La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1459)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1459)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1454) -
Vanessa ferme les yeux, appréciant les caresses qu’il lui octroie, et s’endort rapidement… Deux heures après, Laurent attend le retour imminent du Châtelain. Pour cela, il s’est rendu directement au Château en accord avec le Noble et attend dehors devant le perron, aux pieds des larges escaliers sous un beau soleil et un magnifique ciel bleu. Mais une esclave femelle vient le chercher pour le faire entrer…
- Bonjour Monsieur, j’ai ordre de Vous accompagner dans le bureau du Maître.
- Bonjour esclave Mathilde, le bureau ? … Non cela ira, merci, je vais les attendre ici...
- Permettez-moi d’insister Monsieur, l’ordre vient du Maître Lui-même, je serais sanctionnée si je ne le faisais pas respecter.
- Mais pour quelle raison souhaite-t-Il que je l’attende dans Son bureau ? Et pourquoi me le faire savoir par un intermédiaire ? Il m’a adressé un sms juste pour me dire de l’attendre au Château… Il y a un souci ?, s’inquiète soudain Laurent.
- Monsieur, Vous savez qu’ici une esclave n’en sait jamais plus que ce qu’elle doit savoir.
- Evidemment… Bon eh bien, je te suis. Loin de moi l’idée de te faire injustement sanctionner …
La jeune femme précède Le Commandant jusqu’au bureau du Maître. Là, esclave Mathilde lui désigne un siège qui a été placé à côté du siège du Noble derrière le bureau. Il prend place, surpris de la mise en scène et se demande ce que son ami a prévu.
- J’ai ordre de rester à Votre entière disposition le temps de l’arrivée du Maître, l’informe esclave Mathilde tout en s’agenouillant en position d’attente à ses côtés.
- Hum, cela ira, je n’ai pas l’esprit à me détendre, mais j’apprécie ton attitude digne de La marque de Monsieur Le Marquis, répond Laurent stressé qu’il puisse y avoir un éventuel souci avec sa compagne
Au même moment, la Rolls qui a pris de l’avance sur le bus arrive devant le perron. Monsieur Le Marquis donne ses directives à son Majordome.
- Walter, Mon esclave chien s’est bien comporté durant le trajet, fait en sorte qu’il ait une soirée de repos dans une chambre, et offre-lui une de Mes chiennes salopes du Chenil pour la nuit afin qu’il puisse se vider les couilles, avant de retrouver sa véritable place demain matin, annonce-t-Il d’un ton satisfait pour faire savoir à Son esclave qu’Il est satisfait de lui.
- Bien Monsieur le Marquis.
- Concernant Bertrand, dès son arrivée, je le veux dans Mon bureau, ne lui dis rien, mais quand j’en aurais terminé avec lui, il aura juste le temps de faire sa valise et de quitter le Château. Fais réserver une chambre d’hôtel sur Villefranche sur Saône, qu’il ait un lieu où aller ce soir. Et encore, je suis trop bon de faire cela, mais il ne pourra pas Me reprocher de le mettre à la rue sans un toit pour la nuitée…- Bien Monsieur le Marquis.
- Tout cela tu le délègues, comme la gestion des autres esclaves. Car ta mission la plus urgente concerne exclusivement soumise Keira MDE, tu la prends en charge personnellement. Tu me contactes sur ma ligne privée dans les plus brefs délais pour me donner les détails de ce qu’elle a subi durant le trajet dans le bus, puis tu me l’amènes dans Mon salon privé et tu lui octroies le repos avant que je ne la rejoigne.
- Bien Monsieur le Marquis, il sera fait selon Votre Volonté, répond le Majordome faisant signe à plusieurs serviteurs venus les accueillir, pour leur donner diverses consignes.
Le Noble quitte le perron pour se diriger directement dans Son bureau, remarquant à peine les esclaves heureux de le revoir, qui s’inclinent et se prosternent à Son passage. Il rejoint Laurent qui patiente depuis plus d’une demi-heure. Le commandant se lève pour rejoindre son ami alors que la jeune esclave Mathilde se prosterne.
