La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1140)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1140)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1139) –
Il flatte sa tête et la délaisse se tournant vers l’homme qui le regarde fasciné…
- Bien, vous semblez intéressé par la domination, n’est-ce pas ?
- Je vous avoue, avoir toujours rêvé obtenir ça d’une femme, sans pour autant jamais oser le lui demander.
- Toutes les femmes ne sont pas faites pour obéir, sourit Le Noble. La soumission n’est pas pour les faibles, il faut la force de caractère pour accepter ce que cela implique, pour donner tous pouvoirs à celui que l’on reconnait comme supérieur. Et du côté du Maître, il faut de la patience pour obtenir d’une soumise qu’elle se donne entièrement, qu’elle finisse par un claquement de doigt à lécher vos chaussures, dit-Il en joignant le geste à la parole.
Immédiatement Keira MDE comprend et lèche la chaussure droite du Maître, sous l’œil fasciné de l’invité.
- Je rêve de vivre cela un jour, avoue l’homme, mais c’est plus de l’ordre du fantasme que du rêve prémonitoire, ajoute-t-il d’un ton déçu.
- Détrompez-vous, il y a peut-être un espoir, enfin si vous souhaitez être guidé sur ce chemin, et y guider votre femme…
Un long silence s’installe, l’homme hésite, il ne veut pas forcer sa femme à suivre une voie qu’il aurait choisi égoïstement seul.
- Vous pensez que votre femme n’acceptera jamais, qu’elle n’est pas attirée par la soumission, n’est-ce pas ?
- Oui, enfin…
- Alors pourquoi le simple fait de se retrouver attachée et exhibée la fait-elle mouiller ?
- Comment ?, que… ?, répond l’homme surpris que ce soit le cas.
- Lequel de vous deux a eu l’idée de s’inscrire à cette soirée ?
- Moi… enfin… c’est elle qui m’a fait savoir que cette soirée à thème D/s allait avoir lieu, réalise soudain l’homme.
- Je pense qu’il est temps de vous dévoiler son véritable visage, si vous me le permettez ?
- C’est entendu, répond l’homme peu certain de lui-même.
Le Noble se lève, suivit de Keira MDE qui le suit à quatre pattes, Il se dirige vers la salle de réception, pendant que Le Commandant indique à l’homme de Le suivre. L’homme et Laurent vont se placer dans les fauteuils faisant face à la femme qui patiente attachée, pendant que Monsieur Le Marquis arrive à sa hauteur, Vanessa toujours à ses pieds. Il passe une main entre ses jambes, la ressort trempée, la montre à son mari d’un sourire entendu et la tend à la soumise qui s’empresse de la nettoyer de sa langue agile.
- Eh bien, tu es trempée comme une chienne en chaleur, je constate donc que tu aimes être soumise…
- Non, ce n’est pas vrai, s’indigne la femme. Je…
Une claque sonore sur sa joue droite, la coupe nette.
- D’abord, tu ne prends pas la parole sans autorisation, ensuite tu m’appelles Monsieur le Marquis, enfin tu ne mens pas. C’est compris ? dit-t-Il d’un ton autoritaire.
- Oui, dit-elle baisant la tête instinctivement.
- Oui qui ? insiste-t-Il lui assénant une deuxième gifle.
- Oui Monsieur le Marquis, sanglote-t-elle.
- Bien, commençons par le commencement, tu as accepté notre marché, tu m’appartiens donc pour la soirée, je veux te l’entendre dire.
La femme reste muette, elle ne veut pas admettre ce fait, elle tient tête, avant qu’une cravache laissée à proximité ne viennent cingler son fessier.
- Je vous appartiens, s’empresse-t-elle de dire.
- Monsieur le Marquis! Je vous appartiens Monsieur le Marquis, reprend le Châtelain en faisant claquer une nouvelle fois la cravache.
- Je vous appartiens, Monsieur le Marquis, s’empresse-t-elle de rectifier, un sanglot dans la voix.
- Eh bien voilà, ce n’était pas si difficile à dire, n’est-ce pas ?
- Non Monsieur le Marquis, s’empresse-t-elle de répondre, craignant un nouveau coup de cravache.
