La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1378)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1378)
soumis Amabalar au Château – Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) -
L'inversion – Vendredi 18h30 -
- Voilà on est arrivé… Pas mal, hein ?, me dit ma femme, Valérie, en arrêtant le moteur de la voiture. C’est la première des trois surprises pour ton anniversaire : Un weekend à la campagne mais dans un riche et beau Château en gîte de luxe...
- Wouhaa ! Un weekend de rêve ! Oh, merci ma chérie, lui répondis-je un large sourire empli de gratitude
Agréablement surpris, j’ouvre la porte de la voiture au pied du perron d’une Demeure majestueuse, très impressionnante. Je descends, prends quelques mètres de recul et admire ce spacieux Château dans toute sa splendeur, tout en m’étirant le dos. Ensuite, je me dirige vers le coffre pour prendre les valises.
- Laissez, nous nous en occupons, ou plutôt vous ne vous occupez de rien, vous êtes Mes hôtes...
Je me retourne dans la direction d’où provient cette voix, d’en haut du perron.
- Je me présente : Monsieur le Marquis d’Evans, Propriétaire de ces lieux et des Terres forestières sur les 5 kilomètres tout autour jusqu’aux portes du village…. J’espère que vous avez fait bon voyage. Je vois que vous êtes à l’heure, c’est une bonne chose, la ponctualité. Je suis très strict sur l’exactitude et la précision...
- Bonjour Monsieur le Marquis, merci de votre accueil… Oui nous avons fait bon voyage. Je vous présente ma femme, Valé… - Bonjour Valérie, comment vas-tu ?, me coupa le Noble tout en arborant un large sourire à ma femme.
- Bonjour Monsieur le Marquis, ça va, merci, ça fait longtemps..
- Mais ?... Vous vous connaissez ?... Je m’en étonne car Valérie ne m’a rien dit. A moins que ce soit cela sa deuxième surprise ?
- Oui en effet, depuis longtemps, répond le Châtelain. C’est une longue histoire que je vous raconterai plus tard- Oui, on se connait depuis longtemps, on s’est même perdu de vue. Mais quand j’ai cherché une vraie surprise pour ton anniversaire, je me suis souvenu de Monsieur le Marquis, alors je l’ai contacté et voila !, rajoute Valérie- Venez, montez. Walter va s’occuper des bagages et de la voiture et il vous conduira à votre chambre. Je vous présente Walter, c’est mon Majordome...
Je me retourne alors et je vois ce Walter saisissant les bagages dans le coffre. C’est un homme à la musculature forte et au regard sévère. Je pense tout de suite qu’il ne faut pas trop le ‘chatouiller’... Le regard insistant qu’il me lance avec un petit sourire pervers me saisit, cela me confirme qu’il ne faut pas trop jouer avec lui… Arrivé en haut du perron, je m’aperçois que Monsieur le Marquis est un très bel homme de grande stature aux gestes raffinés et qu’il dégage d’emblée un impressionnant charisme, une présence que l’on ne peut pas ignorer. Il se tourne vers moi, et je découvre ses yeux d’un bleu azur profond et hypnotique. Son regard d’un homme qui sait ce qu’il veut, me transperce le corps, me faisant froid jusqu’au bout des extrémités. J’ai l’impression qu’il est venu me visiter l’esprit uniquement par Son regard scrutant et perçant. J’en suis très impressionné et je me sens subitement tout petit face à ce qu’impose cet homme d’une grande classe indéniable. Et c’est en bégayant, très intimidé que je dis :
- En… enchanté, je … je m’ap…appelle Clau… Claude, et …- Bienvenu Claude, me coupa le Noble… Il est 18h40 et au Château, nous mangeons à 19h. Vous avez juste le temps de rejoindre votre chambre, de vous préparer et de descendre dans la grande salle à manger pour 19h. Suivez Walter et vos valises. Je vous attends dans 15 minutes. Nous aurons tout le temps de bavarder, ensuite…
Sur le chemin de la chambre, je dis à Valérie que son ami est plutôt rigide, genre aristo-bourgeois.
