La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1454)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1454)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1453) -
Les serviteurs descendent du car et les portes se referment…
Le Majordome patiente devant la Rolls, garée face au bus, il lit dans le visage du chauffeur de l’autocar que quelque chose ne va pas, il lui fait signe d’ouvrir les portes pour le rejoindre.
- Tout va bien, le chien ? La conduite te fatigue ? Tu peux sortir prendre l’air si cela est nécessaire, la sécurité de tous prime sur ta condition de soumis.
- Non Monsieur Walter, je vais bien, merci de vous en soucier.
- Alors pourquoi cette tête soucieuse ?
- C’est que... je n’ai pas à juger des actes des serviteurs, mais j’ai le sentiment que certains outrepassent leurs droits, Monsieur Walter.
- Hum, en effet tu n’as pas à en juger…, répond Walter dirigeant son regard vers le fond du bus.
Le Majordome observe un instant, découvrant soumise Keira MDE en position d’attente, son corps largement marqué de sanctions fraîchement appliquées.
- … Mais tu fais bien de m’alerter, continue-t-il avant de rejoindre le fond du car.
Walter s’approche, observe la jeune femme pour se rendre compte qu’elle est marquée sur une grande partie de son corps. Alors il s’accroupit à sa hauteur, prend son menton dans sa main pour plonger un regard interrogateur dans ses yeux. Elle se contente de lui sourire comme si elle cherchait à le rassurer…
- Qui t’a marqué de la sorte, soumise MDE ?
- C’est Monsieur Bertrand, mais c’était amplement mérité, j’ai tardé à exécuter ses exigences, Monsieur.
- Hum, je vois, répond Walter qui ne croit pas une seconde la jeune femme. Et pourquoi avoir tardé à obéir ?
- La fatigue je suppose, mais ceci n’explique pas cela, Monsieur, je me dois de faire honneur à l’éducation du Maître quel que soit mon état.
- Souhaites-tu que j’ordonne que tu restes assise à ta place, pour le reste du trajet afin que tu te reposes ?
Vanessa repense à la discussion qu’elle a eu avec Le Maître, Il savait que ce serviteur dépasserait de nouveau les limites, le Noble attendait même cette occasion, pour pouvoir le congédier. S’Il lui en a parlé, c’est certainement qu’Il se doutait qu’elle serait la cible de ce nouveau débordement. Elle sait que le Maître compte sur elle pour tenir face à cet homme, et s’Il l’a placée ici c’est qu’Il la sait capable d’y parvenir.
- Merci de votre attention Monsieur Walter, mais accepter votre aide reviendrait à accepter un traitement de faveur, je tiens à prouver que je mérite la place que le Maître m’a octroyée…- Très bien, répond Walter en se relevant.
Le Majordome ne lui dit rien et rejoint le conducteur à l’avant, en vérifiant au passage que chaque esclave est parfaitement immobile.
- esclave Maxime MDE, si pendant la fin du trajet, tu vois que la Favorite du Maître risque quoi que ce soit, tu arrêtes immédiatement le car et invoquant une excuse d’une quelconque panne, c’est un ordre, tu as bien compris ?
- Oui, Monsieur Walter, comptez sur moi, je serai très vigilant, dit-il dans un élan de solidarité envers une soumise MDE.
- Parfait, dit-il en quittant l’autobus.
Le Majordome rejoint la Rolls alors que Monsieur le Marquis d’Evans arrive tout juste de sa pause.
- Walter, tout va bien ?, interroge le Noble voyant le regard pensif de son Majordome.
- Oui Monsieur Le Marquis, c’est simplement que Votre Favorite vient de me mentir pour protéger un de vos serviteurs.
- Ah ? Je t’écoute, répond le Noble pour l’enjoindre à continuer.
