La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1249)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1249)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1247) -
Au Château, l’explication de Messire Alain : Le lendemain matin, le Seigneur d’Evans convoqua Messire Alain, Ronan et Messire Léon n’ayant pu agir avant, à cause des événements. Il commença ainsi :
- Un tel comportement est inadmissible, je ne suis pas contre les sanctions quand elles sont justifiées et justes mais qu’on utilise Mon donjon sans Mon accord et surtout qu’on abime Mon bien, est intolérable.
- Je…je … me suis laissé emporter par mon zèle, je suis désolé Monseigneur mais cette Clémence n’est qu’une soumise et… - C’est Ma soumise, coupa-t’il fortement dans sa voix, Mon bien, Ma propriété absolu et Moi Seul ait tout pouvoir sur Clémence comme sur toutes les autres.
- Je suis sûr que ce n’est pas si grave, cette chienne a exagéré, sans aucun doute.
Ronan bondit :
- Es-tu aveugle ? Je l’ai vu de mes propres yeux, évanouie et en sang. Sans Kate, Dieu sait dans quel état elle serait et tu as de la chance que ses blessures ont bien guéris, sans cela je ne sais pas ce que j’aurais demandé comme sanction contre toi et cette punaise d’Amélie.
- Mon fils, calmez-vous, répliqua le Seigneur d’Evans, quand à vous je ne peux vous garder à mon service après une telle faute. De plus, selon Messire Philippe (Commandant en second des chevaliers) vous êtes un mauvais élément. Vous avez jusqu’à la tombée de la nuit pour quitter Mes Terres en ne jamais y remettre les pieds, sous peine de mort.
Messire Alain leur lança en vociférant et en sortant :
- Vous le regretterez, croyez-moi tous.
- Hors de ma vue, incapable. (Ensuite plus calmement le Seigneur d’Evans reprit) - Et pour Amélie, Ronan, c’est à vous qu’elle a manqué de respect et donc à vous de décider de sa sanction.
- Je ne sais pas encore, je vous en ferai part quand j’aurai pris ma décision.
- Fort bien ! Nous avons tous nos tâches respectives, dit le Seigneur d’Evans, mettant ainsi fin à l’entretien…
Le retour et l’attaque :Le début de chemin du retour vers le Château se passa plus ou moins comme à l’allée. Alix et Antonin plongés dans leurs pensées suite à leur découverte. Ils voyageaient en deux groupes. Alix, Antonin, Emérentine et Marthe dans le premier. Godulfe, justinien, Thomas et Mathurin dans le second. Le trajet avançait bien quand leur convoi fut attaqué par des bandits de grand chemin. Antonin, Godulfe Justinien et Thomas essayaient de les tenir a distance tendis qu’Alix mettait les autres à l’abri puis se joignit au combat et rapidement se retrouva aux prises avec deux bandits. Godulfe arriva pour lui prêter main forte. Malheureusement, il reçut un mauvais coup d’épée dans le flanc droit. Quand enfin blessés et en difficulté, les brigands prirent la fuite, le petit convoi put reprendre la route jusqu’au relais suivant. La femme de l’aubergiste fit ce qu’elle put pour soigner Godulfe bandant largement d’épaisses étoffes le tour du ventre du blessé. Le lendemain, ils continuèrent leur route de bon matin…
Au Château, Messire Léon Ronan et Lucie :Les nuits se succèdent en gardes dans le couloir pour Ronan, Messire Léon et Lucie afin de prendre en flagrant délit Amélie. Mais un soir, le Maître fit venir Lucie dans son cabinet de travail et en arrivant, elle se mit de suite à genoux, tête baissée, les mains dans le dos.
- Vous m’avez fait appeler Maître.
- Oui ma chienne je veux que tu me soulages et tâches de faire vite, je suis pressé.