- Oui, c’est normal c’est un Noble issue de la Grande Noblesse de France. Son aïeul était même un ami très proche du fameux Marquis de Sade. Et il tient beaucoup à montrer Son titre de Noblesse. Mais profite plutôt du cadre.
- Mais, tu ne m’avais pas dit que tu le connaissais.
- Oh c’était dans une autre vie, il y a vraiment très longtemps. On était ensemble au collège. Et quand j’ai pensé à lui pour ta surprise, j’ai pu le retrouver sur internet, ainsi nous avons pu correspondre par mail.
Nous suivons Walter jusqu’à la chambre. Il ouvre la lourde porte et dépose les valises.
-Ne perdez pas de temps, Monsieur le Marquis exige de l’exactitude. Je vous envoie Lucie dans cinq minutes, c’est une escl… Je veux dire une servante, et elle vous conduira dans le salon. Vous serez à l’heure, et ensuite elle reviendra s’occuper de vos affaires. Ne rangez rien, ce n’est pas la peine, nous le ferons.
- Alors tu es content de cette surprise ?
- Un Château, des domestiques, rien à faire, le weekend s’annonce bien, c’est super.je sens que je vais aimer. Et les autres surprises ?
- Tu verras, tu le sauras au cours du repas, me répond, Valérie avec un petit sourire.
Ce sourire me laisse à penser qu’elle a prévu des choses intéressantes… Le temps d’un brin de toilette et d’un coup de peigne, on frappe à la porte.
- Je suis Lucie au service de Monsieur le Marquis, êtes-vous prêts ? Monsieur le Marquis n’aime pas attendre… C’est bien, allons-y. Monsieur le Marquis est le Maître chez Lui, ne l’oubliez pas. Il n’aime pas être contrarié. Je vous préviens...
Décidément, ils sont un peu bizarres dans cette maison, pensais-je. Lucie frappe et ouvre la porte du salon après un « Entrer ». Monsieur le Marquis reste au fond près des grandes et hautes fenêtres et nous nous avançons vers Lui:
- Approchez, je vous attendais. Vous êtes ponctuels, j’apprécie. Je vous propose de prendre un apéritif, asseyons-nous, je vous en prie.
De profonds fauteuils d’époque nous tendent leurs bras.
- Valérie, tu te mets ici et vous, Claude, vous vous installez dans celui-là. Goûtez-moi ce whisky que nous a préparé Walter. Alors Valérie, cela fait si longtemps, qu’as-tu fait durant tout ce temps ?
S’en suit une longue conversation sur leur passé respectif à laquelle je fais semblant d’être attentif… Etant au collège ensemble, je comprends mieux pourquoi Valérie tutoie le Châtelain. Et au bout d’un moment, le Noble interroge ma femme :
- Valérie, tu as donc pensé à moi ?
- Oui. En fait, je voulais faire une surprise à Claude pour son anniversaire, un week-end dans un Château. Et je te remercie d’avoir accepté. A vrai dire ce n’est pas une, mais trois surprises que je veux lui faire. Mais Claude, pour l’instant, n’en connaît qu’une seule !
- Oui, j’ai lu cela dans les mails que nous avons échangés - Comment ça, Monsieur le Marquis connait mes surprises ?
- Allons Claude, arrêtez d’être jaloux, me rétorque Le Noble, en me regardant bien au fond des yeux.
Comme tout à l’heure, Son regard est si puissant que je ne peux répondre, je me sens fouillé à l’intérieur à tel point que je baisse les yeux instinctivement tout en frissonnant d’un étrange bien-être que je ne saurai expliqué à ce moment-là.
- Valérie, pour calmer Claude, tu peux peut-être lui dévoiler ta deuxième surprise. Mais avant, j’ai fait préparer des toasts et des canapés pour manger comme un buffet, ceci nous permet de rester ici dans nos fauteuils. Walter apportera du champagne. D’autre part, j’ai un couple d’amis qui doit venir me saluer dans la soirée, j’espère que cela ne vous dérange pas. N’est-ce pas Claude ?
