La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1421)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1421)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1420) –
Une véritable saillie bestiale et à sec, mais tellement jouissive...
- Pas cette fois Ma salope, pas d’orgasme. Je veux pouvoir profiter de ton cul de chienne en silence et sans jouissance de ta part. Tu te retiens, c’est une Exigence. Je sais que tu as envie de jouir, Ma chienne, mais il en est hors de question. Je te veux simple vide-couilles, juste un trou, comme Mon jouet pour recevoir Ma Noble semence, dans tes entrailles anales de pute, uniquement la chienne. Je te l’ai dit, je vais faire de toi une vraie esclave, un simple trou à se soulager dedans pour Moi ou pour toute personne que Je te désignerais…
Le Maitre accélère ensuite Ses mouvements et coups de reins puissants, me pilonnant sauvagement et profondément le fourreau chaud et accueillant de mon cul, et j’en mouille tellement que j’ai du mal à me retenir de jouir. Etre prise, ainsi enculée, à même le sol m’excite au plus au point, qu’à un moment je ne pus retenir ma jouissance. Je fus foudroyée par un orgasme tellement puissant que je ne pus pas me contrôler, l’excitation était trop forte. Je ne sentie honteuse de ne pas avoir su me retenir surtout que j’ai été dressée pour ne jouir que sur ordre. Le Maitre sortit de mon cul pour se planter devant moi, sans un mot. Son silence accusateur était dur pour moi et il dura un long moment, plus de 20 minutes sans un mot du Maitre, sans un geste. Je savais que j’avais fauté et d’une faute grave que je me mis à pleurer je me sentais indigne de soumise à Ses pieds. Je baissais la tête de honte et si j’avais pu me cacher dans un trou de souris, je l’aurai fait. Monsieur le Marquis finit par briser ce silence pesant et réprobateur.
- Comme ça, tu n’as pas su te retenir la chienne !, qu’as-tu as dire ?
- Maitre, je Vous demande de bien vouloir sanctionner mon comportement et pardonner ma faute.
- Tu as raison chienne et quelle sanction, estimes-tu mériter ?
- 50 coups de cravache, Maitre.
- 50 coups ? Tu blagues là ? Tu penses mériter ça ?
- Heu … Non … Mais je ….
- Tu mérites une sanction beaucoup plus sévère. Tu vas recevoir tes 50 coups de cravache, mais cela ne suffira pas à laver cet affront que tu viens de Me faire. La punition plus sévère te sera donnée très bientôt, soit en certaine, salope.
- Oui, Maître, comme il vous plaira. Je mérite uniquement ce que Vous estimez ce que je mérite.
- Alors pour commencer, en position pour les 50 coups de cravache. Je ne veux pas t’entendre, sinon Je recommence à zéro, dit le Maitre sur un ton ferme et autoritaire
Je me mets dans la bonne position pour subir la sanction du Maitre. Je la subis, sans un mot, sans bouger, et je fais mon maximum pour ne pas fauter encore plus. Les 50 coups sont très durs et intenses, car le Noble ne ménage pas Ses coups qui pleuvent sans modération. J’ai du mal à retenir mes larmes qui coulent beaucoup car même moi qui suit un grande maso, j’ai du mal à tenir en place, mais je tiens surtout par ma volonté et ma Dévotion pour Lui et pour regagner Sa confiance et mériter enfin Son pardon, ce qui m’importe le plus... Une fois les 50 coups finis, je me prosterne à Ses pieds :
- Merci Maitre, d’avoir pris le temps de me sanctionner et de faire de moi une meilleure esclave. Je subirai le complément à cette sanction que Vous jugerez utile de me faire subir…- Bien, Ma chienne. Mais d’ores et déjà, et sans attendre cette deuxième sanction, ne t’avise plus jamais de jouir comme tu l’as fait sans Mon autorisation, sinon ce sera le double que tu recevras donc 100 coups de Ma cravache et tu perdrais ton statue de Favorite, ça c’est clair et incontournable. Maintenant, tu vas prendre une douche froide et te coucher dans cette cage.
