La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1128)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1128)
Une nouvelle lopette au Château – (suite de l'épisode N°1124) –
Le mari hocha de la tête, il était devenu une lopette bonne à enculer… Le Châtelain lui annonça :
- Tu vois, j’obtiens, dans ton fessier, un beau trou du cul bien rond et ouvert, sache que l’objectif de la soirée était que tu sois à Mes pieds et il est parfaitement rempli. Quand tu rentreras chez toi, tu obéiras en tout point à ta femme. De plus, j’exige que tu adoptes un nouveau comportement en société, fini ce ton hautain, tu devras désormais montrer que tu es une bonne lope, prête à subir les assauts des vrais mâles.
En entendant cela, la Domina regarda le Noble avec satisfaction, son mari serait bien docile maintenant car sa vraie nature venait d’éclater en plein jour. Il devenait une bonne pute prête à être enculée par ses amants et surtout elle n’aurait plus besoin de s’obliger à respecter le fameux devoir conjugal, elle allait pouvoir exercer ses fortes pulsions de Domina sur lui maintenant. Elle avait un mari soumis et cela l’enchantait…
- Dis-moi salope, dis le Seigneur, maintenant que tu as gouté très avantageusement à Ma queue, il est temps que tu subisses le fouet. A moins que tu préfères nous montrer comment un chien soumis doit pisser. Le thé qui a été servi à du remplir ta vessie et nous allons compléter ça par ma recette préférée… Marie, prépare-toi à poser une sonde à ce chien, dit le Noble.
La cuisinière connaissait la procédure et l’époux de la Domina fut rapidement ligoté sur le dos, et Marie vient vers lui avec des gants chirurgicaux et lui introduisit dans le méat urinaire une fine sonde dont l’extrémité métallique englobait le gland
- Nous allons grâce à ce système contrôler ta vessie, tu auras le privilège d’avoir aussi souvent qu’il nous plaira envie de pisser mais moi seul pourra te libérer de ton envie en ouvrant la vanne qui est incorporé au gland métallique, dit le Châtelain.
La cuisinière se servit du thé restant pour remplir la vessie, il ne restait plus qu’à attendre et c’est avec satisfaction que les premiers signes furent visibles. Le mari commençait à se tortiller et au bout de quelques minutes, il essaya de se soulager mais rien n’y fit, aucune goutte ne sortait alors d’une voix suppliante, il implora à l’assemblée de lui permettre de le libérer.
- Ah ! dit la Domina, on a envie de faire un petit pipi, le chien, dans le salon de Monsieur le Marquis en plus, quelle honte !
- Vous avez raison ma chère repris le Maître. Cela ne serait pas convenable sauf si Chiennasse nous sert d’urinoir.
Chiennasse sursauta en entendant ces propos, la Domina lui donna alors un coup de pied sur les fesses.
- Bonne idée dit-elle, allonge-toi et ouvre bien la bouche, salope.
Chiennasse, comme à son habitude maintenant, obéit. Il se doutait que son avilissement serait à son maximum s’il était obligé de recueillir l’urine du nouveau soumis mais cette idée lui plaisait et il en éprouva une forte excitation physique réprimée par sa cage de chasteté.
- Marie puisque l’urinoir est en place, dit le Châtelain, détache cet ancien mâle arrogant, je vais fixer la dernière règle.
Le Noble pris alors, dans sa collection de godes, un énorme plug de 16 centimètres de longueur et de 9 de diamètre à la base. Ensuite, il s’adressa au mari soumis de la Domina :
- Le chien, si tu veux uriner, met-toi ça dans le cul et je te donne l’autorisation de pisser dans la bouche de Chiennasse mais vise juste si une goutte tombe à terre ou si Chiennasse ferme la bouche, ma colère sera terrible.
