La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1178)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1178)
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1172) -
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans – La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans -
Le Noble prenait ainsi ce qui Lui appartenait. Il me possédait ainsi qu'Il en avait le Droit, le Droit sans autre limite que celles de Sa Volonté et je ne connaissais nulle limite à cette Volonté... Un autre jour, Le Maître m'avait donné l'ordre de rentrer au plus tôt... J'arrivais donc dès 16h à l'appartement et me dévêtis de suite dans le couloir, comme je devais systématiquement le faire à chaque fois que je revenais, fermant ensuite le collier de chien autour de mon cou, cela était un rite obligatoire et quotidien... Puis je me rendis dans le salon où des voix s'élevaient. Le Maître était là, dans Son fauteuil favori, entouré de trois mâles entièrement nus... des hommes aux corps musclés, exhibant sans complexe des sexes impressionnants.
- Ah, voilà la petite salope, un parfait vide-couilles ! s'exclama, la voix enjouée de Monsieur le Marquis.
Le Maître et le trio se tourna dans ma direction tandis que je m'approchais et me prosternais à Ses Pieds en position de levrette, mes bras bien en avant, mes doigts à un petit centimètre du bout des chaussures du Noble Seigneur, ma tête sur le côté et mon cul bien relevé, exhibé, exposant ainsi mon petit trou autant que mes petites couilles pendantes, ma petite nouille molle et mes cuisses écartées le plus possible... Ils fixaient sur moi des regards inquisiteurs, observant chaque parcelle de mon frêle corps nu... Le Châtelain poursuivit...
- Aujourd'hui, tu vas vivre un rite de passage, esclave... Saches que tu ne connais qu'une infime partie de Notre Organisation. C'est assez simple, il y a Le Cercle Supérieur, composé des Etres Supérieurs et le cercle inférieur, composé de Leurs esclaves... Tu ne te doutes pas des Personnes de Qualité qui composent Le Cercle Supérieur, mais saches que tous les esclaves sont connus des Supérieurs et que leur vie est totalement soumise à Leur Volonté... Nous prenons en charge votre formation, votre dressage et votre avenir. Vous n'êtes que des possessions, des choses, des biens meubles dont Nous disposons à Notre Gré... Ces trois mâles ici présents sont, eux, des étalons reconnus pour leur endurance et leur forte virilité; ils n'appartiennent à aucun des deux cercles, mais nous faisons assez régulièrement appel à leurs services pour diverses... missions ! Aujourd'hui, tu vas être présenté au Cercle Supérieur et ce sont ces trois mâles, sous Ma Direction bien sûr, qui vont se charger de te présenter... Maintenant relève toi, le chien...
J'obéis prestement tout en gardant la tête baissée, le cœur battant et, immédiatement, je sentis les mains larges et épaisses des trois étalons venant inspecter mon corps. Ils s'immisçaient dans mon cul, leurs doigts ouvraient ma bouche, pinçaient mes tétons, palpaient ma croupe et mes couilles... Une main se ferma sur ma queue qui commençait à durcir...
- Alors ? Comment le trouvez-vous, demanda Le Noble
- Une petite chose, répondit une voix dans mon dos... une petite larve insignifiante encore timide, mais ne Vous inquiétez pas, Vous pouvez nous faire confiance, Monsieur Le Marquis, Vous connaissez nos capacités avec ce genre de petite lopette à posséder, physiquement, bien entendu...