Le Noble pose la cravache, il la détache, déboutonne lentement son chemisier, puis le fait glisser le long de ses bras, jusqu’au sol. Il pose ensuite ses mains sur ses hanches, et fait de même avec sa jupe. Enfin, il dégrafe d’une main son soutien-gorge, qui rejoint le reste de ses vêtements. Instinctivement, elle place les mains sur sa poitrine, dans un dernier geste de pudeur. Le Châtelain lui prend les poignets et les attache de nouveau aux chaînes qui descendent. Elle est donc entièrement nue, enchaînée, offerte aux yeux de tous.
- Bien, donc tu as pensé que tu serais meilleure qu’une de Mes soumises les plus entraînées ?, questionne Le Châtelain sur le ton de l’accusation.
- Non, Monsieur le Marquis, je…
- Ne mens pas, la coupe-t-Il en la fessant.
- Je… je… suis désolée, sanglote-t-elle.
- Hum, c’est un début, mais cela ne suffit pas. Des excuses seraient plus appropriées.
- Je m’excuse, Monsieur le Marquis, répond-t-elle d’une faible voix.
- Il est bien présomptueux de s’excuser à soi-même.
- Excusez-moi, Monsieur le Marquis.
- L’impératif ! Tu comptes me donner des ordres ?, accuse-t-Il d’une forte voix.
- Non Monsieur le Marquis, je suis désolée, je…
- Oui cela tu l’as déjà dit ! la coupe-t-il accentuant son sentiment de panique.
- Je… je ne sais pas faire Monsieur le Marquis, je vous en prie, guidez-moi, implore-t-elle.
Le Noble laisse le silence pesant s’installer, la regardant se perdre dans ses pensées, trembler entre la peur et l’excitation évidente à voir couler sa cyprine sur son entrecuisses.
- Te guider ? Hum…jusqu’où souhaites-tu que je te guide ? interroge-t-il, lui faisant réaliser que sa phrase peut avoir plusieurs sens.
La soumise s’apprête à expliquer qu’elle ne voulait pas dire ça, qu’elle veut juste s’excuser et retourner chez elle, que tout ça s’arrête, mais elle réalise soudain, que la situation ne la laisse pas indifférente, et qu’elle n’est plus certaine de vouloir que cela stoppe.
- Je ne sais pas Monsieur le Marquis.
- Eh bien, il va falloir savoir rapidement, mon temps est précieux, je n’ai pas pour habitude de le perdre.
- Monsieur le Marquis, pouvez-vous m’aider à devenir… ose-t-elle, sans parvenir à terminer sa phrase.
- Oui ? A devenir quoi ?
- A devenir comme… comme elle, dit-elle d’une voix à peine audible tout en montrant, d’un geste du menton, Vanessa.
- Tu veux devenir comme qui, insiste-t-Il d’une voix forte.
- Comme…comme votre soumise, Monsieur le Marquis, avoue-t-elle la voix honteuse.
- Soumise ? Tu veux être soumise ? Tu n’en as pas la force, répond-t-il d’une voix dédaigneuse.
- Je vous en prie, apprenez-moi et je ferais tout ce que vous voudrez.
- Tout ? sourit Le Noble. Ne prononce pas des promesses que tu ne saurais honorer. Et puis, on ne devient pas soumise sans un Maître.
- Soyez mon Maître, Monsieur le Marquis.
- Encore un ordre… Et puis sache qu’une soumise ne possède pas de Maître, elle ne possède rien du tout d’ailleurs. Tu aurais donc du dire ‘‘Soyez Le Maître qui me soumet’’. Et puis non, tu n’as pas l’étoffe des soumises que j’accepte à Mes pieds. En plus, tu appartiens déjà à un homme, il me semble. Alors si être soumise est réellement ton choix, pourquoi ne pas le lui demander ?, questionne Le Châtelain.
La femme lève les yeux vers son mari qui la regarde d’un air impassible. Elle lui envoie un regard désespéré, mais il ne réagit pas, respectant scrupuleusement les consignes du Commandant. Le Noble la laisse dans ses pensées et rejoins les deux hommes il s’assoit dans le fauteuil restant pendant que Keira MDE s’agenouille à ses côtés. La femme a mille pensées qui s’affolent dans sa tête, elle désespère de se sortir de cette situation, que faire ?, que dire ? Est-ce qu’elle doit tout faire stopper et ne jamais découvrir de plus près ce qui l’a fait frissonner, mouiller ou est-ce qu’elle doit tenir, accepter cette humiliation qu’elle peine à supporter… Après plusieurs longues minutes, Le Noble caresse la nuque de Sa soumise tout en chuchotant à son oreille.