- soumise Keira MDE présente des marques importantes jusque sur des parties de son corps qui ne devraient pas être marquées, une sanction appliquée par Bertrand. Je suis certain qu’il a trouvé un banal motif pour se venger, mais dans la puissante dévotion qu’elle ressent envers Vous, elle affirme que la sanction était méritée… Bertrand a visiblement outrepassé les règles…- Hum, je vois. Tu penses qu’elle court un risque plus grand que des marques imméritées ?, interroge Le Noble qui ne semble pas surpris de ce qu’Il apprend, mais qui s’inquiète pour Sa Favorite.
- Non, pas à ce point, Bertrand n’est pas seul avec elle, je sais qu’on peut compter sur Vincent et les autres serviteurs. Et puis j’ai donné des ordres à soumis maxime MDE qui, en cas d’urgence la concernant, se garera sur l’aire de repos la plus proche ou même sur la voix d’arrêt d’urgence en cas d’extrême nécessité.
- Bien, alors nous réglerons cela à notre arrivée, allons, reprenons la route, nous sommes attendus…
Au même moment, les serviteurs remontent dans le car, allant reprendre leur place tout en contrôlant que tout est en ordre au niveau des esclaves. Bertrand se place face à soumise Keira MDE, il regarde la photo qu’il avait prise d’elle avant la pause et remarque que sa tête a bougé.
- Tu as bougé pendant notre absence, salope ?, questionne-t-il.
- Non Monsieur, répond-t-elle humblement.
- Ne ment pas, chienne, accuse-t-il en lui administrant une gifle magistrale sur la joue gauche qui fait sursauter tous les autres esclaves tellement elle est sonore.
Vanessa ressent un violent esprit de rébellion monter en elle, ses poings se serrent, tout comme sa mâchoire, elle respire profondément pour accepter la maltraitance de cet homme malsain sans se révolter, pour rester digne de la marque du Noble.
- Monsieur, je vous assure, je suis restée à ma place, pendant toute votre absence, sans esquisser le moindre geste, reprend-t-elle
Keira MDE reçoit une seconde gifle sur l’autre joue, mais cette fois-ci il a tourné sa chevalière et son visage se retrouve marqué considérablement. Alors qu’il allait lui en administrer une troisième, Vincent intervient en lui retenant le bras d’une poigne ferme.
- Ça suffit !, arrête… soumise Keira MDE aux pieds ! ordonne-t-il d’un ton ne laissant aucune place au refus.
La jeune femme obéit promptement, trop heureuse d’échapper aux sévices immérités de ce Bertrand habité par la vengeance.
- De quel droit interviens-tu ?, s’offusque Bertrand.
- Tu outrepasses tes droits, c’est mon devoir de t’interrompre.
- Je suis en droit de la sanctionner, elle a fauté.
- Je m’occupe de son cas à partir de maintenant. De ton côté, je te conseille de t’occuper autrement avec les esclaves de Monsieur Le Marquis, dans le cas contraire, je serais contraint de l’avertir dans la seconde, car là tu dépasses les bornes, répond Vincent sur un ton non négociable.
Bertrand lâche prise, comprenant qu’il n’obtiendra pas raison, fait un geste rapide de colère pour se retourner et va s’asseoir un peu plus loin à l’écart, tout au maugréant des mots incompréhensibles entre ses dents avec du mépris dans son regard.
- Comment te sens-tu, soumise MDE ?, murmure d’un ton doucereux Vincent à l’oreille de la jeune femme.
- Bien, merci de vous en soucier, Monsieur, répond-t-elle d’un ton parfaitement soumis et reconnaissant.
- C’est tout à ton honneur de faire face, mais je veux savoir réellement comment tu vas, répond-t-il d’un ton inquiet.
- J’ai mal un peu partout, mais j’ai connu pire, c’est surtout le plug qui devient insupportable, Monsieur, mon ventre devient vraiment douloureux, répond la jeune femme.
- Présente-moi ton cul, ordonne-t-il d’un ton très doux.