Je quitte la pièce pour aller me doucher, une fois fait, le Maitre accroche une chaine à mon cou pour l’attacher au barreau de la cage et m’y enferme pour la nuit. Il éteint la lumière et je m’endors avec difficulté en boule durant toute la nuit car l’espace de la cage est assez restreint... Ce fut Maitre qui me réveilla en passant Sa verge entre deux barreaux. Et, c’est ainsi emprisonnée que je Le pris en bouche. Le Noble ayant passé également Ses mains entre les barreaux, prit ma tête pour que Lui-même puisse imprimer Son rythme. Quant à moi, je fis mon maximum pour bien le sucer et Lui donner le plus de plaisir possible avec ma bouche de salope. Quand, au bout de longues minutes à ce que ma cavité buccale Lui serve de trou à baiser, Il Se déversa dans le fond de ma gorge en de longs et épais jets de Sa noble semence...
- Tu vas passer le reste de la semaine ici, en Chine. Pour Ma part, Je repars dans une heure en France, Ma chienne. Mais tu ne vas pas rester là, à te croiser les pouces. Mon amis, Yang Li Hao va s’occuper de ton côté nympho. Il connait très bien tous les proxénètes et bordels de Pékin. Et il va t’emmener dans plusieurs bordels sordides, comme luxueux, pour des clients très exigeants et pervers… Tu vas devenir, avec lui, une vraie putain, une sale catin bonne qu’à se faire prendre le cul, la chatte ou la bouche par toutes les personnes qu’il t’indiquera. Pas de D/s, cette semaine, telle une putain de bas-quartiers, tu vas passer tes journées à te faire prendre tes orifices de chienne en chaleur, du matin jusqu’au soir, à multiplier les passes, Ma petite pute de chienne. Voilà ce que tu va devenir une putain pour Mon ami et ses amis aussi. Bonne semaine Ma catin de salope de chienne …
Le Châtelain me conduit ensuite jusqu'à une grande et immense pièce. Rien qu’a l’idée de me faire prendre mes orifices à faire la pute, j’en fus toute excitée, je dois bien l’avouer
- Tu vas attendre ici et à quatre pattes que Yang Li Hao, daigne venir te voir et s’occuper de tes orifices de putain afin de les tester pour te faire faire la putain dans les bordels de Pékin...
- Oui Maitre Vénéré et encore merci pour cette opportunité de faire de moi, une sale putain de rue
Je m’installe alors comme ordonné par le Maitre et j’attends. Monsieur le Marquis quitte la pièce et je me retrouve seule face à moi-même et à ces envies de baises torrides qui m’attendent… Plus d’une heure trente passa avant que plusieurs hommes ne rentrent dans la pièce
- Voici la chienne de mon ami, le si célèbre Maître, Monsieur le Marquis qui est venu spécialement de France pour me prêter pour la semaine cette salope, afin de la transformer en une véritable putain. Son corps et à votre disposition pour vos pulsions sexuelles… avant que je la mène de bordel en bordel dans Pékin…
Sans attendre, une première verge entre dans ma chatte trempée comme dans du beurre tellement l’excitation est forte et je fis largement utilisée en gang-band durant des heures… Et ce fut ainsi durant toute la semaine où je fus saillie, baisée, enculée, prise par mes trois trous à la fois etc… par des Dominants et les soumis de Monsieur Yang Li Hao et dans diverses positions. On m’emmena aussi dans une dizaine de bordels au total, des plus luxueux où séjournaient des putes de luxe pour des clients fortunés, comme dans des bordels des plus sordides et crasseux pour une clientèle pauvres et sales… Simples ou doubles pénétrations, je fus fistée, godée, plugée, empalée par tous mes trous de catin pour le plaisir des personnes présentes et perverses durant toute la semaine. Je dormais très peu, étant utilisée environ 16 à 18 heures par jour à faire la pute sans modération, passant par toutes les luxures et perversions de l’imagination scabreuse des hommes...