- Bien, tu vas aller la détacher et, lui présenter les choix qui s’offrent à elle, je suppose que tu sais exactement quoi lui dire, n’est-ce pas soumise Keira MDE ?
- Oui Maître.
- Je compte sur toi, tu ne m’as jamais déçu dans ce rôle, allons, vas !
Keira MDE se lève et se place face à la femme, lui caresse tendrement le visage pour la calmer et la rassurer. Elle prend son visage entre ses mains, plonge son regard dans le sien et, lui sourit avec tendresse.
- Je vais te détacher, si tu souhaites partir maintenant et que tout s’arrête là, il te suffit de récupérer tes affaires et sortir de cette pièce, ton mari viendra te rejoindre et, vous rentrerez chez vous comme si rien ne s’était passé. Si au contraire, tu souhaites qu’il devienne le Maître qui te soumet, tu vas te mettre à quatre pattes, avancer jusqu’à lui et le lui demander en ces termes : « Monsieur, je vous supplie de bien vouloir faire de moi, Votre soumise ». Quelque soit ton choix, il sera respecté, mais sache que c’est peut-être la seule opportunité de répondre au désir qui brûle au fond de toi depuis longtemps. J’ai été à ta place, il y a longtemps, j’ai du moi aussi choisir et ce choix a changé ma vie, mais au combien je suis heureuse chaque jour d’avoir eu le courage de le faire… explique Keira MDE en détachant la femme et dans un ton des plus doucereux…
Sans un mot de plus, Vanessa se met à quatre pattes et rejoint les pieds du Noble se remettant en parfaite position. La femme se retrouve seule debout au centre de la pièce, elle regarde ses vêtements sur le sol, hésite un long moment, mais personne ne le lui reproche, tous sont dans l’attente, lui laissant le temps nécessaire pour prendre sa décision. Elle réentend les dernières paroles de Keira MDE résonner dans sa tête et comme guidée par une force supérieure à sa volonté, elle s’agenouille et va rejoindre ainsi son mari. Elle ouvre la bouche, mais aucun son n’en sort...
(A suivre …)
Il flatte sa tête et la délaisse se tournant vers l’homme qui le regarde fasciné…
- Bien, vous semblez intéressé par la domination, n’est-ce pas ?
- Je vous avoue, avoir toujours rêvé obtenir ça d’une femme, sans pour autant jamais oser le lui demander.
- Toutes les femmes ne sont pas faites pour obéir, sourit Le Noble. La soumission n’est pas pour les faibles, il faut la force de caractère pour accepter ce que cela implique, pour donner tous pouvoirs à celui que l’on reconnait comme supérieur. Et du côté du Maître, il faut de la patience pour obtenir d’une soumise qu’elle se donne entièrement, qu’elle finisse par un claquement de doigt à lécher vos chaussures, dit-Il en joignant le geste à la parole.
Immédiatement Keira MDE comprend et lèche la chaussure droite du Maître, sous l’œil fasciné de l’invité.
- Je rêve de vivre cela un jour, avoue l’homme, mais c’est plus de l’ordre du fantasme que du rêve prémonitoire, ajoute-t-il d’un ton déçu.
- Détrompez-vous, il y a peut-être un espoir, enfin si vous souhaitez être guidé sur ce chemin, et y guider votre femme…
Un long silence s’installe, l’homme hésite, il ne veut pas forcer sa femme à suivre une voie qu’il aurait choisi égoïstement seul.
- Vous pensez que votre femme n’acceptera jamais, qu’elle n’est pas attirée par la soumission, n’est-ce pas ?
- Oui, enfin…
- Alors pourquoi le simple fait de se retrouver attachée et exhibée la fait-elle mouiller ?
- Comment ?, que… ?, répond l’homme surpris que ce soit le cas.
- Lequel de vous deux a eu l’idée de s’inscrire à cette soirée ?
- Moi… enfin… c’est elle qui m’a fait savoir que cette soirée à thème D/s allait avoir lieu, réalise soudain l’homme.
- Je pense qu’il est temps de vous dévoiler son véritable visage, si vous me le permettez ?
- C’est entendu, répond l’homme peu certain de lui-même.
