La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1234)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1234) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1234)
chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1224) -

Monsieur le Marquis finit par se vider de nouveau en moi …

- Je te confis à cet homme pour la nuit Ma chienne, j’aurai aimé continuer toute la nuit à te prendre mais comme tu es l’attraction de cet homme, tu vas lui obéir comme si c’était Moi. Tache de ne pas Me décevoir. Maintenant suit-le et fait-Moi honneur.

Durant toute la nuit l’homme auquel Monsieur le Marquis d’Evans m’avait confié, me baisa plus que raison, usant et abusant de mon corps, tout en le marquant fortement entre fouet, badine, martinet et bien d’autres accessoires. Il me réveilla à plusieurs reprises pour soulager ses fortes érections tantôt dans ma bouche, tantôt dans mon cul ou dans ma chatte me baisant selon ses envies comme un vulgaire objet sexuel et m’interdisant de jouir... J’étais son vide-couilles pour la nuit et il ne se priva pas d’en abuser… Vers 5h du matin, il m’attacha aux pieds du lit et s’endormit, je fis de même sans demander mon reste. A mon réveil, il n’était déjà plus là. Je descendis comme tous les jours en cuisine pour prendre, dénudée et en quadrupédie, mon petit déjeuner soit une bouillie très calorique. Une fois finie, je fus conduite dans le bureau de Walter avec quelques soumis et soumises du Maitre...

- Comme toujours après une soirée au Château, il est temps que le nettoyage soit réalisé, alors chacun d’entre vous s’occupera d’une pièce et qu’elle soit rendue propre ou je vous promets une exaction exemplaire. Exécution ! soumise Venus, toi tu restes avec moi, j’ai à te parler, conclut le Majordome.

J’attendis donc à genoux que Walter donne à chaque soumises et soumis les différentes pièces à nettoyer. Quand il eut fini et que tout le monde était parti travaillé, il s’approcha de moi me caressant la joue, puis il me fit me lever et continua ses caresses pour arriver à mon clitoris qu’il branla avec vigueur. Je sentais en moi la jouissance arriver mais je me forçais à me retenir car je savais que Maitre était intransigeant concernant Ses Exigences. D’ailleurs, une fois, cela m’était arrivé de jouir sans y être autorisée et la sanction avait été une mise à pied, une exclusion pure et simple du Château pendant une durée indéterminée et que Lui seul savait et ce fut un réel déchirement pour moi. Je me sentis seule et abandonnée et je me souviens que j’avais vacillé plusieurs fois à revenir vers Lui mais sans résultat. Je me souviens aussi, que des fois, j’étais en colère qu’Il me laisse seule sans instructions et directives, triste aussi qu’il se désintéresse de moi. De colère, j’ai même voulu partir pour toujours, le mail était prêt mais ça n’aurait été que fuir, ne pas assumer ma faute, me priver du bonheur de Le retrouver quand Il le déciderait mais aussi encore plus déshonorer le Noble si j’avais envoyé ce mail… A l’évidence, mon égo m’était néfaste, je manquais de patience, de maturation car j’ai fini par comprendre que la colère ne mène à rien et que la véritable abnégation envers Lui était d’arriver à accepter Sa sanction, de reconnaître platement que j’avais fauté et que je devais inévitablement payer le prix de cette désobéissance dans tout simplement l’acceptation de Son verdict...

Quand Walter eut fini de me branler, il sortit sa grosse verge déjà durcie et dressée et il me l’enfonça sans préambule dans ma cavité buccale jusqu'à la garde et me baisa la bouche comme s’il prenait possession de ma chatte ou de mon cul sans ménagement. Cet acte m’excitait énormément, je dirais même que j’adore ça. Une vraie chienne en chaleur. Au bout d’un moment, à force de me labourer la bouche avec laquelle je respirais difficilement, je sentais les prémices de l’éjaculation du Majordome et je me préparais donc à le recevoir dans ma bouche mais il se retira très rapidement et se déversa sur mon visage et sur mes cheveux. Puis avec ses mains, il étala sa semence chaude sur mes seins. Et pour finir, il me donna l’ordre de lui nettoyer sa bite devenue toute mollassonne, ce que je fis avec obéissance et plaisirs. Je passai la journée avec lui, je fis tout ce qu’il m’exigea sans me poser la moindre question, ainsi il me baisa plusieurs fois dans la journée, la chatte et le cul par des saillies vigoureuses, sachant que lui obéir c’était comme obéir à Monsieur le Marquis d’Evans...