- Edouard, j’espère que ton séjour s’est bien passé, comment vas-tu ? Et pourquoi me faire venir ici ? Un souci avec l’attitude de Vanessa ?, s’empresse-t-il de Lui demander.
- Bonjour Laurent, moi aussi je suis heureux de te revoir, sourit Le Noble amusé de l’empressement de son ami à prendre des nouvelles de sa compagne. chienne Mathilde, vas donc rejoindre Monsieur Walter sur le perron, il a des consignes pour toi.
La jeune femme se redresse et sort de la pièce à quatre pattes et la tête baissée, dans une évolution des plus félines faisant onduler son fessier de manière lascive. Le Noble attend qu’elle soit sortie puis se tourne de nouveau vers Laurent.
- Vanessa va bien, je te rassure, ne t‘inquiète pas, et je n’ai aucun reproche à faire à soumise Keira MDE. Elle sera à tes côtés ce soir, le rassure-t-il.
- Mais alors pourquoi sommes-nous ici ?
- J’ai un problème à régler et je tiens à ce que tu sois présent.
- De quel ordre ?
- Un licenciement.
- Si tard ? Et en quoi suis-je concerné par la gestion de ton personnel ?
- Je veux absolument que tu sois témoin de celui-ci, tu vas voir, je t’en prie prends place.
Laurent s’assoit aux côtés du Noble derrière le bureau, la tête pleine de questions, étonné de cette mise en scène.
Dans le même temps, l'autobus arrive devant le perron, les esclaves sortent, accompagnés des serviteurs, sauf Vincent et soumise Keira MDE. Walter vérifie que ses consignes sont respectées et monte dans l’autobus. Il trouve Vincent toujours assis, aux côtés de la jeune femme qui dort allongée sur la banquette.
- Comment va-t-elle? demande tout bas Walter à Vincent.
- Elle est éprouvée, mais je pense qu’elle va bien, chuchote Vincent.
Le Majordome interroge le serviteur sur ce qui s’est passé, Vincent lui raconte très en détail chaque instant du trajet. Walter sent la colère monter en lui, lorsqu’il prend conscience qu’un homme sous son autorité s’est permis de déroger à ce point aux règles établies. Il réalise qu’il va devoir faire un rappel au personnel dont il a la charge pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Il compose le numéro de la ligne privée du Noble sur son téléphone, puis il le tend au serviteur.
- C’est Monsieur Le Marquis, raconte-Lui exactement ce que tu viens de me dire, puis rejoins-moi dans mon bureau, je m’occupe d’elle, merci Vincent.
Dans le bureau, le Noble qui patiente avec son ami à Ses côtés, prend l’appel sans mettre le haut-parleur
- Oui ? … Vincent, alors dis-Moi… je t’écoute …
Vincent parle longuement, détaillant tout ce qui s’est passé ….
- …Ah ? … Je vois … OK… Walter s’en occupe ? … Bien, demain je te veux à 16h précise dans Mon salon privé, je tiens absolument à t’octroyer une augmentation salariale… Non, c’est Moi qui te remercie Vincent, finit-Il par lui dire, avec une sincère gratitude dans la voix et en raccrochant.
Après quelques minutes on frappe à la porte, le Châtelain ordonne d’entrer et Bertrand fait son entrée, prenant place debout devant le bureau.
- Monsieur le Marquis, vous avez voulu me voir ? demande l’homme l’air de rien.
- Effectivement Bertrand. Et je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu connais les règles claires et strictes quant à l’utilisation de Mes esclaves, n’est-ce pas ?
- Oui bien entendu, Monsieur le Marquis.
- Même celle qui précise que seul Moi suis en droit de marquer une de Mes soumises ou esclaves sur des parties de son corps qui sont visibles dans sa vie vanille ?
- Oui Monsieur Le Marquis. Et je pense que vous voulez parler de soumise Keira MDE ?