Le mari vaincu, et sous le regard autoritaire du Noble et de sa femme Domina s’empara du gros plug et entreprit de s’empaler lui-même. L’introduction pressait la vessie contribuant à ce qu’il se tortille de plus en plus. Marie le fit mettre à quatre pattes et lui fit lever la jambe, comme un chien pour uriner contre un arbre, ce qu’il fit de suite, mais rien ne sortait.
- Demande gentiment, dit la cuisinière, mais vise bien rapproche toi de la bouche de Chiennasse.
Le mari s’accroupis encore plus et le gland-capuchon métallique était maintenant pile poil dans l’axe de la bouche.
- S’il vous plait, j’ai besoin de me soulager, j’en peu plus, dit le mari suppliant.
Marie regarda Monsieur le Marquis qui hocha de la tête positivement. Il restait un denier système à installer, c’était raccorder la vanne à une commande électrique.
- Tu vois cette télécommande, elle permet d’ouvrir la vanne et de te libérer de ton tourment, je vais la donner à ta nouvelle Maîtresse, ta femme, dit Marie.
La Domina prit la télécommande et demanda à son mari.
- Maintenant, tu vas m’appeler Maîtresse, ton cul m’appartient et sera donné à mes amants de passage. Bien entendu ta bouche devra recueillir leur sperme à même mon vagin car je compte me faire chevaucher à cru.
Le mari acquiesça de la tête mais ce n’était pas le signe qu’attendait sa femme. Le Noble intervint alors :
- Tu dois dire, oui Maitresse à haute et intelligible voix, le chien. Ce n’est qu’à cette condition qu’on te permettra de pisser.
- Oui, Maîîîîtresse dit le mari n’en pouvant plus.
La Domina tout sourire, appuya sur la télécommande, la vanne s’ouvrit partiellement, laissant passer un filet d’urine qui aboutit directement dans la bouche grande ouverte de chiennasse, qui stoïquement ferma les yeux pour avaler la pisse. Chiennasse se doutait que la punition serait terrible si le parquet était souillé alors Patrick prit à cœur sa mission de faire très attention de n’échapper aucune goutte. Intelligemment la Domina fermait la vanne quand elle voyait que Chiennasse n’en pouvait plus afin de lui laisser quelques secondes pour tout avaler entre deux grosses gorgées. Et c’est ainsi qu’en quelques minutes la vessie de son soumis de mari fut vider. Le Châtelain donna le signal de la fin de la séance. Une Domina avait récupéré un nouveau chien en la personne de son mari et Chiennasse avait montré de belles dispositions, il serait sûrement un bon élément de Son Cheptel. Il avait pu remarquer qu’il n’avait pas bronché face au flot de pisse, cela indiquait qu’il avait affaire à un chien particulièrement attentif aux Volontés, aux Exigences du Maître, en cela il en était satisfait.
- Ma chère Domina, je vous laisse votre mari, il peut garder la sonde, ainsi il devra demander la permission et mériter le droit d’aller uriner, cela le rendra encore plus docile et avili à votre noble personne, vous verrez !
La Domina remercia chaleureusement Monsieur le Marquis et donna congé laissant seul le Noble avec Chiennasse. La soirée pour lui n’était pas terminée… Chiennasse était toujours allongé à même le sol, nu offert au regard du Noble Dominant, il attendait. Le Châtelain prenait tout son temps, il savait que l’attente en silence était un bon moyen pour exprimer encore plus Son Emprise sur le chien soumis. Au bout de dix bonnes minutes, Monsieur le Marquis parla :
- Dis-moi, Chiennasse, j’ai crus voir que tu as apprécié de recevoir cette urine, je t’autorise à me répondre.
- Ouui Maître, dit Chiennasse.
- C’est bien ce qui me semblait. Je vais réfléchir maintenant comment terminer la soirée avec toi, le fouet peut-être une bonne option, j’aime le manier tout à la fin cela permet au soumis de dormir avec les marques de Ma Dominance toute la nuit. Je peux aussi te faire goûter de mon précieux nectar qu’est mon urine, je suis sûr que tu vas bien t’appliquer pour tout avaler également. Mais pour l’instant je vais savourer un bon cigare.
