La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1180)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1180)
La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1179) -
Mais peu de temps après s’être installé autour de la table de la Grande Salle à Manger, après un moment de silence, Monsieur le Marquis Louis d’Evans se tourna vers son neveu et lui demanda sans autre préambule :
- Mon cher Edouard, aurais-tu honteusement abandonné la tradition de nos ancêtres ? Je ne vois aucun chien, aucune chienne pour agrémenter notre dîner !? …
Le Marquis Edouard d’Evans sourit. Cela avait été bien évidemment fait exprès. Il avait prévu pour Son oncle une surprise de taille, à la mesure de son rang et ien honneur à tous leurs aïeuls… Cette surprise devait avoir lieu plus tard dans la soirée. Le Châtelain continua donc sur Sa lancée visant à lui faire croire qu’il était passé à un mode de vie plus conventionnel, sans Domination/soumission…
- Mon cher oncle, toute bonne chose a une fin. J’ai fini par me lasser d’avoir toutes ces personnes à me servir. J’ai préféré me ranger à la vie normale, me trouver une femme que je pouvais aimer, avec qui fonder une famille et perpétuer la descendance des Marquis d’Evans.
Et pendant une bonne demi-heure, Celui que je regardais avec un regard d’adoration et de profonde dévotion, trouva mille et une raison, qui extraordinairement se tenaient et avaient un sens, pour avoir fait une croix sur Son mode de vie de Dominant, avec une conviction telle dans la voix, que quiconque ne sachant pas la vérité, ne pouvait la deviner. Et ce fut ainsi que le comprit l’oncle Louis, même si celui-ci marqua sa déception par une triste mine :
- Mon cher neveu, je ne te cache pas que je suis extrêmement déçu ! Les membres de la Famille des Evans sont des Dominants réputés depuis des siècles ! Tu es le seul représentant de la famille de ce côté-ci de l’Océan, tu as un devoir moral envers tes ancêtres ! Je suis vraiment très déçu … et si ton père te voyait, il le serait bien certainement aussi, lui qui t’avait tout enseigné !
Le repas continua. Le Maître cherchait à parler de sujets légers, mais l’oncle Louis revenait sans cesse sur le passé de Dominants de la Noble Famille des Evans, racontant divers anecdotes s’étant déroulées entre les deux frères dans leurs jeunesses et mille autres racontées par leur père :
‘‘Comme cette fois, alors qu’ils avaient 20 et 18 ans, où ils se baladaient dans l’immense forêt du Domaine. Ils trouvèrent la fille de leur gouvernante, qui venait de fêter sa majorité et avait bravé l’interdit de sa mère de sortir du Château après être rentrée d’une soirée plus que bien arrosée. Elle portait une tenue provocante, un haut à décolleté profond en dentelle noir, qui ne cachait absolument rien de sa généreuse poitrine, et une mini-jupe rouge vif. Ces tenues avaient le don d’exaspérer sa mère qui pensait qu’elle finirait par mal tourner. Les deux jeunes hommes, en la voyant, s’approchèrent d’elle sans se faire entendre ni voir, puisqu’elle leur tournait le dos. L’oncle Louis, en tant qu’ainé, s’adressa à elle en premier. Tous étaient au courant au Château du comportement de cette jeune fille prénommée Anne. Et également du temps où elle ne devait pas sortir du Château, afin de rattraper son retard dans ses études. Il prit sa voix la plus grave, la plus sèche :
- Eh bien Anne ! Que fais-tu ici ? N’es-tu pas censée être dans ta chambre en train de travailler tes leçons ?
- Vous n’êtes pas ma mère, cela ne Vous regarde pas, Monsieur !
Son ton était dédaigneux, elle prenait de haut les deux nobles, qui se regardèrent en souriant. Charles passa derrière elle, d’un mouvement très vif, lui sait les poignets d’une seule main et de l’autre appuya sur ses épaules pour la faire mettre à genoux. Anne eut l’air surprise, presque effrayée, mais par fierté, elle ne voulut pas montrer sa peur et elle releva la tête bien haute regardant Louis d’un air de défi.
- Eh bien que pensez-vous faire de moi maintenant ? Ne croyez pas que vous puissiez utiliser la force sur moi. Toute employée qu’elle est, ma mère ne manquerait pas d’en référer à votre cher père !
- Tu es sortie sans que personne ne te voit. Nous pourrions te séquestrer, personne ne saurait jamais ce que tu es devenue ! D’ailleurs, c’est une idée, ça ! Charles, relève là, tu sais où nous l’emmenons ?