Une heure avant le repas, je lui demandai l’accord pour me connecter sur mon pc de travail car j’avais pris du retard sur mes commandes et surtout que le lendemain j’avais une réunion à préparer assez importante. Il accéda à ma demande, et il me dit d’aller dans la pièce attenante au bureau du Châtelain mais de ne surtout pas faire de bruit car Maitre Lui aussi travaillait et ne voulait en aucun cas être dérangé… Une fois installée dans la pièce, je me mis de suite au travail et cela me prit toute la soirée et une bonne partie de la nuit, entre mails et organisation logistique pour ladite réunion. Je me fis toute petite pour ne pas déranger le Noble qui Lui aussi travaillait. Une fois finie, je validais donc mes rapports et au moment où j’allais éteindre mon ordinateur, un message sur Skype de Monsieur le Marquis fit son apparition :

« Ma chienne, si tu as fini de travailler, viens me voir, Le Maitre. »

Le Châtelain savait si j’étais disponible ou pas lors de mes déplacements car je devais toujours laisser en mode visible mon compte Skype ouvert et connecté quand je travaillais dessus. Donc je finis de boucler les derniers papiers et je coupai mon ordinateur. Puis je sortis et pris la direction du bureau du Noble juste la pièce à côté et celle-ci avait la porte grande ouverte, côté couloir. J’entrai donc et m’installais prosternée aux pieds de Maitre et attendis. Une fois qu’il eut fini, il laissa planer un silence assez long en me toisant puis il finit par me dire :

- Ma belle, tu es toujours aussi belle dans cette position, je pourrai passer ma journée à te regarder à ta place… Bon, par ailleurs et comme tu sais, Ma chienne, nous avons une réunion demain, j’aurai un peu de retard donc tu commenceras sans m’attendre, compris ! Réponds-moi, tu es autorisée à parler
- Oui Maitre, je ferais selon Vos exigences
- C’est bien Ma petite chienne… A genoux de suite… Voila, tu es sublime ! Là tu es à ta place, ne l’oublie jamais, n’oublie jamais que tu es à Moi, tu es Ma propriété absolue et pour toujours. Et Je vais te le rappeler immédiatement… Suis-moi dans Ma chambre et une fois arrivée, tu te mettras dans la douche à genoux…

Je suivis Maitre à quatre pattes jusqu'à Sa chambre et fis ce qu’Il m’avait ordonné. Je me suis mise à genoux dans la douche fière de ma condition et j’attendais que le Châtelain arrive.

- Bien Ma chienne, tu vas passer la nuit avec Moi, telle est Mon envie, mais avant tu vas devoir le mériter. Ouvre ta bouche de petite chienne en chaleur et avale tout ce que Je vais daigner te donner et ne bouge pas d’un millimètre, salope en chaleur….

Je fis ce que Maitre m’avait ordonné avec un peu d’appréhension car j’avais compris, il allait me faire l’honneur d’une douche dorée mais j’avais peur aussi car je n’avais jamais du avaler de l’urine. Mais j’allais surmonter ma peur pour Lui… Il commença par se vider dans ma bouche et j’ai du faire un énorme effort pour tout avaler… Le gout était âcre … puis il continua à se vider la vessie sur mon corps tout en m’ordonnant de me caresser. Puis quand il eut fini d’uriner, il prit vivement possession de ma bouche et Il me laissa Lui faire une fellation afin de lui faire durcir Sa noble verge… Je m’appliquais donc à le sucer comme Il me l’avait appris alternant entre va-et-vient sensuels et gorges profondes. Au bout d’un certain temps, le Noble mit Ses mains derrière ma tête et repris Ses mouvements de bassin pour finir par s’enfoncer jusqu'à la garde, je sentais le manque d’air mais je Lui faisais totalement confiance. Il a tous les droits sur moi car je suis totalement offerte à Lui. Apres quelques longues secondes, il relâcha Sa prise et je pris une grande bouffée d’oxygène. Et il recommença plusieurs fois puis dans une dernière gorge profonde, il se déversa enfin au fond de ma gorge en un long flot épais saccadé de Sa Noble semence, j’avalais tout et je finis par Le nettoyer quand il me dit :

- Je te félicite, Ma grosse salope, Je suis fier de toi par ton abnégation devenue sans faille… Je vois que ta dernière sanction à porter ses fruits. Aller grimpe dans Mon lit et couche-toi car demain Je te veux en pleine forme...

Je m’installais confortablement aux pieds de Celui que j’adorais plus que tout et à qui j’appartenais pour le reste de ma vie. En 5 minutes, Maitre s’était déjà endormi, je savourais ce moment car il est vrai que de le regarder dormir est toujours un privilège, un honneur, un moment rare et je me délectais de la scène, il était beau, son visage dégageait un aura incroyable, Ses pectoraux développés faisaient ressortir Sa poitrine qui bougeait légèrement au rythme de sa tranquille respiration de sommeil. Tout son charisme émanait de son noble et magnifique corps endormi... Je fondais littéralement devant cette beauté masculine et je n’avais qu’une envie, c’était de venir me blottir dans le creux de son épaule mais n’y étant pas autorisée, et en bonne chienne obéissante, je me mis au fond du lit, à Ses pieds et m’endormis assez vite en position fœtale… Au petit matin et pour une fois, ce fut le Châtelain qui fut réveillé en premier, il s’était levé et allait prendre Son petit déjeuné qu’une soumise lui avait apporté sur un grand plateau. C’est le bruit qu’elle fit en sortant de la chambre qui me réveilla. Une fois sortie de mes songes, je m’étirais de tout mon corps en baillant et je me levais enfin. Puis je m’installais sagement à ma place, à Ses pieds en attendant Ses directives suite à un ‘’Bonjour Maître’’. Il me répondit de même et ses mots étaient accompagnés d’une caresse affectueuse sur mon crâne. Puis il déposa au sol une assiette avec diverses choses (croissants, salade de fruits, œufs brouillés au bacon et un bol de café noir) cela me changeait de mon habituelle pâtée. J’en fus surprise et étant perplexe, je regardais Maitre qui comprit mon étonnement.