- Tout juste.
Laurent réagit de suite, au quart de tour, en voulant se lever regardant méchamment Bertrand. Le Châtelain lui fait un signe de la main pour qu’il se rassied et se taise en lui faisant comprendre de continuer d’écouter la suite
- Je devais la sanctionner par un grand nombre de coups, alors c’était pour éviter de trop frapper au même endroit et d’obtenir le sang avant la fin de la sanction, se justifie hypocritement le serviteur.
- Une sanction qui ne se justifiait pas !, accuse Le Noble.
- C’est ce qu’elle vous a dit ? Elle ment, Monsieur le Marquis, assure-t-il tout en cachant sa méchanceté.
- Suffit, je ne te demande pas de justification. Et même si c’était elle qui aurait porté ces faits à Ma connaissance, j’en tiendrais compte, à Mes yeux, sa parole a plus de valeur que la tienne. Mais tu as agi en public, je n’ai pas eu besoin de recueillir son témoignage.
- Les autres, mes collègues, manquent de rigueur Monsieur le Marquis. Vous dites bien Vous-même qu’il faut être plus intransigeant avec celles et ceux qui portent Votre marque.
- Intransigeant n’est pas injuste ! Par deux fois tu as enfreint Mes Règles, en dépit du premier avertissement que tu as reçu. Et par deux fois sur la même soumise, qui plus est, une des Mes favorites. Je ne peux laisser passer ces faits avérés, réplique le Châtelain sur un ton glacial et dans un calme parfaitement maîtrisé.
- Monsieur le Marquis, je…- Suffit, j’en ai assez entendu ! Par respect pour ton travail qui était correct jusqu’à ces 2 entorses graves au règlement, je ne vais pas te licencier pour faute grave, mais te proposer une rupture de contrat à l’amiable, c’est tout ce que j’ai à t’offrir. Tu quittes Mon château dès maintenant, je te laisse trente minutes pour rassembler tes affaires, une chambre d’hôtel t’est réservée pour ce soir, annonce Le Noble solennellement d’un ton dominant. Walter te donnera toutes les informations nécessaires. Et si tu refuses cet accord à l’amiable, tu sais très bien qu’au final, juridiquement, tu seras plus perdant que gagnant… Une poursuite pour contester un licenciement abusif au Conseil de prud'hommes serait vaine et tu le sais très bien…
L’homme comprend que toute négociation est impossible, il salue rapidement le Noble, se retourne et quitte le bureau. Laurent qui a suivi toute la scène sait que si Le Noble a pris la décision de licencier un de ses hommes, c’est qu’il a grandement dépassé les limites, il se tourne d’un œil inquiet vers son ami.
- Il a donc dépassé les règles sur Vanessa … Comment va-t-elle ? demande-t-il terriblement inquiet.
- Oui, le soir où il a pu en disposer, j'ai pris une sanction le concernant jusqu’à la fin des vacances, lui interdisant d’user seul de mes esclaves. Mais il a profité du trajet du retour pour se venger dans le bus.
- Il est allé loin ?
- Ne t’inquiètes pas, elle va bien, Vincent a fait ce qu’il fallait faire dans l’autocar. Et maintenant Walter s’en occupe, elle se repose en nous attendant. Avant de la rejoindre je voulais savoir si tu étais toujours prêt à t’en occuper comme nous l’avions prévu pour ce soir ?
- Tu penses qu’elle sera en état de le supporter ?
- Je compte lui laisser le choix, mais il faut que de ton côté tu en sois capable, elle a beaucoup de marques, je ne voudrais pas que tes sentiments soient trop difficiles à gérer pour toi.
- Si son esprit peut le supporter, c’est d’accord pour moi. Mais j’apprécie que tu prennes en compte mes sentiments, répond Laurent souriant.
- Parfait, alors allons la rejoindre, conclut Le Noble d’un ton enjoué.
