La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1427)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1427)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1412) -
- Jouit, maintenant la chienne, je l’exige ! …
C’est avec l’autorisation du Maitre que j’explose dans un orgasme tellement intense, tellement libérateur que tout mon corps est en trans à trembler comme une feuille bien secouée par le vent. Et par ailleurs, je ressens même une certaine fierté, car pour l’une des rares fois, je n’ai pas demandé la permission du Noble pour jouir, j’ai réussi à attendre et à me retenir jusqu’à que le Maitre me l’autorise. Une fois que j’ai retrouvé mes esprits, le Châtelain s’approche de moi et me retire d’abord le carton sur mon visage, puis il commence à me caresser délicatement les cheveux ainsi que le visage, tout en me parlant d’une voix douce, et rassurante, mais aussi Dominante.
- Bien, Ma chienne, Ma Nala, Mon esclave, tu es obéissante, une bonne chienne bien dressée. Et même si je n’ai jamais douté de ta docilité, j’ai toujours aimé constater une obéissance parfaite de mes soumises ou esclaves… Pour le moment, tu vas aller te coucher dans ton panier, aux pieds de mon bureau, le temps que je travaille un peu.
Monsieur le Marquis détache mes mains et mes pieds, et me montre du doigt mon panier juste à côté de Son bureau. Je m’y dirige à quatre pattes, tourne en rond dedans, pour finir par m’y allonger. Le silence me permet de me rendre compte que je suis couchée aux pieds du Maitre, et rien que cette réalité me fait tellement plaisir. Couchée aux pieds du Maitre tant chéri et Vénéré je me sens tout simplement à ma place, une chienne qui attend à Ses pieds, d’avoir l’honneur et la chance de Le servir. C’est après 2h de patience que le Noble m'appelle d’un claquement de doigts. Je sors alors de mon panier et me mets donc en position d’attente, agenouillée, mains derrière le dos, buste droit, cuisses écartées le plus possible. Il exige que je lui fasse part de mes ressentis de cette nuit dans l’enclos à cochons de la porcherie (voir épisode précédent). Apres avoir reçu l’autorisation de parler, je commence à Lui expliquer qu’au début, je me suis sentie abandonnée, j’ai eu du mal à accepter que durant quelques heures, je serai réduite à l’état animal telle une cochonne, une truie, à devoir aller jusqu’à manger leur nourriture. Et pourtant malgré tout ça je mouillais, j’étais trempée d’excitation car je me sentais tellement humiliée qu’il me fallait bien Lui avouer que l’humiliation m’excitait grandement et je n’en connaissais pas la raison, mais que c’était un fait avéré.
J’explique au Châtelain que j’ai bien vite compris que de me savoir dans cette porcherie à devoir vivre comme une truie, c’était Son bon vouloir, alors je me suis concentrée sur la puissante humiliation que je vivais dans l’espoir de rendre fier le Maitre, dans l’espoir de vivre pleinement ce qu’Il a prévu pour moi. Et quand le Noble a commencé à me parler, et qu’Il s’est trouvé durant quelques minutes avec moi, cette humiliation est devenue beaucoup plus puissante. Je finis d’expliquer au Maitre mon ressenti sincère et ce fort besoin d’humiliation en le remerciant de cette puissante humiliation à laquelle Il a pensé me faire subir. En le remerciant de m’avoir laissé m’exprimer ce que j’ai ressenti... Et même si j’ai le tète baissée et que mon regard est dirigé vers le sol, je sais, je ressens fortement Son regard Dominant sur moi. Me savoir observée par Monsieur le Marquis me fait frissonner de plaisir, mais aussi une certaine appréhension, celle de ne pas être à la hauteur, celle de pas plaire et satisfaire entièrement le Maitre. Cette appréhension me donne toujours envie de faire plus pour Le satisfaire, pour Le rendre toujours le plus fier possible, de toujours me dépasser pour le Maitre… C’est après un léger silence que j’entends Sa voix qui comme toujours n’a pas besoin d’être élevée pour me sentir toute petite, face à Son fort Charisme.
