La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1129)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1129) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1129)
Une nouvelle lopette au Château – (suite de l'épisode précédent N°1128) –
Le Seigneur fit tinter sa cloche et Chiennasse quitta la pièce à quatre pattes pour une nuit de repos qu’il avait bien mérité… Chiennasse se réveilla vers 7 heures, son érection matinale fut contrainte par la cage de chasteté lui rappelant sa condition de chien soumis. Monsieur Le Marquis d’Evans, magnanime, lui avait permis de dormir dans une chambre du Château, et même si ce n’était qu’au pied d’un lit, sur une simple descente, c’était toujours plus confortable que sur la paillasse du Chenil. Le soumis ne savait plus quel jour on était et seul le souvenir de la panne de sa moto lui revenait, mais aussi les évènements qu’il avait vécu dans le Château. Le Majordome avait reçu pour instructions de faire venir le mécanicien du village, mécano attitré du Châtelain, c’était un homme frustre qui vivait d’ailleurs tout seul. Il connaissait très bien Monsieur le Marquis et sa réputation. Il entretenait tout le parc automobile du Châtelain. C’était un très bon mécanicien et son garage en pleine zone rurale avait du succès. Monsieur le Marquis lui confiait d’ailleurs toutes les réparations à faire sur tous Ses nombreux véhicules, de la simple bétaillère à la Rolls-Royce. Le Noble comptait, d’ailleurs une quinzaine de véhicules soit, entre autres, trois 4x4, deux Ferrari, une Jaguar, deux limousines noires, trois puissantes camionnettes pour tracter les vans ou pour ses gardes chasse, des petites cylindrées de fonctions, etc… . Le mécanicien fut surpris de recevoir l’appel téléphonique du domestique du Noble lui demandant de venir au Château pour réparer une moto. Un gros client comme Monsieur le Marquis (son meilleur client, d’ailleurs) ne se fait attendre alors il laissa de suite son travail pour aller au plus vite au Château. Il arriva vers 10 heures et fut accueilli par Walter. Le Majordome lui montra la moto entreposée dans un vaste bâtiment à l’opposé du Château, derrière le parc et qui sert de remise. Le mécanicien, qui s’appelait Paul, s’exclama :
- C’est cette moto ? Qu’est ce qui est arrivé ? J’ai besoin de savoir comment la panne s’est déroulée avant d’intervenir. C’est toi qui la conduisais ?
- Non, mais je dois téléphoner à Monsieur le Marquis pour savoir si je peux aller chercher le propriétaire. Celui-ci étant resté au Château bénéficiant de notre hospitalité.

Paul pensa que le Seigneur d’Evans était fort courtois en rendant service de cette manière. Walter se saisit du téléphone permettant de joindre le Noble Seigneur, il demanda :
- Monsieur le Marquis, Paul est devant la moto, là dans la remise, et il veut voir Chiennasse …euh ! Pardon … Patrick… Qu’est-ce que je fais ?
- Walter, il n’y a pas de problème, tu peux aller le chercher. En revanche, qu’il reste dans sa condition de chien, collier, laisse et à quatre pattes, dit le Seigneur.

Le Majordome sourit, se tournant vers le mécano du village :
- Deux minutes, je vais chercher le motard de cet engin.

Le mécanicien se posa la question s’il avait bien entendu, le mot ‘Chiennasse’’. Il savait que des bruits couraient dans le village, sur ce qui se passait au Château, on parlait de soirées spéciales et même de véritables orgies. On avait vu Marie la cuisinière accompagnée d’une femme avec la tête rasée qui avait un collier de chien au cou faire ces courses dans l’épicerie. Donc il s’attendait à tout mais quoi qu’il découvrirait, il n’aurait jamais crié au scandale car comme la moitié des habitations du village et pratiquement toute la superficie des terres agricoles et forestières entourant le bourg appartenaient à Monsieur le Marquis, et comme aussi le Noble était un très grand mécène pour la commune, Lui qui finançait allègrement le budget communal, tout le monde trouvait envers le Noble, une généreuse personne et tous l’appréciait comme tel et le respectait profondément pour son altruisme et humanisme réputé… Le Majordome au bout d’un instant arriva et derrière lui se trouvait un animal tenu en laisse enfin c’est ce que supposa Paul, mais quelle ne fut pas sa surprise quand il comprit que c’était un homme, en plus cette homme chien était nu comme un vers. Walter fit les présentations.

- Voilà le motard, enfin comme il a été très impoli en parlant avec Monsieur le Marquis, il a été rapidement mis au pied. N’est-ce pas chiennasse ?

Paul n’en revenait pas, il avait devant lui un chien soumis, il lisait de temps en temps des récits BDSM pour meubler ces soirées de célibataire et il comprit rapidement à quoi servait ce type d’individus, ils étaient de véritables vides-couilles et ce soumis devait être la propriété du Noble. Il fallait donc attendre son aval pour pouvoir se soulager sur cette pute car le mécano se sentait tout excité à la vue de ce soumis tenu en laisse. Walter annonça :
- Chiennasse, je te présente Paul, il est le meilleur mécano de la région et il va s’occuper à réparer ta moto mais il faudrait que tu lui expliques comment la panne est arrivée.
- La moto a calé brutalement, dit le chien soumis, je n’y connais rien, c’est la première fois qu’elle cale comme ça.
- Ok, très bien, dit Paul, je vais regarder.