Vanessa s’exécute, se plaçant à quatre pattes, puis en levrette dans l’allée centrale, cul bien exposé se mettant dos à lui. Il pose alors ses mains sur son fessier avec délicatesse, le caresse avec une douceur infinie pour qu’elle se détende, puis se saisit de la base du plug et doucement entreprend de le retirer, la laissant le pousser à son rythme. Lorsqu’il sort enfin, elle retient son cri, mais la douleur est tellement vive que ses muscles ne la tiennent plus, et elle s’écroule au sol. Vanessa tente de se redresser immédiatement, mais n’y parvient pas. Vincent la stoppe d’un geste de la main, lui faisant comprendre qu’elle doit rester allongée au sol.
- Monsieur, je suis désolée de ne pas être à la hauteur d’une soumise MDE, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette attitude, dit-elle la voix chevrotante, retenant un sanglot.
Vincent l’aide à se relever, sans un mot, mais avec un regard apaisant, exprimant une grande amabilité, une gentillesse emplie d’humanité. Le doux serviteur la fait allonger sur la banquette à ses côtés, la laissant même poser sa tête sur sa cuisse, puis fait signe à un autre serviteur pour qu’il la recouvre d’une couverture chaude. Vincent lui caresse le cuir chevelu comme on caresse un animal de compagnie. Vanessa au fond d’elle-même se sent rassurée et apprécie le comportement exemplaire de Vincent.
- Allons, ne culpabilise pas tant, tu mérites plus que personne d’autres la marque que tu portes dans ta chaire, tu es allée au bout de tes limites, ton corps ne suit plus, c’est normal. Il reste un peu plus de deux heures de route, essayes de te reposer, la rassure-t-il d’un ton particulièrement doux en caressant ses cheveux.
Keira MDE se calme la tête sur la cuisse du serviteur du Maître, rassurée par ses paroles et ses gestes aimants. Elle ferme les yeux, appréciant les caresses qu’il lui octroie, et s’endort rapidement…
(A suivre …)
Les serviteurs descendent du car et les portes se referment…
Le Majordome patiente devant la Rolls, garée face au bus, il lit dans le visage du chauffeur de l’autocar que quelque chose ne va pas, il lui fait signe d’ouvrir les portes pour le rejoindre.
- Tout va bien, le chien ? La conduite te fatigue ? Tu peux sortir prendre l’air si cela est nécessaire, la sécurité de tous prime sur ta condition de soumis.
- Non Monsieur Walter, je vais bien, merci de vous en soucier.
- Alors pourquoi cette tête soucieuse ?
- C’est que... je n’ai pas à juger des actes des serviteurs, mais j’ai le sentiment que certains outrepassent leurs droits, Monsieur Walter.
- Hum, en effet tu n’as pas à en juger…, répond Walter dirigeant son regard vers le fond du bus.
Le Majordome observe un instant, découvrant soumise Keira MDE en position d’attente, son corps largement marqué de sanctions fraîchement appliquées.
- … Mais tu fais bien de m’alerter, continue-t-il avant de rejoindre le fond du car.
Walter s’approche, observe la jeune femme pour se rendre compte qu’elle est marquée sur une grande partie de son corps. Alors il s’accroupit à sa hauteur, prend son menton dans sa main pour plonger un regard interrogateur dans ses yeux. Elle se contente de lui sourire comme si elle cherchait à le rassurer…
- Qui t’a marqué de la sorte, soumise MDE ?
- C’est Monsieur Bertrand, mais c’était amplement mérité, j’ai tardé à exécuter ses exigences, Monsieur.
- Hum, je vois, répond Walter qui ne croit pas une seconde la jeune femme. Et pourquoi avoir tardé à obéir ?
- La fatigue je suppose, mais ceci n’explique pas cela, Monsieur, je me dois de faire honneur à l’éducation du Maître quel que soit mon état.
