La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1435) - histoire érotique

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1433) -
Monsieur le Marquis se lève pour rejoindre Sa Favorite… Il reste un instant debout face à elle, observant ce corps nue et immobile qui lui est parfaitement offert. Le Noble se penche sur elle, défait le collier de soumise qui orne parfaitement son cou, puis dans un geste parfaitement gentleman, lui tend la main pour l’aider à se mettre debout.

- Vanessa, redresse-toi, lui dit-il d’un ton amical.

La jeune femme comprend que Le Noble veut que la soumise s’efface au profit de la femme, mais c’est toujours une situation qui la déstabilise. Vanessa se redresse donc, se force à lever la tête et à lui sourire. Le Châtelain lui rend son sourire en lui désignant une chaise où se trouve une très élégante tenue de soirée.

- Ces vêtements sont pour toi. J’ai encore quelques affaires à régler, je vais te laisser t’habiller et une de Mes esclaves va te rejoindre pour t’aider à te préparer comme je le veux. Lorsque tu seras prête, attends-moi dans un des fauteuils, je t’expliquerai ensuite ce que j’attends de toi pour la soirée, l’informe-t-Il.
- Bien Maî… heu… Monsieur Le Marquis, se reprend Vanessa qui se force pour quitter la peau de la soumise.

Le Noble lui sourit, satisfait de son adaptation, puis quitte Ses appartements pour rejoindre Walter et faire le point sur la situation concernant son serviteur Bertrand. La jeune femme découvre la tenue qu’Il a laissé pour elle, c’est une robe magnifique alliant à la perfection élégance et charme. Vanessa la passe pour découvrir sans aucun étonnement qu’elle est parfaitement adaptée à ses formes, comme si elle avait été retouchée pour elle. Alors qu’elle termine de s’habiller, une jeune femme entièrement nue et aux tétons annelées, seulement parée d’un épais collier de soumise entre dans les appartements du Noble, équipée d’une grande valise.

- Bonjour, lui lance amicalement Vanessa.
- Bonjour, je suis esclave Pauline et je suis chargée de…- … de m’aider à me préparer comme Le Maître l’a exigé, Il m’a prévenue, sourit Vanessa.
- C’est parfait, si vous le voulez bien, nous allons démarrer immédiatement, le timing est assez serré, répond la jeune femme en ouvrant sa valise.

esclave Pauline désigne une chaise à Vanessa, puis entreprend de la coiffer, sans lui demander son avis sur ce qu’elle désire, mais ce n’est nullement nécessaire, Le Noble en personne a donné des directives très claires. Après la coiffure, elle s’occupe de son maquillage, Vanessa n’a pas de miroir en face d’elle et ne peut se rendre compte de la transformation, mais elle n’en a pas besoin, elle sait que la jeune femme ne fait qu’exécuter la Volonté du Maître. L’esclave femelle apporte une touche finale par une manucure parfaitement réalisée avant de souhaiter une bonne soirée à Vanessa et de quitter les appartements du Maître… Vanessa aimerait voir l’image qu’elle renvoie, mais il n’y a pas de miroir dans le salon et elle n’ose circuler librement dans les appartements du Noble. Elle s’assoit donc dans un fauteuil, se saisissant d’un roman posé sur la table basse, patientant le retour du Maître. Ce dernier revient une bonne demi-heure plus tard, trouvant la jeune femme plongée dans le roman qu’Il a entamé le matin même, tellement absorbée qu’elle ne l’entend pas entrer. Il l’observe un moment, satisfait de son image, attendant de voir si elle va Le remarquer, mais sans réaction de sa part, il finit par lui adresser la parole.

- Cette lecture semble te captiver, sourit-Il, faisant sursauter la jeune femme.
- Oh Maître, je suis désolée, je ne Vous ai pas entendu, effectivement, c’est un roman passionnant, répond-t-elle en refermant le livre pour le reposer à sa place, avant de se lever pour s’incliner respectueusement.
- Je suis ravi que tu apprécies mes lectures, je pourrais te le prêter lorsque je l’aurai terminé, si tu le désires.
- Merci infiniment, Maître, avec plaisir.
- Bien, assieds-toi, je dois t’expliquer ce que j’attends de toi, ponctue-t-Il en s’asseyant dans le fauteuil d’en face.

Vanessa obtempère, se forçant à le regarder, sachant bien qu’Il veut parler à la femme et non à la soumise.