- Parfait Mon esclave, je suis fier de toi et de cette épreuve et puissante humiliation que tu as enduré pour Mon bon plaisir, et aussi pour le tien, car tu as comme pris du plaisir, beaucoup de plaisir à être humiliée et rabaisser de la sorte. Je sais et j’ai toujours su ce dont tu as besoin pour t’épanouir pleinement dans ta soumission, dans ta condition d’esclave à Mes pieds. Et sache que contrôler chaque aspect de ta vie, te rabaisser, t’humilier, te prendre, t’utiliser comme bon me semble quand je le veux, te réduire à ton état naturel de soumise en une chienne salope en chaleur est Mon Devoir de Dominant, te faire vivre tout simplement ta propre Nature... Et comme ton besoin d’humiliation est très fort en toi pour ton équilibre de soumise esclave, je vais t’humilier une dernière fois pour aujourd’hui, avant que tu ne repartes… Suis-Moi en quadrupédie Ma chienne…
Le Maître m’emmène alors près des toilettes, dans l’aile Sud du Château que je ne connaissais pas. Postée devant une grande et haute double-porte en bois vernie, où il est affichée ‘‘Toilettes pour Dames’’, je me demande bien ce que le Noble a prévu de me faire subir comme humiliation. Il m’installe de nouveau un œuf vibrant dans mon sexe sans dire un mot, puis Il ouvre cette massive double-porte et je découvre une espèce de fosse bétonnée et creusée de la taille en longueur et largeur d’un corps humain couché. Au bout de cette fosse un trou d’évacuation est flanqué par une grille métallique. Monsieur le Marquis exige que je me couche sur le dos dans cette petite fosse rectangulaire. J’obéis et de suite je frisonne de froid au contact du béton lissé sur la peau nue de mon dos… Ce n’est pas du tout confortable que d’être couchée ainsi sur ce dur support bétonné. Je regarde le Maître avec étonnement, ne comprenant pas ce qu’Il attend de moi. Quand, sans un seul mot, il dépose sur la fosse, avec moi dedans, avec une grande planche recouvrant la totalité du trou. Seule une large ouverture dans la planche en forme de cœur se retrouve juste au-dessus de mon visage.
- Vois-tu Mon esclave, ici jadis, du temps des Rois de France, il y avait ce que l’on appelle maintenant un ‘cabinet à la turc’. C’est ici que Mes aïeuls venaient faire leur besoins. Des domestiques venaient par la suite évacuer à grand seaux d’eau, les urines et excréments dans un puit directement creusé en dessous et qui allait jusqu’aux douves du Château… Ils avaient inventé à l’époque, sans le savoir, les balbutiements de l’assainissement collectif moderne que qu’on appelle aujourd’hui les réseaux d’égouts. Historiquement, sache aussi que c’est ici que le fameux Marquis de Sade venait aux toilettes alors qu’il était venu se réfugier chez mon ancêtre ! (lire Les Origines de la Saga)… J’ai exigé à toutes Mes soumises et demandé à Marie, ma cuisinière de venir uriner ici à partir de maintenant et durant les 2 prochaines heures, mais j’insiste, uniquement pour uriner. Ainsi ta tête étant sous le trou de la planche, tu as pour obligation d’ouvrir la bouche à chaque fois que de l’urine te tombera sur le visage. Et aussi tu as pour obligation de te masturber durant tout le temps que les jets d’urine tomberont. Je t’autorise à jouir si tu en as envie… Je reviens dans 2 heures, où ensuite tu pourras te laver et repartir après ces deux jours au Château… Ah, une dernière chose, je dépose la télécommande de l’œuf vibrant sur le petit tabouret situé à côté de la double-porte car chaque femme qui viendra uriner a pour consigne de pisser en appuyant sur la télécommande et doit la reposer sur le tabouret avant de repartir…
Sans un mot de plus, il quitte ce cabinet à la turc et referme la porte, et j’entends Ses pas s’éloigner… Je me sens plus qu’humiliée car servir de WC public est tout simplement humiliant, dégradant. En serais-je excitée ? Je pense que oui car je sens déjà que mon sexe s’humidifier par la situation sans m’en rendre vraiment compte, et je sens aussi l’œuf immobile dans mon sexe qui m’apporte déjà un bien-être même s’il ne vibre pas encore, il me remplit et cela m’excite aussi … Je n’ai pas à attendre longtemps, quand au bout de dix minutes, j’entends la double-porte s’ouvrir, et je comprends qu’une personne s’accroupit sur l’épaisse planche, celle-ci craquant très légèrement d’un petit bruit sec. De ce que mes yeux peuvent voir par le trou en forme de cœur, j’aperçois très distinctement l’intimité de la femme, s’ouvrir, que je suppose être une soumise. Puis un jet d’urine en sort et au même moment où pour obéir, j’ouvre la bouche et commence à me branler mon clitoris, la femme appuie sur la télécommande et je ressens alors l’œuf vibrer dans ma chatte excitée. J’avale malgré moi de l’urine et je me masturbe en même temps. De la pisse s’écoule aussi de tout côté de mon visage car je n’abonde pas à tout mettre en bouche… L’œuf vibrant, ma masturbation, l’humiliation font en sorte que je suis déjà presque sur le point de jouir quand l’œuf s’arrête ainsi que le jet d’urine. J’entends la femme se lever et repartir la double-porte se refermer alors que j’ai le visage trempée ainsi que les cheveux et épaules d’urine et la chatte trempée de cyprine.