- Oui Maître
Lucie commença à le masturber doucement puis le lécha et le prit entièrement en bouche et suça avec toute l’application qu’elle pouvait et bonne volonté. Lucie était une bonne suceuse expérimentée mais ces dernières nuits elle était fatiguée car qu'elle passait à surveiller le couloir avec à tour de rôle Ronan et Messire Léon et où elle ne pouvait dormir. Ou si elle en avait l'occasion très peu de sommeil et cela diminuait ses performances, ce que n'échappa pas au Seigneur d'Evans qui était habitué à bien mieux.
- Mieux que ça, salope, Ma noble Verge n'est-elle pas à ton gout ?
Lucie s'activa léchant, suçant, pompant la Verge du Seigneur d’Evans donnant de petits coups de langue sur le gland, tournant sa langue tout autour en descendant lentement et enfin finit pas le faire jouir mais moins bien et moins fort que d'habitude puis elle avala ce qu'elle put récolter. Elle nettoya ensuite le sexe du Seigneur, toujours en semi érection. Puis elle attendit à genoux et en silence.
- Sors d'ici et tâche de faire mieux la prochaine fois, sinon tu seras sévèrement punie, chienne.
- Oui Maître, je vous présente mes excuses pour la mollesse de ma bouche et elle sortit...
Au Château, La dernière nuit : Enfin une nuit, alors que Messire Léon surveillait le couloir et que Lucie somnolente contre son épaule, quand soudain une silhouette apparut
- Lucie, réveille-toi vite et va réveiller le Seigneur d'Evans, le moment est venu.
Lucie se précipita rapidement et sans faire de bruit par une porte dérobée en direction de la chambre du Maître et failli dans la précipitation oublier de frapper.
- Oui entrer.
En ouvrant la porte, elle vit le Maître au lit et Kate entre ses jambes en train de sucer le Seigneur d’Evans.
- Que veux-tu chienne ? dit-il légèrement énervé d'être ainsi dérangé.
- Maître, je suis désolée de vous déranger mais Messire Léon doit vous voir de toute urgence. C'est lui qui m'a envoyé vous chercher le plus vite possible.
- Bien, ça à l'air important.
Le Seigneur se leva et la suivit et dans un couloir opposé, Lucie lui dit :
- Maître, je vous prie de m'excuser si je suis restée debout en entrant dans votre chambre et d'être restée vêtue mais c'est très très urgent.
- C'est si important que ca ?
- Oui Maître mais Messire Léon ne m’a pas permise de vous en dire plus, je vous en supplie, vite.
Par hasard cette conversation se passa devant la chambre de Clémence où Ronan se trouvait entendant cela, il sortit. Il lança un discret regard à Lucie qui voulait dire ‘’ça y est c'est le moment ?’’. Elle lui répondit du regard et silencieusement que oui.
- Je vous accompagne père, dépêchons-nous.
Tout en marchant Lucie conservait un pas en retrait du Maître et de son fils.
- Ronan, vous savez quelque chose que j'ignore ? Et où allons-nous ?
- Oui père, mais il faut que vous le voyez par Vous-même autrement, vous ne nous croiriez pas.
En arrivant au coin du couloir où Messire Léon se trouvait. Ronan s'arrêta et s'adressant à son père et à Lucie, qui elle, savait d’évoluer à pas de loup en silence.
- Père, puis-je vous demander de ne pas faire de bruit.
Voyant son regard plus qu'interrogateur, Lucie se permit d'ajouter.
- S'il vous plait, Maître. Vous allez comprendre dans un moment.
Arrivé près de Messire Léon, il murmura à l'oreille du Seigneur d'Evans.
- Sire, désolé de vous avoir réveillé, mais regardez là-bas près de la niche, c'est Amélie.
- Que fait-elle ici en pleine nuit ?
- Nous pensons le savoir, regardez.
Amélie sortit le petit paquet de tissu contenant le rubis, le sortit de son emballage de tissu et l'admira. Il scintillait à la lueur des bougies et au moment où elle allait le ranger, Ronan suivit de Messire Léon l'arrêta :
- Alors la chienne, on recèle des bijoux volés maintenant ?
