par les mains du Châtelain, excitée encore plus sachant que j’étais regardée, je n’en menais pas large car je n’avais pas l’autorisation du Maître, de jouir. Et le faire sans sa permission coûtait très cher, même et surtout, pour moi. Monsieur le Marquis me voulait la plus parfaite de ses femelles et ne me passait strictement rien. J’étais prévenue !
La Rolls-Royce avançait lentement sur la piste de sable, les chevaux hennissaient autour de moi, les bruits de leurs sabots rythmaient la cadence de l’ensemble, doigts et mains du Maître y compris. Quand il sentait que c’était le moment où je faiblissais, Maître amplifiait ses mouvements en ma chatte qu’il écartelait maintenant en tous sens, par des cercles de plus en plus évasés puis s’enfonçait d’un coup d’un seul, cognant le fond de mon sac vulvaire, me faisant dire des :
- Ohhh Maî… Maîii… Maître c’est booon… trop en…vie… !
- Quoi donc petite femelle, disait-il, de quoi as-tu envie en enfonçant et tournant à nouveau ses doigts jusqu’au fond…
- Jou…jouir Maî… Maître
A chaque fois que j’allais dire le mot « jouir », il enfonçait à nouveau violemment ses doigts en travaillant clito et tétons… Je ne pouvais dire ce mot car à chaque fois il m’en donnait encore plus envie. Le spectacle que j’offrais aux cavaliers était dantesque, et surréaliste, ils avaient les yeux rivés dans la voiture dans laquelle je m’exhibais éhontée sans aucune pudeur ni retenue. Appuyée contre le dossier, les fesses posées sur le rebord de la banquette, les jambes relevées à hauteur du bassin, je m’offrais ainsi en toute impudeur aux doigts agiles et pervers du Maître, qui, tout à la fois, travaillait fortement mon bas-ventre, mais en même temps contrôlait complètement la montée de mon orgasme. Dans ces conditions, je n’étais plus présente, entièrement occupée par mon plaisir et celui que Monsieur le Marquis prenait en même temps que moi. J’étais déconnectée de ce qui se passait autour de la Rolls-Royce. C’est ainsi que nous fîmes les derniers kilomètres nous séparant du Mas de l’ami du Noble. Au fur et à mesure que nous approchions de la destination finale, j’étais de plus en plus trempée, mais de nouveaux cavaliers se joignaient aux premiers, formant une « escorte royale » à notre convoi. Armés de leurs tridents dont ils se servaient pour diriger les taureaux, avec leurs bottes de gardians, crottées, leur chemise rouge, leur foulard de même couleur noué autour du coup, et leur si typique chapeau de gardians, ils ressemblaient plus à une armée en campagne qu’à une escorte d’honneur ou de parade. La Rolls-Royce entra dans la cour du Mas, se gara, Maître ressortit ses doigts qu’il me donna à lécher :
- Nettoie mes doigts ma petite salope, ils sont trempés ! Nous arrivons !
- Oui, Maître, répondis-je, excitée comme jamais.
Je m’étais redressée et léchais consciencieusement les doigts sacrés du Maître, sous les yeux des gardians, qui n’en croyaient pas ce qu’ils voyaient. Si ces cavaliers sont des gens simples et rustres, plus habitués aux bêtes qu’aux soirées mondaines, aux cavalcades à cheval soit pour s’entrainer, soit pour regrouper les troupeaux, ils n’en étaient pas moins, des hommes habitués aux comportements animaux. Leurs regards ne laissaient aucun doute sur ce qu’ils pensaient faire de moi, si je leur étais offerte. Cette pensée, alors que je les regardais par la fenêtre ouverte, me troublait au point que le Châtelain s’en rendit compte et dit assez haut pour qu’ils l’entendent :
- Petite salope ! Tu fantasmes sur ce qui t’arriverait si je te donnais à ces valeureux cavaliers ?
- Euh ! non, pas vraiment, Maître… je… les regardais seulement.
J’avais à peine terminé ma phrase qu’une superbe gifle me cueillit en plein visage, et tout en me souriant avec douceur, Maître dit :
- Tu sais à quel point je n’aime pas que tu me mentes, surtout pas toi !