Sur un signe de tête, le plus jeune des frères releva la jeune femme, après lui avoir enlevé ses chaussures et ses bas. Anne se plaignait de la dureté des pierres, assurait que cela ne se passerait pas ainsi, mais avançait tout de même, les mains toujours tenues d’une poigne ferme dans son dos. Ils arrivèrent à une petite hutte de bucheron abandonnée, que les deux frères utilisaient régulièrement. Quand ils furent rentrés et que la porte fut refermée, elle fut relâchée. Pendant un instant, personne ne parla, jusqu’à ce qu’un des deux frères lancent un :
- Déshabille-toi !
Anne était joueuse et il faut bien le reconnaitre, n’avait pas froid aux yeux avec les garçons du village (ce que savaient très bien les deux frères). Sur le moment, elle voulut refuser et essayer de sortir, plus par jeu ou défi que par crainte, mais elle se dit qu’une partie de jambes en l’air à trois dans la nature ne pouvait pas faire de mal. Elle avait confiance en ses charmes, et pensait pouvoir mener à la baguette les deux hommes. Alors elle se dénuda, tortillant des fesses pour les aguicher en bonne salope qu’elle était en réalité. A un moment où elle leur tourna le dos, Louis se saisit d’une branche de noisetier qui était prête à servir, et lui donna un coup cinglant sur les fesses. Anne se retourna en criant, les yeux grands ouverts.
- Bien, maintenant, c’est simple ! Soit tu te soumets à nous, tu nous obéis, bref tu te donnes volontairement à nous ! Soit nous t’enfermons ici, pour un temps indéfini, en espérant que nous ne t’oublions pas plusieurs semaines. Personne ne passe dans les parages, tu pourrais crier autant que tu le voudrais, personne, en dehors de nous deux, ne pourrait venir te libérer… Nous te laissons 10 minutes pour réfléchir. Si tu acceptes, quand nous reviendrons, il nous faudra te trouver à genoux, les mains dans le dos, les fesses ne reposant pas sur tes talons et surtout la tête baissée.
Anne regarda Louis dans les yeux, essayant de savoir s’il était sérieux ou non. Malheureusement pour elle, il avait l’air on ne peut plus sérieux, aucun trait de son visage ne bougeait, sévère et impassible, il se détourna et .d’un geste de la tête, les deux frères sortirent. Anne commençait à avoir un peu peur. Les hommes de cette Famille l’avaient toujours intimidée. Sa mère l’avait toujours tenue à l’écart des activités du Château, puisque vivant dans une aile annexe mise à disposition pour les domestiques, elle avait entendu des rumeurs de femmes flagellées, animalisées, et sans se l’être jamais avouée, c’était une chose qui l’excitait et qu’elle rêvait en secret d’expérimenter. Mais elle n’avait jamais osé en parler à personnes. D’autre part elle n’était pas heureuse dans sa vie sexuelle car les garçons du village plus qu’égoïstes qu’autre chose ne pensaient qu’à leur propre plaisir au détriment du sien. Sans véritables limites, souvent livrée à elle-même, elle cherchait, en faisant tout et n’importe quoi, et surtout n’importe quoi, ce qui pourrait lui apporter de bonheur et du bien-être dans sa propre sexualité. Alors à la neuvième minute, elle se décida à se laisser aller à ce sentiment d’excitation qui l’envahissait peu à peu, et elle se mit en position exigée sentant son intimité s’humidifier.
Evidemment, les deux frères n’avaient eu aucunement l’intention de l’enfermer sans la laisser revenir. Ça avait été un coup de bluff pour l’amener à accepter leur Domination. Cela faisait longtemps qu’ils en parlaient entre eux présentant en elle un potentiel caché, connaissant sa réputation au village. Ils ne furent donc pas étonnés de la trouver à genoux quand ils entrèrent dans la hutte. Et à partir de ce jour, elle intégra le Cheptel MDE, restant au service des deux frères, tout en continuant, et bien plus sérieusement, ses études. Elle ne les quitta que le jour où elle rencontra un homme, dont elle tomba follement amoureuse et qu’elle servit également, car c’était aussi un Dominant et ami des Evans…’’ Voila le genre d’anecdote qu’oncle Louis aimait rappeler à son neveu
Ainsi se passa la soirée. Après le dessert, le Châtelain proposa une promenade dans le Grand Parc du Château, proposition qui fut acceptée à l’unanimité. En traversant les différents couloirs, l’oncle Louis se plaisait à rappeler quel tableau ou quelle statue à connotation D/s se trouvait à tel endroit, quelle expérience il avait vécu dans telle ou telle pièce. Mais quand il ouvrit la lourde porte d’entrée pour sortir du Château, il s’immobilisa et il resta muet de stupeur en joie, bouche bée. Après avoir passé plusieurs heures à vanter à son neveu les mérites du seul mode de vie avec lequel il se sentait bien et en harmonie, alors que ce dernier visiblement n’en avait plus cure, quelle ne fut pas sa surprise lorsque son regard se porta vers l’extérieur. Du haut du perron avait été déroulé un magnifique et long tapis rouge en velours. Absolument tout le Cheptel de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans se trouvait dehors, formant une magnifique haie d’honneur tout le long des marches du perron, ainsi que de l’allée de promenade menant dans les jardins à la française !
