La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1367)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1367)
soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode N°1363) -
C’est ainsi attachée au pilori à attendre que je vois une Domina s’approcher de moi avant d’attraper le fouet…. Ainsi exposée à la vue de tous, à attendre exhibée sur ce pilori, je cherche le regard du Maitre, pour y trouver la force d’être fouettée, touchée, par quelqu’un d’autre que Lui... C’est seulement quand la Domina est derrière moi et qu’elle commence à me caresser mes fesses que j’aperçois le regard du Maitre, regard qui m’apaise, me rassure quant au fait que je suis en sécurité. Le Noble me connait, il sait ce que mon corps peut supporter et il ne laissera rien m’arriver de grave. C’est à ce moment que le premier coup de fouet tombe sur mes fesses mais aussi à ce moment que le god placé dans ma chatte par Monsieur le Marquis se met à vibrer. Les coups s’enchainent entre mon dos, mes fesses, et mes cuisses, c’est un mélange de plaisirs et de douleur. J’ai reçu quinze coups en tout sans bouger et sans émettre le moindre bruit. Le quinzième coup frappe mon clitoris alors que le god qui vibre toujours dans mon sexe me fait exploser dans un premier orgasme que je ne peux retenir dans la salle par des cris jouissifs. Un orgasme libérateur que j’espérais depuis tellement longtemps. Le god s’arrête alors de vibrer, et la Domina arrive devant moi. Elle me caresse un peu la joue, en me disant de continuer ainsi que je rends fier le Maitre qui me soumet, et s’en va sans plus me regarder...
Je m’attends à ce qu’on vienne la remplacer assez vite pourtant après cette Domina, plus personne ne s’intéresse à moi durant un certain moment, ce qui me laisse le temps de récupérer de mon orgasme. Une fois remise, c’est un autre Dominant qui s’approche de moi. Cette fois, c’est le martinet qu’il attrape, et je subis le même sort, les coups ainsi que les vibrations du gode dans mon sexe, mais j’ai reçu beaucoup plus de coups de martinet, et j’ai déjà jouis deux fois depuis que ce Dominant s’occupe de moi. Et le rythme continue à chaque fois que je suis remise de mon orgasme un autre Dominant ou une Domina vient pour s’occuper de fouetter mon cul. Je suis ainsi fouettée par une dizaine de Dominants, femme ou homme. Mon fessiers est très marqué, vraiment striés de zébrures rouges qui me cuisent… C’est au bout de ce que je pense être les deux heures que le Maitre avait dit, que je Le vois s’approcher et de me caresser délicatement la tête, tout en me disant qu’il est fier de moi. Et de sortir Son noble Sexe qu’il présente à ma bouche, que je m’empresse d’ouvrir, heureuse d’avoir la chance de prendre en fellation la sublime Verge du Maitre et peut-être même Sa semence. Je m’applique donc le plus possible à sucer Monsieur le Marquis. Je lèche Sa grosse hampe raide, droite, gorgée de sang, très veinée, de bas en haut comme une friandise et je salive le plus possible... Je prends beaucoup de plaisir d’avoir l’honneur de sucer Son divin Joyau, autant que le Châtelain doit en avoir à ce que je lui prodigue cette fellation. Le Maitre me laisse faire ainsi, jusqu’à ce qu’il attrape ma queue de cheval derrière ma tête pour m’enfoncer Sa bite bien au fond de ma gorge lorsque qu’il éjacule à grands flots saccadés de sperme. Alors j’avale tout, sans en perdre une goutte du précieux cadeau que le Maitre m’offre à jouir dans ma bouche de chienne. Une fois toute la précieuse semence avalée, je nettoie avec délicatesse le sexe du Noble…
Le Maitre me détache ensuite du carcan avant de me remettre ma laisse à mon collier et d’appuyer dessus pour me faire remettre à quatre pattes. Il avance vers ses Invités, se promène et discute avec eux tout en me promenant avec lui sans faire plus attention à moi. Je reste bien sagement à Ses pieds comme un gentil toutou bien dressé. Il parle avec certains Invités de diverses banalités, mais aussi avec d’autres, les conversations parlent de moi, comme si je n’étais pas là, comme si j’étais un simple jouet ou animal aux pieds du Maitre, j’entends, des :
« C’est une belle chienne que vous avez la Monsieur le Marquis » ou de « elle a l’air bien docile » ou encore « Vous l’avez fait tatouer, c’est une bonne chose ! » etc…
A un moment Walter vient annoncer le repas. Monsieur le Marquis me fait l’honneur d’être à Ses pieds durant le festin. Ce sont des esclaves femelles et nues du Maitre qui font le service, pendant que d’autres attendent à côté des Dominants d’être utilisées, alors que pour certains, ils sont déjà sous la table à utiliser leur langue afin de lécher des Dominas ou prendre en bouche des Dominants... Le Châtelain me donne parfois à manger de Sa main pour me faire becqueter et donc je dois attraper avec ma bouche comme une chienne les morceaux d’aliments, et parfois durant le repas, il me jette à manger par terre et je dois aussi manger comme une chienne à quatre pattes avec interdiction de me servir de mes mains et à même le sol sans gamelle. C’est ainsi que se poursuit le repas.