Ce scénario se répète ensuite une quinzaine de fois en 2 heures et sans me retenir, j’ai largement joui une bonne dizaine de fois au total, trop excitée par cette suprême humiliation fort excitante. L’œuf vibrant étant à chaque fois enclenché dans diverses vitesses, j’ai joui très fortement tout en étant abondamment souillée, telle une souillonne… La plus forte jouissance fut la dernière personne à être venue se vider la vessie. Toutes celles d’avant n’avaient dit aucun mot, car je suppose qu’elles étaient toutes des soumises, mais la dernière femme à être venue pisser était Marie la cuisinière, qui en plus du scénario habituel, avait rajouté des nombreuses insultes humiliantes en me traitant de sale cochonne, de petite merde, de sac à pisse, de souillonne etc, etc et j’en passe… Quand les deux heures se termine, le Maître est revenu me chercher et m’a emmené me doucher pour me retirer toute puanteur d’urine…
- Bien, Mon esclave salope, je suis très fier de toi et je sais que tu as pris du plaisir et que tu en a joui sans modération d’être ainsi humiliée et déshumanisée… Maintenant, il est temps pour nous de se quitter pour aujourd’hui, je vais te raccompagner, toi à quatre pattes comme la chienne que tu es. J’attends ton compte rendu de tout le reste de ces deux jours, où je n’ai pas entendu tes ressentis
Quand il finit de parler, c’est d’un coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château...
(A suivre …)
- Jouit, maintenant la chienne, je l’exige ! …
C’est avec l’autorisation du Maitre que j’explose dans un orgasme tellement intense, tellement libérateur que tout mon corps est en trans à trembler comme une feuille bien secouée par le vent. Et par ailleurs, je ressens même une certaine fierté, car pour l’une des rares fois, je n’ai pas demandé la permission du Noble pour jouir, j’ai réussi à attendre et à me retenir jusqu’à que le Maitre me l’autorise. Une fois que j’ai retrouvé mes esprits, le Châtelain s’approche de moi et me retire d’abord le carton sur mon visage, puis il commence à me caresser délicatement les cheveux ainsi que le visage, tout en me parlant d’une voix douce, et rassurante, mais aussi Dominante.
- Bien, Ma chienne, Ma Nala, Mon esclave, tu es obéissante, une bonne chienne bien dressée. Et même si je n’ai jamais douté de ta docilité, j’ai toujours aimé constater une obéissance parfaite de mes soumises ou esclaves… Pour le moment, tu vas aller te coucher dans ton panier, aux pieds de mon bureau, le temps que je travaille un peu.
Monsieur le Marquis détache mes mains et mes pieds, et me montre du doigt mon panier juste à côté de Son bureau. Je m’y dirige à quatre pattes, tourne en rond dedans, pour finir par m’y allonger. Le silence me permet de me rendre compte que je suis couchée aux pieds du Maitre, et rien que cette réalité me fait tellement plaisir. Couchée aux pieds du Maitre tant chéri et Vénéré je me sens tout simplement à ma place, une chienne qui attend à Ses pieds, d’avoir l’honneur et la chance de Le servir. C’est après 2h de patience que le Noble m'appelle d’un claquement de doigts. Je sors alors de mon panier et me mets donc en position d’attente, agenouillée, mains derrière le dos, buste droit, cuisses écartées le plus possible. Il exige que je lui fasse part de mes ressentis de cette nuit dans l’enclos à cochons de la porcherie (voir épisode précédent). Apres avoir reçu l’autorisation de parler, je commence à Lui expliquer qu’au début, je me suis sentie abandonnée, j’ai eu du mal à accepter que durant quelques heures, je serai réduite à l’état animal telle une cochonne, une truie, à devoir aller jusqu’à manger leur nourriture. Et pourtant malgré tout ça je mouillais, j’étais trempée d’excitation car je me sentais tellement humiliée qu’il me fallait bien Lui avouer que l’humiliation m’excitait grandement et je n’en connaissais pas la raison, mais que c’était un fait avéré.