Les deux amis quittent le bureau pour rejoindre le salon privé du Noble…
(A suivre …)
Vanessa ferme les yeux, appréciant les caresses qu’il lui octroie, et s’endort rapidement… Deux heures après, Laurent attend le retour imminent du Châtelain. Pour cela, il s’est rendu directement au Château en accord avec le Noble et attend dehors devant le perron, aux pieds des larges escaliers sous un beau soleil et un magnifique ciel bleu. Mais une esclave femelle vient le chercher pour le faire entrer…
- Bonjour Monsieur, j’ai ordre de Vous accompagner dans le bureau du Maître.
- Bonjour esclave Mathilde, le bureau ? … Non cela ira, merci, je vais les attendre ici...
- Permettez-moi d’insister Monsieur, l’ordre vient du Maître Lui-même, je serais sanctionnée si je ne le faisais pas respecter.
- Mais pour quelle raison souhaite-t-Il que je l’attende dans Son bureau ? Et pourquoi me le faire savoir par un intermédiaire ? Il m’a adressé un sms juste pour me dire de l’attendre au Château… Il y a un souci ?, s’inquiète soudain Laurent.
- Monsieur, Vous savez qu’ici une esclave n’en sait jamais plus que ce qu’elle doit savoir.
- Evidemment… Bon eh bien, je te suis. Loin de moi l’idée de te faire injustement sanctionner …
La jeune femme précède Le Commandant jusqu’au bureau du Maître. Là, esclave Mathilde lui désigne un siège qui a été placé à côté du siège du Noble derrière le bureau. Il prend place, surpris de la mise en scène et se demande ce que son ami a prévu.
- J’ai ordre de rester à Votre entière disposition le temps de l’arrivée du Maître, l’informe esclave Mathilde tout en s’agenouillant en position d’attente à ses côtés.
- Hum, cela ira, je n’ai pas l’esprit à me détendre, mais j’apprécie ton attitude digne de La marque de Monsieur Le Marquis, répond Laurent stressé qu’il puisse y avoir un éventuel souci avec sa compagne
Au même moment, la Rolls qui a pris de l’avance sur le bus arrive devant le perron. Monsieur Le Marquis donne ses directives à son Majordome.
- Walter, Mon esclave chien s’est bien comporté durant le trajet, fait en sorte qu’il ait une soirée de repos dans une chambre, et offre-lui une de Mes chiennes salopes du Chenil pour la nuit afin qu’il puisse se vider les couilles, avant de retrouver sa véritable place demain matin, annonce-t-Il d’un ton satisfait pour faire savoir à Son esclave qu’Il est satisfait de lui.
- Bien Monsieur le Marquis.
- Concernant Bertrand, dès son arrivée, je le veux dans Mon bureau, ne lui dis rien, mais quand j’en aurais terminé avec lui, il aura juste le temps de faire sa valise et de quitter le Château. Fais réserver une chambre d’hôtel sur Villefranche sur Saône, qu’il ait un lieu où aller ce soir. Et encore, je suis trop bon de faire cela, mais il ne pourra pas Me reprocher de le mettre à la rue sans un toit pour la nuitée…- Bien Monsieur le Marquis.
- Tout cela tu le délègues, comme la gestion des autres esclaves. Car ta mission la plus urgente concerne exclusivement soumise Keira MDE, tu la prends en charge personnellement. Tu me contactes sur ma ligne privée dans les plus brefs délais pour me donner les détails de ce qu’elle a subi durant le trajet dans le bus, puis tu me l’amènes dans Mon salon privé et tu lui octroies le repos avant que je ne la rejoigne.
- Bien Monsieur le Marquis, il sera fait selon Votre Volonté, répond le Majordome faisant signe à plusieurs serviteurs venus les accueillir, pour leur donner diverses consignes.
Le Noble quitte le perron pour se diriger directement dans Son bureau, remarquant à peine les esclaves heureux de le revoir, qui s’inclinent et se prosternent à Son passage. Il rejoint Laurent qui patiente depuis plus d’une demi-heure. Le commandant se lève pour rejoindre son ami alors que la jeune esclave Mathilde se prosterne.