Les mâles et les femelles alternaient, que ce soit côte à côte ou face à face, ainsi que les positions… Position prosternée, à genoux, mains dans le dos ou sur la nuque, position de yoga du chien, sur le dos, genoux relevés, cuisses largement écartées, prosternés présentant des culs tous encombrés de plugs frappés aux Armoiries des Evans et parsemés d’éclat de saphir, à quatre pattes… Tous portaient sans exception un collier de métal à leur cou. Bref autant de positions diverses et variées, suggestives et excitantes. L’oncle et le neveu avançaient côte à côte, moi légèrement derrière eux. L’oncle Louis semblait émerveillé. Après la « frayeur » que lui avait fait son neveu lui faisant croire que ce monde de la Domination/soumission était derrière Lui et qu’Il ne s’y intéressait plus du tout, il appréciait la docilité et la parfaite immobilité de ces chiens et chiennes. Il exultait de bonheur arborant une mine radieuse par son large sourire, mine qui succéda très vite à la surprise du moment de sa bouche bée. Il ne cessait de répéter à son neveu comme il a bien été trompé dès son arrivée et que cette magnifique surprise était une véritable réussite et même plus que ça, que c’était une véritable bénédiction de continuer à perpétuer les us-et coutumes soit l’Art de vivre de la Famille des Evans qui a fait sa renommée au-delà des continents… Il exprima de la fierté peu commune envers son neveu… Sa main s’égarait régulièrement sur les corps des soumises et soumis. Pour l’occasion, tous les mâles avaient eu l’autorisation de quitter leurs cages de chasteté, et tous, sans exception arboraient de belles érections, que l’oncle vérifia soigneusement sur plus d’un. Il visita aussi quelques chattes baveuses, des culs souples, de ses doigts. Mais son neveu l’entrainait toujours plus loin...
Au fur et à mesure que nous avancions, les soumis et esclaves se mouvaient pour nous suivre deux à deux à quatre pattes, la haie d’honneur se refermant peu à peu. Celle-ci menait jusqu’au grand kiosque. En dessous se trouvaient deux fauteuils majestueux et entre les deux, il y avait un tapis. Le Maître invita Son oncle à s’asseoir puis Il me prit par la main et se pencha vers moi pour murmurer à mon oreille.
- Je veux que tu m’accompagnes à Mon bras jusqu’à ce que je prenne place. Alors, à ce moment-là, tu te déshabilleras devant nous et tu t’installeras sur le tapis, à genoux, cuisses écartées, mains sur la nuque. Interdiction dès lors de parler sans autorisation, tu reprends ta place d’esclave MDE.
Alors que nous avancions vers le kiosque, le Cheptel s’installa tout autour de celui-ci, en cercle, et en couple, et se prosterna culs tournés vers les Nobles. Lorsque le Maître fut installé et que je commençais à me dévêtir, l’oncle Louis ouvrit de grands yeux surpris et se tourna vers son neveu qui me fixait de Son regard Dominant. Une fois que je fus installée sur le tapis, le Maître se tourna vers Son oncle :
- Je te présente esclave Aphrodite MDE, une de Mes chiennes des plus performantes et dévouées. Voilà pourquoi j’ai voulu te faire croire que j’avais tourné le dos à notre monde. Je voulais que la surprise soit totale. Je voulais que tu connaisses d’abord la magnifique jeune femme qui se trouve en elle, avant de te présenter la sublime petite pute esclave chienne qu’elle est plus que tout !... Non, Mon oncle, je n’ai pas tourné le dos à notre monde de la Domination/soumission et je ne pense pas que mon père puisse être déçu vis-à-vis du Dominant que je suis devenu ! Ce soir, cette nuit, tu vas pouvoir juger de ma future épouse sur tout ce qui la caractérise. Tu as pu discuter avec la femme exquise à table, tu vas pouvoir tester l’esclave. Tout Mon Cheptel est également à ta disposition. Ils ont l’autorisation, et même l’exigence de s’accoupler toute la nuit, avec l’interdiction de jouir, sauf si tu décides de leur accorder, séparément ou tous ensemble, le droit à l’orgasme. Cette soirée a été organisée en ton honneur ! Tu trouveras, si tu le veux, dans la grande malle qui se trouve derrière nous différents accessoires D/s, et si jamais il te manquait quelque chose, fais appel à Walter qui restera à portée de voix, il saura te trouver et t’apporter ce qu’il faudra pour te satisfaire ! …
Oncle Louis voulut d’abord discuter avec son neveu, cette fois-ci partageant Ses expériences et Sa vraie vie, lui exprimer gratitude, fierté et bonheur, mais le Marquis Edouard d’Evans lui expliqua plus en détail comment j’étais arrivée à Ses pieds, comment j’avais conquis Son cœur, ce qui me fit sourire, tout en gardant une parfaite immobilité du corps. Tout en continuant leur discussion, Oncle Louis se leva pour examiner le contenu de la malle, et il se saisit de différents objets, avant de se rapprocher de moi. Il commença par me placer de mini pinces crocodiles, particulièrement mordantes sur les tétons et les lèvres intimes. Puis il saisit mes poignets pour les attacher à une barre d’écartement m’ordonnant de garder les bras tendus bien au-dessus de ma tête. C’était la première fois que je devais tenir cette position, et le poids de la barre rendait cet exercice particulièrement compliqué et douloureux. Mais il était hors de question pour moi de déshonorer le Maître devant Son oncle, venu pour estimer le mérite de Sa fiancée. Et je tins un temps que je ne saurais estimer. La situation se compliqua quand il vint se placer derrière moi et commença à m’appliquer des coups de divers instruments, chacun une vingtaine de minutes, sur toute la surface de mon corps.