- Parfait, alors ne perdons plus de temps, faites ce que vous avez à faire, et ne me le ménagez pas, faites-lui bien sentir ce qu’il est, répondit Le Maître tout en me dévisageant de la tête aux pieds avec Son air Dominant Supérieur, Ses yeux bleus et puissants de Dominateur…
Saisi par leurs mains puissantes, je fus entraîné vers la chambre qui avait été la mienne. La pièce m'apparût plus grande qu'elle ne l'était, car entièrement débarrassée de tous ses meubles. Il n'y avait qu'une large toile cirée sur le sol, couvrant presque la totalité de la superficie. Et sur un côté, une croix de Saint-André avait été dressée, sur laquelle je reconnus chienne Joëlle, nue, bras et jambes écartelés, des pinces fixées à ses tétons reliées par une chaîne à d'autres pinces placées sur ses lèvres intimes... Sa peau zébrée sur ses seins, ventre et épaules me fit comprendre qu’elle avait été fouettée. Il y avait aussi une chaise et dans un coin une table sur laquelle j'aperçus divers ustensiles, sans pouvoir vraiment les déterminer. Il y avait aussi un caméscope VHS dernier cri (nous sommes dans les années 80) sur un trépied et un ordinateur, installé sur une autre petite table. Le Maître s'installa derrière le caméscope, jeta un œil dans l’objectif, fit un dernier réglage et s’exclama :
- Bien, tout est prêt pour être filmé, Une copie de cette cassette vidéo sera adressée à chaque Membre du Club des Supérieurs … Nous pouvons commencer, dit Le Maître en appuyant sur le bouton ‘’ENR’’ pour ‘enregistrement’ lançant ainsi le tournage de la bande VHS.
Immédiatement, l'un des étalons vint se placer derrière moi et me tira les bras en arrière, tandis qu'un autre saisissait mes couilles violemment à pleine main et tira dessus longuement. Le troisième était allé chercher la chaise sur laquelle je fus assis, contraint à me tenir en écartant largement les cuisses, exhibant ainsi ma petite queue. Des pinces en métal furent fixées à mes tétons et une autre fut fixée au bout de mon prépuce... Je manquais de souffle, quelque peu effrayé, bien que La Présence de Monsieur le Marquis me rassurât quelque peu... Les étalons tournaient autour de ma chaise, une claque venant s'abattre de temps en temps sur ma nuque... Ils m'insultaient, m'appelaient "la chose" et venaient appuyer sur les pinces, obtenant une grimace de souffrance et des gémissements que je tentais en vain de retenir... je fus tiré pour le relever et la chaise enlevée...
Le plus grand des trois vint tout près de moi, me fit pivoter pour que je me tienne face au caméscope et il approcha son visage du mien, me forçant à ouvrir grand la bouche avant de cracher un épais mollard entre mes lèvres... Puis me faisant mettre à genoux, il enfonça sans ménagement son sexe épais et déjà tendu dans ma bouche... J'étouffais mais ne pouvais rien faire... Il allait et venait entre mes lèvres, me baisant sans concession ma bouche, enfonçant aussi profondément que possible son gland épais au fond de ma gorge. Je pouvais à peine respirer par à-coups mais il n'en tenait aucun compte, poursuivant ainsi longuement, avant de céder la place à un autre... suivi du troisième, ainsi les trois virils étalons possédèrent ma cavité buccale sans ménagement…
J'étais déjà épuisé, essoufflé, alors que je me doutais bien que la séance ne faisait que commencer. Alors qu'aucun des étalons n'aient éjaculé, je fus relevé et on tira mes bras en arrière, afin de me lier les poignets dans le dos. Les étalons agissaient avec des gestes fermes, précis, durs, experts... Deux d'entre eux me soulevèrent soudain, me maintenant face au caméscope et le troisième vint se placer derrière moi, poussant un doigt, puis deux dans mon anus... jouant avec pour l'élargir... je savais que le caméscope était fixé sur mon visage, que Monsieur le Marquis fixait ces images pour Lui et Ses Amis du Cercle Supérieur... Le troisième étalon s'avança entre mes cuisses et m'encula d'un coup sec et brutal, jusqu’à la garde. J'ouvris la bouche dans un cri silencieux et haletais tandis qu'il commençait à m'enculer par des coups de boutoir rapides et vigoureux... Sa grosse queue, énorme, allait et venait dans mon cul et j'aspirais l'air désespérément tandis qu'il me claquait la croupe tout en s'enfonçant profondément en moi. Je ne sais pas combien cela dura mais ce fut long, et je dois l’avouer, aussi ce fut très excitant car je me surprenais à trouver de l’excitation à cette saillie, cette sodomie sauvage, bestiale que je subissais en sentant ma verge se durcir.