- Oui je sais Maître, je Vous présente mes excuses, répondis-je, la joue très marquée par la gifle …
Les cavaliers les plus proches de la voiture n’avaient rien perdu de la scène et semblaient ravis de ce qu’ils avaient vu. La Rolls-Royce s’arrêta. Tandis que Walter, descendait, les cavaliers, pour certains en faisaient de même, tenant leurs chevaux par la bride, tandis que le reste de l’escorte repartait, qui, vers le Mas, qui vers d’autres tâches à remplir. Le Majordome ouvrit la portière de Monsieur le Marquis qui descendit, sa canne à la main, et une fois dehors, s’étirait sous le soleil réconfortant de Provence. Walter, m’ouvrit la portière à mon tour, et je sortais moi aussi, non, sans rester très mouillée entre les jambes.
Pour la circonstance je portais un chemisier très transparent, dont les pans avaient été noués au-dessus de ma taille, laissant non pas deviner mais bien voir la quasi intégralité de mes seins, et en bas, j’avais une très mignonne jupette, évasée et assez courte pour bien laisser voir mes cuisses et au moindre mouvement de ma part mon sexe, par devant, et mes fesses par derrière. Je ne portais aucuns sous-vêtements, accessoires vestimentaires définitivement proscrits par le Noble. Aux pieds, des escarpins aux talons démesurément hauts, pas du tout adaptés à la configuration du terrain campagnard par essence, escarpins laissant voir mes orteils et les ongles, parfaitement limés et ornés d’un vernis impossible à ne pas voir. Mes ongles de mains étaient identiques. A mon cou, le collier aux nobles Initiales du Marquis d’Evans, collier de cuir épais, et duquel pendait entre mes seins, la laisse de cuir tressée, laisse que Maître prit à ma sortie de la Rolls-Royce et par laquelle Il me guidait à sa suite. Je vous laisse imaginer l’effet produit sur les manadiers…
(A suivre …)
Je suis ainsi, j’aime le cul, j’aime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance… Plus le temps passait et plus je prenais d’importance dans la vie de Monsieur le Marquis et il arrivait de plus en plus souvent qu’il m’invitât lors de sorties officielles, pour me présenter à des amis, à des confrères hommes d’affaires, ou à d’autres Maîtres de sa connaissance, souvent des Maîtres étrangers. De plus, j’étais souvent « donnée » pour des soirées privées et mondaines soit exhibée, publiquement ou pas, soit servant d’esclave au cours de repas ou de soirées privées orgiaques. Parfois, Maître faisaient venir également d’autres esclaves, mâles ou femelles, mais j’étais toujours l’esclave préférée, celle qui était placée le plus près du Noble et celle qu’il réservait pour les moments importants. Mais il arrivait aussi que le Châtelain ait des amis parmi des éleveurs de la campagne, et dans une région quoi de plus beau, de plus naturel, de plus sauvage et de plus touristique que le Vaccarès, vaste étang situé dans la Réserve Naturelle de Camargue, pays chers aux taureaux, aux diverses manades, aux flamands roses et aux éleveurs appelés manadiers juchés sur leurs chevaux typiquement camarguais, petits chevaux, endurant, à la robe grise pommelée ou pas.
C’était alors des sorties très agréables car j’adore monter à cheval. Cependant Monsieur le Marquis ne le savait pas encore. Il était loin de tout savoir sur sa pouliche préférée. Lorsque Maître l’apprit, il jubilait à l’idée de me faire monter en Camargue, nue et en plus à cru, au milieu des manadiers, hommes durs au mal et rustres sans vouloir les vexer. C’est ce qui se passa un jour de septembre 2011. Nous quittâmes la région marseillaise, dans la Rolls-Royce conduite par Walter, celui-ci appréciait beaucoup ces sorties dans la nature loin de son beaujolais natal. L’air était frais et très iodé. La saison des corridas était terminée, Arles, Nîmes, Béziers, toutes villes de tauromachie avait clos leur saison touristique, les troupeaux de taureaux paissaient tranquillement. Les aficionados étaient heureux… Nous avions rendez-vous chez le principal Manadier du Vaccarès, ami de longue date du Noble, grand éleveur de taureaux et de chevaux camarguais. Ma présente avait été annoncée ainsi que ma qualité d’esclave. Le propriétaire, homme habitué à jauger d’un coup d’œil de la qualité de ses bêtes avait fortement apprécié le principe de la visite selon les propos que le Châtelain donnait à Walter pendant le voyage.