Parfois, c’était seulement une personne qui s’occupait de ma chatte ou de mon cul, parfois c’étaient des vrais gang-bangs que je subissais pour mon plus grand plaisir et ça du matin jusqu’au soir et du soir au matin. Je n’avais que quelque heure pour me reposer et manger dans une gamelle en bois, aux pieds de Monsieur Yang Li Hao et de sa femme une belle jeune femme, je dois l’avouer. Le dernier jour fut plus calme, enfin si on peut appeler cela calme, car comme tous les autres jours, je fus utilisée sexuellement mais cette fois, ce ne fut que les Invités du mariage, que je géré professionnellement, qui se mirent à me prendre le cul et ma chatte de pute tout aussi sauvagement et bestialement. Leurs couilles claquant sur mon cul, leurs verge, bien dure, entraient et venaient dans mes trois orifices...
Pour finir la semaine, épuisée à être utilisée à outrance, je n’en pouvais plus, j’étais à bout de force. La femme de Monsieur Yang Li Hao l’eu remarquée et lui fit savoir. Alors, il m’installa sur un lit et après m’être reposée une matinée entière à dormir, je fus réveillée par la femme de Yang Li Hao. Elle commença sous les yeux de son mari à m’embrasser tout le corps, mes seins, ma bouche, dans des gestes tendres, doucereux, aimants, que je lui rendis. Elle descendit sur mon sexe pour le lécher, le mordiller, l’aspirer, me téter le clito, ce qui me fis gémir de plaisir. Je n’avais pas joui de toute la semaine par manque d’autorisation et son traitement était dur pour moi, qui était donc en manque de jouissance. Yang Li Hao nous positionna en 69 pour que je lui rende ses caresses sur mon sexe. Je m’appliquais à la lécher, à la sucer du mieux possible et pour lui rendre le plaisir qu’elle me donnais tout en démultipliant les caresses de mes mains baladeuses. Quand je sentis la grosse verge de Monsieur Yang Li Hao me prendre la chatte et s’activer à grands coups de boutoirs. Ce fut terriblement excitant cette situation. Il était rare de vivre un rapport intime avec une femme et je commençais à y prendre plaisir… Yang Li Hao me culbutait sauvagement la chatte, pendant que sa femme s’activait sur mon clitoris si réceptif alors que je faisais de même sur le sien…
(A suivre …)
Une véritable saillie bestiale et à sec, mais tellement jouissive...
- Pas cette fois Ma salope, pas d’orgasme. Je veux pouvoir profiter de ton cul de chienne en silence et sans jouissance de ta part. Tu te retiens, c’est une Exigence. Je sais que tu as envie de jouir, Ma chienne, mais il en est hors de question. Je te veux simple vide-couilles, juste un trou, comme Mon jouet pour recevoir Ma Noble semence, dans tes entrailles anales de pute, uniquement la chienne. Je te l’ai dit, je vais faire de toi une vraie esclave, un simple trou à se soulager dedans pour Moi ou pour toute personne que Je te désignerais…
Le Maitre accélère ensuite Ses mouvements et coups de reins puissants, me pilonnant sauvagement et profondément le fourreau chaud et accueillant de mon cul, et j’en mouille tellement que j’ai du mal à me retenir de jouir. Etre prise, ainsi enculée, à même le sol m’excite au plus au point, qu’à un moment je ne pus retenir ma jouissance. Je fus foudroyée par un orgasme tellement puissant que je ne pus pas me contrôler, l’excitation était trop forte. Je ne sentie honteuse de ne pas avoir su me retenir surtout que j’ai été dressée pour ne jouir que sur ordre. Le Maitre sortit de mon cul pour se planter devant moi, sans un mot. Son silence accusateur était dur pour moi et il dura un long moment, plus de 20 minutes sans un mot du Maitre, sans un geste. Je savais que j’avais fauté et d’une faute grave que je me mis à pleurer je me sentais indigne de soumise à Ses pieds. Je baissais la tête de honte et si j’avais pu me cacher dans un trou de souris, je l’aurai fait. Monsieur le Marquis finit par briser ce silence pesant et réprobateur.
- Comme ça, tu n’as pas su te retenir la chienne !, qu’as-tu as dire ?
- Maitre, je Vous demande de bien vouloir sanctionner mon comportement et pardonner ma faute.
- Tu as raison chienne et quelle sanction, estimes-tu mériter ?