Parfois, Il restait un long moment en coït anal bien planté immobile tout au fond de mon fondement pour recommencer ses va-et-vient fougueux. J'avais le cul en feu, la verge raide comme un I, lorsqu'il se retira enfin... On me remit debout et les trois étalons prirent place en triangle autour de moi, s'amusant à me saisir et à me pousser de l'un vers l'autre... Je perdis rapidement le sens de l'équilibre, mais une main large et ferme venait toujours me saisir pour m'empêcher de tomber. Les pinces de mes tétons et de mon prépuce me faisaient mal, je me sentais perdu, désorienté... Parfois, l'un d'eux m'immobilisait, me crachait dans la bouche ou sur le visage... puis me rejetait vers un autre... Et toutes ces humiliations m’excitaient de plus en plus et je ne pouvais cacher mon érection qui me trahissait exprimant ainsi un état d’excitation évident, un plaisir fou d’être traité comme une chose, un jouet, un pantin …
Alors que ma tête tournait, je fus à nouveau immobilisé et jeté au sol, puis on me fit mettre en position d'offrande, le visage au sol, la croupe dressée et tendue et je sentis à nouveau des doigts s'enfonçant dans mon cul, élargissant mon anus avant qu'une queue aussi épaisse que la précédente me pénètre et me baise à fond, aussi longuement et profondément qu'auparavant. Après m'être ainsi à nouveau fait enculer, saillir par de viriles poussées cadencées, je fus relevé... Je sentais la sueur qui dégoulinait sur tout mon corps, je haletais... Les trois étalons s'étaient un peu éloignés et je fixais humblement l'oeil du caméscope manié par Le Maître, dont je savais qu'Il voulait que je me montre digne d'être Son esclave aux yeux des autres Supérieurs qui suivraient ces moments très bientôt via la bande vidéo VHS en train de se filmer. Les trois étalons étaient déjà de retour, l'un tenait une badine de fin roseau, un autre une cravache et le dernier un martinet... Un premier coup s'abattit sur mes fesses, puis un autre... chacun à leur tour, ils abattaient leur instrument sur mon corps et si je fléchissais, on me contraignait à me redresser… Certains coups visaient directement les pinces qui, une à une, finirent par sauter, provoquant sur les chairs tourmentées un éclair de douleur, en particulier celle du prépuce... je mis un genou à terre, mais une pluie de petits coups secs me fit immédiatement comprendre que je devais me relever et subir encore... j'obéis à cet ordre muet, seulement donné par le changement de rythme des coups qui s'abattaient. Ma verge était tendue à l’extrême dans une puissante bandaison imputée à mon excitation
Puis cela cessa... Je fus mis à genoux et, à nouveau, une queue écarta mes lèvres et vint s'enfoncer profondément dans ma gorge... La cadence était toujours aussi rapide, le phallus épais et dur allait et venait et cette fois au bout d’un long moment, l’étalon se mit à râler de plaisir, me maintenant fermement la tête de ses larges mains quand je reçus un épais flot de sperme que je m'appliquais naturellement à avaler jusqu'à la dernière goutte. Une autre queue prit immédiatement le relais et lorsque l'étalon eut à son tour éjaculé, ce fut à la troisième. Les flots étaient si abondants, le sperme si épais... Je demeurais ainsi à genoux, les mains liées dans le dos, le goût acre et un peu salé de leur semence dans ma bouche. On me fit mettre à quatre pattes...
- Bien, le hors d'œuvre est terminé, dit la Voix de Monsieur le Marquis.