Mais quand me vient l’envie d’uriner, je ne sais pas comment l’exprimer au Maitre. Je ne souhaite pas désobéir en prenant la parole devant ses Invités pour demander ce genre de choses. Je me retiens mais au bout d’un moment l’envie devenant trop forte, je mets donc mes mains devant moi à supplier silencieusement au Maitre de m’autoriser la parole, mais la permission ne vient pas. Je commence à bouger mes jambes, ne pouvant quasiment plus me retenir, mais pourtant le Maitre ne s’intéresse pas du tout à moi et continue à discuter avec son ami, le préfet, situé près de Lui. N’arrivant plus à me retenir, je commence à faire pipi sur place, sur le parquet comme un chien mal éduqué. Et c’est surement le bruit de ma pisse tombant sur le parquet multi centenaire qui alerte le Maitre. Et cela provoque un subit mais lourd silence dans la salle, même si j’ai la tête baissée, je sens que tout le monde me regarde, et je me sens très humiliée au plus haut point de ne pas avoir su me retenir à uriner comme ça devant tout le monde. Le Maitre se lève, Il me regarde sévèrement et me domine de toute Sa hauteur, pendant que moi je reste à genoux, dans ma pisse. Le Maitre prend la parole, et alors que je pense me faire gronder d’avoir souillé Son parquet chargé d’histoire, étonnamment ce n’est pas le cas. Mais en revanche, je suis certaine qu’Il a voulu encore plus m’humilier et cela devant tout le monde en prenant un ton volontairement ironique :
- Tient donc ? Ma chienne qui pisse sur mon beau parquet ! Eh bien puisque c’est ainsi, tu vas te rouler dans ta pisse, la chienne, et après tu resteras ainsi dans ta pisse sur le dos et les quatre pattes en l’air. Forcément tu pueras l’urine ! Et donc ce soir tout le monde t’appellera ‘‘la chienne puante’’ ou ‘‘la chienne qui pue la pisse’’ ! (puis s’adressant à ses Invités) Vous entendez, mes amis, ce soir vous l’appellerez ainsi s’il vous plait ! Je compte sur vous tous !,
Une slave d’applaudissement suit les propos moqueurs et ironiques exprimés par Monsieur le Marquis à mon attention. Je me roule donc dans ma propre pisse, la flaque et tellement grande que j’en ai de partout, sur le visage, les cheveux, le dos, le ventre, les fesses … Et en effet, je pue vraiment la pisse, l’odeur forte me remonte jusqu’aux narines et j’avoue être rouge de honte. Je me mets sur le dos et lève mes quatre membres comme exigé par le Maitre. Et j’attends ainsi, honteuse mais paradoxalement très excitée par cette humiliation qui me fait incontestablement mouiller
- Bien la chienne, maintenant branle-toi, ici dans ta pisse et devant tout le monde, tu es autorisée à jouir, met-toi en spectacle ! Je veux que mes Invités se régalent de voir une chienne puante se branler et jouir dans sa pisse !
Je descends alors ma main vers mon sexe, malgré l’humiliation devant toutes ces personnes, je suis excitée, très excitée encore plus à devoir me branler dans de telles conditions. Je vois des pieds s’approcher de moi, je reconnais les chaussures et le bas du pantalon du Maitre, je le vois sortir Son sexe avant de commencer à m’uriner dessus aussi, et c’est à ce moment-là que je jouis comme une chienne en chaleur sous la douche dorée du Marquis d’Evans qui n’hésite pas à souiller encore plus tout mon corps de Son urine….
- Bien, Maintenant nettoie Mon parquet qui est souillé par ta faute, je ne veux plus qu’il reste une seule trace d’urine, et tu as du travail ! Tu y passeras le temps qu’il faut mais répare ta faute ! Exécution la chienne ...
C’est plein de pisse et puante que je me remets à quatre pattes, le cul levé que je commence à lécher de ma langue tout en m’appliquant le plus possible, pour rendre le parquet propre...