Le Noble me regarde de la même façon et je sens que je ne peux qu’accepter cette proposition, d’autant plus qu’il est chez lui !
- Non, non, cela ne me dérange pas, Monsieur le Marquis.
- Alors, Valérie, cette deuxième surprise ?
- Bien, alors voilà … Claude, j’ai décidé, comme j’en ai le droit, que ce séjour sera mon weekend d’inversion.
Aussitôt, je me sens rougir, devenir écarlate et je tremble car cela fait partie de ma vie intime et privée avec Valérie.
- Et c’est quoi un week-end d’inversion ? interroge Monsieur le Marquis, curieux.
- Ecoute bien, Edouard, mon cher ami, je te raconte.
Moi, je ne sais plus où me mettre, je suis si surpris que je n’arrive pas à prononcer un mot. Valérie poursuit :
- Une nuit, après m’avoir fait l’amour, et ça il sait faire, pendant que je reprenais mes esprits, Claude en profita pour m’attacher les mains et les pieds aux quatre pieds du lit.
- Monsieur le Marquis n’a pas besoin de savoir cela, c’est notre vie privée qui ne regarde personne, dis-je - Taisez-vous Claude, n’interrompez pas votre femme, répliqua-t-il d’un ton froid, glacial et calme mais qui étrangement accentuait son autorité.
- Oui tais-toi, dit Valérie. Il a alors pris un rasoir, j’ai essayé de me débattre mais la vue du rasoir m’a convaincue de ne pas bouger. Peu de temps après, je n’avais plus de poil au sexe. Cela a dû particulièrement l’exciter car retrouvant de la vigueur, il m’a pénétrée de vive force comme une bête. Il s’est arrêté brutalement. Il m’a détachée, retournée de force et à nouveau attachée. J’étais ainsi toute écartelée et allongée sur le ventre. Il a écarté mes fesses, a fini le rasage puis m’a enculé vivement, à sec et en forçant mon anus vierge en me limant un long moment, jusqu’à son éjaculation dans mes entrailles.
- Et ensuite, interroge Monsieur le Marquis, visiblement intéressé.
- Je ne sais plus bien, mais le lendemain matin, au petit-déjeuner, il me dit ceci : « Tu as pris cher hier, pour moi c’était parfait ! ». Je ne voulais pas en rester là car je me considérais très humiliée. Aussi, je lui ai proposé une sorte de revanche, un contrat : La prochaine fois, c’est moi qui dirige et qu’il devra m’obéir. On appellera cela ‘l’inversion’. Je déciderai du lieu et de la date. Cela semblait l’émoustiller, l’exciter et il a accepté. Et puis les mois ont passé, mais pas mon besoin de prendre ma revanche et de passer à cette inversion. Eh bien voilà, ça y est, nous y sommes, mon chéri. A partir de maintenant, ce vendredi 20 heures jusqu’à dimanche minuit, Claude, c’est l’inversion.
-Tout cela est particulièrement intéressant, dit Monsieur le Marquis.
- Et comment comptes-tu t’y prendre, ma chérie ? Et pourquoi ici, dans ce Château ?, demandais-je - Pour commencer, Claude, tu n’as la parole que lorsque je t’en donne l’ordre.
Me voilà bien coincer, je tremble de tout mon corps, des gouttes de sueur perlent sur mon front mais paradoxalement je ressens, je ne sais que dire, comme une excitation naissante laquelle je ne contrôle pas et me surprend de ressentir comme un début d’érection, malgré la forte gêne que ma vie intime soit étalée à ce Marquis...
- Je pense que voilà un beau cadeau d’anniversaire et je propose de porter un toast. Walter, amène nous du champagne, enchaîna le Châtelain.
Walter arrive rapidement avec du Dom Pérignon 1955.
- Je propose un toast à l’anniversaire de Claude, dit Monsieur le Marquis en levant son verre. Et se tournant vers Valérie : Pour que cela soit complet, il faut maintenant dévoiler la troisième surprise, chère Valérie...
Après la surprise de l’inversion, que va-t-il m’arriver cette fois ci….