Monsieur Le Marquis Edouard d’Evans finit par souhaiter une excellente soirée excitante et jouissive à Son oncle et se retira après m’avoir lancé un regard qui ne pouvait me laisser aucun doute sur Sa signification : « surtout ne Me déçois pas, si tu ne veux pas amèrement le regretter », suivi d’un clin d’œil qui aurait plus facile signifié « mais je n’ai aucun doute sur toi, et je t’aime ! »
La soirée orgiaque dura jusqu’au petit matin. Je crois que je revécus en une nuit tout ce que j’avais pu vivre depuis que j’étais arrivée aux pieds du Maître ! Je fus pénétrée par tous mes orifices, parfois même, grâce aux mâles présents, en double pénétration vaginale ou anale, voir même en ayant un sexe dans chacun de mes orifices, attachée dans un nombre incalculable de positions, fouettée, bifflée, cinglée, souillée. Je servis de vide couille et d’urinoir. L’oncle Louis, fit défiler tous les mâles du Cheptel pour me souiller aussi bien d’urine que de sperme, car ce fut à la fin de la soirée qu’ils eurent le droit d’éjaculer après avoir fait jouir toutes les femelles, et m’avoir tous pénétrer. Et contrairement à tous les autres, je ne reçus à aucun moment l’autorisation de jouir. Quand les premières lueurs de l’aube commencèrent à nous éclairer, tous les membres du Cheptel retournèrent dans leurs cachots ou leur chenil, et l’Oncle Louis me mena directement à la chambre du Maître qui s’éveillait également. Il quitta Son lit et passa un peignoir pour l’accueillir.
- Mon cher neveu, tu as là une chienne qui flirte avec l’excellence. Elle possède une endurance incroyable, et à travers elle, c’est toi qui honore ta Famille, car elle a prouvé que tu étais un excellent Maître qui savait parfaitement éduquer celles et ceux qui se trouvent à Ses pieds. Tu n’as pas non plus à rougir du reste de ton Cheptel. Je suis vraiment très fier, oui très, très fier de toi ! Et j’ai l’immense plaisir de te dire que je valide avec bonheur le choix de ta future épouse. J’ai également pu m’entretenir avec elle, tu n’as pas le moindre doute à avoir sur ses sentiments ou ses motivations à t’épouser ! Je vais maintenant aller me reposer, je n’ai plus vingt ans et cette nuit orgiaque a été agitée mais o combien merveilleuse en tout point.
Et après une chaude accolade à son neveu et une claque sur mon derrière relevé, par ma position prosternée, il quitta la chambre. Le Maître s’approcha de moi et tendit Son pieds vers moi, et je le Lui baisais avec bonheur, heureuse des éloges que Son aîné avait fait sur moi. Puis Il claqua des doigts, et je me relevais à genoux, mettant mes mains sur la nuque.
- Ma chienne, je suis vraiment fière de toi. Je ne suis pas réputé pour être tendre dans ma Dominance, mais mon Oncle l’est encore moins que moi, et je sais qu’il ne t’a pas ménagé ! Sache que j’ai passé une partie de ma nuit à ma fenêtre pour te regarder. Je veux te récompenser. Aujourd’hui, j’ai accordé une journée de repos à tout le Cheptel suite à cette nuit orgiaque. Et pour avoir également veillé, je suis également fatigué. Alors nous allons profiter du confort de mon lit. Je veux que ce soit la femme, Ma femme, Ma fiancée, qui vienne me rejoindre !