Ce faisant Monsieur le Marquis se dirigea vers une commode ou se trouvait un coffret décoré d’une belle marqueterie en ivoire. La boite était remplie de cigares cubains de haute qualité. Le Châtelain en prit un et le huma d’abord, puis en trancha le bout avec un coupe-cigare en or puis il l’alluma en suivant tout le cérémonial qui permettait de le déguster. Chiennasse sentait l’odeur du tabac, le Maître avais pris place dans son fauteuil Louis XVI en face de lui. Chiennasse sentait le regard pesant du Dominant qui parcourait son corps dans un long silence. Chiennasse comprenait aussi que ce moment déciderai du choix du Seigneur, soit le fouet, soit boire la pisse du Maître. Le Noble se leva, il s’approcha du chien soumis et pointa le cigare enfumé vers Chiennasse.
- Ouvre les cuisses encore plus, dit le Maître.
Olivier s’exécuta, écartant ses jambes au maximum. Sa nouille toujours encagée fut à la merci de Monsieur le Marquis qui approcha le bout du cigare incandescent vers la cage.
- Je vais éteindre mon cigare, soit courageux, l’issue de ta punition prochaine en dépends
Il dit cela pour tester la confiance et l’éventuelle peur du soumis. Le Noble n’était pas un sadique (mais un véritable Dominant) et en aucun cas il ne voulait brûler la peau du chien soumis, mais il voulait simplement évaluer la réaction de Chiennasse. Celui-ci se crispa mais ne broncha pas. Alors le Châtelain écrasa le cigare sur la cage métallique contribuant ainsi à apporter une vive chaleur proche de la nouille du chien mais surtout sans le brûler. Le Noble regardant dans les yeux le soumis et lui dit :
- Bien tu surmontes la chaleur et la peur, cela m’ouvre d’autres perspectives, mais pour l’instant ma décision est prise, j’ai envie de pisser et ta bouche qui va tout avaler crois-moi. Aller, mets-toi à genoux face à moi, salope !
Le Maître sortis alors sa noble verge, tout en dégageant le gland et s’approcha du visage du chien soumis.
- Ouvre la bouche, Ma pute, en grand et répète après moi, je suis le vide-couilles attitré de Monsieur le Marquis d’Evans, et j’aime ça.
Chiennasse fut soulagé d’échapper au fouet, et d’une voix douce dit avec dévotion:
- Je suis le vide-couilles attitré de Monsieur le Marquis d’Evans et j’aime ça.
Tout sourire le Noble posa son gland sur les lèvres du soumis et un premier filet d’urine partit en direction de la bouche.
- Voilà c’est bien, avale, déguste prends ton temps, c’est un précieux don que je te fais.
Chiennasse s’appliquait à ne rien perdre, l’urine du Seigneur coulait directement au fond de sa gorge, le Dominant prenait soin d’uriner lentement il ne voulait pas que Chiennasse s’étouffe au risque de souiller le magnifique parquet tricentenaire de son salon. Mais Chiennasse avait compris comment il fallait faire et le Noble vida complétement sa vessie prenant bien le soin à la fin d’exiger au soumis.
- Tête-moi le gland pour tout récupérer, montre-moi ton talent de suceur de bites.
Chiennasse engloutit le membre et sa langue lécha le gland à la recherche de la dernière goutte. Il souhaitait que le Seigneur des Lieux soit pleinement satisfait de sa prestation et ce fut le cas. Le Noble le regarda et :
- Bien tu es une bonne pute que je commence à bien dresser. Pour ta récompense, tu vas dormir au chaud cette nuit, à même le sol, sur une descente de lit plus exactement dans une des chambres du Château, il faut savoir récompenser un soumis obéissant au Maître.