Amélie devant aussi blanche que la mort bafouilla :
- Me...Messire c'est...ce n'est pas moi, je... je viens de le trouver maintenant par hasard et allait même de ce pas vous l'apporter.
- Ben voyons ! Et tu penses qu’on va te croire ? Depuis des nuits, on surveille ce couloir attendant que tu commettes l'erreur de revenir afin de te prendre la main dans le sac.
Le Seigneur d'Evans et Lucie s'étaient approchés. Messire Léon appela sans tarder en criant très fort afin que les deux gardes en éveil l’entendent, eux qui étaient dans la salle des gardes assez loin, tout au fond du couloir :
- Ho hé ! Gardes, gardes !.....
En quelques secondes, les deux gardes en faction accoururent.
- Emmenez cette chienne au cachot, en attendant que le Seigneur d'Evans décide de son sort.
Messire Léon expliquât ensuite tout au Seigneur d'Evans qui répondit après quelques longs instants de réflexion.
- Il est tard, nous verrons cela demain. Ronan, voulez-vous garder ce rubis. Kate est dans ma chambre je le lui remettrai plus tard moi-même.
Messire Léon se retrouva seul dans sa chambre avec Lucie et lui annonça :
- Eh bien voila ! Ta mission avec moi est terminée.
- Ce fut un honneur et un plaisir Messire, je suis heureuse d'avoir pu vous être utile.
- Alors pourquoi un visage si triste, c'est fini et je pense que bientôt nous récupéreront Marion et Manon.
- Oui mais dans quel état et Manon on ne sait même pas où elle est.
- Ne t'inquiète pas belle petite chienne, je m'occupe de tout mais pour le reste de cette nuit je vais m'occuper de toi.
Lucie enleva immédiatement ce qu'elle portait (pour les nuits de gardes du couloir, elle avait été autorisée à porter un vêtement chaud) et se mit à genoux tête baissée, les mains dans le dos, attendant les ordres.
- Couchée sur le dos sur ma couche et tout de suite…
(A suivre …)
Au Château, l’explication de Messire Alain : Le lendemain matin, le Seigneur d’Evans convoqua Messire Alain, Ronan et Messire Léon n’ayant pu agir avant, à cause des événements. Il commença ainsi :
- Un tel comportement est inadmissible, je ne suis pas contre les sanctions quand elles sont justifiées et justes mais qu’on utilise Mon donjon sans Mon accord et surtout qu’on abime Mon bien, est intolérable.
- Je…je … me suis laissé emporter par mon zèle, je suis désolé Monseigneur mais cette Clémence n’est qu’une soumise et… - C’est Ma soumise, coupa-t’il fortement dans sa voix, Mon bien, Ma propriété absolu et Moi Seul ait tout pouvoir sur Clémence comme sur toutes les autres.
- Je suis sûr que ce n’est pas si grave, cette chienne a exagéré, sans aucun doute.
Ronan bondit :
- Es-tu aveugle ? Je l’ai vu de mes propres yeux, évanouie et en sang. Sans Kate, Dieu sait dans quel état elle serait et tu as de la chance que ses blessures ont bien guéris, sans cela je ne sais pas ce que j’aurais demandé comme sanction contre toi et cette punaise d’Amélie.
- Mon fils, calmez-vous, répliqua le Seigneur d’Evans, quand à vous je ne peux vous garder à mon service après une telle faute. De plus, selon Messire Philippe (Commandant en second des chevaliers) vous êtes un mauvais élément. Vous avez jusqu’à la tombée de la nuit pour quitter Mes Terres en ne jamais y remettre les pieds, sous peine de mort.
Messire Alain leur lança en vociférant et en sortant :
- Vous le regretterez, croyez-moi tous.
- Hors de ma vue, incapable. (Ensuite plus calmement le Seigneur d’Evans reprit) - Et pour Amélie, Ronan, c’est à vous qu’elle a manqué de respect et donc à vous de décider de sa sanction.