Il s’approcha alors de la moto et en se baissant à côté de l’engin, il lança un regard vers la pute qui se trouvait à moins de deux mètres, il remarqua la cage métallique qui enserrait le pénis.

- Eh bien ! Cette pute, se permit-il de dire, elle est bien appareillée, il ne risque pas de bander.
- Oui, dit Walter, il a été puni par le Maître, d’ailleurs cela n’a pas été sa seule punition, il a été sodomisé, godé et bien entendu il a avalé la Noble Semence de Monsieur le Marquis.
- Ah ! dit-il en se grattant les couilles.

Le Majordome remarqua le geste du mécano, il savait que l’homme vivait seul et peut-être qu’il envisageait de baiser le soumis, cela méritait réflexion. Il jugea qu’il serait opportun de faire venir le Noble. Le mécano se pencha sur la moto et remarqua que le fil de bougie s’était débranché, ainsi la moto avait dû couper net.

- Je viens de trouver, dit-il ce n’est pas grand-chose.

Il sortit alors une pince et en un tour de main, il répara la moto, d’ailleurs pour vérifier cela, il monta dessus et en appuyant sur le démarreur le moteur s’alluma de suite. Chiennasse commença à se lever pour marquer sa satisfaction, le rappel à l’ordre fut brutal, Walter tira un coup sec sur la laisse tout en imposant sèchement :
- Salope, à terre, qui a dit de te lever ?
- Ces chiennes, aucune éducation !, dit le mécano.

Le Majordome sourit en regardant Paul
- Cette pute vient d’arriver, Monsieur le Marquis vient juste de démarrer son éducation, elle est encore jeune. C’est pour cela qu’elle est encagée… Je suis sûr que si on libère sa nouille, ce chien, il va bander de plus belle.

Paul, mit alors sa main dans son pantalon lui aussi manifestement il bandait. Le Majordome compris que seul Monsieur le Marquis pouvait l’aider à prendre la décision qui s’impose. De plus le mécano demanderait d’être payé pour le déplacement et la réparation et Chiennasse n’avait comme moyen de paiement que son corps à proposer. Walter prit alors le téléphone.

- Monsieur le Marquis, Paul a terminé, je ne sais pas quoi faire pour le paiement … (il regarde Chiennasse avec attention)... Je pense que cela mérite votre assentiment.
- Bon entendu, dit le Noble, j’arrive...

Cinq minutes après le Châtelain, tout en allant à la remise en traversant le parc, élaborait le scénario. Il savait que tout travail mérite salaire et il trouva normal que le mécano se paie sur Chiennasse qui n’avait aucun autre moyen de paiement. Monsieur Le Marquis poussa la porte de la remise, le mécano baissa la tête devant le Noble pour le saluer respectivement comme on lui avait appris quand il était à l’école communale en présence de haute personne.

- Monsieur le Marquis, bonjour, je viens de réparer la moto mais j’aimerais être payé au black.
- Bonjour Paul… Comment ça au black ?, dit le Seigneur, je ne suis pas le propriétaire de cette moto, il appartient à Chiennasse, ici présent et qui profite de mon hospitalité, de régler ton déplacement et ta réparation.

Se faisant, le Châtelain posa sa chaussure sur le dos du soumis. Le chien soumis baissa alors la tête, il ne souhaitait pas s’attirer le courroux du Noble.

- Tu vois, ce chien soumis est Ma chose maintenant de ce fait est de son plein consentement. Encagé comme il est, Je contrôle tout chez lui… Paul, accepterais-tu pour règlement que Chiennasse soit à ta disposition pour une heure par exemple ?
- D’accord Monsieur le Marquis, je n’osais pas vous le demander, répondit Paul… Je peux faire ce que je veux ?
- Oui, dit le Châtelain, la seule condition : Pas de brutalité pouvant conduire à une mise en danger de sa personne, il ne s’agit pas de lui casser quelque chose. Qu’est ce qui te ferait plaisir, mon cher Paul, continua le Noble.
- Ho, Monsieur le Marquis, ça fait tellement de temps que je n’ai pas baisé, je peux l’enculer mais d’abord j’aimerais qu’il vienne me sucer la queue.
- Bien entendu, dit le Maître des lieux… Chiennasse, tu sais ce qu’il te reste à faire. Fais-moi honneur et récompense comme il se doit ce brave homme en payant ta dette de la réparation de ta moto….

Le Majordome tira sur la laisse :
- Aller le chien, va chercher ton os.

Le mécanicien se défroqua très vite étant hyper excité de ce que lui offrait Monsieur le Marquis et sa bite déjà raide apparut épaisse et déjà baveuse. La verge à la main, il s’approcha de Patrick, sa main agrippa les cheveux du chien soumis et d’un coup son gland écarta les lèvres buccales.