Le Seigneur fit tinter sa cloche et Chiennasse quitta la pièce à quatre pattes pour une nuit de repos qu’il avait bien mérité…
(A suivre …)
Le mari hocha de la tête, il était devenu une lopette bonne à enculer… Le Châtelain lui annonça :
- Tu vois, j’obtiens, dans ton fessier, un beau trou du cul bien rond et ouvert, sache que l’objectif de la soirée était que tu sois à Mes pieds et il est parfaitement rempli. Quand tu rentreras chez toi, tu obéiras en tout point à ta femme. De plus, j’exige que tu adoptes un nouveau comportement en société, fini ce ton hautain, tu devras désormais montrer que tu es une bonne lope, prête à subir les assauts des vrais mâles.
En entendant cela, la Domina regarda le Noble avec satisfaction, son mari serait bien docile maintenant car sa vraie nature venait d’éclater en plein jour. Il devenait une bonne pute prête à être enculée par ses amants et surtout elle n’aurait plus besoin de s’obliger à respecter le fameux devoir conjugal, elle allait pouvoir exercer ses fortes pulsions de Domina sur lui maintenant. Elle avait un mari soumis et cela l’enchantait…
- Dis-moi salope, dis le Seigneur, maintenant que tu as gouté très avantageusement à Ma queue, il est temps que tu subisses le fouet. A moins que tu préfères nous montrer comment un chien soumis doit pisser. Le thé qui a été servi à du remplir ta vessie et nous allons compléter ça par ma recette préférée… Marie, prépare-toi à poser une sonde à ce chien, dit le Noble.
La cuisinière connaissait la procédure et l’époux de la Domina fut rapidement ligoté sur le dos, et Marie vient vers lui avec des gants chirurgicaux et lui introduisit dans le méat urinaire une fine sonde dont l’extrémité métallique englobait le gland
- Nous allons grâce à ce système contrôler ta vessie, tu auras le privilège d’avoir aussi souvent qu’il nous plaira envie de pisser mais moi seul pourra te libérer de ton envie en ouvrant la vanne qui est incorporé au gland métallique, dit le Châtelain.
La cuisinière se servit du thé restant pour remplir la vessie, il ne restait plus qu’à attendre et c’est avec satisfaction que les premiers signes furent visibles. Le mari commençait à se tortiller et au bout de quelques minutes, il essaya de se soulager mais rien n’y fit, aucune goutte ne sortait alors d’une voix suppliante, il implora à l’assemblée de lui permettre de le libérer.
- Ah ! dit la Domina, on a envie de faire un petit pipi, le chien, dans le salon de Monsieur le Marquis en plus, quelle honte !
- Vous avez raison ma chère repris le Maître. Cela ne serait pas convenable sauf si Chiennasse nous sert d’urinoir.
Chiennasse sursauta en entendant ces propos, la Domina lui donna alors un coup de pied sur les fesses.
- Bonne idée dit-elle, allonge-toi et ouvre bien la bouche, salope.
Chiennasse, comme à son habitude maintenant, obéit. Il se doutait que son avilissement serait à son maximum s’il était obligé de recueillir l’urine du nouveau soumis mais cette idée lui plaisait et il en éprouva une forte excitation physique réprimée par sa cage de chasteté.
- Marie puisque l’urinoir est en place, dit le Châtelain, détache cet ancien mâle arrogant, je vais fixer la dernière règle.
Le Noble pris alors, dans sa collection de godes, un énorme plug de 16 centimètres de longueur et de 9 de diamètre à la base. Ensuite, il s’adressa au mari soumis de la Domina :
- Le chien, si tu veux uriner, met-toi ça dans le cul et je te donne l’autorisation de pisser dans la bouche de Chiennasse mais vise juste si une goutte tombe à terre ou si Chiennasse ferme la bouche, ma colère sera terrible.
Le mari vaincu, et sous le regard autoritaire du Noble et de sa femme Domina s’empara du gros plug et entreprit de s’empaler lui-même. L’introduction pressait la vessie contribuant à ce qu’il se tortille de plus en plus. Marie le fit mettre à quatre pattes et lui fit lever la jambe, comme un chien pour uriner contre un arbre, ce qu’il fit de suite, mais rien ne sortait.