Et après qu’il se fut installé, je le rejoignis. Il me fit longuement l’amour dans une douceur et tendresse inouïes, se préoccupant à me donner du plaisir avant tout et j’éprouvais un bonheur incroyable ! Nous finîmes par nous endormir blottis l’un contre l’autre, heureux d’être chacun ce que nous étions…
(A suivre …)
Mais peu de temps après s’être installé autour de la table de la Grande Salle à Manger, après un moment de silence, Monsieur le Marquis Louis d’Evans se tourna vers son neveu et lui demanda sans autre préambule :
- Mon cher Edouard, aurais-tu honteusement abandonné la tradition de nos ancêtres ? Je ne vois aucun chien, aucune chienne pour agrémenter notre dîner !? …
Le Marquis Edouard d’Evans sourit. Cela avait été bien évidemment fait exprès. Il avait prévu pour Son oncle une surprise de taille, à la mesure de son rang et ien honneur à tous leurs aïeuls… Cette surprise devait avoir lieu plus tard dans la soirée. Le Châtelain continua donc sur Sa lancée visant à lui faire croire qu’il était passé à un mode de vie plus conventionnel, sans Domination/soumission…
- Mon cher oncle, toute bonne chose a une fin. J’ai fini par me lasser d’avoir toutes ces personnes à me servir. J’ai préféré me ranger à la vie normale, me trouver une femme que je pouvais aimer, avec qui fonder une famille et perpétuer la descendance des Marquis d’Evans.
Et pendant une bonne demi-heure, Celui que je regardais avec un regard d’adoration et de profonde dévotion, trouva mille et une raison, qui extraordinairement se tenaient et avaient un sens, pour avoir fait une croix sur Son mode de vie de Dominant, avec une conviction telle dans la voix, que quiconque ne sachant pas la vérité, ne pouvait la deviner. Et ce fut ainsi que le comprit l’oncle Louis, même si celui-ci marqua sa déception par une triste mine :
- Mon cher neveu, je ne te cache pas que je suis extrêmement déçu ! Les membres de la Famille des Evans sont des Dominants réputés depuis des siècles ! Tu es le seul représentant de la famille de ce côté-ci de l’Océan, tu as un devoir moral envers tes ancêtres ! Je suis vraiment très déçu … et si ton père te voyait, il le serait bien certainement aussi, lui qui t’avait tout enseigné !
Le repas continua. Le Maître cherchait à parler de sujets légers, mais l’oncle Louis revenait sans cesse sur le passé de Dominants de la Noble Famille des Evans, racontant divers anecdotes s’étant déroulées entre les deux frères dans leurs jeunesses et mille autres racontées par leur père :
‘‘Comme cette fois, alors qu’ils avaient 20 et 18 ans, où ils se baladaient dans l’immense forêt du Domaine. Ils trouvèrent la fille de leur gouvernante, qui venait de fêter sa majorité et avait bravé l’interdit de sa mère de sortir du Château après être rentrée d’une soirée plus que bien arrosée. Elle portait une tenue provocante, un haut à décolleté profond en dentelle noir, qui ne cachait absolument rien de sa généreuse poitrine, et une mini-jupe rouge vif. Ces tenues avaient le don d’exaspérer sa mère qui pensait qu’elle finirait par mal tourner. Les deux jeunes hommes, en la voyant, s’approchèrent d’elle sans se faire entendre ni voir, puisqu’elle leur tournait le dos. L’oncle Louis, en tant qu’ainé, s’adressa à elle en premier. Tous étaient au courant au Château du comportement de cette jeune fille prénommée Anne. Et également du temps où elle ne devait pas sortir du Château, afin de rattraper son retard dans ses études. Il prit sa voix la plus grave, la plus sèche :
- Eh bien Anne ! Que fais-tu ici ? N’es-tu pas censée être dans ta chambre en train de travailler tes leçons ?
- Vous n’êtes pas ma mère, cela ne Vous regarde pas, Monsieur !
Son ton était dédaigneux, elle prenait de haut les deux nobles, qui se regardèrent en souriant. Charles passa derrière elle, d’un mouvement très vif, lui sait les poignets d’une seule main et de l’autre appuya sur ses épaules pour la faire mettre à genoux. Anne eut l’air surprise, presque effrayée, mais par fierté, elle ne voulut pas montrer sa peur et elle releva la tête bien haute regardant Louis d’un air de défi.
- Eh bien que pensez-vous faire de moi maintenant ? Ne croyez pas que vous puissiez utiliser la force sur moi. Toute employée qu’elle est, ma mère ne manquerait pas d’en référer à votre cher père !
- Tu es sortie sans que personne ne te voit. Nous pourrions te séquestrer, personne ne saurait jamais ce que tu es devenue ! D’ailleurs, c’est une idée, ça ! Charles, relève là, tu sais où nous l’emmenons ?
Sur un signe de tête, le plus jeune des frères releva la jeune femme, après lui avoir enlevé ses chaussures et ses bas. Anne se plaignait de la dureté des pierres, assurait que cela ne se passerait pas ainsi, mais avançait tout de même, les mains toujours tenues d’une poigne ferme dans son dos. Ils arrivèrent à une petite hutte de bucheron abandonnée, que les deux frères utilisaient régulièrement. Quand ils furent rentrés et que la porte fut refermée, elle fut relâchée. Pendant un instant, personne ne parla, jusqu’à ce qu’un des deux frères lancent un :
- Déshabille-toi !