- 50 coups de cravache, Maitre.
- 50 coups ? Tu blagues là ? Tu penses mériter ça ?
- Heu … Non … Mais je ….
- Tu mérites une sanction beaucoup plus sévère. Tu vas recevoir tes 50 coups de cravache, mais cela ne suffira pas à laver cet affront que tu viens de Me faire. La punition plus sévère te sera donnée très bientôt, soit en certaine, salope.
- Oui, Maître, comme il vous plaira. Je mérite uniquement ce que Vous estimez ce que je mérite.
- Alors pour commencer, en position pour les 50 coups de cravache. Je ne veux pas t’entendre, sinon Je recommence à zéro, dit le Maitre sur un ton ferme et autoritaire
Je me mets dans la bonne position pour subir la sanction du Maitre. Je la subis, sans un mot, sans bouger, et je fais mon maximum pour ne pas fauter encore plus. Les 50 coups sont très durs et intenses, car le Noble ne ménage pas Ses coups qui pleuvent sans modération. J’ai du mal à retenir mes larmes qui coulent beaucoup car même moi qui suit un grande maso, j’ai du mal à tenir en place, mais je tiens surtout par ma volonté et ma Dévotion pour Lui et pour regagner Sa confiance et mériter enfin Son pardon, ce qui m’importe le plus... Une fois les 50 coups finis, je me prosterne à Ses pieds :
- Merci Maitre, d’avoir pris le temps de me sanctionner et de faire de moi une meilleure esclave. Je subirai le complément à cette sanction que Vous jugerez utile de me faire subir…- Bien, Ma chienne. Mais d’ores et déjà, et sans attendre cette deuxième sanction, ne t’avise plus jamais de jouir comme tu l’as fait sans Mon autorisation, sinon ce sera le double que tu recevras donc 100 coups de Ma cravache et tu perdrais ton statue de Favorite, ça c’est clair et incontournable. Maintenant, tu vas prendre une douche froide et te coucher dans cette cage.
Je quitte la pièce pour aller me doucher, une fois fait, le Maitre accroche une chaine à mon cou pour l’attacher au barreau de la cage et m’y enferme pour la nuit. Il éteint la lumière et je m’endors avec difficulté en boule durant toute la nuit car l’espace de la cage est assez restreint... Ce fut Maitre qui me réveilla en passant Sa verge entre deux barreaux. Et, c’est ainsi emprisonnée que je Le pris en bouche. Le Noble ayant passé également Ses mains entre les barreaux, prit ma tête pour que Lui-même puisse imprimer Son rythme. Quant à moi, je fis mon maximum pour bien le sucer et Lui donner le plus de plaisir possible avec ma bouche de salope. Quand, au bout de longues minutes à ce que ma cavité buccale Lui serve de trou à baiser, Il Se déversa dans le fond de ma gorge en de longs et épais jets de Sa noble semence...
- Tu vas passer le reste de la semaine ici, en Chine. Pour Ma part, Je repars dans une heure en France, Ma chienne. Mais tu ne vas pas rester là, à te croiser les pouces. Mon amis, Yang Li Hao va s’occuper de ton côté nympho. Il connait très bien tous les proxénètes et bordels de Pékin. Et il va t’emmener dans plusieurs bordels sordides, comme luxueux, pour des clients très exigeants et pervers… Tu vas devenir, avec lui, une vraie putain, une sale catin bonne qu’à se faire prendre le cul, la chatte ou la bouche par toutes les personnes qu’il t’indiquera. Pas de D/s, cette semaine, telle une putain de bas-quartiers, tu vas passer tes journées à te faire prendre tes orifices de chienne en chaleur, du matin jusqu’au soir, à multiplier les passes, Ma petite pute de chienne. Voilà ce que tu va devenir une putain pour Mon ami et ses amis aussi. Bonne semaine Ma catin de salope de chienne …
Le Châtelain me conduit ensuite jusqu'à une grande et immense pièce. Rien qu’a l’idée de me faire prendre mes orifices à faire la pute, j’en fus toute excitée, je dois bien l’avouer
- Tu vas attendre ici et à quatre pattes que Yang Li Hao, daigne venir te voir et s’occuper de tes orifices de putain afin de les tester pour te faire faire la putain dans les bordels de Pékin...