- Je t’emmène à un apéritif dans une soirée mondaine. Je te présenterai comme une amie, rentière, fille d’un homme d’affaires faisant partie de mes collaborateurs, et aussi comme ma cavalière de la soirée. Tu devras participer activement aux conversations et t’adapter aux codes de ce milieu huppé, mais je sais que tu sauras faire parfaitement illusion, sourit-Il confiant.
- Merci Maître pour Votre confiance, je ferai tout pour Vous satisfaire.
- Je n’en doute pas, évidemment, il n’y aura pas de Maître et de soumise qui tienne, tu m’appelleras « Monsieur Le Marquis » et moi « Vanessa ».
- Bien Monsieur Le Marquis, sourit-elle.
- Parfait, Walter nous attend au garage, termine-t-Il en se levant, mais avant tu vas prendre la pose car je vais immortaliser cette image, tu es très belle, sourit-Il avec des yeux admiratifs et gourmands.

La jeune femme se lève, fixant le smartphone du Noble qui prend quelques clichés avant de la conduire à l’extérieur. Ils arrivent au sous-sol, Walter ouvre la porte dans une parfaite révérence au couple qu’ils forment, Le Noble laisse Vanessa entrer avant de s’installer à ses côtés, puis la Rolls démarre.

- Ah soumise Keira MDE, une dernière chose, dit Le Noble d’un ton dominant.
- Oui Maître ?
- Mets-toi à quatre pattes à Mes pieds et relève ta robe.

La jeune femme obtempère, dévoilant son fessier nu sous la robe et encore marqué par le serviteur indélicat. Le Noble le caresse avec sensualité, puis pose un objet sur son anus avant de le pousser dans ses entrailles. Vanessa reconnait immédiatement le rosebud portant les trois initiales ‘MDE’ du Châtelain. Il caresse une dernière fois sa croupe ainsi ornée, laisse ses doigts parcourir Sa marque, passe deux doigts sur la chatte humide. Le Maître lui branle doucement et longuement les lèvres intimes dans un silence absolu. Puis, il remonte sur le clitoris et se met à le masturber plus que raison tout en alternant un doigtage profond. Vanessa sait qu’elle n’a reçu aucune autorisation de jouir, malgré la forte excitation provoquée par ce délicieux traitement. Alors elle se retient du mieux possible quand le Noble retire Ses doigts et repositionne sa robe puis l’aide à reprendre place à Ses côtés, tout en lui imposant de lécher Ses doigts souillés de mouille. Keira MDE les lèche avec avidité et reconnaissance.

- C’est pour que tu n’oublies pas que tu restes Ma propriété, lui sourit-Il.
- Merci infiniment, Maître, répond-t-elle d’un ton empli de sincérité, tout en comprimant ses cuisses l’une contre l’autre afin de resserrer son sexe et savourer encore un plaisir orgasmique interdit, mais sans croiser les jambes ce qui lui est strictement interdit, alors Vanessa fait cela juste en faisant toucher ses genoux.

La route se poursuit, Le Noble sent la jeune femme songeuse, comme perdue dans ses pensées.

- Vanessa, tout va bien, tu sembles préoccupée, c’est au sujet de la nuit dernière ? Si tu as besoin qu’on revienne sur le sujet, on peut en parler, s’inquiète-t-Il- Tout va parfaitement bien, Monsieur Le Marquis, mais …- Mais ?, interroge Le Noble insistant.
- Laurent me manque, j’aimerais pouvoir au moins entendre le son de sa voix, mais je sais que je suis avec Vous et que je dois me concentrer sur Votre seule satisfaction.
- Mais je t’ai laissé ton téléphone et toutes tes matinées de libres, pourquoi ne pas en avoir profité pour l’appeler certains matins ?
- Je…je pensais que cela ne faisait pas partie de ce qui m’était autorisé, répond étonnée la jeune femme.

Le Noble sourit, c’est vrai qu’Il ne lui avait pas donné cette autorisation, mais c’était pour Lui une évidence. Il prend son propre téléphone, compose le numéro de son ami et tend l’appareil à la jeune femme. Laurent, voyant le numéro du Noble répond sans attendre, inquiet.