Anne était joueuse et il faut bien le reconnaitre, n’avait pas froid aux yeux avec les garçons du village (ce que savaient très bien les deux frères). Sur le moment, elle voulut refuser et essayer de sortir, plus par jeu ou défi que par crainte, mais elle se dit qu’une partie de jambes en l’air à trois dans la nature ne pouvait pas faire de mal. Elle avait confiance en ses charmes, et pensait pouvoir mener à la baguette les deux hommes. Alors elle se dénuda, tortillant des fesses pour les aguicher en bonne salope qu’elle était en réalité. A un moment où elle leur tourna le dos, Louis se saisit d’une branche de noisetier qui était prête à servir, et lui donna un coup cinglant sur les fesses. Anne se retourna en criant, les yeux grands ouverts.
- Bien, maintenant, c’est simple ! Soit tu te soumets à nous, tu nous obéis, bref tu te donnes volontairement à nous ! Soit nous t’enfermons ici, pour un temps indéfini, en espérant que nous ne t’oublions pas plusieurs semaines. Personne ne passe dans les parages, tu pourrais crier autant que tu le voudrais, personne, en dehors de nous deux, ne pourrait venir te libérer… Nous te laissons 10 minutes pour réfléchir. Si tu acceptes, quand nous reviendrons, il nous faudra te trouver à genoux, les mains dans le dos, les fesses ne reposant pas sur tes talons et surtout la tête baissée.
Anne regarda Louis dans les yeux, essayant de savoir s’il était sérieux ou non. Malheureusement pour elle, il avait l’air on ne peut plus sérieux, aucun trait de son visage ne bougeait, sévère et impassible, il se détourna et .d’un geste de la tête, les deux frères sortirent. Anne commençait à avoir un peu peur. Les hommes de cette Famille l’avaient toujours intimidée. Sa mère l’avait toujours tenue à l’écart des activités du Château, puisque vivant dans une aile annexe mise à disposition pour les domestiques, elle avait entendu des rumeurs de femmes flagellées, animalisées, et sans se l’être jamais avouée, c’était une chose qui l’excitait et qu’elle rêvait en secret d’expérimenter. Mais elle n’avait jamais osé en parler à personnes. D’autre part elle n’était pas heureuse dans sa vie sexuelle car les garçons du village plus qu’égoïstes qu’autre chose ne pensaient qu’à leur propre plaisir au détriment du sien. Sans véritables limites, souvent livrée à elle-même, elle cherchait, en faisant tout et n’importe quoi, et surtout n’importe quoi, ce qui pourrait lui apporter de bonheur et du bien-être dans sa propre sexualité. Alors à la neuvième minute, elle se décida à se laisser aller à ce sentiment d’excitation qui l’envahissait peu à peu, et elle se mit en position exigée sentant son intimité s’humidifier.
Evidemment, les deux frères n’avaient eu aucunement l’intention de l’enfermer sans la laisser revenir. Ça avait été un coup de bluff pour l’amener à accepter leur Domination. Cela faisait longtemps qu’ils en parlaient entre eux présentant en elle un potentiel caché, connaissant sa réputation au village. Ils ne furent donc pas étonnés de la trouver à genoux quand ils entrèrent dans la hutte. Et à partir de ce jour, elle intégra le Cheptel MDE, restant au service des deux frères, tout en continuant, et bien plus sérieusement, ses études. Elle ne les quitta que le jour où elle rencontra un homme, dont elle tomba follement amoureuse et qu’elle servit également, car c’était aussi un Dominant et ami des Evans…’’ Voila le genre d’anecdote qu’oncle Louis aimait rappeler à son neveu
Ainsi se passa la soirée. Après le dessert, le Châtelain proposa une promenade dans le Grand Parc du Château, proposition qui fut acceptée à l’unanimité. En traversant les différents couloirs, l’oncle Louis se plaisait à rappeler quel tableau ou quelle statue à connotation D/s se trouvait à tel endroit, quelle expérience il avait vécu dans telle ou telle pièce. Mais quand il ouvrit la lourde porte d’entrée pour sortir du Château, il s’immobilisa et il resta muet de stupeur en joie, bouche bée. Après avoir passé plusieurs heures à vanter à son neveu les mérites du seul mode de vie avec lequel il se sentait bien et en harmonie, alors que ce dernier visiblement n’en avait plus cure, quelle ne fut pas sa surprise lorsque son regard se porta vers l’extérieur. Du haut du perron avait été déroulé un magnifique et long tapis rouge en velours. Absolument tout le Cheptel de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans se trouvait dehors, formant une magnifique haie d’honneur tout le long des marches du perron, ainsi que de l’allée de promenade menant dans les jardins à la française !
