La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1198)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1198) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1198)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1197 et texte amélioré par MDE) -

Donner ainsi des envies à des inconnus m’excite encore un peu plus…

La voiture s’éloigne de la ville et bientôt nous passons sous des grilles immenses et pénétrons dans un spacieux parc. Monsieur le Marquis d’Evans prend alors la parole :

- Vous êtes ici pour satisfaire les envies d’hommes au calibre si… hors normes, qu’ils ne trouvent pas chaussures à leurs pieds. Vos rondelles sont suffisamment travaillées et assouplies pour les avaler. Votre priorité sera donc de les satisfaire en tout point ! Mais interdiction de jouir sauf ordre ! Est-ce clair ?
- Oui Seigneur et Maître Vénéré répond L’esclave du Marquis
- Oui Monsieur, répondons-nous à l’unisson esclave Harmonie et moi-même.

Maîtresse Céline ajoute en me prenant à part :

- Ne me déçois pas, petite assoiffée de foutre que tu es. Et fais honneur à ton éducation de bonne petite chienne obéissante !

Loin de me blesser, ces mots prononcés avec une chaleur immense et une certaine fierté, m’encouragent à donner le meilleur de moi-même... Nous arrivons devant une très belle demeure au parc immense, protégée des regards indiscrets de voisins potentiels par de haut mur entourant le Domaine détenue par un des hommes que nous devons satisfaire et qui, j’apprendrai plus tard, offre tout le nécessaire tels que repas, salle, salle de bains et nous-même soumises et esclaves au service de ses amis montés comme des étalons…. On nous fait entrer via une porte dérobée donnant sur un étroit couloir. Une fois celui-ci traversé, nous pénétrons dans une vaste et luxueuse pièce capitonnée de velours au haut plafond à la française et éclairée par de magnifiques lustres. Au fond, sur un pan entier d’un mur, un immense tableau de maitre, représentant une belle scène érotique en pleine nature est flanquée aux regards inévitables. Devant ce tableau, une bonne vingtaine d’hommes nous font face dans un demi-cercle parfait, entièrement nus, attendant la main à leur queue qu’ils branlent. On a beau m’avoir tout juste expliqué à quoi m’attendre, je suis impressionnée par la taille extrême des calibres devant moi et ressens de l’appréhension à être possédée par eux. Je me ressaisis en me sermonnant dans mon esprit : Maîtresse Céline sait ce qu’elle fait de moi et de mon corps. D’ailleurs, ayant certainement perçu ma peur, elle me cajole le dos et ajoute de manière très persuasive :

- Tu vas aimer ma salope de chienne en chaleur, et tu en redemanderas !

On nous place d’abord en Vénus callipyge, dos aux hommes, soulevant nos vestes longues et nous cambrant pour regarder par-dessus notre épaule nos belles fesses. Je vois les hommes saliver à la vue de nos postérieurs arrondis. Nous nous mettons ensuite complètement nues et nous mettons en rond en nous tenant par les épaules pour former une autre statue de la Grèce antique, celle des trois Grâces représentant avec respectivement esclave Phryné MDE pour le charme, esclave Harmonie pour la beauté, et moi-même pour la joie. Les hommes sont alors invités à s’approcher pendant que chacun des Dominants présents préparent sa pouliche en assouplissant nos rondelles avec du lubrifiant de leur concoction.

- Toi ma salope, tu as peut-être peur mais pas ton corps ! Regarde comme il te trahit, ma belle ! Tu mouilles du cul comme la bonne chienne en chaleur que tu es ! s’exclame Maîtresse Céline en mettant sa main recouverte de mes liqueurs dans ma bouche entrouverte, signe d’offrande.

Je vois l’avidité briller dans le regard de ces hommes alors que je lèche avec sensualité, passant et repassant ma langue agile entre les doigts fins de la sublime Maîtresse qui daigne me soumettre. Un premier homme s’approche de L’esclave du Marquis pour se faire lécher, un autre entre en direct dans la rondelle d’esclave Harmonie, qui s’accroche à mes épaules et qui fait un rond de sa bouche en un cri silencieux car on lui a interdit de prononcer le moindre son. Son cul lubrifié avale cet énorme chibre comme si de rien n’était. Voir ce calibre s’enfoncer si facilement est extrêmement impressionnant. L’homme pistonne allègrement le cul de la belle en la maintenant fermement par les hanches, cette subite saillie est profonde, virile, animale et c’est en quelques puissants coups de reins seulement, que jouit très vite cet étalon au sexe à la taille incroyable et cède sa place à un autre avec une caresse tendre en direction d’esclave Harmonie.