Le Noble se lève, suivit de Keira MDE qui le suit à quatre pattes, Il se dirige vers la salle de réception, pendant que Le Commandant indique à l’homme de Le suivre. L’homme et Laurent vont se placer dans les fauteuils faisant face à la femme qui patiente attachée, pendant que Monsieur Le Marquis arrive à sa hauteur, Vanessa toujours à ses pieds. Il passe une main entre ses jambes, la ressort trempée, la montre à son mari d’un sourire entendu et la tend à la soumise qui s’empresse de la nettoyer de sa langue agile.
- Eh bien, tu es trempée comme une chienne en chaleur, je constate donc que tu aimes être soumise…
- Non, ce n’est pas vrai, s’indigne la femme. Je…
Une claque sonore sur sa joue droite, la coupe nette.
- D’abord, tu ne prends pas la parole sans autorisation, ensuite tu m’appelles Monsieur le Marquis, enfin tu ne mens pas. C’est compris ? dit-t-Il d’un ton autoritaire.
- Oui, dit-elle baisant la tête instinctivement.
- Oui qui ? insiste-t-Il lui assénant une deuxième gifle.
- Oui Monsieur le Marquis, sanglote-t-elle.
- Bien, commençons par le commencement, tu as accepté notre marché, tu m’appartiens donc pour la soirée, je veux te l’entendre dire.
La femme reste muette, elle ne veut pas admettre ce fait, elle tient tête, avant qu’une cravache laissée à proximité ne viennent cingler son fessier.
- Je vous appartiens, s’empresse-t-elle de dire.
- Monsieur le Marquis! Je vous appartiens Monsieur le Marquis, reprend le Châtelain en faisant claquer une nouvelle fois la cravache.
- Je vous appartiens, Monsieur le Marquis, s’empresse-t-elle de rectifier, un sanglot dans la voix.
- Eh bien voilà, ce n’était pas si difficile à dire, n’est-ce pas ?
- Non Monsieur le Marquis, s’empresse-t-elle de répondre, craignant un nouveau coup de cravache.
Le Noble pose la cravache, il la détache, déboutonne lentement son chemisier, puis le fait glisser le long de ses bras, jusqu’au sol. Il pose ensuite ses mains sur ses hanches, et fait de même avec sa jupe. Enfin, il dégrafe d’une main son soutien-gorge, qui rejoint le reste de ses vêtements. Instinctivement, elle place les mains sur sa poitrine, dans un dernier geste de pudeur. Le Châtelain lui prend les poignets et les attache de nouveau aux chaînes qui descendent. Elle est donc entièrement nue, enchaînée, offerte aux yeux de tous.
- Bien, donc tu as pensé que tu serais meilleure qu’une de Mes soumises les plus entraînées ?, questionne Le Châtelain sur le ton de l’accusation.
- Non, Monsieur le Marquis, je…
- Ne mens pas, la coupe-t-Il en la fessant.
- Je… je… suis désolée, sanglote-t-elle.
- Hum, c’est un début, mais cela ne suffit pas. Des excuses seraient plus appropriées.
- Je m’excuse, Monsieur le Marquis, répond-t-elle d’une faible voix.
- Il est bien présomptueux de s’excuser à soi-même.
- Excusez-moi, Monsieur le Marquis.
- L’impératif ! Tu comptes me donner des ordres ?, accuse-t-Il d’une forte voix.
- Non Monsieur le Marquis, je suis désolée, je…
- Oui cela tu l’as déjà dit ! la coupe-t-il accentuant son sentiment de panique.
- Je… je ne sais pas faire Monsieur le Marquis, je vous en prie, guidez-moi, implore-t-elle.
Le Noble laisse le silence pesant s’installer, la regardant se perdre dans ses pensées, trembler entre la peur et l’excitation évidente à voir couler sa cyprine sur son entrecuisses.
- Te guider ? Hum…jusqu’où souhaites-tu que je te guide ? interroge-t-il, lui faisant réaliser que sa phrase peut avoir plusieurs sens.
La soumise s’apprête à expliquer qu’elle ne voulait pas dire ça, qu’elle veut juste s’excuser et retourner chez elle, que tout ça s’arrête, mais elle réalise soudain, que la situation ne la laisse pas indifférente, et qu’elle n’est plus certaine de vouloir que cela stoppe.
- Je ne sais pas Monsieur le Marquis.