- Demande gentiment, dit la cuisinière, mais vise bien rapproche toi de la bouche de Chiennasse.
Le mari s’accroupis encore plus et le gland-capuchon métallique était maintenant pile poil dans l’axe de la bouche.
- S’il vous plait, j’ai besoin de me soulager, j’en peu plus, dit le mari suppliant.
Marie regarda Monsieur le Marquis qui hocha de la tête positivement. Il restait un denier système à installer, c’était raccorder la vanne à une commande électrique.
- Tu vois cette télécommande, elle permet d’ouvrir la vanne et de te libérer de ton tourment, je vais la donner à ta nouvelle Maîtresse, ta femme, dit Marie.
La Domina prit la télécommande et demanda à son mari.
- Maintenant, tu vas m’appeler Maîtresse, ton cul m’appartient et sera donné à mes amants de passage. Bien entendu ta bouche devra recueillir leur sperme à même mon vagin car je compte me faire chevaucher à cru.
Le mari acquiesça de la tête mais ce n’était pas le signe qu’attendait sa femme. Le Noble intervint alors :
- Tu dois dire, oui Maitresse à haute et intelligible voix, le chien. Ce n’est qu’à cette condition qu’on te permettra de pisser.
- Oui, Maîîîîtresse dit le mari n’en pouvant plus.
La Domina tout sourire, appuya sur la télécommande, la vanne s’ouvrit partiellement, laissant passer un filet d’urine qui aboutit directement dans la bouche grande ouverte de chiennasse, qui stoïquement ferma les yeux pour avaler la pisse. Chiennasse se doutait que la punition serait terrible si le parquet était souillé alors Patrick prit à cœur sa mission de faire très attention de n’échapper aucune goutte. Intelligemment la Domina fermait la vanne quand elle voyait que Chiennasse n’en pouvait plus afin de lui laisser quelques secondes pour tout avaler entre deux grosses gorgées. Et c’est ainsi qu’en quelques minutes la vessie de son soumis de mari fut vider. Le Châtelain donna le signal de la fin de la séance. Une Domina avait récupéré un nouveau chien en la personne de son mari et Chiennasse avait montré de belles dispositions, il serait sûrement un bon élément de Son Cheptel. Il avait pu remarquer qu’il n’avait pas bronché face au flot de pisse, cela indiquait qu’il avait affaire à un chien particulièrement attentif aux Volontés, aux Exigences du Maître, en cela il en était satisfait.
- Ma chère Domina, je vous laisse votre mari, il peut garder la sonde, ainsi il devra demander la permission et mériter le droit d’aller uriner, cela le rendra encore plus docile et avili à votre noble personne, vous verrez !
La Domina remercia chaleureusement Monsieur le Marquis et donna congé laissant seul le Noble avec Chiennasse. La soirée pour lui n’était pas terminée… Chiennasse était toujours allongé à même le sol, nu offert au regard du Noble Dominant, il attendait. Le Châtelain prenait tout son temps, il savait que l’attente en silence était un bon moyen pour exprimer encore plus Son Emprise sur le chien soumis. Au bout de dix bonnes minutes, Monsieur le Marquis parla :
- Dis-moi, Chiennasse, j’ai crus voir que tu as apprécié de recevoir cette urine, je t’autorise à me répondre.
- Ouui Maître, dit Chiennasse.
- C’est bien ce qui me semblait. Je vais réfléchir maintenant comment terminer la soirée avec toi, le fouet peut-être une bonne option, j’aime le manier tout à la fin cela permet au soumis de dormir avec les marques de Ma Dominance toute la nuit. Je peux aussi te faire goûter de mon précieux nectar qu’est mon urine, je suis sûr que tu vas bien t’appliquer pour tout avaler également. Mais pour l’instant je vais savourer un bon cigare.