(A suivre…)
L'inversion – Vendredi 18h30 -
- Voilà on est arrivé… Pas mal, hein ?, me dit ma femme, Valérie, en arrêtant le moteur de la voiture. C’est la première des trois surprises pour ton anniversaire : Un weekend à la campagne mais dans un riche et beau Château en gîte de luxe...
- Wouhaa ! Un weekend de rêve ! Oh, merci ma chérie, lui répondis-je un large sourire empli de gratitude
Agréablement surpris, j’ouvre la porte de la voiture au pied du perron d’une Demeure majestueuse, très impressionnante. Je descends, prends quelques mètres de recul et admire ce spacieux Château dans toute sa splendeur, tout en m’étirant le dos. Ensuite, je me dirige vers le coffre pour prendre les valises.
- Laissez, nous nous en occupons, ou plutôt vous ne vous occupez de rien, vous êtes Mes hôtes...
Je me retourne dans la direction d’où provient cette voix, d’en haut du perron.
- Je me présente : Monsieur le Marquis d’Evans, Propriétaire de ces lieux et des Terres forestières sur les 5 kilomètres tout autour jusqu’aux portes du village…. J’espère que vous avez fait bon voyage. Je vois que vous êtes à l’heure, c’est une bonne chose, la ponctualité. Je suis très strict sur l’exactitude et la précision...
- Bonjour Monsieur le Marquis, merci de votre accueil… Oui nous avons fait bon voyage. Je vous présente ma femme, Valé… - Bonjour Valérie, comment vas-tu ?, me coupa le Noble tout en arborant un large sourire à ma femme.
- Bonjour Monsieur le Marquis, ça va, merci, ça fait longtemps..
- Mais ?... Vous vous connaissez ?... Je m’en étonne car Valérie ne m’a rien dit. A moins que ce soit cela sa deuxième surprise ?
- Oui en effet, depuis longtemps, répond le Châtelain. C’est une longue histoire que je vous raconterai plus tard- Oui, on se connait depuis longtemps, on s’est même perdu de vue. Mais quand j’ai cherché une vraie surprise pour ton anniversaire, je me suis souvenu de Monsieur le Marquis, alors je l’ai contacté et voila !, rajoute Valérie- Venez, montez. Walter va s’occuper des bagages et de la voiture et il vous conduira à votre chambre. Je vous présente Walter, c’est mon Majordome...
Je me retourne alors et je vois ce Walter saisissant les bagages dans le coffre. C’est un homme à la musculature forte et au regard sévère. Je pense tout de suite qu’il ne faut pas trop le ‘chatouiller’... Le regard insistant qu’il me lance avec un petit sourire pervers me saisit, cela me confirme qu’il ne faut pas trop jouer avec lui… Arrivé en haut du perron, je m’aperçois que Monsieur le Marquis est un très bel homme de grande stature aux gestes raffinés et qu’il dégage d’emblée un impressionnant charisme, une présence que l’on ne peut pas ignorer. Il se tourne vers moi, et je découvre ses yeux d’un bleu azur profond et hypnotique. Son regard d’un homme qui sait ce qu’il veut, me transperce le corps, me faisant froid jusqu’au bout des extrémités. J’ai l’impression qu’il est venu me visiter l’esprit uniquement par Son regard scrutant et perçant. J’en suis très impressionné et je me sens subitement tout petit face à ce qu’impose cet homme d’une grande classe indéniable. Et c’est en bégayant, très intimidé que je dis :
- En… enchanté, je … je m’ap…appelle Clau… Claude, et …- Bienvenu Claude, me coupa le Noble… Il est 18h40 et au Château, nous mangeons à 19h. Vous avez juste le temps de rejoindre votre chambre, de vous préparer et de descendre dans la grande salle à manger pour 19h. Suivez Walter et vos valises. Je vous attends dans 15 minutes. Nous aurons tout le temps de bavarder, ensuite…
Sur le chemin de la chambre, je dis à Valérie que son ami est plutôt rigide, genre aristo-bourgeois.