- Ma belle chienne, je vois dans ton regard l’étonnement de ton petit déjeuné mais vue la journée que nous allons passer, Je préfère que tu prennes pour une fois un vrai repas. Soit honorée que Je te l’accorde et pour une fois vue ta docilité et pour te félicité aussi de ton comportement depuis quelque jours, tu as autorisation de manger normalement mais à Mes pieds. Tu peux donc manger en utilisant tes mains et les couverts en t’asseyant à même le sol, cuisse largement écartées, cela va de soi… Ceci est donc une récompense, laquelle je le sais, tu la savoures grandement…
- Ho ! Mille mercis Maî…
- Chut, profite simplement, Je sais ce que tu souhaites m’exprimer encore plus ta reconnaissance, mais ce n’est pas le moment... Dépêche-toi quand même.

Quand il ponctua Sa phrase, il me caressa une nouvelle fois avec bienveillance la tête. Je ne me fis pas prier pour savourer ce délicieux petit déjeuné. Une fois finie, Maitre m’ordonna de rapporter tout cela en cuisine. Pour cette action, je pus marcher sur mes deux jambes… Arrivée dans la cuisine je me fis toute petite, car Marie avait l’air de mauvaise humeur car je l’entendais maugréer et elle était en train de sanctionner un soumis en lui donnant des coups sur les fesses avec une très large spatule en bois… Le fessier du soumis à quatre pattes était rouge vif et celui-ci ne bronchait pas alors que les coups pleuvait et qu’il devait avoir très mal... Je déposais donc le plateau en faisant le moins de bruit possible pour le nettoyer. Quand j’eus fini, par respect pour le travail que Marie avait du faire pour me préparer ce petit déjeuné au lieu de ma ration habituelle, je m’installais non loin d’elle à genoux et j’attendais. Au bout de quelques minutes, elle remarqua ma présence et dit sur un ton désagréable :

- Qui y’a-t-il, la chienne ? J’espère pour toi que tu as une raison valable de me déranger pendant que je sanctionne ce chien qui ne sait pas tenir un plateau sans le renverser... Parle je t’y autorise …
-Bonjour, Madame Marie, veuillez excuser le dérangement mais je voulais simplement vous remercier pour le petit déjeuné que vous avez du faire en plus pour moi au lieu de ma ration habituelle. Je vous en remercie infiniment.

Elle fut surprise de mes mots reconnaissants et resta un instant sans rien dire à me jauger puis s’adressant au soumis puni en lui tirant fortement l’oreille à presque lui l’arracher :

- Tu vois le chien comment cette chienne se comporte, prend s’en de la graine. Voila comment un chien ou une chienne doit s’y prendre pour me remercier quand je vous prépare spécialement votre repas… chienne Vénus, vient me voir. Voila, me dit t’elle en me caressant le dos… Je te félicite de ton attitude pour une fois que je n’ai pas à sévir, je constate que l’éducation porte enfin ses fruits sur toi. Tu mérites une récompense… (s’adressant de nouveau au soumis puni) Le chien vient lécher à quatre pattes, le sexe de cette chienne qui va se mettre aussi et de suite à quatre pattes et tu as intérêt à la faire jouir avec ta langue de lope …

Le soumis s’exécuta prestement et vint se placer derrière moi. Nous étions donc tous les deux en position de quadrupédie et je sentis une langue venir me lécher ma chatte qui réagit instantanément à ses divins coups de langues… Il insista longuement sur mon clitoris pour passer ensuite sur mes lèvres intimes puis introduit sa langue dans mon sexe…Je sentais ma cyprine couler dans une excitation galopante et je gémissais comme une chienne en chaleur jusqu’à que je ne pus retenir mon orgasme. Alors je lâchais ma mouille avec abondance en retenant mes cris jouissifs car je savais que j’avais donc le droit de jouir en guise de récompense mais sans bruit afin de ne pas attirer les foudres de la cuisinière… J’inondais le visage du soumis qui me nettoya jusqu’au moment où Marie s’exclama en s’adressant à moi :

- Aller, c’est terminer la chienne en chaleur, il me semble que tu as du travail ...

(A suivre …)

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