Nous sommes alors séparées et tandis que certains vont s’asseoir pour siroter des jus de fruits ou du café, d’autres s’occupent de nous. On me met alors un corset avec bas et porte-jarretelles et un homme se place derrière moi. Maîtresse Céline me tient et exige de m’appuyer sur elle. Elle me caresse le dos et m’encourage alors que je sens un volumineux gland d’un bon 8 cm de diamètre passer et repasser autour de ma rondelle qui se crispe. L’homme me complimente sur mon beau cul appétissant, à tel point qu’il me dit clairement son envie de me prendre, de me saillir, de m’enculer et qu’il va prendre du plaisir avec moi. En me maintenant fermement de ses mains sur les hanches, il s’enfonce alors un peu en moi, après avoir lui-même lubrifié son phallus puis rajouté du gel à l’entrée de mon anus. Quand il ajuste son gland, il s’arrête et enfouit son visage dans mon cou en me susurrant que je suis aussi bonne qu’il le pensait avec un soupir d’aise qui me détend d’un coup. Petit à petit, il entre de plus en plus profond en ma cavité anale et sa queue me pénètre doucement en augmentant progressivement l’amplitude de ses petits coups de reins qui deviennent de plus en plus amples. Enfin, quand il est totalement en moi, il place ma jambe gauche sur un meuble et soupire :

- Bonne salope ! Qu’est-ce que tu es une bonne soumise, ton cul de putain a avaler ma bite bien aisément, la chienne !, en appuyant bien sur le dernier mot.

Il me titille alors mon petit bouton rose en le décalottant de ses doigts pour me le branler alors qu’il commence à me pilonner le cul sur toute la longueur impressionnante de sa grosse bite. Je suis remplie comme jamais ! Et je mouille comme rarement ! Très vite, l’homme accentue ses coups de boutoirs, ses couilles frappent contre mes fesses, il me prend à la hussarde jusqu’à la garde pour enfin exploser dans mes entrailles en des cris rauques. Il en pleure presque de joie. Il se retire rapidement et me fait lécher son gland, chose que je fais avec avidité telle la petite chienne toute en chaleurs. Ensuite, il me prend dans ses bras pour m’embrasser et me dire qu’il reviendra bien vite quand il se sera rechargé les couilles. Puis les autres hommes, moins ‘timides’ peut-être après ce premier passage, s’approchent à trois autour de moi. Mes mains sont mises aussi à contribution. On m’exige de les exciter alors je leur dis de manière suave à quel point je suis une bonne chienne salope, que j’aime leurs queues qui me remplissent divinement le cul, que je souhaite lécher leur trou de balle et ils ne se font pas prier pour me présenter leur fion à ma langue pendant qu’un autre investit ma porte de derrière. Je précise que j’adore sentir leur anus palpiter sous ma langue de salope. Ils m’offrent leur foutre que je reçois avec honneur et un plaisir sans borne. Je suis de plus en plus souillée de leur sperme chaud…

Une véritable orgie s’organise autour de nos trois corps de femelles offerts. Voir les hommes caresser le fessier qui vient de recevoir le jus et enfiler sa bite qui glisse comme dans du beurre est d’une excitation extrême. J’ai envie de me soulager et de jouir à tout va ! Je me sens tellement remplie ainsi, tellement femelle ! Je me suis transformée en torche vivante et le moindre attouchement ravive la flamme. Maîtresse Céline qui me fait la grâce de m’éduquer s’en aperçoit et demande à l’homme alors en action de se retirer de mon cul pour que je lèche son gland violacé empli de mes sécrétions anales, comme une glace. Mon bas ventre est en feu, j’ai une telle envie de jouir ! Je ne pensais pas que l’on puisse avoir autant envie ! On m’ordonnerait de jouir, je laisserai éclater des orgasmes discontinus et qui seraient à l’évidence explosifs. Nous formons un sacré tableau. Les hommes jouissent en moyenne trois à quatre fois en nous, et le terme de « citerne à foutre » prend tout son sens. Je n’ai pas de miroir pour voir le résultat mais je me doute que nous sommes toutes pareilles, souillées, bien baisées, bien enculées. Que ce soit esclave Phryné MDE ou esclave Harmonie, les deux sont couvertes de spermes laiteux et bien épais.