- Edouard, j’espère que ton séjour s’est bien passé, comment vas-tu ? Et pourquoi me faire venir ici ? Un souci avec l’attitude de Vanessa ?, s’empresse-t-il de Lui demander.
- Bonjour Laurent, moi aussi je suis heureux de te revoir, sourit Le Noble amusé de l’empressement de son ami à prendre des nouvelles de sa compagne. chienne Mathilde, vas donc rejoindre Monsieur Walter sur le perron, il a des consignes pour toi.
La jeune femme se redresse et sort de la pièce à quatre pattes et la tête baissée, dans une évolution des plus félines faisant onduler son fessier de manière lascive. Le Noble attend qu’elle soit sortie puis se tourne de nouveau vers Laurent.
- Vanessa va bien, je te rassure, ne t‘inquiète pas, et je n’ai aucun reproche à faire à soumise Keira MDE. Elle sera à tes côtés ce soir, le rassure-t-il.
- Mais alors pourquoi sommes-nous ici ?
- J’ai un problème à régler et je tiens à ce que tu sois présent.
- De quel ordre ?
- Un licenciement.
- Si tard ? Et en quoi suis-je concerné par la gestion de ton personnel ?
- Je veux absolument que tu sois témoin de celui-ci, tu vas voir, je t’en prie prends place.
Laurent s’assoit aux côtés du Noble derrière le bureau, la tête pleine de questions, étonné de cette mise en scène.
Dans le même temps, l'autobus arrive devant le perron, les esclaves sortent, accompagnés des serviteurs, sauf Vincent et soumise Keira MDE. Walter vérifie que ses consignes sont respectées et monte dans l’autobus. Il trouve Vincent toujours assis, aux côtés de la jeune femme qui dort allongée sur la banquette.
- Comment va-t-elle? demande tout bas Walter à Vincent.
- Elle est éprouvée, mais je pense qu’elle va bien, chuchote Vincent.
Le Majordome interroge le serviteur sur ce qui s’est passé, Vincent lui raconte très en détail chaque instant du trajet. Walter sent la colère monter en lui, lorsqu’il prend conscience qu’un homme sous son autorité s’est permis de déroger à ce point aux règles établies. Il réalise qu’il va devoir faire un rappel au personnel dont il a la charge pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Il compose le numéro de la ligne privée du Noble sur son téléphone, puis il le tend au serviteur.
- C’est Monsieur Le Marquis, raconte-Lui exactement ce que tu viens de me dire, puis rejoins-moi dans mon bureau, je m’occupe d’elle, merci Vincent.
Dans le bureau, le Noble qui patiente avec son ami à Ses côtés, prend l’appel sans mettre le haut-parleur
- Oui ? … Vincent, alors dis-Moi… je t’écoute …
Vincent parle longuement, détaillant tout ce qui s’est passé ….
- …Ah ? … Je vois … OK… Walter s’en occupe ? … Bien, demain je te veux à 16h précise dans Mon salon privé, je tiens absolument à t’octroyer une augmentation salariale… Non, c’est Moi qui te remercie Vincent, finit-Il par lui dire, avec une sincère gratitude dans la voix et en raccrochant.
Après quelques minutes on frappe à la porte, le Châtelain ordonne d’entrer et Bertrand fait son entrée, prenant place debout devant le bureau.
- Monsieur le Marquis, vous avez voulu me voir ? demande l’homme l’air de rien.
- Effectivement Bertrand. Et je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu connais les règles claires et strictes quant à l’utilisation de Mes esclaves, n’est-ce pas ?
- Oui bien entendu, Monsieur le Marquis.
- Même celle qui précise que seul Moi suis en droit de marquer une de Mes soumises ou esclaves sur des parties de son corps qui sont visibles dans sa vie vanille ?
- Oui Monsieur Le Marquis. Et je pense que vous voulez parler de soumise Keira MDE ?
