La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1291)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1291) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1291)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1290) -
- Tu ne mérites pas cet honneur pour le moment. Mais ne t’inquiète pas, je te ferais savoir quand je te jugerais digne et que tes progrès seront suffisants pour que tu deviennes une experte de la fellation et ainsi que ta cavité buccale de salope mérite le suprême honneur de recevoir Ma semence à avaler. Bien, assez parlé… Il te faut obéir à la lettre à toutes Mes exigences… Va te mettre en position au milieu de la pièce, face à la télévision en levrette jambes et cuisses écartées comme la chienne que tu es ma salope et attends Mon bon vouloir. Et je veux que tu t’y déplaces à quatre pattes dans une des démarches les plus félines. Aucun bruit, ni mouvement, ne sont autorisés. Je te conseille de ne pas Me désobéir si tu ne veux pas subir Mon courroux ou pire encore pour toi, Ma déception, me dit-il de da voix si charismatique et suave qui m'excitait autant que me faisait frémir… Dès que tu entendras Mon claquement de doigts, tu vas te mettre en position, conclut Monsieur le Marquis d’une voix calme mais paradoxalement très autoritaire n'admettant aucune réplique…
J’attendis silencieuse et concentrée suite aux exigences de Monsieur le Marquis dans le seul but de le satisfaire et de ne surtout pas le décevoir. Alors que j’étais immobile depuis un bon moment, je restais là heureuse de ma condition et de ma soumission et je patientais ainsi dans cette immobilité et ce silence le plus total me doutant bien qu’il scrutait mon corps nu dans les moindres détails. Monsieur le Marquis décida de me faire patienter encore décidant de m'apprendre la patience qui faisait partie intégrante de la vie d’une soumise dévouée au Maître à qui elle appartient corps et âme. Les minutes défilaient et mes muscles s’engourdissaient de plus en plus… Après de longues minutes, j’ouïs Monsieur le Marquis se lever et se mettre en mouvement. A ce moment-là, je l'entendis qui claquait enfin Ses doigts de manière très distincte rompant ainsi le silence de plomb qui s’était installé depuis au moins une bonne demi-heure environ. Je me mis donc à quatre pattes et me déplaçais de manière la plus féline et excitante que je pouvais dans le but de le satisfaire et de l’exciter par la même occasion, si cela était possible. Ayant parcouru quelques mètres, je me positionnais en levrette devant la télévision dans l’attente de Ses prochaines exigences.

Je patientais ainsi en levrette tête sur le côté et regard baissée regardant le sol attendant le bon vouloir de Monsieur le Marquis. En effet, le Châtelain avait décidé de me faire attendre encore quelques minutes profitant de la vue qui s'offrait devant Lui, observant attentivement mon corps, allant de mon cul relevé, mon sexe bien exhibé, mes courbes aux belles formes, ma chute de reins sensuelle, mes cuisses écartées, et la largeur de mes hanches, mes seins qui pendaient dans le vide. Le Noble appréciait ce joli spectacle de Sa femelle ainsi exposée à Son regard inquisiteur. Le Châtelain en était très excité au vu de la bosse visible sous Son pantalon. Alors de manière lente et tout en douceur, contrôlant parfaitement Son excitation physique il s’approchait de moi, sans aucun geste brusque.

Monsieur le Marquis prit le temps encore de m’observer sous toutes les coutures. Après un bref instant, je sentis tout d'un coup Ses mains se poser sur mon dos et il commença à jouer comme une partition avec Ses doigts sur mon corps tel un virtuose. On aurait dit qu'il jouait une partition dont lui seul avait le secret. Plus il jouait avec ses doigts sur tout mon corps, plus cela excitait la salope et chienne que je suis et plus irrémédiablement la cyprine coulait le long de mes cuisses et tout le long de mes jambes. Tout en jouant avec ses doigts il en profita pour vérifier l’humidité de mes trous. Après qu’il fut satisfait de celle-ci, le Châtelain défit Son pantalon et sortit Sa grosse et volumineuse verge déjà fortement dressée et la prit dans Sa main pour me pénétrer la chatte sans aucun préambule. Il entra d’abord doucement puis accéléra progressivement les va-et-vient. J’étais de plus en plus excitée car plus il accélérait la cadence de Ses mouvements de reins puissants et plus je commençais à avoir envie de jouir. Je me retenais bien entendu, n’en ayant pas encore demandé l’autorisation ni eu l'accord du Maître. Après quelques minutes d’attente, n’y tenant plus, je me décidais enfin à briser ce silence et supplia au Maitre :
- Maî… Maître… s'il …Vous … Vous plaît… j'ai besoin de … jou… jouir…, implorais-je- Décidément, non retiens-toi encore un peu, c’est trop tôt, répondit Monsieur le Marquis d’un air sévère mais ravi d'avoir une chienne autant en chaleur à Ses pieds.