- Oui Maitre Vénéré et encore merci pour cette opportunité de faire de moi, une sale putain de rue
Je m’installe alors comme ordonné par le Maitre et j’attends. Monsieur le Marquis quitte la pièce et je me retrouve seule face à moi-même et à ces envies de baises torrides qui m’attendent… Plus d’une heure trente passa avant que plusieurs hommes ne rentrent dans la pièce
- Voici la chienne de mon ami, le si célèbre Maître, Monsieur le Marquis qui est venu spécialement de France pour me prêter pour la semaine cette salope, afin de la transformer en une véritable putain. Son corps et à votre disposition pour vos pulsions sexuelles… avant que je la mène de bordel en bordel dans Pékin…
Sans attendre, une première verge entre dans ma chatte trempée comme dans du beurre tellement l’excitation est forte et je fis largement utilisée en gang-band durant des heures… Et ce fut ainsi durant toute la semaine où je fus saillie, baisée, enculée, prise par mes trois trous à la fois etc… par des Dominants et les soumis de Monsieur Yang Li Hao et dans diverses positions. On m’emmena aussi dans une dizaine de bordels au total, des plus luxueux où séjournaient des putes de luxe pour des clients fortunés, comme dans des bordels des plus sordides et crasseux pour une clientèle pauvres et sales… Simples ou doubles pénétrations, je fus fistée, godée, plugée, empalée par tous mes trous de catin pour le plaisir des personnes présentes et perverses durant toute la semaine. Je dormais très peu, étant utilisée environ 16 à 18 heures par jour à faire la pute sans modération, passant par toutes les luxures et perversions de l’imagination scabreuse des hommes...
Parfois, c’était seulement une personne qui s’occupait de ma chatte ou de mon cul, parfois c’étaient des vrais gang-bangs que je subissais pour mon plus grand plaisir et ça du matin jusqu’au soir et du soir au matin. Je n’avais que quelque heure pour me reposer et manger dans une gamelle en bois, aux pieds de Monsieur Yang Li Hao et de sa femme une belle jeune femme, je dois l’avouer. Le dernier jour fut plus calme, enfin si on peut appeler cela calme, car comme tous les autres jours, je fus utilisée sexuellement mais cette fois, ce ne fut que les Invités du mariage, que je géré professionnellement, qui se mirent à me prendre le cul et ma chatte de pute tout aussi sauvagement et bestialement. Leurs couilles claquant sur mon cul, leurs verge, bien dure, entraient et venaient dans mes trois orifices...
Pour finir la semaine, épuisée à être utilisée à outrance, je n’en pouvais plus, j’étais à bout de force. La femme de Monsieur Yang Li Hao l’eu remarquée et lui fit savoir. Alors, il m’installa sur un lit et après m’être reposée une matinée entière à dormir, je fus réveillée par la femme de Yang Li Hao. Elle commença sous les yeux de son mari à m’embrasser tout le corps, mes seins, ma bouche, dans des gestes tendres, doucereux, aimants, que je lui rendis. Elle descendit sur mon sexe pour le lécher, le mordiller, l’aspirer, me téter le clito, ce qui me fis gémir de plaisir. Je n’avais pas joui de toute la semaine par manque d’autorisation et son traitement était dur pour moi, qui était donc en manque de jouissance. Yang Li Hao nous positionna en 69 pour que je lui rende ses caresses sur mon sexe. Je m’appliquais à la lécher, à la sucer du mieux possible et pour lui rendre le plaisir qu’elle me donnais tout en démultipliant les caresses de mes mains baladeuses. Quand je sentis la grosse verge de Monsieur Yang Li Hao me prendre la chatte et s’activer à grands coups de boutoirs. Ce fut terriblement excitant cette situation. Il était rare de vivre un rapport intime avec une femme et je commençais à y prendre plaisir… Yang Li Hao me culbutait sauvagement la chatte, pendant que sa femme s’activait sur mon clitoris si réceptif alors que je faisais de même sur le sien…
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