Ce faisant Monsieur le Marquis se dirigea vers une commode ou se trouvait un coffret décoré d’une belle marqueterie en ivoire. La boite était remplie de cigares cubains de haute qualité. Le Châtelain en prit un et le huma d’abord, puis en trancha le bout avec un coupe-cigare en or puis il l’alluma en suivant tout le cérémonial qui permettait de le déguster. Chiennasse sentait l’odeur du tabac, le Maître avais pris place dans son fauteuil Louis XVI en face de lui. Chiennasse sentait le regard pesant du Dominant qui parcourait son corps dans un long silence. Chiennasse comprenait aussi que ce moment déciderai du choix du Seigneur, soit le fouet, soit boire la pisse du Maître. Le Noble se leva, il s’approcha du chien soumis et pointa le cigare enfumé vers Chiennasse.
- Ouvre les cuisses encore plus, dit le Maître.
Olivier s’exécuta, écartant ses jambes au maximum. Sa nouille toujours encagée fut à la merci de Monsieur le Marquis qui approcha le bout du cigare incandescent vers la cage.
- Je vais éteindre mon cigare, soit courageux, l’issue de ta punition prochaine en dépends
Il dit cela pour tester la confiance et l’éventuelle peur du soumis. Le Noble n’était pas un sadique (mais un véritable Dominant) et en aucun cas il ne voulait brûler la peau du chien soumis, mais il voulait simplement évaluer la réaction de Chiennasse. Celui-ci se crispa mais ne broncha pas. Alors le Châtelain écrasa le cigare sur la cage métallique contribuant ainsi à apporter une vive chaleur proche de la nouille du chien mais surtout sans le brûler. Le Noble regardant dans les yeux le soumis et lui dit :
- Bien tu surmontes la chaleur et la peur, cela m’ouvre d’autres perspectives, mais pour l’instant ma décision est prise, j’ai envie de pisser et ta bouche qui va tout avaler crois-moi. Aller, mets-toi à genoux face à moi, salope !
Le Maître sortis alors sa noble verge, tout en dégageant le gland et s’approcha du visage du chien soumis.
- Ouvre la bouche, Ma pute, en grand et répète après moi, je suis le vide-couilles attitré de Monsieur le Marquis d’Evans, et j’aime ça.
Chiennasse fut soulagé d’échapper au fouet, et d’une voix douce dit avec dévotion:
- Je suis le vide-couilles attitré de Monsieur le Marquis d’Evans et j’aime ça.
Tout sourire le Noble posa son gland sur les lèvres du soumis et un premier filet d’urine partit en direction de la bouche.
- Voilà c’est bien, avale, déguste prends ton temps, c’est un précieux don que je te fais.
Chiennasse s’appliquait à ne rien perdre, l’urine du Seigneur coulait directement au fond de sa gorge, le Dominant prenait soin d’uriner lentement il ne voulait pas que Chiennasse s’étouffe au risque de souiller le magnifique parquet tricentenaire de son salon. Mais Chiennasse avait compris comment il fallait faire et le Noble vida complétement sa vessie prenant bien le soin à la fin d’exiger au soumis.
- Tête-moi le gland pour tout récupérer, montre-moi ton talent de suceur de bites.
Chiennasse engloutit le membre et sa langue lécha le gland à la recherche de la dernière goutte. Il souhaitait que le Seigneur des Lieux soit pleinement satisfait de sa prestation et ce fut le cas. Le Noble le regarda et :
- Bien tu es une bonne pute que je commence à bien dresser. Pour ta récompense, tu vas dormir au chaud cette nuit, à même le sol, sur une descente de lit plus exactement dans une des chambres du Château, il faut savoir récompenser un soumis obéissant au Maître.
Le Seigneur fit tinter sa cloche et Chiennasse quitta la pièce à quatre pattes pour une nuit de repos qu’il avait bien mérité…
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