Après ce refus, je me concentrais et pris sur moi pour contrôler et résister à ma forte envie de jouir qui devenait de plus en plus insistante et pressante. J’étais tellement excitée que me cyprine coulait pendant Ses assauts virils de Sa grosse queue qui me défonçait dans ma chatte dégoulinante et trempée. Plus le temps passait et plus j'avais du mal à retenir mon orgasme tellement l'excitation était intense. Je me mettais alors dans un état de très grande concentration pour ne pas fauter. Je me contrôlais absolument pour tenir et donc par tous les moyens pour surtout ne pas jouir. Après quelques minutes de patience et d'attente qui me paraissaient interminables, j’entendis enfin la voix libératrice du Maître qui me dit, alors qu’il était Lui aussi au bord de son orgasme, sans aucun équivoque ni nuance possible :
- Je … Je … ne vais pas tarder à lâcher ma semence, Ma chienne, alors … tu … tu pourras jouir, salope mais dès que j'aurais fini de parler, me dit-il. Nous jouirons donc au moment, ensemble en osmose, conclut Monsieur le Marquis d'un ton Dominant…. Attention …. Maintenant jouis, Ma chienne … Haaaaaaaaa !, dit-il en éjaculant Sa semence dans mon sexe trempé…
A ce moment-là, nous jouissions tous les deux en osmose. Je sentis donc Monsieur le Marquis éjaculer dans ma chatte, son sperme coulant en moi alors qu’il lâchait des râles de plaisirs tel un mâle en rut. Ma jouissance était par la même accompagnée de forts cris de jouissance à n’en plus finir tellement j’avais du retenir mon orgasme et que celui-ci une fois autorisé à être exprimé éclata en une jouissance quasi atomique ! Orgasme irradiant tout mon corps telles des décharges électriques remontant sur toute mon échine et donc me faisant ressentir un bien être intérieur total…
A peine ai-je eu le temps de me remettre de mes émotions et de ma puissante jouissance si explosive, que je sentis la verge du Seigneur et Maître Vénéré sortir de ma chatte et se diriger vers mon anus avec beaucoup de délicatesse. Verge qui était déjà assez fortement ramollie après la jouissance qu'il venait d'avoir dans ma chatte qui était encore dégoulinante de Son sperme et de ma cyprine maintenant mélangés. Monsieur le Marquis entra d’abord tout doucement Sa verge puis quand il sentit que mon anus s’ouvrit suffisamment pour absorber entièrement et complètement Sa grande et imposante verge à demi molle. Il accéléra Ses mouvements dans mon anus ce qui semblait Lui redonner de la vigueur. Et ainsi il ne tarda pas à rebander de nouveau fortement au bout de quelques minutes de va-et-vient lents et de plus en plus profonds dans mes entrailles. Le Châtelain prenait possession de ce qui lui appartenait donc aussi, mon anus, allant doucement puis alternant les mouvements de va-et-vient ainsi que la cadence dans mon anus comme il le voulait augmentant ainsi mon excitation. Comme dit tantôt, je sentis ainsi que Sa bite recommençait à durcir dans mon cul, la sentant par la suite beaucoup plus raide et plus volumineuse dans ma croupe de chienne soumise que je suis. Plus le temps passait et plus les mouvements de Sa noble verge dans mon anus m’excitaient. Alors qu’il m’enculait profondément, je sentis une de Ses larges mains venir me masturber mon clitoris, ce qui provoqua en moi, un surplus d’excitation, déjà fort élevée… J’étais très excitée telle une chienne en chaleur. Plus le temps passait et plus j'avais du mal à contrôler cet état extrême d’excitation et mon envie de jouissance se faisait plus grand plus ressentir, les minutes passant. C’est alors que je suppliais de nouveau au Seigneur et Maître Vénéré l'autorisation à l’orgasme :
- Maî… Maître… s'il …Vous … Vous plaît… Maître, j’ai besoin de jouir, dis-je d’une voix implorante- Tu pourras jouir seulement quand j’aurais fini de parler comme il y a peu quand j’ai éjaculé dans ta chatte de salope de chienne… Nous jouirons donc de nouveau ensemble comme cela, en parfaite complémentarité et complicité entre un Maître et Sa soumise conclut le Noble d’une voix à la fois complice et autoritaire.

Après ces belles paroles qui me touchèrent, nous jouissions tous les deux dans cette complicité saine et réciproque mêlant le plaisir d’être chacun à sa place mêlant la jouissance, le bonheur et nos cris ou râles puissants et jouissifs. C'est alors qu’après nos jouissances respectives, Monsieur le Marquis resta quelques minutes planté sa verge de mon anus immobile dans un coït anal délicieux et profond en mon cul, sans bouger, puis il décida de se retirer. J’attendis un instant puis me prosterna devant Lui attendant d’avoir la permission de parler pour pouvoir m'adresser à lui. Permission qu'il me donna par la suite par un signe de la tête. Je me permis donc ainsi de lui dire :
- O Seigneur et Maître Vénéré, je tenais et voulais Vous exprimer ma plus sincère gratitude et reconnaissance pour m'avoir permise et autorisée la jouissance en ce jour. Je suis tout à fait consciente de l'honneur que Vous me faites et soyez assuré de ma plus sincère dévotion et de ma très grande motivation pour tout faire pour Vous satisfaire, dis-je d’un ton rempli d'émotion et de reconnaissance infini envers Monsieur le Marquis tout en embrassant avec dévotion Ses doigts qu’il me présentait de Sa main tendue vers mon visage…
(A suivre …)

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