- Aller, avale mon chibre, suce bien, fais-toi plaisir, c’est de la bonne queue qui n’a pas juté depuis très longtemps...

Sur la poussée Patrick déglutit le phallus qui avait un gout aigre, le gland ne devait pas être décalotté souvent mais il savait ce que le Maître attendait de lui alors il s’appliqua à prodiguer une fellation bien baveuse de par sa salive. Il léchait cette verge de haut en bas et prenait bien soin de l’avaler bien au fond. De toute façon, le mécano ne lui laissait pas le choix car sa main poussait de plus en plus fort sa tête contraignant ainsi à ce qu’il avale toute la longueur bien plantée jusqu’à la gorge. Ce qui arriva, arriva, Chiennasse suffoqua.

- Allons, dit Monsieur le Marquis, pas de sensiblerie, avale tout, montre-moi que tu es une bonne pute.

Chiennasse entendant l’exigence du Maître avala d’un seul trait le vit du mécano poussant sur ses mains pour que le sexe rentre encore plus au fond de sa bouche et c’est quand ces lèvres touchèrent le pubis que le mécano lança :
- Quelle bonne chienne, regardez comme elle a tout avalé, son cul va faire pareil, vous pensez ?
- Oui, je pense que de ce côté-là, cette lopette est encore en rodage mais elle peut commencer à monter dans les tours, répondit le Majordome- Moi le rodage cela me connait, dit-il. On va bien voir t’aurais été une gonzesse je t’aurais pris la chatte mais comme t’es un mec, c’est ton fion qui va prendre ma grosse queue de mécano. Regarde comme elle bande de plus en plus, mais d’abord lèche mes couilles pour vérifier qu’elles sont bien pleines, répondit Paul en rigolant.

Patrick lécha alors les deux couilles, il sentait qu’elles étaient bien chaudes car remplies de foutre depuis trop longtemps. Paul poussa le chien soumis.

- Pas tout de suite, tu vas me faire éjaculer si tu continues, Met-toi visage contre le sol et présente-moi ton cul bien haut, écarte bien les jambes que je puisse voir ton trou du cul.

Le soumis obéit, le Châtelain se positionna d’ailleurs devant lui ne voulant rien manquer du spectacle, il prit aussi la parole :
- Paul, tu vas sodomiser ce chien, quel dommage que tu ne sais pas manier la cravache, rien de telle que de prendre un cul tout en donnant des coups sur l’intérieur des cuisses. Les chiens qu’on encule ont toujours tendance à fermer les cuisses, la cravache évite cela.
- Mais, je ne demande qu’à apprendre, Monsieur le Marquis, répondit le mécano
Le Majordome interrogea son patron des yeux, le Noble d’un signe de la tête lui fit comprendre qu’il pouvait donner sa cravache à Paul. Celui-ci se saisit de l’objet et fendit l’air de droite vers la gauche, visiblement il avait compris comment manier l’engin. Maintenant, il devait maitriser la force et la visée.

- Le plus important est de ne pas frapper trop fort, cela ne sert à rien, il faut plutôt viser une zone sensible, les couilles, l’intérieur des cuisses, le gland par exemple, conseilla le Châtelain.

Paul poussa le chien soumis, face contre terre.

- Aller, écarte bien tes cuisses de salope, dit-il.

Le premier coup tomba sur la cuisse droite puis il alterna des deux côtes de l’entrejambes et au bout de dix coups, il s’arrêta. Le soumis écartait tellement les cuisses que ses fesses dévoilaient son anus, le trou du cul était à portée, Paul allait pouvoir le prendre. Le mécano posa la cravache en prenant bien soin de la laisser à portée de main, il prit sa volumineuse queue des deux mains et positionna son gland violacé sur le trou rosée du cul de Chiennasse. Et d’un coup de reins puissant l’attrapa, il allait s’en souvenir de son dépannage ! Le mouvement de va-et-vient fut brutal seul comptait le plaisir du mécano qui besognait sauvagement le soumis. Le Châtelain apprécia le spectacle offert et il entendait les grognements de satisfaction de Paul.

- Humm, humm, qu’il est bon ce cul, aller encore bien au fond ! voilà ! oui, oui ! disait-il en cadençant ses allers et venues puissants dans le cul
Patrick sentait que l’homme allait décharger rapidement et tout d’un coup le premier jet de sperme lui crépit l’intérieur de l’anus. Paul s’écroula sur son dos vaincu par le plaisir, seul son chibre continuait à juter le forçant à donner des petits coups de reins. Quand il estima en avoir terminé, il se retira, il avait tellement juté que son sperme s’échappait déjà du cul du chien soumis. Paul se rhabilla content de son sort, une bonne partie de baisse cela faisait tellement longtemps et puis là, il y avait de la nouveauté. Le Noble prit la parole :
- Bon tout cela est bien, Chiennasse s’est bien comporté, il a payé sa dette … - Ho oui, un grand merci Monsieur Le Marquis, que ça fait du bien … Et je serai toujours à votre service pour n’importe lequel dépannage ! N’hésitez pas à m’appeler, je viendrais toujours le plus vite possible …
(A suivre …)

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