Un étalon m'entraîna alors en quadrupédie vers la croix de Saint-André où on me banda les yeux On m’empoigna mes cheveux et on m’ordonna de m’agenouiller et c’est ainsi que je me suis retrouvé à hauteur, ma bouche devant, le sexe humide de chienne Joëlle qui, elle, était toujours attachée, écartelée. Une main puissante poussa ma tête dernière ma nuque pour m’obliger à venir lécher la chatte totalement épilée suintant de cyprine … Ma langue glissa alors fébrilement sur ces chairs délicatement parfumées, elle s’égara un instant entre ces lèvres intimes douces, chaudes et humides léchant les parois vaginales avec lenteur. Quelques peu hésitant au départ, je parvins à prendre un peu plus d’assurance et d’audace. Mon exploration buccale devenait plus profonde, ma bouche aspirait, ventousait, ma langue dardait ces douces chairs rosées, élastiques et gonflant de désirs sous l’effet de ma langue râpeuse et baladeuse. Chienne Joëlle se mit à émettre des sons langoureux sinon languissants. Son bassin ondulait au rythme des titillements. Elle se cambrait, s’offrait, s’écartait, gémissait, se pâmait tout en se retenant de jouir. On maintenait ma tête plaquée contre cette caverne humide tandis que je sentis une cuisante douleur dans le dos. On me fouettait abondamment. Mon visage était trempé de cyprine tellement Joëlle laissait couler sa mouille, même sans qu’elle eut l’autorisation à la jouissance … Quand j’entendis Le Maître lui ordonner de lâcher son orgasme. Alors elle éclata de plaisirs dans un flot de cyprine que j’aspirais du mieux possible, je t’entendis crier sa jouissance mais surtout geindre comme une véritable chienne (l’animal) alors que tout son corps se mit à trembler de spasmes jouissifs… Une fois l’ouragan d’un orgasme quasi dévastateur de chienne Joëlle, elle fut libérée de ses attaches. Je pris sa place, écartelé à mon tour sur la croix Saint-André, de nouvelles pinces venant mordre mes tétons et mes couilles... tandis que chienne Joëlle était entraînée vers le milieu de la pièce...
(A suivre)
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans – La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans -
Le Noble prenait ainsi ce qui Lui appartenait. Il me possédait ainsi qu'Il en avait le Droit, le Droit sans autre limite que celles de Sa Volonté et je ne connaissais nulle limite à cette Volonté... Un autre jour, Le Maître m'avait donné l'ordre de rentrer au plus tôt... J'arrivais donc dès 16h à l'appartement et me dévêtis de suite dans le couloir, comme je devais systématiquement le faire à chaque fois que je revenais, fermant ensuite le collier de chien autour de mon cou, cela était un rite obligatoire et quotidien... Puis je me rendis dans le salon où des voix s'élevaient. Le Maître était là, dans Son fauteuil favori, entouré de trois mâles entièrement nus... des hommes aux corps musclés, exhibant sans complexe des sexes impressionnants.
- Ah, voilà la petite salope, un parfait vide-couilles ! s'exclama, la voix enjouée de Monsieur le Marquis.
Le Maître et le trio se tourna dans ma direction tandis que je m'approchais et me prosternais à Ses Pieds en position de levrette, mes bras bien en avant, mes doigts à un petit centimètre du bout des chaussures du Noble Seigneur, ma tête sur le côté et mon cul bien relevé, exhibé, exposant ainsi mon petit trou autant que mes petites couilles pendantes, ma petite nouille molle et mes cuisses écartées le plus possible... Ils fixaient sur moi des regards inquisiteurs, observant chaque parcelle de mon frêle corps nu... Le Châtelain poursuivit...