J’explique au Châtelain que j’ai bien vite compris que de me savoir dans cette porcherie à devoir vivre comme une truie, c’était Son bon vouloir, alors je me suis concentrée sur la puissante humiliation que je vivais dans l’espoir de rendre fier le Maitre, dans l’espoir de vivre pleinement ce qu’Il a prévu pour moi. Et quand le Noble a commencé à me parler, et qu’Il s’est trouvé durant quelques minutes avec moi, cette humiliation est devenue beaucoup plus puissante. Je finis d’expliquer au Maitre mon ressenti sincère et ce fort besoin d’humiliation en le remerciant de cette puissante humiliation à laquelle Il a pensé me faire subir. En le remerciant de m’avoir laissé m’exprimer ce que j’ai ressenti... Et même si j’ai le tète baissée et que mon regard est dirigé vers le sol, je sais, je ressens fortement Son regard Dominant sur moi. Me savoir observée par Monsieur le Marquis me fait frissonner de plaisir, mais aussi une certaine appréhension, celle de ne pas être à la hauteur, celle de pas plaire et satisfaire entièrement le Maitre. Cette appréhension me donne toujours envie de faire plus pour Le satisfaire, pour Le rendre toujours le plus fier possible, de toujours me dépasser pour le Maitre… C’est après un léger silence que j’entends Sa voix qui comme toujours n’a pas besoin d’être élevée pour me sentir toute petite, face à Son fort Charisme.
- Parfait Mon esclave, je suis fier de toi et de cette épreuve et puissante humiliation que tu as enduré pour Mon bon plaisir, et aussi pour le tien, car tu as comme pris du plaisir, beaucoup de plaisir à être humiliée et rabaisser de la sorte. Je sais et j’ai toujours su ce dont tu as besoin pour t’épanouir pleinement dans ta soumission, dans ta condition d’esclave à Mes pieds. Et sache que contrôler chaque aspect de ta vie, te rabaisser, t’humilier, te prendre, t’utiliser comme bon me semble quand je le veux, te réduire à ton état naturel de soumise en une chienne salope en chaleur est Mon Devoir de Dominant, te faire vivre tout simplement ta propre Nature... Et comme ton besoin d’humiliation est très fort en toi pour ton équilibre de soumise esclave, je vais t’humilier une dernière fois pour aujourd’hui, avant que tu ne repartes… Suis-Moi en quadrupédie Ma chienne…
Le Maître m’emmène alors près des toilettes, dans l’aile Sud du Château que je ne connaissais pas. Postée devant une grande et haute double-porte en bois vernie, où il est affichée ‘‘Toilettes pour Dames’’, je me demande bien ce que le Noble a prévu de me faire subir comme humiliation. Il m’installe de nouveau un œuf vibrant dans mon sexe sans dire un mot, puis Il ouvre cette massive double-porte et je découvre une espèce de fosse bétonnée et creusée de la taille en longueur et largeur d’un corps humain couché. Au bout de cette fosse un trou d’évacuation est flanqué par une grille métallique. Monsieur le Marquis exige que je me couche sur le dos dans cette petite fosse rectangulaire. J’obéis et de suite je frisonne de froid au contact du béton lissé sur la peau nue de mon dos… Ce n’est pas du tout confortable que d’être couchée ainsi sur ce dur support bétonné. Je regarde le Maître avec étonnement, ne comprenant pas ce qu’Il attend de moi. Quand, sans un seul mot, il dépose sur la fosse, avec moi dedans, avec une grande planche recouvrant la totalité du trou. Seule une large ouverture dans la planche en forme de cœur se retrouve juste au-dessus de mon visage.