Les mâles et les femelles alternaient, que ce soit côte à côte ou face à face, ainsi que les positions… Position prosternée, à genoux, mains dans le dos ou sur la nuque, position de yoga du chien, sur le dos, genoux relevés, cuisses largement écartées, prosternés présentant des culs tous encombrés de plugs frappés aux Armoiries des Evans et parsemés d’éclat de saphir, à quatre pattes… Tous portaient sans exception un collier de métal à leur cou. Bref autant de positions diverses et variées, suggestives et excitantes. L’oncle et le neveu avançaient côte à côte, moi légèrement derrière eux. L’oncle Louis semblait émerveillé. Après la « frayeur » que lui avait fait son neveu lui faisant croire que ce monde de la Domination/soumission était derrière Lui et qu’Il ne s’y intéressait plus du tout, il appréciait la docilité et la parfaite immobilité de ces chiens et chiennes. Il exultait de bonheur arborant une mine radieuse par son large sourire, mine qui succéda très vite à la surprise du moment de sa bouche bée. Il ne cessait de répéter à son neveu comme il a bien été trompé dès son arrivée et que cette magnifique surprise était une véritable réussite et même plus que ça, que c’était une véritable bénédiction de continuer à perpétuer les us-et coutumes soit l’Art de vivre de la Famille des Evans qui a fait sa renommée au-delà des continents… Il exprima de la fierté peu commune envers son neveu… Sa main s’égarait régulièrement sur les corps des soumises et soumis. Pour l’occasion, tous les mâles avaient eu l’autorisation de quitter leurs cages de chasteté, et tous, sans exception arboraient de belles érections, que l’oncle vérifia soigneusement sur plus d’un. Il visita aussi quelques chattes baveuses, des culs souples, de ses doigts. Mais son neveu l’entrainait toujours plus loin...
Au fur et à mesure que nous avancions, les soumis et esclaves se mouvaient pour nous suivre deux à deux à quatre pattes, la haie d’honneur se refermant peu à peu. Celle-ci menait jusqu’au grand kiosque. En dessous se trouvaient deux fauteuils majestueux et entre les deux, il y avait un tapis. Le Maître invita Son oncle à s’asseoir puis Il me prit par la main et se pencha vers moi pour murmurer à mon oreille.
- Je veux que tu m’accompagnes à Mon bras jusqu’à ce que je prenne place. Alors, à ce moment-là, tu te déshabilleras devant nous et tu t’installeras sur le tapis, à genoux, cuisses écartées, mains sur la nuque. Interdiction dès lors de parler sans autorisation, tu reprends ta place d’esclave MDE.
Alors que nous avancions vers le kiosque, le Cheptel s’installa tout autour de celui-ci, en cercle, et en couple, et se prosterna culs tournés vers les Nobles. Lorsque le Maître fut installé et que je commençais à me dévêtir, l’oncle Louis ouvrit de grands yeux surpris et se tourna vers son neveu qui me fixait de Son regard Dominant. Une fois que je fus installée sur le tapis, le Maître se tourna vers Son oncle :
- Je te présente esclave Aphrodite MDE, une de Mes chiennes des plus performantes et dévouées. Voilà pourquoi j’ai voulu te faire croire que j’avais tourné le dos à notre monde. Je voulais que la surprise soit totale. Je voulais que tu connaisses d’abord la magnifique jeune femme qui se trouve en elle, avant de te présenter la sublime petite pute esclave chienne qu’elle est plus que tout !... Non, Mon oncle, je n’ai pas tourné le dos à notre monde de la Domination/soumission et je ne pense pas que mon père puisse être déçu vis-à-vis du Dominant que je suis devenu ! Ce soir, cette nuit, tu vas pouvoir juger de ma future épouse sur tout ce qui la caractérise. Tu as pu discuter avec la femme exquise à table, tu vas pouvoir tester l’esclave. Tout Mon Cheptel est également à ta disposition. Ils ont l’autorisation, et même l’exigence de s’accoupler toute la nuit, avec l’interdiction de jouir, sauf si tu décides de leur accorder, séparément ou tous ensemble, le droit à l’orgasme. Cette soirée a été organisée en ton honneur ! Tu trouveras, si tu le veux, dans la grande malle qui se trouve derrière nous différents accessoires D/s, et si jamais il te manquait quelque chose, fais appel à Walter qui restera à portée de voix, il saura te trouver et t’apporter ce qu’il faudra pour te satisfaire ! …
Oncle Louis voulut d’abord discuter avec son neveu, cette fois-ci partageant Ses expériences et Sa vraie vie, lui exprimer gratitude, fierté et bonheur, mais le Marquis Edouard d’Evans lui expliqua plus en détail comment j’étais arrivée à Ses pieds, comment j’avais conquis Son cœur, ce qui me fit sourire, tout en gardant une parfaite immobilité du corps. Tout en continuant leur discussion, Oncle Louis se leva pour examiner le contenu de la malle, et il se saisit de différents objets, avant de se rapprocher de moi. Il commença par me placer de mini pinces crocodiles, particulièrement mordantes sur les tétons et les lèvres intimes. Puis il saisit mes poignets pour les attacher à une barre d’écartement m’ordonnant de garder les bras tendus bien au-dessus de ma tête. C’était la première fois que je devais tenir cette position, et le poids de la barre rendait cet exercice particulièrement compliqué et douloureux. Mais il était hors de question pour moi de déshonorer le Maître devant Son oncle, venu pour estimer le mérite de Sa fiancée. Et je tins un temps que je ne saurais estimer. La situation se compliqua quand il vint se placer derrière moi et commença à m’appliquer des coups de divers instruments, chacun une vingtaine de minutes, sur toute la surface de mon corps.