- Aujourd'hui, tu vas vivre un rite de passage, esclave... Saches que tu ne connais qu'une infime partie de Notre Organisation. C'est assez simple, il y a Le Cercle Supérieur, composé des Etres Supérieurs et le cercle inférieur, composé de Leurs esclaves... Tu ne te doutes pas des Personnes de Qualité qui composent Le Cercle Supérieur, mais saches que tous les esclaves sont connus des Supérieurs et que leur vie est totalement soumise à Leur Volonté... Nous prenons en charge votre formation, votre dressage et votre avenir. Vous n'êtes que des possessions, des choses, des biens meubles dont Nous disposons à Notre Gré... Ces trois mâles ici présents sont, eux, des étalons reconnus pour leur endurance et leur forte virilité; ils n'appartiennent à aucun des deux cercles, mais nous faisons assez régulièrement appel à leurs services pour diverses... missions ! Aujourd'hui, tu vas être présenté au Cercle Supérieur et ce sont ces trois mâles, sous Ma Direction bien sûr, qui vont se charger de te présenter... Maintenant relève toi, le chien...
J'obéis prestement tout en gardant la tête baissée, le cœur battant et, immédiatement, je sentis les mains larges et épaisses des trois étalons venant inspecter mon corps. Ils s'immisçaient dans mon cul, leurs doigts ouvraient ma bouche, pinçaient mes tétons, palpaient ma croupe et mes couilles... Une main se ferma sur ma queue qui commençait à durcir...
- Alors ? Comment le trouvez-vous, demanda Le Noble
- Une petite chose, répondit une voix dans mon dos... une petite larve insignifiante encore timide, mais ne Vous inquiétez pas, Vous pouvez nous faire confiance, Monsieur Le Marquis, Vous connaissez nos capacités avec ce genre de petite lopette à posséder, physiquement, bien entendu...
- Parfait, alors ne perdons plus de temps, faites ce que vous avez à faire, et ne me le ménagez pas, faites-lui bien sentir ce qu’il est, répondit Le Maître tout en me dévisageant de la tête aux pieds avec Son air Dominant Supérieur, Ses yeux bleus et puissants de Dominateur…
Saisi par leurs mains puissantes, je fus entraîné vers la chambre qui avait été la mienne. La pièce m'apparût plus grande qu'elle ne l'était, car entièrement débarrassée de tous ses meubles. Il n'y avait qu'une large toile cirée sur le sol, couvrant presque la totalité de la superficie. Et sur un côté, une croix de Saint-André avait été dressée, sur laquelle je reconnus chienne Joëlle, nue, bras et jambes écartelés, des pinces fixées à ses tétons reliées par une chaîne à d'autres pinces placées sur ses lèvres intimes... Sa peau zébrée sur ses seins, ventre et épaules me fit comprendre qu’elle avait été fouettée. Il y avait aussi une chaise et dans un coin une table sur laquelle j'aperçus divers ustensiles, sans pouvoir vraiment les déterminer. Il y avait aussi un caméscope VHS dernier cri (nous sommes dans les années 80) sur un trépied et un ordinateur, installé sur une autre petite table. Le Maître s'installa derrière le caméscope, jeta un œil dans l’objectif, fit un dernier réglage et s’exclama :
- Bien, tout est prêt pour être filmé, Une copie de cette cassette vidéo sera adressée à chaque Membre du Club des Supérieurs … Nous pouvons commencer, dit Le Maître en appuyant sur le bouton ‘’ENR’’ pour ‘enregistrement’ lançant ainsi le tournage de la bande VHS.
Immédiatement, l'un des étalons vint se placer derrière moi et me tira les bras en arrière, tandis qu'un autre saisissait mes couilles violemment à pleine main et tira dessus longuement. Le troisième était allé chercher la chaise sur laquelle je fus assis, contraint à me tenir en écartant largement les cuisses, exhibant ainsi ma petite queue. Des pinces en métal furent fixées à mes tétons et une autre fut fixée au bout de mon prépuce... Je manquais de souffle, quelque peu effrayé, bien que La Présence de Monsieur le Marquis me rassurât quelque peu... Les étalons tournaient autour de ma chaise, une claque venant s'abattre de temps en temps sur ma nuque... Ils m'insultaient, m'appelaient "la chose" et venaient appuyer sur les pinces, obtenant une grimace de souffrance et des gémissements que je tentais en vain de retenir... je fus tiré pour le relever et la chaise enlevée...