Moi, selon mon habitude, j’avais pris place sur la banquette arrière de la Rolls-Royce, aux côtés du Maître. Assise sur le rebord du siège, les cuisses très écartées, reins cambrés, mains posées sur les cuisses, j’étais ainsi accessible à celles du Noble qui me caressait le bas des reins, la fesse tournée de son côté, la cuisse, ses doigts s’égarant dans mon entre jambes, attaquant la hampe de mon clitoris, tout cela en discourant avec Walter qui n’en perdait pas une miette dans son rétroviseur. Deux doigts du Châtelain avaient entourés mon clitoris bien dressé maintenant et entamaient une lente masturbation au début, puis plus rapide ensuite, tapotant le nez clitoridien de son pouce, toujours d’une façon tout à fait naturelle, presque sans le faire exprès….
Les kilomètres défilant et toujours en parlant avec Walter, les doigts de Monsieur le Marquis me travaillaient maintenant plus fortement, ma vue commençait de se brouiller, mes tétons durcissaient, les aréoles se fripaient, ma respiration s’accélérait, je sentais ma vulve s’ouvrir lentement, devenir humide, puis plus humide encore et encore, quand soudain, tout en poursuivant avec son Majordome un cours sur l’élevage tauromachique, Maître, tout en poursuivant aussi son escalade de mon clitoris, se saisit d’un de mes deux tétons, le faisant rouler entre ses doigts au début ce qui me fit fermer les yeux et gémir d’envies, puis le vrilla dans un sens et dans l’autre, pour finir par y enfoncer ses ongles et allonger mes tétines de femelle maintenant mûre pour jouir. Ce travail masturbatoire si excitant dura un très long moment, je ne m’étais pas rendue compte que nous étions entrés en Camargue. Quand soudain Walter dit :
- Monsieur le Marquis, nous sommes suivis !
Tout en poursuivant ces manipulations, Monsieur le Marquis vit en effet des cavaliers qui suivaient la voiture… Rapidement il reconnut l’un des manadiers à cheval, lui fit un signe, et voilà pas moins de vingt cavaliers, entourant la Rolls-Royce, qui nous accompagnaient jusqu’au mas du Maître des lieux. Le Noble avait abaissé les vitres fumées de la voiture, laissant les cavaliers regarder la chienne que j’étais devenue, ivre d’envies lubriques non assouvies et qui se moquait éperdument d’être regardée par ces hommes rustres… Il accélérait la cadence sur mon clitoris et entrait même directement trois doigts dans ma chatte gluante, me renvoyant en arrière sur le siège. Sans honte, j’écartais plus les cuisses pour l’aider à s’enfoncer encore plus en moi, et sentir ses doigts me fouiller de la sorte, très profondément, tandis que mon clitoris était encore travaillé, et de l’autre main mes tétines vrillées, je me fichais totalement du tableau que j’offrais, sachant en plus que je faisais la joie du Maître. Poussée dans mes retranchements par les mains du Châtelain, excitée encore plus sachant que j’étais regardée, je n’en menais pas large car je n’avais pas l’autorisation du Maître, de jouir. Et le faire sans sa permission coûtait très cher, même et surtout, pour moi. Monsieur le Marquis me voulait la plus parfaite de ses femelles et ne me passait strictement rien. J’étais prévenue !
La Rolls-Royce avançait lentement sur la piste de sable, les chevaux hennissaient autour de moi, les bruits de leurs sabots rythmaient la cadence de l’ensemble, doigts et mains du Maître y compris. Quand il sentait que c’était le moment où je faiblissais, Maître amplifiait ses mouvements en ma chatte qu’il écartelait maintenant en tous sens, par des cercles de plus en plus évasés puis s’enfonçait d’un coup d’un seul, cognant le fond de mon sac vulvaire, me faisant dire des :
- Ohhh Maî… Maîii… Maître c’est booon… trop en…vie… !
