La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1456)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1456) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1456)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode N°1426) –
Il ne me fallut pas longtemps avant d’avoir envie de jouir. Cette envie était vraiment intense mais je me devais de me retenir malgré les fortes stimulations clitoridiennes qui me faisaient mouiller énormément à faire couler ma cyprine de femelle en chaleur. Pendant que je me branlais la chatte comme le Noble me l’avait appris, un des hommes présents, je ne sais pas lequel car j’ai toujours les yeux bandés, prit possession à nouveau de ma cavité vaginale par de virils et puissants coups de reins sauvages, dans une pénétration des plus bestiale. Quand il en eut assez de me besogner de la sorte, il me fit mettre à quatre pattes pour me prendre, cette fois, en levrette et par l’anus, comme la chienne que je suis mais sans me branler. Il s’enfonça sans préambule, d’abord d’un coup sec et profond allant jusqu’à la garde, à la hussarde. Ensuite, il resta immobile, bien planté en moi au fond de mon cul alors que son torse était lover et épousait la forme de mon dos, ses bras passaient sous mes aisselles pour que ses mains viennent empoigner fermement mes seins pendants dans le vide. Ainsi prise sous sa virilité profonde et statique, il se mit à me pincer mes tétons et à les étirer quand il commença à bouger ses reins pour me ramoner mon fondement anal. Il accéléra de plus en plus vite pour de nouveau me besogner et ainsi il m’encula profondément le cul de sa grosse et épaisse queue raide, gorgée de plaisir, dure comme un mandrin. J’eu un peu de mal à me détendre dès son intromission sans vergogne car je sentais que sa verge était vraiment de bonne taille et c’est pour cela que dès qu’il prit possession de mon cul par cet assaut viril, sec et profond, j’eu du mal à retenir un cri de douleur…
- Tiens la pute, pour t’empêcher de crier, suce ma grosse bite et fais moi bien durcir dans ta bouche de salope de chienne, dit un autre homme en m’enfonçant sa queue demi-mollassonne dans ma bouche
Je devais me concentrer pour ne pas émettre de cris, de douleur comme ceux mélangés au plaisir de me sentir ainsi remplie et de me faire défoncer le cul dans cette copulation animale, dans cette saillie des plus bestiale, pendant que l’autre homme me baisait la bouche et me prendre aussi en gorge profonde en envahissant ma cavité buccale comme un vagin. On me retira alors mon bandeau et je pus m’apercevoir que plusieurs hommes, au moins quatre, se branlaient devant le spectacle de ce gang bang et cela m’excitait encore beaucoup plus. Ainsi je me sentais encore mieux être une sale salope, une grosse chienne, une femelle en chaleur, une vulgaire pute, un jouet fait de trous à baiser, un garage à bites, un objet de plaisirs, une simple chose à utiliser, user et abuser sans modération… et cette réalité ressentie augmentait mon excitation, démultipliait ma libido, lascive et femelle dans tous ses états, je devenais une véritable bête de sexe, n’ayant qu’un seul et unique objectif, me faire prendre par tous mes trous et intensément sans modération, dans la luxure et la perversité les plus extrêmes…
Je sentais donc mon cul douloureux se dilater assez pour que la douleur se transforme en plaisir et que je sente cette excitation à me faire prendre ainsi montée... L’autre homme que je suçais avec ardeur se retira de ma bouche pour se planter dans ma chatte trempée, dégoulinante. Pour ne pas laisser ma bouche vide, un autre homme s’enfonça en moi sans attendre. J’étais alors prise par mes trois trous de putain en chaleur et quand un homme avait éjaculé dans une de mes cavités corporelles, un autre le remplaçait aussitôt, servant ainsi juste de trous à remplir pour se vider les couilles. J’étais offerte en gang bang sauvage par le Maitre, à ses hommes de main. Durant tout le temps où ils se sont occupés de mon cul, de ma bouche et de ma chatte, je n’ai pas eu l’autorisation de jouir, et c’est ce qui fut le plus difficile, car se retenir dans de telles conditions si excitantes à se faire prendre, cela tient tout simplement de la prouesse, telllement j’étais mille fois à la limite d’orgasmes explosifs !... Une fois qu’ils en ont eu fini avec moi, je fus conduite par les six hommes dans une des salles de bain… On m’installa dans la douche et on exigea que je me place assise au sol, adossée contre la paroi, les cuisses largement écartées et la tête levée, la bouche grande ouverte. Je sentis alors plusieurs jets d’urine coulés sur mon corps fatigué, sur mes épaules, mes cheveux, mes seins, ma figure et dans ma bouche où je dus avaler tout ce que je pouvais. Je servis donc d’urinoir, tout en sentant encore ma cyprine couler le long de mes cuisses tant cette humiliation était dégradante mais au combien excitante… Quand un des hommes me dit :
- Et garde ta bouche grande ouverte pour nous servir de chiotte, la pute, pendant que mes amis ici présent se vide la vessie sur ton corps de catin. Et une fois finie de boire, salope, tu viendras bien me nettoyer et me refaire bander … J’ai encore envie de sentir ta bouche sur ma queue, la chienne.