- Edouard, bonjour, un souci ? demande-t-il anxieux.
- Mon chéri, c’est moi, je…, répond Vanessa- Vaness, tu vas bien ?, s’inquiète-t-il étonné de la voir appeler du téléphone de son ami.
- Oui, oui, parfaitement bien, c’est simplement que tu me manques, aussi Monsieur Le Marquis a voulu me permettre de t’entendre.
- Je suis heureux que tu Le contentes suffisamment pour qu’Il accède à tes désirs. Toi aussi tu me manques, j’ai vu la photo, tu es magnifique ce soir.
- La photo ? Quelle photo ? Ah…oui, merci, répond Vanessa comprenant soudain que Le Noble a envoyé le cliché qu’Il vient de prendre, à son ami.
- Tu apprécies tes vacances ?
- Oh oui, mais… je pourrais t’appeler les matins si j’en ressens le besoin ?, ose-t-elle demander, ne souhaitant pas le déranger.
- Même si tu n’en ressens pas le besoin, confirme-t-il d’un ton amoureux.

Vanessa sourit, l’embrasse et rend le téléphone au Noble qui salut son ami avant de raccrocher. Puis Il observe la jeune femme sereine, souriante, qui semble éperdument amoureuse.

- Tu sais, qu’il ne se passe pas un jour sans qu’il ne prenne de tes nouvelles, lui apprend-t-Il.
- Ah bon ?, s’étonne la jeune femme.
- Tous les jours je lui réponds que tu vas bien et que tu me contentes amplement.
- Merci Maître.
- Tu veux voir ? interroge Le Noble un sourire aux lèvres, lisant dans les yeux de la jeune femme comme dans un livre ouvert.
- Si vous me le permettez, Maître.

Le Noble tend alors de nouveau son téléphone à la jeune femme, affichant la photo qu’il a envoyé à Laurent. Elle découvre son image, impressionnée par la transformation que peut permettre une coiffure et un maquillage élaborés… La voiture se gare enfin devant une luxueuse villa arborée d’un immense parc et d’une immense piscine. Walter ouvre la porte et Le Noble sort avant de tendre la main à Vanessa pour la mener à son bras. La jeune femme prend une grande inspiration, sourit et entre dans la peau de la femme qu’Il veut qu’elle soit ce soir… Un portier les accueille et les fait entrer à l’intérieur, puis ils pénètrent dans une vaste salle de réception où les convives triés sur le volet, profitent déjà des flutes de champagne servies par un personnel expérimenté. Tous les regards se sont tournés à leur arrivée. Et un silence se forme instantanément, ce qui laisse à penser à la jeune femme que Monsieur le Marquis est très certainement l’hôte le plus attendu de la soirée. Vanessa sent aussi qu’elle plait sans conteste, le regard lubrique des hommes ne fait aucun doute, tout comme celui envieux des femmes… Le Noble s’avance toujours Vanessa à son bras, prenant une flute de champagne au passage, exigeant à la serveuse de Lui ramener une coupe de cocktail sans alcool, pensant à sa cavalière qui n’a pas l’habitude de boire... Les convives se remettent à discuter entre eux après avoir salué d’un signe respectueux de la tête le Noble et sa compagne de la soirée.

- Monsieur Le Marquis, quel plaisir de vous voir ici. Nous Vous attendions avec beaucoup d’impatience. Quand j’ai su que vous étiez dans la région, je vous ai vite invité ! Mais je ne savais pas que votre venue si attendue serait avec une si excellente compagnie, l’accueille un homme d’une cinquantaine d’année, les cheveux poivre-sel, habillé avec classe, tout en lui tendant une amicale main chaleureuse.
- Monsieur Le Ministre, je tiens tout d’abord à vous remercier de m’avoir invité. Je vous prie de m’excuser d’être venu sans vous prévenir que je ne serai pas seul...
- Aucun souci ! C’est une si agréable surprise que vous nous faites ! Vous me présentez Madame ?
- Mademoiselle plutôt, sourit Le Noble. Vanessa, je te présente Monsieur le Ministre Jacques Pontel, un ami de longue date, avec lequel j’échange souvent pour mes affaires. Et de plus est, Ministre de l’Agriculture. Tu le connais au moins pour l’avoir vu à la télévision, j’imagine !
- Monsieur le Ministre, enchantée, répond Vanessa dans une parfaite révérence.
- L’enchantement est pour moi, Mademoiselle.

Puis devant une coupe de champagne, ils discutent un long moment ensemble…
(A suivre …)