- Tout juste.
Laurent réagit de suite, au quart de tour, en voulant se lever regardant méchamment Bertrand. Le Châtelain lui fait un signe de la main pour qu’il se rassied et se taise en lui faisant comprendre de continuer d’écouter la suite
- Je devais la sanctionner par un grand nombre de coups, alors c’était pour éviter de trop frapper au même endroit et d’obtenir le sang avant la fin de la sanction, se justifie hypocritement le serviteur.
- Une sanction qui ne se justifiait pas !, accuse Le Noble.
- C’est ce qu’elle vous a dit ? Elle ment, Monsieur le Marquis, assure-t-il tout en cachant sa méchanceté.
- Suffit, je ne te demande pas de justification. Et même si c’était elle qui aurait porté ces faits à Ma connaissance, j’en tiendrais compte, à Mes yeux, sa parole a plus de valeur que la tienne. Mais tu as agi en public, je n’ai pas eu besoin de recueillir son témoignage.
- Les autres, mes collègues, manquent de rigueur Monsieur le Marquis. Vous dites bien Vous-même qu’il faut être plus intransigeant avec celles et ceux qui portent Votre marque.
- Intransigeant n’est pas injuste ! Par deux fois tu as enfreint Mes Règles, en dépit du premier avertissement que tu as reçu. Et par deux fois sur la même soumise, qui plus est, une des Mes favorites. Je ne peux laisser passer ces faits avérés, réplique le Châtelain sur un ton glacial et dans un calme parfaitement maîtrisé.
- Monsieur le Marquis, je…- Suffit, j’en ai assez entendu ! Par respect pour ton travail qui était correct jusqu’à ces 2 entorses graves au règlement, je ne vais pas te licencier pour faute grave, mais te proposer une rupture de contrat à l’amiable, c’est tout ce que j’ai à t’offrir. Tu quittes Mon château dès maintenant, je te laisse trente minutes pour rassembler tes affaires, une chambre d’hôtel t’est réservée pour ce soir, annonce Le Noble solennellement d’un ton dominant. Walter te donnera toutes les informations nécessaires. Et si tu refuses cet accord à l’amiable, tu sais très bien qu’au final, juridiquement, tu seras plus perdant que gagnant… Une poursuite pour contester un licenciement abusif au Conseil de prud'hommes serait vaine et tu le sais très bien…
L’homme comprend que toute négociation est impossible, il salue rapidement le Noble, se retourne et quitte le bureau. Laurent qui a suivi toute la scène sait que si Le Noble a pris la décision de licencier un de ses hommes, c’est qu’il a grandement dépassé les limites, il se tourne d’un œil inquiet vers son ami.
- Il a donc dépassé les règles sur Vanessa … Comment va-t-elle ? demande-t-il terriblement inquiet.
- Oui, le soir où il a pu en disposer, j'ai pris une sanction le concernant jusqu’à la fin des vacances, lui interdisant d’user seul de mes esclaves. Mais il a profité du trajet du retour pour se venger dans le bus.
- Il est allé loin ?
- Ne t’inquiètes pas, elle va bien, Vincent a fait ce qu’il fallait faire dans l’autocar. Et maintenant Walter s’en occupe, elle se repose en nous attendant. Avant de la rejoindre je voulais savoir si tu étais toujours prêt à t’en occuper comme nous l’avions prévu pour ce soir ?
- Tu penses qu’elle sera en état de le supporter ?
- Je compte lui laisser le choix, mais il faut que de ton côté tu en sois capable, elle a beaucoup de marques, je ne voudrais pas que tes sentiments soient trop difficiles à gérer pour toi.
- Si son esprit peut le supporter, c’est d’accord pour moi. Mais j’apprécie que tu prennes en compte mes sentiments, répond Laurent souriant.
- Parfait, alors allons la rejoindre, conclut Le Noble d’un ton enjoué.
Les deux amis quittent le bureau pour rejoindre le salon privé du Noble…
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