Je m’exécutais donc encore en silence, même si j’eus le plus grand mal à les boire car ils pissaient visant prioritairement dans ma bouche durant de longues minutes sans s’arrêter. Et pendant qu’on m’urinait dessus, en même temps, j’avais reçu l’ordre de me caresser le corps, de me masser et de me souiller ainsi encore plus avec leur pisse de mâles. Ce fut donc un véritable massage à l’urine !... Une fois que tout le monde eut fini de se vider dans ma bouche et sur mon corps nu et avachi, je me redressais à genoux et je me mis donc à sucer de nouveau l’homme qui avait parlé. Je m’appliquais à lui donner le maximum de plaisir avec ma bouche qui avait le goût fort de l’urine chaude. Je suçais, aspirais, léchais sa hampe et ses couilles. Cet homme, à un moment, prit lui-même le contrôle de la fellation pour imposer son propre rythme. Je n’étais pour lui, toujours et encore, qu’un simple jouet pour se vider les couilles et la vessie, un simple objet qu’il use et abuse à sa guise. Je sentais que son plaisir montait de plus en plus sentant grandement sa queue gonflée. Ce traitement dura de longues minutes quand dans une dernière gorge profonde, il se vida dans un puissant râle jouissif via un flot saccadé de sperme épais et chaud au fond de ma gorge, ce qui me fit déglutiner, à la limite de l’étouffement quand il plaqua ma tête contre son bas-ventre en la maintenant fermement. Puis, il lâcha sa prise afin que je puisse respirer… Une fois que je l’eus nettoyé, ils prirent un malin plaisir à me doucher à l’eau froide, ce qui me glaça chaque partie de mon corps souillé, trépidant de froid sous le jet d’eau froide, tremblant comme une feuille… Puis une fois propre, j’eus droit à m’essuyer quand on me lança un large drap de bain éponge… Puis Monsieur Walter vint me récupérer... Je me prosternai à ses pieds pour lui indiquer mon besoin de parler. Il est vrai que je n’avais pas pissé depuis quelques heures et ce besoin était donc très présent.

- Oui salope Cataleya, qui y a-t-il ?
- Merci Monsieur Walter de me permettre de m’exprimer. Puis-je avoir votre autorisation d’aller pisser en bonne chienne, pour ne pas souiller mon enclos de ma pisse, s’il vous plait ?
- Depuis quand, tu n’as pas pissé la chienne ?
- Depuis plusieurs heures- Ah OK. Alors suit-moi, à quatre pattes bien sûr
Je suivis donc le Majordome du Maitre jusqu’au jardin pour uriner. C’était pour moi toujours difficile de faire mes besoins dehors et sans intimité. Mais l’envie était la plus forte et ma dévotion aussi. Et puis ma condition servile ne m’autorisait plus à avoir une quelconque intimité qui, de fait, ne m’appartenait plus… Il ne me fallut pas longtemps pour que je pisse comme une chienne accroupie au beau milieu de la pelouse. Une fois finie, Walter me conduisit dans le Chenil du Maitre avec mes autres sœurs et frères de soumission qui dormaient depuis déjà un long moment. Je ne savais pas quelle heure il pouvait être, ni combien de temps j’allais pouvoir dormir. Je repensais à toute la soirée passée et à ce magistral gang-bang que Maitre venait de me faire vivre … Et épuisée je m’endormis en quelques instants…
Plusieurs jours passèrent sans que je puisse voir le Châtelain, mais j’étais très occupée par mon entreprise entre réunions, visites à domicile dans de luxueuses maisons et surtout j’avais toute la réception gastronomique d’un mariage vanille à préparer. Maitre m’avais laissé beaucoup de temps pour m’en occuper et cela fut une vraie réussite professionnelle, ce qui me rendit très heureuse car c’était le premier mariage vanille que je faisais et les mariés été très contents de ma prestation. De plus, les travaux (entièrement financés par Monsieur le Marquis d’Evans) du petit château que mes parents m’avais laissé en héritage avançaient à grand pas et il fallait que je donne mon aval pour la réfection des plusieurs chambres. Tout en ayant l’accord de Maitre, le financier, bien entendu. Il était déjà tard, minuit passé, quand le dernier artisan quitta le petit château de ma famille mais j’avais encore quelques papiers à finir et donc je m’attelais à la rédaction du compte-rendu de la réunion d’affaires avec le Japon pour que Maitre puisse l’avoir en temps et en heure. Mais je ne vus pas l’heure passer, et il était plus de 3h du matin quand j’envoyais le mail, ainsi ne voulant pas déranger à cette heure de la nuit, Monsieur Walter qui devait déjà dormir et que j’avais prévenu. J’avais ainsi eu l’autorisation de ne pas dormir au Chenil. Je m’installais donc sur un vieux matelas par terre avec une vieille couverture pour m’endormir, nue, quelques heures avec un réveil prévu pour 7h, afin aussi d’être présente pour la réception des nouvelles fenêtres… Je fus réveillée vers 6h30 du matin par des mains baladeuses me stimulant mon clitoris doucement et sensuellement. A demi endormie, je croyais qu’il s’agissait d’un rêve érotique et naturellement j’écartais largement par réflexe les cuisses pour laisser encore plus de place à cette inquisition matinale sachant que j’avais reconnu aux savoureuses stimulations qu’il s’agissait des mains du Maitre, en personne.

- Bonjour Ma chienne endormie. Je fus surpris ce matin à Mon réveil de ne pas te trouver dans le Chenil, mais rassure-toi Walter M’a tout expliquer en Me précisant que tu avais son autorisation de dormir ici. Et Je tenais en personne à venir te féliciter pour ta dernière performance en gang-bang, Ma belle pute. Alors garde les yeux fermés pour le moment et savoure cette douce récompense. Tu es même autorisée à jouir comme la grosse salope que tu es, mais uniquement quand tu n’arriveras plus à te retenir. Je veux donc que tu te retiennes le plus possible… et Je veux pouvoir aussi profiter de tes trois orifices qui M’appartiennent entièrement, Ma catin...

(A suivre …)

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