La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1444)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1444) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1444)
Lope Olivier au Château – (suite de l'épisode précédent N°1443)-
- Tu vas apprendre la modestie, l’humilité à baisser la tête. Ici, les stagiaires doivent avoir un comportement exemplaire de soumission quand ils deviennent les dominés de Monsieur le Marquis…
Lope Olivier n'en croyait pas ses oreilles, il était venu pour un stage et maintenant il faisait l'objet de l'attention de Monsieur le Marquis, sous Son Joug, asservi à Lui, et cela lui procurait un incroyable bien-être intérieur. Il avait encore l'odeur de la noble Verge et le goût de la Semence du Seigneur dans sa bouche. Il s'avoua qu'il avait aimé sentir le divin sperme giclé au fond de sa gorge, sentir les soubresauts du Vit du Maître des Lieux, sentir les coups de butoir de ce phallus Dominant. Oui il s'était comporté comme une belle pute soumise et il ressentait une forme de plénitude profonde à cela… Il ne put s'empêcher de penser qu'il serait une bonne lope du Châtelain, et qu'il avait hâte de gouter à nouveau à Son Vit. Etre en présence de Sa haute autorité, le Marquis d'Evans allait le guider vers un monde de délicieux tourments mais aussi de délicieux plaisirs, dont celui de satisfaire le Maître des Lieux. Il se coucha avec cette idée, appartenir à quelqu'un en l'occurrence le Noble. Et de savoir que le Seigneur allait le posséder entièrement, le mit en transe. C'est à ce moment-là, que la ceinture de chasteté se rappela à son bon souvenir, une douleur l'accompagna et il vit sa nouille de chien prendre de l'épaisseur mais bloquée par la cage, sa queue était grotesque, son érection se diffusait dans son bas ventre, sa soumission au Maître en était plus grande car même ses érections étaient devenues dorénavant parfaitement contrôlées.

C'est ainsi que Lope Olivier se coucha et passa en revue sa première journée au Château. La journée fondatrice de sa future condition de putain soumis à un Maître, Monsieur le Marquis d'Evans… Le lendemain matin, Olivier fut réveillé par un bruit sourd, on tapait régulièrement sur la cloison de sa chambre. Et c'est au bout d'un moment, quand il entendit le râle de la jouissance d'une femme, qu'il comprit que dans la pièce voisine, une femme subissait les assauts d'un homme. Olivier se rapprocha de la cloison, tendit l'oreille et entendit des mots particulièrement crus :
- Qui t'as dit de jouir salope de chienne mal éduquée ? Tu es à mon service, tu jouis quand je te l'ordonne et tu le sais... Tu es encore bien indisciplinée, tu mérites une bonne correction… Viens, approche que je te l’explique, chienne. Tu connais la punition, tu préfères quoi, que je te donne en pâture aux trois ouvriers qui travaillent aujourd'hui au Château mais sans que tu ais l’autorisation de jouir à aucun moment, ou que je te cravache cinquante fois avant de te mettre au Cachot, au pain sec et à la gamelle d’eau durant 1 semaine tout en restant attachée à une chaine reliée à un anneau scellé au mur ?.