- Quoi donc petite femelle, disait-il, de quoi as-tu envie en enfonçant et tournant à nouveau ses doigts jusqu’au fond…
- Jou…jouir Maî… Maître
A chaque fois que j’allais dire le mot « jouir », il enfonçait à nouveau violemment ses doigts en travaillant clito et tétons… Je ne pouvais dire ce mot car à chaque fois il m’en donnait encore plus envie. Le spectacle que j’offrais aux cavaliers était dantesque, et surréaliste, ils avaient les yeux rivés dans la voiture dans laquelle je m’exhibais éhontée sans aucune pudeur ni retenue. Appuyée contre le dossier, les fesses posées sur le rebord de la banquette, les jambes relevées à hauteur du bassin, je m’offrais ainsi en toute impudeur aux doigts agiles et pervers du Maître, qui, tout à la fois, travaillait fortement mon bas-ventre, mais en même temps contrôlait complètement la montée de mon orgasme. Dans ces conditions, je n’étais plus présente, entièrement occupée par mon plaisir et celui que Monsieur le Marquis prenait en même temps que moi. J’étais déconnectée de ce qui se passait autour de la Rolls-Royce. C’est ainsi que nous fîmes les derniers kilomètres nous séparant du Mas de l’ami du Noble. Au fur et à mesure que nous approchions de la destination finale, j’étais de plus en plus trempée, mais de nouveaux cavaliers se joignaient aux premiers, formant une « escorte royale » à notre convoi. Armés de leurs tridents dont ils se servaient pour diriger les taureaux, avec leurs bottes de gardians, crottées, leur chemise rouge, leur foulard de même couleur noué autour du coup, et leur si typique chapeau de gardians, ils ressemblaient plus à une armée en campagne qu’à une escorte d’honneur ou de parade. La Rolls-Royce entra dans la cour du Mas, se gara, Maître ressortit ses doigts qu’il me donna à lécher :
- Nettoie mes doigts ma petite salope, ils sont trempés ! Nous arrivons !
- Oui, Maître, répondis-je, excitée comme jamais.
Je m’étais redressée et léchais consciencieusement les doigts sacrés du Maître, sous les yeux des gardians, qui n’en croyaient pas ce qu’ils voyaient. Si ces cavaliers sont des gens simples et rustres, plus habitués aux bêtes qu’aux soirées mondaines, aux cavalcades à cheval soit pour s’entrainer, soit pour regrouper les troupeaux, ils n’en étaient pas moins, des hommes habitués aux comportements animaux. Leurs regards ne laissaient aucun doute sur ce qu’ils pensaient faire de moi, si je leur étais offerte. Cette pensée, alors que je les regardais par la fenêtre ouverte, me troublait au point que le Châtelain s’en rendit compte et dit assez haut pour qu’ils l’entendent :
- Petite salope ! Tu fantasmes sur ce qui t’arriverait si je te donnais à ces valeureux cavaliers ?
- Euh ! non, pas vraiment, Maître… je… les regardais seulement.
J’avais à peine terminé ma phrase qu’une superbe gifle me cueillit en plein visage, et tout en me souriant avec douceur, Maître dit :
- Tu sais à quel point je n’aime pas que tu me mentes, surtout pas toi !
- Oui je sais Maître, je Vous présente mes excuses, répondis-je, la joue très marquée par la gifle …
Les cavaliers les plus proches de la voiture n’avaient rien perdu de la scène et semblaient ravis de ce qu’ils avaient vu. La Rolls-Royce s’arrêta. Tandis que Walter, descendait, les cavaliers, pour certains en faisaient de même, tenant leurs chevaux par la bride, tandis que le reste de l’escorte repartait, qui, vers le Mas, qui vers d’autres tâches à remplir. Le Majordome ouvrit la portière de Monsieur le Marquis qui descendit, sa canne à la main, et une fois dehors, s’étirait sous le soleil réconfortant de Provence. Walter, m’ouvrit la portière à mon tour, et je sortais moi aussi, non, sans rester très mouillée entre les jambes.
Pour la circonstance je portais un chemisier très transparent, dont les pans avaient été noués au-dessus de ma taille, laissant non pas deviner mais bien voir la quasi intégralité de mes seins, et en bas, j’avais une très mignonne jupette, évasée et assez courte pour bien laisser voir mes cuisses et au moindre mouvement de ma part mon sexe, par devant, et mes fesses par derrière. Je ne portais aucuns sous-vêtements, accessoires vestimentaires définitivement proscrits par le Noble. Aux pieds, des escarpins aux talons démesurément hauts, pas du tout adaptés à la configuration du terrain campagnard par essence, escarpins laissant voir mes orteils et les ongles, parfaitement limés et ornés d’un vernis impossible à ne pas voir. Mes ongles de mains étaient identiques. A mon cou, le collier aux nobles Initiales du Marquis d’Evans, collier de cuir épais, et duquel pendait entre mes seins, la laisse de cuir tressée, laisse que Maître prit à ma sortie de la Rolls-Royce et par laquelle Il me guidait à sa suite. Je vous laisse imaginer l’effet produit sur les manadiers…
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