Monsieur Le Marquis Edouard d’Evans finit par souhaiter une excellente soirée excitante et jouissive à Son oncle et se retira après m’avoir lancé un regard qui ne pouvait me laisser aucun doute sur Sa signification : « surtout ne Me déçois pas, si tu ne veux pas amèrement le regretter », suivi d’un clin d’œil qui aurait plus facile signifié « mais je n’ai aucun doute sur toi, et je t’aime ! »
La soirée orgiaque dura jusqu’au petit matin. Je crois que je revécus en une nuit tout ce que j’avais pu vivre depuis que j’étais arrivée aux pieds du Maître ! Je fus pénétrée par tous mes orifices, parfois même, grâce aux mâles présents, en double pénétration vaginale ou anale, voir même en ayant un sexe dans chacun de mes orifices, attachée dans un nombre incalculable de positions, fouettée, bifflée, cinglée, souillée. Je servis de vide couille et d’urinoir. L’oncle Louis, fit défiler tous les mâles du Cheptel pour me souiller aussi bien d’urine que de sperme, car ce fut à la fin de la soirée qu’ils eurent le droit d’éjaculer après avoir fait jouir toutes les femelles, et m’avoir tous pénétrer. Et contrairement à tous les autres, je ne reçus à aucun moment l’autorisation de jouir. Quand les premières lueurs de l’aube commencèrent à nous éclairer, tous les membres du Cheptel retournèrent dans leurs cachots ou leur chenil, et l’Oncle Louis me mena directement à la chambre du Maître qui s’éveillait également. Il quitta Son lit et passa un peignoir pour l’accueillir.
- Mon cher neveu, tu as là une chienne qui flirte avec l’excellence. Elle possède une endurance incroyable, et à travers elle, c’est toi qui honore ta Famille, car elle a prouvé que tu étais un excellent Maître qui savait parfaitement éduquer celles et ceux qui se trouvent à Ses pieds. Tu n’as pas non plus à rougir du reste de ton Cheptel. Je suis vraiment très fier, oui très, très fier de toi ! Et j’ai l’immense plaisir de te dire que je valide avec bonheur le choix de ta future épouse. J’ai également pu m’entretenir avec elle, tu n’as pas le moindre doute à avoir sur ses sentiments ou ses motivations à t’épouser ! Je vais maintenant aller me reposer, je n’ai plus vingt ans et cette nuit orgiaque a été agitée mais o combien merveilleuse en tout point.
Et après une chaude accolade à son neveu et une claque sur mon derrière relevé, par ma position prosternée, il quitta la chambre. Le Maître s’approcha de moi et tendit Son pieds vers moi, et je le Lui baisais avec bonheur, heureuse des éloges que Son aîné avait fait sur moi. Puis Il claqua des doigts, et je me relevais à genoux, mettant mes mains sur la nuque.
- Ma chienne, je suis vraiment fière de toi. Je ne suis pas réputé pour être tendre dans ma Dominance, mais mon Oncle l’est encore moins que moi, et je sais qu’il ne t’a pas ménagé ! Sache que j’ai passé une partie de ma nuit à ma fenêtre pour te regarder. Je veux te récompenser. Aujourd’hui, j’ai accordé une journée de repos à tout le Cheptel suite à cette nuit orgiaque. Et pour avoir également veillé, je suis également fatigué. Alors nous allons profiter du confort de mon lit. Je veux que ce soit la femme, Ma femme, Ma fiancée, qui vienne me rejoindre !
Et après qu’il se fut installé, je le rejoignis. Il me fit longuement l’amour dans une douceur et tendresse inouïes, se préoccupant à me donner du plaisir avant tout et j’éprouvais un bonheur incroyable ! Nous finîmes par nous endormir blottis l’un contre l’autre, heureux d’être chacun ce que nous étions…
(A suivre …)
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