- Oui, c’est normal c’est un Noble issue de la Grande Noblesse de France. Son aïeul était même un ami très proche du fameux Marquis de Sade. Et il tient beaucoup à montrer Son titre de Noblesse. Mais profite plutôt du cadre.
- Mais, tu ne m’avais pas dit que tu le connaissais.
- Oh c’était dans une autre vie, il y a vraiment très longtemps. On était ensemble au collège. Et quand j’ai pensé à lui pour ta surprise, j’ai pu le retrouver sur internet, ainsi nous avons pu correspondre par mail.
Nous suivons Walter jusqu’à la chambre. Il ouvre la lourde porte et dépose les valises.
-Ne perdez pas de temps, Monsieur le Marquis exige de l’exactitude. Je vous envoie Lucie dans cinq minutes, c’est une escl… Je veux dire une servante, et elle vous conduira dans le salon. Vous serez à l’heure, et ensuite elle reviendra s’occuper de vos affaires. Ne rangez rien, ce n’est pas la peine, nous le ferons.
- Alors tu es content de cette surprise ?
- Un Château, des domestiques, rien à faire, le weekend s’annonce bien, c’est super.je sens que je vais aimer. Et les autres surprises ?
- Tu verras, tu le sauras au cours du repas, me répond, Valérie avec un petit sourire.
Ce sourire me laisse à penser qu’elle a prévu des choses intéressantes… Le temps d’un brin de toilette et d’un coup de peigne, on frappe à la porte.
- Je suis Lucie au service de Monsieur le Marquis, êtes-vous prêts ? Monsieur le Marquis n’aime pas attendre… C’est bien, allons-y. Monsieur le Marquis est le Maître chez Lui, ne l’oubliez pas. Il n’aime pas être contrarié. Je vous préviens...
Décidément, ils sont un peu bizarres dans cette maison, pensais-je. Lucie frappe et ouvre la porte du salon après un « Entrer ». Monsieur le Marquis reste au fond près des grandes et hautes fenêtres et nous nous avançons vers Lui:
- Approchez, je vous attendais. Vous êtes ponctuels, j’apprécie. Je vous propose de prendre un apéritif, asseyons-nous, je vous en prie.
De profonds fauteuils d’époque nous tendent leurs bras.
- Valérie, tu te mets ici et vous, Claude, vous vous installez dans celui-là. Goûtez-moi ce whisky que nous a préparé Walter. Alors Valérie, cela fait si longtemps, qu’as-tu fait durant tout ce temps ?
S’en suit une longue conversation sur leur passé respectif à laquelle je fais semblant d’être attentif… Etant au collège ensemble, je comprends mieux pourquoi Valérie tutoie le Châtelain. Et au bout d’un moment, le Noble interroge ma femme :
- Valérie, tu as donc pensé à moi ?
- Oui. En fait, je voulais faire une surprise à Claude pour son anniversaire, un week-end dans un Château. Et je te remercie d’avoir accepté. A vrai dire ce n’est pas une, mais trois surprises que je veux lui faire. Mais Claude, pour l’instant, n’en connaît qu’une seule !
- Oui, j’ai lu cela dans les mails que nous avons échangés - Comment ça, Monsieur le Marquis connait mes surprises ?
- Allons Claude, arrêtez d’être jaloux, me rétorque Le Noble, en me regardant bien au fond des yeux.
Comme tout à l’heure, Son regard est si puissant que je ne peux répondre, je me sens fouillé à l’intérieur à tel point que je baisse les yeux instinctivement tout en frissonnant d’un étrange bien-être que je ne saurai expliqué à ce moment-là.
- Valérie, pour calmer Claude, tu peux peut-être lui dévoiler ta deuxième surprise. Mais avant, j’ai fait préparer des toasts et des canapés pour manger comme un buffet, ceci nous permet de rester ici dans nos fauteuils. Walter apportera du champagne. D’autre part, j’ai un couple d’amis qui doit venir me saluer dans la soirée, j’espère que cela ne vous dérange pas. N’est-ce pas Claude ?