- Souhaites-tu que j’ordonne que tu restes assise à ta place, pour le reste du trajet afin que tu te reposes ?
Vanessa repense à la discussion qu’elle a eu avec Le Maître, Il savait que ce serviteur dépasserait de nouveau les limites, le Noble attendait même cette occasion, pour pouvoir le congédier. S’Il lui en a parlé, c’est certainement qu’Il se doutait qu’elle serait la cible de ce nouveau débordement. Elle sait que le Maître compte sur elle pour tenir face à cet homme, et s’Il l’a placée ici c’est qu’Il la sait capable d’y parvenir.
- Merci de votre attention Monsieur Walter, mais accepter votre aide reviendrait à accepter un traitement de faveur, je tiens à prouver que je mérite la place que le Maître m’a octroyée…- Très bien, répond Walter en se relevant.
Le Majordome ne lui dit rien et rejoint le conducteur à l’avant, en vérifiant au passage que chaque esclave est parfaitement immobile.
- esclave Maxime MDE, si pendant la fin du trajet, tu vois que la Favorite du Maître risque quoi que ce soit, tu arrêtes immédiatement le car et invoquant une excuse d’une quelconque panne, c’est un ordre, tu as bien compris ?
- Oui, Monsieur Walter, comptez sur moi, je serai très vigilant, dit-il dans un élan de solidarité envers une soumise MDE.
- Parfait, dit-il en quittant l’autobus.
Le Majordome rejoint la Rolls alors que Monsieur le Marquis d’Evans arrive tout juste de sa pause.
- Walter, tout va bien ?, interroge le Noble voyant le regard pensif de son Majordome.
- Oui Monsieur Le Marquis, c’est simplement que Votre Favorite vient de me mentir pour protéger un de vos serviteurs.
- Ah ? Je t’écoute, répond le Noble pour l’enjoindre à continuer.
- soumise Keira MDE présente des marques importantes jusque sur des parties de son corps qui ne devraient pas être marquées, une sanction appliquée par Bertrand. Je suis certain qu’il a trouvé un banal motif pour se venger, mais dans la puissante dévotion qu’elle ressent envers Vous, elle affirme que la sanction était méritée… Bertrand a visiblement outrepassé les règles…- Hum, je vois. Tu penses qu’elle court un risque plus grand que des marques imméritées ?, interroge Le Noble qui ne semble pas surpris de ce qu’Il apprend, mais qui s’inquiète pour Sa Favorite.
- Non, pas à ce point, Bertrand n’est pas seul avec elle, je sais qu’on peut compter sur Vincent et les autres serviteurs. Et puis j’ai donné des ordres à soumis maxime MDE qui, en cas d’urgence la concernant, se garera sur l’aire de repos la plus proche ou même sur la voix d’arrêt d’urgence en cas d’extrême nécessité.
- Bien, alors nous réglerons cela à notre arrivée, allons, reprenons la route, nous sommes attendus…
Au même moment, les serviteurs remontent dans le car, allant reprendre leur place tout en contrôlant que tout est en ordre au niveau des esclaves. Bertrand se place face à soumise Keira MDE, il regarde la photo qu’il avait prise d’elle avant la pause et remarque que sa tête a bougé.
- Tu as bougé pendant notre absence, salope ?, questionne-t-il.
- Non Monsieur, répond-t-elle humblement.
- Ne ment pas, chienne, accuse-t-il en lui administrant une gifle magistrale sur la joue gauche qui fait sursauter tous les autres esclaves tellement elle est sonore.
Vanessa ressent un violent esprit de rébellion monter en elle, ses poings se serrent, tout comme sa mâchoire, elle respire profondément pour accepter la maltraitance de cet homme malsain sans se révolter, pour rester digne de la marque du Noble.