- Je ne sais pas encore, je vous en ferai part quand j’aurai pris ma décision.
- Fort bien ! Nous avons tous nos tâches respectives, dit le Seigneur d’Evans, mettant ainsi fin à l’entretien…
Le retour et l’attaque :Le début de chemin du retour vers le Château se passa plus ou moins comme à l’allée. Alix et Antonin plongés dans leurs pensées suite à leur découverte. Ils voyageaient en deux groupes. Alix, Antonin, Emérentine et Marthe dans le premier. Godulfe, justinien, Thomas et Mathurin dans le second. Le trajet avançait bien quand leur convoi fut attaqué par des bandits de grand chemin. Antonin, Godulfe Justinien et Thomas essayaient de les tenir a distance tendis qu’Alix mettait les autres à l’abri puis se joignit au combat et rapidement se retrouva aux prises avec deux bandits. Godulfe arriva pour lui prêter main forte. Malheureusement, il reçut un mauvais coup d’épée dans le flanc droit. Quand enfin blessés et en difficulté, les brigands prirent la fuite, le petit convoi put reprendre la route jusqu’au relais suivant. La femme de l’aubergiste fit ce qu’elle put pour soigner Godulfe bandant largement d’épaisses étoffes le tour du ventre du blessé. Le lendemain, ils continuèrent leur route de bon matin…
Au Château, Messire Léon Ronan et Lucie :Les nuits se succèdent en gardes dans le couloir pour Ronan, Messire Léon et Lucie afin de prendre en flagrant délit Amélie. Mais un soir, le Maître fit venir Lucie dans son cabinet de travail et en arrivant, elle se mit de suite à genoux, tête baissée, les mains dans le dos.
- Vous m’avez fait appeler Maître.
- Oui ma chienne je veux que tu me soulages et tâches de faire vite, je suis pressé.
- Oui Maître
Lucie commença à le masturber doucement puis le lécha et le prit entièrement en bouche et suça avec toute l’application qu’elle pouvait et bonne volonté. Lucie était une bonne suceuse expérimentée mais ces dernières nuits elle était fatiguée car qu'elle passait à surveiller le couloir avec à tour de rôle Ronan et Messire Léon et où elle ne pouvait dormir. Ou si elle en avait l'occasion très peu de sommeil et cela diminuait ses performances, ce que n'échappa pas au Seigneur d'Evans qui était habitué à bien mieux.
- Mieux que ça, salope, Ma noble Verge n'est-elle pas à ton gout ?
Lucie s'activa léchant, suçant, pompant la Verge du Seigneur d’Evans donnant de petits coups de langue sur le gland, tournant sa langue tout autour en descendant lentement et enfin finit pas le faire jouir mais moins bien et moins fort que d'habitude puis elle avala ce qu'elle put récolter. Elle nettoya ensuite le sexe du Seigneur, toujours en semi érection. Puis elle attendit à genoux et en silence.
- Sors d'ici et tâche de faire mieux la prochaine fois, sinon tu seras sévèrement punie, chienne.
- Oui Maître, je vous présente mes excuses pour la mollesse de ma bouche et elle sortit...
Au Château, La dernière nuit : Enfin une nuit, alors que Messire Léon surveillait le couloir et que Lucie somnolente contre son épaule, quand soudain une silhouette apparut
- Lucie, réveille-toi vite et va réveiller le Seigneur d'Evans, le moment est venu.
Lucie se précipita rapidement et sans faire de bruit par une porte dérobée en direction de la chambre du Maître et failli dans la précipitation oublier de frapper.
- Oui entrer.
En ouvrant la porte, elle vit le Maître au lit et Kate entre ses jambes en train de sucer le Seigneur d’Evans.
- Que veux-tu chienne ? dit-il légèrement énervé d'être ainsi dérangé.
- Maître, je suis désolée de vous déranger mais Messire Léon doit vous voir de toute urgence. C'est lui qui m'a envoyé vous chercher le plus vite possible.
- Bien, ça à l'air important.