Voir également le bonheur immense se refléter dans les yeux de ses hommes est un honneur sans aucune mesure. L’idée d’apporter du bien par son ventre est un plaisir sans borne, l’idée aussi d’être utilisée, que l’on use et abuse de mon corps m’apporte un épanouissement sublime, cela donne du sens à ma soumission et j’en suis transportée ! Maîtresse Céline avait raison, on en redemande ! Au bout d’un temps de quelques heures, les hommes finissent par être vidés et épuisés et donc pour clore la session, nous nous remettons debout, nues en rond pour former de nouveau la statue vivante des trois Grâces et nous nous léchons mutuellement pour récupérer tout ce bon nectar avant de nous emmener nous doucher rapidement à l’eau froide parce que, je cite, nous sommes « indécentes » ainsi. Les hommes remercient chaleureusement les Dominants d’avoir mis à leur service des pouliches telles que nous. Ensuite, les Maîtres qui nous soumettent nous ordonnent chacun de les sucer. Un long gémissement roule dans ma poitrine quand je goutte la saveur si singulière et délicieuse du si beau sexe glabre de Maîtresse Céline qui m’asperge de cyprine. Elle me travaille le clito qui n’en demandait pas tant pour réagir instantanément et elle me commande de jouir à son décompte jusqu’à 10. Je suis alors emportée par une vague incandescente qui déferle dans tout mon corps et me laisse pantelante.

Et nous repartons comme nous sommes venus dans la limousine. A la différence de l’aller, nous avons l’autorisation de prendre appui sur le dossier et de dormir, cuisses toujours offertes, et veste largement ouverte pour dénuder nos seins. Durant le trajet, Maître Doc, placé entre esclave Phryné MDE et moi-même, nous réveille et nous exige de le sucer de nouveau. Nous nous penchons donc sur sa verge que nous léchons de concert. Le Dominant réveille aussi sa chienne et lui ordonne de nous regarder. Je lis l’envie luire dans le regard de sa si belle chienne Harmonie et j’en ai explication quand Maître Doc précise d’un ton bourru :

- Tu vois esclave Harmonie ? Tu n’as pas l’honneur de sucer ma queue ! Tu m’as déçu aujourd’hui en jouissant alors que tu n’étais pas autorisée ! Tu es plus d’expériences et tu dois montrer l’exemple. Tu aurais dû te contrôler même avec ces deux bites dans ton cul, aussi grosses soient-elles ! Il t’en reste des choses à apprendre !

Ce constat me gêne parce que moi aussi j’aurais joui si ma rondelle avait été si distendue. Maîtresse Céline me détaillera plus tard que tel un cheval fougueux, esclave Harmonie a une très forte personnalité qui oblige le Maître qui l’éduque à abaisser sa fierté. Après une dernière collation une fois de retour au Château, nous nous sustentons dans des gamelles pour nous femelles alors que les Dominants qui daignent nous éduquer savourent pour chacun un bon Whisky. Ensuite après les politesses d’usage, Maîtresse Céline prend congé et complimente Monsieur Le Marquis pour ses esclaves si bien dressées.

- Mais je vous retourne le compliment, ma chère Amie… Je me suis bien délecté avec soumise Alice, répond-il avec une voix malicieuse, tout en me caressant la nuque dans un geste paternaliste.

Je rougis de plaisir et de fierté et si je pouvais, je ronronnerais comme un chat. D’ailleurs j’ai dû essayer de le faire car le Noble ajoute :

- Chuuutt, ne trouble pas cet instant ! …

(A suivre…)

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