- Eh bien, il va falloir savoir rapidement, mon temps est précieux, je n’ai pas pour habitude de le perdre.
- Monsieur le Marquis, pouvez-vous m’aider à devenir… ose-t-elle, sans parvenir à terminer sa phrase.
- Oui ? A devenir quoi ?
- A devenir comme… comme elle, dit-elle d’une voix à peine audible tout en montrant, d’un geste du menton, Vanessa.
- Tu veux devenir comme qui, insiste-t-Il d’une voix forte.
- Comme…comme votre soumise, Monsieur le Marquis, avoue-t-elle la voix honteuse.
- Soumise ? Tu veux être soumise ? Tu n’en as pas la force, répond-t-il d’une voix dédaigneuse.
- Je vous en prie, apprenez-moi et je ferais tout ce que vous voudrez.
- Tout ? sourit Le Noble. Ne prononce pas des promesses que tu ne saurais honorer. Et puis, on ne devient pas soumise sans un Maître.
- Soyez mon Maître, Monsieur le Marquis.
- Encore un ordre… Et puis sache qu’une soumise ne possède pas de Maître, elle ne possède rien du tout d’ailleurs. Tu aurais donc du dire ‘‘Soyez Le Maître qui me soumet’’. Et puis non, tu n’as pas l’étoffe des soumises que j’accepte à Mes pieds. En plus, tu appartiens déjà à un homme, il me semble. Alors si être soumise est réellement ton choix, pourquoi ne pas le lui demander ?, questionne Le Châtelain.
La femme lève les yeux vers son mari qui la regarde d’un air impassible. Elle lui envoie un regard désespéré, mais il ne réagit pas, respectant scrupuleusement les consignes du Commandant. Le Noble la laisse dans ses pensées et rejoins les deux hommes il s’assoit dans le fauteuil restant pendant que Keira MDE s’agenouille à ses côtés. La femme a mille pensées qui s’affolent dans sa tête, elle désespère de se sortir de cette situation, que faire ?, que dire ? Est-ce qu’elle doit tout faire stopper et ne jamais découvrir de plus près ce qui l’a fait frissonner, mouiller ou est-ce qu’elle doit tenir, accepter cette humiliation qu’elle peine à supporter… Après plusieurs longues minutes, Le Noble caresse la nuque de Sa soumise tout en chuchotant à son oreille.
- Bien, tu vas aller la détacher et, lui présenter les choix qui s’offrent à elle, je suppose que tu sais exactement quoi lui dire, n’est-ce pas soumise Keira MDE ?
- Oui Maître.
- Je compte sur toi, tu ne m’as jamais déçu dans ce rôle, allons, vas !
Keira MDE se lève et se place face à la femme, lui caresse tendrement le visage pour la calmer et la rassurer. Elle prend son visage entre ses mains, plonge son regard dans le sien et, lui sourit avec tendresse.
- Je vais te détacher, si tu souhaites partir maintenant et que tout s’arrête là, il te suffit de récupérer tes affaires et sortir de cette pièce, ton mari viendra te rejoindre et, vous rentrerez chez vous comme si rien ne s’était passé. Si au contraire, tu souhaites qu’il devienne le Maître qui te soumet, tu vas te mettre à quatre pattes, avancer jusqu’à lui et le lui demander en ces termes : « Monsieur, je vous supplie de bien vouloir faire de moi, Votre soumise ». Quelque soit ton choix, il sera respecté, mais sache que c’est peut-être la seule opportunité de répondre au désir qui brûle au fond de toi depuis longtemps. J’ai été à ta place, il y a longtemps, j’ai du moi aussi choisir et ce choix a changé ma vie, mais au combien je suis heureuse chaque jour d’avoir eu le courage de le faire… explique Keira MDE en détachant la femme et dans un ton des plus doucereux…
Sans un mot de plus, Vanessa se met à quatre pattes et rejoint les pieds du Noble se remettant en parfaite position. La femme se retrouve seule debout au centre de la pièce, elle regarde ses vêtements sur le sol, hésite un long moment, mais personne ne le lui reproche, tous sont dans l’attente, lui laissant le temps nécessaire pour prendre sa décision. Elle réentend les dernières paroles de Keira MDE résonner dans sa tête et comme guidée par une force supérieure à sa volonté, elle s’agenouille et va rejoindre ainsi son mari. Elle ouvre la bouche, mais aucun son n’en sort...
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