Le plus grand des trois vint tout près de moi, me fit pivoter pour que je me tienne face au caméscope et il approcha son visage du mien, me forçant à ouvrir grand la bouche avant de cracher un épais mollard entre mes lèvres... Puis me faisant mettre à genoux, il enfonça sans ménagement son sexe épais et déjà tendu dans ma bouche... J'étouffais mais ne pouvais rien faire... Il allait et venait entre mes lèvres, me baisant sans concession ma bouche, enfonçant aussi profondément que possible son gland épais au fond de ma gorge. Je pouvais à peine respirer par à-coups mais il n'en tenait aucun compte, poursuivant ainsi longuement, avant de céder la place à un autre... suivi du troisième, ainsi les trois virils étalons possédèrent ma cavité buccale sans ménagement…
J'étais déjà épuisé, essoufflé, alors que je me doutais bien que la séance ne faisait que commencer. Alors qu'aucun des étalons n'aient éjaculé, je fus relevé et on tira mes bras en arrière, afin de me lier les poignets dans le dos. Les étalons agissaient avec des gestes fermes, précis, durs, experts... Deux d'entre eux me soulevèrent soudain, me maintenant face au caméscope et le troisième vint se placer derrière moi, poussant un doigt, puis deux dans mon anus... jouant avec pour l'élargir... je savais que le caméscope était fixé sur mon visage, que Monsieur le Marquis fixait ces images pour Lui et Ses Amis du Cercle Supérieur... Le troisième étalon s'avança entre mes cuisses et m'encula d'un coup sec et brutal, jusqu’à la garde. J'ouvris la bouche dans un cri silencieux et haletais tandis qu'il commençait à m'enculer par des coups de boutoir rapides et vigoureux... Sa grosse queue, énorme, allait et venait dans mon cul et j'aspirais l'air désespérément tandis qu'il me claquait la croupe tout en s'enfonçant profondément en moi. Je ne sais pas combien cela dura mais ce fut long, et je dois l’avouer, aussi ce fut très excitant car je me surprenais à trouver de l’excitation à cette saillie, cette sodomie sauvage, bestiale que je subissais en sentant ma verge se durcir.
Parfois, Il restait un long moment en coït anal bien planté immobile tout au fond de mon fondement pour recommencer ses va-et-vient fougueux. J'avais le cul en feu, la verge raide comme un I, lorsqu'il se retira enfin... On me remit debout et les trois étalons prirent place en triangle autour de moi, s'amusant à me saisir et à me pousser de l'un vers l'autre... Je perdis rapidement le sens de l'équilibre, mais une main large et ferme venait toujours me saisir pour m'empêcher de tomber. Les pinces de mes tétons et de mon prépuce me faisaient mal, je me sentais perdu, désorienté... Parfois, l'un d'eux m'immobilisait, me crachait dans la bouche ou sur le visage... puis me rejetait vers un autre... Et toutes ces humiliations m’excitaient de plus en plus et je ne pouvais cacher mon érection qui me trahissait exprimant ainsi un état d’excitation évident, un plaisir fou d’être traité comme une chose, un jouet, un pantin …
Alors que ma tête tournait, je fus à nouveau immobilisé et jeté au sol, puis on me fit mettre en position d'offrande, le visage au sol, la croupe dressée et tendue et je sentis à nouveau des doigts s'enfonçant dans mon cul, élargissant mon anus avant qu'une queue aussi épaisse que la précédente me pénètre et me baise à fond, aussi longuement et profondément qu'auparavant. Après m'être ainsi à nouveau fait enculer, saillir par de viriles poussées cadencées, je fus relevé... Je sentais la sueur qui dégoulinait sur tout mon corps, je haletais... Les trois étalons s'étaient un peu éloignés et je fixais humblement l'oeil du caméscope manié par Le Maître, dont je savais qu'Il voulait que je me montre digne d'être Son esclave aux yeux des autres Supérieurs qui suivraient ces moments très bientôt