Lope Olivier comprit que l'homme qui était à coté était le Majordome. Quant à la femme il avait une petite idée, peut-être la soumise entièrement nue qu'il avait vu hier. Effectivement il s'agissait bien de Sophie, elle venait d'être besognée par le Majordome et bien malgré elle, son plaisir était venu. Walter était furieux car les soumises et soumis devaient jouir uniquement sur autorisation ou ordre. Cette soumise s'était mal comportée, elle méritait donc une correction. Le Majordome savait que les ouvriers n'avaient pas l'occasion de ‘s'amuser’ avec une jeune femme de cette qualité physique, il décida donc qu'elle leur serait livrée dans l'après-midi car Sophie préféra les ouvriers plutôt que de rester enfermée 1 semaine dans un sombre Cachot. Mais d'abord, il fallait qu'elle leur soit présentée comme une pouliche qui est montrée à son étalon sauf que là il s'agissait de trois hommes plutôt frustres dans leurs attitudes. Bref, des hommes prêt à ‘tirer sur tout ce qui bouge’ ou plutôt ‘à baiser sur tout ce qui se présente’ et de savoir qu'ils pourraient la prendre par tous les orifices, allait décupler leur envie de la démonter. Walter expliqua à soumise Sophie ce qu'il attendait d'elle. Elle devrait tout à l'heure leur porter de l'eau bien sûr dans l'attitude qui sied aux stagiaires soumis dans le Château, donc entièrement nue…
Quand l’après-midi arriva, c'est ainsi que Sophie allait au-devant des trois hommes, nue, ses seins se balançant et ses hanches opulentes de manière féline dans la démarche étaient une invitation à la posséder. Les trois hommes savaient parfaitement ce qui se passait au Château et n’étaient donc nullement étonnés de voir arriver une femme soumise dénudée leur apporter à boire. A la vue de la soumise qui s'approchait avec un plateau de trois verres et d’un litre d’eau, les trois hommes s'arrêtèrent brusquement de travailler, leurs regards étaient uniquement dirigés vers elle. Sophie avait reçu des instructions claires et précises, elle les respecta à la lettre, surtout dans les mots exigés et à prononcer à haute et intelligible voix:
- Messieurs, bonjour, je dois être punie pour avoir joui sans autorisation, et ma punition est que vous pouvez m’utiliser, me prendre par mes trois orifices sans que je puisse être autorisée à jouir. Je suis à Vous, usez et abusez de moi, de mon corps de salope car je ne suis qu’une sale pute à baiser… Je suis votre vide-couilles… C’est en ces termes que Monsieur Walter m’a exigé de me présenter à vous, conclue-t-elle en baissant la tête…
A peine avait-elle terminé sa phrase que l'ouvrier le plus proche lui prit le plateau des mains, le posa plus loin et la saisit par la taille :
- Moi en premier, dit-il à ses collègues !

L'homme qui agrippait sa taille se saisit aussi de son sein gauche et commença à le malaxer avec vigueur et gourmandise, avec son pouce et l'index. Il se saisit du mamelon de la jeune femme et tira brutalement dessus. soumise Sophie ne put s'empêcher de crier Elle savait parfaitement pourquoi elle était là, afin de purger sa punition et que ces trois rustres allaient à tour de rôle ou en même temps la posséder par tous ses orifices. L'homme en face d'elle avait déjà laissé tomber son pantalon et un sexe énorme apparu. L'odeur qu'il dégageait, Sophie pouvait la sentir de là où elle était, l'homme l'attrapa par les cheveux et la poussa vers son entre jambes. Sophie malgré son dégout savait qu'elle était punie et obéir et donc elle devait satisfaire ces hommes. Donc elle ouvrit la bouche et laissa l’épaisse queue lui prendre sa cavité buccale. Sophie devait rassasier trois hommes, elle savait parfaitement que sa bouche, son vagin et son cul seraient bien investis à tour de rôle et même peut-être en même temps, comme déjà dit…
Le Majordome alla voir si tout se passait bien, si la punition était en train de bien s’effectuer selon ses cosignes claires. Et en effet dès qu’il arriva, Sophie était à quatre pattes en train de se faire pilonner en levrette à grands coups de reins puissants, profonds et virils par un des ouvriers tandis qu'elle se faisait tripoter les seins par le deuxième qu’elle suçait en même temps, le troisième attendait la queue à la main que la place se libère, tout en la regardant avec envie. Walter était ravi de la scène et encouragea les trois ouvriers :
- Parfait, Messieurs, continuez à bien la prendre et ne la ménagez surtout pas ! Il faut qu’elle soit punie ainsi mais si par malheur elle jouissait, merci de m’en informer au plus vite, elle irait dans ce cas-là directement au cachot pour une semaine, sans voir le soleil…- Cette pute est bien bonne, Monsieur Walter, elle mérite que de se faire prendre comme une bonne chienne en chaleur. Merci d’avoir pensé à nous !
- Oh c’est normal, car Monsieur le Marquis s’est arrangé avec votre patron pour qu’une surprise vous soit accordée pour le remercier de sa grosse ristourne sur le montant des travaux ! Alors cette punition est parfaitement appropriée pour que vous ayez votre surprise ! D’une pierre, deux coups !, répondit Le Majordome tout sourire !… D’ailleurs quand vous en aurez finit avec cette salope, terminez votre journée de travail normalement et avant de partir en cette fin de journée, vous viendrez me voir, je serai dans les écuries à 18h, car j’aurai encore quelque chose pour vous… disons que ce sera une autre surprise ! conclue-t-il tout en tournant le pas …
Les trois hommes usèrent et abusèrent de soumise Sophie durant plus d’une heure où cette dernière réussit tant bien que mal à ne pas jouir, ce qui lui a été une véritable punition car l’envie de lâcher sa jouissance était trop forte étant possédée par tous les trous et surtout quand les trois ouvriers éjaculèrent, étant chacun dans un de ses orifices en même temps… En fin de journée, à 18h, les ouvriers après leur travail donc, allèrent rejoindre le Majordome qui les attendait dans les écuries. Lope Olivier était nu et agenouillée et tenu en laisse au pied de Walter :
- Messieurs, voilà aussi de quoi vous satisfaire, c'est un stagiaire soumis mâle qui vient d'arriver, et vous pouvez prendre sa bouche et son cul, si ça vous dit ?... Maintenant, si vous ne voulez pas parce qu’il s’agit d’un mâle, je comprends car peut-être que vous n’êtes que hétérosexuels et pas bisexuels ! leur demanda le Majordome - Mais pas de problème, Monsieur Walter, on aime bien aussi ! Merci ! D’ailleurs pour tout vous dire, pas plus tard que la semaine dernière, sur un gros chantier, on s’est tapé un jeune petit pédé, lui aussi en stage mais pour apprendre à faire le maçon ! … et avec nous, il a fait aussi le ‘lit …maçon’ ! Ha ! Ha ! Ha ! … Il nous allumait et on l’a tringlé derrière un gros tas de sable du chantier !, répondit un des trois hommes en dévorant des yeux, Lope Olivier qui restait silencieux, la tête baissée et toujours la nouille encagée…- Alors, c’est parfait, car ça fait partie de son programme de formation à ce soumis, Monsieur le Marquis veut voir comment il va se comporter. Vous avez carte blanche avec lui, conclut le Majordome en laissant Olivier aux mains des trois ouvriers.