(A suivre …)
C’est ainsi attachée au pilori à attendre que je vois une Domina s’approcher de moi avant d’attraper le fouet…. Ainsi exposée à la vue de tous, à attendre exhibée sur ce pilori, je cherche le regard du Maitre, pour y trouver la force d’être fouettée, touchée, par quelqu’un d’autre que Lui... C’est seulement quand la Domina est derrière moi et qu’elle commence à me caresser mes fesses que j’aperçois le regard du Maitre, regard qui m’apaise, me rassure quant au fait que je suis en sécurité. Le Noble me connait, il sait ce que mon corps peut supporter et il ne laissera rien m’arriver de grave. C’est à ce moment que le premier coup de fouet tombe sur mes fesses mais aussi à ce moment que le god placé dans ma chatte par Monsieur le Marquis se met à vibrer. Les coups s’enchainent entre mon dos, mes fesses, et mes cuisses, c’est un mélange de plaisirs et de douleur. J’ai reçu quinze coups en tout sans bouger et sans émettre le moindre bruit. Le quinzième coup frappe mon clitoris alors que le god qui vibre toujours dans mon sexe me fait exploser dans un premier orgasme que je ne peux retenir dans la salle par des cris jouissifs. Un orgasme libérateur que j’espérais depuis tellement longtemps. Le god s’arrête alors de vibrer, et la Domina arrive devant moi. Elle me caresse un peu la joue, en me disant de continuer ainsi que je rends fier le Maitre qui me soumet, et s’en va sans plus me regarder...
Je m’attends à ce qu’on vienne la remplacer assez vite pourtant après cette Domina, plus personne ne s’intéresse à moi durant un certain moment, ce qui me laisse le temps de récupérer de mon orgasme. Une fois remise, c’est un autre Dominant qui s’approche de moi. Cette fois, c’est le martinet qu’il attrape, et je subis le même sort, les coups ainsi que les vibrations du gode dans mon sexe, mais j’ai reçu beaucoup plus de coups de martinet, et j’ai déjà jouis deux fois depuis que ce Dominant s’occupe de moi. Et le rythme continue à chaque fois que je suis remise de mon orgasme un autre Dominant ou une Domina vient pour s’occuper de fouetter mon cul. Je suis ainsi fouettée par une dizaine de Dominants, femme ou homme. Mon fessiers est très marqué, vraiment striés de zébrures rouges qui me cuisent… C’est au bout de ce que je pense être les deux heures que le Maitre avait dit, que je Le vois s’approcher et de me caresser délicatement la tête, tout en me disant qu’il est fier de moi. Et de sortir Son noble Sexe qu’il présente à ma bouche, que je m’empresse d’ouvrir, heureuse d’avoir la chance de prendre en fellation la sublime Verge du Maitre et peut-être même Sa semence. Je m’applique donc le plus possible à sucer Monsieur le Marquis. Je lèche Sa grosse hampe raide, droite, gorgée de sang, très veinée, de bas en haut comme une friandise et je salive le plus possible... Je prends beaucoup de plaisir d’avoir l’honneur de sucer Son divin Joyau, autant que le Châtelain doit en avoir à ce que je lui prodigue cette fellation. Le Maitre me laisse faire ainsi, jusqu’à ce qu’il attrape ma queue de cheval derrière ma tête pour m’enfoncer Sa bite bien au fond de ma gorge lorsque qu’il éjacule à grands flots saccadés de sperme. Alors j’avale tout, sans en perdre une goutte du précieux cadeau que le Maitre m’offre à jouir dans ma bouche de chienne. Une fois toute la précieuse semence avalée, je nettoie avec délicatesse le sexe du Noble…
Le Maitre me détache ensuite du carcan avant de me remettre ma laisse à mon collier et d’appuyer dessus pour me faire remettre à quatre pattes. Il avance vers ses Invités, se promène et discute avec eux tout en me promenant avec lui sans faire plus attention à moi. Je reste bien sagement à Ses pieds comme un gentil toutou bien dressé. Il parle avec certains Invités de diverses banalités, mais aussi avec d’autres, les conversations parlent de moi, comme si je n’étais pas là, comme si j’étais un simple jouet ou animal aux pieds du Maitre, j’entends, des :
« C’est une belle chienne que vous avez la Monsieur le Marquis » ou de « elle a l’air bien docile » ou encore « Vous l’avez fait tatouer, c’est une bonne chose ! » etc…
A un moment Walter vient annoncer le repas. Monsieur le Marquis me fait l’honneur d’être à Ses pieds durant le festin. Ce sont des esclaves femelles et nues du Maitre qui font le service, pendant que d’autres attendent à côté des Dominants d’être utilisées, alors que pour certains, ils sont déjà sous la table à utiliser leur langue afin de lécher des Dominas ou prendre en bouche des Dominants... Le Châtelain me donne parfois à manger de Sa main pour me faire becqueter et donc je dois attraper avec ma bouche comme une chienne les morceaux d’aliments, et parfois durant le repas, il me jette à manger par terre et je dois aussi manger comme une chienne à quatre pattes avec interdiction de me servir de mes mains et à même le sol sans gamelle. C’est ainsi que se poursuit le repas.