via la bande vidéo VHS en train de se filmer. Les trois étalons étaient déjà de retour, l'un tenait une badine de fin roseau, un autre une cravache et le dernier un martinet... Un premier coup s'abattit sur mes fesses, puis un autre... chacun à leur tour, ils abattaient leur instrument sur mon corps et si je fléchissais, on me contraignait à me redresser… Certains coups visaient directement les pinces qui, une à une, finirent par sauter, provoquant sur les chairs tourmentées un éclair de douleur, en particulier celle du prépuce... je mis un genou à terre, mais une pluie de petits coups secs me fit immédiatement comprendre que je devais me relever et subir encore... j'obéis à cet ordre muet, seulement donné par le changement de rythme des coups qui s'abattaient. Ma verge était tendue à l’extrême dans une puissante bandaison imputée à mon excitation
Puis cela cessa... Je fus mis à genoux et, à nouveau, une queue écarta mes lèvres et vint s'enfoncer profondément dans ma gorge... La cadence était toujours aussi rapide, le phallus épais et dur allait et venait et cette fois au bout d’un long moment, l’étalon se mit à râler de plaisir, me maintenant fermement la tête de ses larges mains quand je reçus un épais flot de sperme que je m'appliquais naturellement à avaler jusqu'à la dernière goutte. Une autre queue prit immédiatement le relais et lorsque l'étalon eut à son tour éjaculé, ce fut à la troisième. Les flots étaient si abondants, le sperme si épais... Je demeurais ainsi à genoux, les mains liées dans le dos, le goût acre et un peu salé de leur semence dans ma bouche. On me fit mettre à quatre pattes...
- Bien, le hors d'œuvre est terminé, dit la Voix de Monsieur le Marquis.
Un étalon m'entraîna alors en quadrupédie vers la croix de Saint-André où on me banda les yeux On m’empoigna mes cheveux et on m’ordonna de m’agenouiller et c’est ainsi que je me suis retrouvé à hauteur, ma bouche devant, le sexe humide de chienne Joëlle qui, elle, était toujours attachée, écartelée. Une main puissante poussa ma tête dernière ma nuque pour m’obliger à venir lécher la chatte totalement épilée suintant de cyprine … Ma langue glissa alors fébrilement sur ces chairs délicatement parfumées, elle s’égara un instant entre ces lèvres intimes douces, chaudes et humides léchant les parois vaginales avec lenteur. Quelques peu hésitant au départ, je parvins à prendre un peu plus d’assurance et d’audace. Mon exploration buccale devenait plus profonde, ma bouche aspirait, ventousait, ma langue dardait ces douces chairs rosées, élastiques et gonflant de désirs sous l’effet de ma langue râpeuse et baladeuse. Chienne Joëlle se mit à émettre des sons langoureux sinon languissants. Son bassin ondulait au rythme des titillements. Elle se cambrait, s’offrait, s’écartait, gémissait, se pâmait tout en se retenant de jouir. On maintenait ma tête plaquée contre cette caverne humide tandis que je sentis une cuisante douleur dans le dos. On me fouettait abondamment. Mon visage était trempé de cyprine tellement Joëlle laissait couler sa mouille, même sans qu’elle eut l’autorisation à la jouissance … Quand j’entendis Le Maître lui ordonner de lâcher son orgasme. Alors elle éclata de plaisirs dans un flot de cyprine que j’aspirais du mieux possible, je t’entendis crier sa jouissance mais surtout geindre comme une véritable chienne (l’animal) alors que tout son corps se mit à trembler de spasmes jouissifs… Une fois l’ouragan d’un orgasme quasi dévastateur de chienne Joëlle, elle fut libérée de ses attaches. Je pris sa place, écartelé à mon tour sur la croix Saint-André, de nouvelles pinces venant mordre mes tétons et mes couilles... tandis que chienne Joëlle était entraînée vers le milieu de la pièce...
(A suivre)
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