- Vois-tu Mon esclave, ici jadis, du temps des Rois de France, il y avait ce que l’on appelle maintenant un ‘cabinet à la turc’. C’est ici que Mes aïeuls venaient faire leur besoins. Des domestiques venaient par la suite évacuer à grand seaux d’eau, les urines et excréments dans un puit directement creusé en dessous et qui allait jusqu’aux douves du Château… Ils avaient inventé à l’époque, sans le savoir, les balbutiements de l’assainissement collectif moderne que qu’on appelle aujourd’hui les réseaux d’égouts. Historiquement, sache aussi que c’est ici que le fameux Marquis de Sade venait aux toilettes alors qu’il était venu se réfugier chez mon ancêtre ! (lire Les Origines de la Saga)… J’ai exigé à toutes Mes soumises et demandé à Marie, ma cuisinière de venir uriner ici à partir de maintenant et durant les 2 prochaines heures, mais j’insiste, uniquement pour uriner. Ainsi ta tête étant sous le trou de la planche, tu as pour obligation d’ouvrir la bouche à chaque fois que de l’urine te tombera sur le visage. Et aussi tu as pour obligation de te masturber durant tout le temps que les jets d’urine tomberont. Je t’autorise à jouir si tu en as envie… Je reviens dans 2 heures, où ensuite tu pourras te laver et repartir après ces deux jours au Château… Ah, une dernière chose, je dépose la télécommande de l’œuf vibrant sur le petit tabouret situé à côté de la double-porte car chaque femme qui viendra uriner a pour consigne de pisser en appuyant sur la télécommande et doit la reposer sur le tabouret avant de repartir…
Sans un mot de plus, il quitte ce cabinet à la turc et referme la porte, et j’entends Ses pas s’éloigner… Je me sens plus qu’humiliée car servir de WC public est tout simplement humiliant, dégradant. En serais-je excitée ? Je pense que oui car je sens déjà que mon sexe s’humidifier par la situation sans m’en rendre vraiment compte, et je sens aussi l’œuf immobile dans mon sexe qui m’apporte déjà un bien-être même s’il ne vibre pas encore, il me remplit et cela m’excite aussi … Je n’ai pas à attendre longtemps, quand au bout de dix minutes, j’entends la double-porte s’ouvrir, et je comprends qu’une personne s’accroupit sur l’épaisse planche, celle-ci craquant très légèrement d’un petit bruit sec. De ce que mes yeux peuvent voir par le trou en forme de cœur, j’aperçois très distinctement l’intimité de la femme, s’ouvrir, que je suppose être une soumise. Puis un jet d’urine en sort et au même moment où pour obéir, j’ouvre la bouche et commence à me branler mon clitoris, la femme appuie sur la télécommande et je ressens alors l’œuf vibrer dans ma chatte excitée. J’avale malgré moi de l’urine et je me masturbe en même temps. De la pisse s’écoule aussi de tout côté de mon visage car je n’abonde pas à tout mettre en bouche… L’œuf vibrant, ma masturbation, l’humiliation font en sorte que je suis déjà presque sur le point de jouir quand l’œuf s’arrête ainsi que le jet d’urine. J’entends la femme se lever et repartir la double-porte se refermer alors que j’ai le visage trempée ainsi que les cheveux et épaules d’urine et la chatte trempée de cyprine.
Ce scénario se répète ensuite une quinzaine de fois en 2 heures et sans me retenir, j’ai largement joui une bonne dizaine de fois au total, trop excitée par cette suprême humiliation fort excitante. L’œuf vibrant étant à chaque fois enclenché dans diverses vitesses, j’ai joui très fortement tout en étant abondamment souillée, telle une souillonne… La plus forte jouissance fut la dernière personne à être venue se vider la vessie. Toutes celles d’avant n’avaient dit aucun mot, car je suppose qu’elles étaient toutes des soumises, mais la dernière femme à être venue pisser était Marie la cuisinière, qui en plus du scénario habituel, avait rajouté des nombreuses insultes humiliantes en me traitant de sale cochonne, de petite merde, de sac à pisse, de souillonne etc, etc et j’en passe… Quand les deux heures se termine, le Maître est revenu me chercher et m’a emmené me doucher pour me retirer toute puanteur d’urine…
- Bien, Mon esclave salope, je suis très fier de toi et je sais que tu as pris du plaisir et que tu en a joui sans modération d’être ainsi humiliée et déshumanisée… Maintenant, il est temps pour nous de se quitter pour aujourd’hui, je vais te raccompagner, toi à quatre pattes comme la chienne que tu es. J’attends ton compte rendu de tout le reste de ces deux jours, où je n’ai pas entendu tes ressentis
Quand il finit de parler, c’est d’un coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château...
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