Le Noble me regarde de la même façon et je sens que je ne peux qu’accepter cette proposition, d’autant plus qu’il est chez lui !
- Non, non, cela ne me dérange pas, Monsieur le Marquis.
- Alors, Valérie, cette deuxième surprise ?
- Bien, alors voilà … Claude, j’ai décidé, comme j’en ai le droit, que ce séjour sera mon weekend d’inversion.
Aussitôt, je me sens rougir, devenir écarlate et je tremble car cela fait partie de ma vie intime et privée avec Valérie.
- Et c’est quoi un week-end d’inversion ? interroge Monsieur le Marquis, curieux.
- Ecoute bien, Edouard, mon cher ami, je te raconte.
Moi, je ne sais plus où me mettre, je suis si surpris que je n’arrive pas à prononcer un mot. Valérie poursuit :
- Une nuit, après m’avoir fait l’amour, et ça il sait faire, pendant que je reprenais mes esprits, Claude en profita pour m’attacher les mains et les pieds aux quatre pieds du lit.
- Monsieur le Marquis n’a pas besoin de savoir cela, c’est notre vie privée qui ne regarde personne, dis-je - Taisez-vous Claude, n’interrompez pas votre femme, répliqua-t-il d’un ton froid, glacial et calme mais qui étrangement accentuait son autorité.
- Oui tais-toi, dit Valérie. Il a alors pris un rasoir, j’ai essayé de me débattre mais la vue du rasoir m’a convaincue de ne pas bouger. Peu de temps après, je n’avais plus de poil au sexe. Cela a dû particulièrement l’exciter car retrouvant de la vigueur, il m’a pénétrée de vive force comme une bête. Il s’est arrêté brutalement. Il m’a détachée, retournée de force et à nouveau attachée. J’étais ainsi toute écartelée et allongée sur le ventre. Il a écarté mes fesses, a fini le rasage puis m’a enculé vivement, à sec et en forçant mon anus vierge en me limant un long moment, jusqu’à son éjaculation dans mes entrailles.
- Et ensuite, interroge Monsieur le Marquis, visiblement intéressé.
- Je ne sais plus bien, mais le lendemain matin, au petit-déjeuner, il me dit ceci : « Tu as pris cher hier, pour moi c’était parfait ! ». Je ne voulais pas en rester là car je me considérais très humiliée. Aussi, je lui ai proposé une sorte de revanche, un contrat : La prochaine fois, c’est moi qui dirige et qu’il devra m’obéir. On appellera cela ‘l’inversion’. Je déciderai du lieu et de la date. Cela semblait l’émoustiller, l’exciter et il a accepté. Et puis les mois ont passé, mais pas mon besoin de prendre ma revanche et de passer à cette inversion. Eh bien voilà, ça y est, nous y sommes, mon chéri. A partir de maintenant, ce vendredi 20 heures jusqu’à dimanche minuit, Claude, c’est l’inversion.
-Tout cela est particulièrement intéressant, dit Monsieur le Marquis.
- Et comment comptes-tu t’y prendre, ma chérie ? Et pourquoi ici, dans ce Château ?, demandais-je - Pour commencer, Claude, tu n’as la parole que lorsque je t’en donne l’ordre.
Me voilà bien coincer, je tremble de tout mon corps, des gouttes de sueur perlent sur mon front mais paradoxalement je ressens, je ne sais que dire, comme une excitation naissante laquelle je ne contrôle pas et me surprend de ressentir comme un début d’érection, malgré la forte gêne que ma vie intime soit étalée à ce Marquis...
- Je pense que voilà un beau cadeau d’anniversaire et je propose de porter un toast. Walter, amène nous du champagne, enchaîna le Châtelain.
Walter arrive rapidement avec du Dom Pérignon 1955.
- Je propose un toast à l’anniversaire de Claude, dit Monsieur le Marquis en levant son verre. Et se tournant vers Valérie : Pour que cela soit complet, il faut maintenant dévoiler la troisième surprise, chère Valérie...
Après la surprise de l’inversion, que va-t-il m’arriver cette fois ci….
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