Un des ouvriers fut le premier à faire une remarque sur la cage de chasteté :
- Oh mais c'est une pute en chaleur qui fait bien salope avec sa nouille bien rangée… Aller, approche-toi ma petite pute, viens me sucer, viens me montrer comment ta langue est habile, dit-il en empoignant les cheveux du soumis.

Lope Olivier n'avait plus le choix, il allait être le jouet, l’objet, la chose de ces trois rustres gaillards. Le premier qui venait de parler et sans aucune retenu força sa queue dans la bouche du stagiaire. Olivier eu un haut le cœur, le sexe de l'homme dégageait une odeur puissante et il allait devoir en plus nettoyer cette verge inquisitrice de sa cavité buccale. L'homme commença ses mouvements de hanche, il allait se régaler avec cette putain. Et effectivement, deux minutes plus tard et après de vifs va-et-vient prenant cette bouche humide pour un vagin, c'est en gémissant de longs râles qu'il lâcha son foutre jusqu’au fond de la gorge et donc Olivier fut contraint d’avaler tout le jus de l'homme, aspirant au passage le gland. Car il voulait que le Noble soit satisfait de sa performance au sein du Château. Et c'est ainsi que, deux heures durant, Lope Olivier dut offrir son cul et sa bouche où les assauts répétés des trois hommes le besognaient sans ménagement… Et quand ils en eurent assez, le plus grand des trois qui avait joui sans retenue et à plusieurs reprises dans la bouche et le cul d'Olivier, s’exclama :
- Cette petite putain doit avoir le cul en feu, moi je l'ai pris deux fois, et la deuxième fois son cul était moins serré, je suis sûr que maintenant, elle peut se faire enculer par les calibres les plus gros. Monsieur le Marquis va apprécier notre travail, une pute au cul bien élargi, bien dilaté. Cette pute est bien souillée par notre semence, il y en a partout...
- Moi j'ai juté sur ses fesses et sa raie, j'adore jouir à l'extérieur quand j'ai pris un bon cul, d'ailleurs je suis sûr que ce cul était vierge, rajouta un autre- Alors, dis-nous, la pute, t'était vierge du cul ? Interrogea le troisième- Non, je n'étais pas vierge du cul, mentit Olivier…
(A suivre …)

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