- Monsieur, je vous assure, je suis restée à ma place, pendant toute votre absence, sans esquisser le moindre geste, reprend-t-elle
Keira MDE reçoit une seconde gifle sur l’autre joue, mais cette fois-ci il a tourné sa chevalière et son visage se retrouve marqué considérablement. Alors qu’il allait lui en administrer une troisième, Vincent intervient en lui retenant le bras d’une poigne ferme.
- Ça suffit !, arrête… soumise Keira MDE aux pieds ! ordonne-t-il d’un ton ne laissant aucune place au refus.
La jeune femme obéit promptement, trop heureuse d’échapper aux sévices immérités de ce Bertrand habité par la vengeance.
- De quel droit interviens-tu ?, s’offusque Bertrand.
- Tu outrepasses tes droits, c’est mon devoir de t’interrompre.
- Je suis en droit de la sanctionner, elle a fauté.
- Je m’occupe de son cas à partir de maintenant. De ton côté, je te conseille de t’occuper autrement avec les esclaves de Monsieur Le Marquis, dans le cas contraire, je serais contraint de l’avertir dans la seconde, car là tu dépasses les bornes, répond Vincent sur un ton non négociable.
Bertrand lâche prise, comprenant qu’il n’obtiendra pas raison, fait un geste rapide de colère pour se retourner et va s’asseoir un peu plus loin à l’écart, tout au maugréant des mots incompréhensibles entre ses dents avec du mépris dans son regard.
- Comment te sens-tu, soumise MDE ?, murmure d’un ton doucereux Vincent à l’oreille de la jeune femme.
- Bien, merci de vous en soucier, Monsieur, répond-t-elle d’un ton parfaitement soumis et reconnaissant.
- C’est tout à ton honneur de faire face, mais je veux savoir réellement comment tu vas, répond-t-il d’un ton inquiet.
- J’ai mal un peu partout, mais j’ai connu pire, c’est surtout le plug qui devient insupportable, Monsieur, mon ventre devient vraiment douloureux, répond la jeune femme.
- Présente-moi ton cul, ordonne-t-il d’un ton très doux.
Vanessa s’exécute, se plaçant à quatre pattes, puis en levrette dans l’allée centrale, cul bien exposé se mettant dos à lui. Il pose alors ses mains sur son fessier avec délicatesse, le caresse avec une douceur infinie pour qu’elle se détende, puis se saisit de la base du plug et doucement entreprend de le retirer, la laissant le pousser à son rythme. Lorsqu’il sort enfin, elle retient son cri, mais la douleur est tellement vive que ses muscles ne la tiennent plus, et elle s’écroule au sol. Vanessa tente de se redresser immédiatement, mais n’y parvient pas. Vincent la stoppe d’un geste de la main, lui faisant comprendre qu’elle doit rester allongée au sol.
- Monsieur, je suis désolée de ne pas être à la hauteur d’une soumise MDE, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette attitude, dit-elle la voix chevrotante, retenant un sanglot.
Vincent l’aide à se relever, sans un mot, mais avec un regard apaisant, exprimant une grande amabilité, une gentillesse emplie d’humanité. Le doux serviteur la fait allonger sur la banquette à ses côtés, la laissant même poser sa tête sur sa cuisse, puis fait signe à un autre serviteur pour qu’il la recouvre d’une couverture chaude. Vincent lui caresse le cuir chevelu comme on caresse un animal de compagnie. Vanessa au fond d’elle-même se sent rassurée et apprécie le comportement exemplaire de Vincent.
- Allons, ne culpabilise pas tant, tu mérites plus que personne d’autres la marque que tu portes dans ta chaire, tu es allée au bout de tes limites, ton corps ne suit plus, c’est normal. Il reste un peu plus de deux heures de route, essayes de te reposer, la rassure-t-il d’un ton particulièrement doux en caressant ses cheveux.
Keira MDE se calme la tête sur la cuisse du serviteur du Maître, rassurée par ses paroles et ses gestes aimants. Elle ferme les yeux, appréciant les caresses qu’il lui octroie, et s’endort rapidement…
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