Mais quand me vient l’envie d’uriner, je ne sais pas comment l’exprimer au Maitre. Je ne souhaite pas désobéir en prenant la parole devant ses Invités pour demander ce genre de choses. Je me retiens mais au bout d’un moment l’envie devenant trop forte, je mets donc mes mains devant moi à supplier silencieusement au Maitre de m’autoriser la parole, mais la permission ne vient pas. Je commence à bouger mes jambes, ne pouvant quasiment plus me retenir, mais pourtant le Maitre ne s’intéresse pas du tout à moi et continue à discuter avec son ami, le préfet, situé près de Lui. N’arrivant plus à me retenir, je commence à faire pipi sur place, sur le parquet comme un chien mal éduqué. Et c’est surement le bruit de ma pisse tombant sur le parquet multi centenaire qui alerte le Maitre. Et cela provoque un subit mais lourd silence dans la salle, même si j’ai la tête baissée, je sens que tout le monde me regarde, et je me sens très humiliée au plus haut point de ne pas avoir su me retenir à uriner comme ça devant tout le monde. Le Maitre se lève, Il me regarde sévèrement et me domine de toute Sa hauteur, pendant que moi je reste à genoux, dans ma pisse. Le Maitre prend la parole, et alors que je pense me faire gronder d’avoir souillé Son parquet chargé d’histoire, étonnamment ce n’est pas le cas. Mais en revanche, je suis certaine qu’Il a voulu encore plus m’humilier et cela devant tout le monde en prenant un ton volontairement ironique :
- Tient donc ? Ma chienne qui pisse sur mon beau parquet ! Eh bien puisque c’est ainsi, tu vas te rouler dans ta pisse, la chienne, et après tu resteras ainsi dans ta pisse sur le dos et les quatre pattes en l’air. Forcément tu pueras l’urine ! Et donc ce soir tout le monde t’appellera ‘‘la chienne puante’’ ou ‘‘la chienne qui pue la pisse’’ ! (puis s’adressant à ses Invités) Vous entendez, mes amis, ce soir vous l’appellerez ainsi s’il vous plait ! Je compte sur vous tous !,
Une slave d’applaudissement suit les propos moqueurs et ironiques exprimés par Monsieur le Marquis à mon attention. Je me roule donc dans ma propre pisse, la flaque et tellement grande que j’en ai de partout, sur le visage, les cheveux, le dos, le ventre, les fesses … Et en effet, je pue vraiment la pisse, l’odeur forte me remonte jusqu’aux narines et j’avoue être rouge de honte. Je me mets sur le dos et lève mes quatre membres comme exigé par le Maitre. Et j’attends ainsi, honteuse mais paradoxalement très excitée par cette humiliation qui me fait incontestablement mouiller
- Bien la chienne, maintenant branle-toi, ici dans ta pisse et devant tout le monde, tu es autorisée à jouir, met-toi en spectacle ! Je veux que mes Invités se régalent de voir une chienne puante se branler et jouir dans sa pisse !
Je descends alors ma main vers mon sexe, malgré l’humiliation devant toutes ces personnes, je suis excitée, très excitée encore plus à devoir me branler dans de telles conditions. Je vois des pieds s’approcher de moi, je reconnais les chaussures et le bas du pantalon du Maitre, je le vois sortir Son sexe avant de commencer à m’uriner dessus aussi, et c’est à ce moment-là que je jouis comme une chienne en chaleur sous la douche dorée du Marquis d’Evans qui n’hésite pas à souiller encore plus tout mon corps de Son urine….
- Bien, Maintenant nettoie Mon parquet qui est souillé par ta faute, je ne veux plus qu’il reste une seule trace d’urine, et tu as du travail ! Tu y passeras le temps qu’il faut mais répare ta faute ! Exécution la chienne ...
C’est plein de pisse et puante que je me remets à quatre pattes, le cul levé que je commence à lécher de ma langue tout en m’appliquant le plus possible, pour rendre le parquet propre...
(A suivre …)
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