Le Seigneur se leva et la suivit et dans un couloir opposé, Lucie lui dit :
- Maître, je vous prie de m'excuser si je suis restée debout en entrant dans votre chambre et d'être restée vêtue mais c'est très très urgent.
- C'est si important que ca ?
- Oui Maître mais Messire Léon ne m’a pas permise de vous en dire plus, je vous en supplie, vite.
Par hasard cette conversation se passa devant la chambre de Clémence où Ronan se trouvait entendant cela, il sortit. Il lança un discret regard à Lucie qui voulait dire ‘’ça y est c'est le moment ?’’. Elle lui répondit du regard et silencieusement que oui.
- Je vous accompagne père, dépêchons-nous.
Tout en marchant Lucie conservait un pas en retrait du Maître et de son fils.
- Ronan, vous savez quelque chose que j'ignore ? Et où allons-nous ?
- Oui père, mais il faut que vous le voyez par Vous-même autrement, vous ne nous croiriez pas.
En arrivant au coin du couloir où Messire Léon se trouvait. Ronan s'arrêta et s'adressant à son père et à Lucie, qui elle, savait d’évoluer à pas de loup en silence.
- Père, puis-je vous demander de ne pas faire de bruit.
Voyant son regard plus qu'interrogateur, Lucie se permit d'ajouter.
- S'il vous plait, Maître. Vous allez comprendre dans un moment.
Arrivé près de Messire Léon, il murmura à l'oreille du Seigneur d'Evans.
- Sire, désolé de vous avoir réveillé, mais regardez là-bas près de la niche, c'est Amélie.
- Que fait-elle ici en pleine nuit ?
- Nous pensons le savoir, regardez.
Amélie sortit le petit paquet de tissu contenant le rubis, le sortit de son emballage de tissu et l'admira. Il scintillait à la lueur des bougies et au moment où elle allait le ranger, Ronan suivit de Messire Léon l'arrêta :
- Alors la chienne, on recèle des bijoux volés maintenant ?
Amélie devant aussi blanche que la mort bafouilla :
- Me...Messire c'est...ce n'est pas moi, je... je viens de le trouver maintenant par hasard et allait même de ce pas vous l'apporter.
- Ben voyons ! Et tu penses qu’on va te croire ? Depuis des nuits, on surveille ce couloir attendant que tu commettes l'erreur de revenir afin de te prendre la main dans le sac.
Le Seigneur d'Evans et Lucie s'étaient approchés. Messire Léon appela sans tarder en criant très fort afin que les deux gardes en éveil l’entendent, eux qui étaient dans la salle des gardes assez loin, tout au fond du couloir :
- Ho hé ! Gardes, gardes !.....
En quelques secondes, les deux gardes en faction accoururent.
- Emmenez cette chienne au cachot, en attendant que le Seigneur d'Evans décide de son sort.
Messire Léon expliquât ensuite tout au Seigneur d'Evans qui répondit après quelques longs instants de réflexion.
- Il est tard, nous verrons cela demain. Ronan, voulez-vous garder ce rubis. Kate est dans ma chambre je le lui remettrai plus tard moi-même.
Messire Léon se retrouva seul dans sa chambre avec Lucie et lui annonça :
- Eh bien voila ! Ta mission avec moi est terminée.
- Ce fut un honneur et un plaisir Messire, je suis heureuse d'avoir pu vous être utile.
- Alors pourquoi un visage si triste, c'est fini et je pense que bientôt nous récupéreront Marion et Manon.
- Oui mais dans quel état et Manon on ne sait même pas où elle est.
- Ne t'inquiète pas belle petite chienne, je m'occupe de tout mais pour le reste de cette nuit je vais m'occuper de toi.
Lucie enleva immédiatement ce qu'elle portait (pour les nuits de gardes du couloir, elle avait été autorisée à porter un vêtement chaud) et se mit à genoux tête baissée, les mains dans le dos, attendant les ordres.
- Couchée sur le dos sur ma couche et tout de suite…
(A suivre …)
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